Prévisions 2014 à 2016 des effectifs d élèves des 1 er et 2 nd degrés en Champagne-Ardenne

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1 Note d information n 21 Décembre 2013 Prévisions 2014 à 2016 des effectifs d élèves des 1 er et 2 nd degrés en Champagne-Ardenne EN BREF En Champagne-Ardenne, le nombre d élèves scolarisés dans les écoles du 1 er degré public et privé, devrait se stabiliser à la rentrée 2014 puis baisser de 518 en 2015 et 921 en 2016 selon les taux de scolarisation actuels. L évolution des naissances en Champagne-Ardenne entre 2003 et 2006 explique principalement ces tendances. Les taux de scolarisation des enfants de deux ans seraient en hausse en 2014 puis se stabiliseraient. Les effectifs du second degré sont également sensibles aux évolutions démographiques mais dépendent plus fortement de la politique éducative. En Champagne-Ardenne, le nombre d inscrits dans le second degré public et privé sous contrat (hors EREA, FCIL et MLDS) baisserait globalement de 378 en 2014, puis de 216 en 2015, mais augmenterait de 118 élèves en La baisse du nombre d élèves scolarisés dans le second degré champardennais prévue à la rentrée 2014 concernerait surtout le niveau collège (-674 élèves) et, dans une moindre mesure, les classes de terminales générales et technologiques (-106 élèves), les premières professionnelles (-97 élèves) et les classes de Segpa (-73 élèves). Stables en 2013, les effectifs des lycées professionnels augmenteraient légèrement aux rentrées 2015 et 2016 respectivement de 84 et 67 élèves. Ceux des post baccalauréats augmenteraient de 190 élèves en 2014 puis de 74 élèves en rectorat de l académie de Reims 1 rue Navier Reims cedex contacter le service prospective et statistiques : sps@ac-reims.fr

2 Comme au niveau national, les prévisions des effectifs d élèves dans les 1 er et 2 nd degrés de Champagne-Ardenne reposent sur des hypothèses de taux de scolarisation pour les écoliers d âge préélémentaire, des taux de passage, de redoublement et de sortie pour l ensemble des autres élèves. Ces hypothèses se fondent sur l observation des évolutions récentes et des conséquences attendues des décisions ministérielles en termes de politique éducative. Premier degré : hausse de la scolarisation des enfants de deux ans De 2007 à 2012, la baisse du taux de scolarisation des enfants de deux ans (-9,7 points dans le secteur public) a freiné en Champagne-Ardenne la progression des effectifs préélémentaires. En 2013, le taux de scolarisation à 2 ans repart à la hausse et s établit dans l académie à 13,2% contre 11,8% au niveau national. En 2014, Champardennais de 2 ans pourraient être scolarisés dans une école publique ou privée, soit 15,1% de la classe d âge et une répartition entre secteurs d enseignement de 13,8% pour le public et 1,3% pour le privé. Conjugué aux évolutions démographiques de la région, le maintien des taux de scolarisation des enfants de 2 ans au niveau de ceux de 2013 aurait conduit à une baisse globale de 43 élèves à la rentrée 2014 dont 39 pour le seul secteur public. L'un des objectifs de la loi pour la «Refondation de l'école» vise à favoriser l accueil des enfants de deux ans dans les écoles. La prise en compte progressive de cet objectif incite l académie à faciliter la scolarisation des enfants de deux ans au cours des trois prochaines rentrées. Les effectifs des enfants de deux ans pourraient augmenter de 46 élèves dès Fig 1 : Évolution du nombre d élèves de deux ans. mais baisse globale des effectifs en préélémentaire Les enfants scolarisés en classes préélémentaires aux rentrées 2014 et 2015 sont nés entre 2009 et Durant cette période, le nom-bre de naissances a diminué dans la région, la baisse atteignant un record en 2011 avec 281 naissances de moins qu en De ce fait, comme aux rentrées 2011 et 2012, le nombre d enfants de 2 à 5 ans