Valide au jour de l'impression

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Valide au jour de l'impression"

Transcription

1 GUIDE TECHNIQUE D'ACCREDITATION DEMATERIALISATION DES DONNEES Première partie : Transmission électronique des rapports sur les résultats Document LAB GTA 09 Révision 00 Novembre 2005 Section Laboratoires

2 SOMMAIRE 1. OBJET DU DOCUMENT REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES DOMAINE D'APPLICATION MODALITES D'APPLICATION SYNTHESE DES MODIFICATIONS MODALITE DE REEXAMEN ELEMENTS D EXPLICATION CONCERNANT LA SIGNATURE ELECTRONIQUE Contexte réglementaire La loi n du 13 mars Le décret n du 30 mars Le décret n du 18 avril L arrêté du 31 mai L'arrêté du 26 juillet L'ordonnance du 16 juin Signature électronique et signature électronique présumée fiable Signature électronique Signature électronique présumée fiable ETAT DES OFFRES TECHNIQUES Comparatif des pratiques "papier" et "signature électronique" Evaluations de quelques pratiques actuelles Le courriel ( ) avec pièce jointe L extranet Les supports d enregistrement numérique tels que les CD, DVD, Clé USB La signature électronique RECOMMANDATIONS...12 LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 2 sur 13

3 1. OBJET DU DOCUMENT Les normes NF EN ISO/CEI et NF EN ISO définissent les exigences générales concernant la compétence respectivement des laboratoires d'étalonnages, d'essais et d'analyses, et des laboratoires d analyses de biologie médicale. En ligne avec l annexe B de la norme NF EN ISO/CEI 17025, le présent Guide Technique d'accréditation (GTA) définit les recommandations résultant de l'application de cette norme en matière de dématérialisation des données. Cette première partie du guide traite de la transmission par voie électronique des rapports sur les résultats. Ces recommandations, que le laboratoire est libre d'appliquer, sont celles reconnues comme étant les plus appropriées par le Cofrac pour répondre aux exigences du document LAB REF 02 (respectivement LAB LABM REF 02) et de la norme NF EN ISO/CEI (respectivement NF EN ISO 15189). Dans tous les cas, le laboratoire devra démontrer que les dispositions prises permettent de satisfaire pleinement la norme. Ce guide, élaboré par un groupe de travail du Comité de Section Laboratoires s adresse : aux laboratoires d essais, d analyses, d étalonnage aux évaluateurs du Cofrac, et constitue une base d'harmonisation à leur usage ; aux membres des instances décisionnelles du Cofrac (Comité de Section, Commission Technique d'accréditation, Commission Interne d'examen des Rapports d'audit). 2. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Le présent document fait référence ou s'appuie sur les documents et textes de références suivants : NF EN ISO/CEI (Septembre 2005) : Exigences générales concernant la compétence des laboratoires d'étalonnages et d'essais LAB REF 02 (révision 02 Novembre 2005) : Exigences pour l accréditation des laboratoires selon la norme NF EN ISO/CEI NF EN ISO (Octobre 2003) : Laboratoires d analyses de biologie médicales Exigences particulières concernant la qualité et la compétence LAB LABM REF 02 (révision 00 Septembre 2004) : Accréditation des laboratoires selon la norme NF EN ISO Prescriptions Directive européenne 1999/93/CE du 13 décembre 1999 sur un cadre communautaire pour les signatures électroniques Loi n du 13 mars 2000 portant sur la preuve en matière de technologies électroniques de l'information LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 3 sur 13

4 Décret n du 30 mars 2001 relatif à la mise en place d'une signature sécurisée Décret n du 18 avril 2002 relatif à l'évaluation et à la certification de la sécurité offerte par les produits et les systèmes de la technologie de l'information Arrêté du 31 mai 2002 relatif à la reconnaissance de la qualification des prestataires de certification électronique et à l accréditation des organismes chargés de l évaluation Arrêté du 28 juillet 2004 relatif à la reconnaissance de la qualification des prestataires de services de certification électronique et à l'accréditation des organismes qui procèdent à leur évaluation Ordonnance du 16 juin 2005 relative à l accomplissement de certaines formalités contractuelles par voie électronique Liste de sites Internet consultables sur : 3. DOMAINE D'APPLICATION Ce guide traite spécifiquement de la transmission par voie électronique des rapports sur les résultats émis par les laboratoires. Ainsi, il s'attache à fournir des recommandations en regard des paragraphes , 4.1.5c, b et de la norme NF EN ISO/CEI Cependant, le thème de la dématérialisation englobe en amont la maîtrise des données et en aval la maîtrise du classement et de l archivage. C est pourquoi ce guide est amené à être complété pour les aspects de la dématérialisation des données autres que la transmission électronique des résultats. Ce guide correspond à l'état de la réglementation au jour de sa publication. Il est de la responsabilité du laboratoire de prendre en compte les évolutions de la réglementation et de la normalisation lors de l'utilisation du présent guide. 4. MODALITES D'APPLICATION Ce guide est applicable à compter du 1 er décembre SYNTHESE DES MODIFICATIONS Il s'agit de la première version du document ; aucune marque de modification n'est donc indiquée. 6. MODALITE DE REEXAMEN Les dispositions du présent document seront amenées à être modifiées ou complétées, pour tenir compte de l'évolution des pratiques et de "l'état de l'art", notamment techniques. A ce titre, ce document est revu au moins tous les 3 ans et révisé si nécessaire par la Section Laboratoires. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 4 sur 13

