LA DEMARCHE PLAN D ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUALISE EN RESEAU (PARI)
|
|
- Auguste Fontaine
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA DEMARCHE PLAN D ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUALISE EN RESEAU (PARI) Blanco Pilar Ferraro Marcellina
2 L Historique Mandats du Conseil de Direction Objectif opérationnel: «Mettre M en place une démarche de projet personnalisé; faire participer le réseau d intervenant et la personne en situation de handicap; favoriser l intégration.» En réponse à: 2001: L OFAS pose 19 conditions devant être vérifiées par un organisme de certification. Une de ces conditions: existence d une procédure qui garantit la personnalisation des services
3 La mise en place Nommer un responsable de projet Créer un groupe de travail Choisir un intervenant: collaboration avec M Louis Vaney Rendre régulièrement un rapport sur l avancement du projet Avoir l aval à chaque étape du projet Créer les documents Mettre en place une formation interne pour expliquer la méthodologie de la démarche 2005 application de la démarche Formation continue interne sur la méthodologie de la démarche
4 Qu est ce que c est un «PARI»? P: PLAN trace écrite du projet de la personne, déroulement des étapes, projection dans le futur, passé présent - avenir. A: ACCOMPAGNEMENT soutien nécessaire à la personne pour qu elle participe activement et réalise son projet.
5 Qu est ce que c est un «PARI»? R: RESEAU intervenants, partenaires extérieurs à l institution (médical, paramédical, loisirs, formation, travail, etc.).approche globale, communication, collaboration, coordination. I: INDIVIDUEL prestations personnalisées, prestations adaptées à la personne.
6 Le Plan d Accompagnement Individualisé en Réseau : «est un projet écrit, réalisé, évalué et révisé régulièrement avec la personne en situation de handicap, dans la mesure de ses capacités, ses représentants et en collaboration avec les services internes et externes concernés. Il est basé surtout sur l inventaire des forces et des besoins de la personne».
7 Et avant 2005, ça se passait comment? Un formulaire existait: objectifs spécifiques de la personne pas de procédure qui coordonne l action entre les intervenants internes et externes pas d outil d évaluation des besoins.
8 En fait, ça ressemblait un peu à ça
9 Et depuis 2005? Application de la démarche PARI avec des fondements méthodologiques La personne en situation de handicap est impliquée Collaboration effective avec les partenaires, intervenants internes et externes et les familles La personne en situation de handicap a un projet de vie construit sur ses besoins et des objectifs qui sont évalués régulièrement
10 Et nous voici aujourd hui La bride et tous les éléments qui permettent de diriger l attelage = La démarche PARI Charrette=projet de la personne Chevaux= partenaires, intervenants internes et externes Coché= personne en situation de handicap soutenue par le référent
11 Avant la première étape de la démarche PARI Définir le réseau de la personne Définir quelles intervenants, partenaires, proches vont participer au projet Définir si la personne en situation de handicap peut participer activement à son projet Comment favoriser la participation de la personne en situation de handicap? service La démarche des résidences PARI et EPI ateliers 2009 de développement personnel pour personnes hand
12 Participation de la personne en situation de handicap Informer et expliquer la démarche : quand? Evaluation synthétique: comment et quand faire participer la personne en situation de handicap? Séance plénière: comment et quand faire participer la personne en situation de handicap? service La démarche des résidences PARI et EPI ateliers 2009 de développement personnel pour personnes hand
13 Participation de la famille et des proches Pertinence de la participation de la famille pour la personne en situation de handicap adulte: la famille reste un accompagnateur et un conseiller privilégier même pour des adultes non handicapés La présentation de la démarche PARI a lieu lors de l évaluation synthétique La famille et les proches participent à l évaluation synthétique en tant que partenaire. La famille et les proches participent à la séance plénière.
