marge jusqu au cou» Pour éviter d être «Dans la Rédigé par le comité déréglementation Avril 2010
|
|
- Émilien Lussier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Associations membres : ACEF de la Péninsule ACEF de l'outaouais ACEF de Québec ACEF des Basses-Laurentides Pour éviter d être «Dans la marge jusqu au cou» ACEF des Bois-Francs ACEF du Haut-St-Laurent ACEF du Sud-Ouest de Montréal ACEF Rimouski-Neigette et Mitis ACEF Rive-Sud de Montréal APIC Côte-Nord CRIC de Port-Cartier CIRCCO GRAPE SAAB de Charlevoix-Est Recommandations présentées dans le cadre de la consultation publique du Groupe de travail sur la littératie financière par la Coalition des associations de consommateurs du Québec (CACQ) SB Lac-Saint-Jean-Est SBC de Chicoutimi SBC de Jonquière SBP de La Baie/Bas Saguenay SBP des Sources Rédigé par le comité déréglementation Avril 2010 SBP de Saint-Félicien Solutions Budget Plus 1
2 La Coalition des associations de consommateurs du Québec (CACQ) est un regroupement de plus d une vingtaine d associations de consommateurs, réparties à travers tout le Québec, qui vise la promotion et la défense des intérêts des consommateurs. La Coalition porte entre autres, depuis quelques années, une revendication auprès du gouvernement du Québec afin que soit adoptée une loi pour interdire la sollicitation et la publicité sur le crédit. 1.Contexte L augmentation faramineuse de l utilisation du crédit a considérablement contribué au phénomène du surendettement des consommateurs. Quotidiennement, les intervenants des associations membres de la Coalition des associations de consommateurs du Québec (CACQ) rencontrent des consommateurs aux prises avec de graves problèmes financiers. Ils constatent que ces personnes sont en possession d un instrument financier puissant dont ils ne maîtrisent pas les rouages. En effet, l utilisation excessive du crédit et la méconnaissance de son fonctionnement sont les raisons les plus fréquemment évoquées lorsqu une personne déclare faillite. Fortes de ces constats, les associations de consommateurs croient que les consommateurs ont besoin d être mieux informés sur les différentes formes de crédit et les risques inhérents à une utilisation irréfléchie du crédit, ainsi que des outils qui leur permettent de reprendre le contrôle sur la gestion de leurs finances personnelles. L éducation des consommateurs et l instauration de bonnes habitudes budgétaires permettent d exercer un contrôle sur les dépenses et de créer des habitudes d épargne. Toutefois, la CACQ est convaincue que les solutions doivent aller au-delà des responsabilités individuelles dans la mesure où les émetteurs de crédit ont aussi leur part de responsabilité en facilitant l accès au crédit. Nombre de chercheurs sont également d avis qu il faut privilégier la protection plutôt que l information : «Sans renoncer aux mécanismes de protection du consommateur de type informationnel, et tout en plaidant [ ] pour une responsabilisation accrue des professionnels du secteur, la priorité doit [ ] être accordée à une approche de type réglementaire ayant pleine force décisoire» 1 Conséquemment, la Coalition des associations de consommateurs du Québec croit que la solution à ce problème doit privilégier deux axes d action : L éducation et la sensibilisation des consommateurs en matière de finances personnelles La réglementation du crédit 2. De l information objective sur les finances personnelles 2.1 Favoriser l apprentissage des outils budgétaires Nous vivons dans une société de consommation où nous sommes constamment sollicités par la publicité et diverses techniques de vente pour acheter davantage de biens et services. Trop souvent, 1 Bourgoignie, Tierry : Pour une approche globale et intégrée de la protection du consommateur surendetté, dans «Endettement des consommateurs. Chronique d une catastrophe annoncée», actes du colloque : Colloque international sur la consommation les 12 et 13 mars 2009, Éditions Yves Blais,
3 le niveau de consommation dépasse la capacité financière des consommateurs. Or, les consommateurs manquent d outils pour évaluer de façon réaliste l impact de l utilisation du crédit sur leurs finances personnelles. Le budget est un outil puissant d éducation et de sensibilisation pour prévenir ou remédier au surendettement des consommateurs. Il leur permet de : connaître leurs habitudes de consommation ; prioriser leurs besoins ; garder le contrôle de leurs finances ; connaître leur capacité d emprunt ; se doter d une stratégie de remboursement réaliste. Idéalement, l apprentissage des connaissances budgétaires devrait débuter à l école pour être conséquemment approfondi dans d autres phases de la vie. Or, au Québec, l enseignement sur les finances personnelles ne fait plus partie du cursus scolaire. Les associations de consommateurs donnent des cours sur le budget à la population, en présentant différents outils budgétaires, adaptés à la situation des consommateurs. Et ce, à la fois dans leurs locaux mais également dans une multitude d organismes, tels que des groupes de femmes, d immigrants, en santé mentale, pour des personnes aînées, bénéficiaires de l aide sociale, en réinsertion au travail, etc. Par contre, leur niveau de financement souvent très faible ne leur permet pas de répondre à la demande. 