de presse Dossier Les partenaires techniques et financiers mobilisés autour du programme régional Risques Naturels de la COI
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- Isaac St-Laurent
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1 COI - Acclimate Les partenaires techniques et financiers mobilisés autour du programme régional Risques Naturels de la COI Hôtel le Labourdonnais, 12 juin 2012 Financement
2 Il ne s agit pas de tomber dans le catastrophisme mais d apporter des solutions efficaces afin d identifier les risques, de gérer les catastrophes et de favoriser la reconstruction post-crise. C est toute l ambition du programme Risques Naturels- COI porté par la COI avec un premier appui financier de l AFD. Le projet Risques Naturels-COI qui a démarré en novembre 2011 est l aboutissement d un long processus de concertation. Mais il est aussi et surtout pour la COI une excellente opportunité pour promouvoir dans la durée la prévention et la gestion des risques au sein de nos pays membres sur la base des études et actions pilotes entreprises. Sur un sujet aussi vaste qui impacte l ensemble des composantes de nos sociétés, la COI devra pleinement jouer son rôle de coordination entre l ensemble des projets qu elle porte et avec ses partenaires techniques et financiers. En effet, la recherche, la santé, le changement climatique, le genre, la biodiversité, les infrastructures, la mise en œuvre de la stratégie des Petits états Insulaires sont autant de thématiques qui sont concernées par les risques naturels et l aménagement du territoire. Ce programme sera également le moyen de renforcer la coopération sud-sud conformément aux souhaits de nos partenaires. COI SOMMAIRE La COI réunit les partenaires techniques et financiers de la région océan Indien autour des risques naturels et des catastrophes La prévention et la gestion des risques naturels et des catastrophes, un enjeu majeur pour la région La COI s engage avec l Agence Française de Développement (AFD) dans un projet novateur au niveau régional Pour toutes ces raisons, la COI compte sur une nouvelle dynamique de coopération car seule une solidarité régionale et une action coordonnée seront en mesure d apporter une réponse efficace pour réduire l impact humain et économique des catastrophes naturelles et contribuer au développement durable. Le programme régional Risques Naturels de la COI, ambitieux et multi-partenarial 6 Grâce au concours de l AFD, la COI amorce cette dynamique et la 2ème réunion des partenaires techniques et financiers du 12 juin 2012 a pour but de redimensionner le programme régional sur les six prochaines années et ce, dans le cadre d une stratégie partenariale. Du cadre international à l action régionale 9 M. Callixte d Offay, Secrétaire Général de la COI. 1
3 La COI réunit les partenaires techniques et financiers de la région océan Indien autour des risques naturels et des catastrophes La prévention et la gestion des risques naturels et des catastrophes, un enjeu majeur pour la région La Commission de l Océan Indien (COI) organise le 12 juin 2012 à l hôtel la Labourdonnais, à Port-Louis (Maurice), une réunion de mobilisation des partenaires techniques et financiers, pour renforcer le programme régional Risques Naturels sur la période L actualité de cette année vient rappeler la pertinence d un tel programme au niveau régional compte tenu de la forte vulnérabilité des îles de l océan Indien face aux aléas naturels. Madagascar est, après le Bangladesh et l Inde, le troisième pays au monde le plus touché par les catastrophes naturelles. Pour appuyer ses Etats membres et renforcer les capacités régionales en matière de réduction des risques, la COI a amorcé un programme intégré de prévention et de gestion des risques naturels et des catastrophes, avec un premier concours de 2 millions d euros de l Agence Française de Développement. Les premières actions ont été lancées au début de lannée Elles répondent aux aléas et aux cultures spécifiques de chaque Etat membre de la COI et s inscrivent dans toutes les étapes de la réduction des risques, depuis la prévention et la préparation à la crise, jusqu à la gestion de la crise et la réparation, et l aménagement du territoire. En organisant pour la seconde fois une réunion des partenaires techniques et financiers, la COI veut donner une nouvelle dimension au programme régional Risques Naturels, pour mieux répondre aux attentes des pays de l Espace COI. Lors de la première réunion des partenaires en 2010, un certain nombre de bailleurs de fonds, institutions et ONG (Union Européenne, système des Nations Unies -ISDR, OCHA, PNUE, PNUD-, PIROI, CARE, et