COMP TE REND U DE LA REUN ION DU COMI TE CON SULTATI F D E L ECOLE EUROPEEN NE DE S TRASBOURG
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- Antoine Gignac
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1 ECOLE EUROP EEN NE D E S TRAS BOURG 70 boulevard d Anvers STRASBOURG Tel : Fax : ecole.europeenne@ac-strasbourg.fr COMP TE REND U DE LA REUN ION DU COMI TE CON SULTATI F D E L ECOLE EUROPEEN NE DE S TRASBOURG Je u di 1 3 no v e m b re à 1 8 h 1 5 > 18h35 : début de la réunion. M. Bittmann, Directeur des Etudes de l EES présente les membres présents du CC. Lis t e d e s p ré s e n t s : - Equipe de direction de l EES : M. Bittmann, Mme Marlier. - IA-IPR : M. Mertz. - Représentant des collectivités locales : M. Zeter (Conseil Général). - Représentant du Médiateur européen : M. Amir-Tahmasseb - Représentant des parents d élèves (APE-EES) : M. Aranda Cano, M. Faucon, M. Mancini, Mme Rouveloux, M. Stern, Mme Wenta-Mielcarek. - Représentants du personnel enseignant : Mme Hazledine, Mme Lanza, M. Caboche, Mme Weisenberger, M. Labergue, Ms Phillips. - Représentants des élèves : Mlle Guillot, Mlle Kristensen. - Conseillère pédagogique en langues : Mme Muller - Secrétaire de l EES : Mme Soulage 1 ) I ns ta llation du Co m ité co ns u lt a tif : voir le texte cadre 2 ) L o rdre d u jo u r est adopté tel que défini le 22/10. M. Faucon (parent d élèves) est désigné secrétaire de séance. 3 ) Dé fin itio n d e s attrib ut io n s e t d u fo nc tio nn e m e n t d u CC : > M. Bittmann rappelle les deux principaux textes prévoyant et encadrant les travaux du CC : - le Règlement Général des Ecoles Européennes - le Dossier de Conformité de l EES approuvé en Avril Selon le texte cadre, le CC doit se tenir au moins une fois par trimestre, et peut aussi être convoqué de manière exceptionnelle si au moins 8 de ses membres en font la demande au président. > Une demande de changement est intervenue et est approuvée dans la composition initialement prévue du CC : M. Le Principal du Collège Vauban ne souhaite pas en être membre, afin de pouvoir rester interlocuteur du CC sans risquer de se trouver en position de «juge et partie». 1
2 > M. Amir-Tahmasseb (représentant du Médiateur Européen) suggère que chacune des deux institutions européennes présentes à Strasbourg s représentée. Or seul le Médiateur Européen est représenté à ce jour. M. Bittmann rappelle qu en tant qu école de type II, l EES accueille prioritairement des élèves «ayant droit», est également habilitée à recevoir des subventions des institutions européennes. En conséquence, il semble envisageable que le Parlement Européen soit aussi représenté au CC, idée qui suscite un accord général des membres présents. > En tenant compte des modifications ci-dessus, la constitution prévue du CC est confirmée, ainsi que son organisation et ses attributions. Il est décidé qu en cas de vote, les décisions seront adoptées à la majorité des membres présents (demande émise par M. Mancini). 4 ) Et a t d e s lie ux : > M. Bittmann présente un tableau décrivant l état des effectifs actuels et prévisionnels de l école, ainsi que la composition du personnel : il n y a pas de section germanophone dans le secondaire pour cette année scolaire car il n y avait pas assez de candidats. L EES est établie sur 2 sites et est composée de 13 enseignants, de 2 ATSEM et de 1 concierge pour les cycles maternel et primaire, de 16 enseignants pour le cycle secondaire. Il juge satisfaisant le bilan de la rentrée. L ensemble des retours reçus à ce jour sont bons, qu ils émanent de la presse, des parents d élèves, de parents extérieurs montrant leur intérêt pour inscrire leurs enfants à l EES, de p enaires institutionnels, d institutions politiques ou d entreprises M. Tomi Ungerer a accepté de parrainer l EES et d en créer le logo. M. Bittmann invite alors à un tour de table pour compléter l état des lieux : > M. Mancini (Président de l APE-EES) confirme la satisfaction générale des parents d élèves de l EES. Il retrace les étapes de la constitution de l APE-EES (avec notamment la création du blog des parents d élèves) et remercie au nom des parents l ensemble du personnel et les différents partenaires ayant contribu la création de l école. Il s interroge également sur la validation de la 6 e et de la 7 e année du secondaire pour arriver au baccalauréat européen. M. Bittmann précise que le dossier de conformité ne couvre