Motivation des médecins en CHU pour l enseignement

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1 DIU de pédagogie médicale Motivation des médecins en CHU pour l enseignement Faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Paris) Faculté de médecine d Angers Alexandre Demoule Paris Nicolas Lerolle - Angers

2 Pourquoi s interroger sur la motivation des médecins à enseigner? L exercice de la médecine est une vocation. L'enseignement en est également une. Il n est cependant pas évident que ces deux vocations soient systématiquement réunies chez les médecins exerçant dans les centres hospitaliers universitaires au sein des facultés de médecine. Plusieurs éléments contradictoires peuvent alimenter le débat sur la réalité de la motivation des médecins pour l'enseignement. L'enseignement est actuellement peu valorisé pour la progression dans la carrière universitaire. Néanmoins, la transmission du savoir participe à la substance même du métier de médecin, comme l atteste l'original du serment d'hippocrate où la relation maître élève est le premier des engagements demandés, bien que ce passage ait été supprimé de la version de l Ordre des médecins de 1996 : 1 " Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre." traduction E. Littré Il n'existe pratiquement pas dans la littérature médicale de données sur ce sujet 1. Quelques documents publiés ou sur Internet concernent l'enseignement non-médical 2-4. La réponse à la question de la motivation n'allant donc pas de soi, nous avons pensé que le mieux était de poser directement la question aux intéressés. Nous avons donc réalisé un sondage auprès des médecins des CHU de deux facultés afin d'évaluer leur motivation pour l'enseignement des étudiants de second cycle. Afin d'obtenir une certaine représentativité, ce sondage a été simultanément proposé dans une faculté Parisienne et dans une faculté de province.

3 Réalisation du sondage Aucune donnée préalable n étant disponible sur ce thème à notre connaissance nous avons réalisé un questionnaire à partir des questions nous semblant personnellement les plus pertinentes. Ce questionnaire disponible en annexe, a été affiné après discussion après plusieurs de nos collègues. Brièvement, après un recueil de données démographiques et une évaluation du temps consacré à l enseignement, les personnes interrogées étaient invitées à évaluer leur motivation pour l enseignement (globale, pour les stages hospitalier, pour les cours à la faculté) à l aide d échelles de Lickert. La relation individuelle à l enseignement ainsi que les facteurs de motivation et de démotivation étaient étudiés au travers d une série de questions spécifiques. L enquête a été conduite du 12 juillet au 15 août 2010 par envoi de mails renvoyant à un site internet (SurveyMonkey dans lequel le questionnaire avait été introduit. Nous avons adressé les mails aux chefs de cliniques assistants et assistants hospitalo-universitaires (regroupés ici sous l appellation CCA), maîtres de conférence des universités - praticiens hospitaliers (MCU-PH), professeurs des universités - praticiens hospitaliers et praticiens hospitaliers universitaires (regroupés sous l appellation PU-PH), et praticiens hospitaliers ainsi que praticiens contractuels, provisoires, tous regroupés sous l appellation PH, de deux facultés : la faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Paris), comprenant les hôpitaux Tenon, Saint-Antoine et le groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, et la faculté de médecine d Angers, constituée d un seul site. En raison de difficultés informatiques, les PH des sites Tenon et Saint Antoine n ont pu être invité à participer à ce sondage. L enquête a été approuvée par les Pr S Uzan et JP Saint-André, doyens des deux facultés de médecine et par le Pr. N. Ifrah, président de la CME du CHU d'angers. Les données de l enquête ont été extraites du serveur sous forme de tableur Excel puis exploitées à l aide du logiciel de statistique StatView. Après la comparaison des différents sous groupes, nous avons choisi de présenter, parmi les résultats statistiquement significatifs, uniquement ceux qui nous ont semblé les plus pertinents. 2