5 7. ELEMENTS D EXPLICATION CONCERNANT LA SIGNATURE ELECTRONIQUE 7.1. Contexte réglementaire Le texte de base en la matière est la directive européenne 1999/93/CE du 13 décembre 1999 qui fixe un cadre communautaire pour les signatures électroniques. Cette directive a été transposée en droit français par une loi et deux décrets d'application La loi n du 13 mars 2000 Cette loi portant sur la preuve en matière de technologies électroniques de l information a inséré de nouveaux articles dans le code civil qui stipule : - à l article 1316 : "La preuve littérale, ou preuve par écrit, résulte d une suite de lettres, de caractères, de chiffres ou de tous autres signes ou symboles dotés d une signification intelligible, quels que soient leur support et leurs modalités de transmission". - à l article : "L'écrit sur support électronique a la même force probante que l'écrit sur support papier". Ces deux articles signifient donc qu un document sur support électronique et transmis électroniquement constitue une preuve. La loi prévoit cependant des conditions définies à l article : "L'écrit sous forme électronique est admis en preuve au même titre que l'écrit sur support papier, sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane et qu'il soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l'intégrité". L émetteur doit donc être identifiable de façon certaine et le support utilisé doit permettre la conservation du document dans son intégralité sans que le contenu n en soit altéré. - à l article : "La signature nécessaire à la perfection d'un acte juridique identifie celui qui l'appose. Elle manifeste le consentement des parties aux obligations qui découlent de cet acte. Quand elle est apposée par un officier public, elle confère l'authenticité à l'acte. Lorsqu'elle est électronique, la signature consiste en l'usage d'un procédé fiable d'identification garantissant son lien avec l'acte auquel elle s'attache. La fiabilité de ce procédé est présumée, jusqu'à preuve contraire, lorsque, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'etat : - la signature électronique est créée, - l'identité du signataire assurée, - l'intégrité de l'acte garantie". Un procédé de signature électronique peut donc bénéficier d une présomption de fiabilité s il satisfait aux exigences ci-dessus. La signature électronique doit permettre d identifier de façon fiable la personne dont elle émane. - à l'article : "Lorsque la loi n a pas fixé d autres principes, et à défaut de convention valable entre les parties, le juge règle les conflits de preuve littérale en déterminant par tous moyens le titre le plus vraisemblable, quel qu en soit le support." LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 5 sur 13

6 C'est-à-dire que le juge se base sur la loi ou sur une convention (aussi appelée convention de preuve) établie entre les parties Le décret n du 30 mars 2001 L article de la loi du 13 mars 2000 est complété par le décret n du 30 mars 2001 relatif à la mise en place d une signature sécurisée. Ce texte définit ainsi la signature électronique : "Signature électronique : une donnée qui résulte de l usage d un procédé répondant aux conditions définies à la première phrase de l article du code civil." "Signature électronique sécurisée : une signature qui satisfait, en outre, aux exigences suivantes : - être propre au signataire, - être créée par des moyens que le signataire puisse garder sous son contrôle exclusif, - garantir avec l acte auquel elle s attache un lien tel que toute modification ultérieure de l acte soit détectable". Le décret du 30 mars 2001 fixe également, à l article 2, les conditions dans lesquelles une présomption de fiabilité doit être attachée au procédé utilisé dans le cas de signatures sécurisées : "La fiabilité d un procédé de signature électronique est présumée jusqu à preuve contraire lorsque : - ce procédé met en œuvre une signature électronique sécurisée (voir plus haut), - établie grâce à un dispositif sécurisé de création de signature électronique et que, - la vérification de cette signature repose sur l utilisation d un certificat électronique qualifié" Le décret n du 18 avril 2002 Les notions de dispositif sécurisé de création de signature électronique et d utilisation d un certificat électronique qualifié sont définies aux articles 3 à 9 du décret n du 30 mars 2001 complété par le décret n du 18 avril 2002 relatif à l évaluation et à la certification de la sécurité offerte par les produits et les systèmes de la technologie de l information L arrêté du 31 mai 2002 Ce texte traite de l'organisation du schéma national volontaire de reconnaissance de la qualification des prestataires. Les certificats qualifiés délivrés par des prestataires certifiés dans le cadre de ce schéma sont présumés remplir les conditions énoncées à l article 6 du décret du 30 mars ce schéma vise donc à développer la confiance. Il traite aussi de la responsabilité des prestataires de services de certification électronique (PSCE). En attente de précisions du droit relatif aux relations entre les prestataires délivrant des certificats qualifiés et ceux qui se fient à de tels certificats, les premiers peuvent être présumés responsables (transposition de l article 6 de la directive 1999/93/CE) sauf dans certains cas d imprudence de la part de la personne qui se fie au certificat. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 6 sur 13

7 7.1.5 L'arrêté du 26 juillet 2004 Ce texte est relatif à la reconnaissance de la qualification des prestataires de services de certification électronique et à l'accréditation des organismes qui procèdent à leur évaluation. L'évaluation des prestataires de certification électronique est réalisée par des organismes indépendants, eux-mêmes accrédités par le COFRAC, sur la base de critères comme les ressources cryptographiques utilisées, les procédures d'audit interne, la gestion des secrets et la politique de sécurité des prestataires de certification électronique L'ordonnance du 16 juin 2005 Ce texte modifie les articles à du code civil. L'article permet de transmettre par courrier électronique les éléments relatifs à l'exécution d'un contrat si le destinataire accepte l'usage de ce moyen. L'article concerne la transmission par voie électronique de courriers recommandés avec accusé de réception. Le procédé utilisé doit permettre "d'identifier le tiers, de désigner l'expéditeur, de garantir l'identité du destinataire et d'établir si la lettre a été remise ou non au destinataire". Ces informations sont présumées fiables si le procédé satisfait à des exigences fixées par un décret en Conseil d'etat (non paru à la date de publication du présent guide). 7.2 Signature électronique et signature électronique présumée fiable Signature électronique Dans un premier temps, il est important de souligner que la signature électronique, au sens de la directive européenne et des textes réglementaires français n'est pas la numérisation ("scannerisation") d'une signature manuscrite. En effet, la pratique qui consiste à numériser des signatures manuscrites pour insérer dans un document des images de cette signature ne répond pas à la définition et aux exigences des textes réglementaires sur la signature électronique. La signature électronique est un moyen d'authentifier un document en garantissant à la fois l'identité du signataire et l'intégrité du document transmis. Elle est propre au signataire, est créée par des moyens que le signataire puisse garder sous son contrôle exclusif et garantit avec l acte auquel elle s attache un lien tel que toute modification ultérieure de l acte soit détectable. Une signature électronique utilise un certificat électronique de type ICP (infrastructure de clés publiques) ou, en anglais, PKI (Public Key Infrastructures). Un certificat est un ensemble de deux clés (publique et privée) propriété du signataire. Ce certificat repose sur deux principes : - un principe technique : un certificat est mis en œuvre à l'aide d'un dispositif de création de signature électronique (au moyen de clés de cryptage), - un principe organisationnel : le lien entre l'identité du signataire, le certificat électronique et sa période de validité est garanti par une autorité de confiance qui, en quelque sorte, joue le rôle de notaire. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 7 sur 13