la Chine) avaient déjà manifesté un intérêt à soutenir le programme régional Risques Naturels de la COI. La réunion du 12 juin prochain permettra de mutuali ser les forces et de consolider leurs engagements pour améliorer la résilience des îles de l océan Indien aux catastrophes naturelles. Ce sera l occasion de renforcer la stratégie partenariale pour les six prochaines années. Ces aléas naturels sont susceptibles de réduire à néant les progrès déjà réalisés par les îles de la région, pour atteindre les objectifs de développement du millénaire. M. Callixte d Offay, Secrétaire Général de la COI, Les îles de la COI paient un lourd tribut aux catastrophes naturelles, comme le rappelle tristement l actualité régionale de Après les lourds dégâts causés par le cyclone Giovanna à Madagascar, c est au tour des Comores d être confrontés à de terribles inondations qui ont endeuillé le pays et provoqué des dommages économiques majeurs. Les phénomènes sont différents, mais les conséquences sont similaires en termes de pertes en vies humaines, de destruction des biens et des équipements. Ce triste constat illustre l urgente nécessité de travailler de façon globale pour réduire de façon significative les impacts des phénomènes naturels. Il est certes nécessaire de renforcer les moyens des sécurités civiles régionales, pour intervenir au plus vite auprès des populations touchées, mais il convient également de rendre les populations et les territoires moins vulnérables. Alors que la compréhension des phénomènes s est affinée et que les moyens technologiques se sont développés, le bilan des catastrophes naturelles est sans cesse plus lourd. Au-delà du changement climatique avéré, les activités humaines et les mutations des territoires peuvent fortement aggraver les conséquences négatives des aléas naturels. L homme n est plus seulement une victime à protéger ; il est aussi devenu un générateur majeur des risques qu il faut informer, et éduquer. Les pays de la COI, particulièrement exposés aux cyclones. Inondations aux Comores en avril 2012 COI - Acclimate PIROI 2 3
4 La COI s engage avec l Agence Française de Développement (AFD) dans un projet novateur au niveau régional Un contrat de financement a été signé entre la Commission de l Océan Indien (COI) et l Agence Française de Développement (AFD) en novembre 2011 dans le but de lancer un programme régional pilote de prévention et de gestion des risques naturels et catastrophes, novateur à différents égards : Une dualité Aménagement-Risques L originalité de ce programme est de privilégier les solutions globales, intégrées, en plaçant la prévention des risques au cœur de l aménagement des territoires. La protection des populations et l intervention en pé riode de crise seront complétées par une meilleure préparation des territoires. La mutualisation des données et des expériences, le partage des bonnes pratiques seront facilités pour réduire la vulnérabilité des sociétés. Cette démarche duale aménagement et risques s appuie sur des outils nouveaux afin d intégrer au mieux la complexité et la spécificité de chacun des territoires, dans le respect des cultures et des savoirfaire locaux. Afin de bâtir des sociétés moins vulnérables, plus résilientes et prospères, il s agit plus que jamais d apporter une réponse efficace, coordonnée, et équilibrée au principe vertueux du développement durable Aménager un territoire - un territoire à ménager Ce projet, particulièrement important par les enjeux qu il porte pour les territoires insulaires de l Océan Indien, l est également dans la mesure où il ouvre de nouvelles perspectives sur la manière de travailler sur ces sujets. Nous avons l habitude de réagir pendant et après les crises, ce qui reste évidemment fondamental. Mais les principaux leviers dont nous disposons pour minimiser les conséquences de ces catastrophes sont finalement avant les crises. Il ne s agit non pas d empêcher des phénomènes naturels incontrôlables, mais de réduire la vulnérabilités des sociétés par des choix judicieux d aménagement et de construction. Ceci suppose d adopter une approche territoriale d aménagement qui prenne en compte à l amont les risques naturels. C est précisément un des enjeux tout à fait novateur de ce projet : il permet à ceux qui prennent les décisions de développement (aménageurs, urbanistes, ) de travailler main dans la main avec les responsables de sécurité civile, pour mieux connaître les risques et les intégrer dans les décisions. Laurence Breton-Moyet, Directrice de l AFD Maurice. Un dispositif plaçant l homme au cœur du programme Les populations doivent en premier