Solutions Feuille de Travaux Dirigés n 4
|
|
- Flavie Marion
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université Francois Rabelais de Tours Licence de Mathématiques Solutions Feuille de Travaux Dirigés n 4 L3, Algèbre Semestre 6 Extension de corps Exercice ) (a) Montrer que est irrationnel. Solution: Supposons que = a b avec (a, b) N premiers entre-eux. On a alors a = b. et divise a. Or si ne divise pas a on peut écrire a = a + ce qui implique que a = (a + a ) + et donc ne divise pas non plus a. Par contraposé on en déduit que divise a et donc que a = a. Ceci implique alors b = a et on en déduit de la même façon que divise b et donc que b = b. Ceci contredit le fait que (a, b) sont premiers entre-eux. Ainsi ne peut pas être rationnel. (b) Montrer que p est irrationnel pour tout nombre premier p. Solution: Supposons que p = a b avec (a, b) N premiers entre-eux. On a alors a = pb. et p divise a. Ceci implique que p divise a. On peut par exemple utiliser la décomposition de a en facteur premiers pour le voir. On a donc que a = pa. Ceci implique alors b = pa et on en déduit de la même façon que p divise b. Ceci contredit le fait que (a, b) sont premiers entre-eux. Ainsi p ne peut pas être rationnel. ) Soit n N. Montrer que n est soit entier soit irrationnel. Solution: Supposons que n est un nombre rationnel. On a alors a et b des entiers positifs tels que On définit alors l ensemble Γ par a = nb. Γ := {p N : p est un diviseur premier de a, b ou n}. En utilisant la décomposition en facteur premier dans N on a trois fonctions ν a, ν b et ν n à valeurs dans N telles que a = p νa(p), b = p νb(p), n = p νn(p). Mais alors l équation a = nb nous fournit p νa(p) = p ν b(p)+ν n(p). Et en utilisant l unicité de la décomposition en facteurs premiers on arrive alors à p Γ, ν a (p) = ν b (p) + ν n (p). On en conclut donc que pour tout p dans Γ, le nombre ν n (p) est divisible par c est à dire ν n (p) = ν n(p) et on peut alors écrire n := p ν n (p) = p ν n (p), et donc n est un carré parfait. Ceci contredit les hypothèses. 3) Soit n, n deux entiers qui ne sont pas des carrés parfaits.
2 Exercice (a) Montrer que n + n est irrationnel. Solution: Si on suppose que n + n = a b, on peut en déduire b n = a + b n ab n, ce qui est absurde car cela impliquerait que n est rationnel or d après la question ) ce n est pas le cas. (b) Montrer que n + n est algébrique sur Q et déterminer P Q[X] tel que P ( n + n ) =. Solution: On introduit les notations r = n, s = n, t = r + s. On a alors r = n et s = n. On veut une équation polynomiale à coefficients entier pour t. n = r = (t s) = t + s st = t + n st. Mais on peut alors isoler le terme en st pour obtenir 4n t = 4s t = (t + n n ) = t 4 + (n n )t + (n n ). Au final on voit que t = n + n est solution de P (X) := X 4 (n + n )X + (n n ) =. (c) Déterminer le polnôme minimal de n + n. Solution: On peut facilement factoriser P dans R[X] car les racines proviennent d une équation bicarrée. P (X) = (X ( n + n ))(X + ( n + n ))(X ( n n ))(X + ( n n )). Or en utilisant les mêmes arguments qu à la question ) on peut voir qu aucune des racines n est rationnelle. Ceci implique que P ne peut pas se factoriser dans Q[X] comme produit d un polynôme de degré 3 et d un polynôme de degré. On constate de plus que (X n + n )(X n n ) = X n X + n n / Q[X], (X n + n )(X + n + n ) = X + n X + n n / Q[X], Finalement la seule factorisation possible vient du regroupement (X + n + n )(X n n ) = X n n n n, qui est dans Q[X] si et seulement si n n est rationnelle. On a donc deux cas de figure. Si n n est un carré parfait alors le polynôme minimale de n + n est Sinon le polynôme minimale est P. X n n n n. ) Soit P = X + X + F [X]. On pose F := F /(P ) et α = X dans F. (a) Montrer que P est irréductible. Solution: Degré et pas de racine donc irréductible. (b) Montrer que F = F [α] = {a + a α a, a F }. Solution: On rappelle que F [α] = { n i= a iα i n N, a i F }. Pour tout polynôme A F [X], il existe un unique couple (Q, R) F [X] tel que A = P Q + R où deg(r) <. Ainsi A = R = a + a α avec a, a F d où le résultat. (c) Montrer que α est racine de P et factoriser P dans F. Solution: On a P (α) = P (X) = P (X) = dans F et donc α est racine de P dans F. On fait la division euclidienne de P par (X α) et on trouve P = (X α)(x + α + ) sur F. ) Soit P = X 3 + X + F [X]. On pose F := F /(P ) et α = X dans F.