scolarisés en préélémentaire devrait reculer lors des prochaines rentrées. La diminution envisagée est de 566 élèves en 2014, 614 en 2015 et 583 en 2016 : le secteur public perdrait 526, 687 et 533 élèves au cours des trois prochaines rentrées pendant que les effectifs du privé reculeraient de 40, 47 et 50 élèves sur la même période. Fig 2 : Évolution des effectifs des classes préélémentaires et une hausse des effectifs en élémentaire En Champagne-Ardenne, la génération plus nombreuse d enfants nés entre 2005 et 2006 devrait au cours des trois prochaines rentrées scolaires remplacer dans le 1 er degré les générations moins nombreuses de 2002 et Compte tenu de la corrélation entre les évolutions démographiques et le nombre d élèves scolarisables, les effectifs des classes élémentaires en Champagne-Ardenne devraient augmenter de 551 élèves en 2014 puis de 81 en 2015 avant de baisser de 354 en En proportion, ces évolutions correspondraient à une hausse de 0,7% et 0,1% en 2014 et 2015 suivie d une baisse de 0,4% en Elles se traduiraient par une hausse de 501 et 68 élèves en 2014 et 2015 dans le public, de 50 puis 13 élèves dans le privé Fig 3 : Évolution des effectifs élémentaires. En 2014, le nombre d élèves scolarisés dans le 1 er degré spécialisé devrait augmenter de 15 unités pour s établir à élèves et une hausse de 1,3 point en un an. Cette augmentation devrait se poursuivre en 2015 et 2016 à hauteur de 15 (+1,3%) et 16 (+1,4%) élèves supplémentaires. Stabilité de la part du secteur public La répartition entre secteurs d enseignement évolue peu depuis La part du secteur public devrait rester stable, à hauteur de 91,2% en 2014 et La politique en faveur de la scolarisation des enfants de deux ans, plus marquée en zones d éducation prioritaire, devrait faire augmenter la part du secteur public car les écoles de Champagne-Ardenne inscrites en éducation prioritaire relèvent exclusivement de ce secteur. En termes de scolarisation des enfants de 2 ans, la part du secteur public devrait ainsi passer de 91,0% en 2013 à 91,3% dès Hausse des effectifs dans l Aube et la Marne Plus d un tiers des élèves du 1 er degré public et privé de l académie est scolarisé dans la Marne. Les effectifs d élèves devraient progresser dans l Aube et la Marne mais baisser dans les Ardennes et en Haute-Marne à la rentrée La Marne enregistrerait une hausse de 423 élèves, l Aube une évolution de +156 élèves contre un recul de 377 unités dans les Ardennes et de 202 en Haute-Marne. La tendance baisière des effectifs devrait se poursuivre en 2015 en Champagne-Ardenne à l exception de l Aube dont les effectifs gagneraient 47 unités. Pour des raisons démographiques et d attractivité, les Ardennes devraient perdre 235 élèves, la Haute-Marne 272 élèves et la Marne 58 élèves. Second degré : baisse globale des effectifs en 2014 et 2015 puis stabilité en 2016 Conséquence de la réforme des lycées (fermeture des BEP, rénovation de la voie professionnelle, etc..), des stratégies éducatives de l académie et des évolutions démographiques en Champagne-Ardenne, les effectifs du 2 nd degré hors EREA devraient baisser de 378 élèves en 2014 puis de 216 en 2015 pour >> note d information n 21 Décembre

3 s établir à puis élèves. Ils augmenteraient de 118 élèves en La baisse des effectifs d élèves envisagée pour 2014 et 2015 sera identique pour les deux secteurs d enseignement : -0,3% pour chacun d eux en 2014, puis -0,2% pour le public et -0,3% pour le privé sous contrat en Fig 4 : Évolution des effectifs du 2 nd degré hors EREA Diminution des effectifs d élèves des collèges entre 2014 et 2015 En Champagne-Ardenne, les évolutions d effectifs seraient variables d un niveau de formation à l autre, et d un secteur d enseignement à l autre. Ainsi, dans le 1 er cycle, les enfants nés en 2003 et 2004, donc en âge d entrer au collège en 2014 et 