1 0 2 e Anaàa. X* 7 t a h u m ïh o vnsgoj carcan», gg Dimanche 15 Fév.ier Î631. P a r a i s s a n t 'ISSEM ENT DE SEN LIS. t é l é p h o n e n 4



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Transcription:

s 1 0 2 e naàa. X* 7 t a h u m ïh o vnsgoj carcan», gg Dimanche 15 Fév.ier Î631 JO U R N L DE L RRO On an... Six m oii... P a r a i s s a n t 'ISSEM ENT DE SEN LIS -a. ca> jcsr jsr jsî : "ot Bureaux F' Fost* 1» 11 I I 1... ^TWS.*nl>onijé'au* îüurèaax «f» Jouirifsai.iM dans toua les bureaux de poste. L abonnem ent est payable d avance e t continue de plein d ro it jusq u 'à réception d avis contraire. L&j bo^ moments parient du 1- de chaque moim 2>e quoi par...de to u t, u n p e u ; com m e à l o rd in a ire, q u a n d il n y a p ré cisém ent rie n d e x tra o rd in a i re. D u reste, il y a d eu x ou tro is su je ts, to u jo u rs les m êm es, et qui sont v ra im e n t in ép u isab les. U n p eu tro p m êm e. Com m e cette e n q u ête O u strie d o n t o» com m ence à so u h a ite r la fin, sérieu sem en t, p a rc e q u on ne voit p lu s b ien où cela n o u s m ène. N a tu re l le m e n t to u t le m onde d it q u il fa u t a lle r ju s q u au b o u t, c est-à-d ire ju s q u au x san ctio n s in clu siv em en t, m ais il fa u t y aller ra p id e m e n t. O n a l im p ressio n q u e cela tra în e en lo n g u e u r et que l affaire va se p e rd re d a n s les sables e t q u il n en so rtira que m a laise e t m écontentem ent... d o m m ag eables au x fu tu re s élections législatives. Ces élections, y a rriv e ro n s-n o u s? N e fa u d ra -t-il p as les av ancer? C est ce que so u h a ite n t a rd e m m e n t M. L éon B lum et ses am is. D isso lu tio n! D isso lu tio n! C est le re fra in d u P o p u laire. M. L éon B lu m n e cesse de p rê ch er la d isso lu tio n. Il tro u v e la C ham b re «in stab le, débile, im p u issa n te». L a m a jo rité est p lein e de c o n tra d ic tio n s, elle ne re p ré se n te p lu s la volonté du p ay s, etc. E t M. L éon B lu m s énerv e, il va ju s q u à so u h a ite r la disp a ritio n C o n stitu tio n de 1875. C ette c o n stitu tio n ne lu i d it rie n qui vaille, ceux q u i l o n t faite, ont, dit-il, m is to u t en œ u v re p o u r l ex p u rg er de l e sp rit rép u b licain. C ependant, o ette c o n stitu tio n si m au v aise soit-elle, p ré se n te à ses yeux u n g ra n d av an tag e q u i est de p e rm e t tre la d isso lu tio n. C est ce q u il fa u t sav o ir a p p ré c ie r! D issolvons donc! M. L éon B lum déclam e a in si p arce q u e les élections p a rtie lle s depuis q u elq u e te m p s o n t p e rm is à son p a rti de g rig n o ter sep t à h u it rad icau x. Il esp ère sans d o u te les avaler to u s au x p ro c h a in e s élections générales e t cela lu i d o n n e des im p atien ces et cela cause b ien de l h u m e u r à M. Georges P o n so t qui s écrie d a n s la G auche : «la tin, n o u s en avons p a r dessu s les ép au les des conseils de M. B lum. M. B lum est-il G u b e rn a te u r de ce p ay s? Q u est-ce que M. B lum? Q ue ce g arço n vote le b u d g et ; q u il fasse son m é tie r de dép u té, n o u s ne d em an d o n s p as d av an tag e à cet opp o rtu n iste de l ude. «C e st u n in tellectu el!», c rie n t les oies. Q ue m e fa it? E t, encore, il s e ra it besoin de d isp u te r son in te lligence. Si to u s les d ép u tés é ta ie n t in tellectu els de sa trem p e, la F ra n c e ne se ra it q u u n d é se rt avec, deci, delà, des cactu s de c asu istiq u es.» C est fo rt b ien dit. M ais il fa u d ra it q u e to u s les ra d ic a u x p a rta g e n t cette m a n iè re d a p p ré c ie r la S. F. I. O. à sa ju s te v aleur. D an s to u te s ces ch i canes, ces invectives, ces av ertissem e n ts solennels q u on se donne s u r u n to n co m m in ato ire, il n y a rien de nouveau. L E S T, n o n p lu s, rien de n o u veau, si ce n est, to u t de m êm e, u n d isco u rs d u D r C u rtiu s a u R eichtag. O n p re n d soin de n o u s a v e rtir que M. C u rtiu s n est p as u n o ra te u r. N on seu lem en t, il n im p ro v ise pas, il lit, e t n o n seulem ent il lit, m ais il lit m al, il lit s u r u n to n u n ifo rm e, d une v ix m onotone... v II a d onc to u t ce q u il fa u t p o u r déplaire à u n a u d i to ire fra n ç a is. M ais, ce d o n t o n est in capable de se re n d re com pte chez n o u s, to u t cela ne fa it q u a jo u te r au poids de ses p aroles. O r q u a-t-il d it M. C u rtiu s?, ^ o t é cl - u n e % - ^ D c h is e. r e m î ^ q u a - ble. il. a déclaré q u e les llem an d s v eu len t b ien e n te n d re p a rlë r d une c e rta in e u n io n eu ro p éenne, m a is à la co n d itio n q u e l E u ro p e nouvelle ne soit p as c o n stru ite s u r la b a se de le u r p lu s g ran d e ru in e. Il a déclaré que l llem agne a u n d ro it c la ir au d é sarm em en t gén éral ; que la p ro tectio n des m in o rité s et le développem en t de l idée de n a tio n a lité, re ste n t les tâch es p rin c ip a le s p o litiq u e allem an d e. Il a d éclaré que l in té rê t dë l llem agne est de re s te r d a n s la Société des N ations, m ais p o u r en obte n ir u n m eilleur re n d e m e n t en ce qui concerne l au to n o m ie de M emel, de D antzig, du te rrito ire S arre, H aute-s ilésie, l in ta n g ib ilité et l in d ép en d an ce d es te rrito ire s 'sous m a n d a t. E n ce qui concerne la re sp o n sa b ilité G uerre, M. C u rtiu s se jo in t à ses p réd écesseu rs p o u r p la id e r non coupable. Q u a n t au p la n Y oung, dit-il, n o u s ne le d éch irero n s pas, m ais n o u s ne g a ra n tisso n s p as q u il so it exécutable. E n q uoi rie n d e x tra o rd in a ire, rie n que n o u s ne sach io n s d éjà. S eu lem en t on e st to u t de m êm e u n p eu effaré q u a n d on a p p re n d, p lu s loin, d a n s le m êm e jo u rn a l q u i n o u s ra p p o rte ces p aro les de M. C u rtiu s, que les b a n ques fra n ç a ise s v o n t p rê te r 250 m illions à l llem agne! Ce n est p a s u n p rê t p a ra ît-il, c est u n e «aide», c est u n e «avance», c est u n e «o p ératio n de tré so re rie»... Le Figaro se dem ande si c est là «u n e négociation b an c a ire ou d ip lo m atiq u e» ou bien «u n acte de p h ila n th ro p ie». N ous ne sa u rio n s dire. C est p e u t-ê tre to u t sim p lem en t u n «c a n a rd». S ouhaito n s d avoir m al lu... Ce qui est certa in c est que le d iscours de M. C urtiu s ne d isa it rie n à l av an ce a u x H itlérien s et a u x n a tio n a liste s. Ils ont q u itté la salle a v a n t de l e n te n d re en p o u ssa n t des «heil» re te n tissa n ts. P e u t-ê tre ce d isco u rs le u r sem blait- il devoir être encore tro p faib le? T o u t ceci, a u ssi b ien que le C in q u a n te n a ire m o rt de C arlyle que les nglais célébraien t je u d i d ern ier, d ev rait nous in v ite r à suivre u n e a u tre p o litiq u e que celle «d u ch ien crevé».. C h e n e t. Chemin de Fer du Nord P R I S-N O R D LO N D R E S Foire des industries britanniques Les 13, 14, 15, 20, 21, 22 février 1931, d élivrance de billets d excursion à p rix réd u its de P aris-n o rd à L ondres, v alables quinze jo u rs, avec facilité de p ro rogation contre supplém en t. Via B oulogne-f olkestone ou C alais-d ouvres Services de jo u r P rix des places aller et reto u r (sau f v ariatio n s et non com pris le droit de tim bre) : dultes P re m iè re classe ; 641 fr. 10. D euxièm e classe : 465 fr. 35. T ro isièm e classe ; 329 fr. 55. R éduction p o u r e n fa n ts de 4 à 10 ans. Via D u n kerq u e-t ilb u ry S ervice de n u it P rix des p laces aller et reto u r (sau f v ariatio n s et non com pris le droit de tim b re) : d u l t e s P re m iè re classe : 467 fr. 95. D euxièm e classe su r le réseau du Nord. T roisièm e classe su r le b ateau et su r les chem ins de fe r an g lais : 299 fr 90 T ro isièm e classe : 247 fr. 05. k.es. billets donnen t droit au tra n sp o rt g ra tu it de 30 kilos de bagages su r tout le p arcours (pour les en fan ts, le poids est réduit à 20 kilos). P o u r p lu s am p les ren seig n em en ts h o raires, d élivrance de billets s ad resser à la gare du Nord, 18, ru e de D un- k erq u e, à P a ris : à la C om pagnie du S outhern R ailw ay i 14, ru e du Q uatre- S eptem bre, et à la C om pagnie du Lon- don M idland a n d S cottish, 12, boulev ard M adeleine. Dénombrement Population Le recen sem en t population doit avoir lieu le 8 m a rs prochain. Cette statistique établie tous le» cinq ans, p o u rra it avoir le p lu s g ra n d in térêt, C est la p ro m p te connaissance de ses résu ltats qui p erm ettrait en effet de savoir exactem ent la situation dém o g rap h iq u e F ran ce. Les h o m m es qui ont la charge d étu d ier ou d o rienter l économ ie natio n ale sa u ra ie n t le nom bre de F ra n ç a is et d E tra n g e rs qui résid en t d an s notre pays. Ils seraien t fixés su r la n a tio n a lité des E tran g ers. Ils sa u ra ie n t l em ploi de tous les élém ents actifs population et p o u rra ie n t ap p récier si certain es activités, socialem ent in u tiles, sont pléthoriques, tandis que d a u tres em plois, beaucoup p lu s utiles au pays, se trouvent délaissés. E n un m ot, d an s u n e période de crise économ ique surtout, les en seig n em en ts les plu s utiles, les p lus in d isp en sab les m êm e, d écouleraient d une prom pte p ublicatio n d u n recen sem en t auquel ch acu n devrait collaborer avec em p ressem ent. M alh eu reu sem en t le recen sem en t d ern ier celui de 1926 n a p as encore fa it l objet d une publicatio n com plète. C est fau te de crédits. Or quand un E tat dépense p lus de 50 m illiard s p a r an, il est ab so lu m en t in ad m issib le de ne p as co n sacrer à u n e besogne v raim en t utile les crédits n écessaires. Nos rep ré se n ta n ts au P a rle m e n t sont tous im p ard o n n ab les de ne p as exiger la cessation d un au ssi grave errem ent. i ^ m ars, ils n ont p as req u is 4?S j ouv ics p ublics de c h anger de m é thode et s ils n ont p as donné au Gouvern em ent le m oyen de m ieux faire, les a ssu je ttis au recen sem en t seront p ard o n n ab les s ils tra ite n t en dérision le 8 m ars, une form alité qui p erd actuellem ent toute sa portée. B U R E U X, llr D.q j i S E N L I S 11» P l a c e t é l é p h o n e n 4»1reetenr Commercial t 1< VMkNOR D M IN IS T R T IO N S E S IN T L *!.» T Kt H m I* T I O M ^ Knaon*<u légal**....... I fr, 50 U lifn*. I Réoiante* cnonewvolontaire*... Ifr. 26 la llgn*. I * m 8"... 7 es manuscrits, insères ou non, ne sont pas rencru* * b. ta ligna. L Election Sénatoriale d e l O is è Le Congrès des Délégués sén ato riaux républicains aura lieu le dimanche 2 2 Février à Beauvais la dem ande de MM. l$s S én ateu rs D elpierre et L anglois et de M. D ésiré Bouteille, député, le Comité d entente des g roupem ents républicains de l Oise, va convoquer les déléguéslsénatoriaux républicain s au Congrès qui se tiendra le d im anche 22 février, à onze heu res, salle des V ariétés, place deu H ôtel-de- V ille à B eauvais. Les délégués sén ato riau x te n d ro n t à a ssiste r à ce C ongrès qui aura, à ré a liser l unité de can d id atu re. L a convocation, rigoureusem ent p erso n n e lle..sera adressée aux délégués sén ato riau x seuls et sera exigée -ù Jks«~ trée.- u cas où il serait im possible à un délégué sén ato rial de se rendre au C ongrès, il p o u rra s y faire représen ter p a r son su p p léant, à qui il rem ettra sa lettre de convocation. B ien que ce soit su r le désir q u en a m anifesté M. F o u rn ier Sarlovèze, que la date et le lieu du Congrès aient été fixés, le député de Com piègne n a pas voulu, p a r discrétion, en raison de son intention de poser sa candidature, faire fig u rer son n o m su r les lettres de convocation. -» ---------------------------- N oublions pas que l Élection des Délégués sénatoriaux a lieu demain Dimanche 15 Février D em ain dim anche, les Conseils m u n icip aux de l Oise se réu n iro n t pour l élection de leu rs délégués sén ato riaux. Nous invitons façon la plus p ressan te, tous les C onseillers m u n icip a u x à p ren d re p a rt à cette élection. Sous a u cun prétexte, fêtes, réu n io n s ; de fam ille, etc., les C onseillers m u n i cip aux ne doivent m an q u er à la séance du 15 fév rier du Conseil m u n icip al de leu r com m une. Il ne fa u t p as oublier que, dan s b eau coup de com m unes, l élection du délégué sén ato rial se fait à une voix ou deux de m ajo rité, quelquefois m êm e à égalité de suffrages, au bénéfice de l âge. U n seul C onseiller m an q u a n t à la séance, le résu ltat peut être changé et avoir ain si une influence fâcheuse sur le ré su lta t de l élection sénatoriale. Tous les C onseillers m u n icip au x ré p u b licain s feront leu r devoir dem ain dim anche et a ssu rero n t l élection des t délégués sén ato riau x résolum ent p a rtisans d une politique d union rép u b licaine et de concorde n ationale. N O S M IS N O S C O R R E SP O N D N T S N ous p rio n s in stam m en t tous nos am is et corresp o n d ants de vouloir bien nous adresser, dès dim anche, le résu l ta t de l élection des délégués sén ato ria u x de leur com m une, avec les observations qui le u r p a ra îtra ie n t dignes d intérêt. D avance nous les en rem ercions. Enseignement Technique CONCOURS U NIQ U E D ES B O U R SE S N T IO N L E S (Deuxièm e série) pour les L ycées, Collèges, E coles P rim aires Supérieures, et les Ecoles P ratiques de C om m erce et d in d u s trie. Le Duc de Gramont est élu à l cadémie des Sciences L cadém ie des Sciences avait à élire le su ccesseu r du regretté chille Le Bel dan s la section des m em b res libres. E taien t candid ats : M. Louis M artin, directeur des services diphtérie et m alad ie du som m eil à l In s titu t P a ste u r; M. Jacques C avalier et le duc rm and de G ram ont, fo n d ateur de l In stitu t d optique. u d ern ier tour de scrutin, le duc de G ram ont fu t élu p a r 32 voix contre 29 à M. Louis M artin. Il est le fo n d ateur de cet In stitu t d O ptique, que dirige avec ta n t de science M. C harles F abry, et qui m a n q u ait à notre pays. Il s est in téressé d abord à l aviation, puis à l optique, et d an s ces deux dom aines, il a fait des rech erch es in g énieuses et établi des ap p areils p récieu x pour les diverses m esures. Il s est in téressé égalem ent à la création de nouveaux