effectivement que jusqu à la 5 e année et qu un autre dossier de conformité sera présenté pour les 2 dernières années du secondaire (Ceci représente la procédure normale). > Présentant les activités péri et extra-scolaires, Mme Rouveloux (parent d élèves) souligne que les efforts importants consentis par chacun ont permis de surmonter les inévitables difficultés dans le démarrage et l harmonisation des di ents dispositifs. L accueil des enfants se fait du lundi au vendredi de 5 à 18h15. > Mme Marlier (directrice des cycles maternel et primaire) décrit le fonctionnement périscolaire, qui repose sur le travail de 12 personnes. Mme Pascale Bavarez re place désormais Alexandra. Grâce au passage volontaire de nombreux élèves de la cantine au lunch box (désormais une quarantaine d élèves), le problème du sureffectif de la cantine a pu être réglé pour cette année scolaire. 2
3 Pour le secondaire, les élèves vont à la restauration olaire du collège Vauban et l organisation de la lunch box est également mise en place pour certains élèves. > M. Labergue manifeste sa satisfaction à travailler à l EE mais évoque quelques difficultés dans l intervention sur les 2 établissements «EES et collège Vauban» où les logiques ne sont pas toujours les mêmes. Le partage des locaux empêche également les classes EES d être décorées aux couleurs européennes ou de participer à l identité européenne. >Mme Hazledine (représentant des enseignants) précise qu il est important que tout le monde aille vers le même objectif. > M. Amir-Tahmasseb assure l école du soutien du Médiateur Européen au projet de l EES. > Melles Kristensen et Guillot (représentants des élèves) font part de leur satisfaction d étudier à l EES, et de pouvoir y parler plusieurs langues. > M. Mertz (IA-IPR), rappelant l historique de la création de l EES et les nombreux obstacles qui ont du être surmontés, exprime son enthousiasme pour l école. Il souligne la dimension de «laboratoire» de l école, première du genre sur le territoire français. > M. Bittmann conclut en remarquant que la double affiliation «EE» et «établissement public français» de l EES nécessite parfois un travail de conciliation. Afin d en résoudre certains, la possibilité de recourir à un «fund raising» pour pouvoir financer certaines activités spécifiques aux EE sans recours au pouvoir public a été adoptée, par l intermédiaire de l APE-EES. 5 ) Pro je t p é da g o g iq ue de l EES : > Ce projet, fondé sur le règlement général des EE et le dossier de conformité de l EES, mais aussi sur le projet d académie de Strasbourg (en particulier les objectifs 4 et 5), s articule en 6 axes de travail que présente successivement M. Bittmann: a ) «S a p p ro p rie r e t m e t t re e n p la c e le s p ro g ra m m e s e u ro p é e n s» : Pour y parvenir, le travail de concertation entre ense ants des différentes sections linguistiques est déterminant. Un important chantier ouvert est celui de l harmonisation des différentes L2. b ) «Dé v e lo p p e r d e s a c t io n s lié e s à la m is e e n p la c e d u n s t a n d a rd d e l e n s e ig n e m e n t e u ro p é e n» : Le développement personnel et la réussite de chaque élève se trouve au cœur du projet. Pour y contribuer sont évoqués différents dispositifs ou axes de travail qui sont progressivement mis en place : learning support, rattrapage / soutien scolaire, spe l educational needs, aide aux devoirs, SWALS pour les enfants qui n ont pas de section linguistique propre, travail sur l autonomie et le bien-être des enfants à l école, les heures européennes, la participation à des manifestations européennes A titre d illustration, Mme Muller (Conseillère Pédagogique) et Mme Lanza (représentant des enseignants) présentent les actions mises en place dans les classes lors la semaine européenne : apprentissage de l hymne européen en 3 langues, trav sur les 3