2015, étant moins nombreux que ceux des générations 1999 et 2000 qui le quittent, les effectifs devraient baisser de 674 élèves en 2014 et de 814 en 2015 pour s établir successivement à (-1,0%) et (-1,3%) élèves. En 2016, ils devraient se stabiliser (-0,2%). Cette évolution s explique non seulement par le déclin démographique régional mais aussi par la diminution du redoublement mise en place dans le cadre d une politique visant à fluidifier les parcours scolaires. Comme un an plus tôt, le secteur privé perdra plus d élèves en proportion que le secteur public : -2,1% contre -0,8% en 2014 et, -2,2% contre -1,0% en Reflet direct des mouvements démographiques, la baisse des effectifs serait plus accentuée en 6 ème (-3,2%) et 4 ème (-2,4%) pour la rentrée 2014 et, logiquement en classes de 5 ème (-3,2%) et 3 ème (-2,2%) pour la rentrée À l inverse, les effectifs des classes de 3 ème devraient progresser en 2014 de 2,6% et, de 1,3% pour les classes de 6 ème en Les effectifs des sections d enseignement adaptées (Segpa), devraient continuer de baisser lors des trois prochaines années scolaires : -73 élèves en 2014 soit un recul de 3,4%, -24 élèves en 2015 soit -1,2% et -57 en 2016 pour -2,8%. Ils s établiraient successivement à élèves puis et élèves Fig 5 : Évolution des effectifs du 1 er cycle hors EREA. Stabilisation puis hausse des effectifs de la voie professionnelle La réforme de la voie professionnelle a beaucoup impacté l évolution des effectifs des lycées d enseignement professionnel jusqu en Elle est désormais arrivée à terme. En 2014, les élèves scolarisés en terminale professionnelle constitueront les premiers contingents d élèves du bac professionnel en trois ans non rejoints par ceux issus d un BEP. Cela se traduira par la stabilisation des effectifs d élèves scolarisés dans cette voie en 2014 suivie d une hausse de 84 et 67 unités en 2015 et Les effectifs se situeraient alors à lycéens en 2014, puis successivement à et Fig. 6 : Évolution des effectifs du 2 nd cycle professionnel Les évolutions prévues pour cette filière recouvre des disparités entre secteurs d enseignement et niveaux de formation. Contrairement à 2013 marquée par un gain de 92 élèves dans le public, ce dernier perdrait 56 lycéens en 2014 puis 2 en Les effectifs du privé augmenteraient de 42 unités puis 86 unités sur la même période. En 2014, les inscriptions en 1 ère année de CAP et en 2 nde pro devraient, tous secteurs confondus, augmenter respectivement de 25 et 70 lycéens, soit une hausse de 1,8% et 1,7% en un an. À la même date, tous les autres niveaux de la voie professionnelle verraient leurs effectifs baisser : -2,5% et -0,2% pour les 1 ères et terminales professionnelles, -1,1% pour les 2 èmes années de CAP. Les mouvements de 2015 seraient marqués par un gain d effectifs pour les 2 èmes années de CAP, les 2 ndes pro et les 1 ères pro. Ils s établiront respectivement à 1 194, et lycéens, soit un gain de 20 (+1,7%), 106 (+2,5%) et 58 (+1,5%) lycéens en un an. À la même date,les classes de terminales pro en 3 ans et celles des 1 ères années de CAP perdront respectivement 87 (-2,3%) et 11 (-0,8%) lycéens pour s établir à et lycéens. Hausse des effectifs des voies générale et technologique La tendance baissière des effectifs de l enseignement général et technologique champardennais observée en 2013 (-83 élèves) devrait s inverser au cours des trois prochaines années : +120 élèves en 2014, +440 en 2015 et +240 élèves en Cette hausse correspond principalement aux évolutions démographiques régionales et aux conséquences de la fluidification des parcours scolaires dans cette voie. La hausse des effectifs devrait profiter aux deux secteurs d enseignement (respectivement +6, +345 et +214 élèves aux rentrées 2014, 2015 et 2016 pour le secteur public, et +114, +95 et +26 élèves pour le secteur privé) et à la majorité