COMMUNIQUE DE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT
|
|
- Odette Dumas
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMUNIQUE DE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT 1.L a.s.b.l. FVS/AMADE Burundi désire recruter un consultant pour faire une étude de faisabilité pour la création des mutualités de santé pour les groupements de prise en charge des orphelins et autres enfants vulnérables. 2. Les termes de référence peuvent être retirés au siège de FVS/AMADE Burundi sis à Rohero I Avenue Rutana n 2 ou consultés sur son site Web : 3. Le candidat recherché doit avoir l un des profils suivants : Médecin spécialisé en santé publique, économiste de la santé, expert en gestion des risques sociaux, autre domaine et expérience pertinents. 4.. Les offres techniques et financières doivent être déposées au siège de FVS/AMADE Burundi au plus tard le 9 août 2011 à 10 heures du matin. Fait à Bujumbura, le 29 juillet 2011 La Représentante Légale de FVS/AMADE Burundi Spès NIHANGAZA.
2 FVS/AMADE BURUNDI 2 Avenue Rutana BP 1797 BUJUMBURA TERMES DE REFERENCES ETUDE DE FAISABILITE POUR LA CREATION D UN SYSTEME D ACCES AUX SOINS DE SANTE POUR LES MEMBRES DES GROUPEMENTS DE TUTEURS D ORPHELINS ET AUTRES ENFANTS VULNERABLES I. Contexte de l étude L accès aux soins de santé est un problème majeur pour la grande majorité de la population au Burundi. En effet, en dehors de la mutuelle de la Fonction publique (MFP) qui existe depuis 1980 et de quelques rares initiatives privées; le reste de la population est obligé de faire un payement direct pour les soins de santé malgré son très faible revenu. La Mutuelle de la Fonction publique couvre uniquement les fonctionnaires et les salariés du secteur public et parapublic représentant à peine 10% de la population burundaise. Dans le secteur privé structuré, certains employeurs prennent en charge leur personnel et leurs familles ; soit par le paiement direct des factures auprès des prestataires, soit à travers des micro assurances santé nouvellement reconnus au Burundi comme la SONAVIE, Jubilee Insurance. Cependant, ces derniers ne couvrent là encore qu une très infime partie de la population burundaise. Pour la population du secteur informel (dont fait partie le public cible de FVSMADE), composé essentiellement des agriculteurs, le gouvernement a créé en 1984 la carte d assistance médicale (CAM) vendue par les administrations communales à un prix allant de 500 francs burundais pour les indigents à francs burundais pour les autres. Celle-ci devrait permettre aux plus démunis d accéder à des soins de santé à moindre coût (de 100% à 50% de réduction) dans les établissements sanitaires publics. Aujourd hui, elle n est pratiquement plus acceptée dans les structures de santé à gestion autonome et privée et ne donne pas accès
3 aux médicaments là où elle est encore acceptée. Ainsi, la CAM est en voie de disparition dans la plupart des régions du pays. Depuis quelques temps, des mutuelles de santé communautaires commencent à voir le jour dans quelques 8 provinces du pays. Ces initiatives relèvent du Bureau Diocésain des œuvres médicales pour la province de Gitega, et de Mutuelles de santé des caféiculteurs du Burundi (MUSCABU) présente dans les autres provinces mais restant encore insuffisants. L association FVS/AMADE BURUNDI œuvre pour la protection des droits fondamentaux des orphelins et autres enfants vulnérables au Burundi. Soutenir les OEV 1 et appuyer les efforts des familles et des communautés pour préparer un avenir digne pour les enfants se trouve au centre d intérêt de la FVS-AMADE Burundi. L association intervient dans 4 provinces à savoir Bujumbura mairie, Gitega, Bururi et Makamba. Depuis 2005, la FVS-AMADE Burundi a toujours contacté des donateurs afin de mobiliser les ressources nécessaires pour faire soigner les orphelins et autres enfants vulnérables. A titre d exemple, le budget utilisé pour soins médicaux des OEV bénéficiaires était de francs burundais en 2009 ; francs burundais en 2010 et francs burundais pour l année Le constat est que la ligne avait de moins en moins de bailleurs chaque année alors que les besoins ont toujours dépassé les moyens disponibles. En plus de cela, le système faisait transparaître un aspect