3 Exercice 3 (a) Montrer que P est irréductible. Solution: Degré 3 et pas de racine donc irréductible. (b) Montrer que F = F [α] = {a + a α + a α a, a, a F }. Solution: On rappelle que F [α] = { n i= a iα i n N, a i F }. Pour tout polynôme A F [X], il existe un unique couple (Q, R) F [X] tel que A = P Q + R où deg(r) < 3. Ainsi A = R = a + a α + a α avec a, a, a F d où le résultat. (c) Montrer que α est racine de P et factoriser P dans F. Solution: Par division euclidienne on trouve P = (X α)(x +αx +(α +)). Reste à savoir si Q = X +αx+(α +) est irréductible. On cherche une racine sous la forme β = a +a α+a α. On trouve Q(β) = (a + a + ) + a α + (a + )α = a =, a =, a = ou. Les racines de Q sont donc α et α + α et on a P = (X α)(x α )(X (a + α )) ) Énoncer le critère d irréductibilité de Eisenstein de la feuille de Td. ) Déterminer le polynôme minimal de Solution: P := X est unitaire, irréductible et P ( ) = donc P est le polynôme minimal de 3) Déterminer le polynôme minimal de 3 Solution: P := X 3 est unitaire, irréductible et P ( 3 ) = donc P est le polynôme minimal de 3 4) Déterminer le polynôme minimal de n Solution: P := X n est unitaire, irréductible et P ( n ) = donc P est le polynôme minimal de n 5) Déterminer le polynôme minimal de 3 sur Q[ ]. Solution: On vérifie que 3 / Q[ ]. L extension [Q( )( 3), Q( )] et donc au moins de degré. Comme X 3 est un polynôme annulateur de 3 c est nécessairement le polynôme minimal de de 3 sur Q[ ]. 6) Déterminer le polynôme minimal de 4 sur Q[ ]. Solution: On a[q( 4 ), Q] = 4 et [Q( ), Q] = donc [Q( 4 ), Q( )] =. Le polynôme X est un polynôme annulateur de 4 sur Q( ), ce doit donc être le polynôme minimal de 4. Codes correcteurs Exercice 4 Soit C le code de Hamming de paramètre (4, 7) de matrice génératrice G et de matrice de contrôle H donnée par : G = et H = ) Corriger le message m = t (,,,,,, ) sachant qu il y a eu une seule erreur. Solution: Soit e i = (,...,,... ) le vecteur d erreur qui contient un à la i ième place de telle sorte que m = m + e i. On calcule Hm = qui est la deuxième colonne de H. Ainsi i = et le message devrait être t (,,,,,, ). 3
4 ) Vous recevez le message m = t (,,,,,, ). (a) Y-a-t-il eu des erreurs? Solution: Oui puisque Hm =. (b) Corriger le message sachant qu il y a eu une seule erreur. Solution: En procédant comme dans la question précédente, on montre que l erreur se situe à la 5 ième place et donc que le message envoyé devait être t (,,,,,, ). Comme le codage est systématique, la partie contenant les informations (les 4 premières composantes) sont correctes. (c) Si on suppose qu il y a eu deux erreurs, déterminer les messages qui pourraient avoir été envoyés? Solution: Il s agit ici de trouver les mots de code qui diffèrent de m de deux composantes et qui vérifient Hm = Hm =. Dans le tableau suivant, on calcule tous les mots de code ainsi que la distance à m : t m t (Gm) d(gm, m ) t m t (Gm) d(gm, m ) (,,, ) (,,,,,, ) 3 (,,, ) (,,,,,, ) 3 (,,, ) (,,,,,, ) 5 (,,, ) (,,,,,, ) 5 (,,, ) (,,,,,, ) 5 (,,, ) (,,,,,, ) (,,, ) (,,,,,, ) 4 (,,, ) (,,,,,, ) 5 (,,, ) (,,,,,, ) (,,, ) (,,,,,, ) 3 (,,, ) (,,,,,, ) 6 (,,, ) (,,,,,, ) 3 (,,, ) (,,,,,, ) (,,, ) (,,,,,, ) (,,, ) (,,,,,, ) 4 (,,, ) (,,,,,, ) 4 Ainsi, le message d origine aurait peut être :, ou. Exercice 5 Soit q = p n où p est un nombre premier et soit F q le corps fini à q éléments. Soit E = F n q. On rappelle que pour tout x F n q, w(x) est le nombre de coordonnées non nuls dans x et que la distance de Hamming est définie par d(x, y) = w(x y). ) Montrer que d est une distance sur F n q. Solution: Il faut montrer que pour tout (x, y, z) F n q (a) d(x, y) = d(y, x) (b) d(x, y) = x = y (c) d(x, y) d(x, z) + d(z, y) Les deux premiers points sont clairs. Pour montrer la troisième inégalité, on introduit la fonction suivante { si x i = y i d i (x, y) = si x i y i On a d(x, y) = d i (x, y). Ainsi pour montrer que d(x, y) d(x, z) + d(z, y) il suffit de montrer que d i (x, y) d i (x, z) + d i (z, y). Mais c est clair puisque dès lors que x i y i on a forcément x i z i ou y i z i. ) Combien y-a-t-il d éléments dans un s.e.v de F n q de dimension d? Solution: On fixe une base (e,..., e d ) du s.e.v. Tout élément s écrit alors uniquement comme une combinaison linéaire des éléments de la base. Pour chaque coefficient on a q choix, ce qui fait q d éléments. 4
