L ASSOCIATION FRANCE ALZHEIMER ET MALADIES APPARENTEES - UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS ALZHEIMER

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1 L ASSOCIATION FRANCE ALZHEIMER ET MALADIES APPARENTEES - UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS ALZHEIMER Dossier Presse Juin 2006

2 Sommaire 1. Les relations avec les associations locales. p.3 2.Les dons...p.4 3. Les missions sociales..p.5 4. Les bourses de recherche.p.6 5. Le site Internet et l extension du siège parisien..p.7 6. L établissement du compte d emploi.. p.9 2

3 1. Les relations avec les associations locales France Alzheimer s est transformée en 2000 en «Association France Alzheimer et maladies apparentées Union nationale des associations Alzheimer», conséquence de la modification de sa représentation au plan local. Depuis 1991, l association était en effet représentée en région par des «comités locaux» n ayant pas la personnalité morale. Après maintes requêtes, ces derniers ont obtenu leur transformation en associations. Ce sont désormais elles qui assument une partie des missions, telle l aide aux malades et à leurs familles. D après ses statuts, France Alzheimer doit en particulier assurer la coordination en réseau des associations adhérentes. Or la Cour a constaté, pour la période qu elle a contrôlée, que le mouvement manquait d unité au regard tant des statuts, dont les dispositions sont de nature et de composition très diverses, qu en ce qui concerne les règles comptables, les associations locales n étant pas soumises à un modèle unique de comptes. En outre, les associations n établissent pas toujours de distinction nette quant à la provenance de leurs différentes ressources et il existe une divergence notable entre les informations provenant des associations d une part, de l Union d autre part, en ce qui concerne le montant des subventions que celle-ci verse à celles-là. Il est de ce fait impossible de réaliser une combinaison des comptes nécessaire à une présentation globale des ressources et dépenses de l ensemble du mouvement. D après les informations recueillies par la Cour, le budget global des associations locales serait du même ordre de grandeur que celui de l Union. Les statuts prévoient également que France Alzheimer assure aux associations adhérentes une aide pour leur fonctionnement et leur développement. Or l Union n a apporté aux associations qu un soutien financier limité pour leurs actions et leurs frais de structure. Les dotations qui leur étaient allouées dans son budget n ont été utilisées qu à moitié. En particulier, l effort en faveur de la création d accueils de jours est faible (15 accueils de jour supplémentaires subventionnés sur la période, soit en moyenne quatre par an). 3

4 2. Les dons Après retraitement des chiffres de France Alzheimer, les dons collectés auprès du public représentent 74% des ressources de France Alzheimer en 2003, en croissance de 58% sur la période. Le nombre de donateurs actifs a bondi de 63 % entre 2000 et 2003 : de en 2000 à en Pour arriver à ce résultat, France Alzheimer a quasiment doublé le nombre de publipostages : de en 2000 à en En plus de huit à neuf campagnes de fidélisation, France Alzheimer a mené chaque année trois campagnes de prospection, par échange de fichiers (pas moins de 36 échanges de fichiers en quatre ans). Cet effort s est accompagné d une dégradation du taux de retour (le taux de retour des prospections est l ordre de 2 %, en baisse régulière sur la période). L absence de ciblage des «prospects» explique la faible efficacité de cette politique, France Alzheimer utilisant parfois des fichiers d associations n ayant aucun lien thématique avec son propre objet.. L IGAS avait relevé, dans son rapport consacré aux années , publié en 2002, que le coût de la collecte absorbait une part très importante des dons reçus. Quatre ans après, France Alzheimer n a pas redressé la situation : les frais de collecte ont progressé de 78 % entre 2000 et 2003 et représentent 32% de la collecte en Ainsi, pour 100 versés par un donateur, seuls 68 restent à l organisme, qui prélève encore des frais de fonctionnement, avant d affecter le solde aux missions sociales. 4

