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1 O O O FTL LAREQ Publication APERÇU DU DEVELOPPEMENT DE LA MACRO ANALYSE Auteur(s) : Jean Paul K. Tsasa Vangu & Michel Ange Lokota Ilondo Source : Laboratoire d analyse recherche en économie quantitative Publié par : LAREQ Publication Volume : Série alpha-i, numéro 1 [pp. 1 15] Web : Courriel : economiconepager@lareq.com Soumission : Juillet 26, 2013 Publication : Janvier 25, 2014 Le LAREQ Publication collabore avec Makroeconomica Review dans la production et la diffusion de la série des fiches techniques Lareq (FTL). MAKROECONOMICA REVIEW Web : Vous pouvez utiliser le contenu des FTL uniquement pour un usage personnel et non commercial. Si vous désirez exploiter tout le contenu de cette fiche, s'il vous plaît, citer la source. Pour un usage commercial, prière contacter l'éditeur pour en obtenir l autorisation, en vous dirigeant à l adresse suivante : MAKROECONOMICA REVIEW travaille en collaboration avec le Laboratoire d'analyse-recherche en économie quantitative et le réseau congolais de recherche en économie quantitative dans l'objectif de contribuer à la construction d une plate-forme de recherche commune qui favorise la découverte et l'utilisation de ces ressources au sein des universités africaines. Pour plus d'informations sur MAKROECONOMICA, s'il vous plaît, contactez : eopl@makroeconomica.org. Résumé 1 Cette série de fiches techniques (alpha I) propose une introduction à la modélisation DSGE et une initiation à la plateforme logicielle Dynare et aux logiciels Dynare++ et MatLab. L ensemble de publications dans le cadre de cette série, une fois complété, sera diffusé dans un document unique sous forme d un manuel d initiation. Ainsi, la présente fiche (FTL alpha- I.1) sera consacrée à un rappel de grandes lignes du développement de la macroanalyse. Puisque l objectif n est pas celui de procéder à une revue exhaustive de l évolution temporelle et spatiale de l analyse macroéconomique, notre attention sera portée essentiellement sur les faits qui permettront de comprendre la logique de la suite de publications prévues dans ce cadre. 1 L utilisateur désirant accéder au manuel de référence Dynare, peut se diriger au site internet suivant :

2 I. Introduction La macroéconomie, dans son sens le plus accepté, s est développée avec la Théorie générale de John M. Keynes, ouvrage publié en 1936 et consacré à l explication de la cause et de la persistance du chômage massif provoqué par la grande dépression de Tout au long de cette fiche, nous décryptons assez brièvement le développement de la science économique, sous une perspective macroéconomique. Pour sa mise en œuvre, un papier rédigé en 2012, au sein du Laboratoire d analyse recherche en économie (Laréq) nous a fourni quelques références principales 2. La fiche sera développée en cinq sections : [II] Développement de la macroéconomie ; [III] Interaction mathématique et Economie ; [IV] Base des données et Etudes empiriques ; [V] Science informatique et Science économique ; [VI] Analyse numérique. II. Développement de la macroéconomie II.1. Aux origines de l économie : D Adam Smith à Alfred Marshall Dans la littérature, Adam Smith est généralement considéré comme le père de l économie moderne, bien qu il n en soit pas l unique parent géniteur. Il est en réalité le collecteur et l ordonnateur illuminé de la pensée dispersée des grands économistes «primitifs». Maîtrisant l histoire économique et confrontant, à chaque fois, sa pensée aux faits, il est parvenu à écrire en 1776, non parfaitement mais plus correctement que tout autre penseur économique contemporain ou l ayant précédé, le projet de la science économique moderne : Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. Cette œuvre majeure apparaît jusqu à ce jour comme une de principales branches génitrices de l économie, en tant que discipline scientifique. Figure 1 : Influence d Adam Smith Adam Smith Par réaction : + John Maynard Keynes + Les courants pro - keynésiens + David Ricardo + John Stuart Mill + Jean Baptiste Say + Alfred Marshall + Leon Walras + Carl Menger + William Jevons + Vilfredo Pareto + Karl Marx + Monétaristes + Economistes de l offre + Nouveaux classiques 2 Tombola Cédrick et Jean Paul Tsasa, 2012, «Les Trois Points d Ancrage en Histoire Économique», One Pager Laréq (août), vol. 3, num. 006, Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

