Le présent Rapport semestriel de la direction sur le rendement du Fonds contient les faits saillants financiers, mais ne comprend pas les états financiers semestriels ou annuels complets du fonds de placement. Si vous le souhaitez, vous pouvez obtenir un exemplaire des états financiers semestriels ou annuels sans frais, en composant le 1-800-668-3528, en écrivant à CI Investments Inc., 2, rue Queen Est, 20 e étage, Toronto (Ontario) M5C 3G7, ou en visitant notre site Web, au www.ci.com, ou le site Web de SEDAR, au www.sedar.com. Les porteurs de titres peuvent également communiquer avec nous par l une de ces méthodes pour obtenir un exemplaire des politiques et procédures de vote par procuration du fonds de placement, du dossier de vote par procuration et de l information trimestrielle sur le portefeuille. RÉSULTATS Du 31 mars au 30 septembre 2014, la valeur liquidative de la Fiducie a diminué de 8,8 millions de dollars pour s établir à 38,0 millions de dollars. Les rachats nets se sont élevés à 9,0 millions de dollars au cours de la période. Le rendement du portefeuille a ajouté 0,2 million de dollars à l actif de la Fiducie. Les parts de catégorie C ont dégagé un rendement sur six mois de 0,5 %, contre 0,5 % pour l indice de référence. L indice de référence est l indice de rendement global des bons du Trésor à 91 jours FTSE TMX Canada. La Réserve fédérale des États-Unis (Fed) a poursuivi dans la voie du retrait des mesures d assouplissement dont ont bénéficié les marchés des capitaux et l économie réelle, puisque ses achats d actifs sont censés se terminer en octobre 2014. La Fed a également fait savoir que les taux d intérêt ne seraient relevés que bien longtemps après la cessation des assouplissements quantitatifs (AQ). Comme l année dernière, lors de la réaction à la réduction des AQ, les actifs risqués ont été fortement réévalués au cours des mois récents, les participants estimant à juste titre que les capitaux bon marché se feraient rares sur les marchés financiers mondiaux. qu il était prêt à passer outre les chiffres récents de l inflation qu il attribue à des facteurs transitoires tels que la hausse des prix énergétiques à la consommation, le contrecoup des taux de change et les chocs propres à certains secteurs. La banque centrale estime que les pressions inflationnistes à long terme restent discrètes, puisque la capacité de production reste sous-utilisée et qu elle ne sera pleinement mise à contribution qu au milieu de 2016. La croissance devrait s établir en moyenne à 2,25 % en 2014. À terme, nous surveillerons étroitement l évolution de l inflation pour déterminer si elle se maintient effectivement au-dessus de la cible de la banque centrale, ce qui pourrait amener cette dernière à revoir ses positions. Au cours des mois d été, les échanges commerciaux du Canada ont montré des signes de relance. Nous considérons qu il s agit d un élément important puisque la banque centrale a souvent répété qu elle surveillait le passage d une économie menée par la consommation et le logement à une économie orientée sur le commerce et les investissements. Ces facteurs, combinés à une inflation plus robuste, nous permettent de penser qu il existe un risque de dégagement sur la partie à court terme de la courbe des obligations du Canada, même si nous ne prévoyons pas que les taux puissent être relevés avant le deuxième semestre de 2015. À l opposé, la Banque centrale européenne (BCE) a annoncé qu elle prévoyait instaurer une forme d AQ, incluant un nouveau programme de prêt bancaire et des achats de titres d emprunts du secteur privé, notamment des titres adossés à des créances mobilières et des obligations couvertes, ainsi qu une réduction de son taux de refinancement, qui passerait de 0,15 % à 0,05 % et du taux de dépôt qui passerait de -0,1 % à -0,2 %. Cette décision est motivée par le fait que la zone euro flirte dangereusement avec la déflation, alors qu un taux de chômage à deux chiffres affecte toujours l Italie, la France, l Espagne et la Grèce. La croissance légère amorcée par l Union européenne s est également évanouie puisque le PIB de la zone, en glissement trimestriel, s établissait à 0,0 % en juin, contre 0,2 % en mars. La divergence des politiques adoptées par les pays développés du monde a contribué à l aggravation de la volatilité des marchés financiers. Depuis juillet, l indice de volatilité VIX de la Bourse des options de Chicago est remonté d environ 60 %. Bien que conscients des difficultés qui s annoncent, nous considérons que cette volatilité nous permettra de procéder à des opérations tactiques. Depuis avril, l inflation globale et l inflation de base ont atteint en moyenne 2,2 % et 1,74 % respectivement au Canada, rebondissement qui contraste fortement avec le quatrième trimestre de 2013 et le premier trimestre de 2014, au cours desquels l inflation moyenne était de 1,15 % et 1,25 % respectivement. Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, a répété maintes fois Les écarts de taux de swaps sur le court terme se sont légèrement élargis au cours de la période. Toutes choses restant égales, cet élargissement accroît l attrait des billets à taux variable par rapport aux instruments à coupon fixe. Nous avons saisi cette occasion pour prendre nos bénéfices sur les billets à taux variable et investir dans des obligations à coupon fixe. Plus tard au cours du trimestre, les écarts de taux de swaps se sont légèrement repliés, aidant les obligations à coupon fixe à surclasser leurs homologues à taux variable. ÉVÉNEMENTS RÉCENTS Aux États-Unis, en juillet, la Securities and Exchange Commission (SEC) s est prononcée en faveur d un durcissement de la réglementation du marché monétaire américain. Les fonds monétaires de premier ordre passeront de la VAN fixe à la VAN variable et sont désormais en mesure d imposer des suspensions temporaires ou des droits de rachat précis s ils risquent de ne pas être en mesure de faire face aux rachats. Reste à voir si d autres marchés développés suivront l exemple de la SEC. Après presque six années de taux d intérêt zéro et de politiques non conventionnelles aux États-Unis, en Europe et au Japon, la performance de l économie réelle reste décevante. À notre avis, ce cycle est différent de la plupart des cycles économiques antérieurs et cette constatation permet d expliquer le comportement des courbes de taux d intérêt et l évolution des taux de change. Les mécanismes classiques des banques centrales pour stimuler l économie réelle ne peuvent fonctionner que si les agents économiques sont CIG - 2103T
en mesure de mettre à profit ces taux d intérêt avantageux pour emprunter, dépenser ou investir. L endettement public comme l endettement privé (en pourcentage du PIB) étant déjà très élevés, ces agents économiques ne sont pas capables de réagir aussi nettement à la stimulation monétaire. Comité d examen indépendant La Fiducie a reçu des instructions permanentes du conseil des gouverneurs («CG»), en sa qualité de comité d examen indépendant («CEI»), relativement aux opérations entre apparentés suivantes : C est dans un tel contexte que les banques centrales tentent d utiliser tous les moyens monétaires dont elles disposent pour maintenir les marchés financiers et l économie réelle à flot. Leurs efforts ont porté fruit si l on considère qu ils ont évité la faillite du système bancaire et une dépression comme celle de 1930, mais il est de plus en plus évident que les banques centrales sont incapables de résoudre les problèmes de l économie réelle en matière de surendettement et de manque de compétitivité. Normes internationales d information financière En date du 1 er avril 2014, comme l exigeaient le Conseil des normes comptables du Canada («CNC») et la Commission des valeurs mobilières de l Ontario («CVMO»), la Fiducie a commencé à appliquer les Normes internationales d information financière («IFRS») publiées par l International Accounting Standards Board («IASB») en tant que nouvelles méthodes comptables. La Fiducie préparait auparavant ses états financiers conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada définis dans la partie V du Manuel de l ICCA (les «PCGR du Canada»). En conséquence, les états financiers semestriels de la Fiducie au 30 septembre 2014, y compris l information comparative, ont été préparés conformément aux IFRS. a) opérations sur les titres de CI Financial Corp.; b) achat ou vente de titres d un émetteur auprès d un autre fonds de placement géré par le gestionnaire (les «opérations entre fonds»); c) fusions de fonds avec un autre fonds assujetti au Règlement 81-102 (les «fusions de fonds»). Les instructions permanentes applicables exigent que les opérations entre apparentés soient effectuées conformément aux politiques et procédures du gestionnaire. Ainsi, le gestionnaire est tenu d informer le CG de toute