lieu être sensibilisées, pour se protéger et réagir au mieux en cas de catastrophes naturelles, mais elles doivent également prendre conscience de leur implication directe dans l augmentation des risques. L imperméabilisation des sols, l urbanisation rapide associée à une croissance démographique forte, la pression des activités économi ques sur le littoral et l aménagement anarchique des territoires sont susceptibles d accroître considérablement le niveau des risques et de nuire à la pérennité du développement de la région. Une approche intégrée Il s agit de réussir à intégrer les contraintes liées à la prévention et à la gestion des risques naturels et des catastrophes, dans le développement durable, et d accompagner les pays de la région, dans l ensemble de leurs politiques publiques, qu il s agisse notamment d aménagement du territoire, d éducation des populations, et d amélioration de l habitat et de l hygiène. John RASAMBAINARIVO Acclimate Frédéric LAMY - Acclimate 4 5
5 Le programme régional Risques Naturels de la COI, Ambitieux, en conformité avec le cadre d action de Hyogo, le programme de la COI a déjà identifié seize actions. Elles visent non seulement à apporter des réponses en matière de stratégie nationale, mais également à mettre en œuvre des actions sur le terrain, pour impliquer les acteurs locaux. A travers son programme Risques Naturels, la COI veut contribuer à : améliorer la connaissance des risques, renforcer les capacités nationales et régionales en matière de veille, d alerte et de secours (mise en place d une plateforme d échanges d informations, d un programme régional de formations, de concepts communs de gestion de crise ), ambitieux et multi-partenarial développer des modes de reconstruction et de réhabilitation rapides, grâce à des ressources mobilisables en cas d urgence (maisons d urgence à faible coût, constitution de stocks pré-positionnés ), renforcer les structures nationales de coordination, mettre en place des mécanismes de protection financière adéquats (fonds de compensation). Il s agit aussi de mener des actions concrètes afin de placer les populations au cœur du dispositif de prévention et de gestion des risques. Les actions proposées concernent par exemple le glissement de terrain de Chitrakoot à l île Maurice, l érosion liée à la déforestation à Madagascar, et la modélisation du volcan du Karthala aux Comores. La COI développe un partenariat fort avec la PIROI Depuis 2000, la PIROI mène des activités de réduction Les deux projets sont complémentaires et permettent de répondre de manière cohérente aux des risques, de préparation et de réponse aux catastrophes à travers la formation d équipes de réponse problématiques de gestion des risques et des aux urgences et le prépositionnement de matériel, catastrophes de la zone en travaillant à tous les l appui au développement des capacités des Sociétés niveaux (des Etats jusqu aux communautés) afin nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, de réduire l impact des catastrophes et de favoriser le développement des Etats membres de la la sensibilisation des populations aux risques, ainsi que le renforcement des capacités des communautés. Commission de l Océan Indien. En 1999, la Commission de l Océan Indien a souligné l intérêt d un projet régional de gestion des risques de catastrophes naturelles, afin de réduire le niveau du risque et de garantir la protection des biens et des personnes, ainsi que le développement socio-économique durable de la zone Sud-ouest de l Océan Indien. Le programme PIROI de la Croix-Rouge française s intègre ainsi parfaitement à la stratégie actuelle de la Commission de l Océan Indien, à savoir son projet régional Risques Naturels. PIROI-CRF Chargement transall Comores. 6 Le projet répond aux impacts multiples et combinés des changements climatiques et des risques, principalement les modifications anticipées des chutes de pluie, la diminution de la disponibilité en eau et de l augmentation des températures ainsi que du renforcement de l intensité des cyclones tropicaux. Le projet va être implémenté dans la région du lac Alaotra-Mangoro. La sélection de cette région est due à l importance de sa production de riz. Dans cette région, la forte déforestation a généré un risque accru de glissement de terrains ainsi que d érosion des sols. Même en cas d érosion lente, les sédiments se déposent dans les réservoirs, diminuant leur capacité de retenue ce qui est un facteur qui augmente la susceptibilité d inondations (en raison de la diminution de la capacité des réservoirs) et d augmentation de la susceptibilité de sécheresse agricole (pour