Newsletter presse n 29

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1 Direction des Relations avec les Médias N 42/DRM/2014 Newsletter presse n 29 Synthèse des bilans d activités et Comptes sociaux consolidés 2013 des sociétés du Groupe Sonelgaz Edition électronique Juin 2014 Manel AIT-MEKIDECHE Newsletter n 29- Juin 2014 Page 1/31

2 Sommaire I. Communiqué général 4 II. Principaux paramètres de l exercice En matière de satisfaction de la demande et de qualité de service 5 2. En matière de développement des moyens de production d électricité 6 3. Zoom sur la consommation spécifique des centrales et l efficacité énergétique 6 4. En matière de développement du transport électricité : En matière de développement du transport gaz : En matière de développement de la distribution de l électricité et du gaz Les ventes électricité Les achats de gaz Les ventes de gaz Clientèle électricité Clientèle gaz Portefeuille des Créances exigibles de la clientèle: Les pertes d électricité Les investissements Les Ressources Humaines et la formation Les Systèmes d Information Le Sponsoring 21 III. Evolution des principaux paramètres de gestion du Groupe Sonelgaz* 22 IV. Les Comptes Sociaux Consolidés 23 V. Tableau des comptes de résultats consolidés Analyse des comptes de produits Le chiffre d affaires Analyse des comptes de charges Le résultat net consolidé 27 VI. Le bilan consolidé Les comptes de l actif Les comptes du passif 29 VII. Annexe: résumé des moyens de production à fin mars VIII. Contact Presse 31 Newsletter n 29- Juin 2014 Page 2/31

3 Figures Figure 1: Evolution de l'énergie non distribuée... 5 Figure 2: montre rapport l'évolution de la consommation spécifique moyenne et introduction des nouveaux paliers de puissance... 8 Figure 3: montre l'évolution de la consommation spécifique de combustible et gain en combustible en fonction du palier de puissance... 9 Figure 4: montre rapport groupe de production/pma Figure 5: montre la consommation spécifique du client BT Figure 6: montre la consommation spécifique gaz des clients ordinaires Figure 7: Accroissement annuel de la clientèle basse tension Figure 8: montre l accroissement des clients basse pression Figure 9: Structure des dépenses d'investissements Figure 10: Structure des produits opérationnels Figure 11: Structure des comptes de charges Figure 12: Résultat net par société Tableaux Tableau 1: montre la consommation spécifique... 7 Tableau 2: Consistance du réseau de transport de l'électricité Tableau 3: Consistance des réseaux de distribution d'électricité Tableau 4: Ventes d'énergie par niveau de tension Tableau 5: Evolution des ventes par secteur économique Tableau 6: Ventes par niveau de pression Tableau 7: Ventes à la clientèle HP par secteur d'activité économique Tableau 8: Taux de pertes par société de distribution Tableau 9: effectif global par activité Tableau 10: montre l'évolution des principaux paramètres de gestion du Groupe Sonelgaz Tableau 11: Tableau des comptes de résultats consolidés Newsletter n 29- Juin 2014 Page 3/31

4 I. Communiqué général Sonelgaz a présenté, lundi 23 juin 2014 à Alger la synthèse des bilans d activités et Comptes sociaux consolidés 2013 des sociétés du Groupe Sonelgaz L exercice 2013 a été consacré par le Groupe Sonelgaz à la poursuite du processus de construction et de consolidation d une part et, d autre part à la réalisation des programmes de développement des systèmes de production et de transport de l électricité et des ouvrages des réseaux de transport du gaz et de distribution de l électricités et du gaz a connu également la mobilisation de l ensemble des moyens des sociétés de production, transport et distribution de l électricité et de transport et distribution du gaz par canalisation et des sociétés travaux pour la mise en œuvre effective des plans d urgences initiés dans le but de satisfaire la demande énergétique en forte croissance et préparer dans les meilleurs conditions le passage des pointes hiver et été des exercices 2013 et Les actions de refonte des organisations des sociétés filiales dans l objectif d en améliorer l efficience ont concerné notamment la création de la nouvelle filiale de production diesel et des énergies renouvelables SKTM, la préparation de la restructuration de la filiale de prévention et de gardiennage SPAS en quatre sociétés et l intégration de la filiale ARMEL dans la société de maintenance des équipements industriels MEI. Par ailleurs, l année 2013 aura été celle de la mise en œuvre de la stratégie industrielle de Sonelgaz relative au développement de la fabrication industrielle et du savoir-faire local et la diversification des sources d approvisionnement énergétique. Au titre des principales actions de l exercice, il faut relever le lancement des projets ayant trait à l éolien et au solaire photovoltaïque avec un plan de déploiement relativement important touchant le sud et les régions des hauts plateaux. Il y a lieu de relever notamment, l engagement en 2013 dans le projet de partenariat pour la construction d usines de fabrication des turbines à gaz, turbines à vapeur, alternateurs et systèmes contrôle commande qui a été concrétisé en 2014 (voir communiqué de création de la société GEAT en partenariat avec GE). Des appels à manifestation d intérêt ont également été lancés, à l instar des projets de fabrication des chaudières de récupération, de silicium et de la société d engineering procurement et construction (EPC). Sur le plan financier, malgré la mise en œuvre du dossier de rachat du découvert bancaire à fin 2010 et des facilités octroyées pour le financement des investissements, les contraintes financières sont restées importantes en Les impacts des préfinancements des programmes publics associés au non remboursement des créances détenues sur l Etat ont généré un déficit de trésorerie global fusionné de l ordre de 75 milliards de dinars. C est dans l optique d un règlement structurel de la situation financière du Groupe Sonelgaz que les pouvoirs publics seront une nouvelle fois sollicités. Il est attendu la mise en œuvre de solutions durables au règlement des conditions de couverture financière des programmes de développement des sociétés du Groupe et à la redéfinition des relations afin d éviter de pénaliser leurs finances. Par ailleurs, l année 2013 a connu la mise en place de lignes de crédits totalisant plus de 800 milliards de dinars ainsi que la mise en place d une nouvelle convention de financement des programmes de développement des différents métiers des sociétés du Groupe de 1600 milliards de dinars destinés au financement des programmes de développement Sur le plan des activités, le Groupe Sonelgaz a poursuivi, en 2013, ses efforts de développement des infrastructures énergétiques et de la mise en œuvre effective des plans d urgence pour répondre dans les meilleures conditions à la demande nationale notamment pour la pointe de l été. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 4/31