violation importante d une condition des instructions permanentes. Les instructions permanentes exigent entre autres que les décisions de placement relatives aux opérations entre apparentés a) soient prises par le gestionnaire sans aucune influence de la part d entités apparentées à ce dernier et sans prendre en compte aucun facteur touchant une société membre du groupe du gestionnaire; b) représentent l appréciation commerciale du gestionnaire sans égard à des facteurs autres que l intérêt véritable de la Fiducie; et c) soient prises conformément aux politiques et procédures du gestionnaire. Le CG examine chaque trimestre les opérations effectuées par le gestionnaire en vertu des instructions permanentes, en vue de s assurer de leur conformité. OPÉRATIONS ENTRE APPARENTÉS Gestionnaire, conseiller en valeurs, fiduciaire et agent comptable des registres CI Investments Inc. est le gestionnaire, le conseiller en valeurs, le fiduciaire et l agent comptable des registres de la Fiducie. CI Investments Inc. est une filiale de CI Financial Corp. En contrepartie de frais de gestion et d administration, le gestionnaire fournit les services de gestion et d administration nécessaires aux activités courantes de la Fiducie. Le gestionnaire prend en charge tous les frais d exploitation de la Fiducie (à l exception des impôts et taxes, des coûts d emprunt et des nouveaux frais imposés par le gouvernement). Durant la période de référence, la Fiducie s est appuyée sur les instructions permanentes du CG relativement aux opérations entre apparentés. Le taux des frais de gestion et d administration au 30 septembre 2014 est indiqué ci-dessous : Taux des frais de gestion et d administration annuels (%) Catégorie C 0,25 Le gestionnaire a perçu des frais de gestion et d administration de 0,1 million de dollars pour la période. Frais de gestion Environ 28 % des frais de gestion totaux ont servi à payer les commissions de vente et de suivi. Les 72 % restants ont été affectés aux services de gestion des placements et à d autres tâches d administration générale.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS Le tableau suivant, qui présente les principales données financières relatives au à la Fiducie, a pour but de vous aider à comprendre les résultats de la Fiducie pour les six dernières périodes. Actif net par part de la Fiducie ($) Catégorie C Début des activités : le 23 mai 2008 Actif net à l ouverture de la période (1) Augmentation (diminution) liée aux activités : Résultat total Total des charges (hors distributions) Gains (pertes) réalisés de la période Gains (pertes) latents de la période Total de l augmentation (diminution) liée aux activités (2) Distributions : Revenu net de placement (hors dividendes) Dividendes Gains en capital Remboursement de capital (2, 3) Total des distributions Actif net à la clôture de la période présentée (2) Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative (en milliers de dollars) Nombre de parts en circulation (en milliers) Taux de rotation du portefeuille (en %) (5) Ratio des frais de gestion (en %) (6) Ratio des frais de gestion avant taxes (en %) (4) Taxe de vente harmonisée/taxe sur les produits et services (en %) (4) Ratio des frais de gestion après taxes (en %) (4) Taux effectif de la TVH/TPS pour la période (en %) (4) (1) (2) Six mois clos le Exercice clos le Exercice clos le Exercice clos le Exercice clos le Exercice clos le 30 sept. 2014 31 mars 2014 31 mars 2013^ 31 mars 2012^ 31 mars 2011^ 31 mars 2010^ $ $ $ $ $ $ 10,74 10,63 10,51 10,40 10,30 10,18 0,10 0,21 0,20 0,17 0,16 0,15 (0,02) (0,03) (0,03) (0,03) (0,03) (0,03) (0,03) (0,07) (0,04) (0,01) (0,02) (0,01) (0,01) - (0,01) (0,02) (0,01) 0,01 0,04 0,11 0,12 0,11 0,10 0,12 10,79 10,74 10,63 10,51 10,40 10,30 37 955 46 758 89 093 123 820 106 447 133 152 3 516 4 352 8 379 11 781 10 236 12 921 63,11 160,20 102,42 118,77 42,22 64,27 0,25 0,25 0,25 0,25 0,25 0,25 0,03 0,03 0,03 0,02 0,03 0,01 0,28 0,28 0,28 0,27 0,28 0,26 11,81 13,00 13,00 10,28 11,01 5,00 ^ Les données historiques sont fondées sur les PCGR canadiens. Veuillez consulter la note en bas de page 7 pour obtenir plus de détails. 1) Ces données proviennent des états financiers semestriels et annuels de la Fiducie. 2) L actif net par part et les distributions par part sont fonction du nombre réel de parts en circulation de la catégorie pertinente au moment considéré. L augmentation ou la diminution de l actif net par part liée aux activités est calculée à partir du nombre moyen pondéré de parts en circulation de la catégorie pertinente au cours de la période comptable. 