verres et cristaux pour l optique, nous lib é ra n t-*«1= si d un véritab le m onopie étran g er. ^ Nous avons a p p ris que le duc de Guiche, récem m en t libéré du service m ilita ire et fils aîn é du nouvel acad é m icien, devient son digne collaborate u r et su it a in si le bel exem ple qui lui est donné..p résento n s nos plu s sincères lelicitatio n s au duc de G ram ont ; c est un véritable savant, un g ran d F ran çais au nom illu stre qui entre ain si à 1 cadém ie. ri Ç ------------------------«a----------------- Joindre à toute demande de I changement d adresse la dernière bande du journal et / franc pour frais de nouvelles bandes, L E nseignem ent T echnique encourage les élèves des Ecoles P ratiques, ap p arten an t à des fam illes de situation m odeste, en leur allo u an t des bourses nom breuses, des dégrèvem ents de frais d études, etc... L exam en pour l attribution de ces bourses a u ra lieu le jeu d i 30 avril ; le registre d inscrip tio n sera clos le 14 rnars.. _ M algré la crise économ ique actu elle, l in d u strie et le com m erça de notre contin u an t à m a n q u e r de teclm i- cierrs-ë prouvés, a llian t à l habileté m a- 1 uelle les q u alité s d in itiative, de com préhension et d élab o ratio n que p ro cura seule une culture générale sérieuse. La p réparatio n p rofessionnelle donnée dans les établissem ents d enseignem ent technique répond, à ce double point de vue, a u x b esoins de notre économ ie natio nale. Les p aren ts désireu x de faire a d m ettre leurs en fan ts, en octobre prochain, à l Ecole P ratique de F illes ou à l Ecole P ratique de G arçons de Creil, ont intérêt à les p résen ter à l exam en des bourses (deuxièm e série) ; ils de- \ ront dem ander au x m aîtresses et m a î tres de leurs e n fa n ts de spécifier que ceux-ci concourent p o u r l obtention d une bourse dan s les écoles p ratiq u es de com m erce et d industrie. L ECOLE P R T IQ U E D E F IL L E S, située dans un p a rc m erveilleux, est installée façon la p lu s m oderne. Les jeunes filles s y trouvent d an s des conditions d hygiène et de confort p a r ticulièrem ent favorables. L Ecole com prend deux sections : 1 Une Sectio n Industrielle, qui fo r m e des couturières. 2 Une Sectio n C om m erciale qui p ré- >-= *>--Jcs em ployées susceptibles d oc- cupèr d ans les affaires, les banques, les assurances, le courtage m aritim e, les chem ins de fer, etc..., les em plois d ai- des-com ptables, de com ptables, de sté- nographes-dactylograplies, de secrétaires com m erciales. Toutes les élèves ont à le u r d isp o sition un outillage en tièrem ent m oderne. Elles reçoivent, en outre, une éducation m énagère com plète, qui les p rép are à leur fu tu r rôle de m aîtresse de m aison et_ de m ère de fa m ille. E lles sont in i tiées à tous les tra v a u x m aison : entretien du m obilier, lessiv ag ç et re passage du linge, nettoyage des vêtem ents, exécution de m enus variés, de conserves alim e n taire s. Un cours de p u éricultu re et de m édecine usuelle, com portant de n o m b reu x exercices p ratiq u es, est suivi p a r les élèves de troisièm e année. Elles suivent égalem ent u n cours de g y m n astiq u e et de natation. Une dem i-pension perm et au x je u nes filles du dehors de p ren d re le rep as de m idi à l Ecole.. L ECOLE P R T IQ U E D IN D U S T R IE DE G R Ç O N S est u n v éritable établissem ent d enseig n em en t technique Je degré m oyen, a y a n t pour but de don-, en m êm e tem p s q u une culture générale sérieuse, une form ation technique à la fois théorique et p ratiq u e. Les trav au x d atelier sont enseignés d après une progression raiso n n ée qui dirige m éthodiquem ent les je u n e s gens vers l exercice in tellig en t profession choisie et qui tien t com pte des progrès constants de l in d u strie m oderne. Des cours théoriques, v isan t tant à la culture g én érale p ro p rem en t dite qu à une connaissance p a rfa ite du m étier, com plètent h arm o n ieu sem en t l enseignem ent p ratiq u e de l atelier. L Ecole com prend : 1 Une Section Industrielle. Les élèves de cette section reçoivent : 1 Un enseignem ent g é n é ra l; 2 un enseignem ent professionnel. Les ateliers sont pourvus de m ach in es m odernes et d un outillage san s cesse perfectionné et am élioré. Us co m p rennent un atelier d ajustage, un atelier de m ach i nes-outils, un atelieï.d e forge, se rru re rie, chaudronnerie, u n a te lie r de m e nuiserie et de m odèlerie. 2 Une d ivisio n spéciale de p rép a ra tion aux Ecoles d rts et M étiers et Instituts techniques, m éca n icien s des P. T. 1-, Flotte, etc... Les je u n e s gens de cette section reçoivent l ensei- {c w m eni co rresp o n d an t au p ro g ram m e du concours d adm ission dan s les Ecoles N ationales d rts et M étiers. Les résultats obtenus aux dern iers concours donnent ici toutes g aran ties en ce qui concerne la p rép aratio n des fu tu rs in génieurs. I f 3 études section industrielle sont d une durée de trois années. Elles so5, sanctionnées p a r l exam en du «Certificat d E tudes P ratiq u es In d u s trielles», diplôm e délivré p a r le M i nistère de l In stru ctio n P ubliq u e (Sous- oecretariat d E tat de l E n seig n em ent technique). Les élèves pourvus de ce diplôm e, à 16 ans en m oyenne, se p la cent très facilem en t dan s l in d u strie qui apprécie tout p articu lièrem en t leu r préparatio n p rofessionnelle ; ils sont im m édiatem ent à m êm e de gag n er leu r vie et, grâce à leu r form ation g énérale et technique, ne ta rd e n t pas, la p lu p a rt du tem ps, à a rriv e r au x postes do confiance et au x situ atio n s les p lu s in té ressan tes. O utre le développem ent de l in telligence et l ap p ren tissag e p ro fession, l Ecole P ratiq u e vise à la fo rm a tion du caractère ; l éducation des je u nes gen s est l objet de l attention constante des p ro fesseurs et du directeur. Cette p réoccupation s im pose d a u ta n t p lus que^ les élèves de l Ecole P ratiq u e doivent être appelés, p lu s tard, à m ontre r le m eilleu r exem ple à leu rs cam a rad es des ateliers et p lu s p articu lièrem en t au x ouvriers q u ils au ro n t à dirig er. Le D irecteu r et la D irectrice des Ecoles P ra tiq u e s de Creil, se tien n en t à la dispesition des fam illes p o u r tous les ren seig n em en ts com plém entaires qui leu r p a ra îtra ie n t nécessaires. L a Directrice, M lle B u n e l. L e D irecteur, F r a n g e l l e. 5219 Dimanche 15 Février 1931 a u T e r r a in d e s S p o rts (boul. Pasteur) à 14 h. 30 B E U M T C H de football-association entre U. S. G ennevillîers (1) et C. S. Senlisien (t) Foire de Paris La C onférence diplom atique des Foires, réunie à P a ris, le m ercredi 21 ja n vier, s in sp ira n t de l ordre du jo u r p résenté p a r la C ham bre de C om m erce In tern atio n ale, a décidé de surseoir à toute réglem entation des F oires ; le B u reau In tern atio n al des E xpositions a été ch arg é de p o u rsu iv re une nouvelle enquête dont les résu ltats seront soum is à u n e C onférence qui se tie n d ra à P a ris en octobre p ro ch ain. l occasion réu n io n Conférence diplom atique, les m em b res du b u reau des Foires In tern atio n ales au x quels jo in ts p lu sieu rs délégués des F oires européennes, se sont ré u n is au Siège du Comité F oire de P aris, les lu n d i 19 et m ard i 20 ja n v ie r. U n d éjeuner le u r a été offert que p résid ait M. ndré B audet, P ré sid e n t de 1a. C ham bre de C om m erce de P a ris, et auquel assistèren t : M. H. B ucaille, Syndic du Conseil M unicipal Sein e ; M. H enri Pichot, M em bre S ecrétaire C ham bre de C om m erce de P a ris, P ré sid e n t du Com ité de D irection Foire de P a ris, les P résid ents ou C om m issaires G énéraux des F oires de B ordeaux, B ruxelles, Leipzig, Lille, M arseille, M ilan, P oznan, Salonique, U trecht, etc. Le groupe du b âtim en t Foire de P a ris qui constitue, com m e chacun le sait, pour cette in d u strie, la p lus im p o rtan te exposition d E urope p résentera cette année u n g ra n d intérêt, au ssi bien pour les techniciens que p o u r les p erso n n es appelées à constru ire. Le groupe m écanique, où s accentue de p lu s en p lu s la p résen tatio n de m achin es et d outils en fonctionnem ent, m an q u e m alh eureusem en t de place. Le groupe de l am eublem ent p ré se n te ra cette an n ée la p a rtic u la rité de gro u p er à côté des fa b ric a n ts de m eu bles, un nom bre de p lu s en p lu s g ran d de stands consacrés à la décoration in té rie u re et a u x accessoires du logem ent. u Salon des vins de F rance, depuis p lu sieu rs sem ain es au com plet, on trouvera, o ccupant u n e place de p lus en p lu s grande, les p rin c ip a u x crus ré g io n au x p résen tés p a r leurs p ro d u c teu rs. Le succès F oire de P a ris dû m ois de m ai 1931 est donc dès m a in te n a n t assu ré. Le développem ent crise économ ique n a, sem ble-t-il, fait que redoubler l a rd e u r des exposants dan s presq u e tous les groupes. SSURNCES SOCILES P o u r éviter les confusions qui se p ro d u isen t jo u rn ellem en t d an s l envoi des dossiers d ssu ran ces Sociales, nous ra p p e lo n s au x ag riculteurs et au x ouv riers agricoles q u il existe à B eauvais deux o rg anism es à cadre d épartem enta l susceptibles de recueillir les assu rés des p ro fessio n s agricoles. L u n a p pelé «Caisse D épartem entale», dite C aisse ad m in istrativ e ou Caisse de l E tat, dont le siège est 9, place du T héâtre, l a u tre dénom m é «Caisse M utuelle gricole d ssu ran ces Sociales de l Oise», o rg an ism e p u rem en t pro fessio n n el créé sous le p atro n age C ham bre d g ricu ltu re et Société des g ricu lteu rs de l Oise et dont le siège est à B eauvais, 7, ru e ffu P alais-d e-ju stice. Les in téressés sont p riés de ne p as confondre ces deux o rg an ism es et de bien lib eller leu rs ad resses pour éviter tout re ta rd dan s le p aiem en t des p re s tations* Récompenses Mutualité Des récom penses honorifiques v ien n ent d être décernées au x p erso n n es de l arro n d issem en t dont les nom s su i vent pour services re n d u s à la M utualité. M édaille d Or MM. L ouis D urand, présid en t Société de Secours M utuels «L a F ratern ité C reilloise», L ouis T ourneux, p résid en t Société de S ecours M utuels des com m u n es du Plessis-B ellevillo et de La- gn y-le-s ec, au P lessis-b ellev ille. M édaille d rg en t Ju les- lfred B aptiste, tréso rier Société de Secours M utuels de S ain t- F rançois-x avier, Octave^ Dubois, ad m in istra te u r Société de Secoûrs M utuels à S ain t- L eu-d E sserent. F e rn a n d G renier, tréso rier dé la M u tuelle Scolaire à Y auciennes. lbert P aren t, délégué Société de Secours M utuels l U nion D épartem en tale des S a p eurs-p o m p iers do l Oise à M ontagny-s ainte-f élicité. M édaille de B ronze L ouis ury, a d m in istra te u r M u tu alité «L a F ra te rn ité Creilloise», ntoine B ergeron, chef de section Société de Secours M utuels de B éthi- sy -S ain t-m artin. H enri B ordier, ad m in istra te u r Société de Secours M utuels des E tab lissem en ts M axim e et Louis C lair, à Crépy. G eorges B révinion, secré ta ire Société de Secours M utuels de M orte- fontaine. E m ile _ C haillier, a d m in istra te u r de l U nion D épartem entale des E m ployés de l Oise, à Nogent. M arie-l ucien F ranchem o n t, a d m in istra te u r «F ra te rn ité Creilloise» rm and G iral, secrétaire de Section de la Société de Secours M utuels région de Creil et environs, C harles H oupin, a d m in istra te u r Société de S ecours M utuels des V é té ra n s et les M ilitaires des.arm ées de te rre et de m e r E d m o n d -Ju les Lelong, tréso frer-ad jo in t Société de Secours M utuels de S aint-m axim in, à prem ont. Jo sep h L esueur, chef de section Société de Secours M utuels à B éthi- sy -S ain t-m artin. J.-B. Loir, secrétaire-tréso rier Société de Secours M utuels «l U nion M utuelle», à V arinfroy. lbert Louism et, tréso rier Société de Secours M utuels de La C hapel- le-en-s erval., Claude M aizière, p résid en t «F ra tern elle» à N ogent. E rn e st O pdenhove, a d m in istra te u r de la Société M utuelle U nion des T ra v ailleu rs à M ontataire. Ju lie n V anacker, délégué Société de S ecours M utuels, l U n ion Dép artem en tale des S apeurs-p o m p iers de l Oise, à P ont-s ainte-m axence. N ous adresso n s à tous ces m u tu a listes, nos p lu s sin cères félicitations.. Direction Générale d e s C o n tr ib u tio n s i n d i r e c t e s U n concours p o u r l em ploi de Comm is des C ontributions In d irectes a u ra lieu le 21 m a i 1931. Le nom bre de places m ises au concours est fixé à 300 pour le cadre m a s culin et à 40 pour le cadre fém in in. Ne p o u rro n t p ren d re p a rt au x ép reu ves que les can d id ats ayan t accom pli le u r service m ilita ire à la date du concours et âgés de m oins de 30 an s au p re m ie r ja n v ie r 1931 et les can d id ates de natio n alité française âgées à la m ê m e date de 18 ans au m oins et de 30 an s au plus. Les conditions générales du concours sont fixées p a r u n rrêté M inistériel du 5 août 1929, publié au «Jo u rn a l O f ficiel» du 9 du m ênte m ois (page 9.219). Les can d id ats et candid ates p o u rro n t s ad resser p o u r tous ren seig n em en ts (pièces à fo u rn ir, p ro g ram m e, etc...), au D irecteur des C ontributions In d irectes de leu r départem ent. Le registre d in scrip tio n des c a n d i d atu res sera irrévocablem ent clos le 22 m a rs 1931. Il est rap p elé q u au x term es de l a r ticle 51 loi du 30 m a rs 1929, de l article 18 du décret du lô décem bre 1929 et de l article 4 de l rrêté du M inistre S anté publique en date du 25 février 1930, tout candid at ou can d id ate à u n em ploi ad m in istra tif de l E tat doit être exam iné, p ré a la b le m en t à sa nom ination, p a r u n m édecin phtisiologue asserm en té, qui établit a- p rès un exam en clinique et radiosco- pique,^ u n certificat attestant pue l in téressé est in d e m n e de tuberculose. Banquet Boucherie Le S y ndicat régio n al boucherie de C lerm ont et S enlis d o n n era son b a n q u et co rp o ratif le d im an ch e 22 fév rie r 1931, à 19 heures. Ce b anquet sera suivi d une sauterie. L assem blée générale, qui p récédera le b anquet, a u ra lieu à l Hôtel de Ville de Creil, à 15 h eures 30.