4 drapeaux ou les ponts (visite du pont du Jardin des Deux Rives)... Les fêtes nationales des différents pays de l Union sont célébrées. Toutes ces actions sont mises en place pour définir l identité de l EES. c ) «Fa v o ris e r le s in t e ra ct io n s» : Entre les cycles, les sections linguistiques et les différents acteurs de l EES (exemple : collaboration avec l APE-EES pour la fête de la Saint Martin). Un voyage en Bourgogne est prévu avec les élèves anglop nes et francophones de la première année du secondaire, où ils se livreront ensemble à des activités archéologiques. Il y a également un projet Théâtre. Par contre, il est plus difficile d installer pour l instant une vraie liaison entre le primaire et le secondaire en raison du «trou» entre la 2 ème année du primaire et le début du secondaire d ) «Co m m u n iq u e r, a ffic h e r» : Il s agit d informer le monde extérieur au sens large sur l EES et ses activités. Il est prévu prochainement le lancement du site web de l école. Des réflexions sont en cours pour affiner la stratégie de communication de l école choisir différents canaux d information (journal de l école, presse, internet ). e ) «S in s c rire d a n s le s ré s e a u x d e p a rt e n a ria t s a v e c le s a u t re s é t a b lis s e m e n t» : Il s agit en particulier de créer des liens avec d autres EE, mais aussi localement avec les sections internationales de Strasbourg, le collège Vauban ou bien d autres établissement partageant certains points communs avec l EES. L idée participer à un projet Comenius est envisagée. f) «S a s s u re r d e la q u a lit é d e l e n s e ig n e m e n t e u ro p é e n à S t ra s b o u rg» : Par une auto-évaluation régulière, l attention portée au recrutement des enseignants comme aux conditions d admission des élèves. > M. Mertz estime que ce projet est clair, ambitieux et bien avancé dans son élaboration. Il suggère l adjonction d indicateurs de réussite. M. Bittmann répond que deux indicateurs essentiels ont déjà été évoqués : - la validation du protocole de conformité ; - le nombre d élèves nouveaux qui seront attirés par l EES. 6 ) Pe rs p e c t iv e s d e l EES : > L ambition pour la rentrée 2009 est de passer de 221 à 435 élèves, soit un quasidoublement de la taille de l école. Pour répondre à cet accroissement, un étage sera rajouté au bâtiment de l école, conformément au projet initial. Au Collège Vauban, la mise à disposition d une partie spécifique à l EES est souhaitée, et la réduction du nombre d élèves de secteur paraît nécessaire. Un recrutement important d enseignants est prévu, surtout en primaire, les enseignants du secondaire actuellement en sous-service pour l EE sont capable d absorber le supplément d heures. L ouverture d un secrétariat à temps complet pour chaque niveau a été demandée. 4
5 > Afin de respecter les normes des EE, le nombre d élè par classe maternelle ne devra pas dépasser 24. Un problème se pose actuellement dans la classe de Mme Hazledine en maternel où il faudrait une ATSEM à temps plein car il y a plus de 25 élèves dans la classe (selon le recueil de conclusions des écoles européennes). > M. Zeter (Vice Président du Conseil Général) demande s il est envisageable d accueillir temporairement une classe de collège dans les locaux de l école primaire. M. Bittmann répond que c est une piste à explorer. > Concernant le recrutement des élèves, une réunion pu ue d information aura lieu mi-janvier. Les candidatures pourront être saisies en lig usqu au 20 mars. Fin mars début avril, une première commission d admission se réunira. Une uxième campagne de candidature sera clôturée courant juin par la réunion d une deuxième commission d admission. Après le mois de juin, les admissions seront examinées au cas par cas. Il n est pas envisagé de mettre en place de test généralisé de niveau en langue 1, mais il sera procédé à un examen plus attentif des siers pour l orientation vers la bonne section linguistique. > Un point noir pour la prochaine rentrée est la cantine, dont l organisation n est pas encore arrêtée, pour les cycles maternel et primaire. Mme Rouveloux précise que des discussions entre la ville et l APE-EES sont en cours à ce sujet, et que l on s orienterait vers la mise en place d une «télé-restauration» directement dans les locaux de l EES, en complément des dispositifs déjà existants (cantine traditionnelle et lunch box). Mme Hazledine dit son regret de ne pas pouvoir manger n compagnie des élèves, contrairement à ce qui se fait dans d autres EE et remarque que les horaires ne sont pas adaptés pour des enfants de maternelle. Mme Lanza souligne en outre que les enfants rentrent très tard de la cantine, n ont pas le temps de jouer et en sont fatigués. M. Mancini émet l idée de créer un groupe de travail par rapport au thème de la cantine. > Au-delà de 2009, l accroissement de la taille de l EES rendra impossible le maintien de l accueil au collège Vauban. Pour l instant, un groupe de travail