discriminatoire car seul les orphelins pouvaient en bénéficier alors que leurs tuteurs et les enfants des tuteurs n en bénéficiaient pas malgré qu ils n étaient couverts par aucune autre assurance maladie. Avec la crise économique mondiale, la mobilisation des ressources devient de plus en plus difficile. C est la raison pour laquelle, la FVS/AMADE Burundi a décidé de prendre une nouvelle orientation visant la recherche d autonomisation des bénéficiaires de ses actions. C est dans ce contexte que l association encourage la création des associations de tuteurs d orphelins dénommées : «groupements de prise en charge des OEVs». Actuellement, 552 groupements totalisant membres sont déjà créés ; soit une moyenne de 28 membres par groupement. Ces groupements bénéficient d un renforcement des capacités en entreprenariat pour réaliser des activités génératrices de revenus. Ils sont également encadrés pour pratiquer un système d épargne et de crédit interne dénommé «NAWE N UZE». 1 Orphelins et autres enfants vulnérables.
4 Un programme de microcrédit dénommé «Dukuze Ibibondo Microfinance» a aussi été créé pour ces groupements en vue d aider les membres à améliorer le revenu. Par la présente étude, la FVS/AMADE Burundi voudrait compléter les services offerts en proposant un système d accès aux soins de santé en vue de résoudre l un des problèmes majeurs pour les OEVs, leurs tuteurs et leurs familles. Le système d accès aux soins dont l étude fait objet s adresserait donc prioritairement aux membres de ces groupements. II. Les objectifs de l étude et les questions auxquelles l évaluateur devra répondre : II.1. L objectif de l étude est d étudier la faisabilité d un système d accès aux soins de matière autonome et pérenne pour un grand nombre parmi le public cible de FVS/AMADE Burundi et tenant compte du système de santé existant au Burundi. Le public cible de FVS/AMADE Burundi étant composé des Tuteurs d OEVs, leurs familles et les OEVs pris en charge. II.2. Les questions auxquelles l évaluateur devra répondre: 1) Vérifier la pertinence de création d un système d accès aux soins ( micro assurance santé ou des mutuelles de santé) pour les groupements de tuteurs d OEVs: - Quel est le revenu annuel moyen par ménage? - Quelles sont les maladies les plus fréquentes et combien coûte un épisode maladie? - Combien de temps leur faut-il pour chercher de l argent avant d aller se faire soigner quand un membre de la famille ou un OEV pris en charge tombe malade?(temps de latence) - Quelles sont les attentes des groupements en matière d accès aux soins de santé, celle de leurs familles et des OEVs pris en charge? - Est-ce que les membres des groupements sont prêts à épargner pour leur santé?
5 2) Les services à offrir : - Quelles sont les prestations à assurer (quelles sont les prestations médicales les plus sollicitées par le groupe cible) 3) Fixation d une cotisation à payer par tête/ménage: - Quel est le coût moyen des épisodes maladies les plus fréquentes? - Quelle est la capacité contributive des membres des groupements et quels soins peuvent-ils être pris en charge avec ces montants? - Proposer quelques scénarios : prestation - cotisation à présenter aux potentiels adhérents en considérant les petits et les gros coûts) - Quel montant faut-il cotiser pour tenir compte de la capacité contributive des membres et de la viabilité financière de l institution. 4) Système de recouvrement le plus adapté au groupe cible -Y a-t-il des périodes de l année plus favorables pour le versement des cotisations ou faut- il le faire chaque mois? -L approche cotisation en groupement peut-elle faciliter le recouvrement? - Quels sont les autres approches que vous pourriez proposer? 5) Avec quelles formations sanitaires faut-il signer des conventions? (centres de santé, hôpitaux de district, provincial, de référence nationale, structures privées, etc.) 6) Quel mécanisme faut-il adopter pour avoir le maximum d adhérents? - Comment atteindre tous les tuteurs d OEVs de notre zone d intervention? - Quel est la taille moyenne par ménage d adhérents et quels sont les mécanismes permettant de ne pas exclure les OEV en cas de familles nombreuses? - Comment avoir d autres adhérents parmi les catégories non vulnérables? 7) Par où commencer?