2.2 Consultations pour les gens surendettés gratuites et objectives Dans les associations de consommateurs, les consommateurs aux prises avec un surendettement ont accès à des consultations budgétaires. Ces consultations sont conçues dans le but d aider un consommateur à prendre le contrôle de sa situation financière et l accompagner dans la recherche de solutions aux problèmes d endettement. À la rencontre, la première étape consiste à dresser un portrait réaliste de la situation (revenus, dépenses, surplus, déficit). Partant de cette évaluation, de l information est donnée sur les avantages et les inconvénients des solutions disponibles. S il y a lieu, un plan d action est établi. Contrairement à d autres organismes, les consultations dans les associations de consommateurs sont gratuites et il n existe aucun lien financier entre les associations et les créanciers. L information fournie est neutre et aucune option n est traitée de façon privilégiée. L année dernière, les consommateurs québécois ont pu constater l arrivée des organismes de «credit counceling» établis ailleurs au Canada depuis plusieurs années. Dans un rapport publié en 2006, l Union des consommateurs soulevait des questionnements très pertinents par rapport à l objectivité de leurs conseils et leur financement : «Le fait que des entreprises aient l opportunité de se présenter aux consommateurs comme des intervenants désintéressés oeuvrant à les aider à surmonter leurs problèmes d endettement, quitte à semer la confusion sur le travail qu ils tentent vraiment d accomplir, ne devrait pas être toléré. Le fait que la rémunération d un prétendu conseiller en budget familial soit fonction d une commission ou d une prime au rendement laisse pour le moins perplexe. La vente de produit (crédit, hypothèques [ ]) sous couvert de consultation budgétaire nous apparaît éthiquement et socialement inacceptable. [ ] Idéalement, en vue de garantir que ces consultations sont totalement désintéressées, il peut sembler problématique que la survie des organismes qui offrent ces consultations soit liée à un financement qui puisse dépendre directement des sommes qui sont susceptibles d être versées aux créanciers dans le cadre, par exemple, de plans de gestion de remboursements. 2 2 Union des consommateurs : Pratiques et éthique de la consultation budgétaire, Rapport final du projet de recherche, présenté au Bureau de la consommation d'industrie Canada, Novembre
4 2.3 Information financière objective Pour les consommateurs, il n est pas facile de trouver de l information financière fiable et facile à comprendre. Pour combler cette lacune, la Coalition des associations de consommateurs du Québec (CACQ) mène, en collaboration avec les associations de consommateurs du Québec, une vaste campagne de sensibilisation au phénomène du crédit à la consommation intitulée «Dans la marge jusqu au cou!». Cette campagne se tient à la fin du mois de novembre de chaque année et se déroule partout à travers la province de Québec. Avec divers moyens, elle vise à sensibiliser et informer les consommateurs aux dangers potentiels liés à certains comportements à risque, tel que l utilisation excessive du crédit pouvant mener à l endettement. Cette campagne se veut un contrepoids à la rareté de l information financière objective et accessible ainsi qu à l'omniprésence de la publicité qui incite les citoyens à consommer toujours davantage, par le biais du crédit. Les institutions financières, quant à elles, font de plus en plus d éducation sur les questions financières que ce soit sur leur site internet, par le biais de brochure ou par des activités d éducation dans les écoles (par exemple par le Mouvement Desjardins ou les retraités de l Association bancaire canadienne). Toute la question de l objectivité peut alors se poser : les compagnies émettrices peuvent-elles à la fois poursuivre l objectif de vendre leurs produits financiers tout en assumant objectivement un rôle d éducation aux finances personnelles? Ces compagnies font des millions de dollars de profit grâce aux produits du crédit. Une partie de ces profits ne devrait-elle pas servir à l éducation des consommateurs aux finances personnelles? Toutefois, pour assurer une certaine neutralité aux activités éducatives, le gouvernement ne devrait-il pas créer un fonds pour l éducation aux finances personnelles, financé à même un pourcentage des profits des compagnies et donner la responsabilité de l éducation aux organismes qui n ont aucun intérêt pécuniaire? La CACQ recommande le maintien d un cours en éducation aux finances personnelles dans les écoles ; LA CACQ recommande une stratégie de financement des organismes à but non lucratif leur permettant d informer les consommateurs de façon objective et désintéressée ; La CACQ recommande l encadrement de la pratique et l éthique de la consultation budgétaire au Canada en vue de s assurer que les consommateurs disposent d un niveau de protection adéquate en la matière. 