5 C est ainsi que la capacité nationale de production d électricité a été renforcée de plus de 2000 MW par le biais de la mise en service de la centrale en cycle combiné de Koudiet Draouche (1 140 MW) et des turbines à gaz mobiles de SPE à hauteur de 840 MW. Ces renforcements de capacités ont également été réalisés pour les réseaux de transport et de distribution d électricité en vue de l amélioration de la qualité de service et l alimentation de la clientèle. II. Principaux paramètres de l exercice 2013 La réalisation des projets de développement et la progression des indicateurs de performance des sociétés du Groupe Sonelgaz sur l ensemble des domaines ont connu un bond positif remarquable. Les données détaillées par domaine d activités sont les suivantes : 1. En matière de satisfaction de la demande et de qualité de service L exercice 2013 a enregistré une performance appréciable dans la satisfaction de la demande dans de bonnes conditions de qualité. Aucune contrainte majeure en termes de couverture de la demande ou de perturbation de l alimentation du système électrique n a été enregistrée au cours de l exercice. Ceci grâce au renforcement notable de la capacité de production d électricité. En effet, la capacité moyenne annuelle de puissance disponible des producteurs a atteint MW en augmentation de 14% par rapport à Pour satisfaire le pic de consommation de l année, la capacité de puissance a atteint un seuil maximal de MW. En effet, la Puissance Maximale Appelée (PMA) enregistrée en 2013 sur le réseau interconnecté nord a atteint MW (le 7 Août 2013 à 21h00), enregistrant une évolution de 7% par rapport à A signaler que pour la quatrième année consécutive, la PMA a été enregistrée durant la période estivale. Ce changement dans le mode de consommation d énergie électrique s explique par la pénétration importante des appareils de climatisation. La figure ci-dessous montre comment la qualité de service s est nettement améliorée ces dernières années et comment la réalisation de l année 2013 a été nettement meilleure que celle enregistrée en La réalisation a été même meilleure que la prévision. Figure 1: Evolution de l'énergie non distribuée Newsletter n 29- Juin 2014 Page 5/31

6 2. En matière de développement des moyens de production d électricité L année 2013 a été caractérisée par le renforcement de la puissance totale installée de plus de 2000 MW suite à la mise en service de la centrale en cycle combiné de Koudiet draouche (SKD) de MW et au renforcement du parc de production de la filiale SPE comme suit : Quatre (04) TG à la centrale TG mobiles d Amizour (92 MW) ; Quatre (04) TG mobiles à la centrale d El Oued (92 MW) ; Quatre (04) TG mobiles à la centrale de Hassi Messaoud Ouest (92 MW) ; Douze (12) TG mobiles à la centrale de M Sila 4 (260 MW) ; Douze (12) TG mobiles à la centrale de F Kirina (260 MW) ; Deux (02) TG mobiles à la centrale d Adrar (46 MW) ; 6 ème TG à la centrale d In Amenas (05 MW) ; Trois (03) TG à la centrale d Illizi (15 MW) a connu aussi l ouverture des chantiers de réalisation de quinze (15) ouvrages de production pour le compte de SPE. Il y a lieu de citer en particulier les ouvrages importants notamment pour le réseau interconnecté nord : Centrales TG : Hassi R Mel (1) 300 MW, Boufarik 600 MW, Oumache (Biskra) 600 MW et Hassi R Mel (2) 600 MW, Centrales TG mobiles : F Kirina (240 MW), M Sila (240 MW), Amizour (156 MW), 20 turbines à gaz mobiles d une puissance globale de 393 MW pour les sites de Béni Mered, Boufarik, Ouargla et M Sila, 18 TG mobiles de 17 MW chacune pour le site d Adrar (2*17MW), Centrales en cycle combiné : Jijel ( MW), Ras Djinet (1 131 MW), Ain Arnat (1 015 MW). 3. Zoom sur la consommation spécifique des centrales et l efficacité énergétique L un des objectifs de la politique énergétique fixée au secteur de l électricité et de la distribution du gaz naturel par canalisation est d améliorer l efficacité de ce secteur. C est pourquoi, en complément à l introduction des énergies renouvelables, un effort doit être mené dans l amélioration de l efficacité énergétique des centrales de production d électricité. C est l un des plus importants gisements d économie en gaz naturel. Pour les centrales de production d électricité, l efficacité énergétique se mesure principalement par le taux de consommation spécifique des centrales en combustibles. Plus la consommation spécifique est basse, plus la centrale est efficace énergétiquement. La consommation spécifique nationale réalisée dans l exercice 2013, par l ensemble des moyens de production (SPE, SKTM et Producteurs indépendants) est de 2,371 Th/KWh, en amélioration de 7,6% par rapport à Newsletter n 29- Juin 2014 Page 6/31

7 Tableau 1: montre la consommation spécifique Unité : Th/kWh Réalisé Réalisé Evolution 13/12 Thermique Vapeur 2,822 2,817-0,20% Thermique Gaz 3,159 3,192 1,00% Diesel 2,877 2,948 2,40% Total SPE 3,044 3,035-0,30% Thermique Gaz - 3,604 - Diesel - 2,889 - Total SKTM - 3,328 - Total SPE et SKTM 3,044 3,041-0,10% Kahrama 3,138 3,169 1,00% SK Skikda 1,968 1,805-8,30% SK Berrouaghia 2,555 2,573 0,70% SK Hadjret ennous 1,586 1,586 0,00% SK Terga 1,841 1,821-1,10% SK koudiet eddraouch - 1,756 - Total IPP 2 1,87-6,50% Consommation Spécifique Nationale 2,565 2,371-7,60% Il y a lieu de relever que les centrales en cycles combinés, sollicitées pour satisfaire la demande en base, enregistrent la consommation spécifique la plus basse, comparativement aux autres centrales turbines vapeur et turbines gaz sollicitées beaucoup plus pour la satisfaction de la demande semibase et de pointe. Le tableau ci-dessus montre que la consommation spécifique du parc de production SPE réalisée en 2013 est de 3,035 Th/KWh, en amélioration de 0,3% par rapport à 2012 due à une plus grande sollicitation de la filière TV avec la remise en service d un groupe TV à Jijel et à Marsat qui a une meilleure consommation spécifique et à une moindre sollicitation de la filière TG. Sollicitées en base, la consommation spécifique des cycles combinés qui varie entre 1,6 th/kwh (0,169 m 3 /kwh) et 1,8 th/kwh (0,190 m 3 /kwh) est nettement plus basse que celle des centrales TV et TG de SPE qui sont en plus de la demande en base sollicitées pour la couverture de la semi base et pointe. Le fonctionnement des cycles combinés en semi-base permettront d accroitre les économies en combustible et permettront également de prolonger davantage nos réserves en gaz naturel. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 7/31

