Finances locales. Les entreprises publiques locales. Éditorial. Sommaire
|
|
- François St-Germain
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Finances locales Mai 2013 Les entreprises publiques locales Sommaire Les entreprises publiques locales 3 Caractéristiques des entreprises publiques locales 3 Cadre de l analyse financière 3 Analyse financière des entreprises publiques locales 5 Le secteur énergétique 11 Environnement et principaux acteurs 11 Cadre de l analyse financière 12 Analyse financière des entreprises publiques locales et des acteurs clés du secteur énergétique 13 La gestion de l eau 21 Contexte et principaux acteurs 21 Analyse financière des entreprises publiques locales pour la gestion de l eau 22 La gestion des déchets 28 Contexte et principaux acteurs 28 Analyse financière des intercommunales du secteur 29 Éditorial Les entreprises publiques locales, un poids économique non négligeable Au travers de leurs activités, les entreprises publiques locales sont en contact permanent avec les entreprises et les habitants du pays. Elles évoluent dans des secteurs aussi variés que l électricité, le gaz, l eau, la gestion des déchets, le développement économique, la télédistribution, les soins de santé Ces domaines sont soumis à des directives européennes qui ont été transposées dans des textes juridiques au niveau fédéral, régional et local. Les entreprises publiques locales offrent des services d intérêt général qui sont dans la plupart des cas indispensables à la qualité de vie des citoyens et au bon fonctionnement de l économie. Pour pouvoir offrir le meilleur service au citoyen tout en tenant compte des spécificités techniques des matières traitées, les communes se sont regroupées au sein d entreprises qui prennent généralement la forme d intercommunales, mais également de régies communales. Afin d appréhender l ensemble des activités des secteurs concernés, la présente étude intègre aussi des entreprises publiques régionales ainsi que des entreprises du secteur privé qui sont des acteurs clés dans les domaines concernés. L ensemble de ces entreprises représente un poids économique et financier substantiel. Les entreprises publiques locales s inscrivent dans le cadre des législations européennes, nationales et régionales Les entreprises publiques locales et les acteurs clés évoluent dans un environnement soumis à la législation européenne, notamment en matière de concurrence et de développement durable. La présente étude se situe au troisième exercice après la libéralisation complète du secteur de l. Afin de compenser les pertes subies par les communes, les intercommunales de financement de l ont notamment pris des participations financières dans
2 Finances locales éditorial Mai 2013 d autres entreprises. Le secteur de l comme celui de l eau et des déchets sont soumis aux réglementations qui s appliquent dans le cadre du développement durable. Dans le secteur de l eau, l application des directives européennes a conduit à instaurer un prix de l eau potable qui tient progressivement compte de tous les coûts liés à la consommation. Il se concrétise par l application d un coûtvérité tant à la distribution qu à l épuration. Ces coûts sont repris sur la facture du consommateur d eau. En matière de gestion des déchets, il s agit de répercuter le coût collectif sur l émission des déchets (principe du pollueurpayeur). Un poids économique et financier réel L échantillon des entreprises publiques locales et acteurs clés considérés dans l étude comprend 226 entreprises sur un total de 230. Le total de bilan s élève à EUR 57,6 milliards et le résultat à l exercice 2011 est de EUR 1,5 milliard. Au sein des entreprises publiques locales, les intercommunales et les régies communales occupent une part importante avec EUR 34,9 milliards en total de bilan et EUR 1,2 milliard en résultat d exercice. L étude se concentre plus spécifiquement sur les secteurs de l et de son financement, de l eau et de la gestion des déchets qui représentent pas moins de 81,4 % en total de bilan de l ensemble des secteurs. La comparaison avec le total du bilan des communes à fin 2010 qui s élève à EUR 61,7 milliards démontre l ampleur des matières externalisées par ces dernières. L emploi en équivalents temps plein atteint pas moins de unités à l exercice Une situation financière stable Au 31 décembre 2011, le secteur de l et de son financement affiche un total de bilan de EUR 29 milliards et représente 50,4 % du total de l actif de l ensemble des secteurs. Ce secteur contribue à concurrence de 104,9 % au résultat de l exercice des entreprises publiques locales et des acteurs clés considérés dans l étude. On relèvera d une manière générale, pour l ensemble des secteurs la qualité des ratios moyens de ces entreprises qui disposent d une liquidité ample, d une solvabilité suffisante bien que légèrement détériorée par rapport à l exercice précédent ainsi que d une rentabilité en recul. La rentabilité des capitaux propres s élève à 4,9 % et la rentabilité opérationnelle à 11,3 %. L examen par secteur laisse apparaître de profondes disparités. Le résultat net des entreprises publiques locales de l à l exercice 2011 s élève à EUR 991 millions, en croissance de 4,5 % par rapport au résultat de l exercice précédent. Les ratios de liquidité présentent en 2011 une situation globalement positive. Les ratios de rentabilité sont en moyenne plus élevé que les ratios constatés à l exercice précédent. Les intercommunales actives dans le financement de l voient leur résultat de EUR 390 millions en diminution par rapport à