ALCOOTEST EN ENTREPRISE : QUELQUES RÉPONSES
|
|
- Tristan Desjardins
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ALCOOTEST EN ENTREPRISE : QUELQUES RÉPONSES Récemment, plusieurs infirmiers de santé au travail nous ont interpellés quant à leur rôle, et leur devoir en matière d alcootest en entreprise. Voici deux situations rencontrées : 1. L employeur X a demandé dans une procédure de prise en charge d un salarié à comportement anormal (procédure à l état de projet), que l infirmière de santé au travail fasse passer un alcootest audit salarié et qu elle *communique le résultat à la hiérarchie directe.* 2. L employeur Y a fait inscrire sur le règlement intérieur de l entreprise que l infirmière devait *servir de témoin au moment de l alcootest* effectué par la hiérarchie du salarié concerné. Avez-vous été vous-même confrontés à ce type de situation? Quelle a été votre réponse? vos arguments? Vers qui avez-vous cherché des réponses? 87 infirmiers et infirmières de santé au travail ont répondu à cet «appel à témoins». Voici la synthèse de leurs témoignages. 70 % des IDE ont déjà été confrontés à un salarié sous l'emprise de l'alcool. 23 % n'y ont jamais été confrontés 7 % ne se sont pas prononcés Actions mises en oeuvre par les IDE confrontés à l'alcoolisation d'un salarié Dans 14 % des cas, l'employeur a demandé à l'ide de contrôler le salarié. Elles ont toutes refusé. De même, elles ont refusé de se placer en témoin du contrôle. L'information délivrée à l'employeur était désignée sous le nom de «malaise nécessitant une prise en charge extérieure» «Nous sommes des soignants, pas des flics!» Anne-Marie Dans 18 % des cas, le salarié a d'abord été dirigé vers le service de santé au travail. 3% y ont été gardés en salle de repos avant d'être raccompagnés à leur domicile. 5 % ont fait l'objet d'une inaptitude temporaire au poste de travail. Dans 23 % des cas, le salarié a été raccompagné en sécurité, soit vers le médecin traitant, soit vers une consultation spécialisée, ou encore directement en cure (2 cas).
2 «Aider et orienter vers des centres de consultations est notre métier» Nathalie Dans 10 % des cas, le SAMU a été consulté pour le bilan( diagnostic différentiel), ainsi que pour l'orientation du salarié. Pour 7 % des IDE qui ont répondu, l'éthylotest est utilisé par le médecin du travail et l'ide pour le suivi dans le cadre d'un contrat d'aide avec le salarié en difficulté avec l'alcool. «Nous nous sommes toujours donné les moyens de rester dans le préventif et non dans la répression, de façon à ne pas casser la relation avec le salarié.» Françoise Quels arguments ont utilisés les IDE pour ne pas effectuer un alcootest sur la demande de l'employeur? 100 % des IDE confrontés à cette situation ont mis en avant le secret professionnel. Le trahir est une faute professionnelle grave passible de sanctions pénales. «L'alcootest dans les mains d'un soignant est un moyen diagnostic, donc soumis au secret» Thierry 50 % ont mis en avant la perte de crédibilité et de confiance qu'elles avaient auprès du salarié. 20 % ont opposé les règles d'éthique, de déontologie, le rôle propre et sur prescriptions de l'ide. «L'IDE n'est pas une hiérarchique mais une soignante, l'alcootest est de la responsabilité de l'employeur» Angélique Auprès de qui les IDE ont-elles trouvé de l'aide? La totalité des IDE confrontés à cette situation se sont tournés vers le médecin du travail, interlocuteur privilégié. Dans quelques cas, c'est le médecin inspecteur ou l'inspecteur du travail qui a été sollicité. D'autres ont fait appel à l'anpaa, à la CRAM, voire à un spécialiste du droit du travail. Certaines entreprises ont déjà mis en place des procédures de prise en charge A la SNCF, il existe une procédure depuis longtemps déjà : le salarié est rarement pris en charge par le SST, mais orienté vers l'extérieur par sa hiérarchie. L'alcootest n'est pas pratiqué par les IDE. A EDF, notamment dans le nucléaire, le règlement intérieur des centrales est très clair : 0 alcool sur le site. De plus, salariés et prestataires sont expressément invités à ne pas entrer sur le site alcoolisés, de même que ceux qui prennent une astreinte professionnelle. D' autres entreprises ont créé un groupe alcool auquel participent le médecin du