3 Par ailleurs, comme le révèle la littérature économique, une lecture attentive de l œuvre d Adam Smith place son auteur davantage du côté de l'etat gendarme que de l'etat providence car estimant que tout homme, tant qu'il n'enfreint pas les lois de la justice, demeure en pleine liberté de suivre la route que lui montre son intérêt et de porter où il lui plaît son industrie et son capital, concurremment avec ceux de tout autre homme ou de toute autre classe d'hommes. Par conséquent, l'homme d'état qui tenterait d'ordonner aux particuliers la manière d'employer leurs capitaux non seulement se chargerait d'un soin très superflu, mais encore assumerait une autorité qui ne pourrait être confiée avec sûreté à aucun conseil ni sénat, et qui ne serait nulle part si dangereuse qu'entre les mains d'un homme assez fou et assez présomptueux pour se croire capable de l'exercer. Cette conception de l Etat a constitué, notamment, le point d achoppement pour l économiste John Maynard Keynes qui présente un autre paradigme et développe un mode de réflexion quasi paradoxal au cadre d analyse tel que proposé par Adam Smith. Ainsi, la reconsidération du paradigme proposé par Smith a conduit Keynes à forger une nouvelle approche d analyse des phénomènes et faits économiques. D où, l éclosion de la discipline macroéconomique. II.2. Révolution de Keynes : La solution à la crise de 1929 Non convaincu par l orthodoxie découlant du paradigme classique et s étant sévèrement opposé, dès 1924, à l expérience des pensées d Adam Smith ; John M. Keynes, dès le livre I de sa Théorie générale sur l emploi, l intérêt et la monnaie, note ce qui suit : Nous avons donné à notre théorie le nom de «Théorie générale». Par là nous avons voulu marquer que nous avions principalement en vue le fonctionnement du système économique pris dans son ensemble, que nous envisagions les revenus globaux, les profits globaux, la production globale, l'emploi global,... Et nous prétendons qu'on a commis des erreurs graves en étendant au système pris dans son ensemble des conclusions qui avaient été correctement établies en considération d'une seule partie du système prise isolément. Pour marquer ce point de rupture, essentiellement sur la méthode et les postulats classiques, Keynes écrira un jour qu il n a pas aboli la vision d Adam Smith mais qu il a utilisé l analyse économique moderne pour la mettre en pratique. Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