3) Les distributions sont automatiquement réinvesties dans des parts supplémentaires de la Fiducie. 4) Le ratio des frais de gestion est établi d après les charges (à l exclusion des commissions et autres coûts de transaction) imputées á la Fiducie et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne pour la période. Le 1 er juillet 2010, l Ontario a combiné la taxe sur les produits et services fédérale («TPS» de 5 %) avec la taxe de vente provinciale («TVP» de 8 %). Le résultat de cette combinaison est une taxe de vente harmonisée («TVH») ayant un taux de 13 %. Le taux effectif de la TVH est calculé en utilisant le taux applicable à chaque province selon la résidence du porteur de parts et peut être différent de 13 %. Pour une période donnée, le taux indiqué sera calculé au prorata selon les différents taux en vigueur durant cette période. Pour l exercice financier clos le 31 mars 2011, le taux appliqué est de 5 % pour la période allant du 1 er avril 2010 au 30 juin 2010, et le taux effectif de la TVH de la Fiducie est pour la période allant du 1 er juillet 2010 au 31 mars 2011. Le taux indiqué pour l exercice financier clos le 31 mars 2011 représente la moyenne pondérée dans le temps de ces taux. Depuis le 1 er avril 2011, le taux de la TVH est basé sur la résidence du porteur de parts. 5) Le taux de rotation du portefeuille de la Fiducie indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs de la Fiducie gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que la Fiducie achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois au cours de la période comptable. Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par la Fiducie sont élevés au cours de cette période, et plus il est probable qu un investisseur réalise des gains en capital imposables au cours de la période. Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un Fiducie. On calcule le taux de rotation du portefeuille en divisant le coût des achats ou, s il est moins élevé, le produit des ventes de titres en portefeuille pour la période, déduction faite de l encaisse et des placements à court terme échéant à moins de un an et compte non tenu des actifs acquis dans le cadre d une fusion, s il y a lieu, par la moyenne de la valeur marchande des placements au cours de la période. 6) Le ratio des frais d opérations représente le total des commissions et des autres coûts de transaction, présenté à l état des résultats et exprimé sous forme de pourcentage annualisé de la valeur liquidative quotidienne moyenne de la Fiducie au cours de la période. 7) Pour les périodes comptables commençant le 1 er avril 2013 ou après, les faits saillants financiers sont extraits des états financiers préparés conformément aux Normes internationales d information financière (IFRS). Les IFRS exigent que l actif net soit calculé selon le dernier cours du marché pour les actifs financiers et les passifs financiers lorsque le dernier cours tombe dans l écart acheteur-vendeur. En vertu des IFRS, il n y a pas de différence entre l actif net calculé aux fins de traitement des opérations des porteurs de parts et l actif net attribuable aux porteurs de parts rachetables utilisé aux fins de la présentation de l information dans les états financiers. Pour les exercices financiers avant le 1 er avril 2013, les faits saillants financiers sont extraits des états financiers préparés conformément aux PCGR du Canada. En vertu des PCGR du Canada, l actif net aux fins des états financiers était calculé selon un cours acheteur et vendeur, tandis qu aux fins de traitement des opérations des porteurs de parts, l actif net était calculé selon le cours de clôture du marché.
