POSITIONNEMENT D HAÏTI SUR LA REFORME DE L ACTION HUMANITAIRE (WHS) Octobre 2015

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1 POSITIONNEMENT D HAÏTI SUR LA REFORME DE L ACTION HUMANITAIRE (WHS) Octobre 2015 Le premier Sommet Humanitaire Mondiale (SHM) se tiendra en Turquie, à Istanbul, en mai Il vise à réformer en profondeur le système humanitaire pour convenir de nouvelles méthodes plus efficaces, pour d une part mieux répondre aux crises humanitaires, toujours plus fréquentes, graves et complexes à travers le monde et d autre part pour mieux servir les besoins grandissants de millions de personnes affectées par ces crises. Ce sommet vise aussi à prendre en considération la mutation du paysage humanitaire conséquence de l intervention d un plus grand nombre d acteurs, plus diversifiés (les gouvernements, les organisations exécutantes, les donateurs, les organisations internationales et régionales, les acteurs privés, les universitaires, les collectivités locales ou la société civile), qui contribuent désormais à l action humanitaire. Si cette diversification procure des ressources supplémentaires, elle modifie également la façon dont la communauté humanitaire planifie, coordonne et réalise ses interventions Ce sommet, appelé par le secrétaire général de l Organisation des Nations unies, offre donc à la communauté internationale et aux gouvernements une chance unique d établir un consensus international qui réaffirmera et consolidera les principes de l aide humanitaire tout en s attaquant aux points faibles de son action et en reconnaissant et intégrant la diversité des acteurs. Cet exercice est articulé autour de quatre thèmes principaux qui permettront de guider et de coordonner les discussions: 1) l efficacité humanitaire 2) la réduction de la vulnérabilité et la gestion des risques 3) la transformation par l innovation et 4) l assistance aux personnes affectées par des conflits. La présente communication expose la position d Haïti par rapport à cette réforme importante de l action humanitaire et formule des recommandations basées sur le contexte haïtien. Ce sommet sera une nouvelle occasion pour réaffirmer l importance de renforcer la dimension genre dans le système et l action humanitaire. Ce qui est une 1

2 nécessité absolue car veiller à ce que la question du genre soit bien prise en considération permet non seulement d améliorer la qualité et l efficacité de l action humanitaire mais également d assurer une prise de responsabilité vis-àvis des bénéficiaires, surtout des plus vulnérables, conformément aux principes humanitaires mais aussi au droit et engagements internationaux. Ainsi, prendre en compte le genre, c est reconnaitre les différents besoins, propres aux femmes, aux hommes, aux filles et aux garçons et apporter une réponse adéquate à leurs besoins spécifiques. Ne pas prendre en compte ces questions peut avoir des implications sérieuses sur la protection et la survie des populations victimes de crises humanitaires, surtout les plus vulnérables. Les Recommandations : 1- Insérer au cœur des résultats du Sommet Humanitaire Mondial relatifs à l efficacité de l'aide humanitaire et à la redevabilité, des standards minimums sur les égalités de genre et les violences basées sur le genre. Le Sommet Humanitaire Mondial doit promouvoir et renforcer à cet égard trois initiatives importantes: les nouvelles directives IASC GBV fournissant des engagements minimaux dans tous les secteurs de réponse humanitaire pour réduire les risques de violences basées sur le genre. Cela implique une décision immédiate, audacieuse et innovatrice du Groupe de Travail du IASC des Nations Unies sur la réponse humanitaire en désignant l ONU Femmes comme membre du Groupe de travail, conformément d ailleurs à son mandat. Les gouvernements nationaux 1 - les bailleurs et les États concernés - doivent effectuer des évaluations annuelles sur le progrès de l'intégration du genre dans plusieurs volets, tels la RRD, la résilience, la préparation et l'intervention. Ces évaluations seront présentées à l'assemblée Générale des Nations Unies ou au segment humanitaire de l'ecosoc. Des données désagrégées par sexe et âge doivent être systématiquement recueillies dans les évaluations des vulnérabilités et besoins, et utilisées pour informer une analyse de genre dans le cadre de la conception, du suivi et de l'évaluation des programmes humanitaires. De même, le marqueur Genre - mis en place par ces directives comme outil afin d encourager la redevabilité dans la programmation de financement humanitaire sensible au genre, doit être réformé pour étendre le contrôle «des mesures d'égalité de genre» à travers le cycle du 2