3 travail et l'ide, ce qui permet de valider des prises en charges aussi optimales que possible aux vues des circonstances. «La prise en charge était très difficile pour l'infirmière avant la réflexion et la mise en place du règlement sur l'alcool. Depuis, chacun sait ce qu'il doit faire. L'alcootest permet de confirmer notre diagnostic pour orienter la personne et la sensibiliser.» Elisabeth Dans quelques cas, l'équipe médicale et para-médicale a instauré un protocole de prise en charge de salarié sous l'emprise de l'alcool. Malheureusement dans de nombreuses autres entreprises, il n'existe aucune procédure pré-établie, hormis les dispositions du règlement intérieur. Vous venez de lire l'expérience, le vécu d'infirmiers-infirmières confrontés à cette difficile situation : un salarié alcoolisé et l'employeur qui demande des réponses. Voici à présent quelques définitions, un condensé du cadre législatif et quelques pistes pour être mieux préparés à affronter cette situation. Quelques définitions Alcootest ou alcotest : test servant au dépistage de l'alcool dans l'air expiré ; appareil utilisé pour ce test. (Dictionnaire de la Langue Française) Ethylotest : Appareil sur lequel s'inscrit le taux d'alcoolémie d'une quantité d'air expiré (dictionnaire multifonctions, site Web TV5 MONDE). Alcoolisation :imprégnation de l'organisme par de l'alcool, quelle que soit la quantité ingérée (Larousse Médical) Alcoolémie : présence d'alcool dans le sang (Larousse Médical) Ivresse : Trouble du comportement, des réactions, du à ingestion d'alcool, un toxique ou une émotion (Dictionnaire de la Langue Française). Cadre législatif L'IDE Extraits du Code de la Santé Publique, Livre III, Actes professionnels Article R «Les infirmiers et infirmières sont soumis au respect du secret professionnel.»
4 Article R «Les soins infirmiers ont pour objet de concourir au recueil des informations utiles aux médecins pour poser leur diagnostic.» Article R «En cas d'urgence, l'infirmier ou l'infirmière prend toutes mesures en son pouvoir afin de diriger la personne vers la structure de soins la plus appropriée à son état.» L'entreprise L'article L du code du travail interdit à toute personne et à l'employeur d'introduire ou de laisser introduire des boissons alcoolisées sur le lieu de travail, autres que «le vin, la bière, le cidre, le poiré et l'hydromel non additionnés d'alcool». Le dépistage de l'alcoolisme en entreprise L'article L du code du travail interdit à l'employeur de laisser entrer ou séjourner des personnes en état d'ivresse sur les lieux de travail. «Début 2006, un employeur a été condamné en appel au chef d'homicide involontaire, pour la mort d'un salarié, suite à une chute de hauteur. La victime présentait à l'autopsie une alcoolisation avérée.» (Travail et Sécurité Novembre Dossier Alcool, tabac). L'article L du Code du Travail fixe les règles du Règlement Intérieur de l'entreprise. L'arrêt Corona du 1er février 1980 précise que l'éthylostest est à réserver à des conditions de travail particulières, type postes de sécurité, et non à pratiquer sur l'ensemble du personnel. L'Arrêt RNUR du stipule que l'alcootest doit avoir pour objectif de faire cesser ou de prévenir une situation dangereuse. Réponses Ministérielle de 1997 et 2000 L'employeur désigne les personne ou organisme autorisés à pratiquer l'alcootest, mais ce ne peut être le médecin du travail (et donc l'infirmière?). QUELQUES CONSEILS POUR AIDER L'IDE A PRENDRE EN CHARGE UN SALARIÉ PRÉSENTANT UN ÉTAT D'ÉBRIÉTÉ d'après les témoignages et les conseils des IDE consultés. 1. Importance de se présenter en blouse «blanche» pour afficher sa neutralité. 2. Isoler le salarié, le soustraire d'un lieu où se trouvent de nombreuses personnes,
