Formation tout-public. Ecoles et institutions

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Formation tout-public. Ecoles et institutions"

Transcription

1 SE FORMER, S INFORMER / AGIR Ecoles et institutions La mort à l école Face à l individualisation de la mort dans notre société, le brassage culturel, et les pertes de repères, l enseignant a peu de moyens pour aborder la question de la mort en classe. Comment accueillir et comprendre ses réactions d adultes, comprendre le fonctionnement différent de l adulte et de l enfant face à la mort? Quels outils sont à sa disposition? ( ) Lorsque la mort touche l institution Chaque institution peut être touchée un jour ou l autre par la mort. Décès annoncé ou subit, mort d un collègue, d un enfant ou d un parent. A notre époque d individualisme où la mort relève de la sphère privée, il est difficile de savoir que dire ou que faire, et quelles sont les compétences des divers intervenants. (...) Quand la mort touche l école (Entretien avec les classes) Lorsqu une classe est touchée par un deuil (décès d un élève, d un parent, d un membre de l établissement), le vécu de chaque élève est affecté. Il retrouve ses propres expériences avec la mort ou la perte ainsi que les émotions qui les accompagnent (peur, angoisse, colère, tristesse, culpabilité). Il peut alors s avérer utile de consacrer une ou deux périodes pour sortir du silence, et mettre des mots sur l événement. C est l occasion de faire des liens avec le deuil en général et les expériences de chacun dans le contexte sécurisant de l école. ( ) SE FORMER, S INFORMER / PENSER Formation tout-public Module 1: De la société traditionnelle à l individu La mort place l homme d aujourd hui devant un réel dilemme: comment trouver la juste place entre les façons de faire et de croire de nos parents et les exigences de la société moderne? ( ) Module 2: Pertes et deuils Vivre, c est apprendre à perdre. L expérience de la perte fait partie intégrante du développement de l humain. De sa naissance à sa mort, il ne fait que perdre: quitter le ventre de sa mère, de la maison, puis grandir, aimer, s attacher. Peut-on apprendre à se séparer? Comment rattraper un deuil non fait? Quels gestes faire, quels mots trouver pour prendre acte de la séparation? ( ) Module 3: Mort et imaginaire La mort est l énigme par excellence. Seul l imaginaire peut en tenter des représentations. Culturelles, mais aussi individuelles, elles sont le miroir où l humain projette ses peurs et son angoisse, parfois pour les apprivoiser, toujours pour mieux se connaître. (...) Entretiens et suivis de deuil L être humain est un être de lien. Pour croître, il s attache et développe des liens avec son entourage. La rupture de ces liens peut être extrêmement douloureuse. Si traditionnellement, l endeuillé était identifié comme tel et accompagné dans cette épreuve par des rites, le deuil est aujourd hui souvent vécu dans une grande solitude. Or il peut être difficile de sortir d un deuil qui n a pas été traversé, ni nommé, ni reconnu. ( )

2 SE FORMER, S INFORMER / PARLER Confrontées aux grandes questions de la vie et de la mort, les sociétés ont raconté des contes depuis toujours. C est une façon idéale de sourire de ce qui inquiète, de raconter du «pas vrai» pour cerner la vérité, de créer du lien entre les auditeurs et de développer un sentiment d appartenance. Ce spectacle articule contes de la mort et commentaires explicatifs. Ce spectacle allie contes et flamenco: deux façons de vivre la rencontre avec la Mort, entre tendresse, humour et passion. Avec le Hechizo Flamenco Sextet Group. Spectacle pour enfants depuis 6 ans. La Mort rend visite un jour à une vieille dame et à un jeune berger qui ne se laissent pas faire par elle!! Ce spectacle permet d aborder avec tendresse et simplicité la difficile question de la vieillesse et de la Mort qui n est pas toujours toute-puissante! De la «mort macabre» à la «belle mort»... Cette animation-spectacle pour adolescents dès 14 ans permet d aborder la thématique de la mort de façon non dramatique, d envisager la mort dans sa dimension humaine et sociale et d acquérir un savoir spécifique sur l histoire du mourir, tout en apprivoisant ses propres représentations et celles d autrui. SE FORMER, S INFORMER / IMAGINER les deuils et les épreuves? Que croire, qui croire et comment croire? Comment construire nos vies avec cette échéance inéluctable? Comment trouver notre place entre le mode de faire de nos ancêtres et l individualisation à outrance de la société actuelle? Cette conférence se propose d organiser ces questions et tenter de montrer comment se construisent nos représentations de la mort, dans le respect de chacun. traverse un certain nombre d étapes décisives. Au cours de ces mutations, s expérimentent différentes facettes de la séparation et se constituent ainsi des représentations durables de la mort qui resteront en vigueur jusque dans sa vie d adulte. Cette conférence montre comment se constitue chez chacun la conception de la mort et du mourir, et comment comprendre nos réactions aux séparations, aux pertes et aux deuils. Entre les peurs des adultes et les représentations des enfants, comment parler de la mort à nos enfants? La peur de leur faire peur, la difficulté de répondre à leurs questions, la confusion entre le domaine des croyances et celui des deuils personnels, la perte des repères traditionnels, l évolution d une société axée sur l individu et sa réalisation, tout ceci pousse à reporter la discussion à plus tard. Pourtant certains spécialistes disent que «taire la mort, tue». Cette conférence traite des questions des enfants et propose des pistes pour y répondre.