14 Participation des partenaires La personne en situation de handicap peut choisir les partenaires qui vont participer à la démarche PARI quels thérapeutes externes et internes? Absence de réseau? Besoin d étoffer le réseau? Participation d un autre collaborateur pour élargir le point de vue
15 Définir le référent socio éducateur du projet Présentation du PARI 3 mois Evaluation synthétique Séance Plénière Les étapes du PARI: année 0 Rédaction des Plans d Action Individualisés PAI 1 mois Mise en place et suivis des PAI Réunion intermédiaire et révision des PAI? 8 mois Réunion du Bilan annuel
16 Les étapes du PARI: année 1 Mise à jour des PAI Suivis des PAI 12 mois Réunion du Bilan annuel
17 Les étapes du PARI: année 2 Mise à jour des PAI Suivis des PAI 12 mois Réunion du Bilan annuel
18 Les étapes du PARI: année 3 Mise à jour des PAI Suivis des PAI 12 mois Réunion du Bilan annuel
19 Définir le référent socio éducateur du projet Présentation du PARI 3 mois Evaluation synthétique Séance Plénière Les étapes du PARI: année 4 Rédaction des Plans d Action Individualisés PAI 1 mois Mise en place et suivis des PAI Réunion intermédiaire et révision des PAI? 8 mois Réunion du Bilan annuel
20 1) Définir le référent: Qui? Les étapes du PARI Le socio éducateur référent de la personne Rôle: il lui incombe la responsabilité d organiser le PARI, de solliciter les partenaires internes et externes et d assurer le suivi de la démarche sur toute sa durée. Pour qui? La personne qui habite dans un home occupationnel La personne qui habite en résidence et est intégrée dans un atelier de développement personnel ou centre de jour La personne qui habite dans sa famille et est intégrée dans un atelier de développement personnel ou centre de jour La personne qui habite dans une résidence et qui travaille dans un atelier de production
21 Les étapes du PARI 2) Présentation de la démarche PARI: Qui? Le socio éducateur référent de la personne Pour qui? La personne La famille et les proches Les partenaires internes et externes Pourquoi? Faire connaître les finalités, le fonctionnement et les procédures Faire connaître les engagements et fonctions de chacun Quand? Lors d une rencontre, avant de présenter la grille d évaluation synthétique Par courriel Par téléphone, etc.
22 Les étapes du PARI 3) L évaluation synthétique et son guide : Pourquoi un guide? Le guide est un support permettant de structurer la rédaction de la grille synthétique Qui complète la grille? La personne Le socio éducateur référent de la personne Les partenaires Quand? Lors d une rencontre Par courriel, par téléphone, etc.
23 Les étapes du PARI 3) L évaluation synthétique et son guide : Comment? En référence à un éventail de «sphère de développement» le plus large possible. En laissant apparaître les capacités émergentes de la personne En conservant une approche positive en répertoriant d abord ses forces : ce que la personne peut faire, même avec appui. Ce qu elle aime, ses goûts. Inversement, lister les préoccupations afin de les relever comme défis pour les réduire Lister les Besoins : les manques qui devraient être comblés, les défis qui devraient être relevés, les forces, les capacités qui pourraient être développées.
24 Les étapes du PARI 3) L évaluation synthétique et son guide : Comment? évaluer la personne le plus globalement possible S aider en utilisant les résultats des outils d évaluation utilisés au cours de l année (ou au court des 3 dernières années). chaque professionnel évalue les personnes avec les outils d évaluation spécifiques. Ces outils peuvent varier, notamment selon les formations et les fonctions des professionnels, selon les activités conduites et les cadres d observations.
25 Les étapes du PARI 3) L évaluation synthétique et son guide : Les sphères de développement retenues Santé, aspect moteur et aspects perceptif Personnalité, affectivité, sécurité physique et psychique Communication Relation, compétences sociales et intégration Connaissances, compétences cognitives et savoir-faire
26 Les étapes du PARI Santé, aspects moteurs, aspects perceptifs FORCES PREOCCUPATIONS/ DEFIS BESOINS PERSONNE FAMILLE RESIDENCE ATELIER FORMATION AUTRE
27 Les étapes du PARI 4) La séance plénière et le formulaire «Besoins Prioritaires» : qui? La personne Les partenaires Le référent Pourquoi? Partager les informations figurant sur la grille synthétique Connaître les différents points de vue confirmer les besoins listés et prioriser certains d entre eux Rédiger le formulaire besoin prioritaire.