5 3) Combien y-a-t-il d éléments dans F n q tels que w(x)? tels que w(x)? Solution: Si w(x), cela veut dire soit que x = soit que x diffère de en une seul composante. Il y a donc + ( n ) (q ) = + n(q ) éléments qui vérifient w(x). Si w(x) alors soit w(x) = et x =, soit w(x) = et il y a n(q ) possibilités, soit x diffère de en composantes, il y a donc ( n ) (q ). Finalement on a {x F n q w(x) } = + ( n ) (q ) + 4) Calculer le cardinal de la boule fermée B r (a) centré en a et de rayon r. (q ) Solution: Tout d abord on voit que B r (a) = B r (). Pour cela on peut vérifier que l application Ψ : B r (a) B r () x x a est bien définie et injective. D après les questions précédentes, on voit que On remarque que si on prends r = n, alors B n (a) = B r () = {x F n q w(x) r} r = (q ) i. i n i= i= (q ) i = (q + ) n = q n i ce qui est cohérent puisque la boule de centre et de rayon n contient tous les éléments de F n q. 5) Soit C un code t-correcteurs de E de dimension d. Montrer que C q n / B t (). [ Aide : Un code est t-correcteur si les boules de centre les mots du code et de rayon t sont disjointes. ] Solution: Toutes les boules de rayon t ont même cardinal B t (). Si toutes les boules de centre un mot de C sont disjointes alors C B t () q n d où le résultat. 6) L entier t peut-il être arbitrairement grand? Solution: Non puisque sinon B t () deviendrait arbitrairement grand et alors l inégalité précédente ne serait plus vérifiée. 7) Montrer que dans le cas du code de Hamming de paramètre (4,7), l ensemble des boules de rayons et de centre les mots du code forme une partition de F 7. Solution: Le code de Hamming est -correcteur, on peut le voir par exemple en calculant le poids des mots du code. Ce code contient 4 = 6 éléments et chaque boule de rayon contient + 7 ( ) = 8 éléments. La réunion des boules fermées de rayon et centrées en les mots du code contient donc 4 3 = 7 éléments, soit l espace F 7 tout entier. Exercice 6 Soit E = F n et soit C un code linéaire de dimension k et de distance minimale d C. Soit F le s.e.v de E formé des vecteurs de la forme (x, x,..., x n (k ),,..., ). Montrer que F C n est pas réduit à et en déduire que d C n + k. Solution: On a dim F = n (k ) et dim(c ) = k. Comme dim F + dim C = n + on voit que F C n est pas réduit à. Autrement dit, il existe un vecteur dans C dont les k dernières composantes sont nulles. Le poids de ce vecteur est inférieur ou égal à n k et donc d C n (k ). 5
Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailwww.h-k.fr/publications/objectif-agregation
«Sur C, tout est connexe!» www.h-k.fr/publications/objectif-agregation L idée de cette note est de montrer que, contrairement à ce qui se passe sur R, «sur C, tout est connexe». Cet abus de langage se
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailExtrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010
MINI-COURS SUR LES POLYNÔMES À UNE VARIABLE Extrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010 Table des matières I Opérations sur les polynômes 3 II Division euclidienne et racines 5 1 Division euclidienne
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailChapitre VI - Méthodes de factorisation
Université Pierre et Marie Curie Cours de cryptographie MM067-2012/13 Alain Kraus Chapitre VI - Méthodes de factorisation Le problème de la factorisation des grands entiers est a priori très difficile.