8 Palier de Puissance en MW Consommation spécifique en th/kwh C est dire que le choix des gros paliers de puissance en fonction de l évolution prévisionnelle de la puissance appelée permet à la fois des économies d investissement par l effet de taille et de la consommation spécifique en combustible. C est cette évaluation constante de la demande qui a favorisé la décision d introduction du palier TV 160MW en 1982 et des grosses turbines à gaz de 200 MW en 2002 et des cycles combinés de 400 MW en Evolution de la consommation spécifique moyenne par période d'introduction de nouveaux paliers de puissance des groupes de production d'électricité ,350 0,340 0,330 0,320 0,310 0,300 0,290 0,280 0,270 0,260 0,250 Palier de puissance Consommation spécifique moyenne par période Figure 2: montre rapport l'évolution de la consommation spécifique moyenne et introduction des nouveaux paliers de puissance Newsletter n 29- Juin 2014 Page 8/31

9 Gain en combustible en Millions de m3 et Palier de Puissance en MW Consommation spécifique en m 3 /kwh Ce graphe montre bien que la consommation spécifique est liée systématiquement au niveau de palier de puissance introduit dans le système électrique. Les gains ainsi obtenus passent d une consommation moyenne spécifique de 0,336 m 3 /kwh avec l introduction du palier vapeur de 160 MW durant les années 80 à une consommation moyenne spécifique de 0,283 m 3 /kwh avec l introduction du palier de puissance de 400 MW à partir de Evolution de la consommation spécifique de combustible et Gain en combustible en fonction du palier de puissance ,450 0, ,350 0,300 0,250 0,200 0,150 0,100 0,050 0,000 Palier de puissance Economie de combustible Consommation spécifique de combustible Figure 3: montre l'évolution de la consommation spécifique de combustible et gain en combustible en fonction du palier de puissance Ce graphe montre aussi les gains en combustibles réalisés ces dernières années et leur rapport avec la baisse de la consommation spécifique et l augmentation des paliers de puissance. Ainsi sommes nous passés d une économie de combustible de 34 millions de m 3 en 1984 à une économie de millions de m 3 en Les cycles combinés de Skkda (SKS) et de Hadjeret En Nouss (SKH) ont à eux seuls permis une économie de gaz naturel depuis leur mise en service de plus de 11 milliards de m 3 dont 6 milliards pour la seule centrale de SKH. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 9/31

10 MW C est dire combien il était judicieux d introduire le palier 400 MW des cycles combinés. Ce qui est d ailleurs, une nécessité vu l ampleur du système électrique actuel et le niveau de la demande croissancte en électricité. Cette nécessité est dictée par les rapport puissance appelée et de capacité de puissance des groupes de production de l électricité. Aujourd hui, la taille du plus gros groupe de production représente à peine 3,8% de la puissance maximale appelée alors qu il représentait, en 1982 pas moins de 13%. Cela montre une meilleure optimisation du système production-transport d aujourd hui par rapport à celui des decennies précedentes.. Puisance Maximale Appeleé-Taille du plus gros groupe de production d'électricité Taille plus gros groupe Puissance Max appelée (PMA) Figure 4: montre rapport groupe de production/pma Newsletter n 29- Juin 2014 Page 10/31

11 En effet, le système électrique est à présent mieux structuré qu il ne l a été par le passé. En 1986 par exemple, la puissance du plus grand groupe était de 168 MW. Le déclenchement de la plus grande centrale à l époque de 504 MW (3*168 MW) pouvait représenter un risque de perte de plus de 35% de la capacité totale du système électrique en pointe. Aujourd hui, ce risque ne représente que 11 % bien que la puissance du plus gros groupe soit de 400 MW et que la taille de la plus grande centrale soit de 1200 MW (3*400 MW). Le même raisonnement est à tenir si l on calcule le rapport entre la taille de la plus grande centrale et le creux de nuit (la puissance minimale appelée). Ce rapport était de plus de 80% en 1987 alors qu il ne représente aujourd hui que 30%. L Newsletter n 29- Juin 2014 Page 11/31

12 4. En matière de développement du transport électricité : Les principaux paramètres d activités pour 2013 sont : La mise en service de 75 ouvrages postes et 79 ouvrages lignes, Le renforcement du réseau télécoms FO par la mise en service de 59 nouvelles liaisons totalisant près de km de FO et une longueur du réseau de km. Tableau 2: Consistance du réseau de transport de l'électricité Intitulé Réalisé Réalisé Evolution Postes (Nbres) ,40% Postes 400 KV ,10% Postes KV ,40% Lignes (KM) ,70% 400KV ,80% 220KV-60 KV ,20% Transformateurs ,40% Cabines Mobiles (Nbre) ,30% Puissance (MVA) ,70% Compensation (Batteries) MVAR ,50% Selfs (MVAR) ,90% Réseau Fibre Optique (télécoms) km cum ,30% 5. En matière de développement du transport gaz : L exploitation du réseau a été caractérisée par l équilibre du système gazier et la mise à disposition des capacités de transport pour l ensemble des utilisateurs du réseau de transport du gaz. Les actions principales de 2013 ont porté sur : La mise en gaz de 46 DP (dont 4 DP RCN et 3 DP développement réseau) représentant une longueur de réseau de transport gaz de 195 km et l ouverture des chantiers de 116 DP La mise en service de quatre (04) antennes infrastructurelles renforçant ainsi d une part le système gazier et en assurant une meilleure fluidité et sécurité d approvisionnement en gaz et d autre part la desserte des nouvelles localités, La poursuite du plan de modernisation du GRTG, qui vise à améliorer la qualité de service, à fiabiliser les équipements des ouvrages et à mettre en conformité certains ouvrages en vue d assurer la sécurité des personnes et des biens. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 12/31