des niveaux de formation de ce cycle. En effet, les inscriptions en 2 nde générale et technologique devraient augmenter, tous secteurs confondus, de 2,4% en 2014 puis de 2,7% en 2015, soit 233 et 262 élèves de plus. Les effectifs de 1 ère générale devraient progresser successivement de 3 et 147 unités ; en terminale, ils croîtraient de 13 élèves en 2014 puis de 2 élèves en À l inverse de la voie générale, les effectifs de la voie technologique devraient baisser à la rentrée 2014 de 10 unités en 1 ère et de 119 en terminale puis se stabiliseraient à compter de Fig. 7 : Évolution des effectifs du 2 nd cycle général et technologique >> note d information n 21 Décembre

4 Hausse des effectifs post baccalauréats Aux rentrées scolaires de 2014 et 2015, et élèves seraient scolarisés en classes post bac des lycées publics et privés de l académie, soit une hausse de 190 (+3,1%) élèves pour 2014 et 74 (+1,2%) élèves pour Ces hausses font suite à celle de 2013 qui s établissait à 2,6%. Elles seraient principalement liées à une évolution favorable de la poursuite d études des élèves des terminales des voies pro et générales très nombreux aux rentrées scolaires 2013 et Dans le secteur public, les effectifs des classes de CPGE et de BTS devraient augmenter respectivement de 46 (+3,8%) et 115 (+2,8%) élèves en 2014 puis de 14 (+1,1%) et 43 (+1,0%) élèves en De même, le secteur privé profiterait de cette tendance haussière : les effectifs de BTS augmenteraient de 25 (+3,9%) et 15 (+2,3%) unités en 2014 et Fig. 8 : Évolution des effectifs post baccalauréat. Stabilité des effectifs du 2 nd degré dans le privé Depuis 7 ans, le secteur privé sous contrat représente dans l académie 17,2% des effectifs du 2 nd degré (hors EREA et insertion) contre près de 21% au niveau national. Les services académiques estiment que la part du secteur privé devrait rester stable au cours des trois prochaines années. Bien que stable au niveau global et en post-bac, la part du privé pourrait néanmoins augmenter un peu dans les formations du 2 nd cycle professionnelle (+0,3% en 2014 et +0,5% en 2015) et du 2 nd cycle général et techno (+0,3% en 2014 et +0,1% en 2015). Dossier réalisé par : Victor NZOBOUNSANA Service Prosp.et Stat., Ingénieur de recherche Éric VAILLANT Service prosp.et stat., responsable du service Prévisions des effectifs d élèves du 2 nd degré (hors EREA, FCIL et MLDS) en Champagne-Ardenne (public privé). Formations Constat Constat Variation en Prév Variation en Prév Variation en Prév Variation en effectifs % 2014 effectifs % 2015 effectifs % 2016 effectifs % 6EME ,8% ,2% ,3% ,4% 5EME ,5% ,7% ,2% ,2% 4EME ,6% ,4% ,8% ,2% 3EME (yc INS, DP6h) ,5% ,6% ,2% ,9% Total sixième à troisième ,4% ,0% ,2% ,1% DIMA ,0% Total pré-professionnel ,0% ULIS ,0% ,0% ,6% ,4% S/Total 1er cycle hors ,5% ,9% ,3% ,1% SEGPA 6E SEGPA ,6% ,0% ,2% ,3% 5E SEGPA ,5% ,3% ,4% 4E SEGPA ,8% ,2% 9,8% ,1% ,6% 3E SEGPA ,1% ,5% ,3% ,8% Total SEGPA ,7% ,4% ,2% ,8% Total premier cycle ,4% ,0% ,3% ,2% CAP 1 AN ,8% ,0% ,5% ,8% 1CAP ,8% ,8% ,8% ,6% 2CAP ,4% ,1% ,7% ,4% Total CAP en 2 ans ,1% ,5% ,3% ,1% Total CAP ,8% ,5% ,3% ,2% 1BMA2 (yc 1BPRO2) ,1% ,0% ,0% ,0% 2BMA2 (yc 2BPRO2) ,0% ,9% ,0% ,0% Total BMA en 2 ans ,6% ,7% ,0% ,0% 2NDE PRO (1BPRO3) ,2% ,7% ,5% ,7% 1ERE PRO (2BPRO3) ,5% ,5% ,5% ,4% TBACPRO3 (3BPRO3) ,4% ,2% ,3% ,2% Total Bac pro / BMA en ,9% ,3% ,6% ,5% ans Total Bac pro / BMA ,9% ,3% ,6% ,5% MC ,4% ,2% ,0% ,0% Total second cycle pro ,0% ,1% ,6% ,5% 2NDE G&T-BT ,1% ,4% ,7% ,8% 1E GENERALE ,1% ,0% ,3% ,7% 1E TECH/ADAPT/BT ,1% ,4% ,1% ,6% Total 1ères géné/techno/bt ,4% ,1% ,3% ,7% TERM GENERALE ,4% ,2% ,0% ,2% TERM TECHNO/BT ,4% ,6% ,8% ,8% Total term géné/techno/bt ,5% ,2% ,2% ,1% Total second cycle GT ,3% ,4% ,6% ,9% Total second degré ,5% ,5% ,3% ,2% 1CPGE ,6% ,8% ,8% ,3% 2CPGE ,3% ,8% ,0% ,2% Total CPGE ,4% ,8% ,1% ,1% CLASSE m.à.n. BTS ,0% ,5% ,4% ,0% 1BTS ,3% ,5% ,8% ,3% 2BTS ,7% ,1% ,9% ,2% 3BTS3 / 3DTS ,1% ,0% ,2% ,0% Total BTS ,0% ,0% ,2% ,2% DCG ,4% ,9% ,4% ,1% TOTAL POST BAC ,6% ,1% ,2% ,9% Ensemble ,6% ,3% ,2% ,1% >> note d information n 21 Décembre