8 Un dispositif de création de signature électronique peut être uniquement logiciel ou intégrer un dispositif matériel. Il peut s'agir : - d'une carte à puce (avec ou sans code secret), - d'un dispositif de reconnaissance biométrique (empreinte digitale, de l'œil, de la voix, ), - d'un appareil d'enregistrement de la "dynamique" de la signature manuscrite, - d'un logiciel installé sur un ordinateur. Ce dispositif protège la clé secrète, permet sa mise en œuvre par le seul utilisateur légitime sans qu'il soit possible de la falsifier et sans qu'il soit possible d'altérer le message. Il existe trois modes (combinables) d'identification du signataire par le dispositif de création de signature électronique : - par code secret (PIN), - par caractéristique biométrique (empreinte digitale, ), - par objet personnel (carte à puce, ) Signature électronique présumée fiable L'autorité de confiance délivrant le certificat peut être l'organisme d'appartenance du signataire ou un organisme tiers appelé tiers de confiance ou PSCE (prestataire de services de certification électronique). Cet organisme peut être qualifié, au sens de la réglementation française. Il délivre alors des certificats qualifiés. La qualification de ces organismes est évaluée par des organismes de certification indépendants accrédités par le COFRAC. Si la signature électronique s'appuie sur un certificat qualifié comprenant un dispositif de création de la signature certifié, il s'agit alors d'un procédé présumé fiable, sans exigence de démonstration complémentaire. La signature électronique est définie comme signature électronique "simple" dans les autres cas. Cependant, un procédé de signature électronique "simple" n est pas pour autant sans valeur juridique. Toutefois, dans ce cas, en cas de contestation, c est à l'utilisateur de ce procédé de signature électronique qu'il revient d'apporter la preuve de sa fiabilité ou de lui donner, en amont, force probante en vertu de la signature d une convention sur la preuve. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 8 sur 13

9 8. ETAT DES OFFRES TECHNIQUES 8.1 Comparatif des pratiques "papier" et "signature électronique" Le tableau qui suit présente un comparatif des usages postaux et des nouvelles pratiques en matière de dématérialisation des échanges. Il n'a pas la prétention d être exhaustif ni de donner de valeur absolue dans les niveaux de fiabilité évalués mais il permet de positionner de façon relative les procédés les plus courants. Par ordre croissant de fiabilité pour le critère évalué (de + à +++) Critère évalué Papier Signature électronique Confidentialité (prise de connaissance par un tiers non autorisé) Intégrité Authenticité Horodatage: Datage de l'émission Datage de la réception Non répudiation (assurance du caractère définitif de l acte) + Envoi postal banalisé. ++ Envoi RAR. +++ Remise en main propre. + Papier ordinaire ++ Papier filigrané, non photocopiable. + Marque distinctive imprimée ou pré imprimée. + Signature manuscrite + Cachet de la poste ++ Envoi avec AR +++ Acte réalisé devant un officier public (notaire,...) ++ Chiffrage du document avec certificat du destinataire. +++ Avec signature présumée fiable ou convention de preuve entre émetteur et destinaire ++ Signature électronique +++ Signature électronique présumée fiable ou convention de preuve entre émetteur et destinataire ++ Signature électronique +++ Signature électronique présumée fiable ou convention de preuve entre émetteur et destinataire ++ Utilisation d une signature électronique de la date (système d horodatage) +++ Signature électronique présumée fiable avec système d horodatage garanti par un tiers de confiance 8.2 Evaluations de quelques pratiques actuelles Pour l'ensemble des pratiques illustrées ci-dessous, leur mise en œuvre et leur pertinence sont directement liées : - aux politiques d'entreprise de l'émetteur et du destinataire, - à l'évaluation des risques potentiels et acceptables par les parties, - à la définition contractuelle entre les parties du procédé et de son usage. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 9 sur 13

10 8.2.1 Le courriel ( ) avec pièce jointe Cette pratique permet en principe d'assurer la confidentialité, le message n'étant délivré qu'au destinataire nommé. Il est toutefois recommandé d utiliser une adresse nominative. Comme dans le cas de l'envoi postal, des risques d'interception du message existent. L'intégrité du document joint, copie d'un document original de référence, n'est assurée qu'en utilisant des formats de fichier protégés autorisant uniquement la lecture et l'impression (par exemple un format de type PDF protégé en écriture). A cet égard il convient de ne jamais oublier qu'aucune protection n'est parfaite et que dans l'absolu, en y allouant les ressources nécessaires, toutes les protections peuvent être franchies. L'archivage d une copie (fidèle et durable) du rapport transmis est un des éléments essentiels permettant de garantir l'intégrité du document transmis par voie électronique. Si cette copie est conservé sous format électronique uniquement, il faut pouvoir démontrer les garanties prises en terme de conservation des données dans le temps (intégrité et permanence de l accès). L'authenticité du message est assurée par l'adresse électronique de l'émetteur. Cependant, il est admis que des risques d usurpation d identité existent. Les accusés de réception retournés automatiquement par la messagerie du destinataire présentent un intérêt pratique mais ne présentent pas nécessairement toutes les garanties attendues en matière de fiabilité des informations transmises (date de réception, de lecture, ). La messagerie électronique présente globalement un niveau de sécurité comparable au courrier postal simple. Les atouts de la messagerie électronique en matière d'efficacité et de rapidité sont à rapprocher des dangers associés en matière de multiplication des erreurs et de leur diffusion à grande échelle. L utilisation de ce type d outil nécessite la mise en place d un contrat (ou convention de preuve) entre l émetteur et le destinataire préalablement à toute transmission électronique L extranet Cette pratique consiste à mettre à disposition des documents sur un site Internet à accès restreint. La confidentialité est assurée par une politique adaptée de gestion des profils des utilisateurs. Un des risques potentiels est l'usurpation de l'identité des utilisateurs. L'intégrité des données ou des documents extraits est assurée par l'existence d'originaux qui sont le contenu même de l'extranet. La sauvegarde et l'accessibilité du site (disponibilité de service) doivent être assurés. Comme dans le cas précédent, il est admis que l usurpation de l identité du site constitue un risque potentiel. Le site peut être conçu pour garder trace des accès des utilisateurs. Un extranet développé et administré selon les règles de l'art présente, en principe, un niveau de sécurité supérieur au courrier postal avec des fonctionnalités supplémentaires en terme de traçabilité. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 10 sur 13