3. Augmenter l encadrement réglementaire du crédit L expérience acquise auprès des consommateurs endettés démontre que deux facteurs sont déterminants dans l utilisation excessive du crédit : L octroi du crédit trop souvent sans analyse de la réelle capacité de remboursement du consommateur. L abondance de la sollicitation et de la publicité sur le crédit est un élément déterminant menant à l augmentation de l endettement. Il est donc primordial que certaines règles régissant la pratique du crédit soient révisées afin de renforcer la protection du consommateur. 3.1 Analyse de la capacité de remboursement L octroi du crédit (notamment du crédit variable) se fait trop souvent sans examen de la capacité financière du consommateur. Le consommateur peut donc se voir accorder de multiples cartes de crédit en plus d une marge et le montant de remboursement mensuel de l ensemble de ses créances dépasse donc souvent la capacité de payer du consommateur. 4
5 En Europe, on parle de plus en plus de responsabilité sociale des institutions financières et l on instaure des mesures visant à lutter contre l endettement telle l obligation de vérifier la solvabilité du consommateur avant d octroyer du crédit. Plusieurs pays européens (Suisse, Pays-Bas, Belgique) appliquent le concept du «prêt responsable» dans leur législation, ce concept fait également partie de la nouvelle directive en matière de crédit de l Union européenne. Un prêt responsable suppose essentiellement que le prêteur soit capable de démontrer qu il a évalué soigneusement la capacité de remboursement de l emprunteur avant de lui accorder le prêt. Lorsque le prêteur ne respecte pas son obligation d étude préalable de la solvabilité de l emprunteur, il perd le droit de réclamer les frais de crédit. 3.2 La sollicitation et la publicité sur le crédit Les consommateurs sont inondés de sollicitations personnalisées. Toutefois, les offres ne contiennent pas l'information nécessaire à la compréhension du crédit permettant une utilisation judicieuse. Les émetteurs de crédit diront que les consommateurs sont assez intelligents pour faire des choix qui conviennent à leur situation financière. Le problème, c est que les sollicitations et les publicités sur le crédit ne s adressent pas à l intelligence des consommateurs, mais bien à leurs émotions et à leur impulsivité. En effet, les sollicitations et les publicités sur le crédit s adressent beaucoup aux jeunes par leur façon d associer le crédit à une façon de vivre (style de vie), tel le prestige, les loisirs, l enthousiasme, la vitalité, le risque ou l audace. Dès l âge de 18 ans, les jeunes sont très sollicités par les banques. Selon Marie Lachance, professeure au Département d économie, agroalimentaire et science de la consommation de l Université Laval, «Les jeunes grandissent dans une société où le crédit est omniprésent. Leurs propres parents sont plus endettés que jamais! Ils sont d ailleurs très sollicités par les banques, jusque sur le campus» 3. Les institutions émettrices de crédit sollicitent régulièrement les jeunes, en s installant sur des campus de CÉGEP et d universités et en offrant des cartes de crédit aux jeunes sans historique de crédit. La CACQ recommande que la responsabilité des prêteurs d argent soit engagée en créant une obligation pour les prêteurs de vérifier la capacité de remboursement avant l octroi d un prêt. La CACQ recommande : qu il soit interdit de faire de la sollicitation personnalisée de crédit par la poste, par téléphone, par Internet ; qu il soit interdit de faire de la sollicitation sur le crédit auprès des jeunes âgés de moins de 18 ans ; qu il soit interdit de faire de la sollicitation sur le crédit auprès des jeunes dans les lieux qu ils fréquentent, notamment les établissements scolaires. 3 Lachance, Beaudoin et Robitaille, Les jeunes adultes québécois et le crédit : Connaissances, attitudes et endettement, Dossier consommation no 15, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval,
Rédigé par le comité déréglementation Février 2014. Associations membres : ACEF de la Péninsule. ACEF de l'outaouais.