L ssemblée g én érale de ce La Muse» P h a r m a c ie ouverte i D imanche : i ; Février. M. Morcrette place Halle. Les Réunions du Sam edi 14 e t du Dimanche 15 Février S M E D I 14 F E V R IE R T h é â tre M u n ic ip a l C in ém a. 20 h e u re s 4'5, û n b e a u p ro g ra m m e avec le fism P a r a m o u n t «Le P a trio te». TJiéâtrc S a lle des OC après. 20 h e u re s, soirée L ig u e des Jeu n es. r D IM N C H E 15 F E V R IE R l'h ôtel de V i l l e. 10 h e u re s, électio n s p a r le C onseil m u n ic ip a l des délég u és sé n a to ria u x. T h éâ tre M u n ic ip a l C in ém a. 2 h e u re s 5- e t en soirée, b e a u program.m e avec le film «L e P a trio te»,, I h éâtre S a lle des Œ u v r e s, 14 h e u re s, m a tin é e L ig u e des Je u iie s. l H ôtel de V ille. 15 h e u re s a s sem b lée g é n é ra le de l U n io n des Com m e rç a n ts et In d u s trie ls. C o n féren ce p a r M. B onnefoy. H ôtel d u G rand C erf. 19 h e u re s B a n q u e t de l U n io n des C o m m erçan ts et In d u s trie ls, su iv i -d u n e sa u terie. Conseil Municipal L a ré u n io n d u C onseil m u n ic ip a l awr a lieu à l H ôtel de V ille de S en lis, le d im a n c h e 15 fé v rie r p ro c h a in, à ' 10 h e u re s. O rd re flu J o u r î El.eetion des d élég u és sé n a to ria u x. Projet d expropriation d un im m euble rue Bellon appartenant à M" Petit D épôt à la M airie d u p la n pa rcella ire p ro p rié té d o n t la cessio n est n é c e ssa ire p o u r l a p p lic a tio n du p la n d a lig n e m e n t ru e B ello n, a p p ro u v é p a r a rrêté p ré fe c to ra l du S se p te m b re 1929. V IS L e M aire V ille de S en lis, in fo rm e les h a b ita n ts que, c o n fo rm é m e n t à u n a rrê té de M. le P ré fe t de l Oi*e en d ate d u 30 ja n v ie r 1931, le p la n p a r ce lla ire p ro p rié té P etit, situ é e s u r le te rrito ire de S e n lis, d o n t la cession p a r a ît n é c e s s a ire p o u r l a p p lic a tio n du p la n d a lig n e m e n t ru e B ellon a p p ro u v é p a r a rrê té p ré fe c to ra l du 3 se p te m b re 1929, est d ép o sé à la M airie. Le p ro je t c i-d e ssu s v isé av ec les p iè ces â l a p p u i se ra d ép o sé à la M airie p e n d a n t h u it jo u r s d u 12 fé v rie r j u s q u a u 20 fé v rie r in c lu siv e m e n t, p o u r q u e 1 $ h a b ita n ts p u is s e n t en p re n d re c o n n a is s a n c e to u s les jo u rs de 14 h e u re s à 1,7 h e u re s, «xcepté les d im a n c h e s cl jo u r s fé rié s fles ré c la m a tio n s et o b se rv a tio n s des in ié re ssé s.seront re ç u e s a h S e c ré ta ria t M airie, p e n d a n t le d é la i ci-d e ssu s in d iq u é et s e ro n t c o n sig n é e s s u r un re g is tr e sp é c ia l d ép o sé à cet effet S e n lis; le 7 fé v rie r 1931. E lle s e'st te n u e v e n d re d i d e rn ie r, à l H ôtel de V ille de S en lis, sous la p ré sid en ce de M. Isid o re P rév o st, en l a b sen ce de M. P. L ouât, p ré sid e n t, e m pêché, p rès av o ir e n te n d u l expo sé situ a tio n fin a n c iè re S ociété a r r ê tée a u 31 d é ce m b re d e rn ie r, l a s s e m blée a p ro céd é à l élection du Com ité. M. F. L ouât, m a ire, a été d é sig n é à l u n a n im ité et p a r a c c la m a tio n s co m m e P ré s id e n t d h o n n e u r. Pupilles Nation R é u n io n S ection C a n to n ale le je u d i 19 fé v rie r, à q u in ze h e u re s, m a i rie de S en lis. T oute p e rso n n e d é s ira n t u n re n s e i g n e m e n t c o n c e rn a n t l Office des P u p il les N atio n (adoption, s u b v e n tions d e n tre tie n, de m a la d ie s; d a p p re n tissa g e, d études, d é ta b lisse m e n t), est c o r d ia le m e n tj n v ité o à v e n ir co n su lte r le B u re a u S ectio n C anto nale. Il est ra p p e lé que la d e m a n d e de su b v e n tio n d é ta b lisse m e n t ou dot doit être faite a va n t l âge de 21 an s. O nt été e n su ite d é sig n é s : V ic e -P ré sid e n t : M. Isid o re P rév o st. S e c ré ta ire - rc h iv iste : M. P. D esévédavy. T réso rier : M. Gaiflille C hrétien. M e m b r e s : M. R o b ert D elv ien n e et M lle M.-L. P etit. L assem b lé e, a p rè s av o ir a p p o rté q u e lq u es m od ificatio n s a u x sta tu ts q u i la ré g isse n t, a voté e n su ite d iffé re n te s réso lu tio n s et é tab li u n rè g le m e n t in té rie u r d o n t la stric te a p p lic a tio n a s s u r e ra la b o n n e m a rc h e Société. Le d ro it fixe de lo catio n des p la c e s a été fixé à 1 fr. 50. N a u ro n t accès a u x re p ré se n ta tio n s de «. L a M use» q u e les m e m b re s h o n o ra ire s et le u r fa m ille v iv a n t so u s le m ê m e toit, à co n d itio n q u ils a ie n t a c qu itté le d ro it fixe de 1 fr. 50 p a r p lace. P a rm i les d écisio n s p rise s, il im p o rte de so u lig n e r celle-ci : Il a été d écidé que la Société o rg a n is e ra it tro is p ro g ra m m e s c h a q u e a n n ée, et qu e les r e p ré se n ta tio n s a u ra ie n t lieu, en p r in cipe : L a p re m iè re, d a n s la d e rn iè re q u in z a in e de n o v em b re. L a d euxièm e, d a n s la d e rn iè re q u in z a in e de fé v rier. L a tro isiè m e, d a n s la d e rn iè re q u in z ain e d avril. Cette d écisio n p e rm e ttra a u x diffé re n te s sociétés locales q u i o rg a n is e n t des soirées th é â tra le s de p re n d re to u tes d isp o sitio n s p e rm e tta n t de m é n a g e r ceu x de no s c a m a ra d e s q u i le u r p rê te n t u n c o n c o u rs g é n é ra le m e n t a p p ré c ié et de te n ir com pte d a n s la fixation des d a tes de le u rs re p ré s e n ta tio n s de celles a rrê té es a in s i p a r «L a M use». L es sta tu ts, rè g le m e n t in té rie u r et d e m a n d e d a d m issio n com m e m e m b re s a c tifs et h o n o ra ire s (co tisatio n a n n u e l le : 10 fra n c s) p e u v e n t être a d re ssé s à toute p e rso n n e q u i en fe ra la d e m a n de à l u n des m e m b re s du Com ité. Ligue Patriotique d es Françaises P o u r la séa n c e do n n ée p a r les J e u n e s L igue P a trio tiq u e des F ra n ç a is e s, ee so ir sa m e d i 14 fé v rie r, sa lle J e a n n e d rc, 6, ru e du C im etière S a in t-r ie u l, b u re a u de location, à l e n tré e saêle, o u v e rt à 19 h e u re s 30. O u v ertu re des p o rte s à 19 h e u re s 30. L ever du rid e a u à 20 h e u re s. H âtez-v o u s de lo u e r les,d e rn iè re s p la c e s p o u r cette soirée. N e com ptez p a s s u r la séa n c e de d im a n c h e, toutes le s p la c e s so n t louées. Le Bal des Jeunes Filles Il a o b ten u sa m e d i d e rn ie r u n trè s g ra n d succès. Cettë soirée p la cé e sous la p ré sid e n c e de M. L ouât, m a ire, a été e m p re in te de la p lu s g ra n d e co rdialité. F élic ito n s de le u r in itia tiv e, M lle G V iolet, p ré sid e n te ; M lle G. P a r a in vie e -p ré sid e n te ; M lle L. C aron, se c ré ta ire et M lle D elplace, tré so riè re, q u i se d év o u èren t p o u r la b o n n e o rg a n isa tio n de ce bal. E n vue de l a p p ro b a tio n des com ptes, u n e ré u n io n a u r a lieu, m e rc re d i p ro c h a in, 18 fé v rie r, à 20 h e u re s 30 au C afé du C om m erce. Société de Secours-M utuels de Saint-François-X avier L a ré u n io n m e n su e lle Société de S e co u rs M u tu els de S a in t-f ra n ç o is X av ier, a u r a lieu le d im a n c h e 22 f é v rie r p ro c h a in, à 18 h e u re s, sa lle des ré u n io n s, à l H ôtel de V ille. L a ré u n io n des c h e fs de q u a rtie r et du C onseil d a d m in is tra tio n se tie n d ra à l Ecole lib re, le m e rc re d i 18 fé v rie r à 8 h e u re s 1/4. 17Février jüflrdi G R S 17Février de i h. à 7 h. et de S L L E Bal des M énages d e 21 h. à s h. D N S E de ('UBERGE OE L BICHE il BOIS R é u n io n des M énages, lu n d i 16 fé v rier, à 20 h e u re s 30, a u C afé du Com m erce, en vue de l o rg a n isa tio n de le u r soirée d a n s a n te a n n u e lle. L es m é n a g e s q u i p a r o u b li in v o lo n ta ire n a u ra ie n t p a s été to u ch és p a r u n e co n v o ca tio n p e rso n n e lle, v o u d ro n t b ien c o n sid é re r le p ré s e n t av is co m m e en te n a n t lieu. GRND BL COSTUME IINIIIH1IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHIIUIIIHHIIIIIIIR Le travesti n est pas de rigueur sauf le m asque et le loup ux sans-filistes! L e 'M a ire, F é lix L o u â t. S i vous voulez su iv re, jo u r p a r jo u r, h e u re p a r h e u re, les p ro g ra m m e s de nos sta tio n s de ra d io fra n ç a is e s et étra n g è re s, n hésitez p a s u n seu l in s ta n t à vous a b o n n e r a u m a g a z in e sy n th é ti que vie m o d e rn e «T. S. F. P ro g r a m m e». édité p a r «L a L u m iè re et R adio», 1. Cité P a ra d is, à P a ris, qui p a r a ît ch aq u e se m a in e, avec d es a r ti cles trè s in té re s s a n ts s u r to u t ce qui co n cern e la T. S. F. V I S l o ccasio n des F ê te s d u M a rd igt-as, M. le P r é f e t de l Oise a u to rise le s d éb its de b o isso n s qt a u tre s lie u x p u b lic s à re s te r o u v e rts la n u it du 17 a u 18 fé v rie r 1931. D énom brem ent Population 8 Mars 1931 Club S portif Senlisien Résultats des M atches du 1" février Gouvieux : G. S. Senlis (1) et U. S. Gouvieux ( 1 ) m atch nul 1 à 1. Senlis : G. S. Senlis (2) b a t G. S. villy (2) p a r 3 à 0. Résultats des m atches du 8 février Senlis : R acing Clab de F ran ce (R) b a t G. S. Senlis (1) p a r 5 buts à 1. L équipe visiteuse, de très bonne clas se et p ra tiq u a n t un jeu de passe à ou tra n c e disposa nettem ent des Senlisiens; quatre buts en p rem ière m i-tem ps, am e nés tous m écaniquem ent et contre les quels bot, m algré sa belle défense, ne pouvait rie n faire. Le p re m ie r q u a rt d heiire seconde p a rtie fut plus égal. Sur coup fran c, la balle p a rv in t à V andenhek qui fila le long tqpche et centra, G hrétien récep tio n n a et m ar qua l unique but de Senlis. P a ris re p ren d ensuite la d irectio n des o p éra tions et joua u n iq u e m e n t..p a r so n aile gauche. Ga défense senlisienne tout le tem ps à l ouvrage ne concède q u un but et les attaques de ses avants se h e u r ten t à la défense habile des visiteurs. En résum é jolie p a rtie co rrectem en t jouée. Gires-les-Mello : G. S. Senlis (2) bat E. S. Greil, 3 à 1. Les Senlisiens p a rta ie n t avec une équipe au point, anim ée d un cran m er veilleux, dans l in ten tio n de résister co u rageusem ent aux rudes Creillois, dont le «onze» venu à Senlis, le 19 octobre d ern ier, fit grosse im pression. Ils re v in re n t victorieux, ap rès une p a rtie âprem ent disputée d où la science trio m p h a force ; en effet, les m i nuscules visiteu rs se h e u rtè re n t à un team «costaud» dont les shoots p u is sants n a rriv è re n t jam ais au p o in t dé te rm in e r ; on c o n tra ire la ligne d atta que senlisienne jouant p a r passes bien ordonnées sut tro m p e r p a r 3 fois la défense adverse qui fut souvent à l ou vrage et eut aussi beaucoup de chance. Nous v errons le 25 de ce mois, lors ren co n tre c o n tre Puteaux, si les espoirs que nous plaçons en la toute jeune équipe des «m arin e et ciel» sont bien fondés. M atches du 15 fé v rie r 1931 SENLIS, à 14 h. 30 U. S. G enevillers (1) contre G. S. Sen lis ( 1 ).,. Si le be a u te m p s c o n tin u e les to u c h e s seront bien garnies dim anche c a r tous les sportsm en senlisiens v o u d ro n t assis te r à ce m atch. L U. S. G ennevilliers, club réputé, a collectionné cette année des résultats trè s flatteurs ; les Senlisiens, s ils ont profité leçon de dim anche der n ie r doivent faire un résu ltat honorable. Nous donnons ci-dessous un ex trait du palm arès de l équipe visiteuse. Dans le G ham pionnat de P aris, PU. S. G ennevilliers a b attu : Le G. O. übervilliers p a r 3 buts à 1. E t l U. S. P ersan p a r 4 à 2. E llle a fait m atch nul avec. S. Mont m orency (1 à 1 ) et le G osm opolitain Glub (4 à 4). En m atches am icaux, elle a gagné : PU. S. rm énienne (2 à 0) et Houilles. G. (5 à 2). E lle a fait m atch nul avec l E quipe du R. G. de F ran ce v en an t à Senlis, di m anche dernier. E t a été battue p a r l E. de Crépy p a r 3 a 1. Ses couleurs sont : m aillots rayés : b lan c et c ie l; cu lo ttes b la n c h e s, bas bleus. G. S. S. (3) c o n tre E quipe à désigner. E n lever de rid eau du m atch ci-des sus, c est-à-dire à 13 heures, les ju n io rs re n c o n tre ro n t la 2e équipe de Saint-Vin c en t ou P lailly. villy-saint-léonard I C. S. Senlis (2) c o n tre G. S. villy (2). D épart des Senlisiens, à 12 heures 20, place Halle, en auto. M atch à 13 heures précises. u m atch aller d il y a 15 jours les nôtres gagnèrent p a r 3 à 0 ; ils doivent renouveler leu r victo ire et peut-être mêm e faire m ieux. P olice du Terrain des Sports U à été constaté que des personnes m al in tentionnées d étério raien t journel lem ent les b a rriè re s ou grillage entou ra n t le te rra in des Sports. Une surveillance spéciale est exercée et les 'délinquants seront p oursuivis en justice. Q on se le dise? V IS Le M aire p o rte à la c o n n a issa n c e de la p o p u la tio n q u e le re c e n s e m e n t q u in q u e n n a l.est fixé a u d im a n c h e S m a rs p ro c h a