28 Les besoins prioritaires Se référer impérativement au PV de la dernière séance plénière Nom : Prénom : Date : Personnes présentes : INTEGRATION* : Un besoin relié à l intégration doit être obligatoirement mis en évidence.* *Intégration : BESOINS PRIORITAIRES RETENUS SERVICES CONCERNES ECHEANCES Attentes vis-à-vis de la personne : Attentes vis-à-vis de la famille : Attentes vis-à-vis des autres partenaires : MQ - Visées pédagogiques PR Procédure et schéma du Plan d'accompagnement Individualisé en Réseau PARI
29 Les étapes du PARI 5) Les Plans d Action Individualisés Qui les rédige? Le référent Pourquoi? Définir les objectifs en lien avec les besoins prioritaires retenus Définir les stratégies pour répondre aux besoins: quels moyens mettre en place, quels outils évaluations utiliser Définir ce qui va être évaluer: la pertinence d un objectif ou d une stratégie? La fréquence d une stratégie ou d un obstacle? Etc.. Définir les délais des évaluations
30 Les étapes du PARI 5) Les Plans d Action Individualisés BESOINS PRIORITAIRES RETENUS OBJECTIFS SPECIFIQUES STRATEGIES, MOYENS OBSTACLES, SOLUTIONS EVALUATIONS PROJETEES RESULTAT DES EVALUATIONS, DATES service La démarche des résidences PARI et EPI ateliers 2009 de développement personnel pour personnes hand
31 Difficultés et solutions Le temps: une question d organisation? L évaluation synthétique + la séance plénière + l élaboration du Plan d Action Individualisé = 4 mois de travail soutenu tous les 4 ans L évaluation synthétique: 3 mois pour la réaliser. Enregistrement dans Vita doc, ainsi les partenaires internes peuvent la compléter à loisir. La séance plénière: dès le début de l évaluation proposer 3 dates aux partenaires et retenir celle où la majorité d entre eux peut venir. L élaboration du Plan d Action Individualisé: délai 1 mois après la séance plénière
32 Difficultés et solutions Le temps: une question d organisation? Le suivi des objectifs du Plan d Action Individualisé: L élaboration du Plan d Action Individualisé: délai 1 mois après la séance plénière décaler les délais d évaluation des différents objectifs permet de répartir le travail dans la durée. Suivi des objectifs peut se faire petit à petit. Ainsi le suivi annuel des objectifs peut être assuré Le Bilan: Réunion annuelle: le PV de cette réunion est le bilan Possible de noter à l avance des éléments sur le PV: événements significatifs, résultats des objectifs des PAI Utilisation du téléphone, du courriel et des rapports si les intervenants ne se déplacent pas
33 Difficultés et solutions La formulation des besoins confusion entre les moyens et les besoins Lors des formations, exercices spécifiques sur la formulation des besoins Le document de la grille synthétique a été modifier de telle sorte que des post-it apparaissent pour aider les rédacteurs à formuler les besoins
34 Difficultés et solutions La formulation des besoins: M ou Mme X a besoin de : Améliorer sa vue De calme D avoir un repos de qualité D améliorer son schéma corporel D être rassuré D entendre les mêmes consignes D anticiper les actions/ les changements De vérifier la cohérence de ce qui est exprimé De comprendre la fonction de la consigne De se situer dans un projet de vie cohérent De se sentir chez lui quelque part De libérer son énergie
35 Difficultés et solutions La rédaction des Plans d Action Individualisés Les besoins prioritaires retenus ne sont pas systématiquement retranscrits sur le formulaire PAI d une année à l autre: introduction de post-it informatifs sur le document. Confusion entre les objectifs que la personne doit atteindre et les objectifs en lien avec «l équipe»: formation et soutien ponctuel, introduction de post-it informatifs sur le document. Difficultés à comprendre qu il est nécessaire de définir ce qui va être évaluer: formation et soutien ponctuel, introduction de post-it informatifs sur le document.