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailFibonacci et les paquerettes
Fibonacci et les paquerettes JOLY Romain & RIVOAL Tanguy Introduction Quand on entend dire que l on peut trouver le nombre d or et la suite de Fibonacci dans les fleurs et les pommes de pin, on est au
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailExercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels
Exercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels Exercice 1 On considére le sous-espace vectoriel F de R formé des solutions du système suivant : x1 x 2 x 3 + 2x = 0 E 1 x 1 + 2x 2 + x 3
Plus en détailCours d arithmétique Première partie
Cours d arithmétique Première partie Pierre Bornsztein Xavier Caruso Pierre Nolin Mehdi Tibouchi Décembre 2004 Ce document est la première partie d un cours d arithmétique écrit pour les élèves préparant
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailThéorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014. Paul Honeine Université de technologie de Troyes France
Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014 Paul Honeine Université de technologie de Troyes France TD-1 Rappels de calculs de probabilités Exercice 1. On dispose d un jeu de 52 cartes
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailMathématiques Algèbre et géométrie
Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches
Plus en détailProbabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...
1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailLa question est : dans 450 combien de fois 23. L opération est donc la division. Le diviseur. Le quotient
par un nombre entier I La division euclidienne : le quotient est entier Faire l activité division. Exemple Sur une étagère de 4mm de large, combien peut on ranger de livres de mm d épaisseur? La question
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailCours d Analyse I et II
ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE DE LAUSANNE Cours d Analyse I et II Sections Microtechnique & Science et génie des matériaux Dr. Philippe Chabloz avril 23 Table des matières Sur les nombres. Les nombres
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailConversion d un entier. Méthode par soustraction
Conversion entre bases Pour passer d un nombre en base b à un nombre en base 10, on utilise l écriture polynomiale décrite précédemment. Pour passer d un nombre en base 10 à un nombre en base b, on peut
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailÉquations non linéaires
Équations non linéaires Objectif : trouver les zéros de fonctions (ou systèmes) non linéaires, c-à-d les valeurs α R telles que f(α) = 0. y f(x) α 1 α 2 α 3 x Equations non lineaires p. 1/49 Exemples et
Plus en détailSites web éducatifs et ressources en mathématiques
Sites web éducatifs et ressources en mathématiques Exercices en ligne pour le primaire Calcul mental élémentaire : http://www.csaffluents.qc.ca/wlamen/tables-sous.html Problèmes de soustraction/addition
Plus en détailAnalyse des Systèmes Asservis
Analyse des Systèmes Asservis Après quelques rappels, nous verrons comment évaluer deux des caractéristiques principales d'un système asservi : Stabilité et Précision. Si ces caractéristiques ne sont pas
Plus en détailReprésentation d un entier en base b
Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailCalculer avec Sage. Revision : 417 du 1 er juillet 2010
Calculer avec Sage Alexandre Casamayou Guillaume Connan Thierry Dumont Laurent Fousse François Maltey Matthias Meulien Marc Mezzarobba Clément Pernet Nicolas Thiéry Paul Zimmermann Revision : 417 du 1
Plus en détailINF 232: Langages et Automates. Travaux Dirigés. Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies
INF 232: Langages et Automates Travaux Dirigés Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies Année Académique 2013-2014 Année Académique 2013-2014 UNIVERSITÉ JOSEPH
Plus en détail108y= 1 où x et y sont des entiers
Polynésie Juin 202 Série S Exercice Partie A On considère l équation ( ) relatifs E :x y= où x et y sont des entiers Vérifier que le couple ( ;3 ) est solution de cette équation 2 Déterminer l ensemble
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailFONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE. Mathématiques financières
FONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE Mathématiques financières A1. Résoudre des problèmes comportant des intérêts composés dans la prise de décisions financières. [C, L, RP, T, V] Résultat d apprentissage
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailIII- Raisonnement par récurrence
III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailDate : 18.11.2013 Tangram en carré page
Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Titre : Tangram en carré Numéro de la dernière page : 14 Degrés : 1 e 4 e du Collège Durée : 90 minutes Résumé : Le jeu de Tangram (appelé en chinois les sept planches
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailCalculs de probabilités avec la loi normale
Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce
Plus en détailFONDEMENTS DES MATHÉMATIQUES
FONDEMENTS DES MATHÉMATIQUES AYBERK ZEYTİN 1. DIVISIBILITÉ Comment on peut écrire un entier naturel comme un produit des petits entiers? Cette question a une infinitude d interconnexions entre les nombres
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailNombres premiers. Comment reconnaître un nombre premier? Mais...