3 SE FORMER, S INFORMER AGIR Ecoles et institutions La mort à l école Face à l individualisation de la mort dans notre société, le brassage culturel, et les pertes de repères, l enseignant a peu de moyens pour aborder la question de la mort en classe. Comment accueillir et comprendre ses réactions d adultes, comprendre le fonctionnement différent de l adulte et de l enfant face à la mort? Quels outils sont à sa disposition? ( ) Lorsque la mort touche l institution Chaque institution peut être touchée un jour ou l autre par la mort. Décès annoncé ou subit, mort d un collègue, d un enfant ou d un parent. A notre époque d individualisme où la mort relève de la sphère privée, il est difficile de savoir que dire ou que faire, et quelles sont les compétences des divers intervenants. (...) Quand la mort touche l école (Entretien avec les classes) Lorsqu une classe est touchée par un deuil (décès d un élève, d un parent, d un membre de l établissement), le vécu de chaque élève est affecté. Il retrouve ses propres expériences avec la mort ou la perte ainsi que les émotions qui les accompagnent (peur, angoisse, colère, tristesse, culpabilité). Il peut alors s avérer utile de consacrer une ou deux périodes pour sortir du silence, et mettre des mots sur l événement. C est l occasion de faire des liens avec le deuil en général et les expériences de chacun dans le contexte sécurisant de l école. ( ) SE FORMER, S INFORMER PENSER Formation tout-public Module 1: De la société traditionnelle à l individu La mort place l homme d aujourd hui devant un réel dilemme: comment trouver la juste place entre les façons de faire et de croire de nos parents et les exigences de la société moderne? ( ) Module 2: Pertes et deuils Vivre, c est apprendre à perdre. L expérience de la perte fait partie intégrante du développement de l humain. De sa naissance à sa mort, il ne fait que perdre: quitter le ventre de sa mère, de la maison, puis grandir, aimer, s attacher. Peut-on apprendre à se séparer? Comment rattraper un deuil non fait? Quels gestes faire, quels mots trouver pour prendre acte de la séparation? ( ) Module 3: Mort et imaginaire La mort est l énigme par excellence. Seul l imaginaire peut en tenter des représentations. Culturelles, mais aussi individuelles, elles sont le miroir où l humain projette ses peurs et son angoisse, parfois pour les apprivoiser, toujours pour mieux se connaître. (...) Entretiens et suivis de deuil L être humain est un être de lien. Pour croître, il s attache et développe des liens avec son entourage. La rupture de ces liens peut être extrêmement douloureuse. Si traditionnellement, l endeuillé était identifié comme tel et accompagné dans cette épreuve par des rites, le deuil est aujourd hui souvent vécu dans une grande solitude. Or il peut être difficile de sortir d un deuil qui n a pas été traversé, ni nommé, ni reconnu. ( )