in. Le re c e n s e m e n t a u r a lie u à eette date et d e v ra c o m p re n d re to utes les p e rs o n n e s q u i a u ro n t p a s s é la n u it du 7 a u 8 m a rs d a n s la V ille. cet effet, il se ra d é p o sé p ré a la b le m e n t d a n s c h a que m a iso n d es im p rim é s -spéciaux c o m p re n a n t : * n e fe u ille de m a iso n, des fau files de m é n a g e et des b u lle tin s in d iv id u e ls ; des a g e n ts re c e n s e u rs re p re n d ro n t ces im p rim é s le 8 m a rs et jo u r s s u iv a n ts. Le M aire a p p e lle l a tte n tio n des h a b ita n ts s u r la n é c e ssité de ré p o n d re trè s e x a c te m e n t a u x q u e stio n s posées et de fa c ilite r la tâ c h e des a g e n ts re c e n s e u rs en re m p lis s a n t le u rs fe u il le s s a n s a u c u n e o m issio n. E n M airie de S en lis, le 12 fé v rie r 1931. L e M aire, F. L ouât. Un dévoué m utualiste reçoit la Médaille d a rg e n t du Gouvernement P a r m i les m u tu a lis te s de n o tre r é g io n d o n t n o u s p u b lio n s les h o m s q u i re ç o iv e n t u n té m o ig n a g e d u G o uverne m e n t p * u r se rv ic e s r e n d u s à la cau se si b e lle M u tu a lité, n o u s d é tach o n s avec p la is ir le n o m de n o tre co n ci to y en, M. Jule& B a p tiste, cle rc de n o ta ire, tré s o rie r S ociété de S eco u rs M u tu e ls de 'S a in t-f ra n ç o is-x a v ie r. M. B a p tiste ex erce cette im p o rta n te fo n c tio n d e p u is b ie n a v a n t la guerre.. L a m é d a ille d a rg e n t q u i v ie n t de lui Ôtre d e c e rn e e e st la ju s te récom pensede ses b o n s et ex c e lle n ts se rv ic es r e n d u s g ra tu ite m e n t d e p u is p rè s de v in g t a n s. N ous n o u s asso c io n s à ses n o m b re u x a m is p o u r lu i a d re s s e r n o s b ie n vives fé lic ita tio n s. Dans le C lergé N ous liso p s d a n s le B u lle tin R e li g ie u x : M. l a b b é M oquet, c u ré de C am p eau x, e s t n o m m é c u ré de S a in t-o m e r-e n G hau ssée et c h a rg é d ch y et d Oudeu il. M. l a b b é V a illa n t, p rê tre d e r n iè re o rd in a tio n e s t n o m m é c u ré de P o n ta rm é et c h a rg é de T h ie rs. T oute personne soucieuse de ses intérêts em ploie le Service Rapide Journalier H. PR O T S a régularité, sa célérité, ses p r ix no rm a u x en f o n t le p lu s p ra tiq u e et le p lu s économ ique des m oyens de tra n sp o rts Comptez vices d ie n a u s s e r ae le u r presen ce, 1 é c la t de cette fête de fa m ille. Le p rix du b a n q u e t est fixé fra n c s. à sur lui comme sur vous-même r annonce en 40 S port Vélocipédique Senlisien Le Bureau du S. V. Senlis inform e les Sociétaires q u ils p o u rro n t r e tire r leur carte de Membre du S. V. S. p o u r l an née 1931 à la réun io n m ensuelle qui aura lieu au siège Société, Café du Commerce, le sam edi 14 fév rier 1931 à 20 heures précises. Chalet de Sylvie Nouveau Propriétaire Restaurant Noces et Banquets M o n sie u r P IT T E T, Nos coureurs en déplacem ent Le dim anche 22 février, le S. V. Sen lis déplacera à M ontlhéry, une équipe de cros p o u r le rep résen ter au Gham p io n n at de F ran ce des Sociétés. E lle co m p ren d ra comme titu laires : G allard Lucien, lopdenhove, C andelier et H obigand et comme rem p laçan ts : L etellier et M ercier. Bfe 1er m ars : notre Club est inv ité à La Ferté-M ilon p o u r d isp u ter u n Cross p a r in vitation doté de superbes p rix et d un Challeng*. Cette épreuve est ou verte aux quatrièm e catégorie et débu tants. N otre Société sera représentée p a r Opdenhove, L etellier et Nézée. Bonne chance à nos rep résen tan ts et les m e ille u rs su ccès p o u r nos c o u leu rs. COIFFEUR P orte de M e a u x in fo rm e sa clien tèle q u il se ra a b s e n t d u 9 a u 29 m a rs p o u r cau se d u n e p é riode m ilita ire. soi a La non fréq u en tatio n scolaire u co u rs se m a in e écoulée, M. le C o m m issa ire de police, a ap p elé, d a n s son cab in et, tro is p e rso n n e s v ille d o n t les e n fa n ts, en âg e d o b lig a tio n sco laire, ne fré q u e n ta ie n t p a s l é cole a s s id û m e n t et s a n s m o tif lég itim e. p rès les a v o ir écoutées en le u rs ex p lic a tio n s, ce m a g is tra t le u r a a d re ssé to u te s o b se rv a tio n s q u il a ju g é u tile s et les a ra p p e lé e s sé v è rem en t à le u r devoir. M onsieur LUZURIER Dépôt du P etit Parisien 12, r u e d u C h a t e l fait savoir que co n trairem en t à certains b ru its qui ont circulé, le Matin et le Journal sont toujours distribués p a r ses soins p o u r Senlis et Région. Malades su r la voie publique u co u rs s e m a in e d e rn iè re, 3 p e rs o n n e s so n t to m b çes s u b ite m e n t m a la d e s s u r la voie p u b liq u e. E lles ont été co n d u ites à l h ô p ita l g é n é ra l, p a r les so in s p o lice et à l aide de l a m b u la n c e m u n ic ip a le.

Service des épaves u cours sem ain e écoulée, les trouvailles suivantes, faites su r la Voie publique, ont été délarées au C om m iss a ria t de Police (S ervice des épaves). U n b racelet en doublé or, avec p la que p o rtan t les in itiales L. M. U n portefeuille, en cu ir jau n e, co n ten an t divers p a p ie rs au nom de P o rtier Gentil, 2, ru e de Senlis, à Ghan- bly et diverses photos de soldats belges. U n chapelet avec perles b lanches et petite croix en m étal. U ne petite fo u rru re d enfant, coule u r beige foncé. U ne épingle de cravate en or, avec p erle verte. Pour tous renseignem ents, s adresser au Com m issariat de Police (Service des E paves). T héâtre Municipal Cinéma P ro g ra m m e des 14 et 15 F évrier S am edi, soirée à 8 h. 45 D im anche, m atin ée à 2 h eu res 45 S oirée à 8 h. 45 L i p lu s g rand de tous les F ilm s «L E P T R IO T E» Le d ram e histo riq u e vie dém ente et m o rt trag iq u e du T sar P a u l I r de R ussie. Le T sar, u n nom qui claque, qui s im pose, fait tre m bler... Le m aître de cent m illions d hom m es.,. Le chef, le père, le p rê tre... P a u l Ier : u n fo u I, UNE ETO ILE QUI NE FIL E P S Com ique o E clair Journal o (Les ctu alités M ondiales) L a Vie C onjugale de M atou D essins anim és. ÉTT CIVIL DE SENLIS du 6 à 13 fév rier N aissances 6.. M ichel-jean-f ranço is S terinm etz, ru e de P a ris, 40. Décès 6. G eorges- ndré F abien, 15 jo u rs, F au b o u rg S ain t-m artin, 1. 6. M athilde Cocu, veuve ngot, 73 ans, ru e de V illevert, 2 ter. 10. E tien n e-s tép h an W y p o rtv, 27 ans, d em eu ran t à F resn o y -le-l u at, décédé F au b o u rg S ain t-m artin, 1. Î0. R d g er-ju lien L eg ran d, 34 ans, m en u isier, ru e L éon-f autrat, 5. 11. M arcelle-r eine Mieze, 32 ans, sans profession, d em eu ran t à Creil, ru e de G ournay, 26, décédée F aubourg S ain t-m artin, 1. 12. Z ép h irin C arron, 60 ans, com p table, ru e des Ja rd in ie rs. 12. B lanche-g eorgina-m arthe Potel, em ployée, 47 ans, d e m e u ra n t à P ré - cy-sur-o ise, décédée F au b o u rg S ain t- M artin, 1. C R N E T M E S S E S N N IV E R S IR E S Le sam edi 21 février 1931, toutes les m esses m atin ée seront dites à la C athédrale de S enlis, à la m ém o i re de M. L éon Leroy. L a fa-mille assiste ra à celle de 10 h eu re s 30. 5215 NECRO LO G IE u m o m en t où nous m ettions sous presse, la sem aine dernière, ont eu lieu en p résen ce d une nom b reu se assistance, les obsèques de M. Eugène-C é- lestin M oitié, m éd a illé du trav a il, conserv ateu r du cim etière de notre ville, décédé d an s sa 74 année. L a C om pagnie des S a p eu rs-p o m p iers dont le d éfu n t fa isa it p artie précédait le cortège. P a rm i la nom breuse a ssistance, nous avons rem arq u é : M. Louât, m aire ; MM. Ilen n eq u in et L epape, adjo in ts, u n certain n om bre de C onseillers m u n icip aux, les em ployés com m u nau x, le b u re a u et les chefs de q u a r tie r Société de Secours* M utuels de S ain t-f ran ço is-x av ier, société dont le défunt était depuis près de 20 ans, chef de quartier. près la m esse de deuil célébrée en la cathédrale, le cortège s est dirigé vers le cim etière. Des discours ont été prononcés p a r M. R igault, lieu ten an t C om pagnie des S ap eu rs-p o m piers, qui au nom C om pagnie, de la Société de Secours M utuels et en son nom perso n n el a tenu à dire un d ern ier ad ieu à celui qui, en tré à la C om pagnie le 17 août 1886, su t re m p lir sa m odeste carrière de soldat du devoir et fu t u n m odèle de dévouem ent et de discipline. Il obtint la réco m p en se M édaille des S ap eu rs-p o m p iers de l Oise et la M édaille d h o n n e u r du G ouvernem ent. u nom du Conseil m u n icip al, M unicipalité, en son nom et au nom du P erso n n el des E m ployés com m u nau x, M. Louât, m aire, vin t sa lu e r la dépouille le M. M oitié dont il ra p p e la les excellen tes q u alités de co n serv a te u r du cim etière, q u il su t re m p lir à la satisfactio n de tous. C est un brave hom m e, u n dévoué serv iteur co m m u n al qui d isp a ra ît en la issa n t u n bon souvenir. ussi M. le M aire, com m e l a vait fa it quelques in sta n ts a u p a ra v a n t, le lieutenant R igault, a-t-il tenu à dire une parole de douloureuse sy m p ath ie au d isp a ru et à p résen ter des sen tim en ts de condoléances à la fa m ille en deuil. N ous p rio n s M m e M oitié, sa veuve, et ses en fan ts, ain si que toutes les fa m illes frap p ées p a r ce deuil, d ag réer n o s condoléances attristées. N ECRO LO G IE Nous ap p ren o n s avec peine la m ort de M. Z ép h irin C arron, com ptable, décédé le 12 fév rier dernier, dan s sa 61 année, en son dom icile, 3, ru e des J a r diniers. Le d é fu n t ap rès avoir été p e n d an t de longues années em ployé d an s les b u re a u x Caisse d E p arg n e de notre ville, était e n tré com m e com p table à la m aiso n M oquet-o dent. C est encore u n brave hom m e qui d isp araît, la issa n t le souvenir d u n bon travailleur, très estim é. Les obsèques de M. C arron au ro n t lieu le lu n d i 16 fév rier prochain, à 10 h. 30, en la C athédrale de S enlis. E n cette douloureuse circonstance, nous adressons à sa veuve, à ses e n fa n ts et à tous ceux qui sont atteints p a r ce deuil, nos sincères condoléances. R E M E R C IE M E N T S Les fam illes ngot et M aille, très touchées _des nom b reu ses m arq u e s de sy m p ath ie q u elles ont reçu es à l occasion du décès de M m e veuve ngot, ad ressen t leu rs rem erciem en ts aux p erso n n es qui ont assisté aux obsèques ou qui leu r ont exprim é des reg rets et s excusent au p rès de celles qui, p â r un oubli involontaire, n a u ra ie n t p as reçu de fa ire p a rt. 5322 M m e M oitié et ses E n fants, très touchés des n o m b reu ses m arq u es de sy m p ath ie q u ils ont reçues à l occasion du décès de M. E ugène Moitié, ad ressen t le u rs rem erciem en ts aux p erso n n es qui ont assisté au x obsèques ou qui leu r ont ex p rim é des regrets, rem ercien t tout p articulièrem en t la M unicipalité, les E m ployés com m u n au x, la C om pagnie des S ap eu rs-p o m piers, et s excusent au p rès de celles qui, p a r u n oub li involontaire, n au ra ie n t p as reçu de fa ire p art. Pas d Enfant sur le guidon d e s b i c y c l e t t e s #M. G aston G érard, SoUs-SecrétairO d E ta t aux T ra v a u x P u b lics et au rism e, p rescrit p a r circu laire au x P réfets d in terd ire su r cycles et m otocy- cles à deux roues, le tra n sp o rt d enfant ou de toute au tre p erso n n e placée su r le guidon du co n ducteur. Cette circulaire édicté égalem ent d autres m esu res de n atu re à éviter de graves d angers de circulation./ - PUPILLES DE LU NBTIOfl Il est rap p elé aux P upilles N ation qui n ont pas encore été reçu s à l exam en d aptitude au x Bourses., q u ils doivent obligatoirem ent se p ré se n te r à ce concours en 1931. T ous les renseig n em ents nécessaires leu r seront d ailleurs fournis p a r les Chefs d E tablissem ent. Il est bien entendu q u aucune su b vention ne p o u rra être accordée aux P u p illes qui, sans raison m ajeure, ne se seraien t p as présentés à l exam en en question. Cette disposition a été ra p p e lée assez souvent pour que, désorm ais, elle p u isse être appliquée dans toute sa rig u eu r. 77a d 'h ie r»... des année/ d avance. P S DE F O Y E R S N S PO STE S E N S I B I L I T E P U I S S N C E I N É G L B L E S Dem andez une dém onstration à dom icile à. MORVN S E N L IS Téléphone 19 C H N T IL L Y Téléphone 188 P O N T -S te-m X E N C E Tél. 19 710 POLITIC Revue mensuelle d initiation à la vie politique 10, rue Chardin, P a ris (XVIe) ebonnement : 1 an, 20 francs Iteetures pour Tous La première revue illustrée du monde 4 8 pages de photos 8 0 pages dé texte PRIX ET QULITÉ Si jamais voiture a conquis une réputation universelle de robustesse et d économie, c'est bien la 10 CV 4 cylindres Renault, type K. Z., parvenue, avec le modèle 1931, à un degré de mise au point et de perfection mécanique sans précédents. Son moteur construit suivant les principes mêmes qui ont fait, depuis dix ans, sa réputation, e un rendement très supérieur, du fait de l allégement sensible..v<?iîiire ; P us de 100 kilos. La 10 CV 1931 possède ainsi une plus grande réserve de puissance qui lui assure