36 Difficultés et solutions Comprendre la méthodologie Connaître la démarche: Formations internes Assurer la cohérence entre les diverses étapes du PARI: formation interne ou soutien ponctuel Assimiler les différentes étapes: formation et cas pratiques Savoir adapter la démarche aux situations particulières: soutien ponctuel Respecter les délais et le suivi des différentes étapes de la démarche
37 Le PARI: un outil de travail à appliquer sur le terrain Le PARI est indissociable du travail de terrain Tient compte des particularités de chaque situations Les adaptations doivent tenir compte des réalités du terrain l évaluation synthétique de la personne s effectue en situation
38 D une démarche globale à une démarche concrète Pour : Assurer le meilleur épanouissement de sa personnalité QUALITE DE VIE
39 Plan d Action d Individualisé Jeune homme âgé de 24 ans dont les besoins, lors de l évaluation EFI et AAPEP, se situent au niveau de: Autonomie résidentielle, Autonomie dans les loisirs Communication expressive et réceptive
40 Autonomie résidentielle Autonomie de base (hygiène) Objectif : M. M.D. sera capable de se doucher seul Le soir Dans la salle de bains Avec l éducateur qui le suit le soir Utilisation d une analyse de tâche visualisée Critère de réussite: : lorsqu il pourra se laver 3 jours de suite sans aucune intervention Entretien de la maison: Objectif : M. D.M. sera capable de trier les déchets recyclables (plastique, alu, papier) Après le goûter Dans la cuisine Avec l éducateur qui le suit le soir Utilisation de 3 bacs de recyclage et 1 bac «fourre-tout» Coller des pictogrammes sur les bacs Critère de réussite: : tri réussi durant 1 semaine, sans intervention. Renforçateur non défini par l équipe pour ces 2 apprentissages
41 Autonomie dans les loisirs Objectif : M. D.M. sera capable de regarder un DVD seul dans sa chambre Le soir avant la douche Dans sa chambre DVD d une émission courte et particulièrement appréciée par M. D.M. (Panthère Rose) Intervention de l éducateur: lui montrer ce moment représenté visuellement dans l horaire(par un fauteuil), aider M. D.M. à enclencher le DVD et sortir tout de suite, rester près de la porte et intervenir si M. D.M. tente de sortir. Critère de réussite : quand il sera capable de rester seul durant tout le film Renforçateur non défini par l équipe
42 Communication expressive Objectif : M. D.M. sera capable de faire une demande de manière spontanée Demander à boire Au petit déjeuner et au goûter Sur base de la méthodologie PECS L éducateur présent ne sert pas M. D.M. et ne lui pose aucune question Critère de réussite : quand M. D.M. sera capable de demander à boire au petit déjeuner et au goûter. Renforçateur : la boisson elle-même
43 Communication réceptive Réalisation d un maximum d analyse de tâche afin que M. D.M. comprenne les différentes étapes qui constituent l ensemble d une activité. Ces supports visuels sont mis en place pour «remplacer» les consignes verbales pour ainsi augmenter l autonomie de M. D.M.
44 Bonne suite de formation
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailGuide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention
Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailGuide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers
Guide du tuteur Baccalauréat professionnel Accueil-Relation Clients et Usagers Lycée Professionnel Henri Brulle 65 Route de Saint Emilion 33500 Libourne Tél : 05.57.48.12.30 Fax : 05.57.85.11.52 Présentation
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détailSynthèse Mon projet d emploi
Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailGuide du RDAQ. Comment saisir des descriptions de fonds et collections dans le Réseau de diffusion des archives du Québec (RDAQ)
Guide du RDAQ Comment saisir des descriptions de fonds et collections dans le Réseau de diffusion des archives du Québec (RDAQ) Table des matières Qu est-ce que le Réseau de diffusion des archives du Québec?
