Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur

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1 Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur La piscine est un lieu d activités sportives et ludiques destiné au public. La mise à disposition de cet établissement impose de respecter des dispositions réglementaires et techniques strictes, lors de sa conception et de son exploitation. On distingue différentes familles de piscines, qui diffèrent principalement par : leur architecture (piscines à vocation sportive ou de loisirs, couvertes, de plein air, mixtes ou transformables), leur système hydraulique (reprise des eaux en surface, en fond de bassin ou mixte), leur processus de traitement des eaux (composés à base de chlore, d ozone, de brome). Cette fiche pratique aidera les collectivités dans l analyse de l activité des agents chargés de l exploitation des piscines et des maîtres nageurs sauveteurs, ainsi que dans la définition d un plan d actions de prévention des risques professionnels. 1. Définitions et analyse de l activité Le personnel évoluant en piscine est généralement de 3 types : agent chargé de l entretien et du fonctionnement de l installation, Maître Nageur Sauveteur (MNS) assisté ou non d un surveillant sauveteur (BNSSA), agent affecté à l accueil du public. Activités de l agent chargé de l entretien et du fonctionnement de l installation : Il réalise principalement les travaux suivants : nettoyage des installations intérieures et extérieures, stockage et préparation des produits de traitement, Traitement de l eau de piscine, Contrôle des qualités physiques, chimiques et microbiologiques des eaux de bassins conformément aux normes d'hygiène et de sécurité applicables aux piscines, Nettoyage des filtres, des bassins, des bacs tampons suivant le type de piscine, Réalisation de travaux de première maintenance (peinture, électricité, remplacement de luminaires, plomberie, etc), Selon le type de piscine (couverte ou découverte), ces travaux seront hebdomadaires ou saisonniers. Activités du MNS : Elles consistent essentiellement à : surveiller les lieux de baignade, porter assistance aux baigneurs en difficultés et assurer les premiers secours, enseigner la natation à des publics divers (enfants, groupes scolaires, adultes, femmes enceintes, personnes handicapées...) Selon la taille de l établissement, le MNS peut être associé aux activités administratives (accueil du public) et de maintenance du matériel et des installations. Garant de la sécurité des équipements, il veille à leur entretien courant, à la qualité de l eau et signale tous dysfonctionnements dont les conséquences peuvent gêner la sécurité ou le confort des pratiquants. Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 1

2 2. Les risques afférents au métier Les agents chargés de l exploitation des piscines et les MNS sont soumis à un certain nombre de risques variables en fonction de leur activité et de leur établissement, dont certains peuvent entraîner des accidents de service et/ou maladies professionnelles graves. 2.1 Les risques liés aux contraintes organisationnelles et à la charge de travail : L exposition au bruit, Le travail la plupart du temps isolé et seul (surtout pour les agents saisonniers), La vigilance constante lors de certains travaux dangereux (dosage des produits de traitement à partir de substances concentrées, ), La surveillance, le maintien de la sécurité et du calme sur les bassins, Les relations avec les usagers (pouvant générer des conflits), La prise d initiatives dans le cadre des procédures d urgence, Les contraintes horaires (préparer les installations avant l ouverture au public à horaires précis, travail tard le soir, le week-end et pendant les vacances scolaires), 2.2 Les risques physiques : Les risques liés aux manutentions manuelles : Les agents sont amenés à porter des charges diverses (produits lors de l approvisionnement, matériels pour l entretien des bassins, ) et à prendre des postures contraignantes (accès au bac tampon, station debout prolongée ), Les conséquences possibles sont des douleurs dorsales, des lumbagos, des sciatiques et des traumatismes dorsaux. Les charges manipulées peuvent également générer des écrasements au niveau des mains et des pieds des agents. Les risques lors des déplacements des agents : Ce sont des risques de chute par glissade sur sol mouillé, revêtements des sols inadaptés, ou liés à la présence de marches ou d obstacles. Les risques de chute de hauteur : Ils sont présents principalement lors des opérations de vidange pour le nettoyage des bassins et lors des remplacements de luminaires. Quelques accidents ont également été répertoriés au niveau des chaises de surveillance des bassins. 2.3 Les risques liés aux ambiances de travail : Ambiance liée à une atmosphère polluée (chlore et ses dérivés) : Les agents travaillant en piscine, notamment les MNS, se plaignent fréquemment de la qualité de l air dans les piscines utilisant le traitement de l eau par le chlore (produit désinfectant le plus utilisé) et ses dérivés (eau de javel, acide trichloroisocyanurique, dichloroisocyanurates, hypochlorite de calcium). Ceci se traduit par des troubles variés (yeux, nez ou gorge irrités, toux) mais également par des épisodes d extinction de la voix. Ces pathologies s expliquent notamment par la présence excessive de chloramines dans l air. La chloramine est un dérivé chloré généré par la combinaison du chlore avec la pollution azotée apportée involontairement par les baigneurs (sueur, urines, ) Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 2

