Médicaments du Système Nerveux Central 4ème Année Pharmacie - TC L épilepsie. 1. Epidémiologie
|
|
- Gaspard Richard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Médicaments du Système Nerveux Central 4ème Année Pharmacie - TC L épilepsie nathalie.niederhoffer@pharma.u-strasbg.fr 1. Epidémiologie Affection neurologique la plus fréquente après migraine Prévalence : 0,5% à 1% nombre d épileptiques : (France) / 50 millions (monde) Incidence : un nouveau patient pour 2000 habitants par an 2x plus fréquente dans pays voie développement risque plus élevé d'infections cérébrales (méningites, paludisme, souffrance néonatales) Taux de mortalité : 3x plus élevé chez épileptiques par rapport au reste de population toutes pathologies confondues 2 1
2 2. Historique (1) «épilepsie» du grec «epilepsia» qui signifie «attaquer, surprendre» 2000 ans avant JC : tablettes babyloniennes : description des différents types de crises caractère surnaturel de la pathologie, traitement «spirituel» V e siècle avant JC : Hippocrate met en évidence dérèglement cérébral Conception surnaturelle : jusqu aux 18 e et 19 e siècles après JC Epileptiques : suscitaient crainte, traités comme parias et punis Certains ont réussi! Jules César, Tsar de Russie Pierre le Grand, Pape Pie IX, écrivain Fedor Dostoïevski, poète Byron, 3 2. Historique (2) Premier médicament efficace contre l'épilepsie = bromure (1857) Première moitié du XX ème siècle : phénobarbital (1912), phénytoïne (1938) Depuis années 60 : plus en plus de médicaments connaît mieux activité électrochimique du cerveau, en particulier neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs Actuellement : maîtrise crises d'épilepsie chez enfants ou adultes dans 70 à 80 % des cas nouveaux diagnostiqués 4 2
3 3. Définition et étiologie (1) Maladie neurologique se manifestant par des crises Fonctionnement anormal, aigu et transitoire de l activité électrique du cerveau se traduit par crises épileptiques (crises comitiales) Répétition crises pendant certain temps de vie d un individu Epilepsie / Comitialité Crise épileptique isolée épilepsie 10% de population (fatigue, privation de sommeil, prise toxiques ou médicaments et sevrages brutaux) 5 3. Définition et étiologie (2) Epilepsies idiopathiques caractère génétique +/- démontrable absence de lésion cérébrale (aucun pb neurologique en dehors des crises) disparition possible avec maturation cérébrale (enfants ou adolescents) Relativement bénignes, traitements habituellement efficaces Epilepsies symptomatiques présence de lésions cérébrales focalisées ou diffuses (examen neurologique) malformation congénitale, encéphalite, traumatisme crânien, AVC, tumeur Stabilisation ou aggravation, réponse thérapeutique souvent moins bonne Epilepsies cryptogéniques cause existe, mais cachée (évolution techniques d exploration fréquence!!) 6 3
4 4. Les différentes formes cliniques (1) Distinction en fonction du siège de décharge électrique = zone épileptogène Crises partielles / focales : naissance dans portion limitée du cortex d un hémisphère cérébral Symptômes cliniques selon rôle fonctionnel des aires corticales impliquées : troubles visuels, auditifs, langage manifestations motrices ou sensitives des membres troubles conscience, mémoire 7 4. Les différentes formes cliniques (1) Distinction en fonction du siège de décharge électrique = zone épileptogène Crises partielles / focales : naissance dans portion limitée du cortex d un hémisphère cérébral Symptômes cliniques selon rôle fonctionnel des aires corticales impliquées : troubles visuels, auditifs, langage manifestations motrices ou sensitives des membres troubles conscience, mémoire Crises généralisées : naissance dans aires étendues corticales et sous-corticales des 2 hémisphères cérébraux modifications +/- profondes et +/- longues de la conscience éventuellement phénomènes moteurs bilatéraux Absences («Petit Mal») Crises tonico-cloniques («Grand Mal») 8 4