5 METHODE DE PREVISION POUR LE PREMIER DEGRE Préélémentaire Les taux de scolarisation par âge (a: âge atteint dans l année), public et privé, sont calculés comme suit : Ya,n= Ea,n / Pa,n où Ya,n est le taux de scolarisation des enfants d âge «a» à la rentrée «n», Ea,n le nombre d élèves d âge «a» à la rentrée «n», observé à partir du constat de rentrée (public + privé), et Pa,n la population d âge «a» l année «n», estimée conjointement par la DEPP et l Insee. Les taux observés à chaque âge sont ensuite projetés pour les années n+1 (2014) et n+2 (2015). Les effectifs par âge «a» de l année n+1 (2014), notés Êa,n+1, sont ensuite estimés par le produit : Êa,n+1 = Y a,n+1*pa,n+1. Le même calcul est effectué pour l année n+2 (2015). Dans l académie, les taux de scolarisation des trois à cinq ans sont proches et supérieurs à 89,9% dans le public et entre 7,5% et 7,9% dans le privé, la scolarisation des enfants n étant obligatoire qu à partir de six ans. Le taux de scolarisation à deux ans, qui évolue assez sensiblement ces dernières années, s établit à 13,75 % dans le public et 1,3% dans le privé à la rentrée Les éléments démographiques utilisés pour cet exercice correspondent à une estimation qui s appuie sur le bilan démographique 2012 de l Insee, le nombre d enfants des générations 2006 à 2012 étant révisé par la DEPP à partir des données de l état civil et des bilans démographiques 2010 et Le nombre d enfants par âge des années 2013 et 2014, évalué au 31 décembre, est estimé en faisant l hypothèse que les taux de mortalité par âge et les soldes migratoires restent constants. Les hypothèses retenues dans l académie pour l évolution des taux de scolarisation dans le public sont : une hausse de 0,57 point du taux de scolarisation à deux ans en 2014 puis de 0,0% en 2014 et 2015, d une part, et une stabilisation des taux de scolarisation des enfants autour de 91% pour les trois ans, 92% pour les quatre ans et 90% pour les cinq ans, d autre part. Elémentaire Les taux de passage apparents par niveau, public et privé, sont calculés comme suit : Gs,n= Es,n/Es-1,n-1 où Gs,n est le taux de passage apparent des élèves de niveau «s» à la rentrée «n», et Es,n le nombre d élèves au niveau «s» à la rentrée «n», observé à partir du constat de rentrée (public + privé). Ces taux comprennent à la fois les passages dans le niveau supérieur, les redoublements dans le niveau étudié ou inférieur, ainsi que les effets migratoires. Pour le CP, le niveau inférieur est assimilé aux enfants de cinq ans et plus scolarisés dans le préélémentaire. Les taux observés à chaque niveau sont projetés pour les années n+1 (2014) et n+2 (2015). Les effectifs par niveau «s» de l année n+1 (2014), notés Gs,n+1, sont ensuite estimés par le produit : Ês,n+1 = Gs,n+1*Es1,n. Le même calcul est effectué pour l année n+2 (2015). Les taux de passage apparents sont assez variables suivant les niveaux d études et les secteurs d enseignement : de 98,8% en CE1, 96,48% en CE2, 98,52 en CM1 à 99,57% en CM2 à la rentrée 2014 dans le secteur public et, de 104,08% en CE1 à 100,63% en CM2 à la rentrée 2014 dans le privé. Les hypothèses retenues pour l évolution de ces taux dans le public sont : une baisse des taux de redoublement compensée par une hausse du taux de passage en CE2 (+0,02 point en 2014 et -0,03 point en 2015) et une stabilité des mouvements entre les classes de CE1 et CM2 en Ces derniers seront en hausse de 0,10 point en CE1, 0,03 point en CE2, 0,15 point en CM1 et de -0,01 en CM2 pour la rentrée 2014 dans le privé. HYPOTHÈSES RETENUES POUR LES PRÉVISIONS DANS LE SECOND DEGRÉ PUBLIC Les principales hypothèses