l exercice précédent. Les entreprises publiques locales actives dans la gestion de l eau et des déchets dégagent un bénéfice relativement faible par rapport aux capitaux engagés. Leur résultat intègre par ailleurs le produit des subsides d exploitation et/ou en capital dont elles bénéficient. Le secteur de l eau se caractérise par deux grands types d activité, à savoir la distribution de l eau, qui fait l objet de facturations auprès des usagers, et l assainissement. Par ailleurs, le rôle des acteurs clés régionaux est important dans la mesure où ils représentent 62 % du total de bilan des acteurs de l eau. Cependant, en termes de résultat net de l exercice, ce sont les intercommunales qui contribuent à concurrence de 79,5 % du résultat total du secteur. Les ratios financiers relatifs (liquidité, solvabilité et rentabilité) présentent en général une situation meilleure auprès des intercommunales par rapport aux acteurs clés. Le secteur de la gestion des déchets se caractérise par la mise en place d un ensemble de mesures visant la prévention des déchets ainsi que leur traitement en conformité avec les objectifs européens traduits dans les plans régionaux. Le secteur présente de bons ratios en 2011 tant au niveau de la liquidité que de la rentabilité. Il se caractérise cependant par un niveau d endettement à long terme relativement élevé (75,9 %). La présente publication reprend une analyse transversale de tous les secteurs ainsi qu un développement plus détaillé des secteurs de l, de l eau et des déchets. Une version électronique de ce texte et des tableaux supplémentaires sont disponibles sur l intranet des pouvoirs locaux PubliLink ou sur le site de Belfius Banque (Public & Social Banking). 2
3 Les entreprises publiques locales 1. Caractéristiques des entreprises publiques locales Les collectivités locales ont en charge un grand nombre de missions qui touchent le citoyen dans sa vie quotidienne. Ces matières à traiter se situent dans des domaines aussi diversifiés que l approvisionnement en, en eau, l aménagement des espaces, la gestion des déchets, l acheminement de la télédistribution, etc. Ces dernières années, ces matières font l objet d évolutions significatives, notamment sous l impulsion d objectifs européens transposés dans un ensemble de directives européennes et des préoccupations qui se font jour dans un contexte de développement durable. Afin de pouvoir s acquitter au mieux de leur mission, les collectivités unissent leurs efforts au sein de structures spécialisées qui sont en mesure d aborder tant la technicité des matières traitées que l envergure des tâches à accomplir. Ces entités spécialisées prennent différentes formes juridiques, à savoir une régie (ordinaire ou autonome) active sur le territoire d une seule commune ou une intercommunale, active sur le territoire de plusieurs communes. Elles effectuent les actions demandées et établissent les liens nécessaires entre les différents participants du secteur concerné, tant privé que public, en vue d atteindre les objectifs. Afin d obtenir une vue complète des secteurs analysés, certaines entreprises publiques régionales qui jouent un rôle clé dans ces domaines ont également été reprises dans le périmètre de l étude. 2. Cadre de l analyse financière La situation financière des entreprises publiques locales se base essentiellement sur leurs comptes annuels publiés, agrégés par secteur d activités et par région. Quelques règles d agrégation ont cependant été établies. Lorsque les comptes annuels d une entreprise publique locale sont présentés par secteur d activités, les données financières sont réparties entre les secteurs d activités concernés. Certaines entreprises publiques locales (par exemple, les intercommunales d expansion économique) qui sont actives dans plusieurs secteurs et qui ne publient pas de ventilation sectorielle de leurs comptes annuels, ont été répertoriées dans le secteur de l expansion économique. En ce qui concerne le sec- teur d activités du financement, une distinction est faite entre les intercommunales de financement de l et les autres. Pour la répartition des intercommunales par région, c est le critère du siège social qui a été retenu. Les acteurs clés peuvent être classés par région ou, s ils se trouvent au niveau fédéral, en fonction de leurs spécificités dans le secteur. Les sous-traitants privés ne sont pas intégrés dans les chiffres des entreprises publiques locales. Précisons qu au sein d un même secteur d activités, l agrégation peut masquer des situations individuelles très différentes. Il convient dès lors de demeurer prudent lors de l interprétation des résultats. Les secteurs d activités pris en compte dans cette étude sont les suivants : l et son financement ; la gestion de l eau ; l expansion économique ; la gestion des déchets ; le financement ; le médicosocial subdivisé en deux groupes en fonction de la présence ou non d un hôpital ; la télédistribution ; le secteur divers. Les données financières des régies communales ordinaires et autonomes ont été obtenues en partie au départ de leurs comptes annuels publiés. Seules les régies communales actives dans les secteurs de l, de l eau, des déchets et de l expansion économique seront reprises dans cette étude. Les acteurs clés sont au nombre de 18 recensés et un échantillon de 17 acteurs, pour lesquels des données chiffrées sont disponibles, est repris dans l étude. L appréciation de la situation financière des entreprises publiques locales est évaluée au moyen de la technique des ratios. Un premier groupe de ratios est constitué des indicateurs de l activité, c est-à-dire la division d une masse financière par une quantité, une valeur ou un effectif. Un deuxième groupe de ratios dits ratios financiers ou de structure sont exprimés en pourcentage et sont établis au départ de la division de masses financières entres elles. Ceux-ci portent principalement sur le bilan ainsi que le 3