5 3. Les missions sociales En 1999, dernier exercice contrôlé par l IGAS, la part des ressources de l association utilisée pour les missions sociales ne représentait pas la moitié de l ensemble des emplois. En d autres termes, plus de la moitié des ressources de l association était utilisée pour la collecte et le fonctionnement ou s ajoutait aux ressources non utilisées. La Cour a constaté une amélioration, faible mais régulière, entre 2000 et Néanmoins, le taux de 53,8 % observé en 2003 tient en partie au fait que l association a réaffecté aux missions sociales des dépenses auparavant classées dans les frais de fonctionnement (cf. note relative à l établissement du compte d emploi). En outre, le ratio s est dégradé à nouveau en 2004 (45,8 %) en raison d un excédent de ressources sur les emplois s élevant à plus de (soit 15% des ressources). La répartition des dépenses de France Alzheimer pendant la période contrôlée par la Cour Missions sociales 45 % 48 % 51 % 54 % 50 % Frais de collecte 17 % 18 % 22 % 26 % 21 % Frais de fonctionnement 25 % 27 % 21 % 20 % 23 % Ressources non utilisées 13 % 7 % 6 % - 6 % Sources : comptes d emploi des ressources et calculs de la Cour A l intérieur des missions sociales, les aides aux familles représentent le poste le plus important : en moyenne annuelle sur la période, soit le quart des emplois de France Alzheimer. Ces dépenses ont crû sur la période, à un rythme légèrement supérieur (+27% en trois ans) à celui de l ensemble des dépenses (+20%). Les aides à la recherche ont crû de 20% : de en 2000 à en 2003 (et en 2004). La part qu elles représentent est toutefois restée stable sur la période (environ 11,5% des dépenses). En revanche, France Alzheimer a réalisé un gros effort pour la communication, dont les dépenses ont plus que triplé. En outre, l association a réalisé chaque année (sauf en 2003) des excédents : elle ne dépense donc pas, loin de là, l intégralité de ce qu elle collecte. Ceci l a conduit à accumuler, au fil des ans, des réserves qui ont plus que doublé entre 1999 et 2003 et représentaient fin 2003 presque une année d activité. A partir de 2002, l association a eu pour politique de réduire ses réserves - ou du moins d éviter de les accroître. Elle n y est parvenue qu en 2003 et encore pour un montant minime ( )-. 5

6 4. Les bourses de recherche L aide à la recherche médicale figure au nombre des missions statutaires de l association, avant comme après la réforme de Fréquemment mise en avant dans la communication en direction des donateurs potentiels, les aides à la recherche occupent cependant une place modeste dans le compte d emploi des ressources de l association : 11, 5% des emplois en moyenne ( ). Compte tenu de ses moyens financiers limités, l association a adopté dès 1987 comme politique de n attribuer que des bourses de recherche. L objectif était d orienter des chercheurs, notamment jeunes, vers ce domaine vers lequel se dirigeait jusqu alors un très petit nombre de chercheurs. La pertinence de ce choix, effectué il y a maintenant près de vingt ans, n a, à aucun moment, été réévaluée depuis. France Alzheimer attribue chaque année une vingtaine de bourses à de jeunes chercheurs ( par chercheur et par an), et deux pour des chercheurs confirmés (entre 25 à ). Les modalités d attribution des bourses n apparaissent pas satisfaisantes. La Cour a en effet constaté un manque de transparence dans le fonctionnement du comité scientifique chargé de les attribuer (les dates de nomination et les durées des mandats ne figurent pas toujours dans les documents disponibles au siège). L association ne définit pas les axes de recherche à privilégier et la sélection qu elle opère entre les candidats boursiers n est pas très sévère (près de la moitié des demandes de bourses reçoivent un réponse positive). Enfin, elle n entreprend pas de suivi des travaux financés. Consciente de ces insuffisances, l association a récemment modifié la composition de son comité scientifique et a amorcé un travail de réflexion approfondi sur l accroissement des montants et l évolution de ses modes d intervention en faveur de la recherche. 6