5 4. Les différentes formes cliniques (2) Les Absences - brève rupture de contact (qq secs) se traduisant par fixité du regard - automatismes (mâchonnements, gestes involontaires et inadaptés) Les crises tonico-cloniques - perte de connaissance et chute - mouvements convulsifs - morsure langue, bave - blocage respiratoire - ± émission de selles ou d urine - absences répétées d une manière fréquente au cours de la journée essentiellement chez enfants / jeunes adultes + impressionnantes mais - fréquentes! si crise persiste suffisamment longtemps ou si fréquence des crises suffisamment élevée Etat de mal épileptique médicaments par IV contrôle crises convulsives le plus vite possible (< 30 min) clonazépam (action immédiate, brève) + phénytoïne, fosphénytoïne (action retardée, prolongée) 9 si échec : injection d un anesthésique!!! La Prise en Charge de la Crise Calme et sang froid! Impressionnant mais ça va s arrêter! éviter traumatismes placer un coussin ou couverture entre sol et points d appuis du corps, enlever tout ce qui est susceptible de blesser (lunettes, collier, montre, ) éviter inhalations liquidiennes (vomissement), mettre en position latérale sécurité faciliter la respiration libérer voies aériennes supérieures (enlever cravate, déboutonner vêtements, ) rassurer rester avec la personne et communiquer Ce qu il ne faut pas faire! bouger le patient sauf en cas de nécessité absolue (proximité d un escalier, par ex) mieux : déplacer objets autour de lui qui peuvent lui faire mal. tenter de contenir les mouvements du patient risque : déclencher factures ou luxations introduire quelque chose dans la bouche du patient pas de risque d «avaler» sa langue risque : casser dents ou de se faire mal (morsures, par ex) 10 5
6 5. Diagnostic et prise en charge (1) Avant tout : clinique! Récit du patient et/ou de entourage : circonstances de survenue de la crise, manifestations inaugurales description précise du déroulement de la crise détection signes évocateurs de maladie (mouvements convulsifs, pertes de connaissance, chutes, absences, relâchement des sphincters, automatismes gestuels, ) durée totale de la crise confusion post-critique classer l épilepsie et proposer un traitement adéquat Confirmation diagnostic : électroencéphalogramme Diagnostic de cause (lésion) / techniques neuroradiologiques scanner, imagerie par résonance magnétique nucléaire!! examens normaux dans bon nombre de circonstances!! Diagnostic et prise en charge (2) Epilepsie certaine et suffisamment documentée Thérapeutique antiépileptique Règles d hygiène de vie - respecter temps de sommeil mini avec endormissement et réveil à heures fixes - éviter surmenage et stress - pratique d un sport conseillée!! éviter sports dangereux en cas crise!! - TV, jeux vidéo, ordinateurs autorisés mais avec modération!!! sauf épilepsie photosensible!!! - alimentation et boissons excitantes (thé, café) autorisées, alcool de temps en temps Information patient / entourage - nature de maladie, pronostic - précautions en cas de crise - observance du traitement, effets secondaires!!! éviter réactions psychologiques dramatiques injustifiées!!! 12 6
7 6. Origine des crises Pharmacologie (1) Fonctionnement normal = neurones en équilibre permanent excitateurs inhibiteurs dépolarisation hyperpolarisation Entrée Na +, Ca 2+ Entrée Cl -, sortie K Origine des crises Pharmacologie (2) Récepteurs-canaux cationiques (Na + ) Dépolarisation PPSE : potentiel postsynaptique excitateur récepteurs ionotropes AMPA et NMDA [glutamate] récepteurs nicotiniques [acétylcholine] récepteurs 5-HT3 [sérotonine] = PPSE + PPSI PPS > 0 potentiel d action Récepteurs-canaux anioniques (Cl - ) Fig (Landry & Gies, Dunod 2003) Hyperpolarisation PPSI : potentiel postsynaptique inhibiteur récepteurs GABA-A récepteurs de la glycine 14 7
8 6. Origine des crises Pharmacologie (3) (1) dépolarisation : entrée de Na + (Ca ++ ) (1) (2) - canaux Na + voltage-dépendants (Na v 1) - canaux Ca ++ voltage-dépendants (Ca v 1 et Ca v 3) (3) (2) repolarisation : sortie de K + - canaux K + voltage-dépendants (K v ) Fig. 2.5 modifiée (Landry & Gies, Dunod 2003) (3) hyperpolarisation: sortie de K + - canaux K + voltage-dépendants (K v ) Origine des crises Pharmacologie (4) Crise = certains réseaux échappent aux processus de contrôles déséquilibre facteurs excitateurs / facteurs inhibiteurs Plusieurs neurones voisins hyperexcitables et synchronisés constitution d un foyer épileptique Mécanismes inhibiteurs (interneurones) zone d inhibition autour du foyer prévention de l expansion 16 8