6 - Quelles sont les régions où le système d accès aux soins proposé a le plus de chance d avoir un grand nombre d adhérents remplissant les conditions exigées dès le début du projet? - Quelles conditions doivent être remplies pour s étendre à une deuxième zone? 8) Quelle est la forme institutionnelle la mieux adaptée à mettre en place? (micro assurance santé, mutuelle de santé,.) - Quelle serait son articulation avec l organisation des groupes cibles exisante : Groupements de prise en charge des OEVs, système «Nawe n uze», Dukuze Ibibondo Micro finance,.. - Quelle serait son articulation avec la carte d assistance maladie (CAM). 9) Quels sont les autres intervenants dans la même zone et leurs approches en matière d accès aux soins? 10) Proposer un plan d affaire pour le système d accès aux soins proposé, incluant les subventions nécessaires au démarrage et proposer la période à la quelle l institution pourrait atteindre sa viabilité financière. III. Méthodologie souhaitée En plus de l analyse documentaire, le consultant fera des enquêtes sur terrain. Le travail de terrain devra commencer par faire l enquête des groupes cibles d abord, ensuite les leaders d opinion (pour connaître les besoins et les préférences) et terminer par l enquête auprès des prestataires. Au niveau des enquêtes ménage : tenir compte du contexte culturel au Burundi, varier les personnes à interviewer et tenir compte de l avis des hommes et des femmes. Vu que la femme a le rôle principal de prise en charge des personnes malades en famille (transport des enfants malades, garde malade pour son mari et les enfants, préparation de menus adaptés aux besoin des malades, plus grande fréquentation des structures de santé,.) ; sa place devra être mise en évidence dans cette étude.
7 Vu que l homme est le représentant du ménage et qu il a un rôle prépondérant dans l affectation des ressources du ménage et dans la prise des décisions qui engagent son foyer (décision d adhésion ou pas) ; son avis devra aussi être pris en compte en tant que chef de ménage. Les orphelins chefs de ménages étant aussi une composante du public cible ; ils seront aussi contactés afin de tenir compte de leur avis. Au niveau des prestataires de soins : Les éléments suivants pourront guider l enquêteur : Les soins qui y sont offerts et le coût Disponibilité des médicaments, matériel, équipement, personnel Taux de fréquentation par la population Relations entre le personnel soignant et le comité de gestion du centre de santé Vérifier si la permanence des soins est assurée (garde nuit et week-end et jours fériés) Qualité de l accueil Collaboration avec MFP et autres assurances existantes Système de référence et contre référence Effectif et qualification du personnel FVS/AMADE BURUNDI validera au préalable les questionnaires et le système d échantillonnage proposé par le consultant. En plus des questionnaires, une évaluation qualitative des contextes locaux au moyen des observations directes et des entretiens avec les parties prenantes sera menée. L étude devra associer l ensemble des acteurs de la localité dans le diagnostic, la formulation et la validation des solutions proposées. Les données collectées vont servir comme référence pour des évaluations ultérieures. L étude se déroulera selon les séquences suivantes : Sélection des sites et présentation de l étude aux autorités locales Réalisation des enquêtes au niveau des groupements Réalisation des enquêtes sociales et des enquêtes auprès des prestataires de soins L exploitation des résultats et réalisation de synthèses/feed-back avec les groupements ciblés et avec les autorités locales avec lesquelles l enquêteur s est entretenues. Analyse des synthèses et construction des hypothèses.