est mis en place sur le thème suivant : Identité de l'ees à l'intérieur des locaux du Collège Vauban. L hypothèse de regrouper les classes de 4 e et 5 e année dans un troisième établissement (un lycée) est écartée par M. Bittmann, soutenu en cela par M. Vial (Représentant français auprès du Conseil supérieur des Ecoles Européennes). Une autre solution doit donc être trouvée pour Temporairement, l ensemble du secondaire pourrait être regroupé en un seul lieu, probablement éloigné de l école primaire. L objectif de regrouper toute l EES en 2013 sous un toit unique est demandé par M. Bittmann, conformément au dossier de conformité. M. Zeter approuve ces deux échéances, s engage pour 2010, mais rétorque que 2013 ne pourra être possible qu à la condition de pouvoir disp r assez rapidement du terrain. Il faut en effet compter sur un délai de 3 à 4 ans pour la construction d un établissement de ce genre. Les collectivités territoriales demandent à l Etat français la mise à disposition gracieuse du terrain prévu. Ce dernier n a pas à ce jour fait connaître sa réponse, précise M. Zeter. Il encourage les partenaires à user de leurs moyens de pression pour obtenir cette mise à dispostion M. Amir Tahmasseb souligne l importance d une pression concertée des différentes institutions pour appuyer la demande des collectivités territoriales. 5
6 M. Mancini suggère l organisation d une réunion de tous les acteurs concernés dès le mois de janvier sur ce thème. > La question des plafonds de l école est ensuite évoq. M. Bittmann précise que la sécurité est assurée et que la mise en conformité devrait débuter vendredi 14 novembre et être achevée lundi 17. Les cours ne devraient pas être affectés. > M. Faucon (parent d élèves) soulève enfin la question de l organisation du soutien scolaire afin de répondre à l hétérogénéité linguistique, particulièrement forte dans certaines classes, question qui préoccupe un certain nombre de parents. M. Bittmann précise que les différentes mesures qui ont été prises ou qui le seront pour remédier aux difficultés constatées s articulent autou e deux axes principaux : a) le recrutement des élèves : une plus grande attention dans l orientation des élè s dans les sections linguistiques sera de mise l an proc. Eventuellement, l admission de certains élèves pourra être conditionnée à l acceptation par les parents d assurer un soutien linguistique extérieur pour leur enfant. Il est rappelé que l EES n est pas une école de langue et que les élèves sont censés s inscrire dans la section de leur langue maternelle ou usuelle. b) les actions de soutien aux élèves : M. Ross Muir a déjà été recruté pour assurer des actions de soutien en anglais au collège. Un soutien en allemand et en français est aussi organisé. Les SWALS sont aussi à l étude pour quelques ves concernés. Des entretiens sont prévus avec plusieurs parents d élèves à ce sujet. M. Bittmann indique enfin qu une réflexion sur l hétér néité en langue 2 est également menée par l équipe pédagogique. La réunion est close aux alentours de 21h30. Le Secrétaire de séance, Le Président de séance M. Faucon M Bittmann Site des cycles maternel et primaire : 6 rue de Wallonie STRASBOURG Tel : Fax : ce p@ac-strasbourg.fr 6
7 ECOLE EUROP EEN NE D E S TRAS BOURG 70 boulevard d Anvers STRASBOURG Tel : Fax : ecole.europeenne@ac-strasbourg.fr COMP TE REND U DE LA REUN ION DU COMI TE CON SULTATI F D E L ECOLE EUROPEEN NE DE S TRASBOURG Je u di 1 3 no v e m b re à 1 8 h 1 5 > 18h35 : début de la réunion. M. Bittmann, Directeur des Etudes de l EES présente les membres présents du CC. Lis t e d e s p ré s e n t s : - Equipe de direction de l EES : M. Bittmann, Mme Marlier. - IA-IPR : M. Mertz. - Représentant des collectivités locales : M. Zeter (Conseil Général). - Représentant du Médiateur européen : M. Amir-Tahmasseb - Représentant des parents d élèves (APE-EES) : M. Aranda Cano, M. Faucon, M. Mancini, Mme Rouveloux, M. Stern, Mme Wenta-Mielcarek. - Représentants du personnel enseignant : Mme Hazledine, Mme Lanza, M. Caboche, Mme Weisenberger, M. Labergue, Ms Phillips. - Représentants des élèves : Mlle Guillot, Mlle Kristensen. - Conseillère pédagogique en langues : Mme Muller - Secrétaire de l EES : Mme Soulage 1 ) I ns ta llation du Co m ité co ns u lt a tif : voir le texte cadre 2 ) L o rdre d u jo u r est adopté tel que défini le 22/10. M. Faucon (parent d élèves) est désigné secrétaire de séance. 