des accélérations et des reprises beaucoup -vplus énergiques et sa vitesse chronométrée atteint 95 kilomètres à l heure en palier. Signalons aussi ses nouveaux freins, plus efficaces, plus simples à régler ; enfin ses dimensions intérieures qui ont encore été accrues. Grâce à sa voie de 1 m. 44, à la nouvelle amélioration de sa tenue de route, résultant de l abaissement de son centre de gravité, le confort assuré par la 10 CV 1931 est comparable à celui qu offrent les plus puissantes voitures çfe tourisme. Voiture de famille au premier chef, grâce à ses 5 ou 7 places face à la route, ia 10 CV 1931 est aussi une voiture très élégante, grâce à ses lignes nouvelles et surbaissées. Essayez-la : vous apprécierez sa conduite facile, grâce à sa direction irréversible très douce, au qrand angle de braquage des roues, qui rendent la circulation aussi aisée qu avec u n s petite voiture. Conçue pour rendre le maximum de services avec le minimum d entretien, la 10 CV Renault, modèle 1931 est aussi 'remarquable que les précédents modèles par la modicité de ses frais de consommation et aussi par son prix d achat, puisqu elle est livrée en conduite intérieure depuis ; I 2 S» Û 0 Û fr. «( a n,,,...... * Pour dissiper in toxication que la grippe laisse toujours après elle, il importe de faire usage des Pilules Pink afin de purifier le sang, de lui restituer sa valeur nutritive, et, aussi,dereconstituerla vigueur du système nerveux. L es su ite s g rip p e sont très persistantes. Parfois, pendant des semaines encore, on est sujet aux maux de tête, à 1insomnie, aux étourdisse- ments, aux poussées de fièvre, et 1on ne parvient pas à surmonter l épuisement que la maladie a provoqué. Les Pilules pink - sont partic u liè re m e n t indiq u ées p o u r dissiper cette dangereuse asth én ie, ré g é n é re r le sang et les forces nerveuses, relever l'appétit, rétablir la régularité des digestions et stimuler énergiquement l économie générale, ainsi que pour activer l'élimination des poisons qui ont envahi l'o r g a n is m e, et, ainsi, restaurer définitive- i ; ment les forces.! S! v??te dans toutes les pharm acies. 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B oyknvai CRÉDIT FO N C IER DE F R N C E p r ê ts p îm o r ti vec faculté de rem boursem ent par anticipation ux P ropriétaires C om m unes É tab lissem en ts publics Pour renseignements s adresser à M. GEFFRIER, directeur départemental 5, Rue du Palais de Justice, à BEUVIS. 38} Im prim eries R éunies de Senne 9, puee Henri IV Etude de Me GÉGOÜSSE Greffier de Paix à Ureil. Æ V E N D R E aux enchères publiques Matériel de Menuiserie MOBILIER DE BUREU et Salle de Bain le Dimanche 2 2 Février 1 9 8 1 à 14 heures CHNTILLY (Oise) 62, rue du Connétable Pour tous renseignem ents, s adresser sur place ou à fll' Gé~ gousse, Greffier. ----- 5212 NNONCES JUDICIIRES rt, l«r. Etude de M L. GHSTING, avoué V E N T E sur surenchères du sixièm e DE COMMUNE D ORIOÏ - YILLERS UNE MISON sise route de Crépy 2 P etite Maison Ouvrière 3* Un groupe de Maisons dont l'une à usage de commerce de charcuterie et l autre d habitation ouvrière 4 UN utre Groupe de Maisons dont l une à usage de commerce d hôtelier à l enseigne du Cheval Blanc et l autre de logement d ouvrier 5 Un petit Jardin 6 ET Une Pièce de Terre Le tout plus amplement: désigné ci-après L adiüdication aura lieu le VENDREDI 13 MRS 1931, à r uatorze heures, à l audience les criées du Tribunal civil de prem ière instance de Senlis, sise au Palais de Justice de Senlis, place Notre-Dame. I On fait savoir à tous ceux qu il appartiendra : Qu en vertu des surenchères faites au greffe du T ribunal c i vil de Senlis, le quinze janvier 1931, enregistrées et d un jugem ent rendu p ar le même T ribunal, le 5 février 1931, enregistré. Il sera aux requêtes, poursuites et diligences de : 1 M. Garnotel Eugène, employé de chemin de fer et Mme Charlotte Tronquet, son épouse de lui assistée et autorisée, dem eurant ensemble à Ormoy-Vil- lers, surenchérisseur du 6 lot prem ière vente. 2 M. Gamelin Hippolyte-uguste, employé de chem in de fer, dem eurant à Creil, rue Ro- set, 6, surenchérisseur des 8 lot et 12 lot prem ière vente. 3 M. Lalouette Lucien, employé à la Compagnie du chem in de fer du Nord, dem eurant à Ormoy-Villers, su renchérisseur du 10 lot prem ière vente. 4 Mme Jeanne-ppoline Pi- nel, sans profession, dem eurant à Ormoy-Villers, veuve de M. Désiré-lphonse Ganneval, surenchérisseur du 11 lot prem ière vente. 5 M. Marjollet Jean-Firm in, propriétaire, dem eurant à Ormoy-Villers, surenchérisseur du 21" lot prem ière vente. yant tous pour avoué constitué M L. Chastaing, demeuran t à Senlis, rue Sainte-Uene- viève. En présence ou eux dûment appelés de : 1 Madame Marie-Noémie- Georgette Beaucourt, dem eurant à miens, 48, boulevard Pasteur, veuve de M. Marc-Marcel-Raoul Ganneval, «agissant au nom et «comme tutrice naturelle et lé- «gale de : 1 Jeanne-ndrée- «H enriette Ganneval, née à Or- «moy-villers, le 17 août 1916 ; «2 ndré-georges-lphonse «Ganneval, né au même lieu le «c 24 décembre 1917 ; 3 Marcel- «Jean-Désirée Ganneval, né au- «dit lieu, le 17 mai 1919, ses «trois enfants m ineurs issus de «son union avec M. Marc-Mar- «cel-raoul Ganneval, décédé à «Qrmoy-Villers, le 18 janvier «1919.» D em anderesse ayant poursuivi la prem ière vente et' ayant M Escavy pour avoué constitué. 2 nt. Mme Jéanne-ppoline Pinel, sans profession, demeurant à Ormoy-Villers (Oise), veuve de M. Désiré-lphonse Ganneval. 3e"'. M. Victor-Jean-Désiré Ganneval, industriel, demeuran t à Ormoy-Villers. Défendeurs à la prem ière vente, ayant M Chastaing pour avoué constitué. 4 nt. M. Robert G anneval, in dustriel, dem eurant à Verberie «pris au nom et comme subroge tuteur «ad fhoc» des m i neurs Ganneval susnommés faisant fonction de subrogé tuteur ordinaire à cause de l opposition d intérêts existant entre iesdits m ineurs Ganneval et leur subrogée tutrice, Mme veuve Ganneval-Pinel».,. N ayant pas d avoué consti- titue. 5 -, M. Pierre-lfred Renault, dem eurant a Paris, 11, cité Le- h arem fd ffid ^ataire surenchédu 6 lot prem ière vente. 6" \ M. M aurice-paul Leblanc, employé de chem in de fer, dem eurant à Ormioy-Villers, adjudicataire surenchéri des 8 et 12 lots prem ière vente. 7en\ M. ntoine Issartier, coiffeur, dem eurant à Malakoff (Seine), 75, rue d rcueil, adjudicataire surenchéri du 10 lot prem ière vente. Tous trois défaillants faute d avoir constitué avoué. 8ent. M. Marcel-Désiré Bau- chez, restaurateur, dem eurant à Ormoy-Villers, adjudicataire surenchéri du 11 lot p re m ière vente. yant M L. Chastaing pour avoué constitué. 9cnt. M. Georges-lbert Trul- lier, employé de chemin de fer, dem eurant à Ormoy-Villers, adjudicataire surenchéri du 21" lot prem ière vente. D éfaillant faute d avoir constitué avoué. Procédé le Vendredi 13 Mars 1931, à 14 heures, à Paudience des criéés du T ribunal civil de prem ière instance de Senlis, à la vente sur surenchères du sixième, aux plus offrants et derniers enchérisseurs des immeubles dont la désignation suit : DESIGNTION Commune et Terroir d Ormoy-Villers 6 lot prem ière vente UNE MISON, sise route de Crépy, lieudit au de Profun- dis, construite en p ierres et b riques et couverte en tuiles comprenant : Rez-de-chaussée composé de 8 pièces. M ansardes et grenier aü-des- sus. Cave dessous, bûcher, derrière et jardin. Le tout d une contenance de six ares quatre-vingt-sept cen tiares, tenant d un côté l article 7 prem ière vente, d autre côté M. Rémi, M. M archoix, l article sept prem ière vente, M. Binet, d un bout M. Corvisier, d autre bout la route d Ormoy à Crépy. Section C, n 190 p. (Loué 345 francs p ar an à M. Garnotel. (Bail 3, 6, 9 à comp- ter du prem ier novem bre 1926). 8 lot prem ière vente UNE PET ITE MISON ouvrière entourée d un jardinet bordée en façade par un petit m ur supportant une grille, sise lieudit le Parc, bâtie en brique et moellons, couverte en ardoises, com prenant : au rez-de-chaussée en entrant, une cuisine, deux cham bres, l escalier du grenier t la descente de cave. Le tout d une contenance de deux ares environ, tient d un coté le chem in d accès à la mare, d autre côté l article neuf de la prem ière vente et du tro i sième côté le chem in de grande communication n 98, d Ormoy- Villers à Jonquières. Section C, num éros 291 p, 621. (Louée verbalement 625 francs par an). 1q lot prem ière vente UN GROUPE DE MISONS dont l une à usage de commerce de charcuterie et l autre d habitation ouvrière, sise sur la route de Crépy à Nanteuil-le- H audouin, com prenant, savoir : La m aison à usage de charcuterie : En entrant : boutique de vente, à la suite, cuisine sur le côté, cham bre sur la rue, et salle à m anger sur la cour. G renier avec m ansarde. Grande porte couverte servant de garage et dans laquelle est ta descente de cave. Cour dans la quelle se trouve la cuisine pour la charcuterie. Passage conduisant au jardin. Dans ce passage et le long de l article onze ci-après, bâtim ents dont l un sert de m agasin d approvisionnem ent et l autre d écurie, toit à porcs séparé de ces bâtim ents p ar d autres faisant p artie de l article onze. Jardin dans lequel se trouve l abattoir. (Louée 1.020 francs par an. Bail : 9 ans du prem ier mai 1925). La petite maison ouvrière en entrant : Salle à m anger sur le côté, cham bre à coucher donnant sur la cour ; cuisine et cham bre. G renier et cave. Cour dans laquelle existent un bûcher et les cabinets d aisances. Le tout construit en pierres et couvert en tuiles, d une contenance d environ quatre ares quatre-vingt-quatorze centiares, y com pris le jardin, tient p ar devant à la route d Ormoy à Nan- teuil, derrière p ar le jardin à l article 52 prem ière vente, d un côté M. R elier et M. Brassard, d autre côté l article onèe désignation. Section C, num éros 259 p., 260 p., 261 p., 269 p. (Louée verbalement 450 francs par an). 11 lot prem ière vente UN UTRE GROUPE DE MI SONS, sur la route d Ormoy-Vil- lers à Nanteuil, dont l une à usage de com m erce d Hôtelier, à l enseigne du «Cheval Blanc», et l autre de logement d ouvrier. La prem ière construite en pierres et couverte en tuiles, com prend : Rez-de-chaussée : en entrant : salle de débit sur le côté, salle à m anger et grands porte couverte. Sur la oour, cuisine et débarras, cave. u prem ier étage : six cham bres et grenier. Cour. Dans cette cour, sur le côté, bâtiments touchant' à ceux de l'article dix. En face du corps de logis, bâtim ent com prenant é c u r ie, passage pour aller au jardin, dans lequel passage, un puits, bûcher, atelier. Jardin derrière. (Louée 1.200 francs par an). PETITE MISON ouvrière, com prenant : Une pièce en entrant et une cuisine derrière. u prem ier étage, une cham bre set un alcôve. Pfctîte COUr et passage d accès gv-^vciin. Le tout occupant' une superficie de seize ares quatre-vingt- huit centiares environ, tient p ar devant à la route d Ormoy-Vil- Iers à Nanteuil, p ar derrière, p ar le jardin, à l article 52 prem ière vente, d un côté par la petite maison ouvrière et le jardin, M. Binet, d autre côté à l article dix qui précède. Cadastre section C, num éros 259 p., 260 p., 261 p., 262, 209 p. (Louée 50 francs par m'ois verbalement). 12 lot preniière vente UN JRDIN pouvant servir de terrain à b â tir d une contenance de onze ares vingt-six centiares, lieudit Rue Sombreu- se, tient d un côté à la Mare, d autre côté et d un bout M. Relier, d autre bout la Cie du Nord. Section Ç, numéros 285 p., 286, 290. 21 lot prem ière vente Lieudit Le Hacco 18 ares 22 centiares dè terre, tenant d un côté M. Vczet, d autre côté M. Vézet, d un bout M. Dilbarle, d autre bout le chemin d Ormoy à Péroy. B, n 84 p., du cadastre et du bornage. «U S E S PRIX Outre les charges, clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé p ar M Pil- lebout, notaire à Crépy-en-Va- lois, dont un extrait est déposé au Greffe du Tribunal civiï de prem ière instance de Senlis, où toute personne peut en p re n dre connaissance, les enchères seront reçues sur les mises à p rix formées p ar les surenchères dont s agit savoir : Pour le 6* lot prem ière 19 91)0 fp lo.üuu II. P our le 8 lot v L t i V S T e 18200 fp. Pour le 10 lot prem ière P our le 11 lot prem ière Pour le 12 lot prem ière Pour le 21 lot pnem ière 11.667 fp. 14.117 fp. 4.684 fp. 1.750 fp. F ait et rédigé par Èavoué poursuivant soussigné. Senlis, le 14 février 1931. Signé : L. CHSTINft. Et enregistré. S adresser pour les rensaiqne- m/ents à : 1 M L. CHSTING, avoué a Senlis, poursuivant la vente. 2 M ESCVY, avoué à Sen- lis, présente à la vente. 3 M PILLEBOUT, notaire à Crépy-en-Valois., 4 M L HERMINIER, notaire a Crepy-en-Valois.,5 \ uo Greffe du T ribunal civil de Senlis où un extrait du cahier des charges est déposé. 