3 Le taux de chloramine dans l air varie donc en fonction : - de la fréquentation des bassins, - de la température de l eau, - de la qualité de ventilation et d aération des locaux, - de l hygiène des baigneurs. Ambiance sonore : Irritabilité, fatigue excessive, trouble du sommeil lié à l exposition prolongée au bruit généré par le public présent dans les bassins (surtout s ils sont couverts). 2.4 Les risques de noyade Des risques de noyade sont présents notamment lors de l intervention d agent d entretien à proximité des bassins. Ces risques sont d autant plus importants lorsque le personnel travaille de façon isolé (hors plage d accueil du public) et sur un sol humide. 2.5 Les risques chimiques Les substances et préparations utilisées, notamment dans le traitement de l eau des piscines, sont concentrées et susceptibles de provoquer des intoxications graves ou des brûlures par inhalation ou contact avec la peau. Les produits agréés sont principalement : - les composés chlorés tels que le chlore gazeux, l eau de javel, l hypochlorite de calcium ou les chlorocyanuriques (de l acide isocyanurique est ajouté pour stabiliser le chlore dans les piscines de plein air), - le brome (liquide brun dégageant des vapeurs denses et corrosives par inhalation), - l ozone pour les installations importantes (désinfectant très puissant produit sur place dans un générateur électrique spécifique). 2.6 Les risques d incendie ou d explosion : Des émanations de chlore et réactions explosives peuvent se produire en cas de mélange de certains produits (exemple : produits acides avec produits chlorés, azotés ou facilement oxydables). 2.7 Les risques biologiques : Ce sont des risques d exposition à des germes pathogènes pouvant entraîner des maladies telles que les spirochétoses (tableau n 19 des maladies professionnelles) et les mycoses des orteils (tableau n 46 des maladies professionnelles). Les problèmes de qualité de l air dans les piscines sont liés (outre les chloramines) à la présence de composés volatiles, de bactéries ou de spores dues aux moisissures se développant éventuellement sur les surfaces des bâtiments ou dans les systèmes de ventilation et de chauffage (légionnella). Ces risques sont accentués si des défauts sont constatés dans la maintenance et la vérification des systèmes d aération et de ventilation des locaux. 3. Moyens de prévention La réduction des risques professionnels repose sur trois niveaux d actions : Technique, Humain, Organisationnel. L évaluation des risques professionnels et sa traduction dans un Document Unique, obligation réglementaire et point de départ d une réelle démarche de prévention, permet de mieux cerner les risques spécifiques à certaines activités et de prendre les mesures de prévention adaptées et efficaces. Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 3