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL
LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL Vous allez effectuer un stage dans notre structure. Ce livret d accueil a été rédigé pour vous souhaiter la bienvenue et vous donner quelques informations
Plus en détailL INTEGRATION D UN NOUVEAU COLLABORATEUR
L INTEGRATION D UN NOUVEAU COLLABORATEUR «Rien ne sert de bien sélectionner, il faut aussi savoir intégrer à point!» Si un recrutement réussi dépend avant toute chose d une solide procédure de sélection,
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailENTREVUE ÉCRITE. Boucherie de détail (DEP) Boulangerie (DEP) Cuisine (DEP) Pâtisserie (DEP) Service de la restauration (DEP) Vente de voyages (DEP)
7, rue Robert-Rumilly Québec, G1K 2K5 ENTREVUE ÉCRITE Nom : Prénom : Date de naissance : Code permanent : Inscrit sur vos bulletins ou sur votre carte étudiante No de téléphone : COCHEZ LE PROGRAMME POUR
Plus en détailCommune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
Commune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR REGLEMENT INTERIEUR Vu la délibération du Conseil Communautaire en date du 26 mai 2015 et portant instauration du système des forfaits ; Vu la délibération
Plus en détailFormation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement
Formation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement BONNEL Conseils Associés Isabelle DOUAY : idouay@bonnel-conseils.com 9 A rue Châteaubriand 75008 PARIS tel. : 01
Plus en détailgestion du stress coaching d équipe coaching d entreprise
évolitude, est un cabinet de coaching et de en management et développement personnel, situé sur Paris et exerçant sur toute la France. Constitué de coachs certifiés et consultants partenaires, évolitude
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011
REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011 Modifié par délibérations des 9 juin et 15 décembre 2011 NOM et Prénom de
Plus en détailTechniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques
Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/
Plus en détailEXEMPLES D ADÉQUATION ENTRE LES COMPÉTENCES, LES TRAVAUX RÉALISÉS ET LES SYMBOLES POSSIBLES
EXEMPLES D ADÉQUATION ENTRE LES COMPÉTENCES, LES TRAVAUX RÉALISÉS ET LES SYMBOLES POSSIBLES Evaluation du niveau de compétences de l agent en électricité Qualification Inscriptions possibles Non électricien
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailQUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD
QUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD UN TRAVAIL D ÉQUIPE 14.04.14 E. Orer, ergothérapeute M.Delhaye, ASG C.Germonprez, ASG M.Ladeiro, ASG POURQUOI CRÉER, ADAPTER OU PERSONNALISER
Plus en détailDECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR
Organisation pédagogique du séjour de vacances de La Marmotane 2015 DECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR I. Descriptif Le séjour de vacances de l association La Marmotane (6 rue de la Fontaine 67 870
Plus en détailAvis n 2010/04-05 relatif à l habilitation de l Université de Technologie de Troyes (UTT) à délivrer des titres d ingénieur diplômé
Avis n 2010/04-05 relatif à l habilitation de l Université de Technologie de Troyes (UTT) à délivrer des titres d ingénieur diplômé Objet : A : examen de l habilitation arrivant à échéance en phase avec
Plus en détailLimitez votre impact sur l environnement et soyez récompensé.
2014 Vous avez des projets de rénovation? Limitez votre impact sur l environnement et soyez récompensé. Qu est-ce que la certification Rénovation Écohabitation? Écohabitation est un organisme québécois
Plus en détailBourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures
Bourse de recherche Jeff Thompson Politique et procédures Table des matières Objet et contexte... 2 Financement... 2 Candidats admissibles... 3 Processus de sélection et d attribution de la bourse... 4
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
FONDATION ROGUET Etablissement Public de Santé 58 rue Georges BOISSEAU 92110 CLICHY Règlement de Fonctionnement Accueil de Jour Secrétariat médical Accueil de Jour Téléphone : 01-41-40-46-42 Fax : 01-41-40-47-47
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailLES ASSURANCES A J&S
LES ASSURANCES A J&S 1. INTRODUCTION Jeunesse & Santé asbl est souscripteur de polices d assurances destinées principalement à couvrir : Quoi? Les dommages corporels et la responsabilité civile Qui? Des
Plus en détailPRINCIPES DE FONTIONNEMENT DU SERVICE EMPLOI
PRINCIPES DE FONTIONNEMENT DU SERVICE EMPLOI JANVIER 2013 PRINCIPES DE BASE Le service EMPLOI est basé à la délégation : 18 rue Docteur Guindey 27000 Evreux Tél : 02 32 33 05 90 L équipe : Des bénévoles
Plus en détailConnectiques et Utilisation d un disque dur multimédia MMEMUP
Date : TP : Disque dur multimédia MMEMUP Nom : Prénom : Classe : Groupe : Bac Pro SEN Hazebrouck Enseignement PROFESSIONNEL. Lycée Saint Joseph Connectiques et Utilisation d un disque dur multimédia MMEMUP
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailLA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE
1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème
Plus en détailConseil de la Ville. 1. Définitions Pour les fins de l application des articles 2 et 4, on entend par :
Conseil de la Ville Règlement RV-2012-12-18 sur la tarification pour les services et les activités offerts par la Direction de la vie communautaire LE CONSEIL DE LA VILLE DÉCRÈTE CE QUI SUIT : 1. Définitions
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailDanseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant
Les métiers du spectacle vivant Filière : artistique Domaine : art chorégraphique Appellations voisines : artiste chorégraphique Autres métiers du domaine : chorégraphe, maître de ballet, notateur Danseur
Plus en détaille Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs
LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel
Plus en détailCahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE
Actions Thématiques 2015 : développer les compétences des travailleurs handicapés, usagers des ESAT bas-normands dans la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée, à but non lucratif Cahier des
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailA.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.