Associations membres : ACEF de la Péninsule ACEF de l'outaouais ACEF de Québec ACEF des Basses-Laurentides ACEF des Bois-Francs ACEF du Haut-St-Laurent ACEF du Sud-Ouest de Montréal ACEF Rimouski-Neigette
Plus en détailATTENTION AUX REQUINS!
BESOIN D ARGENT? ATTENTION AUX REQUINS! GUIDE SUR LES INTERMÉDIAIRES FINANCIERS VOUS NE POUVEZ PLUS PAYER VOS DETTES? Vous êtes tenté d aller vers un service qui annonce des solutions miracles? Attention
Plus en détailDANS LA MARGE. JUSQU AU COU! Slogan créé par l ACEF Amiante-Beauce-Etchemins TROUSSE DE PREMIERS SOINS BUDGÉTAIRE
DANS LA MARGE JUSQU AU COU! Slogan créé par l ACEF Amiante-Beauce-Etchemins TROUSSE DE PREMIERS SOINS BUDGÉTAIRE INTRODUCTION Depuis 10 ans déjà, la Coalition des associations de consommateurs du Québec
Plus en détailLes offres de crédit postales
COALITION DES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS DU QUÉBEC Les offres de crédit postales Entre le rêve et la réalité RAPPORT FINAL DU PROJET DE RECHERCHE PRÉSENTÉ AU BUREAU DE LA CONSOMMATION D'INDUSTRIE CANADA
Plus en détailCrédit : Comment vous êtes coté
Crédit : Comment vous êtes coté Comprendre et gérer votre situation à l égard du crédit à titre de consommateur et d entreprise D-IN0440F-0201 Introduction Nous vivons dans un monde en évolution constante
Plus en détailGérer son crédit. Introduction. Clientèle cible : Élèves des niveaux postsecondaires. Objectifs :
Introduction Auteure : Nicole Racette (Équipe de production) Gérer son crédit Objectifs : Atteindre une santé financière afin d avoir une meilleure qualité de vie; Considérer l épargne comme une solution
Plus en détailAppel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée
Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Introduction Les diplômés des universités et des collèges du Canada sont confrontés à des taux inacceptables
Plus en détailL éduca onfinancière. Manuelduparticipant Lacotedecrédit. Unedivisionde
L éduca onfinancière Manuelduparticipant Lacotedecrédit Unedivisionde 1 DOCUMENT 7-1 Les bureaux de crédit Les bureaux de crédit sont des agences qui recueillent des renseignements sur la façon dont nous
Plus en détailLE CRÉDIT DANS UN NOUVEAU PAYS:
LE CRÉDIT DANS UN NOUVEAU PAYS: UN GUIDE À PROPOS DU CRÉDIT AU CANADA Une publication mise gratuitement à votre disposition par Consolidated Credit Counseling Services du Canada, Inc. Un organisme de charité
Plus en détailL accompagnement des étudiants dans la gestion de leur budget. Colloque des services aux étudiants. Université du Québec 28 mai 2014
L accompagnement des étudiants dans la gestion de leur budget Colloque des services aux étudiants Université du Québec 28 mai 2014 Une présence provinciale d associations de consommateur Coalition des
Plus en détailPLAN DE LEÇON TITRE : Comprendre le crédit et votre rapport de solvabilité. Résultats d apprentissage de la littératie financière
Comprendre le crédit et votre rapport de solvabilité 70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : décrire les répercussions que pourront
Plus en détailDevenir un gestionnaire de personnes
Devenir un gestionnaire de personnes SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Déterminer vos besoins Trouver les bonnes personnes Conserver les bons employés SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Le passage de personne d
Plus en détailMémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec
MÉMOIRE SUR LE PROJET DE LOI 8 ÉLARGISSANT LA VENTE D ASSURANCES FUNÉRAIRES AU QUÉBEC Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec Septembre 2007 15 avril
Plus en détailBienvenue chez desjardins. le premier groupe financier coopératif au canada
Bienvenue chez desjardins le premier groupe financier coopératif au canada 04 Vous accueillir. Vous accompagner. Vous simplifier la vie. desjardins souhaite faciliter votre intégration au pays. dans cette
Plus en détailQ1 Quel est votre sexe?