13 6. En matière de développement de la distribution de l électricité et du gaz D une manière globale, les réalisations physiques des investissements de distribution sont de 90,7% pour l électricité et de 99% pour le gaz. La réalisation des plans d urgence ont permis d assurer un rattrapage important dans ce domaine. Tableau 3: Consistance des réseaux de distribution d'électricité Intitulé Réalisé Réalisé Evolution /12 SDA ,50% Moyenne Tension ,90% Basse Tension ,70% SDC ,60% Moyenne Tension ,60% Basse Tension ,70% SDE ,20% Moyenne Tension ,70% Basse Tension ,90% SDO ,40% Moyenne Tension ,30% Basse Tension ,40% DISTRIBUTION ,70% Moyenne Tension ,20% Basse Tension ,30% 7. Les ventes électricité Le total des facturations d énergie toutes tensions confondues s est élevée à 45,1 TWh, correspondant à une évolution de 4,4% par rapport à l exercice précédent. Cette évolution des facturations s explique en grande partie par la hausse des ventes aux clients basse tension de 4,5% et des clients moyenne tension de 4,2%. La part de la clientèle HT représente 18,9% du total des ventes, la clientèle MT représente 27,5% du total des ventes. La clientèle BT, quant à elle, a atteint la proportion de 53,6% en Tableau 4: Ventes d'énergie par niveau de tension Unité: GWh Evolution 13/12 Abonnés Ordinaires ,10% Abonnés FSM ,50% Basse Tension ,50% Moyenne Tension ,20% Haute Tension ,40% Total ,40% Newsletter n 29- Juin 2014 Page 13/31

14 La croissance des ventes aux clients industriels de 4,4 % par rapport à 2012 est essentiellement due à l évolution importante des ventes aux secteurs de l industrie de la sidérurgie et de l eau respectivement de 14,3% et 12,3% par rapport à 2012 et à un moindre degré des ventes aux secteurs des matériaux de construction (+3,7 %) et des hydrocarbures (+2,4%). La hausse importante du secteur des eaux est enregistrée au niveau de la société de distribution d Alger en raison du rythme effréné des stations de dessalement de MiyahTpaza SMT et Miyah Cap Djinat SMD. Par ailleurs, on note, la baisse des secteurs de bois et papiers, de l agro-alimentaire, respectivement de 39,6%, 25,7% et 13,6% et chimie caoutchouc et matières plastiques par rapport à l exercice Tableau 5: Evolution des ventes par secteur économique Unité:GWh Réalisé Evolution 13/12 Structure 2012 Structure 2013 Hydrocarbures 2 769, ,84 2,4% 33,9% 33,3% Mat. deconstr , ,03 3,7% 25,4% 25,2% Ind. Sider.Metal 798,74 913,05 14,3% 9,8% 10,7% Eaux 1 606, ,77 12,3% 19,7% 21,2% Chim. Caou. Mat. Plas. 431,53 372,89-13,6% 5,3% 4,4% Ind.Mecan. etelect. 127,30 122,85-3,5% 1,6% 1,4% Agro-Alimen; 45,72 33,96-25,7% 0,6% 0,4% Bois. Papiers Poly. 49,63 30,10-39,4% 0,6% 0,4% Mineset Car 31,71 29,41-7,3% 0,4% 0,3% Transport 174,65 169,67-2,8% 2,1% 2,0% Indust. Text. 8,05 7,60-5,6% 0,1% 0,1% Divers 51,96 56,02 7,8% 0,6% 0,7% Total 8 169, ,20 4,4% 100,0% 100,0% Il y a lieu de noter également les disparités dans la consommation de l électricité des clients ordinaires selon les régions géographiques. La figure suivante montre bien qu en moyenne, le client basse tension installé dans le sud consomme kwh soit, à peu près, deux fois plus que le client installé dans le nord du pays (2 852 kwh/client). Consommation due essentiellement aux effets de la climatisation dans le sud mais aussi au soutien de l Etat qui prend en charge 50% des factures des clients basse pression dans le sud. Figure 5: montre la consommation spécifique du client BT Newsletter n 29- Juin 2014 Page 14/31

15 8. Les achats de gaz Le volume de gaz acheté à Sonatrach par les sociétés du Groupe Sonelgaz s est élevé à 25,5 milliards de m 3. 13,6 Milliards de m 3 ont été destinés aux centrales électriques (soit 53,4% des achats). Par ailleurs les clients tiers (alimentés directement par Sonatrach) ont procédé au prélèvement auprès de Sonatrach de 1,9 milliards de m 3. De ce fait, les quantités totales de gaz transitées par le réseau de transport de gaz de GRTG se sont élevées à 27,4 Milliards de m 3 soit une évolution de 2% par rapport à Les ventes de gaz Le total des facturations de gaz toute pressions confondues s est élevée à 11,15 Milliards de m 3, soit 0,9 Milliards de m 3 de plus qu en Cette évolution des facturations s explique en grande partie par la hausse des ventes aux clients basse pression de 10,8% (impact des programmes de la distribution publique du gaz) et des clients moyenne pression de 8,9%. La croissance des ventes aux clients industriels de 3,1 % par rapport à 2012 est due essentiellement à l évolution des ventes au secteur des matériaux de construction dont la part des ventes totales aux clients industriels est passée de 75,6% en 2012 à 78,3% en Les ventes à la clientèle Basse Pression ont évolué de 10,8%/2012, soit une hausse importante des ventes de (+714 millions de m 3 ) par rapport à l exercice précédent, expliquée essentiellement par l augmentation de la clientèle BP. Les ventes BP représentent 66% des ventes totales Gaz. Les ventes à la clientèle Moyenne Pression ont connu une croissance de 8,9% par rapport à 2012, soit (+73millions de m 3 ) par rapport à Les ventes MP représentent 8% des ventes totales Gaz. Les ventes à la clientèle Haute Pression ont connu une augmentation par rapport à 2012 de 3,1% (+80 millions de m3). Les ventes HP ont atteint l objectif à hauteur de 92,4%, elles représentent 27% des ventes totales Gaz. Tableau 6: Ventes par niveau de pression Unité : 10 6 m 3 Réalisé Réalisé Evolution 13/12 Basse pression ,80% Moyenne pression ,90% Haute pression ,10% Total ,50% Les ventes HP accusent une légère hausse de 3,1%/2012, cette augmentation est induite essentiellement à la hausse des ventes du secteur hydrocarbures de (+31,6%/2012) ainsi que le secteur des industries textiles de (+37,1%/2012). Newsletter n 29- Juin 2014 Page 15/31