5205 et. 2 Etude de Me Félix LOUT, notaire PREMIERE INSERTION Suivant acte reçu par M«Louât, notaire à Senlis, le 10 février 193l, enregistré à Senlis Je 12 février 1931, volume 388 a, folio 47, case 263, M. Eugene-Clém ent CIIUVIERE, marchand épicier, et Mme lélicie PREU, son épouse, dem eurant à Senlis, rue de l'pport au-pain, n» 2, ont vendu aux Elablissem ents GOU LET TURPIN, Société anonyme ayant son siège à Reims (Marne), boulevard Louis-Roederer, n' 46, le fonds de com m erce d épicerie vins fins et liq u eurs, confiserie et artic le s anglais, exploité à Senlis, rue de i pport-au-pain, n 2, à l'angle rue Vieille- de-paris, avec to it ce qui dépend de ce fonds et l enseigne ux Quatre Gourmands. L entrée en jouissance aura lieu le l 'r mars 1931. Les oppositions, s il v a lieu, ser nt reçues dans les dix jours seconde insertion, à Senlis, en l Etude de M<= Louât, notaire, où domicile à été élu à cet effet. Pour prem ière insertion : 5231 F. LOUT. rt 3. Etude de M» VIDY, notaire à Chantilly. DEUXIEME INSERTION Suivant acte reçu par ledit M Vidy, le 23 janvier 1931, enregistré à Creil (. C.), le 28 janvier suivant, vol, 332 bis, f 180, n 1018, M. rmand CONFOLNT, demeurant à ( hantilly, a vendu à M. lbert-lphonse PELERIN, demeurant à Versailles, le fonds de com m erce de ta ille u r d h abits exploité à Chantilly, 78, rue du Connétable, avec tout ce qui en dépend. L insertion au Bulletin Officiel des Ventes et Cessions de Fonds de Commerce a été faite le 11 février 1931. Les oppositions, s il y a lieu, seront reçues dans les dix jours présente insertion, à Chantilly, en l Etude de M Vidy, notaire, domicile élu. 5*77 (Signé) VIDY. a«3. 4 Etude de M- M aurice LÏÏN O IR huissier Cession de Fonds de Commerce PREMIER VIS Suivant acte sous signatures privées en date à Chantilly (Oise), du sept février mil neuf cent trente et un, enregistré à Creil, le neuf évrier 1931, folio 48, case 1, par e Receveur qui a perçu les droits, Madame Germaine PREVOST a vendu à Madame Céline GI- lrult, épouse assistée et autorisée de Monsieur DEJEN, demeurant ensemble à Chantilly, n 15, avenue Àumont. le fonds de com m erce de confiserie exploité à C nantilly, place Gare. L entrée en jouissance a été fixée au sept février mil neuf cent trente et un. Les oppositiohs, s il y a lieu, devront être formées au plus tard dans les dix jours qui suivr nt la seconde insertion etseront reçues en l Etude de M Maurice Lenoir, huissier à Senlis, 18. rue Sainte- Geneviève, où domicile est élu à cet effet. Pour prem ière insertion : 5216 M. LENOIR. Etude de Me M arcel TOUCHUD com m issaire-priseur de l arrondissem ent de Senlis Téléphone 150 Les Dimanche /er Mars, Lundi 2 Mardi 3, Mercredi 4 Jeudi 5 et jours suieants, s il r/ a lieu. S E N L I S Place Cathédrale au domicile et à la requête de Monsieur le Comte d LDIN V E N T E V O L O N T I R E aux enchères publiques D UN IMPORTNT MOBILIER J î n c i e n e t j t f o d e r n e et comprenant notamment : Commode marqueterie Louis XVI, estampillée C. M. MagnieD. Secrétaire marqueterie Louis XVI. Commode marqueterie demi- lune Louis XVI. Fauteuils Louis XIII, tapisserie et cuir de Cordoue. Chaises et fauteuils gondole Restauration Flambeaux. Bronzes. Miniatures. Cristaux. Lustres anciens. Objets d rt. 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Etude de M* avoué ht. 5. GHSTING, Sentis. V E N T E SUR SISIE IMMOBILIÈRE et sur surenchère du sixièm e DE : UNE P R O P R I É T É sise aux IGLES Comm une de Gouvieux près le Champ d Entraînem ent des igles sur la route Nationale de P aris à Dunkerque 16, C om prenant : PVILLOND HBITTION en co u rs de constru ctio n élevé sur sous-sol d un rez-decliaussée, d un prem ier étage avec grenier au-dessus couvert en tuil«s Terrain boisé devant et derrière pouv.ant éfre aménagé en parc BEL ÉTBLISSEMENT! d entraînement de chevaux de courses Comprenant : B â tim e n t d h a b ita tio n 4 2 b o xes, g re n ie rs à fo u rra g e s C our et Pelouse au m ilieu des b âtim en ts et te rra in boisé d e rriè re et s u r le côté Le tout d'une superficie de 7.5 8 7 m è tre s c a r r é s L adjudication aura lieu le VEN DREDI 13 MRS 1931, à 14 heures, jm l audience des criéés du Tribunal civil de prem ière instance de Senlis, au Palais de Justice à Sentis, place Notre-Dame. On fait savoir à tous ceux qu il ap partiendra : Qu en vertu : 1 d un procèsverbal de saisie im m obilière du m inistère de M Guétin, huissier à Ghantilly, en date du douze septem bre 1930, visé, enregistré, dénoncé et transcrit au bureau des hypothèques de Senlis, le vingt-neuf septem bre 1930, volume 104, numéro 18 ; 2 surenchère faite au greffe du Tribunal civil de Senlis, le quinze janvier 1931, enregis-: tré et 3 d u n jugement rendu p ar le dit Tribunal, le cinq fé- v rier 1931. Il sera aux requêtes, poursui-j tes et diligences de M. W. Head, entraîneur, dem eurant à Mai-j sons-laffilte, 14, avenue Béranger. Surenchérisseur ayant pour avoué constitué M8 L. Ghastaing, dem eurant rue Sainte- Geneviève. E n présence ou eux dûment appelés de :, l ont. M. Gharles-Pascal-Désiré M ercier, négociant, dem eurant à Ghantilly, rue de Salverte ; 2ent. 1 M. lfred Mothré, gérant d épicerie, dem eurant à IChantilly, rue du Connétable, n" 105; 3e"V M. Jean - Constant - lexandre Laroche, propriétaire, demeuran t à Ghantilly. Créanciers ayant poursuivi la prem ière vente. yant pour avoué constitué Georges Morand, dem eurai* à Slenlis. * 4 M. Jean-Victor-lphonse Houyet, p ro priétaire, demeura n t à Gouvieux, ci-devant et actuellem ent à Paris, Terrass- Hôtel, avenue Grande-rmée, n 74. P artie saisie. N ayant pa» d av.oué constitué. 5 La Société civile immobi-j lière du Bois-Saint-Denis, ayaut son siège à Ghantilly. avenue du M aréchal-joffre, 1 ter,.constituée suivant aéte reçu p ar M Vidy, notaire à Ghantilly, le 7 janvier 1931, enregistré, aydhtj p o u r adm inistrateurs MM. Joseph-Théophile Dubrouillet, an- cien entrepreneur, Henri-Geor-, ges Delqrme, architecte, Henri- Séraphin Marc, entrepreneur de ] couvertures, tous trois demeura n t à Ghantilly. djudicataire ssarenchérie ayant Me L. Clmstaing, pour avoué consntué. Procédé le Vendredi 13 Mars 1931, à 14 heures, à l audienee des criées du T ribunal civil de Ï irem ière instance de Senlis, à a vente sur saisie im m obilière et sur surenchère du sixième, au plus offrant et dern ier enchérisseur de l immeuble dont la désignation suit : DÉSIGNTION telle qu elle est inscrite au procès-verbal de saisie immobilière DE L IMMEUBLE VENDRE Commune de Gouvieux canton de Creil aarondissem ent de Senlis départem ent de l Oise UNE MISON non encore term inée, sise au te rro ir de Gouvieux. route nationale n 16 de P aris à Dunkerque, lieudit «Les iglçs», et le te rra in en dépendant d une superficie de sept m ille cincr cent guatre-vingt-sept m ètres carrés, ten ant l ensemble : p a r devant la route nationale de P aris à Dunkerque, par derrière à la Société d Encouragement, d un côté du ncjrd à M. Smets, et d autre côté du m idi à M. Jean Pratt. insi que cet immeuble s étend, se poursuit et se com porte avec toutes ses aisances, circonstances et dépendances, sans aucune exception n i réserve, avec les im m eubles p a r destination qui en dépendent et toutes les constructions et am éliorations qui ont été faites p ar la suite, lesquelles com prennent à gauche m aison sus-désignée un corps de bâtim ent non encore term iné en forme de fer à cheval; et à usage d établissem ent d entraî- nem ent de chevaux de courses. Ce corps de bâtim ent com prend!au fond face à l est une maison d habitation avec deux boxes de chaque côté et deux ailes à gau I ehe et à droite avançant vers la route nationale lesquelles comprennent' chacune dix-neuf boxes, ce qui fait en totalité qua I rante-deux boxes avec greniers et cham bres sur certaines p a r ties. G rande cour au m ilieu des bâtim ents. Cadastre section, num éros 1.179 bis, 1.182 p., 1.183,p., 1.173 p., 1.173 p., 1.177 p., f.177 p 1.180 p 1.106 p., 1.166 p., 1.167 p., 1.167 p., 1.170 p., 1.170 1.102 p., 1.135 p., 1.137 p. LIBRE MISE PRIX Outre les charges, clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé p a r M Georges Morand, avoué à Senlis, et déposé au greffe du Tribunal civil de Senlis où toute person ne peut en prendre connaissan ce, les enchères seront reçues sur la mise à p rix de trois cent quinze m illle frs, form ée p a r la surenchère Il est ceux du rait être dont 313.800 fr. PURGE LEGLE ici déclaré que tous chef desquels il pourpris inscription pour d hypothèque légale sur raison l immquble ci-dessus désigné, devront requérir cette inscription avant la transcription du jugem ent d adjudication. F ait et rédigé à Senlis, le 14 février 1931. Signé : L. GHSTING. E t enregistré. S adresser pour les renseigne- \ m ents à : 1 M* L. GHSTING, avoué Senlis, poursuivant la vente 2 M MORND, avoué à Senlis, p résent à la vente ; 3 M» Marcel VIDY, notaire à Ghantilly ; 4 Me Louis GUETIN, huissier à Ghantilly ; Y E t au Greffe du T ribunal de prem ière instance de Senlis où le cahier des charges est déposé. Les enchères ne pourront être reçues que d avoués. par m inistère 5204 Etudes de M* GZEU. notaire et de Me TOUCHUD com m issaire-priseur Vendre par djudication le V endredi 2 0 F é v rie r 1 9 3 1 à 14 h, à Senlis, en l Etude de M* GZEU, notaire Un Fonds de Commerce d Épicerie et Débit fle Boissons précédemment exploité par Madame ROPIQ-UET 16, rue de Beauvais, à SENLIS S adresser pour tous renseignem ents à M«Caillat, huissier à Senlis, adm inistrateur succession Ropiquet, et à M,s Touchaud et Gazeau, 5184 Etude de M3 LNGLOIS, notaire LOUER L'MIBLE Jouissance de suite Maison Bourgeoise. S E 3NT I _ I S rue de Villevert avec petit jardin, garage confort moderne. S adresser taire. 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Supplément au C m m e r de l'oise du Dimanche 15 Février 1931 CHNTILLY Union des Catholiques Les Membres section avaient été convoqués samedi dernier au patronage en vue de procéder au renouvellem ent du Bureau. M. Delannoy, p our des raisons de santé, avait demandé à être relayé de ses fonctions de Président. C est le sym pathique Maxime Dez, qui fut élu président, à l unanim ité ; jeune, actif comme il est, la section avec lui ne peut que pro sp érer. M. R enard conserve la vicerésidence et M. Debacq la trésorerie, es fonctions de secrétaire ont été confiées à M. imé Decrombecque. la suite des élections, diverses questions furent agitées : Journée cantonale, assem blée générale «lu 17 mai, confércm ces, retraite pascale, journée des anciens fixé au 10 mai. Nous aurons l occasion de revenir en détail sur plusieurs de ces points. Concert des rchers Les archers donnent leur concert annuel m ardi prochain 17 février, dans la salle du T héâtre, à 20 h. 30. u programme, une attrayante partie de concert avec des artistes du Trianon-Lyrique, de l Européen, du Moulin Chanson, Scala, etc... et deux pièces : une com édie en 1 acte Quand il pleut le dim anche et la m ode de chez nous, fantaisie-revue. Des program m es numérotés donneront droit au tirage d une tombola surprise. Société des Boulistes La Société des Boulistes de Chantilly s est réunie en ssemjblée générale le 7 février dernier, au café Ville, afin d élire son bureau. Sont nommés : Président d honneur, M. Courtray ; Vice-Président d honneur, M. Boudoux ; Président, M. Sargent., en rem placem ent de M.. Dézégaux, décédé; 1" Vice-Président, M. Bayley Thomas ; 2e Vice-Président, M. Pichon ; Secrétaire- Trésorier, M. B ernaudin ; Membres, MM. Noé Ch., Guérin Nicolas et Ghéry ; Censeurs, MM. Decat, Guérin, Pichon et Toquenne. Le banquet annuel est fixé au 7 mars, Hôtel d ngleterre. Jardins Ouvriers Les Membres Section de Chantilly sont inform és que la prem ière distribution de graines aura lieu le 15 février, à 14 heures, Salle des Fêtes. vant la distribution auront lieu les élections des m em bres du bureau dont les pouvoirs sont expirés. Les comfmandes d engrais devront être faites très exactem ent ce jour-la et les sacs, étiquetés avec quantité déposés chez M. Couvez, rue M achine, le 25 février au plus tard. La deuxième distribution aura lieu le mars, à 14 heures {graines et engrais), après conférence de M. Baratte. Les m em bres qui n auront pas retiré leur carte à ces deux dates seront considérés comme dém issionnaires Présentation obligatoire carte 1931, ou se faire représenter avec la dite carte. ucune distribution ne sera faite en dehors des réunions. Le Président,. H é r o u a r t. rrestation Pour m endier chez diverses personnes rue de Creil, Gosselin lfred a été arrêté le 5 février dernier. Il a été gratifié d un procès-verbal pour ivresse, Gosselin «liquidait» si l on peut dire immédiatem ent l argent des âmes charitables. Les Sports Sélection de l Oise contre Champion de l Oise. ston et Carver (rem plaçant de Samanos) se sont distingués au m atch de Sandricourt. Le prem ier opérant avec son habituel brio à la grande joie des spectateurs, le second le servant d autant plus utilem ent qu il connaît mieux son jeu et se perm ettant au surplus de m arquer un but. Nos félicitations aux sélectionnés. U. S G. (1) contre Saint Georges d rg e n te u il <1). Chantilly a déjà rencontré la Saint- Georges en Coupe de France, aussi bien qu en m atch amiical et chaque fois nous assistâm es à une jolie p artie. Les supporters ne seront point davantage déçus dim anche. Le cross de l U. R. O. Cette im portante épreuve des patronages se courra à Chantilly, le 8 mars prochain. Basket-Ball Résultat du 9 février 1931 (Finale du Cham pionnat de l Oise, 2' série, Beauvais contre C hantilly, à Creil). près une p artie âprem ent disputée Beauvais l a em porté sur Chantilly p ar 13 à 9, et conquiert ainsi le titre de cham pion de l Oise de 2e série. Les Cantiliens déçurent leurs partisans et jouèrent d une façon désordonnée, s ils avaient pratiqué comme il y a 8 jours, la victoire ne leur aurait pas échap-, pée. Il est vrai que leurs adversaires beaucoup plus athlétiques, jouent assez durem ent, de plus l arbitre ne sut pas réprim er ce genre de jeu, il m anqua de sévérité. En m atch amical, la 2e B. de Chantilly succomba à un point devant la 2 de Beauvais (9 à 8). Dimanche : déplacem ent des deux prem ières équipes à Paris pour m atcher l S. Saint-Hippolyte. Golf de Chantilly Résultat Médaille Mensuelle de janvier Prem ière série Mme. Thibaud... 