Q1 Quel est votre sexe? Répondues : 458 Ignorées : 0 Homme Femme Homme Femme 18,56% 85 81,44% 373 Total 458 1 / 11 Q2 Quel est votre âge? Répondues : 458 Ignorées : 0 18-24 ans 25-34 ans 35-44 ans 45-54
Plus en détailLE CRÉDIT DANS UN NOUVEAU PAYS:
LE CRÉDIT DANS UN NOUVEAU PAYS: GUIDE DU CRÉDIT AU CANADA Une publication gratuite fournie par Consolidated Credit Counseling du Canada, Inc., un organisme de bienfaisance enregistré de conseils en crédit
Plus en détailServices bancaires pour les petites et moyennes entreprises Ce que vous devez savoir
06 Services bancaires pour les petites et moyennes entreprises Ce que vous devez savoir La majorité des clients d affaires des banques sont de petites et moyennes entreprises (PME). En effet, les banques
Plus en détailLe Plan libéral pour les soins familiaux
Le Plan libéral pour les soins familiaux 1 Le Plan libéral pour les soins familiaux AUX CÔTÉS DES FAMILLES CANADIENNES Les membres d une famille s appuient entre eux. Les familles canadiennes veulent s
Plus en détail3 e pilier, prévoyance privée. Assurance vie
3 e pilier, prévoyance privée Assurance vie La prévoyance privée est facultative. Elle complète les prestations des 1 er et 2 e piliers et comble les lacunes en matière de prévoyance individuelle. Table
Plus en détailabri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période
Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailEndettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise
Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter
Plus en détailMODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE
MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE TABLE DES MATIÈRES Votre procuration est un document important Mise en garde 4 Pour bien comprendre la procuration Note explicative 6 1. Qu est-ce qu une procuration?...
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailDevenir un employeur de choix. Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments
Devenir un employeur de choix Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments Les propriétaires de petites et moyennes entreprises ont tout intérêt à mettre
Plus en détailGUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT. Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit
GUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit SOYEZ RESPONSABLE Les cartes de crédit sont de puissants outils financiers pour
Plus en détailVous achetez une première habitation? Sachez RAPer sans déraper!
Vous achetez une première habitation? Sachez RAPer sans déraper! Recherche et rédaction Julien Michaud (Autorité des marchés financiers) Collaborateurs Vincent Ardouin (Cégep Marie-Victorin) Marylaine
Plus en détailouvrir De ...grâce à l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
ouvrir De nouvelles portes aux logements abordables...grâce à l assurance prêt hypothécaire de la SCHL 65404 À titre d organisme national responsable de l habitation, la Société canadienne d hypothèques
Plus en détailLa situation financière des Canadiens
La situation financière des Canadiens 1 Approche client Microsoft Advertising Hiver 2015 LA SITUATION FINANCIÈRE DES CANADIENS 2 Des décisions financières difficiles et importantes doivent être prises
Plus en détail26 e CONFÉRENCE DES MINISTRES EUROPÉENS DE LA JUSTICE
26 e CONFÉRENCE DES MINISTRES EUROPÉENS DE LA JUSTICE Helsinki (7-8 avril 2005) Les aspects sociaux de la justice La recherche de solutions juridiques aux problèmes d endettement dans une société de crédit
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailInformation et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires
Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)
Plus en détailPLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage
70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne
Plus en détailSYNTHÈSE HISTORIQUE VÉCU DE L'AAR PARTIE 2
ALLIANCE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS SYNTHÈSE HISTORIQUE DU VÉCU DE L'AAR PARTIE 2 Par Jacques Guilmain (Membre de l'association des employés retraités de la ville de Montréal et membre du conseil d'administration
Plus en détailQu est-ce que le crédit?