4 SE FORMER, S INFORMER PARLER Confrontées aux grandes questions de la vie et de la mort, les sociétés ont raconté des contes depuis toujours. C est une façon idéale de sourire de ce qui inquiète, de raconter du «pas vrai» pour cerner la vérité, de créer du lien entre les auditeurs et de développer un sentiment d appartenance. Ce spectacle articule contes de la mort et commentaires explicatifs. Ce spectacle allie contes et flamenco: deux façons de vivre la rencontre avec la Mort, entre tendresse, humour et passion. Avec le Hechizo Flamenco Sextet Group. Spectacle pour enfants depuis 6 ans. La Mort rend visite un jour à une vieille dame et à un jeune berger qui ne se laissent pas faire par elle!! Ce spectacle permet d aborder avec tendresse et simplicité la difficile question de la vieillesse et de la Mort qui n est pas toujours toute-puissante! De la «mort macabre» à la «belle mort»... Cette animation-spectacle pour adolescents dès 14 ans permet d aborder la thématique de la mort de façon non dramatique, d envisager la mort dans sa dimension humaine et sociale et d acquérir un savoir spécifique sur l histoire du mourir, tout en apprivoisant ses propres représentations et celles d autrui. SE FORMER, S INFORMER IMAGINER les deuils et les épreuves? Que croire, qui croire et comment croire? Comment construire nos vies avec cette échéance inéluctable? Comment trouver notre place entre le mode de faire de nos ancêtres et l individualisation à outrance de la société actuelle? Cette conférence se propose d organiser ces questions et tenter de montrer comment se construisent nos représentations de la mort, dans le respect de chacun. traverse un certain nombre d étapes décisives. Au cours de ces mutations, s expérimentent différentes facettes de la séparation et se constituent ainsi des représentations durables de la mort qui resteront en vigueur jusque dans sa vie d adulte. Cette conférence montre comment se constitue chez chacun la conception de la mort et du mourir, et comment comprendre nos réactions aux séparations, aux pertes et aux deuils. Entre les peurs des adultes et les représentations des enfants, comment parler de la mort à nos enfants? La peur de leur faire peur, la difficulté de répondre à leurs questions, la confusion entre le domaine des croyances et celui des deuils personnels, la perte des repères traditionnels, l évolution d une société axée sur l individu et sa réalisation, tout ceci pousse à reporter la discussion à plus tard. Pourtant certains spécialistes disent que «taire la mort, tue». Cette conférence traite des questions des enfants et propose des pistes pour y répondre.

5 SE FORMER, S INFORMER PARLER SE FORMER, S INFORMER IMAGINER Confrontées aux grandes questions de la vie et de la mort, les sociétés ont raconté des contes depuis toujours. C est une façon idéale de sourire de ce qui inquiète, de raconter du «pas vrai» pour cerner la vérité, de créer du lien entre les auditeurs et de développer un sentiment d appartenance. Ce spectacle articule contes de la mort et commentaires explicatifs. Ce spectacle allie contes et flamenco: deux façons de vivre la rencontre avec la Mort, entre tendresse, humour et passion. Avec le Hechizo Flamenco Sextet Group. Spectacle pour enfants depuis 6 ans. La Mort rend visite un jour à une vieille dame et à un jeune berger qui ne se laissent pas faire par elle!! Ce spectacle permet d aborder avec tendresse et simplicité la difficile question de la vieillesse et de la Mort qui n est pas toujours toute-puissante! De la «mort macabre» à la «belle mort»... Cette animation-spectacle pour adolescents dès 14 ans permet d aborder la thématique de la mort de façon non dramatique, d envisager la mort dans sa dimension humaine et sociale et d acquérir un savoir spécifique sur l histoire du mourir, tout en apprivoisant ses propres représentations et celles d autrui. les deuils et les épreuves? Que croire, qui croire et comment croire? Comment construire nos vies avec cette échéance inéluctable? Comment trouver notre place entre le mode de faire de nos ancêtres et l individualisation à outrance de la société actuelle? Cette conférence se propose d organiser ces questions et tenter de montrer comment se construisent nos représentations de la mort, dans le respect de chacun. traverse un certain nombre d étapes décisives. Au cours de ces mutations, s expérimentent différentes facettes de la séparation et se constituent ainsi des représentations durables de la mort qui resteront en vigueur jusque dans sa vie d adulte. Cette conférence montre comment se constitue chez chacun la conception de la mort et du mourir, et comment comprendre nos réactions aux séparations, aux pertes et aux deuils. Entre les peurs des adultes et les représentations des enfants, comment parler de la mort à nos enfants? La peur de leur faire peur, la difficulté de répondre à leurs questions, la confusion entre le domaine des croyances et celui des deuils personnels, la perte des repères traditionnels, l évolution d une société axée sur l individu et sa réalisation, tout ceci pousse à reporter la discussion à plus tard. Pourtant certains spécialistes disent que «taire la mort, tue». Cette conférence traite des questions des enfants et propose des pistes pour y répondre.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