8 IV. Les moyens nécessaires à la réalisation de cette étude (composition de l équipe, ressources matérielles et financières nécessaires). Composition de l équipe DEGRE D EXPERTISE ET QUALIFICATIONS REQUISES Qualifications : Médecin spécialisé en santé publique Economiste de la santé Expert en gestion des risques sociaux Autres domaines et expérience pertinents Compétences/Expérience : Le consultant doit avoir une équipe compétente et expérimentée dans : Connaissances générales en matière d assurance santé et ou gestion des risques. Capacité d analyse et interprétation. Aptitude à conduire des réunions et des entretiens avec la population, capacité d écoute et de dialogue Connaissance du contexte et des sources d information disponibles Compétences en matière de conduite d entretiens, d administration de questionnaires d enquête. Compétences informatiques pour la saisie des données et leur traitement Maîtrise technique dans le domaine de l assurance santé en particulier en ce qui concerne le calcul de cotisations, l organisation et les modalités de fonctionnement d un système (règles et procédures) Capacité de synthèse pour rédiger le rapport de l étude de faisabilité Capacité d élaboration de plan d affaire pour le système qu il aura proposé Le fait d avoir déjà conduit des études pour la création des micro-assurances santé constitue un avantage. BN : L étude se fera en étroite collaboration avec le comité de pilotage qui sera désignée pour cette fin.
9 Le consultant devra proposer une offre technique et une offre financière pour l exécution de l étude de faisabilité. V. Le calendrier : Le travail demandé sera effectué en deux étapes : L étude de la demande qui durera 30 jours L élaboration du plan d affaire qui durera 15 jours La date limite de dépôt des offres est fixée au Mardi le 09/08/2011à 10 heures du matin. Sélection des dossiers : Mercredi 10/08/2011 Signature du Contrat : Vendredi, 12/08/2011 Début des travaux de l étude : Vendredi 12/08/2011 Dépôt du rapport provisoire : Lundi 12/09/2011 Remise rapport définitif : Vendredi, le 26/09/2011 Fait à Bujumbura, le 29/7/2011 Pour la FVS/AMADE BURUNDI Spès NIHANGAZA
Séminaire régional FBP-Bujumbura- Burundi-février 2011-RM.
Une mutuelle nationale de santé peut-elle devenir une stratégie globale de financement du système de santé, intégrant d autres stratégies comme le FBP??? Séminaire régional FBP-Bujumbura- Burundi-février
Plus en détailNote sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda
Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais
Plus en détailATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique NIAMEY 12 et 13 juillet 2012 Cellule
Plus en détailPBF et Mutuelles de Santé
PBF et Mutuelles de Santé Par Dr NIMPAGARITSE Manassé MD,MPH HNTPO Introduction De nombreux pays Africains sont en train d adopter le FBP pour redynamiser leurs secteurs de santé Au Burundi, cette stratégie
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel
Plus en détailSéminaire régional. L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ;
Séminaire régional L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ; Partage des expériences de République Démocratique du Congo, du Burundi,
Plus en détail[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre
Abidjan, le 02 Février 2015 MUGEFCI - TOURE Laciné MUTREPCI - SERY Jean-Pierre PASS - HUCHET Jean-Philippe [LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] 1 Des mutuelles pour participer à la réussite
Plus en détailArgumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger
Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailLA PARTICIPATION FINANCIERE DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE DE LEURS AGENTS
PROTECTION SOCIALE LA PARTICIPATION FINANCIERE DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE DE LEURS AGENTS REFERENCES JURIDIQUES Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions
Plus en détailJournal d apprentissage. Union Technique du Mali
Journal d apprentissage Union Technique du Mali Projet Kénéya Sabatili «Assurer la santé» Contentus Le Projet... 1 Que quoi le projet traite t-il?... 1 Résumé du projet... 2 Faits Marquants... 3 Quelques
Plus en détailCOOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU).