4 Qui a été interrogé, qui a répondu? Les s invitant à répondre au sondage ont été adressés aux 300 PU-PH, 144 MCU-PH et 250 CCA des hôpitaux Pitié-Salpêtrière et Saint-Antoine, ainsi qu aux 292 PH du groupe hospitalier Pitié Salpetrière. A Angers, 79 PU-PH, 30 MCU-PH, 69 CCA et 462 PH ont été invités à répondre. Nous avons obtenu 548 réponses (34% des destinataires des mails; 41% des PU-PH, 50% des MCU-PH, 34% des CCA et seulement 23% des PH, p < 0.001). Les caractéristiques démographiques des 548 répondeurs sont présentées ci-dessous : n = 548 Sexe Homme 313 (57%) Femme 235 (43%) 3 Age < 30 ans 8 (1.5%) ans 169 (31%) ans 158 (29%) ans 134 (25%) > 60 ans 79 (14%) Spécialité Médicale 351 (64%) Chirurgicale 76 (14%) Biologie 86 (16%) Autre (santé publique, psychiatrie, 35 (6.4%) physiologie ) Statut CCA ou AHU 95 (17%) PH et apparentés 210 (38%) MCU-PH 88 (16%) PU-PH 155 (29%) Lieu d'exercice Paris 320 (58%) Angers 207 (38%) Au sein des répondeurs, la proportion de CCA était similaire à Paris et à Angers (16 %), mais la proportion de PH était plus importante à Angers (56 % vs. 27 %) et la proportion de MCU- PH et de PU-PH était plus importante à Paris (22 % vs. 8 % pour les MCU-PH et 36 % vs. 19 % pour les PU-PH). La sous représentation des PH et la sur représentation des PU-PH et MCU-PH à Paris tient en partie au biais de sélection : à Paris, tous les hospitalo-universitaires de trois hôpitaux ont été sollicités alors que seuls les PH d un seul l'ont été. Indépendamment de ce biais, il existe un ratio PU-PH/PH très différent entre Paris (1 PU-PH pour 2 PH à la Pitié-Salpêtrière) et Angers (1 pour 6, p<0.0001). Finalement, est notable que 44 % des CCA et PH à Paris envisageaient une carrière universitaire contre seulement 17 % à Angers.

5 Temps consacré à l'enseignement 544 participants ont répondu aux questions concernant le temps consacré à l enseignement. Une très grande majorité des répondeurs (79%, 87% à Angers vs. 74% à Paris, p = 0,0002) CCA MCU et PU-PH PH Aucun < 1 heure 1-3 heures > 3 heures Figure 1: Temps hebdomadaire consacré aux étudiants lors des stages hospitaliers déclaraient encadrer des étudiants de second cycle lors des stages hospitaliers. De manière attendue compte tenu de la distribution des choix de stage, cette répartition variait selon la discipline: 88 % des praticiens de spécialités médicales et chirurgicales enseignaient en stage, contre 49 % des biologistes (p < 0,0001). La plupart des répondeurs consacrent entre 1 et 3 heures hebdomadaires à l'enseignement, avec relativement peu de différences liées au statut (fig. 1). Pour les CCA et les PH, le temps consacré à l enseignement en stage était similaire à Paris et à Angers. En revanche, 34 % des MCU et PU-PH parisiens n enseignaient jamais en stage contre 15 % à Angers (p = 0,02). 4 L enseignement à la faculté concernait également une proportion importante des répondeurs (70%, 77% à Paris vs. 60% à Angers, p = 0,003). Les titulaires hospitalo-universitaires (PU- PH et MCU-PH) réalisent plus ce type d enseignement que les CCA et PH (p < 0,0001, fig. 100 CCA 80 MCU et PU-PH PH Aucun < 10 heure > 20 heures heures Figure 2: Volume annuel de cours à la faculté 2). Le volume d enseignement des MCU-PH et des PU-PH était similaire à Paris et Angers. En revanche, la contribution des CCA était beaucoup plus nette à Angers où 75% d entre eux participaient à l enseignement contre seulement 48% à Paris (p = 0,02). La tendance inverse était observée pour les PH, lesquels étaient plus fréquemment impliqués dans l enseignement à la faculté à Paris qu à Angers (60%vs.41%, p=0,0007).