3 ) Dé fin itio n d e s attrib ut io n s e t d u fo nc tio nn e m e n t d u CC : > M. Bittmann rappelle les deux principaux textes prévoyant et encadrant les travaux du CC : - le Règlement Général des Ecoles Européennes - le Dossier de Conformité de l EES approuvé en Avril Selon le texte cadre, le CC doit se tenir au moins une fois par trimestre, et peut aussi être convoqué de manière exceptionnelle si au moins 8 de ses membres en font la demande au président. > Une demande de changement est intervenue et est approuvée dans la composition initialement prévue du CC : M. Le Principal du Collège Vauban ne souhaite pas en être membre, afin de pouvoir rester interlocuteur du CC sans risquer de se trouver en position de «juge et partie». 1
8 > M. Amir-Tahmasseb (représentant du Médiateur Européen) suggère que chacune des deux institutions européennes présentes à Strasbourg s représentée. Or seul le Médiateur Européen est représenté à ce jour. M. Bittmann rappelle qu en tant qu école de type II, l EES accueille prioritairement des élèves «ayant droit», est également habilitée à recevoir des subventions des institutions européennes. En conséquence, il semble envisageable que le Parlement Européen soit aussi représenté au CC, idée qui suscite un accord général des membres présents. > En tenant compte des modifications ci-dessus, la constitution prévue du CC est confirmée, ainsi que son organisation et ses attributions. Il est décidé qu en cas de vote, les décisions seront adoptées à la majorité des membres présents (demande émise par M. Mancini). 4 ) Et a t d e s lie ux : > M. Bittmann présente un tableau décrivant l état des effectifs actuels et prévisionnels de l école, ainsi que la composition du personnel : il n y a pas de section germanophone dans le secondaire pour cette année scolaire car il n y avait pas assez de candidats. L EES est établie sur 2 sites et est composée de 13 enseignants, de 2 ATSEM et de 1 concierge pour les cycles maternel et primaire, de 16 enseignants pour le cycle secondaire. Il juge satisfaisant le bilan de la rentrée. L ensemble des retours reçus à ce jour sont bons, qu ils émanent de la presse, des parents d élèves, de parents extérieurs montrant leur intérêt pour inscrire leurs enfants à l EES, de p enaires institutionnels, d institutions politiques ou d entreprises M. Tomi Ungerer a accepté de parrainer l EES et d en créer le logo. M. Bittmann invite alors à un tour de table pour compléter l état des lieux : > M. Mancini (Président de l APE-EES) confirme la satisfaction générale des parents d élèves de l EES. Il retrace les étapes de la constitution de l APE-EES (avec notamment la création du blog des parents d élèves) et remercie au nom des parents l ensemble du personnel et les différents partenaires ayant contribu la création de l école. Il s interroge également sur la validation de la 6 e et de la 7 e année du secondaire pour arriver au baccalauréat européen. M. Bittmann précise que le dossier de conformité ne couvre effectivement que jusqu à la 5 e année et qu un autre dossier de conformité sera présenté pour les 2 dernières années du secondaire (Ceci représente la procédure normale). > Présentant les activités péri et extra-scolaires, Mme Rouveloux (parent d élèves) souligne que les efforts importants consentis par chacun ont permis de surmonter les inévitables difficultés dans le démarrage et l harmonisation des di ents dispositifs. L accueil des enfants se fait du lundi au vendredi de 5 à 18h15. > Mme Marlier (directrice des cycles maternel et primaire) décrit le fonctionnement périscolaire, qui repose sur le travail de 12 personnes. Mme Pascale Bavarez re place désormais Alexandra. Grâce au passage volontaire de nombreux élèves de la cantine au lunch box (désormais une quarantaine d élèves), le problème du sureffectif de la cantine a pu être réglé pour cette année scolaire. 2