www.coopami.org COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). Abidjan 15 juillet 2014 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Mutuelle
Plus en détailCONTRAT EDUCATIF LOCAL
CONTRAT EDUCATIF LOCAL Année 2002-2003 CANDIDATURE ET PROJET D ACTIONS SUR LES TEMPS PERI ET EXTRA-SCOLAIRES sur la commune ou le groupement de communes de... Ce dossier comprend : Page 2 : Page 3 : Page
Plus en détailAPPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE
APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailCentre d Analyse Stratégique
Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel
Plus en détailMaster Administration des Territoires et des Entreprises (ATE)
Département AES Master Professionnel et de Recherche "Sciences de l'homme et de la Société" Master Administration des Territoires et des Entreprises (ATE) Lieu de la formation : Université Rennes 2 Haute-Bretagne
Plus en détailLe rôle de la société civile
Le rôle de la société civile Bruxelles 15 décembre 2011 Les mutuelles de santé au Burkina Faso Inégalité d accès aux soins de santé au Burkina Faso La majorité de la population vit en dessous du seuil
Plus en détailRAPPORT DE L ENQUETE SUR LA PERCEPTION DE LA QUALITE DES SOINS DE SANTE PAR LA COMMUNAUTE DANS LES FORMATIONS SANITAIRES, Avril-Juin 2014.
FEDERATION DES MUTUELLES DE SANTE DES CAFEICULTEURS DU BURUNDI «FEMUSCABU» «HARANIRUBUZIMA» NGAGARA Q.9. Avenue GIHAMAGARA N 8 B.P. : 4814 BUJUMBURA BURUNDI Tél. : 22 23 97 81 E-mail : femuscabu@yahoo.fr
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détaill'avenir de de décès
Assurer l'avenir de votre famille en cas de décès Mutuelles santé prévoyance AUTONOMIE retraite Pourquoi souscrire un contrat de prévoyance? Le décès, un risque trop fréquemment sous-estimé 1 personne
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailConsultation pour une mutuelle santé pour les habitants de Lagord
1 Centre Communal d Action Sociale Consultation pour une mutuelle santé pour les habitants de Lagord DOCUMENT UNIQUE VALANT : ACTE D ENGAGEMENT CAHIER DES CHARGES TECHNIQUES REGLEMENT DE CONSULTATION Date
Plus en détailUNIVERSAL HEALTH COVERAGE DAY JOURNEE MONDIALE DE LA COUVERTURE SANTE UNIVERSELLE 12 décembre 2014 Abidjan, INADES-Formation, Côte d Ivoire
UNIVERSAL HEALTH COVERAGE DAY JOURNEE MONDIALE DE LA COUVERTURE SANTE UNIVERSELLE 12 décembre 2014 Abidjan, INADES-Formation, Côte d Ivoire Photos de famille des participants à la journée mondiale de la
Plus en détailPolitique de Développement des Mutuelles de Santé au Rwanda
REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE LA SANTE B.P. 84 KIGALI Politique de Développement des Mutuelles de Santé au Rwanda TABLE DES MATIERES PREFACE...3 1. INTRODUCTION...4 2. ETAT DES LIEUX DES MUTUELLES
Plus en détailPLANIFICATION DU SYSTEME DE COUVERTURE DU RISQUE MALADIE AU MALI : CAS DES PERSONNES INDIGENTES. Luc TOGO, DNPSES Mali
PLANIFICATION DU SYSTEME DE COUVERTURE DU RISQUE MALADIE AU MALI : CAS DES PERSONNES INDIGENTES Luc TOGO, DNPSES Mali Introduction La politique nationale en matière de protection sociale prévoit à terme,
Plus en détailLa trousse financière pour les nouveaux arrivants. Feuilles de travail
La trousse financière pour les nouveaux arrivants Investissements Feuilles de travail Ottawa Community Loan Fund Fonds d emprunt Communautaire d Ottawa 22 O Meara St., Causeway Work Centre, Ottawa, ON
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailLa mutuelle de santé, une alternative crédible de couverture du secteur informel?