9 6. Origine des crises Pharmacologie (5) Mécanismes à l origine des crises Déficit de neuromédiation inhibitrice renforcer l inhibition par le GABA synthèse, récepteur, dégradation, transport Excès de neuromédiation excitatrice limiter l excitation par le glutamate récepteur Perturbation fonctionnement de canaux ioniques transmembranaires stabiliser les membranes neuronales canaux Na v 1, Ca v, K v hyperexcitabilité et hypersynchronie neuronale Médicaments : mécanismes d action et indications (1) Crises partielles / crises généralisées type tonico-cloniques : - modulation canaux voltage-dépendants Na v 1 ± Ca v ± K v - augmentation neurotransmission GABA (inhibitrice) - diminution neurotransmission glutamate (stimulatrice) Crises généralisées type absences : - modulation canaux voltage-dépendants Ca v 3 (= type T) 18 9
10 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (2) AE anciens DCI / Spécialités Mécanisme(s) d action Indications phénobarbital (1920), liste II Alepsal, Aparoxal Gardénal, Kaneuron primidone (1953), liste II Mysoline clonazépam (1970), liste I Rivotril diazépam (Valium ) clobazam (Urbanyl ) barbiturique modulateur allostérique ( agoniste) du récepteur GABA-A (α) idem benzodiazépine modulateur allostérique ( agoniste) du récepteur GABA-A (α, γ) idem idem effet GABA effet GABA épilepsie partielle ou généralisée (tonico-cloniques) monothérapie, association adulte, enfant idem état de mal épileptique (injectable) épilepsie partielle ou généralisée monothérapie, association adulte, enfant état de mal épileptique (injectable) épilepsie partielle ou généralisée i formes orales et injectables (iv, im, rectale) : phénobarbital, clonazépam, diazépam19 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (3) AE anciens DCI / Spécialités phénytoïne (1941), liste II Di-Hydan Dilantin (injectable; usage hospitalier) carbamazépine (1964), liste II Tégrétol (LP) Carbamazépine (LP) éthosuximide (1962), liste II Zarontin Mécanisme(s) d action inhibiteur canaux Na v 1 (maintien en période réfractaire) + inhibition canaux Ca v?? excitabilité membranaire inhibiteur canaux Na v 1 excitabilité membranaire inhibiteur canaux Ca v 3 excitabilité membranaire état de mal épileptique (injectable) épilepsie partielle ou généralisée (tonico-cloniques) monothérapie, association adulte, enfant épilepsie partielle ou généralisée (tonico-cloniques) monothérapie, association adulte, enfant épilepsie généralisée (absences) monothérapie (2 ème intention), association adulte, enfant Indications 20 10
11 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (4) AE anciens DCI / Spécialités valproate de sodium (1967), liste II Dépakine Dépakine Chrono Dépakote Micropakine Valproate (Valcote, Imaslav ) Mécanisme(s) d action inhibiteur canaux Na v 1 + action canaux Ca v / canaux K v?? excitabilité membranaire activateur de glutamatedécarboxylase inhibiteur de GABA-transaminase + inhibiteur de GAT?? effet GABA état de mal épileptique (injectable) épilepsie partielle ou généralisée syndrôme de Lennox-Gastaut syndrôme de West monothérapie, association (déconseillée avec lamotrigine) adulte, enfant Indications i formes orales et injectables (iv) ; formes LP et gastro-résistantes Médicaments : mécanismes d action et indications (5) AE modernes DCI / Spécialités fosphénytoïne liste II Prodilantin (injectable; usage hospitalier) lamotrigine liste I Lamicstart, Lamictal Lamotrigine prégabaline liste I Lyrica Mécanisme(s) d action précurseur métabolique de phénytoïne (Na v 1 ± Ca v??) excitabilité membranaire inhibiteur canaux Na v 1 excitabilité membranaire inhibiteur canaux Ca v excitabilité membranaire analogue de GABA effet GABA?? état de mal épileptique (injectable) prévention (neurochirurgie, traumatisme) adulte, enfant épilepsie partielle ou généralisée syndrome de Lennox-Gastaut monothérapie, association (déconseillée avec valproate!!) adulte, enfant > 2 ans épilepsie partielle association adulte Indications 22 11