4 HUMAIN Favoriser l embauche de personnels qualifiés : Maître nageur titulaire (ETAPS) et brevet d Etat (BEES), Surveillant sauveteur titulaire du BNSSA (domaine de compétence limité à la surveillance), Personnel d entretien sachant nager (le former le cas échéant). Accueillir les agents : Définir clairement les tâches et consignes de l agent d exploitation des piscines via un accueil/formation : - présenter le règlement intérieur, le livret d accueil, les fiches de postes et les consignes de sécurité, - fournir des Équipements de Protection Individuelle (EPI) et former à leur utilisation, Etablir des consignes en cas d accident ou incident, Vérifier régulièrement les dates de péremption des produits de la trousse de secours. Suggérer les formations continues suivantes : Formation aux manutentions et gestes et postures dans le travail (formation PRAP), Formation à la sécurité dans le stockage et l utilisation des produits de traitement des eaux de piscine, Formation continue à la conduite à tenir en cas d urgence (secourisme, incendie, ), Présentation du Plan d Organisation de la Surveillance et des Secours (POSS). Sensibiliser le public fréquentant la piscine : Diffusion de documents (affiches, dépliants, ) dans les classes scolaires sur «l hygiène dans les piscines» afin de sensibiliser les plus jeunes aux risques encourus dans les piscines et de prévenir tant les accidents que les éventuels risques de contamination dus à une hygiène insuffisante (exemple : l absence de douche à l entrée des bains entraîne une hausse des chloramines dans l air, ). Sensibiliser les usagers et les inciter aux bonnes pratiques d hygiène avant, pendant et après l accès aux bains. Ceci peut être envisagé par une campagne de communication menée par l ensemble des agents (exemples : affiches, plaquettes d information, messages d hygiène par les hauts parleurs de la piscine (rappel du port obligatoire du bonnet de bain ). ORGANISATIONNEL Prévision et planification du travail réel : Réaliser les fiches de postes pour les agents d exploitation des piscines et les maîtres nageurs. Etablir un règlement intérieur fixant les règles d hygiène et de sécurité de l établissement. Ce règlement doit être affiché afin d être visible par les usagers et les agents. Prévoir, si possible, une rotation dans les équipes de surveillance des bassins en incluant des périodes de pause. Ceci permet de réduire l exposition sonore près des bassins les plus bruyants et de maintenir en éveil la vigilance des surveillants de baignade. Limiter et respecter les capacités d accueil des bassins Tenir à jour un carnet sanitaire contenant les paramètres de qualité des eaux ainsi que les résultats quotidiens des contrôles bactériologiques et physico-chimiques effectués. Retour d information : Mettre en place un cahier de liaison ou un registre d observations entre l autorité territoriale, l encadrement et les agents. Gestion des interventions d entreprises extérieures : Dans le cadre des interventions d entreprises extérieures chargées de l entretien et de la maintenance des installations, la collectivité territoriale se doit de définir entre autre : - les conditions dans lesquelles elle souhaite voir réaliser l intervention, - les risques occasionnés pour les agents, les employés et même les usagers le cas échéant, - les consignes de sécurité à respecter. Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 4