4 Définition des ratios utilisés Pour un secteur d activités donné, les différents postes du bilan et du compte de résultats ont tout d abord fait l objet d une agrégation. Les ratios ont ensuite été calculés sur la base des montants ainsi globalisés. Les ratios sont définis de la manière suivante. Le fonds de roulement est la différence entre les ressources permanentes et les emplois permanents. Si la différence est positive, elle sert à financer le Besoin en fonds de roulement (BFR). Le Besoin en fonds de roulement est la partie des emplois à court terme (stocks et créances clients) qui n est pas financée par les ressources à court terme et qui doit l être par le fonds de roulement, afin de ne pas avoir une trésorerie déficitaire. Fonds de roulement (FR) = Capitaux propres + Provisions et impôts différés + Dettes à plus d un an - Actifs immobilisés Ce ratio est corrélé à la taille du bilan et indique le niveau d activité de l entreprise. Un ratio trop bas expose l entreprise à des difficultés financières et s il est trop élevé, cela signifie que cette dernière immobilise des capitaux au détriment de sa rentabilité. Besoin en Fonds de Roulement (BFR) = Stocks + Commandes en cours d exécution + Compte de régularisation à l actif - Dettes à moins d un an - Compte de régularisation au passif Ce ratio est corrélé au compte de résultats et est proportionné à l importance du chiffre d affaires. Liquidité Current ratio Il met en relation les actifs circulants sans les créances à plus d un an et le passif à court terme. Plus le ratio est supérieur à 1, plus la liquidité est ample avec un fonds de roulement positif. Il mesure la capacité de l entreprise à respecter ses obligations financières à court terme. Actifs circulants (29/58) - Créances à plus d un an (29) Current ratio = Dettes à un an au plus (42/48) + Comptes de régularisation (492/3) Acid test Ce ratio est une mesure plus stricte de la liquidité. Il élimine du current ratio les éléments moins liquides. Plus le ratio est supérieur à 1, plus la liquidité est abondante. Créances à un an au plus (40/41) + Placements de trésorerie (50/53) + Valeurs disponibles (54/58) Acid test = Dettes à un an au plus (42/48) Solvabilité Indépendance financière Ce ratio établit la part des capitaux propres dans l ensemble des moyens mis à la disposition de l entreprise. Un ratio supérieur à 50 % implique que les dettes sont couvertes par les capitaux propres. Plus le ratio est élevé, plus l endettement est faible. Capitaux propres (10/15) Indépendance financière = *100 Passif total (10/49) Endettement à long terme Ce ratio se définit comme le rapport entre, d une part, les provisions, les impôts différés et les dettes à plus d un an et, d autre part, les capitaux propres. Il indique dans quelle mesure les dettes à long terme sont couvertes par les capitaux propres. Un ratio inférieur à 100,0 % signifie que l ensemble des dettes à long terme est couvert par les capitaux propres. Plus ce ratio est petit, meilleure est la solvabilité. Provisions et impôts différés (16) + Dettes à plus d un an (17) Endettement à long terme = *100 Capitaux propres (10/15) 4
5 Degré d autofinancement Ce ratio est un indicateur cumulé de la rentabilité passée de l entreprise et de sa politique de dividendes. Il établit la part des réserves et du bénéfice (perte) reporté(e) dans le passif total. Réserves (13) + Bénéfice (perte) reporté(e) (140) Degré d autofinancement = *100 Passif total (10/49) Cash-flow sur fonds de tiers Ce ratio mesure la part des dettes qui pourrait être remboursée par le cash-flow de l exercice. Un taux de couverture élevé indique que l entreprise serait capable de supporter un endettement supplémentaire ou qu elle dispose d une marge de sécurité à l égard d une détérioration éventuelle du cash-flow. Cash-flow Cash-flow (70/ / /7-9125) = *100 Fonds de tiers Provisions et impôts différés (16) + Dettes (17/49) des capitaux propres Résultat de l exercice (70/67) des capitaux propres = *100 Capitaux propres (10/15) opérationnelle Il s agit d une mesure du résultat d exploitation réalisé par rapport aux ventes. Résultat d exploitation (70/64) opérationnelle = *100 Ventes et prestations (70/74) opérationnelle nette Il s agit d une mesure du résultat de l activité proprement dite par rapport au total des ventes. Chiffres d affaires (70) opérationnelle nette = *100 Ventes et prestations (70/74) compte de résultats et concernent le fonds de roulement, la liquidité, la solvabilité et la rentabilité (voir encadré). Les ratios obtenus font l objet d un comparatif dans le temps, d une évolution sur plusieurs années par secteur d activités ainsi que d une comparaison géographique par région. L appréciation des résultats doit tenir compte de facteurs de disparité qui peuvent être présents au sein d un même secteur (intrasectoriel) : le périmètre d activité, la diversité de la taille des acteurs, la présence et l importance de partenaires privés ou de sous-traitants, le nombre de sites d exploitation, etc. Lors du comparatif intersectoriel, il convient de tenir compte de la disparité du modèle d affaires, du cadre réglementaire sous-jacent au secteur, des règles comptables et financières, etc. L analyse financière porte sur l exercice Dans une certaine mesure, l étude présente aussi des évolutions sur plusieurs années. Cependant, étant donné la base changeante (absorption, fusion, création ) des entreprises publiques locales, les principes ont dû être arrêtés pour rendre les chiffres cohérents : l évolution des données sur une période de deux ans se fait au départ de la situation qui prévaut au cours du dernier exercice présenté. Si une fusion ou une absorption a eu lieu au cours des années précédentes et pour autant que ces chiffres soient disponibles, ceux-ci sont repris dans la série statistique du secteur de l intercommunale constituée ou absorbante. 