9 Pour le secondaire, les élèves vont à la restauration olaire du collège Vauban et l organisation de la lunch box est également mise en place pour certains élèves. > M. Labergue manifeste sa satisfaction à travailler à l EE mais évoque quelques difficultés dans l intervention sur les 2 établissements «EES et collège Vauban» où les logiques ne sont pas toujours les mêmes. Le partage des locaux empêche également les classes EES d être décorées aux couleurs européennes ou de participer à l identité européenne. >Mme Hazledine (représentant des enseignants) précise qu il est important que tout le monde aille vers le même objectif. > M. Amir-Tahmasseb assure l école du soutien du Médiateur Européen au projet de l EES. > Melles Kristensen et Guillot (représentants des élèves) font part de leur satisfaction d étudier à l EES, et de pouvoir y parler plusieurs langues. > M. Mertz (IA-IPR), rappelant l historique de la création de l EES et les nombreux obstacles qui ont du être surmontés, exprime son enthousiasme pour l école. Il souligne la dimension de «laboratoire» de l école, première du genre sur le territoire français. > M. Bittmann conclut en remarquant que la double affiliation «EE» et «établissement public français» de l EES nécessite parfois un travail de conciliation. Afin d en résoudre certains, la possibilité de recourir à un «fund raising» pour pouvoir financer certaines activités spécifiques aux EE sans recours au pouvoir public a été adoptée, par l intermédiaire de l APE-EES. 5 ) Pro je t p é da g o g iq ue de l EES : > Ce projet, fondé sur le règlement général des EE et le dossier de conformité de l EES, mais aussi sur le projet d académie de Strasbourg (en particulier les objectifs 4 et 5), s articule en 6 axes de travail que présente successivement M. Bittmann: a ) «S a p p ro p rie r e t m e t t re e n p la c e le s p ro g ra m m e s e u ro p é e n s» : Pour y parvenir, le travail de concertation entre ense ants des différentes sections linguistiques est déterminant. Un important chantier ouvert est celui de l harmonisation des différentes L2. b ) «Dé v e lo p p e r d e s a c t io n s lié e s à la m is e e n p la c e d u n s t a n d a rd d e l e n s e ig n e m e n t e u ro p é e n» : Le développement personnel et la réussite de chaque élève se trouve au cœur du projet. Pour y contribuer sont évoqués différents dispositifs ou axes de travail qui sont progressivement mis en place : learning support, rattrapage / soutien scolaire, spe l educational needs, aide aux devoirs, SWALS pour les enfants qui n ont pas de section linguistique propre, travail sur l autonomie et le bien-être des enfants à l école, les heures européennes, la participation à des manifestations européennes A titre d illustration, Mme Muller (Conseillère Pédagogique) et Mme Lanza (représentant des enseignants) présentent les actions mises en place dans les classes lors la semaine européenne : apprentissage de l hymne européen en 3 langues, trav sur les 3
10 drapeaux ou les ponts (visite du pont du Jardin des Deux Rives)... Les fêtes nationales des différents pays de l Union sont célébrées. Toutes ces actions sont mises en place pour définir l identité de l EES. c ) «Fa v o ris e r le s in t e ra ct io n s» : Entre les cycles, les sections linguistiques et les différents acteurs de l EES (exemple : collaboration avec l APE-EES pour la fête de la Saint Martin). Un voyage en Bourgogne est prévu avec les élèves anglop nes et francophones de la première année du secondaire, où ils se livreront ensemble à des activités archéologiques. Il y a également un projet Théâtre. Par contre, il est plus difficile d installer pour l instant une vraie liaison entre le primaire et le secondaire en raison du «trou» entre la 2 ème année du primaire et le début du secondaire d ) «Co m m u n iq u e r, a ffic h e r» : Il s agit d informer le monde extérieur au sens large sur l EES et ses activités. Il est prévu prochainement le lancement du site web de l école. Des réflexions sont en cours pour affiner la stratégie de communication de l école choisir différents canaux d information (journal de l école, presse, internet ). e ) «S in s c rire d a n s le s ré s e a u x d e p a rt e n a ria t s a v e c le s a u t re s é t a b lis s e m e n t» : Il s agit en particulier de créer des liens avec d autres EE, mais aussi localement avec les sections internationales de Strasbourg, le collège Vauban ou bien d autres établissement partageant certains points communs avec l EES. L idée participer à un projet Comenius est envisagée. f) «S a s s u re r d e la q u a lit é d e l e n s e ig n e m e n t e u ro p é e n à S t ra s b o u rg» : Par une auto-évaluation régulière, l attention portée au recrutement des enseignants comme aux conditions d admission des élèves. > M. Mertz estime que ce projet est clair, ambitieux et bien avancé dans son élaboration. Il suggère l adjonction d indicateurs de réussite. M. Bittmann répond