16 On enregistre une baisse importante au niveau des ventes des secteurs des industries de sidérurgies et métalliques (-20,9%2012), chimie caoutchouc matières plastiques (-16,1%/2012) et mines et carrières de (-11%/2012). Les ventes à la clientèle HP par secteur d activité économique se présentent comme suit : Tableau 7: Ventes à la clientèle HP par secteur d'activité économique Réalisé Unité : 10 6 m 3 Evolution Structure Structure / Hydrocarbures 13,73 18,07 31,6% 0,5% 0,6% Mat. de constr , ,29 5,4% 76,5% 78,3% Ind. Sider.Metal 243,13 192,27-20,9% 8,5% 6,5% Eau 0,06 0,00-100,0% 0,0% 0,0% Chim. Caou. Mat. Plas. 26,87 22,55-16,1% 0,9% 0,8% Ind.Mecan. etelect. 23,51 22,89-2,6% 0,8% 0,8% Agro-Alimen; 231,77 236,30 2,0% 8,1% 8,0% Bois. Papiers. Poly. 4,81 4,54-5,4% 0,2% 0,2% MinesetCar 19,90 17,70-11,0% 0,7% 0,6% Indust. Text. 15,11 20,72 37,1% 0,5% 0,7% Verre 93,84 107,83 14,9% 3,3% 3,6% Total ,2 3,1% 100,0% 100,0% Concernant la consommation spécifique des ménages, répartis par zone géographique, ce sont les clients se situant dans la région des hauts plateaux qui consomment moyennement th/client, soit à peu près deux fois plus que la moyenne d un ménage se situant dans le nord. Ceci s explique par l utilisation du chauffage à gaz durant la saison hivernale : Figure 6: montre la consommation spécifique gaz des clients ordinaires Newsletter n 29- Juin 2014 Page 16/31

17 10. Clientèle électricité L accroissement enregistré durant l exercice 2013 est de clients, représentant une baisse de 2% par rapport à L accroissement de la clientèle alimentée en Basse Tension est de clients en baisse de 2% par rapport à Les réalisations en Moyenne Tension sont au nombre de nouveaux clients en baisse de 2,5% par rapport à Il y a lieu de noter la mise en service de deux (02) nouveau client alimenté en Haute Tension. Le graphe ci-dessous donne un historique des apports de clients nouveaux basse tension depuis 2002 : Figure 7: Accroissement annuel de la clientèle basse tension Le nombre total de clients électricité à fin 2013 est de en évolution de 4,3% par rapport à Il se décompose comme suit : Basse Tension 7,670 millions (+4,3%/2012). Moyenne Tension..49 milliers (3,7%/2012). Haute Tension 105 clients. 11. Clientèle gaz L accroissement de la clientèle Gaz enregistré pour l exercice 2013 est de clients, en baisse de 7,4% par rapport à 2012 L accroissement de la clientèle alimentée en Basse Pression a été de clients représentant une baisse de 7,4% par rapport à Cet accroissement est réparti comme suit : Nouvelle Distribution Publique : clients (- 18,5%/2012) ; Raccordement Client Nouveau : clients (-2,9%/2012). Les réalisations en matière de clientèle Moyenne Pression sont au nombre de 343 nouveaux clients, en hausse de 16,3% par rapport à 2012 (295 clients). Le nombre de clients HP en 2012 passe à 10 contre 4 en 2012, soit en hausse importante de 150% par rapport à Newsletter n 29- Juin 2014 Page 17/31

18 Le graphe ci-dessous donne la décomposition des apports de clients nouveaux basse pression par type de programme (RCN et distribution publique gaz). Figure 8: montre l accroissement des clients basse pression Le nombre total des clients Gaz à fin 2013 est de clients, en évolution de 8,1% par rapport à 2012, répartis comme suit : Basse Pression 3 961,9 millions (+8,1%/2012), Moyenne Pression...5,07 milliers (+7,3%/2012), Haute Pression..216 clients (+4,9%/2012). 12. Portefeuille des Créances exigibles de la clientèle: Les créances exigibles clientèle des sociétés de distribution à fin 2013 (hors créances vis-à-vis de l état concernant la facturation sud pour un montant de 3,1 milliards de DA) ont atteint 43,2 milliards de DA en augmentation de 2,9% par rapport à 2012 en raison de l augmentation des créances des abonnés ordinaires privés et administratifs respectivement de 2,3% et 4,4% par rapport à En revanche, on note la baisse des créances détenus sur la clientèle HT/HP de 22,5% par rapport à Le portefeuille total des créances exigibles des sociétés de distribution représente 85 jours de chiffre d affaires contre 87 jours en 2012, soit une amélioration de 02 jours par rapport à l exercice Cette diminution est due essentiellement aux améliorations des délais crédit client global des sociétés de distribution de 2,3% par rapport à La SD Ouest a amélioré son délai crédit client de 6 jours de chiffre d affaire par rapport à 2012 passant de 93 jours en 2012 à 87 jours en 2013, suivi de la SD Alger et de la SD Centre qui ont amélioré leurs délais crédits clients respectivement de 04 et de 03 jours de leurs chiffres d affaires par rapport à Les pertes d électricité Le taux de perte des sociétés de distribution enregistré durant l exercice 2013 est de 18,76% contre 19,59% en 2012, soit une amélioration de 4,21%. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 18/31