4 II.3. Paradigme de Samuelson : L émergence de l économie mathématique Avant Samuelson, l'économie ressemblait à un club de fumeurs de pipe. Il en a fait une discipline scientifique. Robert M. Solow Paul A. Samuelson ( ) Père de la microéconomie traditionnelle Médaille John Bates Clark, 1947 Prix Nobel d économie, 1970 Samuelson est célèbre notamment pour le développement de la théorie économique en statique et en dynamique, et pour avoir élevé le niveau d analyse en science économique. Au passage du temps, la Théorie générale va connaître plusieurs courants d interprétation dont les plus importants sont : le post keynésianisme, le néo keynésianisme (la première synthèse) et la nouvelle macroéconomie keynésienne. Dans le souci, sans doute, de rallier le plus grand nombre de gens à la vision de Keynes, les keynésiens de la synthèse néo classique vont se verser dans un Keynésianisme hydraulique 3, en interprétant la Théorie générale à l intérieur du cadre walrasien. Pour ce courant, selon l expression de Don Patinkin, dans la Théorie générale, la voix du Maître est celle d Alfred Marshall et ses mains, celles de Léon Walras. En réalité, ce travail d interprétation avait débuté en 1937 par John R. Hicks (1936) 4 autour du cadre IS LM, relayé par Lawrence R. Klein et Alban W. Phillips (1958), puis consolidé par Paul A. Samuelson et Robert M. Solow (1960), avec l émergence de la relation de Phillips. Ce travail de synthèse, laissant de côté l incertitude et les esprits animaux, s est poursuivi avec notamment les travaux de Modigliani (1944) et de Samuelson (1978). Pour ces auteurs, s il est admis que Keynes a profondément bouleversé l'analyse économique, cependant, il convient de noter que sa pensée reste tributaire de certains axiomes qui le rattachent fermement à l'école classique tels que la loi des rendements décroissants, l exogénéité de la monnaie ainsi que l'égalité entre épargne et investissement. D'où, toute la problématique de la facilité avec laquelle les analyses keynésiennes ont pu être abordées par les économistes orthodoxes. II.4. Paradigme de Friedman : La contre révolution keynésienne La théorie économique est continument confrontée aux faits. Ainsi, la pertinence et la robustesse d une théorie ne peuvent s expliquer que par sa capacité à reproduire avec cohérence la réalité dans le temps et dans l espace. Cependant, dans les années 1970, 3 Expression propre à Michel Beaud et Gilles Dostaler. Le keynésianisme hydraulique désigne un keynésianisme simplifié, réduit à une mécanique des quantités globales ou à un hydraulique de flux, écartant certaines dimensions essentielles de la pensée originelle Keynes telles que le temps, l'incertitude non probabilisable, les anticipations, etc. 4 Mr. Keynes and the Classics : A Suggested Interpretation. 4 Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

5 durant les chocs pétroliers, cela ne fut pas le cas pour la relation de Phillips du premier âge, prédisant une corrélation négative entre inflation et chômage (Phillips, 1958 ; Samuelson Solow, 1960). Ainsi, Milton Friedman et parallèlement, Edmund S. Phelps (1968), se basant sur leurs travaux antérieurs (1968), remettent en cause la stabilité de la courbe de Phillips. En effet, les travaux de Friedman, Chef de file de l école de Chicago, ont permis de définir les conditions d efficacité de la politique macroéconomique, en précisant ce que la politique économique peut faire et ce qu il ne peut pas faire. Dans le traité de Friedman, la politique monétaire prend exclusivement le dessus sur la politique budgétaire. Cependant, la vision de Friedman ne fut pas totalement admise par ses partisans. Ainsi, l école de Chicago s est scindée en deux filières principales. La première filière estime que l impact de la politique monétaire est transitoire, et son impact passe par le mécanisme d illusion monétaire (Friedman, 1956, 1968). La deuxième filière considère que la politique monétaire est totalement inefficace. Celle ci ne peut avoir des effets sur l activité économique que par le mécanisme de surprise exceptionnelle (Sargent et Wallace, 1985). Ce fut l émergence de la nouvelle macroéconomie classique (NMC). La deuxième filière n est pas loin de la conception initiale de Lucas selon laquelle les fluctuations économiques sont expliquées par des impulsions monétaires. Au passage du temps, cette vision fut déclassée, et rapidement écartée de la scène de la NMC par l article fondateur de Kydland et Prescott (1982), géniteur de la Théorie de cycles d affaire réels 5. Ceux ci, en enrichissant le modèle de croissance optimale stochastique de Brock et Mirman (1972), se proposent d expliquer le cycle non pas comme un écart à l équilibre mais comme une fluctuation du produit lui même. II.5. Révolution des anticipations rationnelles : L émergence de la Nouvelle macroéconomie classique Insatisfait de l hypothèse d anticipation adaptative avancée par Friedman pour relever les failles de la relation établie par Phillips, dès 1972, Robert E. Lucas s était proposer de revisiter Muth (1961), afin de proposer un nouveau cadre d analyse où l homo œconomicus est doté d une capacité d anticiper rationnellement l avenir sur base de leur connaissance sur l économie (information disponible). En effet, l hypothèse d anticipations rationnelles suppose que les anticipations des agents sont en moyenne, conformes aux prédictions du modèle théorique. Le modèle de formation d anticipations, combiné à la critique de Lucas (1976), a révolutionné, non seulement la macroéconomie, mais toute la science économique. En effet : la courbe de Phillips était totalement déclassée ; 5 Appellation introduite par Long et Plosser (1983). Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