3. Analyse financière des entreprises publiques locales 3.1. Caractéristiques générales L analyse porte sur un échantillon de 226 entreprises publiques locales sur un total de 230 considérées dans l étude. À l exercice 2011, ces entreprises publiques locales 5
6 Au passif, la part des capitaux propres est de 45,5 % du total du passif, soit un peu moins de la moitié du total, tandis que les dettes s élèvent à 50,9 %. Le poste des providégagent ensemble un total de bilan de EUR 57,6 milliards et fournissent un résultat d exercice de EUR 1,5 milliard (tableau 1). La part des intercommunales dans le total de l actif s élève à EUR 34,9 milliards. Une comparaison avec le total des bilans des communes à l exercice 2010, qui s élève à EUR 61,7 milliards, démontre l ampleur des matières externalisées par les communes. Le nombre d équivalents temps plein (ETP) employés par les entreprises publiques locales s élève à à l exercice Le tableau 2 présente une vue détaillée par secteur d activités. L et son financement prédomine avec un total de bilan de EUR 29 milliards, soit 50,4 % du total des secteurs concernés (graphique 1). Avec un total de l actif de EUR 14,9 milliards, le secteur de l eau (distribution et assainissement) est le deuxième plus grand secteur en total de bilan et représente un quart du total de bilan des secteurs étudiés. Le secteur de l expansion économique est en troisième position avec EUR 2,6 milliards, si nous regardons les secteurs où les intercommunales développent la plus grande activité des entreprises publiques locales. Les autres secteurs atteignent EUR 11,1 milliards à l exercice 2011 et forment 19,2 % du total de bilan des secteurs analysés. En nombre d ETP, le secteur médicosocial 1 constitué uniquement d intercommunales dispose de unités et représente 59,3 % du total d ETP, tous secteurs confondus. En nombre d ETP par entité, ce sont les intercommunales médicohospitalières qui occupent la première place avec ETP en moyenne par entité. Le secteur de la télédistribution se situe en deuxième position avec 287 ETP par entité, suivi par le secteur de l eau avec 278 ETP par entité. À noter qu un ensemble de services sont assurés par des sous-traitants non repris dans cette étude, notamment dans le domaine de l Bilan Les immobilisés occupent de loin la première place en volume des principaux postes du bilan. Ils s élèvent à 76 % de l actif total et sont concentrés dans les secteurs nécessitant des infrastructures conséquentes comme le secteur de l, de l eau, des déchets et de la télédistribution. Au sein des immobilisés, les immobilisés corporels représentent quelque 76,9 %. Ils sont essentiellement constitués de terrains, d installations et de machines à hauteur de 87,5 %. Le secteur de l, dont le poids est le plus conséquent de tous les secteurs, dispose d immobilisés représentant 84,4 % du total du bilan (tableau 3a). Ces proportions d immobilisés sont observées tant dans les structures de type intercommunale que dans les régies communales ainsi qu auprès des acteurs clés car ils correspondent en fait aux besoins d infrastructure liés à l activité du secteur. 1 Une distinction est faite entre les intercommunales avec activité hospitalière et celles qui n ont pas d activité hospitalière. Tableau 1 Caractéristiques du secteur des entreprises publiques locales et des acteurs clés 2011 Nombre (recensé) Nombre (échantillon) Nombre d ETP Total de l actif (en EUR millions) Résultat de l exercice (en EUR millions) Intercommunales Régies* Acteurs clés sectoriels** Total * Sur la base des comptes annuels de 4 régies sur 7. ** Sur la base des comptes annuels de 17 acteurs clés sur 18. Tableau 2 Caractéristiques des entreprises publiques locales et des acteurs clés par secteur d activités 2011 Eau Expansion écono mique Déchets social hosp. social non hosp. Autre Télé distri - bution Divers Total Nombre d entités Nombre d ETP/entité Total de l actif (en EUR millions) Résultat de l exercice (en EUR millions)
7 sions et impôts différés est inférieur à 4 %. Les capitaux propres, constitués du capital de départ et des bénéfices reportés, sont supérieurs à 50 % dans les secteurs du financement de l et divers. Les dettes sont constituées par les emprunts et crédits à long terme, ainsi que les emprunts et crédits à court terme, les dettes envers les fournisseurs, le personnel et les administrations publiques qui sont exigibles à court terme. Une analyse des besoins structurels en fonds de roulement permet de valider les orientations à moyen terme et à court terme, concrétisées respectivement dans le plan financier et dans le plan de trésorerie. Le fonds de roulement indique la différence entre les ressources permanentes et les emplois permanents. Si le résultat est positif, le fonds de roulement permet de financer les stocks et les créances des clients. Les entreprises publiques locales et les acteurs clés de l échantillon affichent un fonds de roulement