Qu est-ce que le crédit? NIVEAU 9 11 Dans cette leçon, les élèves examineront les différents types de cartes de crédit offertes ainsi que les avantages et les inconvénients d acheter à crédit. Cours Initiation
Plus en détailSolutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise
Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout
Plus en détailL éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit
L éducation financière Manuel du participant Les notions de base du crédit 2 Contenu DOCUMENT 6-1 Les types de crédit Type de crédit Prêteur Usages Modalités Crédit renouvelable Carte de crédit (garantie
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailL assurance est là pour protéger votre famille
Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes
Plus en détaillautorite.qc.ca Comment faire le point sur vos finances personnelles?
lautorite.qc.ca Comment faire le point sur vos finances personnelles? Qui sommes-nous? L Autorité des marchés financiers est l organisme de réglementation et d encadrement du secteur financier au Québec.
Plus en détailCartes de crédit et jeunes : une combinaison fatale? Rapport final du projet de recherche présenté au Bureau de la consommation d'industrie Canada
Cartes de crédit et jeunes : une combinaison fatale? Rapport final du projet de recherche présenté au Bureau de la consommation d'industrie Canada par Août 2005 Rapport de recherche publié par : 1000 rue
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailConsultation publique. Invitation à formuler des commentaires
Consultation publique Le gouvernement du Canada dirige l élaboration d une stratégie nationale en matière de littératie financière, en vue de renforcer les connaissances, les compétences et la confiance
Plus en détailPrêt quand vous l êtes, quelle que soit votre situation
Prêt quand vous l êtes, quelle que soit votre situation Fonds distincts Idéal Signature 2.0 La Standard Life au Canada fait maintenant partie de Manuvie www.manuvie.ca Table des matières 02 Faites d abord
Plus en détailD ASSURANCE MÉDICAMENTS
La consultation de ce document au moyen de technologies d adaptation informatique peut être problématique. Pour un contenu accessible, visitez les pages équivalentes de notre site. DOCUMENT À CONSERVER
Plus en détailLe travail continue! Message du président
Bulletin / avril 2014 Section Télébec Message du président Le travail continue! L hiver est maintenant derrière nous et les beaux jours du printemps sont à notre porte. Enfin, diront certains. Mais, quelle
Plus en détailAuteure : Natalie Poulin-Lehoux
Édition Centre FORA 432, avenue Westmount, unité H Sudbury (Ontario) P3A 5Z8 Information : 705-524-3672 Télécopieur : 705-524-8535 Commandes : cranger@centrefora.on.ca Site Web : www.centrefora.on.ca Auteure
Plus en détailLe portrait budgétaire
ACEF du Haut-Saint-Laurent 340 boul. du Havre, bur. 203 Salaberry-de-Valleyfield, Québec J6S 1S6 Téléphone : 450-371-3470 Courriel : acefhsl@hotmail.com Page web : www.acefhsl.org Les bureaux de l ACEF
Plus en détailLe Québec a instauré, en 1997, un régime général d assurance. L adoption d un régime entièrement public D ASSURANCE MÉDICAMENTS. s impose au Québec
L adoption d un régime entièrement public D ASSURANCE MÉDICAMENTS s impose au Québec Dans son plan d action national 2011-2014, qui découle des orientations adoptées lors du Congrès de juin 2011, l AREQ
Plus en détailDans ce numéro. Le dossier de crédit : à quoi ça sert au juste?