la même raison, mais en saison sèche). le projet RN-COI lancera une action de reforestation à Madagascar avec le GRID/PNUE en Le projet vise à quantifier le rôle de la déforestation dans l érosion et les glissements de terrain. Le modèle produit permettra d identifier les zones qui doivent être protégées ou reforestées en priorité. En plus de la modélisation spatiale et des études de télédétection, des enquêtes de terrain seront menées auprès des différentes communautés et des experts locaux / nationaux, pour bien comprendre les processus en cours et l historique qui ont conduit à la situation actuelle. Des experts en politique de risque seront également impliquer pour produire des recommandations et des scénarios sur différentes variantes concernant les solutions envisageables. Pascal Peduzzi, Head of Global Change & Vulnerability Unit - PNUE/DEWA/GRID Chargement de matériel humanitaire pour Madagascar-PIROI. 7 PIROI-CRF
6 Multi-partenarial, ce projet s appuie sur la valorisation des expériences régionales, les expertises des différents partenaires et sur les nombreux dispositifs financiers en vigueur, notamment grâce à la mise en place d une plateforme d échange. Il favorise les synergies et les cofinancements, afin de renforcer davantage encore l efficacité des actions qui seront entreprises. Forte de son expérience en matière de financement de programmes de développement régionaux, l AFD a décidé de soutenir cette initiative pilote à hauteur de 2 millions d euros sur une période de trois ans, ce qui représente la phase socle d un programme global estimé initialement à 6 millions d euros. Les enjeux majeurs de développement et de protection des populations et la nécessité d une plus grande équité au niveau des territoires, militent pour un programme pluriannuel plus ambitieux, dès Des projets pilotes plus nombreux seront ainsi réalisés, afin de montrer et de convaincre par l exemple. Des partenariats et des synergies sont plus que jamais indispensables entre les Etats, et tous les acteurs concernés. 8 Intervention de la JICA sur le projet de gestion des glissements de terrain à Maurice Suite à une requête officielle du gouvernement Mauricien en 2009, le Gouvernement du Japon a décidé de lancer un projet sur la gestion des mouvements de terrains, dans le cadre de la coopération bilatérale entre les deux pays. Les objectifs de ce projet s articulent en cohérence avec ceux de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l Afrique (TICAD IV), et l engagement du Japon envers l Afrique. La JICA, l Agence Japonaise de Coopération Internationale se charge de l exécution du projet. JICA Elaboré en synergie avec le programme régio nal de la COI sur la réduction des désastres naturels, le projet vise globalement à atténuer les risques liés aux mouvements de terrain. Les résultats attendus sont principalement la réalisation d un plan de gestion des mouvements de terrain de terrain et un système de suivi, la réalisation d une étude de faisabilité et démonstration sur un site sélectionné à haut risque, et surtout le transfert de technologies aux responsables du ministère et des entités concernés. Le projet qui couvre l ensemble de l ile Maurice, s étend sur la période de Mai 2012 à Septembre 2014 ; il est mis en œuvre par le Ministry of Public Infrastructure, National Development Unit, Land Transport & Shipping. Le coût estimatif total du projet est de de yens, soit environ d euros. Depuis le lancement du programme Risques Naturels, plusieurs de ces partenariats se sont consolidés : Un accord régional de partenariat a été signé entre la COI et la PIROI, permettant de mutualiser leurs forces dans le cadre d actions de sensibilisation auprès des populations, de formations des acteurs du risque et en cas de réponse aux catastrophes ; La coordination avec la JICA s est amplifiée concernant la mise en place de l action de réduction des risques liés au glissement de terrain du Chitrakoot ; L Union européenne finance la mise en place d un fonds de compensation à travers le projet ISLANDS de la COI ; Le cofinancement avec le consortium GRID/PNUE sur l action de reforestation à Madagascar est acquis. Afin de redimensionner le programme régional, et de répondre au mieux aux attentes des pays de la zone océan Indien, la COI a décidé d organiser une seconde réunion des partenaires techniques et financiers le 12 juin Ce sera l occasion de renforcer la stratégie partenariale initiale pour les six prochaines années, de mutualiser les forces régionales en réponse aux vulnérabilités des îles de l océan Indien afin de rendre les sociétés moins vulnérables et plus résilientes. Messieurs