A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d
Plus en détailGROUPE SCOLAIRE GUYOT DESSAIGNE REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE
GROUPE SCOLAIRE GUYOT DESSAIGNE REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE PREAMBULE Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions d
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailLigne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école
Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailEN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS
EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS UN DISPOSITIF : 3 OBJECTIFS COMPLEMENTAIRES Apprendre... et habituer les enfants aux Apprendre... bonnes
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE 2015 1ère édition
DOSSIER DE CANDIDATURE 2015 1ère édition Ce concours est destiné à valoriser une bonne pratique «RSE»* «La bonne pratique en matière de Responsabilité Sociale de l Entreprise est une action dans laquelle
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE PLOUGUIEL
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE PLOUGUIEL PREAMBULE La commune de Plouguiel a mis en place un service de restauration scolaire en 1976. Ce service fonctionne pour l'école publique
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailRédacteur territorial principal de 2 ème classe L ENTRETIEN AVEC UN JURY
17/10/2013 Document élaboré par les membres d une cellule pédagogique nationale associant des représentants des centres de gestion de la fonction publique territoriale Rédacteur territorial principal de
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailPolitique de gestion. 5. Déboursés Il doit y avoir deux signataires sur les chèques, dont au moins un membre du conseil d administration.
TROCCA Table Régionale des Organismes Communautaires Chaudière - Appalaches Politique de gestion Voici une liste de points jugés importants pour la gestion de l organisme. La plupart se rapportent à la
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES I - RÈGLES GÉNÉRALES Article 1 - Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions
Plus en détailGUIDE POUR AGIR. Comment RÉDIGER. une lettre de MOTIVATION JE RECHERCHE DES OFFRES D EMPLOI ET J Y RÉPONDS. Avec le soutien du Fonds social européen
GUIDE POUR AGIR Comment RÉDIGER une lettre de MOTIVATION JE RECHERCHE DES OFFRES D EMPLOI ET J Y RÉPONDS Avec le soutien du Fonds social européen A quoi sert une lettre de motivation? Lorsque vous faites
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailLa mise en place de la redevance incitative
SICTOM DE LA ZONE SOUS VOSGIENNE novembre 2010-n 4 La mise en place de la redevance incitative Dans ce numéro : La redevance incitative: qu est-ce que c est? La redevance incitative Astuces pour réduire
Plus en détailFormations au bénéfice de personnes en situation de handicap en ESAT
Formations au bénéfice de personnes en situation de handicap en ESAT 2014 EDITO La formation est un droit qui permet d élargir ses compétences et d évoluer dans son travail. Ce catalogue est fait pour
Plus en détailPROTOCOLE DE GESTION DU PANNEAU ELECTRONIQUE D'INFORMATION MUNICIPALE
PROTOCOLE DE GESTION DU PANNEAU ELECTRONIQUE D'INFORMATION MUNICIPALE La Ville de Vaison-la-Romaine est le gestionnaire du panneau électronique d informations municipales installé place du 11 novembre.