6 Motivation pour l'enseignement 511 participants ont répondu aux questions quantifiant la motivation pour l enseignement. L'échelle proposée allait de -5 (totalement démotivé pour l enseignement) à + 5 (très motivé). La motivation globale moyenne était de 3,1 ± 1,6 (moyenne ± écart-type), la motivation pour les enseignements à la faculté de 2,6 ± 2,1 et la motivation pour l'encadrement des stages de 3,1 ± 1,6. La motivation pour les enseignements à la faculté était significativement inférieure à la motivation globale et à la motivation pour l encadrement des stages (p = 0,0001). La 5 répartition des réponses est détaillée sur la figure ci-dessous (fig 3). Globalement, les répondeurs ont mis en avant une incontestable motivation pour l'enseignement, avec néanmoins une petite fraction des répondeurs franchement démotivée Figure 3 n motivation globale n n motivation pour la faculté motivation pour les stages Variables associées à la motivation La motivation pour l enseignement était variable selon les différents sous groupes. Les femmes se déclaraient globalement (2,9 ± 1,5 vs 3,2 ± 1,6; p = 0,02) moins motivées que les hommes, et en particulier pour les cours à la faculté (2,1 ± 2,3 vs. 2,7 ± 2,0 ; p = 0,003), alors que cette différence n était pas notée pour les stages. La fonction influençait les différents aspects de la motivation avec par ordre croissant pour la motivation globale : PH (2,7 ± 1,7), MCU-PH (3,2 ± 1,6), CCA (3,2 ± 1,1) et PU-PH (3,5 ± 1,3 ; p < 0,0001), pour la motivation pour les enseignements à la faculté PH (1,8 ± 2,4), CCA

7 (2,6 ± 1,6), PU-PH (3,1 ± 1,8), MCU-PH (3,1 ± 1,8 ; p = 0,0001). Il était frappant de remarquer une moindre motivation des MCU pour l encadrement des stages, avec dans l ordre croissant : MCU-PH (2,8 ± 1,8), PH (3,0 ± 1,6), CCA (3,3 ± 1,6) et PU-PH (3,4 ± 1,6, p<0,0001). De manière heureuse, les répondeurs qui envisageaient un avenir universitaire étaient plus motivés pour les 3 composantes étudiées comparé à ceux qui n envisageaient pas un tel avenir : motivation globale (3,6 ± 1,2 vs. 2,5 ± 1,6 ; p < 0,0001), enseignements à la faculté (3,8 ± 1,3 vs. 2,8 ± 1,6 ; p < 0,0001), encadrement des stages (3,7 ± 1,59 vs. 2.8 ± 1,4 ; p < 0,0001). Quel que soit l aspect considéré, la motivation des enseignants était plus élevée à Paris qu à Angers (motivation globale 3,2 ± 1,4 vs. 2,8 ± 1,7 p = 0,001 ; enseignement à la faculté 2,8 ± 1,9 vs. 2,0 ± 2,5 p = 0,001 ; encadrement des stages 3,3 ± 1,7 vs. 2,9 ± 1,6 p = 0,001). Il est important de noter que cette différence de motivation entre Paris et Angers était attribuable aux PH, moins motivés en province et proportionnellement plus représentés, la motivation des CCA, MCU et PU-PH étant similaire dans les deux villes pour toutes les composantes. Enfin, les biologistes (3,1 ± 2,1) étaient plus motivés que les médecins et chirurgiens (respectivement 2,3 ± 2,1 et 2,5 ± 2,0 ; p = 0,005) pour l enseignement à la faculté. 6 Relation à l'enseignement 511 participants ont répondu aux questions concernant la relation à l enseignement. Qualité de l enseignant Une majorité de répondeurs (71 %) pensaient être un bon enseignant et cette observation était d autant plus vraie que celui qui répondait était un homme (75 % vs. 66 %, p = 0,02), âgé (83 % pour les plus de 59 ans contre 61 % pour les ans), universitaire titulaire (85 % chez les MCU et PU-PH vs. 62 % chez les PH et 58 % chez les CCA ; p < 0,001) ou envisageant de le devenir (74 vs. 55 % ; p = 0,007). Les angevins semblaient plus dubitatifs que les parisiens (59 % de réponse positive vs. 80 %, p = 0,0001). Préférer l enseignement à la recherche Une majorité de répondeurs (43 %) ne préféraient pas l enseignement à la recherche. Cette tendance à préférer la recherche était plus marquée dans les disciplines biologiques (60 % vs.