11 L utilisation de ce type d outil nécessite la mise en place d un contrat (ou convention de preuve) entre l émetteur et le destinataire préalablement à toute transmission électronique Les supports d enregistrement numérique tels que les CD, DVD, Clé USB S'agissant de medias physiques, le niveau de confidentialité de la transmission est a priori de même nature que pour un document papier : courrier postal, remise en main propre, La confidentialité et l'intégrité du contenu sont assurées de la même façon que par une pièce jointe à un . De même, ici, l'archivage d une copie fidèle et durable (sous forme papier ou électronique) du rapport transmis est un des éléments essentiels permettant de garantir l'intégrité du document transmis sur le support d enregistrement numérique. A condition qu'il soit non réinscriptible, un support d enregistrement numérique permet d'assurer l'authenticité de l émetteur de la même façon que pour un document papier, par exemple en y apposant un logo et en le signant de façon indélébile. L'accusé de réception est assuré de la même façon que pour un document papier. Comme dans le cas de l utilisation d une messagerie électronique, ce type de support nécessite la mise en place d un contrat (ou convention de preuve) entre l émetteur et le destinataire préalablement à tout échange d information La signature électronique La signature électronique présumée fiable permet de répondre sans autre disposition à toutes les exigences, hormis celles relatives à la datation de l'envoi ou de la réception du document (sauf dispositions relatives à l'horodatage). La présomption de fiabilité est garantie par l existence d un certificat qualifié délivré par un tiers de confiance ou prestataire de service de certification électronique (PSCE) qualifié par un organisme de certification accrédité par le Cofrac. La signature électronique "simple" permet de répondre aux mêmes exigences pour autant qu'un contrat (ou convention de preuve) ait été établi entre l émetteur et le destinataire du rapport sur les résultats. En effet, en cas de contestation, le laboratoire devra démontrer la fiabilité du procédé de signature électronique employé. Dans ce cas, le fait de signer, en amont, une convention de preuve avec ses clients constitue juridiquement une force probante pour le laboratoire. Ce contrat doit préciser les outils utilisés pour la transmission par voie électronique, les modes de preuve admissibles entre les parties et les modalités de règlement des conflits en cas de problème. Par ailleurs, si la convention de preuve ne porte pas sur l archivage électronique, une copie fidèle et durable du rapport sur les résultats transmis par voie électronique doit être conservé sous forme papier ou électronique. Dans le cas d une version électronique, il faut pouvoir démontrer les garanties prises en terme de conservation des données dans le temps (intégrité et permanence de l accès). LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 11 sur 13

12 9. RECOMMANDATIONS La richesse, voire la complexité de l'offre en matière d'outils de dématérialisation et de transmission électronique, ainsi que le besoin d'information des laboratoires comme de leurs clients, implique de disposer d'un modèle sur la base duquel le laboratoire conduit sa démarche débouchant sur la définition des pratiques et des outils à mettre en œuvre. La démarche suivante peut être mise en œuvre (cf schéma page suivante) : 1- Identifier les données d'entrée: - besoins des clients, - besoins du laboratoire, - exigences des référentiels, - exigences juridiques. 2- Définir les données de sortie des composantes suivantes : - niveaux de sécurité recherchés ou exigés, - fonctionnalités recherchées, - ergonomie attendue, - performance attendue (coûts, délais), - compatibilité nécessaire des systèmes mis en œuvre. 3- Définir les données de sortie : - pratiques, procédures, outils à mettre en œuvre. Il est essentiel d'assurer la cohérence entre les processus de dématérialisation et de transmission électronique et les processus amont (données brutes, bases de données brutes, traçabilité des traitements, ) et aval (archivage) du système d'information. Le laboratoire doit s'interroger, en liaison avec ses clients et les éventuels tiers concernés (autorités réglementaires, autres utilisateurs des rapports, ) sur la criticité de ses rapports sur les résultats et des risques encourus en cas en cas de falsification, usurpation d'identité, répudiation, etc, afin de pouvoir identifier les pratiques, procédures et outils à mettre en œuvre. Sous couvert de la mise en place de cette démarche, de nombreuses approches, dont quelques unes sont décrites au chapitre 8.2 sont acceptables au regard du référentiel d accréditation. En tout état de cause, pour répondre aux exigences du référentiel d'accréditation, les pratiques et outils mis en œuvre doivent faire l'objet d'une revue. Ils doivent aussi faire l'objet d'une définition contractuelle (convention de preuve) entre les parties s'il ne s'agit pas de signature électronique présumée fiable. Il convient par ailleurs d'être attentif à la transposition dans les pays de l'union de la directive 1999/93/CE. La reconnaissance européenne devrait être acquise mais on peut craindre des différences dans les modalités de transposition de la directive. Sur le plan international, hors de l Europe, la reconnaissance ne peut aujourd hui être envisagée que dans un cadre conventionnel. LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 12 sur 13

13 Besoins laboratoire Besoins client Exigences référentiels Sécurité Performances Fonctionnalités Exigences juridiques Ergonomie Compatibilité Pratiques Procédures Outils LAB GTA 09 rév. 00 Novembre 2005 Page 13 sur 13

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI GUIDE TECHNIQUE D ACCREDITATION DEMATERIALISATION DES DONNEES DANS LES Document LAB GTA 09 Révision 01 Septembre 2008 Section Laboratoires LAB GTA 09 Révision 01 Septembre 2008 Page 1 sur 33 SOMMAIRE 1

Plus en détail

ENJEUX JURIDIQUES DEMATERIALISATION DES CONTRATS A LA SOURCE 21 SEPTEMBRE 2012

ENJEUX JURIDIQUES DEMATERIALISATION DES CONTRATS A LA SOURCE 21 SEPTEMBRE 2012 DEMATERIALISATION DES CONTRATS A LA SOURCE 21 SEPTEMBRE 2012 ENJEUX JURIDIQUES Me Cathie-Rosalie Joly Avocat Associé Cabinet Ulys Docteur en droit et Avocat au barreau de Paris Avocat communautaire au

Plus en détail

LA SIGNATURE ELECTRONIQUE

LA SIGNATURE ELECTRONIQUE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE Date de publication : 14/11/2008 Les échanges par voie électronique ne cessent de croître. Or, leur caractère entièrement dématérialisé fait naître de nouveaux enjeux juridiques.

Plus en détail

MEMENTO Version 0.94 25.08.04

MEMENTO Version 0.94 25.08.04 PREMIER MINISTRE Secrétariat général de la défense nationale Direction centrale de la sécurité des systèmes d information Sous-direction des opérations Bureau conseil Signature électronique Point de situation

Plus en détail

I.1. Chiffrement I.1.1 Chiffrement symétrique I.1.2 Chiffrement asymétrique I.2 La signature numérique I.2.1 Les fonctions de hachage I.2.