sur l orientation des élèves dans le second degré prennent en compte l observation des comportements scolaires des dernières années ainsi que les objectifs de politique éducative, en cohérence avec les cibles retenues pour les programmes annuels de performance. Les réformes pédagogiques dans les lycées (voie professionnelle et voie générale et technologique) étant quasi achevées à la rentrée 2012, le dernier constat de rentrée a eu pour cadre un environnement stabilisé. Aussi, les prévisions des rentrées 2014, 2015 et 2016 ont pu s appuyer sur la tendance des taux de passage, de redoublement et de sortie observée aux deux derniers constats pour les parcours principaux. Les passages secondaires ont été prolongés soit à taux constants, soit à taux amortis selon le niveau d études et le type de formation. Les hypothèses, basées sur les élèves des établissements du secteur public de l académie de Reims, sont présentées ensuite pour chaque cycle d enseignement, les hypothèses dans le secteur privé sous contrat se fondant sur la reconduction des tendances de Le premier cycle public À la rentrée 2014, l entrée au collège devrait concerner plus de 85% des élèves de CM2. Dans le prolongement de la légère augmentation observée à la rentrée 2013, ce taux s établirait à 87,3 % en 2014 et 2015 dans le secteur public. La fluidité des parcours à l intérieur du collège reste une mesure phare de la politique éducative de l académie. Les taux de redoublement ont d ailleurs diminué régulièrement depuis 2008 quel que soit le niveau d études. En revanche, les marges de progression semblent réduites. Les objectifs retenus l an dernier dans un exercice assez volontariste n ont pas été atteints. Aussi, l exercice actuel retient des évolutions en accord avec la tendance amortie sur deux ans pour la majorité des niveaux de formation du premier cycle. Au niveau des taux de redoublements, ces derniers ont été maintenus constants pour les trois prochaines années à l exception des classes de 4 ème et 3 ème où les taux reculent de 1 point entre 2013 et Par ailleurs, pour 2014, les taux de sorties de toutes les formations du 1er cycle sont en recul d un point par rapport à leur niveau de En 2015, ce taux serait comparable à celui de 2013 excepté les classes de 4 ème et 3 ème qui conserveraient leur taux de >> note d information n 21 Décembre

6 En fin de troisième, les prévisions confirment la stabilité de l entrée en seconde professionnelle observée à la rentrée 2013, par des passages de l ordre de 21,8%. La réforme de la voie professionnelle terminée, les capacités d accueil ne devraient plus beaucoup évoluer. En revanche, la baisse du redoublement de cette classe continuerait de favoriser les passages en seconde générale et technologique (baisse du taux de redoublement en 2014 à 2,6% contre 2,7% en 2013, puis maintien de ce taux en 2015 et 2016 ; hausse du taux de passage 3 ème 2 nde GT de 0,2 point entre 2013 et 2014). En fin de collège, les baisses au cours des prochaines rentrées scolaires du taux de sortie des formations du MEN trouve sa justification par l importance d une part de l offre de formation dans les lycées d enseignement professionnel champardennais et, d autre part par la voie de l apprentissage très développée dans la région. Enfin, compte tenu de leur évolution peu linéaire, les parcours en classes de Segpa sont prolongés en utilisant des taux amorties pour les trois prochaines rentrées et ceux quel que soit le niveau de formation. Le second cycle professionnel public La réforme de la voie pro est achevée et a été déclinée sur toutes les années de formation du bac pro. Les élèves ont pu bénéficier des dispositifs d accompagnement personnalisé visant à éviter les décrochages ou être réorientés en empruntant les passerelles à l intérieur de la voie pro. Aussi les évolutions, par rapport au dernier