Rencontre d échanges d expériences entre acteurs sociopolitiques sur les défis et la portée de la protection sociale dans un contexte de grande pauvreté : cas des pays en développement Bamako, 17 & 18/11/2011
Plus en détailLa politique marseillaise en faveur des Seniors
La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes
Plus en détailNom Prénom :... Mon livret de stage
Nom Prénom :..... Mon livret de stage 1. Présentation Tuteur de stage : NOM et Prénom: Fonctions dans l entreprise : Téléphone et poste : Stagiaire NOM et Prénom : Né(e) le : Stage effectué du au Professeur
Plus en détailMinistère de la Santé et des Soins de longue durée
Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Lignes directrices du OBJECTIF Inciter les infirmières et infirmiers des régions rurales et éloignées à pratiquer dans des collectivités admissibles de
Plus en détailINSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015
NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe
Plus en détailDu 16 au 20 mars 2015
1 avenue Charles Gounod BP 14 76380 Canteleu cedex Téléphone : 02 35 36 28 80 Fax : 02 32 83 33 65 Mél. Ce.0762089h@ac-rouen.fr Site Internet www.ac-rouen.fr/colleges/gounod/ Personne à contacter en cas
Plus en détailCouverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives
République du Sénégal Un Peuple- Un But- Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives Symposium sur la Protection
Plus en détail«Mutuelle des Mornantais»
Dossier «Mutuelle des Mornantais» La première mutuelle communale vraiment solidaire - Extraits de la Vie à Mornant - - décembre 2014 - Dossier «Mutuelle des Mornantais» La première mutuelle communale vraiment
Plus en détailComplémentaire Santé. Mieux la comprendre pour bien la choisir
Complémentaire Santé Mieux la comprendre pour bien la choisir Ce document est destiné à vous aider à mieux comprendre ce qu est une complémentaire santé, ses garanties, ses mécanismes de remboursement
Plus en détailCadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010
1 Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 Objectif global : Le Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé contribue effectivement à la mise en place
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailSalarié. Sécurisez votre parcours professionnel
! Salarié Senior (ou pas) Sécurisez votre parcours professionnel SOMMAIRE Introduction... p 3 Vous souhaitez faire le point sur votre carrière... p 4 Entretien de 2nde partie de carrière... p 5 Bilan de
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailLE SYSTEME DE COUVERTURE SOCIALE EN COTE D IVOIRE
MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE LE SYSTEME DE COUVERTURE SOCIALE
Plus en détailTermes de Références pour le Recrutement de consultants- formateurs
Termes de Références pour le Recrutement de consultantsformateurs Projet : Soutenir la transition postcrise et l amélioration de la cohésion sociale en initiant une dynamique de réintégration socioéconomique
Plus en détailMinistère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple Un but Une foi ----------- Ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles SOMMAIRE I- PRESENTATION DES IPM 1. LE
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailSTATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE)
STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) Circulaire 31 août 2012 Références : - Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations
Plus en détailDROITS ET MES OBLIGATIONS?
JE PARS À LA RETRAITE QUELS SONT MES DROITS ET MES OBLIGATIONS? PRÉSENTATION DE L AVS 1er pilier du système de sécurité sociale suisse sse Obligatoire Couvre les besoins vitaux Principe de la solidarité
Plus en détailMINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE, DU TRAVAIL ET DE SECURITE SOCIALE NOTE ANALYTIQUE SUR LE SECTEUR DE LA PROTECTION SOCIALE
MINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE, DU TRAVAIL ET DE SECURITE SOCIALE Introduction NOTE ANALYTIQUE SUR LE SECTEUR DE LA PROTECTION SOCIALE La Protection sociale peut être définie comme l ensemble de mesures
Plus en détailÉtude comparative des systèmes de protection sociale au Rwanda et au Burundi
Étude comparative des systèmes de protection sociale au Rwanda et au Burundi Rapports sur les Droits Economiques, 2 Sociaux et Culturels WSM est l ONG (Organisation non gouvernementale) du Mouvement Ouvrier
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS
INSTITUT DE FORMATION INTERHOSPITALIER THEODORE SIMON CJ/PV/23/11/2005 DOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS 2 concours d entrée par an 2 sessions
Plus en détailComment vous cumulez des crédits
Comment vous cumulez des crédits 2013 Comment vous cumulez des crédits Vous remplissez les conditions requises pour bénéficier de prestations de Sécurité Sociale en cumulant des crédits par l exercice
Plus en détailBAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX
BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX Avril 2009 SOMMAIRE 1. La méthodologie 3 A. L évolution du système de protection sociale 5 B. Les pratiques en matière de protection sociale 9
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailEnsemble, rénovons notre habitat. OPAH : OPÉRATION PROGRAMMÉE D AMÉLIORATION DE L'HABITAT 2013-2018
OPAH : OPÉRATION PROGRAMMÉE D AMÉLIORATION DE L'HABITAT 2013-2018 Salubrité A B C Performance énergétique D Autonomie de la personne Accompagnement Ensemble, rénovons notre habitat. ARPAJON / AVRAINVILLE
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailForesters Viefamille Le guide du conseiller
Foresters Viefamille Le guide du conseiller Assurance vie entière à participation Ce guide a pour but de répondre à vos questions, de vous fournir des idées pour vous aider à vendre Viefamille de Foresters
Plus en détailQUESTIONNAIRE ENTREPRISE
ENQUETE CREATION CRECHE INTERENTREPRISES QUESTIONNAIRE ENTREPRISE 1. Votre entreprise Nom... Commune :... Nom, coordonnées et fonction de la personne répondant au questionnaire : Secteur d activité :...
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailPrésentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC
Présentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC 6projets financés couvrant 7 régions pour un montant total 106 594 738 MRO dont 95 588 077MRO sur contribution FED. Un projet mis en œuvre par
Plus en détailPlanification familiale et. Cheickna TOURE Directeur Général Adjoint Union Technique de la Mutualité Malienne UTM
Planification familiale et assurance santé Cheickna TOURE Directeur Général Adjoint Union Technique de la Mutualité Malienne UTM - Situation sanitaire Plan de présentation -Description des régimes d assurance
Plus en détailLE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE
AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL CCAS. des services à la personne. CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière. + d infos : www.ville-laverriere.
LIVRET D ACCUEIL des services à la personne + d infos : www.ville-laverriere.com CCAS CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière Agrément qualité Service d Aide à la Personne : 267802783 Délivré
Plus en détail1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire
Plus en détailMaster Ressources Humaines
1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources
Plus en détailLivret de l évaluateur : Calcul niveau 2
Livret de l évaluateur : Calcul niveau 2 Ce livret de l évaluateur se divise en deux sections. La première section comprend : des instructions à l intention de l évaluateur sur la façon d administrer le
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE
CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE SE SOIGNER A MOINDRE FRAIS... 2 La CMU de BASE... 3 LA CMU COMPLEMENTAIRE... 5 L ACS... 7 TABLEAU... 8 L'AME... 9 LE CMP...