positif qui s élève en moyenne à 7,6 % du total du bilan (tableau 3b), soit une baisse par rapport à l exercice précédent (9,1 %). Il permet de faire face aux fluctuations éventuelles des besoins de trésorerie à court terme. L examen par secteur révèle cependant des situations fortement contrastées. Alors que les secteurs du financement de l, des financements autres et de l expansion économique se situent largement au-dessus de 18 %, les secteurs de l, de l eau, des déchets et de la télédistribution se situent en deçà des 10 %. Graphique 1 Part du total de l actif de chaque secteur (en % du total général) 2011 Télédistribution 8,8 % Autre 0,2 % Médicosocial non hosp. 0,3 % Médicosocial hosp. 3,7 % Déchets 5,1 % Expansion économique 4,5 % Eau 25,9 % 3.3. Compte de résultats 2 Divers 1,0 % À l exercice 2011, le résultat net s élève à EUR 1,5 milliard dans lequel les intercommunales apportent la principale contribution (91,1 %) (tableau 4a). Entre 2010 et 2011, le résultat net a diminué de près d un cinquième, bien que les composantes de ce résultat aient connu une évolution différente. Le résultat d exploitation, lié à l activité opérationnelle du secteur, est en croissance de 14 %, tandis que le résultat financier progresse et que le résultat exceptionnel diminue fortement. Le secteur de l et de son financement sont les premiers 44,4 % 6,0 % 2 Les principales composantes du compte de résultats sont disponibles au format xls sur l'intranet des pouvoirs locaux PubliLink ou sur le site de Belfius Banque Tableau 3a Poids des principaux postes du bilan par secteur d activités (en % du total du bilan) 2011 Eau Expansion écono mique Déchets social hosp. social non hosp. Autre Télédistri - bution Divers Total Actifs immobilisés Actifs circulants Total de l actif Capitaux propres Provisions et impôts différés Dettes Total du passif 84,4 % 61,2 % 80,6 % 41,4 % 64,2 % 52,2 % 44,0 % 5,3 % 71,0 % 69,6 % 76,0 % 15,6 % 38,8 % 19,4 % 58,6 % 35,8 % 47,8 % 56,0 % 94,7 % 29,0 % 30,4 % 24,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 48,3 % 69,4 % 47,9 % 48,6 % 38,0 % 33,1 % 40,0 % 21,2 % 10,2 % 59,3 % 45,5 % 1,5 % 0,3 % 3,8 % 8,0 % 7,3 % 8,1 % 0,5 % 4,5 % 2,2 % 17,6 % 3,6 % 50,2 % 30,4 % 48,3 % 43,4 % 54,7 % 58,8 % 59,5 % 74,2 % 87,6 % 23,1 % 50,9 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % Tableau 3b Fonds de roulement par secteur (en % du total du bilan) 2011 Eau Expansion écono mique Déchets social hosp. social non hosp. Autre Télédistri - bution Divers Total Fonds de roulement 2,5 % 19,3 % 5,4 % 38,5 % 2,6 % 14,3 % 17,3 % 77,7 % 6,6 % 21,8 % 7,6 % 7
8 Tableau 4a Composantes du résultat d exercice par type d entité et évolution Exercice 2011 (en EUR millions) évolution (en %) Intercom - munales Régies Acteurs clés Total Intercom - munales Régies Acteurs clés Total Résultat d exploitation Résultat financier Résultat exceptionnel Impôts (-) Résultat de l exercice % -98 % 12 % 14 % % -103 % 41 % 149 % % -123 % -108 % -75 % % -79 % 91 % 84 % % -100 % -48 % -17 % contributeurs au résultat total obtenu avec EUR millions. L ensemble des autres secteurs contribuent à hauteur de EUR 283 millions, mais les secteurs divers et télédistribution réduisent ce montant avec un résultat négatif de EUR 167 millions. Malgré de fortes disparités au sein des secteurs, le résultat d exploitation est en moyenne la principale composante du résultat de l exercice (tableau 4b). Le résultat financier dans plusieurs secteurs est influencé par des opérations spécifiques de quelques grands acteurs. Le résultat exceptionnel représente globalement 6,8 % du résultat total de l exercice Ratios financiers Les ratios financiers sont présentés, d une part, par structure juridique (tableau 5a) et, d autre part, par secteur (tableau 5b). L analyse se penche sur trois catégories de ratios, à savoir ceux qui permettent d apprécier la liquidité, la solvabilité et la rentabilité. Des disparités entre les secteurs et structures juridiques sont observées. Ratios de liquidité La liquidité correspond, non pas au disponible, mais à la trésorerie, c est-à-dire à la différence entre le fonds de roulement et le besoin en fonds de roulement. Elle permet de mesurer de quelle manière et à quel niveau le financement à court terme de l activité est assuré. Les ratios de liquidité étant en moyenne supérieurs à 1 traduisent une politique de financement structurellement solide relative à la couverture des dettes à court terme et au financement de l activité (factures impayées, valeurs des stocks, etc.). Le ratio acid test, plus strict que le current ratio vient confirmer en moyenne la bonne liquidité constatée. La structure juridique de type régie communale affiche en 2011 le niveau de liquidité le plus élevé, tant au sens large (current ratio) qu au sens strict (acid test). Les régies représentent toutefois une part très faible dans ce secteur. Les Tableau 4b Composition du résultat d exercice par secteur (en millions d EUR ) 2011 Eau Expansion écono mique Déchets social hosp. social non hosp. Autre Télédistri - bution Divers Total Résultat d exploitation Résultat financier Résultat exceptionnel Impôts (-) Résultat de l exercice Tableau 5a Principaux ratios financiers des entreprises publiques locales par type de structure juridique 2011 Liquidité Solvabilité Current ratio Acid test Indépendance financière Endettement L.T. Auto - financement Cash-flow/ fonds de tiers capitaux propres de l actif opération - nelle opération - nelle nette Intercommunales Régies Acteurs clés Moyenne générale 1,3 1,0 50,4 % 66,1 % 15,8 % 11,9 % 6,8 % 3,4 % 11,0 % 86,9 % 2,9 2,9 60,3 % 50,3 % 16,4 % 16,1 % -13,7 % -8,3 % -49,0 % 82,3 % 1,1 1,0 36,5 % 126,5 % 2,8 % 8,7 % 3,6 % 1,3 % 17,1 % 94,1 % 1,2 1,0 45,5 % 83,7 % 10,9 % 10,6 % 4,9 % 2,2 % 11,3 % 89,1 % 8