Illiasa Idjabou et Mohamed Abou Les pluies diluviennes qui se sont abattues sur les Comores en Avril 2012 ont provoqué des fortes inondations et glissements de terrain. Selon les évaluations faites par le COSEP, le Croissant Rouge et la Direction Nationale des routes avec l assistance de l INDAC, les impacts socio-économiques sont très importants : 8% de la population a été directement affectées par les inondations (4 personnes sont décédées, 83 ont été blessées, près de 5000 familles sont sans abris et/ou déplacées) ; Des milliers d habitations privées ont été détruites ou endommagées ; De nombreuses infrastructures publiques ne sont plus fonctionnelles laissant la population en attente de réparations : plus de écoliers n ont plus d écoles, étudiants ne peuvent plus suivre les cours à l Université ; Plus de 200 kilomètres de routes sont endommagées dont les coûts de réparations sont estimés à environ 64 millions d euros. Concernant le secteur économique, les régions affectées par cette catastrophe sont les plus productives en matière d agriculture et d élevages; l impact sur les populations locales sera très lourd cette année et à moyen terme. Nous souhaitons vivement que le projet Risques Naturels de la COI puisse rapidement envisager des actions de plus grande envergure au niveau régional, tant en termes de prévention que dans le cadre de la réparation post-crise. Du cadre international à l action régionale Points focaux du projet aux Comores Pedro Basabe Chef de l Office régional pour l Afrique de l ISDR Ce projet a une valeur d exemple pour les autres pays africains et le reste du monde, même s ils n ont pas le même niveau d exposition aux catastrophes naturelles. Il y a des choses communes aux autres pays du continent, le développement des politiques et des institutions, la solidarité entre les pays, toute la partie technico-scientifique d identification des risques, le travail pratique sur le terrain, les préparatifs en cas de crise... Le fait que cette initiativesoit née d une organisation régionale traduit une réelle Points focaux du projet à Madagascar Messieurs Jaona Andrianaivo et Colonel Charles Rambolarson Soumis régulièrement aux frasques des cyclones et inondations, Madagascar a apporté des nettes améliorations dans le mécanisme de réponses aux aléas naturels cette année, en mettant en place un centre opérationnel dénommé CERVO au sein du Bureau National de Gestion des Risques et des Catastrophes. De même, dans le cadre des évaluations des impacts des aléas, l envoi par SMS à l aide des téléphones portables a permis de collecter plus rapidement les données en vues des réponses à l urgence dans les zones enclavées. Et l exploitation des images satellites a permis d orienter les secours. Il faut noter qu à l issue des passages de deux cyclones Giovanna et Irina sur la grande île et la persistance d une zone de convergence inter tropicale au-dessus du pays pendant plus de deux semaines, les dommages enregistrés font état de 112 décédés et de sinistrés. A la suite de ce sinistre, la solidarité humanitaire a apporté son concours pour venir en aide. Notamment, en ce qui concerne la COI, la PIROI, par l intermédiaire de la Croix Rouge Malagasy a affrété un bateau pour acheminer vers Brickaville et Moramanga (Points d impact du cyclone Giovanna) des articles composés de kits familiaux de construction, d abris temporaires et de stations de traitement d eau. Etant donné que ce sont les infrastructures qui ont été les plus touchées ( cases détruites, 33 écoles détruites, 1 centre de santés détruit), il serait souhaité que la dynamique de coopération régionale se traduise aussi par un appui conséquent sur les réponses aux situations d urgence et la reconstruction c est à dire des actions concrètes au plus près de la population. motivation. Pour nous, les Nations Unies, c est un pas en avant pour la stratégie Internationale de réduction des risques et catastrophes. On souhaiterait que d autres organisations régionales d Afrique puissent profiter de l expérience des pays de l océan Indien. La coopération Sud-Sud est très importante. 9
7 Contact Chargée de mission : Denise AZAÏS-VELY denise.azais-vely@coi-ioc.org Tél : +(230) Chef de projet : Eric LEROI eric.leroi@coi-ioc.org +(33) Coordinatrice de l UTR : Fanny LACROIX fanny.lacroix@coi-ioc.org +(230) (230) Responsable de la communication : Caroline BARTH Caroline.barth@coi-ioc.org +(230) Design : Véronique Barnard Secrétariat Général de la COI Q4, Avenue Sir Guy Forget, B.P.7, Quatre Bornes, Ile Maurice. Tél: (230) / secretariat@coi-ioc.org
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