12 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (6) AE modernes DCI / Spécialités oxcarbazépine liste I Trileptal Oxcarbazépine zonisamide liste I Zonegran lévétiracétam liste I Keppra Mécanisme(s) d action inhibiteur canaux Na v 1 et Ca v excitabilité membranaire inhibiteur canaux Na v 1 et Ca v excitabilité membranaire + effet GABA?? liaison à protéine 2A des vésicules synaptiques modulation exocytose?? épilepsie partielle monothérapie, association adulte, enfant > 6 ans épilepsie partielle association adulte épilepsie partielle ou généralisée (tonico-cloniques) monothérapie, association adulte, enfant Indications Médicaments : mécanismes d action et indications (7) AE modernes DCI / Spécialités gabapentine liste I Neurontin Gabapentine vigabatrine liste I Sabril tiagabine liste I Gabitril stiripentol liste I Diacomit Mécanisme(s) d action activateur de glutamatedécarboxylase effet GABA inhibiteur de GABA-transaminase effet GABA inhibiteur de GAT (recapture) effet GABA inhibiteur de GAT (recapture) + inhibition GABA transaminase?? effet GABA épilepsie partielle monothérapie, association adulte, enfant > 12 ans syndrome de West (monothérapie) épilepsie partielle (association, formes résistantes) (dernière intention car toxicité oculaire) adulte, enfant Indications épilepsie partielle association (formes résistantes) adulte, enfant > 12 ans épilepsie myoclonique sévère du nourrisson association avec valproate+bzd 24 12
13 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (8) AE modernes DCI / Spécialités topiramate liste I Epitomax Mécanisme(s) d action inhibiteur canaux Na v 1 et Ca v excitabilité membranaire agoniste GABA-A effet GABA antagoniste AMPA/kaïnate (NMDA?) Indications épilepsie partielle ou généralisée (tonico-cloniques) monothérapie, association adulte, enfant > 2 ans felbamate liste I Diacomit idem effet glutamate syndrome de Lennox-Gastaut association (dernière intention car toxicité hépatique, hématologique) adulte, enfant > 4 ans Médicaments : mécanismes d action et indications (9) AE sous ATU DCI / Spécialités rétigabine liste I Rétigabine phénéturide liste I Laburide sultiame liste I Ospolot Mécanisme(s) d action activateur canaux K v 7 excitabilité membranaire + GABA (synthèse/dégradation) + agoniste GABA-A inhibiteur canaux Na v 1 et Ca v excitabilité membranaire inhibiteur anhydrase carbonique?? épilepsie partielle association (formes résistantes) adulte épilepsie partielle adulte, enfant Indications épilepsie partielle enfant association (formes résistantes) 26 13
14 7. Médicaments : mécanismes d action et indications (10) Liste I ou II Certains à prescription / délivrance particulière : DCI Liste Prescription restreinte Renouvellement Surveillance particulière zonisamide I Spécialistes Neurologie oui vigabatrin I Spécialistes Neurologie, Pédiatrie, Psychiatrie oui felbamate I Réservé Neurologie, Pédiatrie PIH semestrielle restreint oui stiripentol I Réservé Neurologie, Pédiatrie PIH semestrielle restreint oui Médicaments : mécanismes d action et indications (11) Autres indications des AE douleur névralgie du trijumeau : phénytoïne, carbamazépine, douleur neuropathique : gabapentine, prégabaline, carbamazépine (diabète, post-zona) accès maniaque : carbamazépine, acide valproïque anxiété généralisée : prégabaline, diazépam, clobazam arythmie (I) : phénytoïne tremblements essentiels adulte : primidone convulsions fébriles hyperpyrétiques : acide valproïque migraine : topiramate (traitement de fond, doses <) 28 14
15 7. Médicaments : pharmacocinétique AE anciens ½ vie longues, métabolites actifs valproate ( 15h), carbamazépine ( 20h), phénytoïne (24-48h), éthosuximide ( 60h), phénobarbital (50-140h) Métabolisme hépatique Elimination rénale AE modernes ½ vie très variables oxcarbazépine (1-2h), gabapentine ( 6h), felbamate ( 20h), zonisamide ( 60h) Métabolisme hépatique vigabatrine, gabapentine non métabolisées Élimination rénale sauf tiagabine (fécale) diminution fonction hépatique, rénale cinétique variable : enfant, sujet âgé nombreuses interactions pharmacocinétiques (AE anciens) Médicaments : effets indésirables et précautions (1) Effets indésirables nombreux, fréquents - neurologiques : troubles de coordination et équilibre, troubles visuels, auditifs, cognitifs - psychiques : somnolence, insomnies, confusion, irritabilité, agitation, dépression, céphalées utilisation avec précaution chez conducteurs et utilisateurs d engins - digestifs : nausées, vomissements, diarrhée, constipation - hématologiques : anémie, thrombopénie, leucopénie, agranulocytose - cutanés, endocriniens, métaboliques Conditionnent précautions d emploi, surveillance, compliance, arrêts de traitement, modifications de posologie Peuvent être précoces ou d apparition plus tardive 30 15