5 dont peut-être sa hiérarchie. Si le salarié se montre agressif, demander à une personne neutre de rester (un collègue par exemple). 3. S'assurer que l'état d'ébriété n'est pas du à tout autre problème somatique que l'alcool : hypoglycémie, fièvre, ingestion de médicaments, exposition à des toxiques. Importance du recueil de données, de l'interrogatoire circonstanciel. La clinique seule suffit le plus souvent à déterminer si alcoolisation il y a. 4. S'il est présent, informer le médecin du travail de la situation. Si le médecin est absent et que l'état du salarié nécessite une prise en charge médicale, ne pas hésiter à appeler le SAMU pour lui exposer la situation. DÈS QUE LE SAMU A DÉCCROCHÉ, LA RESPONSABILITÉ EST TRANSFÉRÉE. C'est le médecin régulateur qui vous indiquera la marche à suivre. Dans d'autres situations, le salarié pourra être accompagné en taxi chez son médecin traitant. Pas question de le renvoyer chez lui par ses propres moyens! 5. Éviter de conduire le salarié au SST pour le garder en «observation», sauf si le médecin du travail ou celui du SAMU le demande. Le risque d'une aggravation de l'état est toujours possible et l'ide sera tenu pour responsable s'il n'a pas alerter un médecin. 6. Si vous êtes amené à effectuer un alcootest, ce sera dans un objectif de diagnostic différentiel et uniquement dans ce but. En aucun cas, L'EMPLOYEUR NE DOIT CONNAÎTRE LE RÉSULTAT. L'information délivrée à l'employeur ou hiérarchique peut être «malaise» ou «l'état du salarié nécessitait une orientation médical». 7. Dans tous les cas, le médecin du travail qui suit le salarié doit être informé de l'incident au plus tôt, de façon à pouvoir optimiser la prise en charge au retour du salarié. 8. Si vous subissez des pressions de la part de l'employeur qui souhaiterait tout savoir, le médecin du travail est votre interlocuteur privilégié. Le cas échéant le médecin inspecteur peut vous aider également. Et peut-être bientôt L'ORDRE INFIRMIER qui sera sûrement amené à se prononcer sur des situations similaires. 9. Enfin, vous devez consigner par écrit les gestes que vous avez effectué, les faits et uniquement les faits. Cet écrit sera joint au dossier médical du salarié et présenté au médecin du travail dès que possible. 10.Une dernière recommandation : l'ide a le devoir de se former de façon continue sur les spécificités de son métier. De nombreuses formations permettent de mieux appréhender ces situations délicates, n'hésitez pas à les pratiquer... En conclusion, je dirai que dans notre pays «culturellement alcoolisé», que nous soyons soignants ou citoyens lambda, nous avons été, nous sommes et nous serons confrontés à des personnes alcoolisées et/ou en état d'ébriété. Nous mêmes, pourquoi sommes-nous si peu à l'aise face à ces situations? Parce-que nous sommes également consommateurs d'alcool et pas toujours avec modération. Se le dire est déjà un grand pas. C'est d'ailleurs la première étape dans la maladie alcoolique : reconnaître son problème et le dire. Je remercie tous les infirmiers et toutes les infirmières qui ont répondu à mon appel. Je remercie également Véronique et Marie-Christine qui sont à l'origine de cet article. En souhaitant que cela leur donne des pistes pour mieux appréhender ces situations, ainsi qu'à d'autres infirmiers et infirmières de santé au travail. Bégonia SANCHEZ Infirmière de Santé au Travail Le samedi 29 décembre 2007
ALCOOL AU TRAVAIL. Sources :
1 ALCOOL AU TRAVAIL Sources : http://www.service-public.fr/actualites/003191.html?xtor=epr-140 http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/f32177.xhtml L'employeur peut autoriser ses salariés à boire
Plus en détailGuide. d ivresse. de gestion de la crise. en entreprise
Guide de gestion de la crise d ivresse en entreprise L IVRESSE SUR LES LIEUX DE TRAVAIL Ce guide pratique se veut un outil répondant aux besoins exprimés par les entreprises. Il répond uniquement à la
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailSecourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs.
1 Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs. S. ARTIGNAN 1 (1) assistant en médecine du travail, Ecole d application du service de santé des armées, BP n 1, 00466 - Armées
Plus en détailCour de cassation. Chambre sociale
Cour de cassation Chambre sociale Audience publique du 31 mars 2015 Pourvoi n 13-25436 Publié au bulletin Cassation partielle Cour de cassation Chambre sociale Audience publique du 31 mars 2015 N de pourvoi:
Plus en détailMémento législatif. En 1916, l absinthe est interdite.