7 5. Le site Internet et l extension du siège parisien La réalisation du site Internet et l extension du siège au cours de 2001 ont fait l objet au sein de l organisme de contestations qui ont conduit en février 2003 une ancienne présidente à informer le parquet près le Tribunal de grande instance de Paris. Un article de presse («Le Parisien» du 3 mars 2003) a mis alors en cause «les mécomptes de France Alzheimer». Après une enquête préliminaire de la brigade financière, la procédure a été classée sans suite en novembre 2003 au motif que les faits n apparaissaient pas susceptibles d être pénalement qualifiés. Au-delà de cet épisode judiciaire, les conditions de réalisation du site et d extension du siège illustrent un défaut de gouvernance de l association. - le site internet Le 2 août 2001, la présidente de l époque, nouvellement élue, informait le conseil d administration que, dans le but de réaliser rapidement un site Internet afin qu il soit opérationnel pour la journée mondiale Alzheimer du 21 septembre suivant, elle avait pris contact «avec une société». Le devis s élevait à HT ; deux autres devis, respectivement de HT et HT, étaient également «mis à disposition» du conseil d administration, mais n étaient pas examinés. Le choix se portait sur l entreprise moins disante dont la présidente omettait de préciser que l un des deux gérants n était autre que son fils. La réalisation du site Internet a représenté 40% du chiffre d affaires de cette société. Le site a effectivement été opérationnel pour la journée mondiale et la Cour a constaté que le paiement avait été conforme au devis initial. Une expertise réalisée en décembre 2001 par un expert en informatique a toutefois chiffré le travail réalisé entre 32 et 55 % du prix facturé. L urgence alléguée de la réalisation du site Internet ne pouvait justifier l absence de transparence et de réel appel d offre qui a présidé à la réalisation du site. - l extension du siège L association est propriétaire de son siège parisien, 21 boulevard Montmartre (2 ème arrdt) d une superficie de 388 m² constituée de deux appartements réunis sur le même palier : le premier acquis en mai 1995 (204 m²), le second en novembre 2001 (184 m²). La Cour s est penchée sur les conditions d acquisition du second appartement. Les locaux ne révèlent aucun élément de confort ostentatoire et ont vu leur valeur bénéficier de la hausse générale des prix de l immobilier. Mais les opérations tant d acquisition que de réalisation des travaux ont été marquées par une absence de respect des procédures fixées pour les prises de décision : saisine des Domaines la veille de la signature de la promesse de vente et prix d acquisition supérieur à leur estimation (écart de 30%), information incomplète du conseil d administration et du bureau, dépassement des plafonds de coût de travaux fixés par le conseil d administration (écart de 50% par rapport au budget initial et encore de 20% par rapport au budget révisé). 7

8 6. L établissement du compte d emploi Selon l IGAS (rapport d avril 2002), l association ne faisait pas de ses ressources et de ses emplois une présentation «totalement conforme à l arrêté du 30 juillet 1993». La Cour a constaté que l association l a depuis lors améliorée. Elle a en effet élaboré une comptabilité analytique qui a connu une bonne stabilité dans le temps et qui permet de relier aisément les dépenses au compte d emploi des ressources. Celui-ci reflète de façon assez fidèle la composition des ressources et la répartition des dépenses entre missions sociales, frais de collecte et frais de fonctionnement. La Cour est toutefois conduite à faire deux types d observations. A- Pour les ressources, l association n inscrit en «fonds reçus des années précédentes» que les ressources affectées à la recherche et non utilisées qui sont reportées sur l exercice suivant. Elle omet d inclure sous cette rubrique la totalité des fonds collectés non utilisés des années précédentes, en contradiction avec l arrêté du 30 juillet B- Pour les emplois, l association intitule «emplois programmés pour exercice à venir» un montant qui totalise à la fois les ressources affectées à la recherche par les donateurs et non encore utilisées et l excédent du compte de résultat (c'est-à-dire des ressources qui, non seulement ne sont pas affectées, mais dont de surcroît l emploi n est pas véritablement programmé). En outre, la répartition des charges de personnel au sein du compte d emploi des ressources a subi des modifications à partir de 2002 : effectuée jusqu en 2001 en fonction de l activité principale des personnes concernées, elle est faite depuis 2002 en fonction de la répartition des temps d activité déclarés par chaque salarié. L impact de cette modification des choix analytiques n est pas négligeable, puisque les charges de personnel constituent le cinquième du total des charges environ : le déplacement, entre 2000 et 2003, de plus de 20 % du total de ces charges, des frais de fonctionnement aux missions sociales, correspond à un transfert de l ordre de 4 % des emplois des frais de fonctionnement vers les missions sociales. D une manière générale, la méthode d imputation des frais aboutit à ce que les frais de fonctionnement deviennent des frais «résiduels» : n y figurent que les dépenses qui ne peuvent pas figurer dans une autre rubrique du compte d emploi : des frais de comptabilité, quelques affranchissements, l organisation de l assemblée générale et des réunions du conseil d'administration. L association considère en effet qu elle n a que très peu d activités «pour un objectif non susceptible d être raccroché à une mission». La Cour déplore que l information du public sur les changements introduits par l association dans sa comptabilité analytique soit incomplète. Si le compte d emploi 2002 précise que des modifications ont été apportées pour tenir compte des remarques de l IGAS, les modifications introduites en 2003, pourtant plus importantes, n ont fait l objet d aucune description. 8

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