16 7. Médicaments : effets indésirables et précautions (2) AE anciens phénobarbital primidone clonazépam clobazam - neurologiques et psychiques (somnolence-adulte, hyperactivité-enfant, confusion, irritabilité, dépression, troubles de coordination et équilibre, troubles mnésiques) - carence en folates (vit B9), rachitisme, ostéomalacie adjonction acide folique + vit D (enfant) - risque de dépendance / syndrome de sevrage arrêt progressif Voir BZD anxiolytiques phénytoïne - hypertrophie gingivale (20%) surveillance régulière des gencives - carence en folates (vit B9) et vit D adjonction acide folique + vit D - hématologiques (carence en folates anémie, thrombopénie, agranulocytose) surveillance régulière de la NFS et plaquettes - digestifs (nausées, vomissements, anorexie, constipation) - neurologiques et psychiques (vertiges, troubles visuels et auditifs, confusion mentale) - cutanés (éruption, acné, lupus), endocriniens (hirsutisme) Médicaments : effets indésirables et précautions (3) AE anciens carbamazépine - neurologiques et psychiques (somnolence, vertiges, ataxie) ( au cours du traitement) - cutanés (éruption) (5-10%) - hématologiques (thrombopénie, agranulocytose) surveillance régulière de l hématogramme valproate de sodium éthosuximide - digestifs (nausées, vomissements, diarrhée ou constipation, prise de poids) - hépatiques ( transitoire des transaminases : 30%) surveillance de la fonction hépatique - digestifs (nausées, vomissements, gastralgies, prise de poids) ( au cours du traitement) - endocriniens (aménorrhée), neurologiques, cutanés, hématologiques surveillance régulière de l hématogramme Effets indésirables peu fréquents - digestifs, neurologiques et psychiques, hématologiques, cutanés surveillance de la fonction hépatique + hématogramme 32 16
17 7. Médicaments : effets indésirables et précautions (4) AE modernes lamotrigine - digestifs (nausées, vomissements, diarrhée) - neurologiques et psychiques (troubles visuels, vertiges, ataxie, somnolence, insomnie, fatigue, céphalées, agressivité, irritabilité, tremblements) - cutanés (éruption) surveillance très régulière (2 mois) prégabaline!!!! Respect strict des paliers d adaptation de posologie!!!! Arrêt progressif sur 2 semaines - digestifs (sécheresse buccale, nausées, vomissements, constipation, prise de poids) - neurologiques et psychiques (troubles visuels et moteurs, troubles cognitifs, vertiges, ataxie, somnolence, euphorie, confusion, irritabilité, tremblements) oxcarbazépine - sexuels (troubles de l érection, baisse de libido) - neurologiques et psychiques (céphalées: 37%, somnolence: 21%, vertiges: 20%, fatigue, asthénie, nervosité, agitation, confusion, troubles visuels) - digestifs (nausées, vomissements, constipation ou diarrhée) - cutanés (urticaire, acné, alopécie) - hyponatrémie, enzymes hépatiques surveillance natrémie (3 mois) Médicaments : effets indésirables et précautions (5) AE modernes zonisamide lévétirancétam - digestifs (douleurs abdominales, nausées, diarrhée, anorexie, perte de poids) - neurologiques et psychiques (troubles visuels, troubles cognitifs, vertiges, ataxie, somnolence, agitation, dépression, fièvre) - digestifs (nausées, vomissements, diarrhées, anorexie, perte de poids) - neurologiques et psychiques (vertiges, somnolence, ataxie, troubles visuels et moteurs, troubles de l attention, agitation, dépression) gabapentine - cutanés (eczéma) Effets indésirables très fréquents (> 80%) - neurologiques et psychiques somnolence: 24%, vertiges: 20%, asthénie: 15%, céphalées: 15%, tremblements: 15% - digestifs (nausées et vomissements, douleurs abdominales, diarrhée ou constipation, anorexie, prise de poids) - cutanés, hématologiques (rares)!!!! Arrêt progressif sur 1 semaine!!! 34 17