89 10 = 79 Mme C. u b lin 89 8 = 81 Mlle P. Foucher... 106 12 = 94 Deuxième série Mlle J. Schelcher.. 126 30 = 96 Mme J. Sargenton.. 117^_17_ jqq Messieurs. P rem ière série M. Carlhian... 79 4 = 75 H. insworth... 39 10 *= 79 G. L e m o in e -H. rehilbald... 93"' 14 = 79 82 2 = 80 Deuxième série E. La Roche... 93 jg _ 77 J. Montgomery 93 18 = 80 O. S te ttin e r... 104 22 = 82 Samedi 28 février, Médaille Mensuelle, Messieurs-Dames. EL YSEE- CH N T1LL Y Programme des Vendredi 13, Sam edi 14, et D im anche 15 Février 1931 Prem ière Partie ECLIR-JOURNL VOICI LONDRES G rand docum entaire Fou-rire Lupino Lane dans Ç CHUFFE U PENSIONNT Re fou-rire Hamilton dans TE FTIGUE PS L. adaptation m usicale des film s est faite par M. Jean BOCHRD P endant l E n tr acte, Musique Deuxième Partie lice R o b e r t e, H arry P i l c e r Maurice L u g u e t, Comédie Françaies et Philippe H é r i a t dans DÉTRESSE Un homme trom pé par son propre frère exerce une épouvantable vengeance Venez tous voir ce formidable drame Cher Public, La semaine prochaine un sensationnel program m e de Music-Hall et de Cinéma, Les Spectacles Eylsée. V oir ci-dessus. Salle Saint-Louis. «L enfer contre l autel», de Jacques Debout, interprété le 22 février en matinée et soirée p ar le Groupe P arisien «rt et Foi». BRQNY Démission acceptée. M. le Préfet de l Oise a accepté la dém ission de M. ndré M onfaucon, de ses fonctions de conseiller m unicipal. 8ETHISY-SINT-MRTIN Société de pêche. La Société de pêche «L Epi noche» vient de procéder dans la rivière l utomne, à l immersion de 500 alevins de truites et d ici quelques jours 3.000 alevins de gardons, viendront à leur tour, repeupler la rivière. Nos félicitations à ceux qui se dévouent pour le développement et la prospérité Société. F Mort subite. Se sentant indisposé, le jeune Joseph Demonceaux, 20 ans, quitta le bal de l Hôtel Vieille Bouteille, pour regagner le domicile de ses parents, rue de Bas-Cône, mais en cours de route, le m alheureux s abattit lourdem ent. Relevé quelques instants après, p ar plusieurs de ses cam arades, il succomba aussitôt. Le docteur Hazard, appelé constata que la m ort était due à une embolie au cœ ur. Les obsèques du jeune Joseph Dem onceaux ont eu lieu m ercredi, en l église de Béthisy-Saint-Pierre, au milieu d une grande affluence. CHINNT Le 5 février a été célébré en la Mairie 1 de Chaînant, le m ariage de M. Lucien Rousseau, fils de Mme et M. Rousseau, di-! recteur Sucrerie de Fougères, et < de Mlle Germaine Houlet, fille de Mme et : M. Houlet, notre sym pathique et dévoué conseiller m unicipal, délégué p ar l dministration du Bureau de Bienfaisance. La quête faite au profit du Bureau de Bienfaisance a produit la somme de 200 francs. Le m aire en renouvelant aux jeunes époux ses vœux de bonheur, leur adresse ses bien vifs rem erciem ents, ainsi qu à leurs honorables familles. Foot-ball. Résultats du 8 février à Verberie : E. S. Chamantaise bat U. S. Verberie (1) p a r 3 à 1. Les C ham antais ont l avantage descente du terrain ; le jeu en l air désorganise l equipe visitée et après 10 m inuits, sur une descente des visiteurs l interdroit ouvre la m arque. la reprise, le jeu est vite et les «blanc et rouge» ont encore l avantage, néanmoins les avants de Verberie vieilnent inquiéter la défense Chamantaise, te goal est à l ouvrage et se défend admirablement. Les visiteurs rep arten t et sur un centre bien repris, l avant-centre marque un deuxième but. u repos, Chamant mène p ar 2 à 0 La deuxième mi-temps est à tour de rôle à 1 avantage des deux équipes, les shoots de Verberie echouent de peu, le jeu devient plus confus et sur une échappée des «noir et jaune» l extrême-gauche bat le keeper Chamantais. P eu de temps avant la fin Chamant inscrit un troisièm e but a son actif, la fin est sifflée sans autre changement. Ils étaient onze... ils ont gagné. Dimanche prochain 15, à Cham ant : U. S. Boran (1) contre E. S. C. Samedi soir 14, à 21 heures, dans les salons de M. Katosky, l Etoile Sportive Chamantaise donnera son bal annuel Qu on se le dise. FLEURINES Samedi dernier la 2* C'8 d rc de FleunneS, na u ete son Pafr <m Saint Sébastien. coit a ihs-î? oté. servi dans la grande... Hôtel Saint-Sébastien, sous la président de M. Canet, connétable lit/.s banquet qui clôture l année spor- cs tireu rs à l arc de FleurinesT utour d une table agréablem ent garnie, un menu préparé excellement par M. Lurt, propriétaire de l Hôtel, a fait tes dehces des 55 convives qui com posaient ce charm ant banquet. u dessert, M. Toursière père, capitaine 2; Cle d rc, a p ril la parole rem ercier toutes les personnes présentes d avoir répondu en grand nomd* V i invitation des chevaliers d arc svm tioiî!"'1 ne e j jur tém oignant ainsi leur sympathie. S adressant ensuite à M. Canet connétable il le félicita de sa node Tir " nei Président Fédération irrotti v? rc e? rem placem ent du red a n tin, Quervel, ensuite M. Toursière corn ni a.1!0 c u tl0 n très détaillée et très du nnh dem o tra a tous les bienfaits 5 du tir a Parc. rolp ^t l0y m?ir^ a^ pris ensuite la pales afm rieimerc1 v, boursière des paro- scii s qu i1 a eu vis-à-vis du Consonnntp"1 0 1 11 félicita toutes les per- S présentes sym pathie qu elles tém oignent aux sociétés de Fieu- I nnes, et il souhaita la p rospérité la j 2* C18 d arc. M. Canet, connétable, term ina les discours en présentant les excuses des p ersonnalités empêchées, il donna le palm arès des m eilleurs tireurs qui se sont classés dans les cham pionnats : MM. Haloy Léon, Jean Toursière et Delamarre. Ensuite dans une touchante pensée, il évoqua la m ém oire du regretté lieutenant Havy. Rem erciant M. Toursière d avoir parlé de sa nom ination à la p résidence de tir à l arc, il assura la C 8 qu il rem plirait la mission qui lui avait etc confié avec tact et autorité et qu il ferait tout ce qu il lui serait possible pour être agréable aux archers ses amis. Ensuite la parole fut donnée aux chanteurs qui nous tinrent en charm e ainsi que les facéties de «Rigadin» pendant que se p rép arait la salle de bal et au son du fameux orchestre «Thé Famous Jazz» tes valseurs s en donnèrent à cœ ur joie jusqu aux prem ières lueurs de laube. Parm i les personnalités présentes nous avons noté à la table d honneur : MM. Froncin, conseiller d arrondissem ent ; Muller, m aire de P ontpoint ; MM. Durand et Boilet, de Pont-Sainte-Maxence; puis MM. Léon Havy, Desnoyelles, Lucien Lefèvre, Champion père, Champion Gaston et Marceau, Jean Toursière, Carron, Petit, Macé, Hulot, etc... Un invité. LE PLESSIS-BELLEVILLE Médaille d honneur. Mme Marie- Louise Touzé, 30 ans de services app réciés chez M. Boisseau, vient de se voir décerner la médaille d honneur en argent du travail. Nous lui adressons nos com plim ents. LYS-CHNTILLY Golf. La com pétition double m ixte handicap prévue p o u r dim anche prochain 15 est reportée au dim anche 22 février. P o u r les inscriptions, s adresser au Secrétariat du Golf. D roit d entrée : 20 fr. p ar joueur.. ^ ORRY-L-VILLE P ar décret du 28 janvier, M. Léon Saint-ndré, directeur et associé Maison C h a rles Dufour est décoré Médaille M ilitaire, avec traitem ent. Prisonnier en 1914, il est rapatrié en 1915 comme malade ; sur sa demande, il est réintégré et versé dans un groupe de brancardiers. Il fait Douaumont et la Côte du Poivre où il est cité. Puis le Chemin des Dames, où il est blessé et cité à nouveau en octobre 1917, il est à la prise du fort Malmaison, où il est à nouveau blessé et cité. Passé sur sa dem ande dans l aviation, il est pilote d un avion de chasse, il casse du bois (il se casse même une aile, ce qui lui fait sa 38 blessure)., il term ine la guerre comme sous-officier d une section d autos. Nous pensons que pour tardive, la distinction qui lui échoit n en est pas moins très m éritée. Nous lui adressons nos félicitations. Le Sport Marche. La sous- Commission de Marche F. F.. B. B. va établir pour l an prochain un p ro gram m e de p réparation olympique. Les brevets de m arche F. F.. se font en quatre épreuves et dans les tem ps suivants : j *1?P^,erUve ; 10 kilom ètres en m oins de 1 h. 25 ; 2 Epreuve : 20 kilom ètres en m oins de 3 heures ;, 3 Epreuve : 30 kilom ètres en m oins ae 4 11. 45 ; de4fi h P3roeUVe : 40 kijomètres en moins La m arche se fait en un seul peloton (tenue touriste ou travail) et sans aucun classem ent a 1 arrivée. ( Dans chaque épreuve, les arrivants reçoivent Ligue organisatrice un diplôme ou une attestation. Les m archeurs qui accom plissent les quatre épreuves ont droit au diplôme et à l insigne de la P. E.. B. B. et indépendants. cet, le Elub des M archeurs d Orry-la-Ville organise le 22 février prochain le Brevet de Marche P- P.. sur un p arco u rs de 10 kilom étrés à couvrir en moins de une heure minutes. D épart 14 h. 30, arrivée place fran c6 8 ry ~Ville- Engagem ent : 1 Tous les m archeurs désireux de s inscrire a cette épreuve sont priés de s adresser au secrétaire du C. M. O. V M Jacob, à Orry-la-Ville PLILLY D im anche dernier ont eu lieu en p résence d une assistance émue, très nombreuse et très recueillie, les obsèques de M. Marcel C hopin, fils aîné de M. Désire Chopin, employé depuis 1894, au Domaine de B ertrandfosse et de Mme nee Bellamy. Les Sapeurs-Pom piers, les délégués de la Société de Secours Mutuels et la Musique encadraient le cercueil, porté p ar six jeunes homjmes, couvert de fleurs et sur lequel était étendue la tunique de caporal sapeur du défunt. u cim etière, à côté du drapeau et des bannières voilées de crêpe, M. Le- Eeutenant subdivision de Ffailly, a fait l éloge de son regretté collaborateur. Puis M. Tassain, lieutenant de la subdivision de M ortefontaine, lui a adresse un d ern ier adieu au nom de u Ion des SaPeurs-Pom piers de l Oise Marcel Chopin avait 30 ans. Il laisse une jeune veuve et deux petits enfants. sa famille éplorée, Le Courrier de l Oise exprime ses sentiments d e c o n d o léance. P O N T -S IN T E -M X E N C E Cambriolage. Pendant que Mme veuve Loisel, 70 ans, et sa fille Thérèse, 35 ans, quai rsène-berdin, s étaient rendues à une représentation, rue Charles-Lescot, des m alfaiteurs se sont introduits à leur domicile en brisant un carreau et ont soustrait une douzaine de nulle francs et des bijoux pour une valeur de 500 francs. On enquête. THIERS Bal masqué. l occasion du Mardi- Gras, m ardi 17 février, à 9 heures du j01ïv Grand Bal masqué, avec concours de Masques et1bataille de Serpentins chez M. Genest, à Thiers. Location de Masques. VERBERIE Cambriolage. Un cambriolage a été commis la nuit dans un wagon de m archandises n" 148.936 où trois cais'ses ont été enlevées. La prem ière pesant 59 kilos contenait