8 42 % et 31 % dans les disciplines médicales et chirurgicales) ainsi que chez les universitaires titulaires (63 % et 53 % chez les MCU-PH et les PU-PH vs. 23 % chez les CCA et les PH). Seuls 20 % de ceux qui envisageaient une carrière universitaire déclaraient préférer enseigner que réaliser des travaux de recherche, contre 61 % chez ceux qui n envisageaient pas une telle carrière (p < 0,0001). Comparés aux parisiens, les angevins préfèraient l enseignement (46 % vs. 30 % ; p = 0,002), mais encore une fois, cette différence tenait exclusivement aux PH. Prestige de l enseignement Seuls 45 % des répondeurs considéraient l enseignement comme prestigieux. Ce sentiment était plus marqué pour les parisiens que pour les angevins (53 % vs. 33 % ; p = 0,0006). Il n existait pas de différence entre les disciplines. 7 Impact de l enseignement sur les progrès des étudiants Les répondeurs étaient extrêmement prudents quant à l impact de leur enseignement sur les progrès des étudiants puisque seuls 51 % d entre eux répondaient positivement à la question, 47 % étant sans opinion. Les parisiens semblaient plus convaincu de l impact positif de leur enseignement que les angevins (56 % vs. 42 % ; p = 0,03). Autres questions Les réponses aux autres questions relatives à la relation à l'enseignement figurent dans le tableau ci dessous Oui (%) Non (%) Sans opinion (%) Je suis sollicité surtout dans mon domaine de prédilection Je suis intimidé par les étudiants et/ou j'ai peur d'être remis en cause J'apprécie le contact avec des personnes plus jeunes que moi Je garde le souvenir d'un (ou plusieurs) enseignants qui m'a (ont) marqué Je réactualise mes connaissances lorsque je prépare un enseignement J'ai l'impression d'être le seul de mon service à enseigner

9 Déterminants de la motivation et de la démotivation 511 participants personnes ont répondu aux questions concernant les déterminants de la motivation et de la démotivation. Sentiments personnels retirés de l'enseignement (image de soi) Pour une 71 % des répondeurs, les sentiments personnels retirés de l enseignement étaient un facteur de motivation. L image de soi donnée par l enseignement apparaît donc comme une composante majeure de la motivation des enseignants. Cet impact de l image de soi était plus marqué chez les parisiens (76 % vs. 64 % à Angers ; p = 0,01) et chez les médecins aspirant à un carrière hospitalo-universitaire (79 % vs. 66 % chez ceux n y aspirant pas ; p = 0,02). 8 Valorisation actuelle de l'enseignement pour la carrière L enseignement était valorisant pour la carrière pour 71 % des répondeurs. Ceci était d autant plus vrai que le répondeur était jeune (42 % chez les moins de 40 ans contre 22 % chez les ans ; p = 0,0001). En revanche, la valorisation de l enseignement était une source de démotivation chez 55 % de ceux qui aspiraient à une carrière hospitalo-universitaire alors qu il ne l était que chez 17 % de ceux qui n y aspiraient pas (p = 0,0001). Nouvelles méthodes d'enseignements (ARC, APP) Les nouvelles méthodes d enseignement ne semblaient pas être une source majeure de motivation (34 %) et en tous cas pas chez les PH (26 %) et PU-PH (33 %). Seuls les CCA et les MCU-PH semblaient y trouver un peu plus une source de motivation (respectivement 49 % et 38 % ; p = 0,0002). De façon intéressante, ces nouvelles méthodes semblaient plutôt motiver les femmes que les hommes (40 % vs. 30 % ; p = 0,01). Enseignement à des étudiants dont le niveau est fort Les enseignants sont clairement motivés par les étudiants «forts» (64 %), ce qui pourrait traduire un certain élitisme. Ce phénomène est plus marqué dans les discipline chirurgicales que médicales (79 % vs. 64 % ; p = 0,001) ainsi que chez les parisiens (71 % vs. 53 % à Angers ; p = 0,0003).

10 Autres déterminants de la motivation et de la démotivation Les autres déterminants de la motivation ou de la démotivation figurent dans le tableau cidessous. Aucune association n était retrouvée entre ces déterminants et le sexe, l âge, la discipline, la fonction, la localisation géographique ou encore le fait d envisager une carrière universitaire. Motivation Démotivation Neutre (%) (%) (%) Valorisation financière actuelle de l'enseignement Enseignement à des étudiants dont le niveau est faible Organisation actuelle de l'enseignement dans mon hôpital/faculté Réalisation de plusieurs enseignements au même groupe d'étudiants Participation à l'évaluation des enseignements (examens écrits et oraux) Synthèse et perspectives La principale information qu apporte la présente enquête est que les praticiens des CHU quelle que soit leur fonction, leur discipline et leur situation géographique, déclarent dans l'immense majorité une motivation élevée pour l enseignement. La transmission du savoir est donc aujourd hui une préoccupation incontestable des médecins hospitaliers interrogés, universitaires ou non, ce qui répond bien à l'une des missions majeures des CHU. Bien évidemment, cette information doit être nuancée. Ainsi, alors que les hospitalouniversitaires sont particulièrement motivés par l enseignement à la faculté, les PH sont plutôt motivés par l enseignement en stage, et restent malgré tout un peu moins motivés que leur collègues universitaires titulaires. Il existe incontestablement une différence Paris Angers, même si celle-ci est faible. Cette différence porte quasi essentiellement sur la motivation des praticiens hospitaliers, qui désirent nettement moins acquérir le statut universitaire en province, tout comme les CCA, et expriment de manière cohérente une moindre motivation. Cette différence s'intègre dans une vision probablement un peu moins élitiste à Angers qui explique possiblement aussi que les répondeurs y semblent moins convaincus de leur qualité d enseignant, du prestige de l enseignement, ainsi que de leur impact sur les étudiants. Il faut