Mémento législatif Juillet 2003 La législation antialcoolique a commencé à s esquisser au 19 ème siècle avec deux dispositions fondamentales : la loi de 1838 sur l internement des aliénés, et la loi de
Plus en détailRestauration d entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES
REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES article 1 Dispositions générales Le présent règlement est établi conformément aux dispositions des articles L 6352-3 et L. 6352-4 et R 6352-1 à R 6352-15 du
Plus en détailGMS-Santé 2008 La Responsabilité du médecin du travail
1 La responsabilité du médecin du travail Les conséquences juridiques d un statut particulier 2 Intervenante Jocelyne CAYRON Docteur en Droit Maitre de Conférence en Droit Privé Responsable de Master Professionnel
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détail1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail;
Arrêté royal du 30 août 2013 fixant des dispositions générales relatives au choix, à l'achat et à l'utilisation d'équipements de protection collective (M.B. 7.10.2013) Chapitre I er. - Dispositions relatives
Plus en détailLES OBLIGATIONS DE L'EMPLOYEUR EN MATIÈRE D'HYGIÈNE ET DE SÉCURITÉ AU TRAVAIL
> Santé et sécurité au travail : obligations et responsabilités de l'employeur LES OBLIGATIONS DE L'EMPLOYEUR EN MATIÈRE D'HYGIÈNE ET DE SÉCURITÉ AU TRAVAIL L'ÉVALUATION DES RISQUES DANS L'ENTREPRISE...
Plus en détailConsignes du Respo Sono en soire e
Consignes du Respo Sono en soire e Salut! Fiche réalisée en 2013 par Elias Martin-Morisse et Raphaël Oger Vous avez choisi d être Respo SONO pour la soirée, et surtout, vous avez accepté d'endosser cette
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailCA Rennes 14-01-2015 n 14-00618. Infirme partiellement, réforme ou modifie certaines dispositions de la décision déférée
CA Rennes 14-01-2015 n 14-00618 9ème Ch Prud'homale ARRÊT N 9 R. G : 14/00618 Me Nicole ELLEOUET, mandataie liquidateur C/ M. Fabien G. Infirme partiellement, réforme ou modifie certaines dispositions
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ PÉNALE EN CAS D INFRACTION AU CODE DE LA ROUTE AVEC UN VÉHICULE D ENTREPRISE
LA RESPONSABILITÉ PÉNALE EN CAS D INFRACTION AU CODE DE LA ROUTE AVEC UN VÉHICULE D ENTREPRISE Différence entre véhicule de foncdon et véhicule de service Véhicule de foncdon : mise à disposi,on personnelle
Plus en détail30 AVRIL 1999 - Loi relative à l'occupation des travailleurs étrangers (M.B. 21 mai 1999) - coordination officieuse au 1 er juillet 2011
30 AVRIL 1999 - Loi relative à l'occupation des travailleurs étrangers (M.B. 21 mai 1999) (coordination officieuse au 1 er juillet 2011 ; modifié par l arrêté royal du 20 juillet 2000 introduction de l
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR SUR
CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LA LÉGISLATION VAUDOISE POUR LA VENTE D'ALCOOL Loi sur les auberges et les débits de boissons (LADB) Art. 50 Il est interdit de servir ou de vendre des boissons alcoolisées: a)
Plus en détailORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013
ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 Cocher la ou les orientations auxquelles répondent votre projet COMMUNICATION GRAND PUBLIC Travailler sur les représentations liées à l'alcool et aux drogues. Comprendre
Plus en détailLES ACCIDENTS DE TRAJET
Bien que la Sécurité Sociale assimile l accident de trajet aux accidents du travail en matière d indemnisation, il existe des différences. C est pourquoi il convient de déterminer le régime des accidents
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailN O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailOCTOBRE 2010. Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles
Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles PROTOCOLE DE COLLABORATION CONSEILLERS & DIRECTEURS AJ - EQUIPES SOS ENFANTS PROTOCOLE
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailCe qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise
Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire
Plus en détail1 - Les conditions légales et réglementaires
LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires
Plus en détailGuide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne
Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement
REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE La restauration scolaire est un service public confié à un délégataire. Différentes catégories de personnels interviennent sur le temps de repas. Bien que relevant de statuts
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection
Plus en détailDroit applicable à la prévention dans la Fonction Publique Territoriale. Juillet 2012
Droit applicable à la prévention dans la Fonction Publique Territoriale Juillet 2012 Sommaire Introduction... 1 1. La réglementation...3 1.1. Les sources de la réglementation... 5 1.1.1. Historique de
Plus en détailLES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE
Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailPoint sur la réglementation Française de la Médecine du travail des scaphandriers soumis à surveillance médicale renforcée
Point sur la réglementation Française de la Médecine du travail des scaphandriers soumis à surveillance médicale renforcée La santé au travail est à la charge des entreprises, et non à la charge des salariés.