9 Tableau 5b Principaux ratios financiers des entreprises publiques locales par secteur d activités 2011 Eau Expansion écono mique Déchets social hosp. social non hosp. Autre Télédistri - bution Divers Moyenne générale Liquidité Current ratio Acid test Solvabilité Indépendance financière Endettement L.T. Autofinancement Cash-flow/fonds de tiers capitaux propres de l actif opéra tionnelle opéra tionnelle nette 1,1 1,2 1,0 2,6 1,1 1,3 1,3 1,4 1,2 3,3 1,2 0,7 1,2 0,7 1,2 1,1 1,3 1,3 1,5 1,3 3,4 1,0 48,3 % 69,4 % 47,9 % 48,6 % 38,0 % 33,1 % 40,0 % 21,2 % 10,2 % 59,3 % 45,5 % 80,1 % 16,0 % 79,5 % 64,3 % 75,9 % 100,9 % 53,4 % 290,8 % 656,9 % 54,2 % 83,7 % 9,6 % 41,5 % 5,2 % 23,9 % 17,4 % 10,0 % 8,8 % 1,8 % -0,9 % 20,0 % 10,9 % 12,9 % 36,3 % 6,6 % -1,1 % 10,6 % 7,6 % -0,9 % -2,0 % 9,0 % 14,8 % 10,6 % 8,0 % 16,3 % 1,8 % 2,2 % 10,2 % 1,8 % 0,9 % 1,5 % -30,3 % -12,1 % 4,9 % 3,9 % 11,3 % 0,8 % 1,1 % 3,9 % 0,6 % 0,4 % 0,3 % -3,1 % -7,2 % 2,2 % 22,2 % 89,8 % 8,2 % 0,1 % 8,6 % 0,5 % -1,9 % 508,4 % 7,8 % -46,9 % 11,3 % 94,4 % 21,2 % 88,3 % 57,9 % 78,9 % 92,0 % 82,2 % 55,3 % 91,7 % 83,3 % 89,1 % intercommunales disposent en moyenne d une liquidité abondante supérieure à 1, les acteurs clés enregistrent en moyenne un ratio d 1,1. L analyse plus détaillée par secteur permet de mettre en évidence la bonne liquidité en général dans tous les secteurs. Les ratios du secteur Expansion économique sont les plus élevés. Le ratio acid test affiche des valeurs inférieures à 1 pour les secteurs de l et de l eau. Ratios de solvabilité La solvabilité est mesurée au travers de plusieurs ratios qui permettent d évaluer la solidité financière globale sur le long terme. Les ratios employés mesurent les proportions entre les capitaux propres et les engagements, c est-à-dire les dettes à plus d un an et les dettes à moins d un an. Un ratio d indépendance en moyenne égal à 45,5 % à l exercice 2011 signifie que les capitaux propres des entreprises publiques locales ne peuvent pas couvrir l ensemble des dettes. Cependant, l examen des structures juridiques fait apparaître des disparités. Les capitaux propres des régies communales couvrent plus de 60 % de leurs dettes, tandis que pour les acteurs clés, la part des dettes est supérieure aux capitaux propres. Un examen par secteur d activités démontre que le secteur des déchets, le secteur médicosocial, du financement (sauf ) et de la télédistribution présentent un ratio d indépendance faible. Le ratio d endettement à long terme mesure le rapport, d une part, entre les provisions, les impôts différés et les dettes à plus d un an et, d autre part, les capitaux propres. Ce ratio égal à 83,7 % en moyenne à l exercice 2011 indique une proportion substantielle et largement suffisante de capitaux propres pour faire face aux dettes à long terme. Ce sont les acteurs clés, suivis par les intercommunales, qui présentent les meilleurs ratios. La ventilation par secteur fait apparaître de grandes disparités. Hormis le secteur de la télédistribution, ce sont les secteurs du financement (sauf l ) et médicosocial hospitalier qui font apparaître un niveau d endettement à long terme supérieur aux capitaux propres. Le ratio d autofinancement donne une indication de la capacité de l entreprise à se financer sur la base de ses propres moyens au travers des réserves et bénéfices reportés. Pour l ensemble des entreprises publiques locales, ce ratio de 10,9 % est relativement faible et en baisse par rapport à l exercice précédent. Les standards en la matière préconisent un ratio qui évolue entre 20 et 25 %. Dans le secteur de l, le ratio moyen est influencé par les acteurs clés qui présentent une situation atypique principalement liée à une structure bilantaire spécifique des gestionnaires du réseau de transport. Le ratio de cash-flow sur fonds de tiers, qui s élève à 10,6 % en moyenne, indique la part des dettes qui pourraient être remboursées par le cash-flow de l exercice. Ce ratio présente de profondes disparités entre les secteurs et atteint même 36,3 % pour le financement de l. 9
10 Ratios de rentabilité La rentabilité est mesurée au travers de quatre ratios ; les deux premiers se rapportent à la structure bilantaire tandis que les deux autres mesurent la rentabilité sur la base de l activité. Le ratio de rentabilité sur les capitaux propres s élève à 4,9 % en moyenne. La structure juridique de type intercommunale est légèrement plus performante que les autres structures avec un ratio de 6,8 %. L analyse des ratios par secteur fait apparaître que le financement de l et le traitement des déchets présentent les ratios les plus élevés (16,3 % et 10,2 %). Les intercommunales pures de financement de l ont en effet pour objectif de maintenir un rendement élevé, notamment au travers de participations dans le secteur énergétique. Le secteur Divers, qui regroupe des intercommunales issues d horizons différents, présentent en moyenne un niveau de rentabilité négatif de 12,1 %. Le ratio de rentabilité de l actif atteint 2,2 % et est le plus élevé dans la structure juridique de type intercommunale (3,4 %). C est le secteur du financement de l qui présente les niveaux de performance les plus élevés (11,3 %). Le ratio de rentabilité opérationnelle s élève à 11,3 % en moyenne pour l ensemble des entreprises publiques locales avec toutefois de fortes disparités entre les secteurs. Le secteur de l présente une