Comprendre les différentes formes de communication

Comprendre les différentes formes de communication Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre

Plus en détail

Aider une personne atteinte de cancer

Aider une personne atteinte de cancer Aider une personne atteinte de cancer Ce que vous pouvez faire Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Il est fort probable que vous connaissez une personne peut-être un voisin, un collègue

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

VOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS. Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine

VOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS. Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine VOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine Que devient son corps? Quelle cérémonie envisager? Quel lieu de mémoire? Comment vivre ce deuil? Quels accompagnements sont

Plus en détail

Rien n est grave, car tout est grave

Rien n est grave, car tout est grave Rien n est grave, car tout est grave La vision de la vie par un handicap ou une situation désavantageuse, mais qui montre les points positifs pas forcément évoqués. On peut voir que rien n est tout blanc

Plus en détail

Etre parent-s d adolescent-e

Etre parent-s d adolescent-e LA LETTRE AUX PARENTS N o 1 Chers parents, Etre parent d un-e adolescent-e n est pas toujours une chose facile, vous le savez bien! Bien sûr, vous vous réjouissez de voir grandir votre enfant, et de lui

Plus en détail

Du bon usage de la téléphonie mobile

Du bon usage de la téléphonie mobile Du bon usage de la téléphonie mobile Sommaire 1. Introduction 3 2. Le téléphone mobile a-t-il un impact sur la santé? 4 3. Antenne et terminaux : le Maroc veille à respecter les normes internationales

Plus en détail

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

Pony Production. mise en scène : Stéphanie Marino. Texte et Interprètation : Nicolas Devort. création graphique : Olivier Dentier - od-phi.

Pony Production. mise en scène : Stéphanie Marino. Texte et Interprètation : Nicolas Devort. création graphique : Olivier Dentier - od-phi. création graphique : Olivier Dentier - od-phi.com et Pony Production mise en scène : Stéphanie Marino Texte et Interprètation : Nicolas Devort Résumé Colin fait sa rentrée dans un nouveau collège. Pas

Plus en détail

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée 1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle

Plus en détail

Origines possibles et solutions

Origines possibles et solutions Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante

Plus en détail

Ariane Moffatt : Je veux tout

Ariane Moffatt : Je veux tout Ariane Moffatt : Je veux tout Paroles et musique : Ariane Moffatt Sony Music France Thèmes La relation amoureuse, les enfants gâtés. Objectifs Objectifs communicatifs : Exprimer un sentiment. Exprimer

Plus en détail

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui

Plus en détail

Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique

Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique D UN SYNTAXE MOT OU D UN GROUPE SYNTAXIQUE 1 Problèmes fréquents Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique Les erreurs d ordre syntaxique contenues dans cet exercice sont multiples

Plus en détail

Blessure : LA TRAHISON - Masque : de contrôlant Structure de caractère : Psychopathe

Blessure : LA TRAHISON - Masque : de contrôlant Structure de caractère : Psychopathe Po/Gi Blessure : LA TRAHISON - Masque : de contrôlant Structure de caractère : Psychopathe 1. Trahison Cesser d être fidèle à quelqu un ou à une cause ; livrer quelqu un. 2. Réveil de la blessure Entre

Plus en détail

QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?

QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question

Plus en détail

La rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document

La rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document La rue Grandir, qu est-ce que cela signifie vraiment? Un jeune qui a vécu isolé dans les rues de Paris témoigne. Cette fiche pédagogique propose de découvrir une réalité peu connue de la France d aujourd

Plus en détail

Comment parler avec l enfant de la maladie grave et de la mort?