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailProgramme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)
Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans
Plus en détail«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX
«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX Le stagiaire : Le maître de stage : Le correspondant Ressources Humaines : Dates du stage : Inclure ici le logo de Sommaire -
Plus en détailLIVRET DE FORMATION DU CERTIFICAT DE FORMATION A LA GESTION ASSOCIATIVE. Ce livret est remis au candidat lors de l inscription à la formation
LIVRET DE FORMATION DU CERTIFICAT DE FORMATION A LA GESTION ASSOCIATIVE Ce livret est remis au candidat lors de l inscription à la formation Livret de formation à la gestion associative Page 1 sur 5 Présentation
Plus en détailDEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS. Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA
DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA Plan de présentation Introduction Etat des lieux du secteur Stratégies
Plus en détailCONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI
CONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI Dr. Max Rudolph SAINT-ALBIN Directeur Général Office d Assurance Accidents du Travail, Maladie et Maternité
Plus en détailJAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés
JAPON Nomenclature CHIHO-KOMUIN-KYOSAI CHIHO-KOMUIN-ONKYU CHIHO-KOMUIN-SAIGAI HOSYO CHIHO-KOKUMINN-KYOSAI- KYUGYO-KYUFU-TO IZOKU-NENKIN JIDEO-TEATE JIDO-FUYO-TEATE KOKKA-KOMUIN-KYOSAI KOKKA-KOMUIN-ONKYU
Plus en détailPRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE
PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE Service Proj aide / Direction des Relations à la Population / 2015 Page 1 SOMMAIRE PREAMBULE... 3 CHAPITRE 1. DISPOSITIONS COMMUNES
Plus en détailModifications au 1 er janvier 2015
1.2015 Généralités Modifications au 1 er janvier 2015 Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Le présent mémento vous renseigne sur les modifications entrant en vigueur le 1 er janvier 2015 dans le domaine
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailENQUETE METIER Confronter ses rêves à la réalité du quotidien
ENQUETE METIER Confronter ses rêves à la réalité du quotidien La présente enquête-métier a pour objet de recueillir des informations pouvant donner en substance, une vision globale d un métier, de son
Plus en détailCIF CDI GUIDE PRATIQUE. Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir
CIF CDI Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir LE CONGÉ INDIVIDUEL DE FORMATION CDI EN BREF Qu est-ce que le congé individuel de formation CDI? Le congé individuel
Plus en détailLes Fiches de projet et leur canevas
Les Fiches de projet et leur canevas République du Burundi Ministère de la Sécurité Publique Agence nationale d exécution : Fiche de Projet1 Titre du Projet : Renforcement des capacités de planification
Plus en détailQU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE QU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
Plus en détailCalendrier des formations 2015 CERTIFICAT DE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE EN MUTUALITE
Calendrier des formations 2015 CERTIFICAT DE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE EN MUTUALITE CQP Télé conseiller 280 heures (40 jours) 2015 MARS Du lundi 23 (13h30) au vendredi 27 (12h15) MAI Du lundi 18 (13h30)
Plus en détailPrésentation de l assurance maladie au Burkina Faso
Présentation de l assurance maladie au Burkina Faso Introduction, contexte Le Burkina Faso fait partie des pays d Afrique de l ouest où les indicateurs de santé publique restent des bas et où l espérance
Plus en détail64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes
DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailGuide du bénéficiaire GUIDE DE PRÉSENTATION DES DEMANDES DE RÈGLEMENT AU TITRE DE L ASSURANCE VIE COLLECTIVE
Guide du bénéficiaire GUIDE DE PRÉSENTATION DES DEMANDES DE RÈGLEMENT AU TITRE DE L ASSURANCE VIE COLLECTIVE Lorsque survient un décès dans la famille, le premier souci est souvent de trouver l argent
Plus en détailCENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailCentre International de Recherche et de Développement
Centre International de Recherche et de Développement Publication UNGANA 652 CIDR Tous droits de reproduction réservés Eléments de réflexion pour la contractualisation entre une mutuelle de santé et un
Plus en détailD ASSURANCE MÉDICAMENTS
La consultation de ce document au moyen de technologies d adaptation informatique peut être problématique. Pour un contenu accessible, visitez les pages équivalentes de notre site. DOCUMENT À CONSERVER
Plus en détailUne réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement. www.evaluation-envol-afnor.org
Une réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement www.evaluation-envol-afnor.org Quelques mots à propos du groupe Afnor Opérateur central du système français de normalisation
Plus en détailCOLLEGE ANDRE LAHAYE
COLLEGE ANDRE LAHAYE 1, Avenue de l Espérance 33510 ANDERNOS Tél : 05 56 82 07 23 CAHIER DE STAGE Année scolaire 2014-2015 CLASSE DE L ELEVE : 3 NOM :.. PRENOM :.. Date de naissance : / / Adresse :. Commune
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailDivorcé(e)s de France
Divorcé(e)s de France pour informer et documenter les personnes concernées Savoir pour ne pas se faire Avoir.. B.P. 10 380-75626 Paris cedex 13 -.01.45.86.26.61 ou www.divorcefrance.fr Publication éditée
Plus en détail