situation très favorable avec un ratio de 22,2 %. La rentabilité opérationnelle maximale est cependant atteinte par le secteur du financement de l dans le contexte des dividendes sur prises de participations dans ce secteur (89,8 %). Les secteurs Médicosocial non hospitalier et Divers affichent un ratio négatif à l exercice Le ratio de rentabilité opérationnelle nette donne la part que représente le chiffre d affaires sur l ensemble des ventes, ce qui permet d observer la part directement dégagée par l activité. Si le ratio atteint en moyenne 89,1 %, ce sont les acteurs clés, comme structure juridique, qui présentent le niveau le plus élevé (94,1 %), suivis par les structures de type intercommunale (86,9 %). Une analyse par secteur montre que les deux secteurs de financement affichent les niveaux les plus faibles. Sans surprise, les secteurs du financement de l et du financement (hors ) qui ne développent pas une activité opérationnelle intrinsèque affichent des ratios nettement moins élevés. 10
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailLes ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme
Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailDiagnostic financier - Corrigé
Diagnostic financier - Corrigé Nous effectuerons ce diagnostic financier en présentant d abord une étude de rentabilité et de profitabilité du groupe Nestor, ensuite une étude de la structure financière
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailDocuments comptables : bilan, compte de résultat et annexe
Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte
Plus en détailAnalyse nancière : quelques ratios
Analyse nancière : quelques ratios Eric Vansteenberghe 18 février 2014 Une application aux achats dans le secteur spatial Table des matières 1 Introduction 2 2 La solvabilité de l'entreprise 2 2.1 Ratio
Plus en détailPerformance économique et financière des entreprises du secteur agro-alimentaire du Pays Basque. Septembre 2010
des entreprises du secteur agro-alimentaire du Pays Basque Septembre 2010 INTRODUCTION Au Pays Basque, le secteur agro-alimentaire regroupe une centaine d entreprises industrielles et compte avec l agriculture
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailLES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE
LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE Les centres communaux d action sociale 2 (CCAS) Ils ont vocation à fournir des prestations d action sociale en nature
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailEn 2013, 605 organismes pratiquent
j u i n Le marché de l assurance complémentaire santé : des excédents dégagés en 2013 En 2013, 33 milliards d euros de cotisations ont été collectés sur le marché de l assurance complémentaire santé en
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailCOMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014
COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 ca-des-savoie.fr Arrêtés par le Conseil d administration du Crédit Agricole des Savoie en date du 23 janvier 2015 soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailBILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :
BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailChapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan
Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure
Plus en détailDEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES
DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES Service des communes et des relations institutionnelles Autorité cantonale de surveillance des finances communales (ASFICO) RECOMMANDATIONS EN
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détail11 170.511. 10038 Placements à court terme sur le marché monétaire. en monnaies étrangères
11 170.511 Annexe 1: Plan comptable: bilan Les groupes de matières de 1 à 4 chiffres ont une portée obligatoire générale. Les groupes de matières de 5 chiffres indiqués ci-dessous sont obligatoires. 5
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailLe tableau de financement
1 ORGANISATION COMPTABLE Le tableau de financement Par Abderraouf YAICH Très souvent, le chef d entreprise s étonne des évolutions disconcordantes de ses résultats qui enregistrent une augmentation de
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailNorme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères
Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions
Plus en détailMelexis annonce des résultats pour le premier trimestre 2003. Ypres(Belgique), 6 mai 2003
Melexis annonce des résultats pour le premier trimestre 2003 Ypres(Belgique), 6 mai 2003 Melexis présente aujourd hui ses resultats pour le premier trimestre 2003. Les revenus pour le premier trimestre
Plus en détailEvolution des risques sur les crédits à l habitat
Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailChapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière
Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailLa balance des paiements et la position
La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions
Plus en détailCOMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations
La nouvelle Swiss GAAP RPC 30 regroupe toutes les règles applicables aux comptes. Ce qui implique que toutes les autres Swiss GAAP RPC font référence aux comptes individuels. Quelles sont les questions
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailComptes de tiers (Classe 4)
Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les
Plus en détailManuel de l agent de crédit Banco Solidario
Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.