Comment parler avec l enfant de la maladie grave et de la mort? Annette SANZ - Simon GESSIAUME Comment parler avec l enfant de la maladie grave et de la mort? Ce livret a été réalisé sous l égide de la Maison médicale Notre Dame du Lac - Fondation Diaconesses de Reuilly

Plus en détail

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage

Plus en détail

Les enjeux existentiels du dirigeant

Les enjeux existentiels du dirigeant La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et

Plus en détail

FICHE PÉDAGOGIQUE -Fiche d enseignant-

FICHE PÉDAGOGIQUE -Fiche d enseignant- FICHE PÉDAGOGIQUE -Fiche d enseignant- o Thème : o Objectifs pédagogiques : o Nievau : o Public : o Durée : o Matériel nécessaire : o Source : o Disposition de la classe : travail avec le livre Et si c

Plus en détail

«La capacité à être seul», WINNICOTT

«La capacité à être seul», WINNICOTT «La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,

Plus en détail

D où viennent nos émotions

D où viennent nos émotions D où viennent nos émotions Il y a des émotions qui sont vraiment désagréables : l anxiété, la culpabilité, la colère, les grosses rages qui nous réveillent la nuit, la dépression, la tristesse, la peur,

Plus en détail

Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes

Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

LE DOSSIER IMMO DU MOIS. sans stress! mum DEMENAGER... immo. ÉLe déménagement idéal É

LE DOSSIER IMMO DU MOIS. sans stress! mum DEMENAGER... immo. ÉLe déménagement idéal É ÉLe déménagement idéal É DEMENAGER... sans stress! LE DOSSIER IMMO DU MOIS Un déménagement, ça stresse énormément? Il est vrai que ce changement de repères peut chambouler notre petit monde et celui de

Plus en détail

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens.

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. 1,Un constat : Il existe de fortes inégalités entre les écoles quant à l accès à la

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

001_004_VIVRE.qxd 21/07/2008 15:35 Page 1 Vivre avec soi

001_004_VIVRE.qxd 21/07/2008 15:35 Page 1 Vivre avec soi Vivre avec soi Du même auteur aux Éditions J ai lu Papa, maman, écoutez-moi vraiment, J ai lu 7112 Apprivoiser la tendresse, J ai lu 7134 JACQUES SALOMÉ Vivre avec soi Chaque jour... la vie Les Éditions

Plus en détail

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque: GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales

Plus en détail

Prendre des risques : besoin? danger?

Prendre des risques : besoin? danger? LA LETTRE AUX PARENTS N o 6 Prendre des risques : besoin? danger? Cher-s parent-s, Nous avons sous les yeux tous les jours des images de jeunes qui prennent des risques : en faisant du sport, en surfant

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.

Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir

Plus en détail

Nous avons besoin de passeurs

Nous avons besoin de passeurs 1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05. GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix

Plus en détail

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui

Plus en détail

«Mettre en scène le meilleur de soi pour le bénéfice de tous»

«Mettre en scène le meilleur de soi pour le bénéfice de tous» Form En Scène Formation professionnelle en ressources humaines par le THEATRE Arlette GELABERT Comédienne, formatrice, animatrice «Mettre en scène le meilleur de soi pour le bénéfice de tous» Form En Scène

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

Les contes de la forêt derrière l école.

Les contes de la forêt derrière l école. Circonscription de Lamballe EPS cycle 1 Les contes de la forêt derrière l école. Une proposition de travail en EPS pour les enfants de petite et moyenne section, ayant comme thèmes Les déplacements, les

Plus en détail

1. Comportement envers l homme au standard/à la mesure

1. Comportement envers l homme au standard/à la mesure - 1 - - 2-1. Comportement envers l homme au standard/à la mesure Pendant que le chien soit mesuré/ jugé au standard son comportement est observé: Le chien réagit déjà d une manière craintive/ agressive

Plus en détail

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une

Plus en détail

Cancer: comment en parler aux enfants? Conseils et informations pour les parents et les enseignants

Cancer: comment en parler aux enfants? Conseils et informations pour les parents et les enseignants Cancer: comment en parler aux enfants? Conseils et informations pour les parents et les enseignants Pourquoi faut-il parler du cancer avec les enfants? Le cancer d un parent bouleverse la vie de tous les