parfum erie à destination du Ouesnoy (Nord). L a seconde pesait 56 kilos et contenait aussi parfum erie à destination du Lateau (Nord). La troisièm e caisse renferm ait des spiritueux à destination de Maubeuge Ces colis venaient des docks de Saint- Ouen. Un panier contenant du sulfate d étain a ete ouvert mais non vidé! L enquête a établi qu une automobile a circulé la nuit derniere sur le chemin petite vitesse. (En bordure forêt de Compiègne dans un taillis on a retrouvé deux caisses vides provenant du vol. Ce sont là les exploits d une bande organisée, car la gare de Verberie a déjà m aintes fois reçu pareille visite. Médailles d Honneur du Travail Des m édailles d h o n n eu r ont été décernées aux ouvriers ou em ployés de notre arro n d issem en t dont les" nom s suivent : M édaille d honneur en V erm eil (50 an n ées de services) M. Bourcelet, co n tre-m aître à l O rfèvrerie d E rcuis à N euilly-en-t helle. M édaille d h o n n eu r en rg en t (30 années de services) MM. P a u l riès, d essin ateu r, société M a- rin o n i à M ontataire. rth u r B enoist, o u v rier aju steu r, m ê m e Société à M ontataire. P ie rre B rochet, contre-m aître, Société M arinoni à M ontataire. G ustave C ainjaère, ouvrier raboteur m êm e Société. lbert Gochet, ouvrier, ateliers B urton à N ogent. E ugène Colin, chef d équipe, forges et tréfileries de Creil. Louis D am eron, m ag asin ier, m aison C oudray-l esage, à N ogent Georges D epraute, com ptable, Société M arinoni à T hiverny. R ém y D Hont, fraiseu r, Société M arinoni à M ontataire. Louis D ejardin, aju ste u r, société M a rinoni, à T hiverny. H enri G uillain, contrôleur général à l agence du Crédit L yonnais lzire H ubert, contre-m aître, m aison Clair, à C répy. E ugène Jouret, a ju ste u r, société M arinoni à T hiverny. E u ch er Luc, p ré p a ra teu r, m aison Cahen et C hevalier à B éthisy. G eorges M eriette, m açon, m aison Godo Ju les Noël, to u rn eu r, société M arinoni à M ontataire. E ugène P aquet, ouvrier fraiseu r, société M arinoni à T hiverny. T héophile Plotton, peintre, m aison Moquet à N anteuil. C harles R oussillon, m aison D aydé a M ontataire. Louis Schockaert, a ju ste u r, société M a rin o n i à M ontataire. uguste T hésin, a ju ste u r, m êtne société à M ontataire. uguste V anecke, décolleteur, société M arinoni à T hiverny. Nos félicitations à ces excellents tra vailleu rs. Médailles d Honneur des Chemins de Fer P a r arrêté m in istériel, la M édaille l h o n n e u r des chem ins de fer a été décernée a u x agents dont les nom s su i vent de l arro n d issem en t de S entis : MM. G eorges Baillet, visiteu r de m ach in es, à N ogent, 30 an s de services. E ugène B rébant, m écanicien de route, à Creil, 35 a n s de services. L ucien B ridelle, chef de groupe à C ham bly, lexandre Carré, chef de groupe à C hantilly, P a u l Cornet, ouvrier à C ham bly, 30 an s de services. L éonard D ejaegher, chef de m an œ u vres p rin c ip a l à C ham bly, 30 an s de services. G aston D elaveaux, m écanicien de route à C ham bly, 25 a n s de services. uguste D ruelle, contrôleur de route à Creil, M m e M arie D uger, garde, P. N. 29, à L agny-le-s ec, M m e Louis D um ont, ex -g ard e-b arrière à M orienval, 35 a n s de services. E ugène G rém ine, m écan icien de ro u te à Creil, 25 a n s de services. P a u l H ueuet, m écanicien de route, à Crépy, 25 a n s de services. G aston H uet, m écan icien à Creil, 25 ans de services. M m e M arie (Lam écourt, em ployée à Creil, Louis L aplante, ouvrier à C ham bly, 30 an s de services. Jo sep h Lcbelle, facteur-m ix te à Nogent, H enri L em aire, chef de g are au P lessis-b elleville, M m e H enri L epape, g a rd e -b a rriè re à M ontlévêque, H enri Leriche, m écanicien de route à N ogent, 25 a n s de services. C am ille Lesure, contrôleur des services cen tra u x à C ham bly, 30 an s de services. lbert M ercier, chef de dépôt à Crépy, L ouis M oerem an, chef de tra in à C hantilly, M m e P h ilo m ène Noël, g éran te de b u re a u au x iliaire à M ontataire, 34 an s de services. M m e E m m an u el N oury, sém ap h o riste a R ussy-b ém ont, 32 an s de services. lfred P fister, chef de b rig ad e d ouv riers à C ham bly, 30 an s de serv i ces. L ucien P in g u et, m écan icien de route à Creil, 25 a n s de services. Ju lie n R etaux, sous-chef de m agasin à C ham bly, 30 an s de services. E tienne R ichard, o u v rier à Chambly, Léon R oussel, so u s-ch ef de brigade d ouvriers à C ham bly, 30 ans de services. Louis T ernois, in sp ecteur divisionnaire à C ham bly, 30 ans de services. F ran ço is T hellier, m écanicien de route à N ogent, 25 an s de services. V ictorice T raulé, m écanicien de route, à Creil, 25 a n s de services. P a u l V aillant, chef m écanicien à Nogent, 25 a n s de services. F e rn a n d V anier, m écan icien de route à Crépy, 25 a n s de services. vrb/res ^ ouvriers. & 0 6 3 b r & V e S 0 U ' Société des griculteurs de l'oise VOEUX E M IS le 3 F évrier 1931, à N oyon M arché de l voine La Société des griculteurs de l Oise avait d éjà étudié ce m arché et en p a r ticulier elle avait, dans sa séance du 13 décem bre 1930 dem andé que tant que notre production serait suffisante à nos besoins l in tendance m ilitaire s approvisionne exclusivem ent en avoine française. Cette dem ande lui a valu la réponse suivante assez su rp ren an te du service de l In ten d an ce m ilitaire au m in istère G uerre : M onsieur, Vous m avez ad ressé un vœu éînis le 13 décem bre d ern ier p a r la Société des g riculteurs de l Oise, qui désirerait voir l d m in istratio n Guerre ré server à la production française la totalité de ses achats d avoine. J ai l h o n n eu r de vous faire connaître que l avoine, p o u r plu s moitié des q u antités achetées p a r l rm éji^isl - réalisée p a r achats directs, portant exclusivem ent su r des avoines françaises et effectués a u ta n t que possible à la production. Ce m ode d ach at a été institué dans le but de faciliter la participation des p ro d u cteurs au x fo u rn itu res faites à l rm ée. Je regrette d ailleu rs que m algré les efforts des officiers acheteurs cette p articip atio n ne soit pas plus im p ortante. Je suis p ersu ad é que si les g ro u p em en ts agricoles engageaient les pro d u cteu rs à s in téresser davantage à ces achats, ce qui su p p rim e ra it le bénéfice des interm édiaires, ils feraient œ uvre utile au profit de leu rs ad h é ren ts. Le com plém ent des q u an tités d avoine achetées p a r l ad m in istratio n m ilitaire fait l objet de m arch és passés p ar ad ju d icatio n publiques. Les cahiers des charges qui rég issen t ces m archés ad m ettent des avoines de toutes proven an ces. Cette clau se a été adoptée en raiso n de l im possibilité, dan s un g ran d nom bre de cas, de différencier les avoines im portées de celles qui sont de p rov en an ce indigène. D ans ces con ditions, l exclusion des avoines im portées aboutirait, en fait, à fav o riser certain s fo u rn isseu rs peu scru p u leu x, san s qu il en ré su lta t un avantage quelconque^ p our les producteurs. L ad m in istratio n G uerre a ain si prévu, d an s toute la m esure com p atible avec les in térêts du T réso r, les d ispositions q u il était en son pouvoir de p rendre pour protéger les intérêts des ag ricu lteu rs et il n apparaît, p as que su r ce point la réglem entation actuelle doive être m odifiée. P our le M in istre et p ar délégation et p o u r le Secrétaire G énéral e m p ê ché, le C ontrôleur G énéral de l d - m m istrd lio n de l rm ée, (signé) : illisible. C est pourquoi elle ém et le vœ u ci- ; ap rès et elle est bien décidée à p o u r- suivre son action ta n t que satisfaction ne lui sera p as donnée. La Société des g riculteurs de l Oise, C onsidérant son vœ u ém is le 13 décem bre 1930 p ar lequel elle d em an d ait que le Service de l In ten d an ce s ap p ro visionne exclusivem ent en avoines fran çaises tout au m oins ta n t que sa production sera suffisante aux besoins. C onsidérant la réponse du M inistère G uerre (D irection de l In ten d an ce M ilitaire) du 9 ja n v ie r 1931 d isant q u il est im possible, d ans les m archés p a s sés p a r adjudicatio n s publiques, d exclure les avoines d im portation du fait de l im possibilité, dans un g ran d nom bre de cas, de différencier les avoines im portées des avoines indigènes, lia m esu re dem andée devant aboutir en fait, si elle était accordée, a fav o riser certain s fo u rnisseurs peu scru p u leux san s q u il en résu ltât un avantage quelconque pour les producteurs. C onsidérant que les cultivateurs, qui sont dans l im possibilité de vendre leur récolte parce que le m arch é est encom - bfé d avoines étran g ères, ne peuvent TUÎifreUre le m otif invoqué p a r le M inistère G uerre (D irection de l In te n dance M ilitaire) pour rejeter leu r légitim e revendication, car ils estim en t que c est à l a d m in istratio n de déceler les frau d es qui p o u rro n t se pro d u ire et de p u n ir les frau d eu rs, le Service de la répressio n des fraudes, qui ne les épargne pas, pouvant ici exercer une action sa lu ta ire. E m et à nouveau le vœ u : Que toutes m esu res soient p rises et que toutes in stru ctio n s utiles soient sonnées, d urgence pour que le S ervice de l In tendance s approvisionne exclusivem ent en avoines fran çaises et cela ta n t que notre production sera suffisante p o u r sa tisfa ire à ses besoins. M arché de l Orge Le m arch é de l orge est com m e celui de l avoine, d an s le m arasm e le p lu s com plet et cette crise provient su rtout de l in su ffisa n ce des droits de douane, droits de douane qui n ont p u ju s q u ici être relevés à cause d une convention passée en 1928 avec la Tchécoslovaquie, à l in su de tous les rep ré se n ta n ts de l griculture. La T chécoslovaquie favorisant la sortie de son orge p a r un systèm e de p rim es à l im portation ce qui sem ble être un procédé déloyal, la Société des g ricu lteu rs de l Oise estim e q u il est tem p s de dénoncer le traité avec cette puissance. Elle pense en outre q u il fau t p ro tester énerg iq u em ent contre le procédé qui consiste à sacrifier les ag riculteurs p a r des conventions qui ne lui sont dévoilées que lo rsq u elles sont conclues. E lle ém et donc le vœ u su iv an t : La Société des g ricu lteu rs de l Oise, C onsidérant que les p ro ducteurs, si durem en t éprouvés p a r la m au v aise ré colte de blé et des autres céréales, ne peuvent su p p o rter plu s longtem ps les cours actuels qui les conduisent à la ru in e. C onsidérant en p articulier que le cours actuel de l orge n atteint pas le coefficient quatre de son p rix d avantguerre. C onsidérant que cette situation désastreu se provient des entrées m a ssives d orges étran g ères qui atteig n en t p rès d un m illion de q u in tau x alors que la m oyenne des im p o rtatio n s p e n d an t les six dernières cam p agnes était de 572.323 q u in taux p a r cam pagne. C onsidérant que ces im p o rtatio n s qui p ro v ien n en t surtout Pologne, de la R oum anie et Tchécoslovaquie, sont possibles g râce à l insuffisance de notre protection d ouanière et aux p rim es à l expo rtation accordées en p a rtic u lie r p a r la T chécoslovaquie. C onsidérant que le droit de douane su r l orge qui est de 15 fra n c s au q u in tal n a pu être relevé à cause convention com m erciale passée le 2 ju ille t 1928 avec la T chécoslovaquie. C onsidérant que cette m êm e convention, de p a r ses clausses, nous a em pêché de p ren d re d au tre s m esu res de protection telles que contingentem ent, obligation, p our le m alteur, d em ployer des orges fran çaises p a r ra p p o rt au x orges étrangères. C onsidérant que p a r les conventions du 24 av ril 1929 et du 27 août 1930, qui accordent à la Pologne et à la R oum a nie, la clau se N ation la p lu s fa vorisée, nous som m es ten u s d a p p liq u er à ces deux p ay s le m êm e régim e q u à la T chécoslovaquie. C onsidérant q u il est m an ifeste que les in térêts des p ro d u cteurs ont été ain si délibérém ent sacrifiés. C onsidérant que la T chécoslovaquie accorde des p rim es à l exportation de l orge se chiffrant à 22 fra n c s p a r q u in tal et nous fait a in si une concurrence déloyale et q u il n y a plus, d an s ces conditions, de raiso n s de resp ecter plus longtem ps l accord du 2 ju ille t 1928 qui a to u jo u rs été ten u secret des re p ré sen tan ts de l ag ricultu re. f E m et le vœ u : Que le droit de douane su r l orge soit relevé; que les entrées d orges étran g è res soient lim itées et q u on u tilise de p référen ce les orges fran çaises p o u r l in d u strie fran çaise. D em ande : Q u aucun accord com m ercial in té re ssa n t l ag ricu ltu re ne soit plus conclu av an t que les re p ré se n ta n ts qualifiés du m onde agricole et en p articu lier les C ham bres d g riculture en soient, sa i sis. Im p ô ts su r les b én éfices agricoles En 1930 toutes les exploitations a g ricoles, et en plu s p articu lièrem en t celles qui p ra tiq u e n t la culture intensive ont été déficitaires, il serait donc p a r- tticu lièrem en t in ju ste d im p o ser le cu l tiv ateu r sur les bénéfices agricoles alors q u il n a eu à en reg istrer que des p e r tes, c est pourquoi le vœ u su iv an t est ém is, vœ u qui sera tra n sm is au b u re a u de 1 assem blée des P résid ents de C ham bre d g ricu ltu re de F ran ce en lui dem a n d a n t d in terv en ir d urgence : L a Société des g riculteurs de l O iset. C onsidérant que d an s la situation actuelle (cam pagne agricole 1930) les résu ltats de l exploitation se trad u isen t p a r des pertes élevées su rto u t d an s les régions de culture intensive. C onsidérant que ces faits sont p ro u vés p a r toutes les com ptabilités ten u es depuis p lu sieu rs an n ées p a r de nom b reu x agricu lteu rs. D em an su p p ressio n de l im pôt cé d u la ire su r les bénéfices agricoles. E clairage des vé h icu les agricoles D ans le code route les véhicules agricoles de m oins de 6 m ètres de long u eu r pouvaient u tiliser u n e seule la n tern e pour leur éclairag e m ais une m o dification y a été apportée à l in su du m onde agricole, m odification qui fait q u ils doivent être m u n is de 2 feux, u n b lan c à l avant et u n rouge à l arrière. D assez nom b reu ses contraventions ont d é jà été dressées. L a Société ém et donc le vooo su i vant : L a Société des g riculteurs de l Oise, C onsidérant que l article 4 du n o u veau code route relatif à fé c la i- rag e des véhicules a été m odifié san s que les C lm m bres d g riculture et les ssociations gricoles a ie n t été consultées. C onsidérant que pour les véhicules de m oins de 6 m ètres de longueur, u n e la n te rn e bien placée est suffisante. C onsidérant que p o u r les charro is de fo u rrages et de p aille les d an g ers d in cendie so nt co nsidérables. D em ande : 1 rev en ir au x p rescrip tio n s a n térieu res du Code route ; 2 Que la g endarm erie soit u n peu p lu s to lérante envers les cultivateurs qui ig n o ren t souvent les nouvelles p re s criptions dont ils n o n t ja m a is été sai-