3 projet dans son ensemble. En Haiti, la collaboration entre ONU Femmes et le système national de gestion de risques et de désastres pour l intégration du genre dans les documents stratégiques est en cours (révision du plan national de gestion de risques de désastres) et doit être étendu à d autres cadres stratégiques. Intégrer et renforcer les engagements du Sommet Humanitaire Mondial pour la prévention et réponse aux VBG dans le droit international humanitaire et dans les cadres des droits humains, ainsi que dans l'engagement communautaire et dans l'efficacité de l'aide humanitaire. Des liens doivent être favorisés entre le Sommet Humanitaire Mondial, l'appel à action sur la Protection face aux violences basées sur le genre dans les contextes d'urgence et la résolution 1325 du Conseil de sécurité. Plus particulièrement, les résultats et engagements pris lors du Sommet doivent être guidés par la prochaine feuille de route de l Appel à l Action pour 2020 et par les recommandations du pilier«aide et reconstruction» de la résolution 1325.Il faut souligner l'importance de la lutte contre la SVBG liée au conflit, et réaffirmer les engagements pris à l'onu, ainsi qu'aux niveaux régional et national, afin de prévenir et de répondre à de telles violations. Les efforts déployés pour traduire les engagements internationaux dans la législation et l'action nationale doivent être mis en évidence Utiliser le processus du Sommet Humanitaire Mondial pour avoir un coefficient de participation significative des femmes et des filles sur l'engagement communautaire. Utiliser l'accent mis par le SHM sur «l'engagement communautaire», afin de promouvoir la participation inclusive et significative des femmes de communautés sinistrées ou en conflit dans la politique humanitaire et dans la conception des programmes, du suivi et de l évaluation. Il arrive trop souvent que la participation des femmes soit traitée comme une réflexion tardive ou un résultat présumé des efforts de mobilisation communautaire. Toutes les parties prenantes du Sommet Humanitaire Mondial devraient s engager à répertorier les bonnes pratiques dans l'utilisation de l'analyse sexospécifique et de l'âge dans les efforts de mobilisation communautaire, ainsi que d'un mélange de différents points d'entrée et des stratégies pratiques, pour atteindre les femmes et les filles exclues en raison de leur appartenance ethnique âge, handicap ou toutes autres formes de discrimination. 3

4 Renforcer la capacité de promouvoir une participation significative des femmes dans les stratégies menées par les gouvernements sur la réduction des risques et la préparation aux urgences. Renforcer les efforts sur la prévention de l'exploitation et des abus sexuels 2. Intégrer la dimension genre systématiquement dans l action humanitaire (ce n est pas une catégorie de plus mais c est une approche transversale s appliquant à toute action).la prise en considération du genre peut contribuer à améliorer la résilience et la durabilité de l aide humanitaire.en étant sensible aux questions de genre c est reconnaitre les besoins et les capacités de tous les membres de la communauté, y compris les plus vulnérables, à faire face aux crises et à s en remettre, tout en étant mieux préparés aux crises futures. Les différentes catégories de personnes (femmes, hommes, filles et garçons) ont des capacités, des connaissances et des perspectives particulières, dont ils peuvent se servir pour contribuer à la réconciliation, la promotion de la résilience et la préparation ou la réduction des risques de catastrophes RRC. 2- Etablir un partenariat global au cœur des initiatives du Sommet Humanitaire Mondial entre les organisations locales et les agences humanitaires pour se focaliser sur l'action humanitaire au niveau «local» Au niveau local, habiliter les organisations, notamment celles de droits de femmes et filles, des personnes âgées, et handicapées à participer de manière significative aux efforts visant à centrer l'action humanitaire. Il faut promouvoir les partenariats avec les agences humanitaires sur la «perspective locale». Le niveau de connaissance des experts locaux doit être pris en compte dans les préparatifs d'urgence et les évaluations humanitaires, ainsi que dans la conception des programmes et dans leur mise en œuvre. Au niveau mondial, les organisations locales doivent être associées au leadership et dans les sphères de coordination humanitaire internationale. Une analyse de l'architecture humanitaire, des financements et des normes devrait conduire à formuler des recommandations afin de rendre, d'une manière significative, ces processus plus inclusifs pour la société civile locale. 2 Protection from Sexual Exploitation and Abuse (PSEA) 4

5 Subsidiarité de l aide externe. Compléter et renforcer les efforts nationaux et locaux, lorsque cela est possible. Prioriser le renforcement des capacités locales et institutionnelles à tous les niveaux afin de répondre efficacement aux crises. L action humanitaire externe doit viser un rôle subsidiaire lorsque les structures locales sont en mesure de répondre efficacement et doit valoriser le leadership local, les mécanismes établis et les structures existantes 3 en tout temps. Un cadre légal national i qui prend en compte les standards humanitaires internationaux doit définir les rôles et responsabilités étatiques et des acteurs humanitaires en temps normal et en situation d urgence. De plus il faut impliquer la population et adapter les réponses au contexte de chaque crise. Faire en sorte que les personnes touches par la crise assument un rôle central dans la réponse et adapter les réponses à chaque contexte spécifique. 3-Assurer l efficacité en termes de financements. La communauté internationale doit briser les barrières artificielles qu elle a créées entre le développement et l action humanitaire, en s assurant que le financement et la planification humanitaire reflètent au plus près les réalités sur le terrain. Tout en s appuyant sur les reformes humanitaires précédentes, toute action instiguée par le Sommet Humanitaire Mondial doit prendre en considération le nouveau Programme des Nations Unies pour le développement durable à l horizon Il est important d assurer un financement plus stable et tirer parti des nouveaux acteurs surtout du secteur privé. Tirer parti aussi des systèmes de financements innovants tels les levées de fonds à travers internet (crowfunding) les transferts électroniques tout en tenant compte des leçons tirées des limitations locales et en intégrant les structures financières locales. Il faut enfin, veiller à l équité et la rationalisation des taxations dans les situations humanitaires. Ceux qui participent à la mise en œuvre du Programme 2030 ont la responsabilité de s assurer que la communauté internationale rende des comptes aux personnes touchées par une crise, y compris les migrants. Il convient de s assurer que la reddition de compte est un processus continu qui doit mettre au centre les communautés affectées et les populations en général et prendre en compte 3. 5