Plus en détail

Auxiliaire avoir au présent + participe passé

Auxiliaire avoir au présent + participe passé LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé

Plus en détail

Sommaire DITES-MOI UN PEU

Sommaire DITES-MOI UN PEU 168 Sommaire L amour....................................page 5 Les superstitions...............................page 13 La gastronomie...............................page 23 L argent....................................page

Plus en détail

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous

Plus en détail

GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL

GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL TABLE DES MATIÈRES 1. Votre enfant a été victime d un acte criminel?... 3 2. Qu est-ce qu un acte criminel?... 4 A - Les crimes

Plus en détail

Là où vont nos pères1

Là où vont nos pères1 Là où vont nos pères1 Ces pages ne cherchent pas à servir de guide d interprétation pour cet album sans paroles. Chacun y cherchera et y trouvera des significations personnelles, des situations familières

Plus en détail

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse

Plus en détail

Le vol à l étalage 1

Le vol à l étalage 1 Le vol à l étalage 1 Le vol à l étalage, c est du vol tout court Définition ; Le vol consiste à prendre sans en avoir la permission quelque chose, si petit que soit-il, qui appartient à autrui, à un magasin

Plus en détail

PLAN D ÉTUDES DU PIANO

PLAN D ÉTUDES DU PIANO PLAN D ÉTUDES DU PIANO INTRODUCTION La formation permet aux élèves d acquérir progressivement une autonomie musicale et instrumentale liée au développement artistique de leur personnalité à travers la

Plus en détail

Les 100 plus belles façons. François Gagol

Les 100 plus belles façons. François Gagol Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite

Plus en détail

Comment l enfant pense à la mort

Comment l enfant pense à la mort Chapitre 1 Comment l enfant pense à la mort 1. Les situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort 2. Le concept de la mort chez l enfant 3. La mort dans le fonctionnement psychique

Plus en détail

CONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT?

CONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT? I QU EST EST-CE QUI NOUS ATTIRE VERS LES «ECRANS»? II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L ET DE L ADOLESCENT? III - QUELS SONT LES DANGERS POTENTIELS?

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous

Plus en détail

Le livre jeunesse dans tous ses états : de l abécédaire à la tablette. CRL Basse-Normandie 21 mai 2015

Le livre jeunesse dans tous ses états : de l abécédaire à la tablette. CRL Basse-Normandie 21 mai 2015 Le livre jeunesse dans tous ses états : de l abécédaire à la tablette CRL Basse-Normandie 21 mai 2015 1. Genèse du projet de valorisation La valorisation : un objectif inscrit dans les conventions signées

Plus en détail

Séance 1 : 1 ère séance concernant cet album.

Séance 1 : 1 ère séance concernant cet album. Séance 1 : 1 ère séance concernant cet album. Objectifs spécifiques : - Observation des illustrations de la 1 ère de couverture et mise en évidence de l inversion des valeurs (loup gentil et cochons méchants).

Plus en détail

«Séniors et adaptation du logement»

«Séniors et adaptation du logement» «Séniors et adaptation du logement» APPROCHE QUALITATIVE & BENCH MARK Etude réalisée en dpt 37 et 71 SYNTHESE DE L ETUDE POUR LA PRESSE MARS 2015 15 rue de Bellefond, 75009 Paris // www.adjuvance.fr //

Plus en détail

L enfant et l adolescent face au cancer d un parent. Guide pour la famille et les intervenants

L enfant et l adolescent face au cancer d un parent. Guide pour la famille et les intervenants L enfant et l adolescent face au cancer d un parent Guide pour la famille et les intervenants Équipe de soutien psychosocial Cancer J écoute Société canadienne du cancer Division du Québec, 2013 MERCI!

Plus en détail

Pour le parent à la recherche de son enfant enlevé par l autre parent

Pour le parent à la recherche de son enfant enlevé par l autre parent enfant enlevé par l autre parent En cas d urgence, COMPOSEZ LE 911. Premières étapes à faire immédiatement Cette liste de contrôle vous aidera à rassembler toute l information utile aux corps policiers.