18 7. Médicaments : effets indésirables et précautions (6) AE modernes vigabatrine - oculaires: toxicité et baisse irréversible de acuité visuelle: % surveillance ophtalmologique - neurologiques et psychiques (somnolence, asthénie, vertiges, céphalées, irritabilité, agressivité, dépression, troubles psychotiques) avec prudence en cas d antécédents psychiatriques tiagabine stiripentol - digestifs, hépatiques ( des transaminases ) Essentiellement neurologiques et psychiques > 30% : vertiges 20-25% : céphalées, somnolence, tremblements 10-15% : nervosité, dépression, confusion!!!! Arrêt progressif sur 2-3 semaines!!! - neurologiques et psychiques (somnolence, ataxie, hypotonie, insomnie, agressivité, agitation, troubles visuels) - digestifs (nausées, vomissements, anorexie, perte de poids) - hépatiques ( des transaminases), cutanés, hématologiques Médicaments : effets indésirables et précautions (7) AE modernes topiramate felbamate - digestifs (douleurs abdominales, nausées, anorexie, acidose métabolique) - rénaux : lithiase urinaire surveillance hydratation, fonction rénale - neurologiques et psychiques (somnolence, nervosité, dépression, confusion, vertiges, ataxie) - digestifs (nausées, vomissements, anorexie, perte de poids, douleurs abdominales) - neurologiques et psychiques (vertiges, insomnie, somnolence, céphalées, troubles visuels et moteurs, anxiété, dépression)!!!! EI hématologique (aplasie médullaire) et hépatique (insuffisance aiguë) mortels dans 30% des cas!!!! surveillance régulière de la NFS et plaquettes + fonction hépatique 36 18
19 7. Médicaments : effets indésirables et précautions (8) Terrains particuliers : Age Grande variabilité pharmacocinétique adapter posologies quotidiennes recommandées enfant : peu d études!!!! - zonisamide, prégabaline : contre-indiqués chez enfants - autres AE : selon âge sujet âgé : hypoalbuminémie, altérations fonctions hépatiques, rénales!!!! intoxications!!!! Médicaments : effets indésirables et précautions (9) Terrains particuliers : Grossesse, allaitement AE anciens = tératogènes AE modernes : peu ou pas tératogènes (animal) ou non connu : prudence! MAIS survenue de crises représente un risque d hypoxie transitoire potentiellement mortelle pour foetus Si grossesse envisagée : - attitude modulée selon AE (2 CI strictes : oxcarbazépine, lamotrigine) - allègement traitement (respecter efficacité!) - surveillance anténatale spécifique (détection malformations) Risque néonatal : AE inducteurs enzymatiques peuvent provoquer syndrome hémorragique dans 24 premières heures de vie Allaitement : déconseillé, à évaluer au cas par cas (CI strictes : barbituriques, phénytoïne, carbamazépine, oxcarbazépine, topiramate, lamotrigine) 38 19
20 7. Médicaments : interactions (1) AE : marge thérapeutique étroite Administrés chroniquement Fréquemment prescrits en combinaison avec autres médicaments notamment autres antiépileptiques!!! Mécanismes interactions médicamenteuses : - pharmacodynamiques - déplacement liaison protéique - induction/inhibition métabolisme - altération absorption ou élimination Médicaments : interactions (2) Interactions pharmacodynamiques Interactions niveau récepteurs Potentialisation par action sur cibles différentes (imparfaitement connues chez homme) AE ayant mécanismes d action proche peuvent avoir effets indésirables additifs : ex : carbamazépine + lamotrigine (inhibiteurs canaux Na v 1) AE ayant mécanismes d action différents ou complémentaires peuvent avoir effets antiépileptiques additifs (crises généralisées) : ex : valproate (inhibiteur canaux Na v 1 + GABA) + lamotrigine (inhibiteur canaux Na v 1) 40 20
21 7. Médicaments : interactions (3) Interactions pharmacocinétiques AE inducteurs enzymatiques Phénobarbital Primidone Phénytoïne, fosphénytoïne Carbamazépine Oxcarbazépine Topiramate > 200mg/j Felbamate (faible) AE inhibiteurs enzymatiques Stiripentol Oxcarbazépine interactions médicamenteuses TRES NOMBREUSES inactivation possible des contraceptifs oraux méthode contraceptive mécanique Médicaments : interactions (4) Interactions des AE entre - eux Très nombreuses et variables! Exceptions Lévétiracetam : pas interactions avec autres antiépileptiques Felbamate : interactions uniquement avec phénytoïne Attention surtout aux modifications à instauration ou suppression de médicaments AE chez un même patient! 42 21