Plus en détailCongé de soutien/solidarité familiale
Congé de soutien/solidarité familiale Si un membre de votre famille, handicapé ou dépendant, a besoin de votre présence pour quelques temps, sachez que vous pouvez désormais bénéficier d'un congé spécifique.
Plus en détailLA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes
LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes La profession infirmière Elle est protégée par le Code de la santé publique. L exercice
Plus en détailCONTRAT DE MISE A DISPOSTION D UN SPECIALISTE (A BUT NON LUCRATIF)
CONTRAT DE MISE A DISPOSTION D UN SPECIALISTE (A BUT NON LUCRATIF) Avertissement Il est rappelé que les modèles mis à la disposition des professionnels sur le site www.contrat-expert.com ne dispensent
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailPréposé cantonal à la gestion de l information
Préposé cantonal à la gestion de l information Christian Flueckiger Dr. en droit et avocat Rue du Château 16 CH 2000 Neuchâtel 032.889.40.93 1 Sujets traités : 1. Problématique 2. Bases légales 3. Cas
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE Le présent document définit les règles générales d organisation et de fonctionnement du Service prestataire d Aide à Domicile de Ramonville-Saint-Agne
Plus en détailActes du Colloque HANDITEC 1996 Vie à domicile des Personnes Handicapées et Personnes Agées Dépendantes Dans le Cadre de AUTONOMIC 96 SERENA - MAIF
SERENA - MAIF Par Monsieur Patrick TOFFIN Ergothérapeute 100, avenue Salvador Allende - 79000 NIORT Tél : 05 49 32 24 00, 24h/24h - Fax : 05 49 09 00 65 SERENA-MAIF a été créée en 1990 par la Mutuelle
Plus en détailde la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de
15 MAI 2007. - Loi relative à la création de la fonction de gardien de la paix, à la création du service des gardiens de la paix et à la modification de l'article 119bis de la nouvelle loi communale (1)
Plus en détailDroits et obligations
Droits et obligations de titulaires de permis d alcool Permis de restaurant pour vendre Permis de restaurant pour servir Permis de bar Permis de brasserie Permis de taverne Permis de club Le présent document
Plus en détailOrdre des experts-comptables région Paris Ile-de-France. Guide d exercice professionnel
Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France Guide d exercice professionnel PROCÉDURE À SUIVRE EN CAS DE REPRISE D'UN DOSSIER Le texte La procédure Le cas général : le client fait appel à un
Plus en détailDECLARATION PREALABLE A UNE VENTE AU DEBALLAGE DECLARANT
DECLARATION PREALABLE A UNE VENTE AU DEBALLAGE (Article L.310.2, L.310-5, R310-8, R310-9 et R310-19 du code de commerce et articles R321-1 et R321-7 du code pénal) DECLARANT PERSONNES PHYSIQUES (Joindre
Plus en détailAlcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire
DOSSIER DE PRESSE 01/09/2014 Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire Avec l appui de la Ligue Contre la Violence Routière,
Plus en détailFlorent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011
STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011 STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES 1/ Quelles données? 2/ Problématiques juridiques vues par / pour
Plus en détailCoach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency
I PRÉAMBULE Coach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency Coach motive est déclaré sous le numéro de déclaration
Plus en détailGUIDE DE PARTICIPATION DES JOURNALISTES AFP AUX RESEAUX SOCIAUX
17.07.2013 GUIDE DE PARTICIPATION DES JOURNALISTES AFP AUX RESEAUX SOCIAUX GENERALITES Les réseaux sociaux font désormais partie du quotidien de milliards de personnes et l information, foisonnante, y
Plus en détailLes motifs de saisine de la commission de réforme
Accueil > CDG71 > Santé au travail > Commission de réforme > Les motifs de saisine de la commission de réforme Les motifs de saisine de la commission de réforme Dernière modification le 22/07/2013 L'accident
Plus en détailUNE CHIRURGIE D UN JOUR POUR VOTRE ENFANT
23 UNE CHIRURGIE D UN JOUR POUR VOTRE ENFANT Comment aider votre enfant à vivre cette expérience Pour vous, pour la vie Une chirurgie d un jour pour votre enfant Votre enfant aura bientôt une opération
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2009-084
Montreuil, le 03/11/2009 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION, DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 OBJET : Loi de simplification et clarification du droit et d allègement des procédures
Plus en détailDispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5
Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Code pénal social Application sur la Loi et le Code du Bien-être au travail Dispositions pénales de la Loi du Bien-être de 1996 Les articles