Le dossier de crédit : à quoi ça sert au juste? JOHANE ARNOULD Je vais vous raconter une anecdote qui montre bien que ce n est pas aussi simple qu on pourrait le croire. Je suis arrivée au Québec il y
Plus en détailassurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace
assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace Notre vision Desjardins Assurances est un acteur canadien important en assurance collective, reconnu pour son
Plus en détailLe microcrédit personnel accompagné
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailLe système de retraite québécois : constats et grands enjeux
Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux Colloque sur la retraite au Québec Cercle finance du Québec Roland Villeneuve Vice-président aux politiques et aux programmes Le 31 octobre
Plus en détailNégociation des ententes de financement, de Prêt et de Crédit
Négociation des ententes de financement, de Prêt et de Crédit Me David Lemieux Fasken Martineau 22 mai 2007 Première Étape : Déterminer les besoins de l entreprise 1. Plan d affaires 2. Projections financières
Plus en détailCompte-rendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008.
Compterendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008. Animateurs de la rencontre : Madame Nadine Daoud, présidente de la
Plus en détailPLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES
PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion
Plus en détailSolutions d assurance pour les propriétaires de petite entreprise
Solutions d assurance pour les propriétaires de petite entreprise Les petites entreprises échouent pour diverses raisons : manque de planification, gestion déficiente, financement inadéquat, ralentissement
Plus en détailUNITÉ D ENSEIGNEMENT
UNITÉ D ENSEIGNEMENT Volet : Titre : Matière d enseignement recommandée : Autre(s) matière(s) pertinente(s) : Emprunter de l argent et utiliser le crédit Gérer l endettement et le crédit Sciences humaines
Plus en détailJournal d inventaire de la succession
Journal d inventaire de la succession Introduction L une des principales responsabilités du liquidateur d une succession consiste à dresser la liste des biens et des dettes de la personne décédée. C est
Plus en détailLe microcrédit personnel accompagné
OCTOBRE 2013 N 36 CRÉDIT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Le microcrédit personnel accompagné Ce mini-guide vous est offert par : SOMMAIRE
Plus en détailRenseignements sur les différents types d hypothèque pour l achat d une propriété résidentielle
Renseignements sur les différents types d hypothèque pour l achat d une propriété résidentielle Faire l acquisition d une propriété en toute tranquillité Ce document contient des renseignements sur les
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailSOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT. Aide-mémoire
SOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT Aide-mémoire 1 Solutions de la Banque Manuvie pour des contrats d assurance permanente donnés en garantie
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailLe financement de l entreprise
Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,
Plus en détailBrochure. À propos des prêts hypothécaires de B2B Banque LA BANQUE AU SERVICE DES COURTIERS
Brochure Réservé aux courtiers en prêts hypothécaires à titre d information À propos des prêts hypothécaires de B2B Banque LA BANQUE AU SERVICE DES COURTIERS La Banque au service des courtiers. À propos
Plus en détailConseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017
Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional
Plus en détailL éducation financière dans le réseau de l éducation
L éducation financière dans le réseau de l éducation L Institut collégial de la littératie financière, le Cégep Gérald-Godin et le Collège de Rosemont proposent trois cours sur la gestion des finances
Plus en détailProgramme de prêts REER
Brochure Programme de prêts REER Réservé aux conseillers à titre d information Page 1 de 10 À propos de B2B Banque Un chef de file canadien parmi les fournisseurs de prêts investissement et REER offerts
Plus en détailCartes de crédit à vous de choisir. Choisir la carte de crédit qui vous convient
Cartes de crédit à vous de choisir Choisir la carte de crédit qui vous convient À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de
Plus en détailFonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.
Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:
Plus en détailÉtape 1 : Renforcer la littératie financière des aînés
Soumission Ottawa 03 juillet 2014 Vers l adoption d une stratégie nationale pour la littératie financière Étape 1 : Renforcer la littératie financière des aînés Entraide budgétaire Ottawa a participé et
Plus en détailASSURER VOS PROJETS PROFESSIONNELS
ASSURER VOS PROJETS PROFESSIONNELS Le professionnel libéral, en qualité de chef d entreprise, se doit de couvrir sa responsabilité civile professionnelle ainsi que celle de ses collaborateurs ; il doit
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailLumière sur le dossier de crédit
752371475796195784410514425034919229125966691403 731357165987887390517388525458146660281582692990 476305115530580849601916633892027886521971369998 056438566201480982709642757557742937993251169491 138256991401648917557143532396695127816459553153
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailLa Caisse d éd. économie solidaire Desjardins
La Caisse d éd économie solidaire Desjardins Le Mouvement Desjardins 1 er groupe financier au Québec. Au 18 e rang des institutions financières les plus sécuritaires au monde. Actif de 190,1 milliards
Plus en détailPréparez la retraite que vous voulez
Préparez la retraite que vous voulez Vous méritez une retraite agréable La retraite est l un des événements les plus importants de votre vie. Elle marque le passage vers une nouvelle étape merveilleuse
Plus en détailManuel de l agent de crédit Banco Solidario
Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.