Plus en détailANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE
Annexe C. Éléments d'analyse financière 143 ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Résumé Cette annexe présente quelques éléments comptables qui peuvent servir à l'analyse financière des entreprises.
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailIFRS Etats financiers consolidés abrégés (en milliers d euros)
IFRS Etats financiers consolidés abrégés (en milliers d euros) 1. Compte de résultats consolidé par segment au 30.06.2005 2. Bilan consolidé par segment au 30.06.2005 3. Tableau des flux de trésorerie
Plus en détailSECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES
SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES 1 - DISPOSITIONS GENERALES 2 - COMPTABILISATION DE L ENGAGEMENT 3 - COMPTABILISATION AU BILAN 4 - CONVERSION DES OPERATIONS EN DEVISES 5 - COMPTABILISATION DES RESULTATS
Plus en détailLes entreprises en France en 2012 : dégradation des performances mais consolidation des équilibres financiers
Les entreprises en France en 212 : dégradation des performances mais consolidation des équilibres financiers Dominique LEFILLIATRE et Lionel RHEIN Direction des Entreprises Observatoire des entreprises
Plus en détailANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4
409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer
Plus en détailCommuniqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.
Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion
Plus en détail2. La croissance de l entreprise
2. La croissance de l entreprise HEC Lausanne Vincent Dousse 2007 1 2.1. Les succursales Définition: Etablissement commercial qui, sous la dépendance d une entreprise dont elle fait juridiquement partie(établissement
Plus en détailNORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE
NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailSituation financière Capacité d'investissement 2009-2013
Amt für Gemeinden GemA Rue de Zaehringen 1, 1701 Fribourg T +41 26 305 22 42, F +41 26 305 22 44 scom@fr.ch, www.fr.ch/scom Situation financière Capacité d'investissement 2009-2013 1. Comptes de fonctionnement
Plus en détailL'analyse de la structure financière
2 L'analyse de la structure financière Les différentes conceptions La structure financière d une entreprise dépend principalement des contraintes technico-économiques liées à la nature des activités développées
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailLe besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie
Mois AAAA Mois décembre AAAA 2009 mise à jour décembre 2010 Préambule Les associations du secteur social et médico-social qui gèrent un ou plusieurs établissements ou services et proposent des prestations
Plus en détailGROUPE EDF RAPPORT ANNUEL 2005 ÉTATS FINANCIERS
GROUPE EDF RAPPORT ANNUEL 2005 ÉTATS FINANCIERS 3 États financiers Comptes consolidés au 31 décembre 2005 5 Rapport des Commissaires aux comptes 111 Comptes individuels d Électricité de France résumés
Plus en détailMONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE
TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE MONTGERON FISCALITÉ, ENDETTEMENT, FONCTIONNEMENT, INVESTISSEMENT, ÉQUIPEMENTS PUBLICS, ÉPARGNE, CRÉDIT, SERVICES PUBLICS CHIFFRES
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailCOMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE
Plus en détailLa société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont
La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes
Plus en détailComptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA
Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le
Plus en détailCOMMISSION DES NORMES COMPTABLES
COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME
ANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailDISCOUNTED CASH-FLOW
DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif
Plus en détailGUIDE DE PRESENTATION FEVRIER 2003
GUIDE DE PRESENTATION TABLEAU DE BORD DES INDICATEURS FINANCIERS DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE - TBFEPS FEVRIER 2003 Ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées Direction de
Plus en détailGUIDE PEDAGOGIQUE «Lire les états financiers»
GUIDE PEDAGOGIQUE «Lire les états financiers» Stéphane Lefrancq Version 1.0 janvier 2013 Sommaire 1. Présentation de la ressource... 3 1.1. Le module en ligne... 3 Objectifs pédagogiques... 3 Contenu...
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailCommuniqué de presse S1 2014-2015
Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une
Plus en détailTrébeurden Synthèse financière
Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailFICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES
FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction
Plus en détailLa méthode des scores, particulièrement de la Banque de France
La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux
Plus en détailEtude 2014 sur l évaluation de la performance dans le WCM Résumé
Etude 2014 sur l évaluation de la performance dans le WCM Résumé Introduction Centre de recherche à l Université de Saint Gall Définition Working Capital Supply Chain Finance-Lab de la Poste L étude sur
Plus en détailCommuniqué de presse FY 2014-2015
Communiqué de presse du 29 mai 2015 Huizingen, Belgique Confidentiel jusqu au 29 mai 2015 Communiqué de presse FY 2014-2015 (Résultats pour l exercice clôturé le 31 mars 2015) 1,8 de croissance du chiffre
Plus en détail