Plus en détailLA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015
Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailColloque Table ronde LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE de l employeur, de l encadrement et du salarié EN MATIERE DE RISQUE ROUTIER
Colloque Table ronde LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE de l employeur, de l encadrement et du salarié EN MATIERE DE RISQUE ROUTIER 1 Les accidents du travail liés à la route, bien que peu fréquents -
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailLES OBLIGATIONS DE L EMPLOYEUR EN MATIERE DE SANTE ET DE SECURITE AU TRAVAIL
LES OBLIGATIONS DE L EMPLOYEUR EN MATIERE DE SANTE ET DE SECURITE AU TRAVAIL Soumis au respect de nombreuses dispositions légales en matière d hygiène et de sécurité 1, le chef d entreprise a ainsi la
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE DANS LES COMMERCES DE MENDE
COMMUNICATION DOSSIER DE PRESSE LA PREVENTION DES CAMBRIOLAGES DANS LES COMMERCES DE MENDE LUNDI 14 AVRIL 2014 A 15 H 30 En présence de : Guillaume LAMBERT, préfet de la Lozère, Commissaire Christophe
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailArrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993)
Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Modifié par: (1) arrêté royal du 17 juin 1997 concernant la signalisation de sécurité et de santé au travail
Plus en détailIl s'agit d'un accident survenu dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice des fonctions (art. 57 2 de la loi n 84-53 du 26 janvier 1984).
Agents CNRACL : Accident de service Maladie professionnelle 85 Bd de la République 17076 La Rochelle cedex 9 Tel. 05.46.27.47.00 Fax. 05.46.27.47.08 Courriel. cdg17@cdg17.fr Note d information du 19 juillet
Plus en détailLes commissions antistress sont-elles légales?
Les commissions antistress sont-elles légales? Face aux risques psychosociaux, le Ministère du travail préconise une démarche concertée pour concevoir un plan de prévention adapté mais surtout accepté.
Plus en détailComment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?
Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5
Plus en détailProgrammation Objet - Cours II
Programmation Objet - Cours II - Exercices - Page 1 Programmation Objet - Cours II Exercices Auteur : E.Thirion - Dernière mise à jour : 05/07/2015 Les exercices suivants sont en majorité des projets à
Plus en détailDÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012
Fiche N 8 DÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012 OBJET Cette fiche s'applique exclusivement au domaine public RÈGLEMENTATION DÉFINITION Un chantier de débardage (dépôt de bois, stationnement ou évolution
Plus en détail- JURISPRUDENCE - Assurances Contrat type d assurance R.C. auto Inapplication d une directive européenne Action récursoire
1 LA REVUE EN LIGNE DU BARREAU de LIEGE - JURISPRUDENCE - Tribunal de première instance de Liège (4 ième chambre ) 18 avril 2001 Assurances Contrat type d assurance R.C. auto Inapplication d une directive
Plus en détailConvention Beobank Online et Beobank Mobile
Convention Beobank Online et Beobank Mobile Lisez attentivement cette Convention ("la Convention"). Lisez en tout cas la Section 1 - Conditions générales Beobank Online et Beobank Mobile. Ces conditions
Plus en détailGUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES
REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS
Plus en détailCette charte devra être lue et signée par l ensemble des utilisateurs du matériel informatique de l EPL.
CHARTE D UTILISATION DU MATERIEL INFORMATIQUE ET NUMERIQUE EPL LONS LE SAUNIER MANCY (Délibération n 6-22.05 du 13 juin2005 et n 4-16.06 du 9 juin 2006) Cette charte a pour but de définir les règles d
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailADHESION PRESTATIONS FOURNIES PAR LE SERVICE MÉDICAL INTERENTREPRISES
Ce document reprend à l identique le contenu de la version originale du règlement intérieur à destination des entreprises adhérentes du Service Médical, arrêté par le Conseil d Administration et consultable
Plus en détailREGIMES COMPLEMENTAIRES DE RETRAITE ET PREVOYANCE : CONDITIONS D EXONERATION DE COTISATIONS
Guide juridique REGIMES COMPLEMENTAIRES DE RETRAITE ET PREVOYANCE : CONDITIONS D EXONERATION DE COTISATIONS Cette fiche vous présente le régime juridique des exonérations de cotisations de sécurité sociale
Plus en détailTITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT. CHAPITRE Ier Dispositions générales
Code du travail nouveau : TITRE III - PREVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT TITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT CHAPITRE Ier Dispositions générales SECTION 1 Définitions Art.