constat, semblent limitées. Globalement, les hypothèses retenues pour les prévisions d effectifs de la voie pro conjuguent une stratégie de fluidification des parcours par une diminution des redoublements et une volonté de réorientation positive par une augmentation des transferts vers la voie générale et techno. Par ailleurs, en fin de second cycle pro, l ambition est d orienter davantage vers le BTS quitte à redoubler et consolider les bases pour favoriser cette voie en deux ans. Plus précisément, les niveaux de sorties des élèves de 2 ème année des CAP, de 2 nde, 1 ère et terminale pro pour les trois prochaines rentrées scolaires ont été baissés par rapport à ceux de En 2014, Ils se situent à : 23,7% en fin de 1 ère année de CAP (-0,1 point), 14,4% en 2 nde pro (-0,1 point) et 10,3% en 1 ère pro (-0,2 point) et 68,5% en terminale pro (-0,2 point). Ces moindres sorties viendraient grossir les passages dans la classe supérieure. Compte tenu de la nature du public à accueillir, le redoublement en classe de terminale a été légèrement relevé pour la rentrée 2014 (7,7% contre 7,6% en 2013). La même année, en raison de la disparition des BEP, les passerelles à l intérieur de la voie professionnelle d élèves venant de CAP devraient se stabiliser, favorisant néanmoins les réorientations des élèves vers une 2 nde et une 1 ère pro de préférence. L orientation vers le CAP en deux ans des élèves plus fragiles (des 3 ème Segpa, Dima, etc.) sera en légère baisse (63,3% en 2014 contre 63,7% en 2013) mais, augmentera en 2015 (63,8%) pour baisser ensuite en 2016 (63,0%). Le second cycle général et technologique public La rénovation de la voie générale et technologique, qui a débuté à la rentrée 2010 en classe de 2 nde générale et techno, a atteint la classe de terminale à la rentrée 2012 pour la plupart des séries (sauf les séries STMG et ST2S rénovées, décalées d un an). Les mesures d accompagnement doivent avoir fait leurs preuves sur les trois années du lycée. Comme pour la voie pro, l ambition de l académie tient en la fluidification des parcours en diminuant quelque peu le redoublement et en envisageant une augmentation des passages vers el niveau supérieur. En particulier, les services envisagent une amélioration du passage de terminale générale en CPGE de même qu une progression des passages de terminale techno vers les STS. Ceci étant, la plupart des tendances constatées en 2013 sont prolongées aux années de prévisions, en atténuant légèrement leurs effets. La baisse des redoublements observée en 2 nde générale et techno public à la rentrée 2013 devrait se poursuivre sur les prochaines rentrées pour atteindre 6,7 % en 2014, 2015 et Les passages de la 2 nde vers la voie générale et techno seront en hausse de 0,1 point en La réorientation des élèves de 2 nde devrait reculer de 0,1 point vers la 2 nde pro mais augmenter de 0,1 point vers la 1 ère pro. Cette fluidité des parcours serait également étendue à la classe de 1 ère générale et techno avec un recul de 0,1 point du taux de redoublement et, une hausse du taux de passage vers la terminale de 0,1 point. En terminale générale, les conditions de passation du bac n ayant pas été profondément remaniées, les taux observés à la rentrée 2013 seraient reconduit à la rentrée Source et champ Constats et prévisions d effectifs d élèves des 1 er et 2 nd degrés réalisés en octobre 2013 par le service statistique du rectorat de Reims. Pour en savoir plus «Prévisions nationales d effectifs d élèves des 1 er et 2 nd degrés pour les rentrées 2013 et 2014», DEPP, Note d Information n 13.06, avril «Prévisions 2013 à 2015 des effectifs d élèves des 1 er et 2 nd degrés en Champagne-Ardenne», Rectorat de Reims, Note d Information n 10, juin 2013 >> note d information n 21 Décembre

Les diplômes. Session 2012

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