11 finalement prendre en compte dans la lecture de ces résultats la nettement moindre proportion de médecins universitaires titulaires à Angers qu à Paris. Ces constatations doivent être prise avec prudence, compte tenu d'un taux de réponse n'excédant pas 35%, et leur extrapolation à l'ensemble des médecins de CHU serait hasardeuse. Néanmoins, nous pensons que ces résultats peuvent fournir une base de réflexion en vue d'améliorer la motivation pour l'enseignement. Les sentiments personnels retirés de l enseignement sont, dans cette enquête, l un des principaux déterminants de la motivation. Favoriser ce sentiment doit être un objectif. Ceci pourrait impliquer une meilleure valorisation de l enseignement et notamment redonner à l enseignement son prestige. La discordance entre la motivation élevée des répondeurs et les doutes exprimés quant à l'efficacité des enseignements sur les étudiants est frappante. La preuve de la qualité de l'enseignement universitaire est pourtant apportée par le fait que presque tous les étudiants seront finalement diplômés dans un pays reconnu pour la qualité de sa médecine. Un meilleur retour de l impact des efforts prodigués sur les étudiants semble absolument nécessaire. L absence de reconnaissance individuelle pour les PH en termes de valorisation financière ou de titre contraste avec leur participation non négligeable à l enseignement et avec une indéniable motivation individuelle. Par ailleurs, alors que les praticiens aspirant à une carrière hospitalo-universitaire sont motivés par l enseignement, ils le perçoivent comme un frein à la progression de leur carrière. Concilier recherche et enseignement dans le cadre de la progression universitaire est donc un autre axe d amélioration. 10 Bibliographie 1 Dahlstrom J, Dorai-Raj A, McGill D, Owen C, Tymms K, Watson DA. (2005) What motivates senior clinicians to teach medical students? BMC Med Educ. 18;5: Centra J (1993) Reflective Faculty Evaluation: Enhancing Teaching and Determining Faculty Effectiveness. Sam Francisco Jossy-Bass

12 Annexes Je pense être un bon enseignant. Tous Sexe Age Localisation Statut Futur H F < >59 Paris Province CCA PH MCU PU U Non U Oui Non Sans opinion 11 p 0,02 0,004 0,0001 <0,001 0,007 H, homme ; F, femme ; CCA, chef de clinique assistant ; PH, praticien hospitalier ; MCU, maitre de conférence des université-particien hospitalier ; PU, professeur des universités-praticien hospitalier ; Futur U, répondeur se destinant à une carrière hospitalo-universitaire ; Futur Non U, répondeur ne se destinant pas à une carrière hospitalo-universitaire. Je préfère enseigner que réaliser des travaux de recherche. Tous Discipline Localisation Statut Futur Médicale Chir Bio Autre Paris Province CCA PH MCU PU U Non U Oui Non Sans opinion p 0,004 0,002 <0,0001 <0,0001 Discipline Chir, discipline chirurgicale ; Discipline Bio, discipline biologique ; CCA, chef de clinique assistant ; PH, praticien hospitalier ; MCU, maitre de conférence des université-particien hospitalier ; PU, professeur des universités-praticien hospitalier ; Futur U, répondeur se destinant à une carrière hospitalo-universitaire ; Futur Non U, répondeur ne se destinant pas à une carrière hospitalo-universitaire.