19 Tableau 8: Taux de pertes par société de distribution Unité : % Réalisé Réalisé Evolution 13/12 SD Alger 26,8 25,75-3,90% SD Centre 17,51 16,53-5,60% SD Est 16,69 16,31-2,30% SD Ouest 20,18 19,15-5,10% Total 19,59 18,76-4,20% 14. Les investissements Le montant des dépenses d investissements enregistrées en 2013 par l ensemble des sociétés du groupe est de 409 milliards de DA correspondant à un taux de réalisation de 103,4% des prévisions et une évolution très importante de 77,5% par rapport à Ce montant a été réalisé pour l essentiel par les sociétés des métiers de base (production, transport et distribution de l électricité et gaz) pour un montant de 347,3 milliards de DA dont plus de 50% représente le montant alloué aux investissements de production de l électricité : La production d électricité (sociétés SPE et SKTM) avec un montant de 176,9 milliards de DA en évolution de 167,8% par rapport à l année 2012 en raison de la mise en œuvre des plans de d urgence et de développement des capacités de production d électricité Des participations de Sonelgaz (maison mère) de 2,1 milliards de DA au titre des projets en partenariat de centrales électriques (libération des dernières tranches de la participation au titre du projet SKD) La société Gestionnaire du réseau de transport électricité avec un montant de 51 milliards de DA (15% des investissements des sociétés des métiers de base du groupe). La société Gestionnaire du réseau de transport gaz avec un montant de 20,5 milliards de DA (6% des investissements des sociétés des métiers de base du groupe) Les sociétés de Distribution de l électricité et gaz de l est, ouest, centre et Alger avec un montant total de 98,8 milliards de DA (28 % des investissements des sociétés des métiers de base du groupe) en raison de la mise en œuvre des plans d urgence (passage de l été 2013 et 2014 ) visant le renforcement de l alimentation de la clientèle et l amélioration de la qualité de service dont le montant total des dépenses s est élevé à 40,5 milliards de DA (41% du total des dépenses d investissement des sociétés de distribution). La figure suivante montre la répartition des investissements par société : Newsletter n 29- Juin 2014 Page 19/31

20 Structure des dépenses d'investissements 2013 SDE 9% MM OS SDO 10% 0,002% Participations 1% 0,001% SDC 6% SPE 51% SDA 4% GRTG 6% GRTE 15% SPE GRTE GRTG SDA SDC SDE SDO OS MM Participations Figure 9: Structure des dépenses d'investissements 2013 La couverture du programme d investissement a été essentiellement assurée par l endettement à long terme à hauteur de 98%. 15. Les Ressources Humaines et la formation L effectif global des sociétés du Groupe à fin 2013 s élève à agents contre en 2012 en hausse de 6,4%, soit agents de plus, qui se décomposent comme suit : Effectif Permanents : contre en 2012, ( agents) soit une hausse de 5,2% par rapport à Effectif Temporaires : contre en 2012, ( agents) soit une hausse de 10,2% par rapport à Tableau 9: effectif global par activité Activités Sonelgaz Sociétés des Activités de Distribution et des Technologies associées (ADT) Sociétés des Activités des Industries Energétiques (AIE) Sociétés des Activités de Prestations de Services (APS) Sociétés des Activités de Travaux et production Industrielle (ATI) Total Groupe L exercice 2013 a connu un nombre de recrutement global de agents, contre en 2012, en hausse de 4,5%. Ceci s explique toujours par l importance des recrutements temporaires qui représentent 67,4% du total des recrutements. Les filiales SPAS, KANAGHAZ, ETTERKIB et KAHRAKIB à eux seules ont recruté respectivement : 1 650, 1 626,1 199 et agents temporaires. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 20/31

21 SDE, SDO et SPE ont procédé au recrutement de 744 et 652 et 649 agents permanents, représentant globalement 58% des recrutements permanents des sociétés du Groupe. 69,3% des recrutements concernent la catégorie «Exécution» dont 59,7% temporaires, 17,9% maitrise et 12,7% cadres. La formation constitue également un levier important sur lequel le Groupe agit pour la mise à niveau de ses agents et de ceux nouvellement recrutés. A cet effet, les actions ont touché agents correspondant à hommes/jours. La moyenne annuelle de participation par agent (perfectionnement professionnel et formation spécialisée confondus) est de 9 jours. La moyenne annuelle de participation par agent ramenée aux effectifs formés est de 18 jours. En nombre d agents, les réalisations sont orientées à 93% vers le perfectionnement professionnel contre 7% vers la formation spécialisée. En hommes/jours, la formation spécialisée représente 48% du total des réalisations, le perfectionnement professionnel quant à lui représente 52% du total des réalisations. Les dépenses de formation sont de et représentent 4% de la masse salariale de l exercice Les Systèmes d Information Il est à noter, durant l exercice 2013, les travaux de déploiement des projets relatifs aux nouveaux systèmes d information finances comptabilité «HISSAB», de la ressource humaine «NOVA» et de la gestion des stocks «ATTAD» au sein des filiales travaux et prestations de services. Ces projets visent à répondre à l objectif stratégique de modernisation de la gestion de la ressource humaine et à l implémentation d une solution de gestion intégrée par le biais d un ERP (Entreprise Ressources Planning) pour le périmètre finances comptabilité du Groupe. Ces systèmes de gestion sont développés par les moyens propres du Groupe Sonelgaz. 17. Le Sponsoring Un montant de 273 millions de DA a été consacré par Sonelgaz aux opérations de sponsoring durant l exercice La répartition par thème se présente comme suit : Domaines d intervention Nombre d'action Montants engagés en milliers de DA Sport % Manifestations Scientifiques % Solidarité et actions sociales % Environnement % Art et culture % Total % % Newsletter n 29- Juin 2014 Page 21/31