I.1. Chiffrement I.1.1 Chiffrement symétrique I.1.2 Chiffrement asymétrique I.2 La signature numérique I.2.1 Les fonctions de hachage I.2. DTIC@Alg 2012 16 et 17 mai 2012, CERIST, Alger, Algérie Aspects techniques et juridiques de la signature électronique et de la certification électronique Mohammed Ouamrane, Idir Rassoul Laboratoire de

Plus en détail

! "! #! $%& '( )* &#* +,

! ! #! $%& '( )* &#* +, !"#$ % & '! "! #! $%& '( )* &#* +, ( )' *!- + Le Système d Information AUJOURD HUI : à tous les Acteurs «DEMAIN La révolution : à tous digitale les inverse «Citoyens les défauts» : ce qui était autrefois

Plus en détail

Premier arrêt de la Cour de Cassation sur la preuve électronique Cour de Cassation, Civ. 2, 4 décembre 2008 (pourvoi n 07-17622)

Premier arrêt de la Cour de Cassation sur la preuve électronique Cour de Cassation, Civ. 2, 4 décembre 2008 (pourvoi n 07-17622) Page 1 Premier arrêt de la Cour de Cassation sur la preuve électronique Cour de Cassation, Civ. 2, 4 décembre 2008 (pourvoi n 07-17622) Le 15 février 2009 - Résumé - L arrêt rendu par la deuxième chambre

Plus en détail

Manuel d utilisation

Manuel d utilisation Manuel d utilisation Le service d envoi de lettre recommandée 100% numérique. Une innovation de SFR Business Team www.evelopbysfr.fr Sommaire 1. Accéder au site e-velop by SFR... 4 1.1. Se connecter au

Plus en détail

Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises. Cadre juridique

Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises. Cadre juridique Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises Cadre juridique Présenté par Béatrice Delmas-Linel et Céline Mutz Cabinet De Gaulle Fleurance & Associés 29 juin 2012 1 Introduction La dématérialisation

Plus en détail

Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS)

Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS) PREMIER MINISTRE ADAE PREMIER MINISTRE SGDN - DCSSI =========== Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS) Service de confiance "Authentification" =========== VERSION 2.0 1.2.250.1.137.2.2.1.2.1.5

Plus en détail

EDC FAST CONTRAT LA DÉMATÉRIALISATION DES CONTRATS: ASSURANCE, BAIL, INTERIM,

EDC FAST CONTRAT LA DÉMATÉRIALISATION DES CONTRATS: ASSURANCE, BAIL, INTERIM, EDC FAST CONTRAT LA DÉMATÉRIALISATION DES CONTRATS: ASSURANCE, BAIL, INTERIM, Réf. Commercial/documentations FR/EDC/D-Présentations PPT EDC/EDC_fast_contrat_14-11-15 PP Schéma sans ou avec EDC FAST Sans

Plus en détail

Signature électronique 3.0 Le futur est déjà présent Petit-déjeuner débat du 29 janvier 2014

Signature électronique 3.0 Le futur est déjà présent Petit-déjeuner débat du 29 janvier 2014 Signature électronique 3.0 Le futur est déjà présent Petit-déjeuner débat du 29 janvier 2014 1 Introduction Contexte Le déploiement Enjeux Les nouvelles formes de signature Défi La conformité 2 PLAN 1.

Plus en détail

Signature électronique. Romain Kolb 31/10/2008

Signature électronique. Romain Kolb 31/10/2008 Romain Kolb 31/10/2008 Signature électronique Sommaire I. Introduction... 3 1. Motivations... 3 2. Définition... 3 3. La signature électronique en bref... 3 II. Fonctionnement... 4 1. Notions requises...

Plus en détail

Fiche de l'awt Signature électronique

Fiche de l'awt Signature électronique Fiche de l'awt Signature électronique La reconnaissance juridique de la signature électronique constitue la pierre angulaire pour assurer la sécurité et la fiabilité des échanges en ligne. Présentation

Plus en détail

Conformité aux exigences de la réglementation "21 CFR Part 11" de la FDA

Conformité aux exigences de la réglementation 21 CFR Part 11 de la FDA Conformité aux exigences de la réglementation "21 CFR Part 11" de la FDA Définition de la réglementation 21 CFR partie 11 Au cours de la dernière décennie, l'industrie pharmaceutique a très rapidement

Plus en détail

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE ARTICLE 29 Groupe de travail sur la protection des données TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE 11601/FR WP 90 Avis 5/2004 portant sur les communications de prospection directe non sollicitées selon l'article

Plus en détail

Texte de l'arrêté "Site e-business"

Texte de l'arrêté Site e-business Texte de l'arrêté "Site e-business" Arrêté relatif à l'octroi d'une prime aux entreprises qui créent un site e-business tel que modifié par l'arrêté du 15 juin 2006 (MB 12.07.2006) Le Gouvernement wallon,

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 21

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 21 24 Arrêté du 13 Moharram 1435 correspondant au 17 novembre 2013 fixant le contenu du portail électronique des marchés publics, les modalités de sa gestion ainsi que les modalités d'échange des informations

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI REGLEMENT INTERIEUR Document GEN REF 02 Révision 04- juin 2012 SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET... 3 ARTICLE 2 MEMBRES DE L ASSOCIATION... 3 ARTICLE 3 - ASSEMBLEE GENERALE... 3 ARTICLE 4 - ADMINISTRATEURS...

Plus en détail

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site

Plus en détail

Dossier de presse L'archivage électronique

Dossier de presse L'archivage électronique Dossier de presse L'archivage électronique Préambule Le développement massif des nouvelles technologies de l information et de la communication (TIC) a introduit une dimension nouvelle dans la gestion

Plus en détail

Glossaire. Arborescence : structure hiérarchisée et logique qui permet d organiser les données dans un système informatique.

Glossaire. Arborescence : structure hiérarchisée et logique qui permet d organiser les données dans un système informatique. Cadre législatif et règlementaire Code du patrimoine Code général des collectivités territoriales. Décret n 79-1037 du 3 décembre 1979 modifié relatif à la compétence des services d publics et à la coopération

Plus en détail

Conférence CRESTEL. Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015

Conférence CRESTEL. Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015 Conférence CRESTEL Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015 1 Bonnes pratiques de certification, de conformité En matière de SSI, la «perfection», un «système sans faille», est toujours l objectif

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU OU METTANT EN COMMUN DES MOYENS GEN PROC 10 Révision 03 CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU

Plus en détail

LES ENJEUX JURIDIQUES ET TECHNIQUES DE LA DÉMATÉRIALISATION DES MARCHÉS PUBLICS

LES ENJEUX JURIDIQUES ET TECHNIQUES DE LA DÉMATÉRIALISATION DES MARCHÉS PUBLICS LES ENJEUX JURIDIQUES ET TECHNIQUES DE LA DÉMATÉRIALISATION DES MARCHÉS PUBLICS MARCHÉS PUBLICS INTRODUCTION La dématérialisation des procédures de marchés publics est une technique permettant une gestion