Plus en détailLes principaux crédits et les pièges à éviter
Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies
Plus en détailAccès USA RBC facilite l accès aux services bancaires aux É.-U.
Accès USA RBC facilite l accès aux services bancaires aux É.-U. Des services bancaires commodes conçus spécialement pour les Canadiens qui sont aux É.-U. Accès USA RBC facilite l accès aux services bancaires
Plus en détailDEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT
DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE
Plus en détailLivre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité
Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité PROPOSITIONS POUR AMÉLIORER LA SANTÉ ÉTUDIANTE LA SECURITÉ SOCIALE DES ÉTUDIANTS Le réseau national des mutuelles étudiantes de proximité MEP ı MGEL ı
Plus en détailI. Résumé des changements apportés à la Loi sur la faillite et à la LACC
Dispositions de la Loi sur la faillite et l insolvabilité et de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies qui entrent en vigueur le 18 septembre 2009 Le 14 septembre 2009 Le texte
Plus en détailAPERÇU DU FONDS Fonds Iman de Global, série A au 13 avril 2015
APERÇU DU FONDS Fonds Iman de Global, série A au 13 avril 2015 Ce document contient des renseignements essentiels sur le Fonds Iman de Global que vous devriez connaître. Vous trouverez plus de détails
Plus en détailCIG d Investissements Manuvie. Sécurité pour votre portefeuille, Choix et souplesse pour vous
CIG d Investissements Manuvie Sécurité pour votre portefeuille, Choix et souplesse pour vous Les CIG * d Investissements Manuvie DES CARACTÉRISTIQUES NOVATRICES ADAPTÉES À VOS BESOINS DE PLACEMENT 1. Profitez
Plus en détailChronique Assurances et gestion des risques. sous la responsabilité de Gilles Bernier 1
Chronique Assurances et gestion des risques sous la responsabilité de Gilles Bernier 1 Puisque ce numéro de la Revue, tout comme celui de janvier 2004, est consacré à l assurance automobile, j ai choisi
Plus en détailFrais bancaires Troisième rapport annuel. 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca
Frais bancaires Troisième rapport annuel 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca Aperçu Cette année, le rapport annuel porte sur : 1. L attitude des Canadiens à l égard des frais bancaires
Plus en détailrégie par l Autorité des marchés financiers
Exercer une profession régie par l Autorité des marchés financiers Sommaire n Attributions et conditions pour exercer 1 une profession régie par l AMF n Obtention du certificat de représentant 2 n Assurance
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailMémoire présenté. Comité de l Assemblée législative pour un régime d assurance automobile public abordable, équitable et accessible
Mémoire présenté au Comité de l Assemblée législative pour un régime d assurance automobile public abordable, équitable et accessible par la Société des enseignantes et des enseignants retraités francophones
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailSecrétariat du Grand Conseil. R Numéro d objet. Proposition de résolution Lutte contre le surendettement: il est temps d agir!
Secrétariat du Grand Conseil R Numéro d objet Projet présenté par les députés : Mme Prunella Carrard Date de dépôt : 07 juin 2011 Proposition de résolution Lutte contre le surendettement: il est temps
Plus en détailAutomobiles et prêts Acétates
Neuvième leçon Automobiles et prêts Acétates Coûts reliés à la possession et à la conduite d une voiture Frais de propriété (fixes) : Dépréciation (d après le prix d achat) Intérêt (s il s agit d un achat
Plus en détailCentre Européen des Consommateurs GIE. Luxembourg CREDIT «FACILE»?
Centre Européen des Consommateurs Luxembourg CREDIT «FACILE»? GIE 2009 CREDIT «FACILE»? Cette brochure vise à informer le consommateur, au moyen de conseils et informations pratiques, sur les droits et
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détail