22 III. Evolution des principaux paramètres de gestion du Groupe Sonelgaz* Tableau 10: montre l'évolution des principaux paramètres de gestion du Groupe Sonelgaz PARAMETRES UNITES * 2013 Evolution13/12 ELECTRICITE -Capacité installée totale MW ,30% Capacité de SPE et SKTM ,79% Capacité des producteurs tiers ,45% - Production totale : GWh ,84% Production SONELGAZ (SPE et SKTM) GWh ,60% Production tiers (Y compris autres injections) GWh ,69% - Puissance Maximale Appelée (R.I.)* MW ,03% - Ventes totales (hors exportations) GWh ,40% - Abonnes Basse Tension U ,31% - Longueur Réseaux Distribution km ,70% - Longueur Réseaux Transport km ,71% GAZ - Achats de gaz 10 6 m ,23% - Ventes totales 10 6 m ,51% - Abonnes Basse Pression U ,14% - Longueur Réseaux Distribution km ,24% - Longueur Réseaux Transport km ,41% FINANCES - Investissements 10 6 DA ,48% EFFECTIFS (Permanents en activité) U ,13% (*) : MW sans tenir compte du délestage, en y tenant compte la PMA aurait été de MW le 17 Août 2012 à 20h30. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 22/31

23 IV. Les Comptes Sociaux Consolidés L exercice 2013, aura encore été, un exercice particulièrement difficile pour le Groupe Sonelgaz en ce qui concerne la situation financière de ses sociétés et principalement celle des sociétés de distribution de l électricité et du gaz. Les difficultés des sociétés se sont aggravées avec le besoin de maintenir un rythme soutenu des investissements notamment pour la satisfaction de la demande durant les périodes estivales. A ce titre, l année 2013 a encore été consacrée, dans une large mesure, à la mise en place de nouveaux crédits bancaires devant servir à la couverture des plans d urgence d investissement dans les domaines de la production, du transport et de la distribution de l électricité. Comme elle a également connu la poursuite des préfinancements de la réalisation des programmes publics (ER et DP gaz) et ce en l absence de mobilisation des subventions de l Etat prévues dans ce cadre. Aussi, il y a lieu de souligner que le recours à ces opérations d endettement et de préfinancement des programmes publics associé à l impact limité des mesures d assainissement financier décidées par les pouvoirs publics en 2010, ont généré un retour vers le découvert bancaire dont le montant à fin 2013 avoisinait les 75 milliards DA. Pour rappel, la non application de l ensemble des mesures décidées par les pouvoirs publics continue de pénaliser lourdement le Groupe. A cet effet, deux dossiers importants restent en suspend : Le non remboursement du précompte TVA dont le montant à atteint, à fin 2013, un niveau de 94 milliards DA Le préfinancement des programmes publics, en l absence de mobilisation des subventions de l Etat, avec un niveau de 130 milliards DA qui génèrent des agios sur découvert importants. Les lenteurs dans le remboursement des créances issues du soutien de l Etat aux consommateurs du Sud et des Hauts Plateaux Le Groupe Sonelgaz envisage de solliciter une nouvelle fois les pouvoirs publics pour le règlement définitif de ce dossier d assainissement financier ainsi que pour la mise en œuvre effective du statut fiscal spécifique à ses sociétés. Par ailleurs, l exercice 2013 a aussi permis de mener d importantes actions d amélioration de la qualité de la gestion financière et comptable des sociétés du Groupe. Les plus importantes d entre elles ont porté sur : Le basculement des sociététs SPE et SKTM dans le nouveau système de tenue de comptabilité Hissab La mise en production de l application de consolidation automatique des comptes de l ensemble des sociétés du Groupe La conciliation de la totalité des opérations inter sociétés du Groupe Les arrêtés des comptes de toutes les sociétés du Groupe La consolidation fiscale de l ensemble des sociétés filiales (au nombre de 26) détenues en totalité par Sonelgaz La consolidation comptable de l ensemble des sociétés et participation du Groupe en nombre de 41 sociétés. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 23/31

24 Ainsi le périmètre de consolidation à fin 2013 est le suivant : 1. Sonelgaz 16. KANAGHAZ 2. SPE 17. ETTERKIB 3. SKTM 18. KAHRIF 4. GRTE 19. MEI 5. GRTG 20. SKMK 6. SDA 21. CREDEG 7. SDO 22. TRANSMEX 8. SDC 23. AMC 9. SDE 24. HMP 10. CEEG 25. SMT 11. CAMEG 26. FOSC 12. ELIT 27. SPAS 13. SOPIEG 28. IFEG 14. INERGA 29. SAT INFO 15. KAHRAKIB 30. MPV 31. ROUIBA ECLAIRAGE 32. SKT 33. SKD 34. SKB 35. SKS 36. SKH 10% 37. AEC 50% 38. AETC 50% 39. NEAL 45% 40. AOM 50% 41. ALGESCO 24% 42. BAOSEM 35% V. Tableau des comptes de résultats consolidés L analyse des comptes de résultats consolidés de l exercice 2013 fait ressortir une dégradation du résultat consolidé par rapport à l exercice En effet : Le résultat net consolidé de 2013 est déficitaire de 29,7 milliards DA. Le résultat déficitaire de l exercice 2013 est, au même titre que ceux des précédents exercices, principalement dû à: o la faiblesse de l évolution des revenus en raison essentiellement au gel des tarifs de vente de l électricité et du gaz o l augmentation des charges directes et notamment celles liées aux achats d énergie électrique et gazière aux producteurs tiers et à Sonatrach. L évolution de ce poste est principalement due à l entrée en production de SKT et SKD. o L augmentation importante des amortissements (+28% par rapport à 2012) en raison du transfert aux immobilisations des investissements réalisés dans le cadre des programmes d urgence. A ce titre, le résultat déficitaire de l exercice 2013 est, quasiment, généré par les sociétés de distribution qui absorbent la totalité des augmentations des charges avec des niveaux de revenus plafonnés par le gel des tarifs. Newsletter n 29- Juin 2014 Page 24/31