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

Les enjeux de la dématérialisation en assurance

Les enjeux de la dématérialisation en assurance Colloque de l'ajar 4 décembre 2012 Les enjeux de la dématérialisation en assurance Philippe POIGET, Directeur des affaires juridiques, fiscales et de la concurrence Fédération Française des Sociétés d'assurances

Plus en détail

Paris, le 14 janvier 2005. La directrice des Archives de France. Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales

Paris, le 14 janvier 2005. La directrice des Archives de France. Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales Paris, le 14 janvier 2005 La directrice des Archives de France à Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales Mesdames et Messieurs les directeurs d archives départementales

Plus en détail

Activité : Élaboration, mise en forme et renseignement de documents

Activité : Élaboration, mise en forme et renseignement de documents ACTIVITÉS ADMINISTRATIVES À CARACTÈRE TECHNIQUE Activité : Élaboration, mise en forme et renseignement de documents Tâche : Rédaction de messages et de courriers professionnels simples liés à l activité

Plus en détail

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions. ERP reflex-erp.com

Plus en détail

PMI PLACE DE MARCHE INTERMINISTERIELLE GUIDE D'UTILISATION UTILISATEUR OPERATEUR ECONOMIQUE

PMI PLACE DE MARCHE INTERMINISTERIELLE GUIDE D'UTILISATION UTILISATEUR OPERATEUR ECONOMIQUE PMI PLACE DE MARCHE INTERMINISTERIELLE GUIDE D'UTILISATION UTILISATEUR OPERATEUR ECONOMIQUE ETAT tous droits réservés Page 1 sur 30 Table des matières 1 PRESENTATION DU GUIDE D'UTILISATION...4 1.1 Introduction...4

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION

Plus en détail

Dématérialisation et document numérique (source APROGED)

Dématérialisation et document numérique (source APROGED) Dématérialisation et document numérique (source APROGED) La dématérialisation se répand très rapidement dans tous les domaines d'activités. Depuis l'origine, le concept de dématérialisation repose sur

Plus en détail

Marché public de services REGLEMENT DE CONSULTATION

Marché public de services REGLEMENT DE CONSULTATION Marché public de services REGLEMENT DE CONSULTATION NETTOYAGE DES CHAUSSEES, CANIVEAUX, TROTTOIRS, AIRES DE STATIONNEMENT, ESPACES PUBLICS DE LA VILLE DE WISSOUS ANNEE 2015-2016 Marché 2015/27 Date limite

Plus en détail

Plateforme mutualisée de signature électronique

Plateforme mutualisée de signature électronique Plateforme mutualisée de signature électronique Emmanuelle Prévost Chef de projet maîtrise d ouvrage en systèmes d information, Responsable du domaine décisionnel et du domaine de la dématérialisation

Plus en détail

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

MODELE DE CONVENTION ERDF / <Fournisseur> relative à la dématérialisation fiscale des factures d acheminement

MODELE DE CONVENTION ERDF / <Fournisseur> relative à la dématérialisation fiscale des factures d acheminement Direction Technique MODELE DE CONVENTION ERDF / relative à la dématérialisation fiscale des factures d acheminement Identification : ERDF-FOR-CF_42E Version : 1 Nombre de pages : 10 Version

Plus en détail

Qu'est-ce que la normalisation?

Qu'est-ce que la normalisation? NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,

Plus en détail

Votre référentiel documentaire. STS.net Solution de gestion et de conservation des actifs documentaires de l entreprise

Votre référentiel documentaire. STS.net Solution de gestion et de conservation des actifs documentaires de l entreprise Votre référentiel documentaire STS.net Solution de gestion et de conservation des actifs documentaires de l entreprise STS group le groupe STS Créé en 1984 Autonomie et stabilité financière Partenaire

Plus en détail

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE POUVOIR ADJUDICATEUR NOM, ADRESSES ET POINT(S) DE CONTACT : Acsé, agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l'egalité des Chances, Contact : scpc, à l'attention

Plus en détail

DEMANDE DES PIÈCES DÉTACHÉES MASERATI CLASSIC

DEMANDE DES PIÈCES DÉTACHÉES MASERATI CLASSIC DEMANDE DES PIÈCES DÉTACHÉES MASERATI CLASSIC PRÈNOM: NOM: SOCIETÉ: ADRESSE: VILLE: TÉLÉPHONE: E-MAIL: MODÈLE DE LA VOITURE: NOMBRE DU CHÂSSIS: RAISON DE LA DEMANDE: GENRE DE LA DEMANDE: PROPRIÉTAIRE DE

Plus en détail

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme "

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme Organisme certificateur 11, avenue Francis Le Pressensé F 93571 SAINT-DENIS LA PLAINE CEDEX MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme " N d identification AFAQ AFNOR

Plus en détail

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités.

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Charte informatique Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Préambule L'entreprise < NOM > met en œuvre un système d'information et

Plus en détail

Les principes de la sécurité

Les principes de la sécurité Les principes de la sécurité Critères fondamentaux Master 2 Professionnel Informatique 1 Introduction La sécurité informatique est un domaine vaste qui peut appréhender dans plusieurs domaines Les systèmes

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL GÉNÉRAL DE SÉCURITÉ

RÉFÉRENTIEL GÉNÉRAL DE SÉCURITÉ Premier ministre Agence nationale de la sécurité des systèmes d information (ANSSI) Secrétariat général pour la modernisation de l action publique (SGMAP) RÉFÉRENTIEL GÉNÉRAL DE SÉCURITÉ version 2.0 2

Plus en détail

CONTRAT D ABONNEMENT AU SERVICE DE SIGNATURE ÉLECTRONIQUE CERTIMETIERSARTISANAT CONDITIONS PARTICULIÈRES (Version 3.1)

CONTRAT D ABONNEMENT AU SERVICE DE SIGNATURE ÉLECTRONIQUE CERTIMETIERSARTISANAT CONDITIONS PARTICULIÈRES (Version 3.1) CONTRAT D ABONNEMENT AU SERVICE DE SIGNATURE ÉLECTRONIQUE CERTIMETIERSARTISANAT CONDITIONS PARTICULIÈRES (Version 3.1) Cadre réservé à l AE Prénom et nom de l AE :... 1. IDENTIFICATION DE L ABONNE Nom

Plus en détail

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies

Plus en détail

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ)

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Certificats d économies d énergie Fiche explicative n FE 50 FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Fiches d opérations standardisées concernées : N BAT-SE-02 et IND-SE-01. Ce document

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale» CSSS/10/101 AVIS N 10/21 DU 7 SEPTEMBRE 2010 CONCERNANT LA DEMANDE DU MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES RELATIVE AU PROTOCOLE,

Plus en détail

La législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations.

La législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations. La législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations. Portes automatiques de garage Les normes relatives à la sécurité des portes

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

PROTOCOLE D'ENTENTE ENTRE

PROTOCOLE D'ENTENTE ENTRE Document 3002 F Rev 3 May 2012 Page 1 de 9 Cet accord, ET ATTENDU QUE : PROTOCOLE D'ENTENTE ENTRE LabTest Certification Inc. ET Nom de l'entreprise ENTRE : LabTest Certification Inc., une entreprise constituée

Plus en détail

2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS GUIDE PRATIQUE

2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS GUIDE PRATIQUE 2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS DEMATERIALISATION DES MARCHES PUBLICS GUIDE PRATIQUE SOMMAIRE 1. PRÉSENTATION DE LA DÉMATÉRIALISATION EN MATIÈRE DE MARCHÉ PUBLIC 6 1.1. QU EST CE QUE LA DÉMATÉRIALISATION?

Plus en détail

Marquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD

Marquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD Marquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD (Version 11 juillet 2008) 1- Quels enrobés doivent être marqués? Tous les enrobés bitumineux

Plus en détail

Réalisation de vérifications périodiques obligatoires de bâtiments. Règlement de consultation

Réalisation de vérifications périodiques obligatoires de bâtiments. Règlement de consultation Réalisation de vérifications périodiques obligatoires de bâtiments Règlement de consultation Marché n 2014000401 Pouvoir adjudicateur: Tél. : 02.41.57.36.08 Fax : 02.41.57.59.09 Mél : comcom.valleeloireauthion@ccvla.fr

Plus en détail

Solution de facturation électronique Signée

Solution de facturation électronique Signée Solution de facturation électronique Signée (Article 289V du Code Général des Impôt) Fiche d information Sommaire La facture... 2 En quoi consiste la dématérialisation fiscale de la facture?... 3 Qu est-ce

Plus en détail

Evaluation de la conformité du Système de validation Vaisala Veriteq vlog à la norme 21 CFR Part 11

Evaluation de la conformité du Système de validation Vaisala Veriteq vlog à la norme 21 CFR Part 11 / Livre blanc Evaluation de la conformité du Système de validation Vaisala Veriteq vlog à la norme 21 CFR Part 11 La norme 21 CFR Part 11 traduit l opinion de la FDA selon laquelle les risques de falsification,

Plus en détail

Fiche de l'awt La sécurité informatique

Fiche de l'awt La sécurité informatique Fiche de l'awt La sécurité informatique La sécurité informatique est essentielle pour l'entreprise, particulièrement dans le contexte de l'ebusiness: définition, dangers, coûts, outils disponibles Créée

Plus en détail

Modalités de transmission du pli par voie électronique

Modalités de transmission du pli par voie électronique Modalités de transmission du pli par voie électronique Ce document est visé dans les règlements des consultations lancées par le CHU de Poitiers Il est précisé que le retrait des documents électroniques

Plus en détail

PROGICIEL DE GESTION COMPTABLE ET FINANCIERE, DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES, DE GESTION ELECTORALE

PROGICIEL DE GESTION COMPTABLE ET FINANCIERE, DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES, DE GESTION ELECTORALE VILLE DE FROUARD PROGICIEL DE GESTION COMPTABLE ET FINANCIERE, DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES, DE GESTION ELECTORALE (Fourniture, Installation, formation et maintenance) R.C (Règlement de la Consultation)

Plus en détail

Règlement de la consultation

Règlement de la consultation PREFECTURE DE VAUCLUSE DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE DE VAUCLUSE SERVICE LOGEMENT SOCIAL 84905 AVIGNON CEDEX 9 PROCEDURE ADAPTEE en application de l article 28 du code des marchés publics

Plus en détail

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Recueil de gestion POLITIQUE Code : 1511-00-12 Nombre de pages : 6 Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Amendée par le Comité exécutif le 4 octobre 2006

Plus en détail

ACTES PRIS EN APPLICATION DU TITRE VI DU TRAITÉ UE

ACTES PRIS EN APPLICATION DU TITRE VI DU TRAITÉ UE 7.4.2009 Journal officiel de l Union européenne L 93/23 ACTES PRIS EN APPLICATION DU TITRE VI DU TRAITÉ UE DÉCISION-CADRE 2009/315/JAI DU CONSEIL du 26 février 2009 concernant l'organisation et le contenu

Plus en détail

Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE)

Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE) Janvier 2010 Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE) Document de nature explicative (Version actualisée avec mise à jour des dispositions législatives et réglementaires

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

Gestion Electronique des Documents et la qualité documentaire au cœur du développement durable.

Gestion Electronique des Documents et la qualité documentaire au cœur du développement durable. Gestion Electronique des Documents et la qualité documentaire au cœur du développement durable. Introduction La Gestion Electronique des Documents est la mémoire de l entreprise. La mémoire existante qui

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales

Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales Union régionale des caisses d assurance maladie Provence Alpes Côte d Azur Agence régionale de l hospitalisation Provence Alpes Côte d Azur Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations

Plus en détail

CIMAIL SOLUTION: EASYFOLDER SAE

CIMAIL SOLUTION: EASYFOLDER SAE 01100011 01101001 01101101 01100001 01101001 01 CIMAIL SOLUTION: EASYFOLDER SAE IRISLINK le 15 Février 2012 01100011 01101001 01101101 01100001 01101001 01101100 Un monde d informations en toute confiance

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHÉ DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Constitution des dossiers d accessibilité Ad AP des ERP et IOP du territoire de la communauté de communes des Portes de l Ile de

Plus en détail

LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES

LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES Dématérialisation des factures au service du cash management LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES Conférence

Plus en détail

CODE PROFESSIONNEL. déontologie

CODE PROFESSIONNEL. déontologie déontologie Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis de la protection des données à caractère personnel 1 Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis

Plus en détail

2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS

2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS 2010 GUIDES ET RECOMMANDATIONS DEMATERIALISATION DES MARCHES PUBLICS GUIDE PRATIQUE (version 1.1 octobre 2010) AVERTISSEMENT Ce guide sur la dématérialisation des marchés publics n a pas de portée réglementaire.