6 la théorie de l incapacité des politiques monétaires abordée par Friedman, rigoureusement établie, à l aide notamment d un modèle à générations imbriquées ; Puisque les agents ajustent quasi instantanément leurs anticipations de prix et de salaires à la nouvelle politique économique, les effets de celle ci sont annihilés ; la validité des modèles économétriques est remise en cause, car une fois les anticipations rationnelles prises en compte, les modèles macroéconométriques ne permettent plus de mesurer correctement l'impact des politiques économiques. la neutralité de la monnaie, argument cher tant aux classiques au sens de Keynes qu aux nouveaux classiques, fut rétablie ; la thèse soutenue par Friedman selon laquelle les chocs monétaires ont des incidences, sans toutefois que ce trait soit une des solutions proposées en politique monétaire, est par ailleurs prouvée ; et enfin, la discipline de l équilibre est ramenée au centre de la modélisation macroéconomique. Somme toute, le noyau de NMC s est constitué autour de Lucas (1969, apurement immédiat et permanent des marchés et mécanisme de substitution intertemporelle entre le travail et le loisir ; 1972, anticipations rationnelles ; 1976, critique de Lucas) ; Kydland & Prescott, (1975, principe d incohérence intertemporelle) ; et aussi de Barro (1974, 1976), Sargent Wallace (1975) et Lucas Sargent (1975). Cependant, la fondation du cadre de modélisation NMC a été incontestable bâtie sur l article Kydland & Prescott (1982). Ces derniers montrent que les fluctuations de la production et des heures travaillées sont des réponses optimales des agents économiques. Autrement, les fluctuations économiques résultent des comportements parfaitement rationnels des agents économiques, soumis à des chocs technologiques aléatoires. A ce titre, le modèle de Kydland Prescott réhabilite rigoureusement le paradigme de la main invisible introduit par Adam Smith en 1776 et de ce fait, ne laisse aucune place à l interventionnisme étatique. Ce résultat fut remis en cause par les partisans de la Nouvelle macroéconomie keynésienne (NMK). II.6. Paradigme DSGE : L émergence de la Nouvelle macroéconomie keynésienne En réaction aux thèses soutenues par l école des anticipations rationnelles, notamment le paradigme rigoureusement établi par Kydland et Prescott, les nouveaux keynésiens émergent dans les années En effet, ils constatent que la formalisation de la théorie générale par le néo keynésien a rendu la pensée du Maître très vulnérable aux attaques de l école de Chicago [Friedman (1956, 1966, 1968)] et a finalement prêté le 6 Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

7 flanc à la critique radicale des partisans de la nouvelle macroéconomie classiques dès les années 1970 [Lucas (1972, 1976) ; Barro (1974, 1976) ; Sargent Wallace (1975) ; Kydland Prescott, (1977, 1982) ; Lucas Sargent (1981)]. Ainsi, pour combler ces failles, ils se sont proposés de remettre sur la scène du débat quatre points caractéristiques de la Théorie générale laissés de côté, à savoir : les esprits animaux, avec notamment l émergence du concept d équilibre à tâches solaires de Michael Woodford ; l incertitude ; l asymétrie informationnelle ; la viscosité de variables nominales et institutionnelles. Ils considèrent le même cadre d analyse que les nouveaux classiques, à la seule différence que leurs modèles laisse une place à l interventionnisme. D où, la pertinence des politiques économiques dans le lissage des fluctuations économiques. Ainsi, on est passé peu à peu des modèles des cycles d affaires réels (RBC) vers les modèles d équilibre général dynamique stochastique (DSGE). III. Interaction mathématique et Economie A ce jour, il semble plus difficile de réfuter que les grandes avancées qu a connues la science économique, ces cinquante dernières années sont dues essentiellement à une compréhension profonde et une utilisation plus intelligente de l outil mathématique. En effet, depuis Samuelson, l économiste n a cessé de repousser les frontières de son imaginaire, jusqu à faire de l analyse mathématique, selon les termes propre de R.E. Lucas, le principal moyen de faire de la théorie économique. De ce qui précède, il sied de remarquer, par exemple quelques faits ayant profondément marqué l économie : la dérivation formelle d une solution en théorie des jeux à l aide du théorème du point fixe de Kakutani, proposée en 1954 par John F. Nash (récipiendaire du Prix Nobel d économie en 1994) ; la preuve de la proposition d existence d équilibre général partant des équations de Walras, démonstration rendue possible en 1953 par Kenneth J. Arrow (récipiendaire du Prix Nobel d économie en 1972) ; Gerard Debreu (récipiendaire du Prix Nobel d économie en 1983)) et Lionel W. McKenzie (Guggenheim Fellows en 1973) ; la transposition des équations de Bellman en analyse macroéconomique dès les années , notamment à la suite des travaux de Sargent (récipiendaire du Prix Nobel d économie en 2011) et de Lucas (récipiendaire du Prix Nobel d économie en 1995) ; et bien d autres exemples encore! Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