Introduction Nombres premiers Nombres premiers Rutger Noot IRMA Université de Strasbourg et CNRS Le 19 janvier 2011 IREM Strasbourg Definition Un nombre premier est un entier naturel p > 1 ayant exactement
Plus en détailProbabilités conditionnelles Exercices corrigés
Terminale S Probabilités conditionnelles Exercices corrigés Exercice : (solution Une compagnie d assurance automobile fait un bilan des frais d intervention, parmi ses dossiers d accidents de la circulation.
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailProgrammation Visual Basic. Visite guidée d'un programme Visual Basic 6.0
UNIVERSITE DES SCIENCES SOCIALES DE TOULOUSE Licence Professionnelles LSi Master FC IGSI Programmation Visual Basic Visite guidée d'un programme Visual Basic 6.0 1. un exemple d'application a) créer dans
Plus en détailNOTATIONS PRÉLIMINAIRES
Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel
Plus en détailDistribution Uniforme Probabilité de Laplace Dénombrements Les Paris. Chapitre 2 Le calcul des probabilités
Chapitre 2 Le calcul des probabilités Equiprobabilité et Distribution Uniforme Deux événements A et B sont dits équiprobables si P(A) = P(B) Si il y a équiprobabilité sur Ω, cad si tous les événements
Plus en détailProblèmes de Mathématiques Filtres et ultrafiltres
Énoncé Soit E un ensemble non vide. On dit qu un sous-ensemble F de P(E) est un filtre sur E si (P 0 ) F. (P 1 ) (X, Y ) F 2, X Y F. (P 2 ) X F, Y P(E) : X Y Y F. (P 3 ) / F. Première Partie 1. Que dire
Plus en détailExercices sur le chapitre «Probabilités»
Arnaud de Saint Julien - MPSI Lycée La Merci 2014-2015 1 Pour démarrer Exercices sur le chapitre «Probabilités» Exercice 1 (Modélisation d un dé non cubique) On considère un parallélépipède rectangle de
Plus en détailBONUS MALUS. Voici, la façon de calculer la prime : Le montant de la prime à acquitter est égale à : P = PB. C où : P
BONUS MALUS Le propriétaire d un véhicule automobile est tenu d assurer sa voiture auprès d une compagnie d assurances. Pour un véhicule donné, le propriétaire versera annuellement une «prime» à sa compagnie.
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailTable des matières. I Mise à niveau 11. Préface
Table des matières Préface v I Mise à niveau 11 1 Bases du calcul commercial 13 1.1 Alphabet grec...................................... 13 1.2 Symboles mathématiques............................... 14 1.3
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailCalculs de probabilités
Calculs de probabilités Mathématiques Générales B Université de Genève Sylvain Sardy 13 mars 2008 1. Définitions et notations 1 L origine des probabilités est l analyse de jeux de hasard, tels que pile
Plus en détailCORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts
CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.
Plus en détailEquations différentielles linéaires à coefficients constants
Equations différentielles linéaires à coefficients constants Cas des équations d ordre 1 et 2 Cours de : Martine Arrou-Vignod Médiatisation : Johan Millaud Département RT de l IUT de Vélizy Mai 2007 I
Plus en détailTravaux dirigés d introduction aux Probabilités
Travaux dirigés d introduction aux Probabilités - Dénombrement - - Probabilités Élémentaires - - Variables Aléatoires Discrètes - - Variables Aléatoires Continues - 1 - Dénombrement - Exercice 1 Combien
Plus en détailUML et les Bases de Données
CNAM UML et les Bases de Données UML et les Bases de Données. Diagramme de classes / diagramme d objets (UML)...2.. Premier niveau de modélisation des données d une application...2.2. Les éléments de modélisation...2.2..
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détailExercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT
Exercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT Ces exercices portent sur les items 2, 3 et 5 du programme d informatique des classes préparatoires,
Plus en détailUne introduction aux codes correcteurs quantiques
Une introduction aux codes correcteurs quantiques Jean-Pierre Tillich INRIA Rocquencourt, équipe-projet SECRET 20 mars 2008 1/38 De quoi est-il question ici? Code quantique : il est possible de corriger
Plus en détail= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m
1 épartement de Physique, Université Laval, Québec Pierre Amiot, 1. La fonction delta et certaines de ses utilisations. Clientèle Ce texte est destiné aux physiciens, ingénieurs et autres scientifiques.
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détail