RENDEMENTS PASSÉS Cette section contient une description des résultats passés de la Fiducie, lesquels ne sont pas nécessairement représentatifs des rendements futurs. Les données présentées ont été établies en prenant pour hypothèse que les distributions effectuées par la Fiducie au cours des périodes indiquées ont été réinvesties dans des parts supplémentaires des catégories pertinentes de la Fiducie. De plus, elles ne tiennent pas compte des frais d acquisition, de rachat, de placement et des autres frais facultatifs qui auraient eu pour effet de réduire les rendements. Rendements annuels Le graphique suivant présente le rendement semestriel et annuel de la Fiducie pour chacune des périodes considérées et illustre la variation du rendement d une période à l autre. Le graphique indique, sous forme de pourcentage, l augmentation ou la diminution, calculée en date du dernier jour de chaque période, d un placement effectué le premier jour de la périodes en question, sauf indication contraire. Catégorie C 5 4 3 2 1,8 1 1 1,3 0,9 1,1 1,1 0 Mars 2009 Mars 2010 Mars 2011 Mars 2012 Sept. 2014 1,0 0,5 Mars 2013 Mars 2014 1 Cette donnée porte sur la période allant du 23 mai 2008 au 31 mars 2009.
Résumé du portefeuille de placement au 30 septembre 2014 Répartition du portefeuille Catégorie l actif net (%) Répartition par pays Canada... 61,2 Placements à court terme... 20,4 Autres actifs (passifs) nets... (0,4) Répartition du portefeuille (suite) Catégorie l actif net (%) Répartition par secteur Obligations de sociétés... 49,5 Placements à court terme... 20,4 Obligations provinciales... 11,7 Autres actifs (passifs) nets... (0,4) Les 25 principaux titres Nom du titre l actif net (%) Hydro-Québec, OTV, 1,383 %, 11/02/2015... 4,6 ABN AMRO Canada, 1 %, 02/10/2014... 4,5 Province du Nouveau-Brunswick, OTV, 1,313 %, 22/02/2016... 3,9 La Banque de Nouvelle-Écosse, OTV, 1,623 %, 18/09/2015... 3,7 Financement-Québec, 1,193 %, 01/12/2014... 3,2 Banque Nationale du Canada, 2,231 %, 30/01/2015... 3,2 Banque Nationale du Canada, 1,523 %, 23/06/2016... 3,2 BMW Canada Inc., OTV, 1,503 %, 24/11/2014... 2,7 Banque Royale du Canada, 3,18 %, 16/03/2015... 2,7 Banque HSBC Canada, 1,17427 %, 10/10/2014... 2,6 La Banque de Nouvelle-Écosse, 2,25 %, 08/05/2015... 2,3 Banque Canadienne Impériale de Commerce, 3,1 %, 02/03/2015... 2,3 La Banque Toronto-Dominion, 1,13969 %, 21/10/2014... 2,2 Banque HSBC Canada, 3,86 %, 21/05/2015... 2,1 Bell Canada, 1,16928 %, 01/10/2014... 2,0 Banque Nationale du Canada, 4,03 %, 26/05/2015... 1,9 Banque Royale du Canada, 3,27 %, 10/11/2014... 1,8 Banque de Montréal, 3,93 %, 27/04/2015... 1,8 Enbridge Inc., OTV, 2,273 %, 19/08/2015... 1,8 Banque de Montréal, 1,89 %, 05/10/2015... 1,8 Obligation d État du Canada, 1,024 %, 23/10/2014... 1,8 Banque Royale du Canada, 4,71 %, 22/12/2014... 1,7 Banque Canadienne Impériale de Commerce, 2,2 %, 22/05/2015... 1,6 Daimler Canada Finance Inc., 1,4208 %, 22/10/2014... 1,4 Actif net total (en milliers de dollars) 37 955 $ Le résumé du portefeuille de placement peut changer en raison des opérations continues de la Fiducie. Des mises à jour seront disponibles sur une base trimestrielle. REMARQUE SUR LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES Ce rapport peut contenir des déclarations prospectives sur la Fiducie, ses futurs résultats, stratégies et perspectives, et d éventuelles futures actions de la Fiducie. L usage du conditionnel et l emploi de termes à connotation prospective tels que «soupçonner», «perspective», «penser», «planifier», «prévoir», «estimer», «s attendre à ce que», «avoir l intention de», «prévision» ou «objectif» permettent de repérer ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Étant donné qu elles comportent, de façon inhérente, des risques et des incertitudes, qui peuvent aussi bien concerner la Fiducie que les facteurs économiques généraux, il est possible que les prédictions, prévisions, projections et autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous conseillons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, car les événements ou résultats réels peuvent différer sensiblement de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives en raison d un certain nombre de facteurs importants, dont les suivants : la conjoncture économique, politique et financière au Canada, aux États-Unis et à l échelle internationale, les taux d intérêt et de change, les marchés boursiers et financiers mondiaux, la concurrence, les progrès technologiques, les modifications apportées aux lois et règlements, les procédures judiciaires et réglementaires, les poursuites judiciaires et les catastrophes naturelles. Cette liste des facteurs importants susceptibles d influer sur les résultats futurs n est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à examiner soigneusement les différents facteurs, y compris ceux-là. Toutes les opinions prospectives peuvent être modifiées sans préavis et sont émises de bonne foi sans aucune responsabilité légale.