6 toutes les parties prenantes, la communauté internationale, les gouvernements à l échelle centrale et locale 4-Utiliser le processus du Sommet Humanitaire Mondial pour affirmer un soutien politique envers les principes de l'action humanitaire et le respect du droit international humanitaire. Les politiques gouvernementales doivent s engager à garantir un accès à l aide, essentiellement à la possibilité des personnes touchées à pouvoir bénéficier d une assistance par des acteurs humanitaires. Les législations nationales en termes de régulation de la société civile doivent favoriser l assistance humanitaire. Renforcement des mécanismes pour les crises migratoires. Il faut renforcer les mécanismes liés à la protection et la dimension humanitaire face aux crises migratoires grandissantes et complexes. Ces crises comme par exemple la crise migratoire entre Haiti et la République Dominicaine, dans les Caraïbes, comportent des conséquences humanitaires et de protection lourdes. Il faut aussi reconnaitre que les facteurs liés aux crises migratoires sont multiples et différents (déplacements internes et transfrontaliers, impacts des changements climatiques). En ce sens on s attend même à ce que le nombre de déplacé(e)s à cause des changements climatiques augmentera dans les années à venir beaucoup plus que les déplacements dus à d autres facteurs. Il convient de disposer d outils et de ressources appropriés pour y faire face de façon plus efficace Prendre en compte l'engagement des organisations de défense des droits humains, des droits des femmes dans l'action humanitaire par des réformes sur les financements, les partenariats, la direction et la coordination de l aide humanitaire. Des réformes majeures doivent être mises en œuvre concernant les systèmes de coordination par secteur, les équipes nationales de réponse humanitaire, les groupes de travail sur le genre au niveau national ainsi que les partenariats Nord-Sud pour promouvoir une approche inclusive. Les parties prenantes au Sommet Humanitaire Mondial doivent se tourner vers le renforcement de leurs partenariats avec des organisations locales de défense des droits humains et des droits des femmes en particulier, tant au niveau de la prise de décisions stratégiques que sur la mise en œuvre de projets. Il faut considérer un financement approprié pour soutenir ce travail. 6

7 5- Etablir un partenariat global au cœur des initiatives du Sommet Humanitaire Mondial entre les organisations locales et les agences humanitaires pour se focaliser sur l'action humanitaire au niveau «local». Au niveau local, habiliter les organisations, notamment celles de droits de femmes et filles, des personnes âgées et handicapées à participer de manière significative aux efforts visant à centrer l'action humanitaire. Il faut promouvoir les partenariats avec les agences humanitaires sur la «perspective locale». Il faut prévoir le développement des capacités des réseaux nationaux et des organisations locales à travailler au niveau humanitaire et avec les intervenants humanitaires 4. Les organisations locales pourront développer leurs compétences pour répondre aux urgences et se familiariser avec les procédures associées. Le niveau de connaissance des experts locaux doit être pris en compte dans les préparatifs d'urgence et les évaluations humanitaires, ainsi que dans la conception des programmes et dans leur mise en œuvre. Cette approche permettra d établir les passerelles nécessaires entre le développement et l humanitaire. Au niveau mondial, les organisations locales doivent être associées dans le leadership et dans les sphères de coordination humanitaire internationale. Une analyse de l'architecture humanitaire, des financements et des normes devrait conduire à formuler des recommandations afin de rendre, d'une manière significative, ces processus plus inclusifs pour la société civile locale. Encourager les innovations. Au niveau national encourager les innovations facilitant la provision de moyens aux groupes affectés, aux groupes les plus vulnérables et aux femmes. Il faut développer l accès aux informations et aux systèmes d alerte par voie téléphonique, l utilisation des réseaux sociaux pour la diffusion des informations. L introduction et la maitrise de nouveaux moyens technologiques doit être accompagnée par le renforcement des compétences et capacités et de mécanismes de suivi pour générer l apprentissage et l appropriation... ii Révision du plan national de gestion de risques de désastres 7

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