8 Comme on peut le remarquer, la proposition de ces différents cadres formels d analyse exigeait une connaissance raffinée de la mathématique. On dirait même que cela exige une véritable initiation. IV. Bases des données statistiques et Etudes empiriques L une des extensions majeures de la recherche empirique en macroéconomie est incontestablement liée à l utilisation croissante des bases des données statistiques relatives à des caractéristiques économiques des pays, mais aussi à celles des agents individuels tels que les firmes, les consommateurs ou les centres de profits. Nous reprenons en annexes [A1 & A2] les références de quelques bases des données statistiques disponibles sur le web. V. Science informatique et Science économique : L émergence des logiciels spécialisés Oui, je suis encore un économiste keynésien... J admire le travail de Tinbergen, et Keynes n a pas bien compris toute son importance. Lawrence R. Klein (2008, adapté de Yoann et les Noble ; La création de la Société d économétrie en 1930, puis de la Cowles foundation for research in economics en 1932 par Alfred Cowles a favorisé l émergence d un renouveau dans la recherche en économie. Le recours croissant à l outil mathématique et la disponibilité des bases des données de plus en plus élargis ont rendu le calcul manuel plus ardu. La nécessité des outils plus sophistiqués pour les computations s était aussi ressentie. Lawrence R. Klein ( ) - Père de la modélisation macroéconométrique - Médaille John Bates Clark, Prix Nobel d économie, 1980 Klein est célèbre notamment pour ses modèles informatiques, utilisés pour évaluer les tendances économiques. Source : Adapté de l Académie royale des sciences de Suède. Ainsi, avec le choc du progrès technique, notamment la fabrication des premiers ordinateurs, les études économiques s appuyant sur les outils et logiciels informatiques, n ont pas tardé. Par exemple, Wassily Leontief utilisera dès la fin des années 1940, dans le cadre de la Harvard Economic Research Project, les premiers ordinateurs disponibles à Harvard pour modéliser les données fournies par le Bureau of Labor Statistics. Par ailleurs, durant la même période, Lawrence R. Klein intègre la Cowles Commission for Research in Economics et construit un modèle de l'économie américaine, permettant de prévoir le développement des fluctuations économiques et d'étudier les effets des politiques économiques gouvernementales. 8 Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