Plus en détail

les ateliers TOUT-PETITS NOM Petits gestes autour d un thème. DESCRIPTION Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique.

les ateliers TOUT-PETITS NOM Petits gestes autour d un thème. DESCRIPTION Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique. TOUT-PETITS Petits gestes autour d un thème. Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique. Il est intéressant que le thème utilisé soit en relation avec la vie de l enfant : thème travaillé

Plus en détail

Prochaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète :

Prochaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète : Bulletin d inscription Séminaire A renvoyer à Manuel SPERLING 33, rue des Tulipiers 93110 ROSNY ou à scanner à bougerlavie@gmail.com Séminaire 2015 choisi : Participation au séminaire : Module 3 et 4 =

Plus en détail

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Dans la prise en charge d adolescents en grande difficulté, de nombreuses personnes sont mobilisées autour

Plus en détail

Si j étais né ailleurs, seraisje différent?

Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Compétence ou problématique abordée : Identifier ce qui m a conditionné, ce qui m a construit : - au plan éducatif - au plan social - au plan culturel Concepts

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Le trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?

Le trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction? Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle

Plus en détail

École : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle :

École : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : École : Maternelle Livret de suivi de l élève Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : Livret de suivi de l élève à l école maternelle Chaque compétence est évaluée selon

Plus en détail

LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT

LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT EPS / DANSE ART / DANSE Elèves du lycée Bréquigny à Rennes, Avril 2014 1 Les deux options facultatives danse au BAC Ce livret a été

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

Développement personnel

Développement personnel Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

La douleur est une mauvaise habitude.

La douleur est une mauvaise habitude. La douleur est une mauvaise habitude. Vous pourriez avoir envie de dire : "non, c'est impossible! Je ne peux pas me faire du mal à moi-même!" et vous auriez en partie raison. Comme exemple de douleurs

Plus en détail

L enfant du toit du monde

L enfant du toit du monde Je découvre l album. 1) Observe bien la couverture de l album et réponds aux questions. Le!itre du"i#e$st L auteur% appelle L illustrateur$st L éditeur$st 2) Réponds par #ai ou faux. Le héros de l histoire

Plus en détail

Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême

Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan Album de baptême L'album de mon baptême Cet album est celui de:... Né(e) le:... à:... 1 Quoi de neuf? Il est tout petit, mais... il a déjà sa personnalité,

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Manque de reconnaissance. Manque de contrôle

Manque de reconnaissance. Manque de contrôle CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons

Plus en détail

SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT. JFR 2008 Hôpital Robert Debré - Imagerie Pédiatrique

SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT. JFR 2008 Hôpital Robert Debré - Imagerie Pédiatrique SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT NOS PATIENTS Futures mamans : Pelvimétries au terme > 35 SA supportent mal le décubitus dorsal inquiètes Enfants : Nouveaux-

Plus en détail

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que

Plus en détail

Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?

Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr

Plus en détail

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE EN QUELQUES CHIFFRES * 35 délégations régionales 218 collaborateurs dédiés, dont 154 sur le terrain 12 500 membres d associations bénévoles

Plus en détail

LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort

LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu

Plus en détail

Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo

Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo Résumé du livre Marjo a toujours rêvé d avoir une grande maison avec des animaux. Après avoir épousé Daniel, elle réalise son rêve et devient fermière.

Plus en détail

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs Guide du formateur Atelier 1 Objectifs Obtenir un premier contact avec le groupe; présenter la formation Jeune Leader; transmettre des connaissances de base en leadership; définir le modèle de leader du

Plus en détail

À l école pour développer des compétences

À l école pour développer des compétences _x áxüä vx wxá ÜxááÉâÜvxá wâvtà äxá tâå }xâçxá 2007-2008 2008 À l école pour développer des compétences -au préscolaire- - 1 - - 2 - Mot de présentation Votre enfant entre à la maternelle cette année.

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française

Plus en détail

Organisation des enseignements au semestre 7

Organisation des enseignements au semestre 7 Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références

Plus en détail

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Synthèse Mon projet d emploi

Synthèse Mon projet d emploi Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences

Plus en détail

LES BASES DU COACHING SPORTIF

LES BASES DU COACHING SPORTIF LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE

Plus en détail