Plus en détailCommission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007
Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 PREAMBULE L article L. 231-5 du code du sport rappelle que les fédérations sportives veillent à la santé
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailPRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE
PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE Service Proj aide / Direction des Relations à la Population / 2015 Page 1 SOMMAIRE PREAMBULE... 3 CHAPITRE 1. DISPOSITIONS COMMUNES
Plus en détailJe soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le..
Fiche d inscription Prévention et Secours Civiques de Niveau 1 (PSC1) DELEGATION LOCALE DE SURESNES Madame Mademoiselle Monsieur NOM d usage : NOM de naissance : Prénom : Date de naissance : Lieu de naissance
Plus en détailACCIDENTS DU TRAVAIL ET MALADIES PROFESSIONNELLES
ACCIDENTS DU TRAVAIL ET MALADIES PROFESSIONNELLES Principaux textes concernant les commissions de réforme : Fonction publique de l état : Loi n 84-16 du 11 janvier 1984 Décret n 86-442 du 14 mars 1986
Plus en détaildans la poursuite pénale dirigée contre
N 14 / 2014 pénal. du 13.3.2014. Not. 30673/10/CD Numéro 3284 du registre. La Cour de cassation du Grand-Duché de Luxembourg, formée conformément à la loi du 7 mars 1980 sur l'organisation judiciaire,
Plus en détailMise en place des élections des Délégués du Personnel
Les fiches pratiques de législation Mise en place des élections des Délégués du Personnel Chambre de Commerce et d Industrie de Rouen Espace Emploi Compétences Quai de la Bourse BP 641 76007 ROUEN Cedex
Plus en détailMémo sur la prévention des risques routiers
Distribution locale Transport en Compte Propre Mémo sur la prévention des risques routiers Au-delà de l enjeu humain important que représente le risque routier pour une entreprise, il peut aussi engendrer
Plus en détail++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI
++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI Réglementation de la profession d expert comptable en Tunisie - Loi 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à
Plus en détailSont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;
Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions
Plus en détailLA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.
LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL
Plus en détailRéf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailFiche d'inscription PARENTS
Fiche d'inscription PARENTS IDENTITE Nom : Prénom : Adresse :.. Tel : Portable : Courriel : @. VOTRE DEMANDE DE GARDE D ENFANTS Vos enfants : Nom Prénom Âge Lieu de garde : Garde souhaitée : Occasionnelle
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers
Plus en détailFiche pratique REGIMES COMPLEMENTAIRES DE RETRAITE ET PREVOYANCE : CONDITIONS D EXONERATION DE COTISATIONS
Fiche pratique REGIMES COMPLEMENTAIRES DE RETRAITE ET PREVOYANCE : CONDITIONS D EXONERATION DE COTISATIONS Boite à outils - Juridique Cette fiche vous présente le régime juridique des exonérations de cotisations
Plus en détailObs. : Automaticité de la pénalité de l article L. 211-13 C. ass. : la victime n a aucune demande à formuler
Cass. crim., 18 mars 2014, n 12-83.274 Assurance automobile Offre d indemnité Pénalité en cas d offre tardive et insuffisante Doublement du taux de l intérêt légal Absence de demande d indemnisation de
Plus en détailPage 1. Le Plan de Prévention
Page 1 Le Plan de Prévention 01 LA REGLEMENTATION Rappel : Le document Unique d Evaluation des Risques Dans toute entreprise, le chef d entreprise a pour obligation d assurer la sécurité et la santé de
Plus en détailDirectives sur la publicité de TF1 Fenêtre publicitaire en Suisse
Directives sur la publicité de TF1 Fenêtre publicitaire en Suisse Ringier Romandie Service TV commercialise en exclusivité la fenêtre publicitaire en Suisse pour la chaîne de TV TF1. Les Conditions commerciales
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détail