22 7. Médicaments : interactions (5) Interactions des AE entre - eux Phénorbarbital concentrations de valproate, felbamate, tiagabine, carbamazépine concentrations de phénytoïne est par zonisamide est par oxcarbazépine Carbamazépine concentrations de éthosuximide, felbamate, tiagabine, topiramate, valproate est par zonisamide, oxcarbazépine, phénorbarbital, primidone, phénytoïne est par felbamate, lamotrigine, clonazépam, valproate, stiripentol Valproate concentrations de lamotrigine, carbamazépine, felbamate est par phénobarbital, primidone, stiripentol, phénytoïne, carbamazépine Médicaments : interactions (6) Interactions des AE avec les autres médicaments AE anciens présentent nombreuses interactions - pharmacocinétiques (métabolisme, liaison protéines plasmatiques) - pharmacodynamiques (sédation, troubles cognitifs) AE modernes présentent moins d interactions D une manière générale, Attention aux associations avec médicaments dépresseurs du SNC (psychotropes) 44 22
23 7. Médicaments : interactions (7) Interactions des AE avec l alcool Alcoolisme chronique accroît induction enzymatique effets AE éliminés par métabolisme hépatique Intoxication aiguë par alcool entraîne inhibition enzymatique effets AE Médicaments : contre-indications (1) AE anciens phénobarbital primidone clonazépam clobazam phénytoïne carbamazépine éthosuximide valproate de sodium insuffisance respiratoire sévère porphyries allaitement Voir BZD anxiolytiques allaitement bloc auriculo-ventriculaire antécédents d hypoplasie médullaire antécédents d agranulocytose porphyrie hépatique allaitement porphyrie hépatique hépatite porphyrie hépatique IMAO non sélectifs millepertuis méfloquine 46 23
24 7. Médicaments : contre-indications (2) AE modernes lamotrigine oxcarbazépine gabapentine vigabatrine tiagabine stiripentol topiramate felbamate prégabaline, zonisamide lévétiracétam insuffisance hépatique grossesse, allaitement, enfant < 2 ans porphyrie hépatique grossesse, allaitement, enfant < 6 ans porphyrie hépatique, enfant < 12 ans rétinotoxicité, porphyrie hépatique épilepsie généralisée, syndrome de Lennox- Gastaut (risque aggravation) insuffisance hépatique, enfant < 12 ans trouble psychotique, psychose allaitement, enfant < 2 ans troubles hématologiques ou hépatiques, hypoplasie médullaire, enfant < 4 ans enfant / millepertuis IMAO non sélectifs millepertuis,sulfamides Le traitement AE (1) Instauration du traitement!!! Si épilepsie certaine et suffisamment documentée!!! Monothérapie en 1 ère intention Choix : dépend de type crise, tolérance Traitement en général pour durée minimum de 2 ans (durée réelle dépend du type d épilepsie et du pronostic) Adaptation progressive de la posologie (paliers de 7-15 jrs) dose souhaitée atteinte en 6-10 semaines Modulation posologies en fonction âge, poids, terrains particuliers 48 24
25 8. Le traitement AE (2) Etat de mal épileptique (urgence) AE à action immédiate = BZD clonazépam, diazépam associé à AE à action prolongée phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, valproate de sodium administration rectale, iv, im Le traitement AE (3) Epilepsie partielle idiopathique Grand choix de molécules (pratiquement toutes ont cette indication!) 1 ère intention : - carbamazépine - gabapentine, lamotrigine : si mauvaise tolérance à carbamazépine - phénytoïne : plus rarement (effets indésirables) Associations en cas d échec de monothérapie : - topiramate, tiagabine, lévétiracétam - vigabatrine : dernière intention car toxicité oculaire - prégabaline : que chez l adulte Enfant : si crises rares et brèves : pas de traitement ou posologies faibles! 50 25
26 8. Le traitement AE (4) Epilepsie généralisée idiopathique 1 ère intention : valproate de sodium 2 ème intention : selon type de crises - absences : éthosuximide (enfant, adolescent)!! peut favoriser l apparition de crises tonico-cloniques!! lamotrigine - tonico-cloniques +/- absences : lamotrigine, lévétiracétam, topiramate - tonico-cloniques sans absences : phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine!! inefficacité ou aggravation des absences!! Associations en cas d échec de monothérapie : valproate de sodium + autre AE Le traitement AE (5) Epilepsies symptomatiques Epilepsie partielle : carbamazépine, oxcarbazépine, lamotrigine Epilepsie généralisée : Enfant!!!!! pharmacorésistante!!!!! - syndrome de West : valproate de sodium, vigabatrine - syndrome de Lennox-Gastaut : valproate de sodium!!! nécessite rapidement bithérapie : valproate + lamotrigine, felbamate, topiramate, éthosuximide!!! Adulte phénobarbital 52 26