que deux indicateurs essentiels ont déjà été évoqués : - la validation du protocole de conformité ; - le nombre d élèves nouveaux qui seront attirés par l EES. 6 ) Pe rs p e c t iv e s d e l EES : > L ambition pour la rentrée 2009 est de passer de 221 à 435 élèves, soit un quasidoublement de la taille de l école. Pour répondre à cet accroissement, un étage sera rajouté au bâtiment de l école, conformément au projet initial. Au Collège Vauban, la mise à disposition d une partie spécifique à l EES est souhaitée, et la réduction du nombre d élèves de secteur paraît nécessaire. Un recrutement important d enseignants est prévu, surtout en primaire, les enseignants du secondaire actuellement en sous-service pour l EE sont capable d absorber le supplément d heures. L ouverture d un secrétariat à temps complet pour chaque niveau a été demandée. 4
11 > Afin de respecter les normes des EE, le nombre d élè par classe maternelle ne devra pas dépasser 24. Un problème se pose actuellement dans la classe de Mme Hazledine en maternel où il faudrait une ATSEM à temps plein car il y a plus de 25 élèves dans la classe (selon le recueil de conclusions des écoles européennes). > M. Zeter (Vice Président du Conseil Général) demande s il est envisageable d accueillir temporairement une classe de collège dans les locaux de l école primaire. M. Bittmann répond que c est une piste à explorer. > Concernant le recrutement des élèves, une réunion pu ue d information aura lieu mi-janvier. Les candidatures pourront être saisies en lig usqu au 20 mars. Fin mars début avril, une première commission d admission se réunira. Une uxième campagne de candidature sera clôturée courant juin par la réunion d une deuxième commission d admission. Après le mois de juin, les admissions seront examinées au cas par cas. Il n est pas envisagé de mettre en place de test généralisé de niveau en langue 1, mais il sera procédé à un examen plus attentif des siers pour l orientation vers la bonne section linguistique. > Un point noir pour la prochaine rentrée est la cantine, dont l organisation n est pas encore arrêtée, pour les cycles maternel et primaire. Mme Rouveloux précise que des discussions entre la ville et l APE-EES sont en cours à ce sujet, et que l on s orienterait vers la mise en place d une «télé-restauration» directement dans les locaux de l EES, en complément des dispositifs déjà existants (cantine traditionnelle et lunch box). Mme Hazledine dit son regret de ne pas pouvoir manger n compagnie des élèves, contrairement à ce qui se fait dans d autres EE et remarque que les horaires ne sont pas adaptés pour des enfants de maternelle. Mme Lanza souligne en outre que les enfants rentrent très tard de la cantine, n ont pas le temps de jouer et en sont fatigués. M. Mancini émet l idée de créer un groupe de travail par rapport au thème de la cantine. > Au-delà de 2009, l accroissement de la taille de l EES rendra impossible le maintien de l accueil au collège Vauban. Pour l instant, un groupe de travail est mis en place sur le thème suivant : Identité de l'ees à l'intérieur des locaux du Collège Vauban. L hypothèse de regrouper les classes de 4 e et 5 e année dans un troisième établissement (un lycée) est écartée par M. Bittmann, soutenu en cela par M. Vial (Représentant français auprès du Conseil supérieur des Ecoles Européennes). Une autre solution doit donc être trouvée pour Temporairement, l ensemble du secondaire pourrait être regroupé en un seul lieu, probablement éloigné de l école primaire. L objectif de regrouper toute l EES en 2013 sous un toit unique est demandé par M. Bittmann, conformément au dossier de conformité. M. Zeter approuve ces deux échéances, s engage pour 2010, mais rétorque que 2013 ne pourra être possible qu à la condition de pouvoir disp r assez rapidement du terrain. Il faut en effet compter sur un délai de 3 à 4 ans pour la construction d un établissement de ce genre. Les collectivités territoriales demandent à l Etat français la mise à disposition gracieuse du terrain prévu. Ce dernier n a pas à ce jour fait connaître sa réponse, précise M. Zeter. Il encourage les partenaires à user de leurs moyens de pression pour obtenir cette mise à dispostion M. Amir Tahmasseb souligne l importance d une pression concertée des différentes institutions pour appuyer la demande des collectivités territoriales. 5
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