Plus en détailOrganiser des groupes de travail en autonomie
Organiser des groupes de travail en autonomie Frédérique MIRGALET Conseillère pédagogique L enseignant travaille avec un groupe de niveau de classe et le reste des élèves travaille en autonomie. Il s agira
Plus en détailREPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT
REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de
Plus en détailOrdonner les étapes «Voitures en circulation»
«Voitures en circulation» 17-21 Niveau 2 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à décomposer une action. - S entraîner à anticiper une action. - S entraîner à ordonner une suite de mouvements dans l ordre
Plus en détail«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?
«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale
Plus en détailDossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e
Extrait du Dossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e déposé auprès de la Mission Numérique pour l'enseignement Supérieur par l Institut Catholique de Paris (ICP) - Mars 2011 Au cours du semestre,
Plus en détailCourtage immobilier résidentiel - EEC.1Y
Attestation d études collégiales Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y Le programme d attestation d études collégiales (AEC) Courtage immobilier résidentiel est d une durée de 570 heures L'objectif
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailPNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03
PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?
Plus en détailAP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative»
AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative» Les TICE, un mode d accès à mon autonomie bien sûr! «L'autonomie n'est pas un don! Elle ne survient pas par une sorte de miracle!
Plus en détailClient : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail
Drroiitt ett oblliigattiions de ll enttrreprriise au rregarrd du code du ttrravaiill Action Objectifs Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Appréhender les dernières évolutions
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailCHANTIER D INSERTION PREQUALIFIANT AUX METIERS DES SERVICES A LA PERSONNE 2011 EHPAD RONZIER-JOLY
CHANTIER D INSERTION PREQUALIFIANT AUX METIERS DES SERVICES A LA PERSONNE 2011 EHPAD RONZIER-JOLY Présentation des fiches de poste 1. Secrétaire... page 2 2. Auxiliaire de soins... page 4 3. Aide cuisine...
Plus en détailFICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication
FICHE ACTION n 31 Fleur des Mauges ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation et formation du
Plus en détailLes Jardins d Henri. Présentation d une situation professionnelle. Activité : Fleuriste. 5 salariés
Présentation d une situation professionnelle Réalisée par F. Mauri LP H Brulle Libourne Les Jardins d Henri Activité : Fleuriste 5 salariés Cliquez sur la disquette pour accéder aux liens lors de la projection
Plus en détailN 334 - SIMON Anne-Catherine
N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction
Plus en détailDébuter avec Easyweb B
Débuter avec Easyweb B Sommaire :. Vous êtes utilisateur.... Connexion à Easyweb B en tant que responsable :... 5. Vous êtes gestionnaire :... 6. Vous êtes formateur :... 7 3. Création de plusieurs bureaux...
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailSommaire : Le mot du directeur... p. 2 Présentation de la M.A.S... p. 3-4 - lieu de vie au cœur de la cité
Sommaire : Le mot du directeur... p. 2 Présentation de la M.A.S.... p. 3-4 - lieu de vie au cœur de la cité - organisation architecturale L admission... p. 5 Fonctionnement... p. 6 Le projet personnalisé...
Plus en détailRessources APIE. La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications. immatériel. Pour comprendre. En bref
Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications En bref L État est riche d un patrimoine immatériel inestimable.
Plus en détailIAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.
sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE ENFANCE
PROJET PEDAGOGIQUE ENFANCE A/ LA STRUCTURE D ACCUEIL I La localisation II L Accueil de loisirs sans hébergement : LES LOULOUS DU PIC I La localisation L accueil de Loisirs se trouve dans la ville de Saint
Plus en détailREGLEMENT FINANCIER FFCV- Règlement Financier validé à l assemblée générale du 12/12/04 page 1 sur 14
REGLEMENT FINANCIER page 1 sur 14 Article 1 - Objet Le Règlement Financier est établit conformément aux directives du Ministère chargé des Sports et à l article 107 du Règlement Intérieur de la FFCV En
Plus en détailGuide manager pour l entretien professionnel
- 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités
Plus en détailÉlectromécanique de systèmes automatisés
Électromécanique de systèmes automatisés Formation professionnelle www.cfplevis.qc.ca Élève d un jour Inscription en ligne www.formationprofessionnelle.org Électromécanique de systèmes automatisés (5281)
Plus en détailOUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)
OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détail