9 A ce jour, on compte plusieurs logiciels accompagnant les économistes dans leurs recherches. Dans cette série de fiches, l attention sera portée, particulièrement, sur trois d entre eux : Dynare, MatLab et GNU Octave. Nous verrons que ces logiciels permettent, notamment aux économistes, et plus spécifiquement aux macroéconomistes, d évaluer assez convenablement les différents modèles construits théoriquement. VI. Analyse numérique Pourquoi l'économiste s intéresse t il à l analyse numérique? Une simple lecture panoramique des articles récents en économie peut facilement révéler qu à ce jour, les modèles économiques notamment en macroéconomie, sont de plus en plus rigoureux en termes de conception, d'élaboration et de résolution, car cherchant à se rapprocher davantage de la réalité. Certains d'entre eux sont faciles à résoudre, et admettent des solutions analytiques plus ou moins simple. D autres, par contre et dans la plupart de cas, sont trop longs et pénibles à résoudre de manière explicite, car admettant des solutions exactes qui sont au delà de la connaissance actuelle des économistes, voire des ingénieurs et mathématiciens. Ainsi, dans ces derniers cas, les économistes recourent généralement à l'analyse numérique afin de dériver les différentes solutions recherchées à l'aide des méthodes approximatives. C'est dans ce cadre, que plusieurs logiciels et programmes informatiques ont été développés. Tout au long de cette série de fiches, notre attention portera sur la plateforme logiciel Dynare qui fonctionne soit sous MatLab, soit sous GNU Octave. In fine, il sied de remarquer que cette première fiche constitue en réalité un préambule de la suite de fiches devant être publiées dans le cadre de cette série (alpha I) dédiée à l initiation à la modélisation DSGE sur la plateforme logicielle Dynare et sur le logiciel Dynare++. Ainsi, la deuxième fiche (alpha I, num. 2) sera consacrée au traitement des éléments connexes conditionnant le bon fonctionnement de Dynare. Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

10 Références bibliographiques ACEMOGLU Daron, 2009, Introduction to Modern Economic Growth, Princeton University Press, New Jersey, 990p. AKERLOF George et SHILLER Robert, 2009, Les esprits animaux : comment les forces psychologiques mènent la finance et l'économie, Pearson, Paris. AUTUME (d ) Antoine, 1986, «Les anticipations rationnelles dans l'analyse macroéconomique», in: Revue économique, Vol. 37, n 2, pp BARRO Robert J., 1976, Rational expectations and the Role of Monetary Policy, Journal of Monetary, 2, BEAUD Michel et DOSTALER Gilles, 1996, La pensée économique depuis Keynes, Editions du Seuil, Paris, 444p. BLANCHARD Olivier J. et Charles M. KAHN, 1980, The Solution of Linear Difference Models Under Rational Expectations, Econometrica 48(5): BROCK William A. and Leonard J. MIRMAN, 1972, "Optimal Economic Growth and Uncertainty: The Discounted Case", Journal of Economic Theory, Elsevier, vol. 4, num. 3, (june 1972), COLLARD Fabrice et Michel JUILLARD, 2001, "Accuracy of stochastic perturbation methods: the case of asset pricing models", Journal of Economic Dynamics and Control, 25 (6 7): FLEMING, Wendell H., 1971, "Stochastic Control for Small Noise Intensities", SIAM Journal of Control, 9(3): HEER Burkhard et Alfred MAUßNER, 2009, Dynamic General Equilibrium Modeling. Computational Methods and Applications, Second Edition Springer Verlag, Berlin, 702p. HICKS John, 1937, «Mr. Keynes and the Classics : A Suggested Interpretation», Econometrica, vol. 5, p JUDD Kenneth L., 1998, Numerical Methods in Economics, MIT Press, Cambridge, MA, 656p. KEYNES John M, 1930, F.P. Ramsey, Economic Journal, 40, KEYNES John, 1936, The General Theory of Employment, Interest, and Money, Cambridge University Press. KING Robert G. et Mark W. WATSON, 1998, "The Solution of Singular Linear Difference Systems under Rational Expectations", International Economic Review, 4(39): KING Robert G., Charles L. PLOSSER et Sergio T. REBELO, 1988, Production, Growth and Business Cycles I: The Basic Neoclassical Model, Journal of Monetary Economics (juin), 21 (2 3): KYDLAND Finn E. and Edward C. PRESCOTT, 1977, Rules Rather than Discretion: The Inconsistency of Plans, Journal of political Economy, 85: Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