5 A cet effet, il sera nécessaire d établir, dans certains cas, un plan de prévention écrit, document signé conjointement par l entreprise extérieure et la collectivité. TECHNIQUE Les risques physiques Les problèmes de bruit au niveau du bassin sont résolus le plus souvent dès la conception des installations. Pour les installations existantes, il est possible de placer des matériaux absorbants sous la toiture ou sur les murs. Enfin le personnel présent sur les bassins couverts peut être doté de protections auditives adaptées. Veiller à ce que les agents disposent des EPI et des vêtements de travail requis et que ceux-ci soient en bon état : - les agents présents sur le bassin (MNS) doivent porter des chaussures en plastique ouvertes (sandales) à semelle antidérapante. - Ils peuvent être dotés de protections auditives. Ces protections doivent permettre de garder un contact auditif suffisant avec l extérieur (messages d alerte nécessaires pour la surveillance du bassin). Des bouchons moulés individualisés équipés de filtres spécifiques peuvent permettre de maintenir cette communication. 1. Veiller au port et à la vérification de l état et à l entretien des EPI par les agents Avoir un moyen de communication permanent ( ) afin de pouvoir contacter la hiérarchie et/ou les services d urgence le cas échéant, Respecter des règles d hygiène strictes ainsi que les procédures d urgence : Dans tous les cas, prévoir un lavage des mains et une douche après la manipulation des produits et les opérations de nettoyage. Etre vigilant lors des déplacements surtout lorsque le sol est mouillé. Les risques chimiques Les opérations de transvasement de bidons de produits de traitement dans des cuves peuvent être éliminées par la mise en place d un système de transvasement par gravitation. Le stockage des réserves de produits de traitement devra être effectué dans un local spécifique observant certaines règles de sécurité, notamment : - concernant sa situation (local éloigné de la chaufferie et des vestiaires, non accessible au public mais uniquement aux personnes formées et habilitées à utiliser les produits) - concernant sa construction et son aménagement (local construit en matériaux résistant ½ heure au feu permettant l évacuation rapide des occupants, ventilé et tempéré, comportant des bacs de rétention en cas de fuite de produits, une séparation physique des produits, possédant un affichage de l interdiction de fumer ) - Les produits de désinfection ne devront pas être stockés près des produits acides (dégagements de chlore et réactions explosives) et des produits azotés ou facilement oxydables. les autres produits (pots de peinture, ) devront être stockés en local ou en armoires selon les mêmes règles, mais en un lieu isolé des produits de traitement. Emplacement(s) où sont réalisés les traitements : un point d eau devra être installé à proximité du poste de travail afin de pouvoir agir en cas de projection accidentelle du produit (douches de sécurité et lave-œil). Manipulation des produits : demander les Fiches de Données de Sécurité aux fournisseurs de produits et les tenir à disposition des agents. Il est nécessaire de transmettre ces documents au médecin de prévention, pour information. Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 5

6 Les EPI et les vêtements de travail nécessaires à la manipulation des produits chimiques (cf. la fiche de donnée de sécurité du produit manipulé) : - vêtements de travail traités anti-acides, - gants en PVC avec manchettes, - écran facial de protection, masque de protection respiratoire filtrant les vapeurs organiques (masque à cartouche anti-chlore), - chaussures ou bottes de sécurité. Veiller au port et à la vérification de l état des EPI ainsi qu à leur entretien par les agents Les installations sanitaires et les vestiaires doivent être mis à leur disposition en quantité suffisante (un cabinet d aisance, un lavabo, une douche, et une armoire vestiaire individuelle. Les risques d incendie et ou d explosion S assurer de la présence et du bon état des installations électriques, de la sécurité incendie des locaux (extincteurs appropriés, système de sécurité incendie) ainsi que des procédures anti panique (consignes d évacuation, consignes de mise en sécurité des installations, ), Faire vérifier annuellement les installations électriques, ainsi que les extincteurs Organiser régulièrement des exercices d évacuation des bassins. Les risques biologiques Afin de diminuer les risques sanitaires pour les usagers et les agents des piscines, l autorité territoriale doit : limiter tous les apports extérieurs de contamination (chaussures, végétaux, aliments) par des installations adaptées (douches, sanitaires, pédiluves). Assurer l entretien régulier des sols permet d éliminer les germes pathogènes responsables de nombreuses affections cutanées. Un cycle de lavage, comprend les phases de prélavage (au jet), de nettoyage (brossage avec un produit détergent), de rinçage (jet d eau ou nettoyeur à haute pression) et de désinfection (jet d eau additionné de désinfectant) Afin de prévenir les risques d irritation par les chloramines présents dans l air, il est important de veiller au bon réglage du système de ventilation. Le dosage du chlore dans l eau et l efficacité de la filtration sont également à surveiller. Les chloramines peuvent également être éliminées au moyen de déchloraminateurs (il existe différents procédés). S assurer du suivi des visites médicales des agents (Surveillance médicale renforcée) et de la mise à jour des vaccinations recommandées par le médecin de prévention. Remarque : la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales (DDASS) contrôle périodiquement les installations des piscines publiques. Pour ce faire, elle prélève des échantillons et vérifie : - la salubrité générale de l établissement, - le fonctionnement des installations électriques, - la tenue du carnet sanitaire, la qualité physico-chimique de l eau. Agent d exploitation des piscines et Maître Nageur Sauveteur 6

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