27 8. Le traitement AE (6) Critères d efficacité du traitement Disparition des crises contrôle complet des crises dans % des cas (monothérapie) Absence d effets secondaires! Risque aggravation paradoxale de épilepsie (mauvais diagnostic type crise, cause inconnue) En cas d épilepsie réfractaire : - Vérification de la compliance, adaptation de la posologie - Réévaluation du diagnostic (épilepsie? type d épilepsie?) - Changement de monothérapie - Passage à bithérapie (trithérapie : effets secondaires pour peu bénéfice) - Approche neurochirurgicale Le traitement AE (7) Réponse thérapeutique Epilepsies pharmaco-sensibles épilepsies idiopathiques du nourrisson et enfant, épilepsies partielles symptomatiques - crises bien contrôlées, guérison rapide sans séquelles ni rechute - arrêt du traitement après 2 ans Épilepsies pharmaco-résistantes certaines épilepsies partielles ou généralisées - crises +/- atténuées mais persistantes - traitement jamais interrompu Épilepsies pharmaco-dépendantes : absences débutant à l adolescent, épilepsies partielles symptomatiques - crises bien contrôlées mais risque de rechute au sevrage important - si pas crises pendant 2-5 ans : progressive (sur mois) puis arrêt - surveillance EEG pour prévoir récidives 54 27
28 8. Le traitement AE (8) Approche neurochirurgicale Chirurgie lésion : tumeurs, malformations vasculaires Chirurgie zone épileptogène (épilepsies partielles) : possible si foyer situé dans «zone muette» pas de séquelles irréversibles!!! parfois dans autres zones si patient accepte séquelles modérées!!! Chirurgie palliative : épilepsies très sévères, avec crises très nombreuses et invalidantes (comme des chutes brutales) amélioration de état neurologique et réduction de gravité des crises Callosotomie : section partielle ou totale du corps calleux, structure cérébrale reliant les 2 hémisphères cérébraux Hémisphérectomie fonctionnelle : déconnection d un hémisphère entier, en laissant en place le tissu et sa vascularisation Hémisphérectomie : ablation d'un hémisphère cérébral, avec ou sans conservation des noyaux 55 gris centraux 28
7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailCe qu il faut savoir sur l épilepsie.
Ce qu il faut savoir sur l épilepsie. Sommaire Que faut-il savoir sur l épilepsie? 4 Qu est-ce que l épilepsie? 7 Qu est-ce qui cause l épilepsie? 8 Facteurs génétiques 9 Autres maladies 10 Blessures à
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailInfo. Ligue contre l Epilepsie. Epilepsie. Qu est-ce que c est une crise épileptique ou une épilepsie?
Ligue contre l Epilepsie Ligue Suisse contre l Epilepsie Schweizerische Liga gegen Epilepsie Lega Svizzera contro l Epilessia Swiss League Against Epilepsy Info Epilepsie Qu est-ce que c est une crise
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailUn nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014
Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques Auteur Dominique Lannes Médecin-Conseil SCOR
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailLES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS
LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailRésumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Par fiole: L - asparaginase 10.000 U.I. Pour les excipients, cfr section 6.1. 3.
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailExemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant atteinte de déficience mentale et d épilepsie
UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE TOULOUSE RANGUEIL Institut de formation de psychomotricité Exemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailMédicaments et grossesse
5 Médicaments et grossesse 120 questions en gynécologie-obstétrique 2014 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. 5. Médicaments et grossesse 151 Question 32 Elle est enceinte et doit prendre des médicaments
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailDESCRIPTION DE L'EMBRYOPATHIE
DESCRIPTION DE L'EMBRYOPATHIE EN FONCTION DE L'ANTI- CONVULSIVANT PRIS... D'après le site : http://www.medlink.com/medlinkcontent.asp Contributors Yu-tze Ng MD, author. Dr. Ng of the University of Arizona
Plus en détail