25 Tableau 11: Tableau des comptes de résultats consolidés Rubriques (en MDA) Réalisations 2013 Evolution Prévu Réalisé taux Réal 2013/2012 Chiffre d'affaires % 16% Variation Stocks produits finis et encours % 924% Production immobilsée % 77% Subventions d'exploitation % I - PRODUCTION DE L'EXERCICE % 18% Achats consommés % 3% Services extérieurs et autres consommations % 87% II - CONSOMMATION DE L'EXERCICE % 31% III - VALEUR AJOUTEE D'EXPLOITATION (I - II) % 11% charges de personnel % 13% impôts, taxes et versements assimilés % 28% IV- EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION % 7% Autres produits opérationnels % -86% Autres charges opérationnelles % -11% Dotations aux amortissements et aux provisions % 28% Reprise sur pertes de valeur et provisions % 39% V- RESULTAT OPERATIONNEL % 3253% Produits financiers % 119% Charges financières % -16% VI- RESULTAT FINANCIER % -24% VII- RESULTAT ORDINAIRE AVANT IMPOTS (V + VI) % 159% Impôts exigibles sur résultats ordinaires % Impôts différés (Variations) sur résultats ordinaires % -159% TOTAL DES PRODUITS DES ACTIVITES ORDINAIRES % 14% TOTAL DES CHARGES DES ACTIVITES ORDINAIRES % 23% VIII- RESULTAT NET DES ACTIVITES ORDINAIRES % 204% Eléments extraordinaires (produits) (à préciser) % -61% Eléments extraordinaires (charges)) (à préciser) % -47% IX- RESULTAT EXTRAORDINAIRE % -35% X- RESULTAT NET DE L'EXERCICE % 202% Part dans les résultats nets des sociétés mises en équivalence % 108% XI- RESULTAT NET DE L'ENSEMBLE CONSOLIDE % 238% 18. Analyse des comptes de produits Le montant total des produits des activités ordinaires des sociétés du Groupe s élève en 2013, à 264,8 milliards DA ; en augmentation de 18% par rapport à l exercice Cette augmentation, étant due essentiellement à l augmentation du chiffre d affaire consolidé qui passe de 204 milliards DA en 2012 à 236 milliards DA en 2013 soit une augmentation de 16% ainsi que les reprises sur pertes de valeurs et provisions avec une augmentation de 39% par apport à l exercice 2012 soit une variation de quasiment 4 milliards de DA. Les produits opérationnels pour leur part diminuent de 11 milliards DA par rapport au niveau de l année Newsletter n 29- Juin 2014 Page 25/31

26 19. Le chiffre d affaires Figure 10: Structure des produits opérationnels 2013 Globalement, les ventes et produits annexes des sociétés du Groupe, ont atteint en 2013, un montant de 236 milliards DA ; en hausse de 16 % en comparaison à Les principales variations viennent de : L évolution de l effet quantités lié aussi bien à l accroissement de la clientèle (+4% par rapport à 2012) qu à la consommation spécifique des abonnés. A ce titre, les ventes physiques ont respectivement augmenté en 2013 de 4% pour l électricité et de 8,5% pour le gaz. La hausse du chiffre d affaire des sociétés travaux d un taux de 70% 20. Analyse des comptes de charges Le montant des charges générées par les activités ordinaires des sociétés du Groupe durant l exercice 2013 s est élevé à 301 milliards DA, en progression de 23% par rapport à l exercice La structure des charges totales des activités des sociétés du Groupe est donnée dans le graphe ciaprès : Figure 11: Structure des comptes de charges Newsletter n 29- Juin 2014 Page 26/31

27 21. Le résultat net consolidé Le résultat net consolidé de l exercice 2013 dégage un déficit de 29,7 milliards de DA. Ce déficit représente plus de deux (02) fois celui constaté en Le résultat net consolidé de l exercice 2013 se décompose comme suit : Résultat ordinaire avant impôts de - 35,2 milliards de DA Impôts différés.. - 0,8 milliards de DA Résultats nets des sociétés mises en équivalence.. + 7,1 milliards de DA Les déficits les plus importants sont générés par les sociétés de distribution de l électricité et du gaz en raison de la faiblesse de leurs revenus comparée à l importance de leurs charges. Ces quatre sociétés affichent un résultat net déficitaire cumulé de 35 milliards DA dont la quasi moitié est du fait de SDO et SDE. Les déficits sont également générés par SKT et SKD qui sont deux (02) sociétés de production qui viennent d entrer en production et dont le résultat devrait s équilibrer en Figure 12: Résultat net par société Newsletter n 29- Juin 2014 Page 27/31

28 VI. Le bilan consolidé La masse bilancielle (Actif/Passif) consolidée nette de l ensemble des sociétés du Groupe s élève en 2013 à 3 111,2 milliards de DA ; en augmentation de 34% par rapport à celle de l année Les comptes de l actif Le montant total de l actif consolidé s élève à ,59 DA; en évolution de 34% par rapport au niveau de Réalisations 2013 libellés (en kda) note réalisations 2012 Evolution montants bruts amortissements montants nets ACTIF NON COURANT 1- Ecart d acquisition (ou goodwill) Immobilisations incorporelles , , , ,91-39% 3- Immobilisations corporelles , , , ,79 19% Terrains , , ,00-2% Agencements et aménagements de terrains , , , ,19 2% Constructions (Batiments et ouvrages d , , , ,15 2% Installations techniques, matériel et outillage , , , ,30 13% Autres immobilisations corporelles , , , ,16 97% 4- Immobilisations en cours , , , ,29 13% 5- Immobilisations financières , , , ,81-70% Titres mises en équivalence - entreprises associées , , ,87 2% Titres participations et créances rattachées , ,35 - Autres titres immobilisés , , , ,12-99% Prêts et autres actifs financiers non courants , , , ,42 89% Impôts différés actif , , ,08-48% Autres actifs non courants ,33-100% TOTAL ACTIF NON COURANT , , , ,81 12% ACTIF COURANT 6- Stocks et encours , , , ,74 65% 7- Créances et emplois assimilés , , , ,08 172% Clients , , , ,62 230% Autres débiteurs , , , ,82 100% Impôts , , ,63 341% Autres actifs courants ,00-100% 8- Disponibiltés et assimilés , , , ,77 35% Placements et autres actifs financiers courants , , ,50 478% Trésorerie , , , ,27 27% compte transitoire** , ,81 - TOTAL ACTIF COURANT , , , ,59 131% TOTAL GENERAL ACTIF , , , ,39 34% Newsletter n 29- Juin 2014 Page 28/31

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