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) COMMUNE DE TRAMOLE Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Personne Responsable du Marché représentant le pouvoir

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP

REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP Date d application 1 er Mars 2012 Angle Avenue Kamal Zebdi et rue Dadi Secteur 21, Hay Riad-Rabat Tél.: (+212) 537 57 24 49/53 Fax: (+212) 537 71 17 73 URL : www.imanor.ma

Plus en détail

Enseignement Informatique. Classe de Bac Pro SAPAT -----------------------------------------------------------------------

Enseignement Informatique. Classe de Bac Pro SAPAT ----------------------------------------------------------------------- Enseignement Informatique Classe de Bac Pro SAPAT ----------------------------------------------------------------------- MP4: Communication en situation professionnelle. -----------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Strasbourg, 11.V.2000 Préambule Les Etats membres du Conseil de l'europe et les autres Etats Parties

Plus en détail

L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR

L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR INTRODUCTION A la suite de grands scandales financiers qui ont ébranlés le monde des affaires, les instances législatives et réglementaires des Etats Unis ont remis

Plus en détail

La dissolution et la liquidation en un seul acte

La dissolution et la liquidation en un seul acte La dissolution et la liquidation en un seul acte La loi du 25 avril 2014 portant des dispositions diverses en matière de Justice a apporté de nouvelles modifications à l'article 184, 5 du Code des sociétés

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES MARCHE DE SERVICE. LOT UNIQUE : Dématérialisation et reprographie des dossiers de consultation de Maine-et-Loire Habitat

CAHIER DES CHARGES MARCHE DE SERVICE. LOT UNIQUE : Dématérialisation et reprographie des dossiers de consultation de Maine-et-Loire Habitat Office Public de l'habitat 11 rue du Clon - B.P. 70146 49001 - ANGERS Cedex 01 Tél. : 02.41.81.68.00 CAHIER DES CHARGES LOT UNIQUE : Dématérialisation et reprographie des dossiers de consultation de Maine-et-Loire

Plus en détail

Règlement de la Consultation

Règlement de la Consultation CENTRE HOSPITALIER de SAINT- JUNIEN 12 Rue Chateaubriand - BP 110 87 205 SAINT-JUNIEN Cedex : 05.55.43.50.80 : 05.55.43.53.97 MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES APPEL D OFFRES OUVERT

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES ---------------

MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES --------------- MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES RENOUVELLEMENT DU STANDARD TELEPHONIQUE DU PRES UNIVERSITE DE TOULOUSE --------------- REGLEMENT DE LA CONSULTATION Procédure de consultation : Marché

Plus en détail

REGLEMENT DE CONSULTATION

REGLEMENT DE CONSULTATION REGLEMENT DE CONSULTATION visant à l attribution d un marché de fournitures informatiques et de pièces détachées dans le cadre du fonctionnement du système d information du Palais omnisports de Paris-Bercy

Plus en détail

REGLEMENT DE CONSULTATION. MAPA 2012-06 SEPDE - DéGéOM

REGLEMENT DE CONSULTATION. MAPA 2012-06 SEPDE - DéGéOM Représenté par le Délégué général à l Outre-mer en exercice REGLEMENT DE CONSULTATION MAPA 2012-06 SEPDE - DéGéOM Etude des niveaux et des évolutions des loyers du secteur privé dans les cinq départements

Plus en détail

Rapport d'audit étape 2

Rapport d'audit étape 2 Rapport d'audit étape 2 Numéro d'affaire: Nom de l'organisme : CMA 76 Type d'audit : audit de renouvellement Remarques sur l'audit Normes de référence : Autres documents ISO 9001 : 2008 Documents du système

Plus en détail

en rappelant toutefois que l archivage d un type de document donné (fiches de paie, contrats, etc.) nécessitera une étude juridique spécifique.

en rappelant toutefois que l archivage d un type de document donné (fiches de paie, contrats, etc.) nécessitera une étude juridique spécifique. INTRODUCTION Les principes juridiques de la dématérialisation des documents ont été posés par de nombreux textes au niveau international, communautaire et national. Confronter l environnement juridique

Plus en détail

Convention Beobank Online et Beobank Mobile

Convention Beobank Online et Beobank Mobile Convention Beobank Online et Beobank Mobile Lisez attentivement cette Convention ("la Convention"). Lisez en tout cas la Section 1 - Conditions générales Beobank Online et Beobank Mobile. Ces conditions

Plus en détail

Les crédits à la consommation

Les crédits à la consommation Les crédits à la consommation Billet du blog publié le 16/03/2015, vu 244 fois, Auteur : Fabrice R. LUCIANI Code de la consommation (Valable à partir du 18 mars 2016) Avis du 24 juin 2014 relatif à l'application

Plus en détail

Tout savoir sur : La dématérialisation de documents à valeur légale

Tout savoir sur : La dématérialisation de documents à valeur légale LIVRE BLANC Tout savoir sur : La dématérialisation de documents à valeur légale Auteur : Thierry PINET Directeur Général TRADER S S.A : 21 Rue Rollin - 75005 Paris France Tél : +33 (0)1 53 10 27 50 - Fax

Plus en détail

Le rôle du cachet postal

Le rôle du cachet postal Juillet 2012 Le rôle du cachet postal Consultation publique du 23 juillet au 17 septembre 2012 ISSN : 2258-3106 «Avertissement sur la mise en consultation» L Autorité de régulation des communications électroniques

Plus en détail

Encadrement juridique de l e-assurance en France et en Europe

Encadrement juridique de l e-assurance en France et en Europe Les rencontres de l argus de l assurance, 23 octobre 2008 Encadrement juridique de l e-assurance en France et en Europe Cathie-Rosalie Joly Avocat au barreau de Paris Docteur en droit Cabinet ULYS 251

Plus en détail

GUIDE sur le bon usage

GUIDE sur le bon usage GUIDE sur le bon usage de l accréditation dans la réglementation GUIDE SUR LE BON USAGE DE L ACCREDITATION DANS LA REGLEMENTATION Ce guide est destiné aux personnes en charge de : la rédaction des textes

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46 CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Initiative du Royaume du Danemark en vue de l'adoption d'un acte

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

BELAC 2-201 Rev 5-2006. Note valable uniquement pour la version en français:

BELAC 2-201 Rev 5-2006. Note valable uniquement pour la version en français: BELAC 2-201 Rev 5-2006 CRITERES GENERAUX ET LIGNES DIRECTRICES POUR LA MISE EN OEUVRE DE LA NORME NBN EN ISO/IEC 17020 PAR LES ORGANISMES D'INSPECTION CANDIDATS A UNE ACCREDITATION. Note valable uniquement

Plus en détail