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13 STOKEY Nancy L. et Robert E. LUCAS Jr., avec Edward C. PRESCOTT, 1989, Recursive Methods in Economic Dynamics, Harvard University Press, Massachusetts, 588p. SWELDBERG Richard, 1990, Economics and Sociology: Redefining Their boundaries. Conversations with Economists and Sociologists, Princeton, Princeton University Press, 361p. TOBIN James, 1992, The Invisible Hand in Modern Macroeconomics, in Adam Smith s Legacy, éd. Michael Fry, TOMBOLA Cédrick et Jean Paul TSASA, 2012, «Les Trois Points d Ancrage en Histoire Économique», One Pager Laréq (août), 3 (6): TSASA Jean Paul, (octobre) 2012, «Construction et Application d un Modèle DSGE pour la RDC : Analyse comparée des estimations bayésiennes et VAR», Discussion Paper Laréq (octobre), S2, DPN 001, TSASA Jean Paul, 2012, «Initiation à La Macroéconomie DGE : Identité mathématique et Fondements théoriques», One Pager Laréq (avril), 1 (9): WALLACE Laura, 2004, «Entretien Avec Amartya Sen : la liberté, source de progrès», Finance & Développement, vol. 41, num. 3 (septembre), 4 7. Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

14 Annexes A.1 : Sources des données sur le web 1. American Stock Exchange 2. Angus Maddison project : 3. Banque africaine de développement : 4. Banque Centrale du Congo : 5. Banque centrale européenne (BCE) : 6. Banque d Israël : 7. Banque de France : 8. Banque du Canada : 9. Banque mondiale : Bureau of Economic Analysis (BEA) Home page : Bureau of Labor Statistics : Bureau of Labor Statistics : Business Cycle Indicators : CIA Publication Economics statistics Briefing Room : Energy Information Administration (DOE) : EUROSTAT : Federal Reserve Economic Data FRED : Federal Reserve System Beige Book : Fonds monétaire international : FRED Database : General Social Survey : Government Information Sharing Project : Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) : International Trade Administration : Ministère des finances RD Congo : Ministère du budget RD Congo : National Bureau of Economic Research (NBER) Home Page : Nations unies : OCDE : Panel Study : Penn World Table : Programme des nations unies pour le développement : Resources for economists on the Internet : Social Security Administration : Statistical Resources on the web/economics : STAT-USA Database : The Federal Web Locator : US Census Bureau Home Page : WebEC, WWW Resources in economics : A.2 : Références des bases des données téléchargeables 1. Commodity Trade Statistics Database 2. Energy Statistics Database 3. Environment Statistics Database 14 Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota Aperçu du développement de la macroanalyse

15 4. FAO Data Food and Agriculture Organization (FAO) 5. Gender Info 6. Global Indicator Database 7. Greenhouse Gas Inventory Data United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) 8. Human Development Indices: A statistical update 2009 United Nations Development Programme (UNDP) 9. Indicators on Women and Men 10. INDSTAT United Nations Industrial Development Organization (UNIDO) 11. Industrial Commodity Statistics Database 12. International Homicide Data United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC) 13. Key Indicators of the Labour Market, 6th Edition International Labour Organization (ILO) 14. Millennium Development Goals Database 15. National Accounts Estimates of Main Aggregates 16. National Accounts Official Country Data 17. The State of the World s Children United Nations Children's Fund (UNICEF) 18. UIS Data Centre UNESCO Institute for Statistics (UNESCO UIS) 19. UNAIDS Data Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) 20. UNHCR Statistical Database United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) 21. UNSD Demographic Statistics 22. WHO Data World Health Organization (WHO) 23. WHO Data World Health Organization (WHO) 24. World Development Indicators 2009 The World Bank (WB) 25. World Fertility Data United Nations Population Division (UNPD) 26. World Marriage Data United Nations Population Division (UNPD) 27. World Meteorological Organization Standard Normals World Meteorological Organization (WMO) 28. World Telecommunication/ICT Indicators Data International Telecommunications Union (ITU) 29. World Tourism Data World Tourism Organization (UNWTO) Fiche technique Laréq, Série alpha I, Num. 1, pp Jean-Paul K. Tsasa & Michel-Ange Lokota

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