13 Enseigner est prestigieux. Tous Discipline Localisation med chir Bio autre Paris Province Oui Non Sans opinion p 0,04 0,0006 Discipline Chir, discipline chirurgicale ; Discipline Bio, discipline biologique. Sentiments personnels que je retire de l'enseignement (image de soi) Tous Localisation Futur Paris Province U Non U Motivation Démotivation Neutre p 0,01 0,02 Futur U, répondeur se destinant à une carrière hospitalo-universitaire ; Futur Non U, répondeur ne se destinant pas à une carrière hospitalo-universitaire. 12 Valorisation actuelle de l'enseignement pour ma carrière Tous Age Localisation Statut Futur < >59 Paris Province CCA PH MCU PU U Non U Motivation Démotivation Neutre p 0,0001 0,002 0,0001 0,0001 CCA, chef de clinique assistant ; PH, praticien hospitalier ; MCU, maître de conférence des université-praticien hospitalier ; PU, professeur des universités-praticien hospitalier ; Futur U, répondeur se destinant à une carrière hospitalo-universitaire ; Futur Non U, répondeur ne se destinant pas à une carrière hospitalo-universitaire.

14 Nouvelles méthodes d'enseignements (ARC, APP) Tous Sexe Statut Homme Femme CCA PH MCU PU Motivation Démotivation Neutre P 0,01 0,0002 CCA, chef de clinique assistant ; PH, praticien hospitalier ; MCU, maitre de conférence des université-particien hospitalier ; PU, professeur des universités-praticien hospitalier. Enseignement à des étudiants dont le niveau est fort Tous discipline Localisation Futur Médecins Chir Bio Autre Paris Province U Non U Motivation Démotivation Neutre P 0,001 0,0003 0,02 Discipline Chir, discipline chirurgicale ; Discipline Bio, discipline biologique ; Futur U, répondeur se destinant à une carrière hospitalo-universitaire ; Futur Non U, répondeur ne se destinant pas à une carrière hospitalo-universitaire. 13

15 Le questionnaire Questionnaire sur la motivation pour l'enseignement Vous êtes un homme une femme Vous êtes dans la tranche d'âge (années): < > 59 Vous exercez une discipline médicale chirurgicale biologique autre Vous êtes : CCA ou AHU PH, PHC, Praticien attaché MCU-PH PU-PH 14 Dans ces cas, envisagez-vous une carrière universitaire oui non Actuellement, encadrez-vous, ou enseignez vous des étudiants de deuxième cycle? Dans le cadre de stage hospitalier oui non, si oui combien de temps consacrez-vous spécifiquement à l'enseignement des étudiants par semaine < 1heure, 1-3 heures, > 3 heures Dans le cadre de cours à la faculté oui non. Si oui, s agit il de cours magistraux, et/ou d ED. A quel volume estimez vous votre enseignement annuel < 10 heures, 10 à 20 h, > 20 h Comment évaluez-vous actuellement votre motivation pour l'enseignement des étudiants de deuxième cycle, de -5 (totalement démotivé) à +5 (extrêmement motivé)? Motivation globale : Motivation pour l'encadrement des stages hospitaliers : Motivation les enseignements à la Faculté (cours magistraux, ED...) :

16 Répondez simplement aux questions suivantes Oui Sans opinion Non Je pense être un bon enseignant Je suis sollicité surtout dans mon domaine de prédilection Je préfère enseigner que réaliser des travaux de recherche Je suis intimidé par les étudiants et/ou j'ai peur d'être remis en cause J'apprécie le contact avec des personnes plus jeunes que moi Je garde le souvenir d'un (ou plusieurs) enseignants qui m'a (ont) marqué Je réactualise mes connaissances lorsque je prépare un enseignement Enseigner est prestigieux Mes enseignements ont un impact sur les progrès des étudiants J'ai l'impression d'être le seul de mon service à enseigner 15 Identifiez les facteurs qui sont pour vous sources de motivation ou de démotivation Motivation Neutre Démotivation Sentiments personnels que je retire de l'enseignement (image de soi) Valorisation actuelle de l'enseignement pour ma carrière Valorisation financière actuelle de l'enseignement Enseignement à des étudiants dont le niveau est faible Enseignement à des étudiants dont le niveau est fort Nouvelles méthodes d'enseignements (ARC, APP) Organisation actuelle de l'enseignement dans mon hôpital/faculté Réalisation de plusieurs enseignements au même groupe d'étudiants Participation à l'évaluation des enseignements (examens écrits et oraux)

17 Résumé Justification. La transmission du savoir est l une des principales mission du CHU. Toutefois, pour être optimale, cette transmission nécessite des enseignants motivés. Objectifs de l étude. Quantifier la motivation des enseignants de deuxième cycle en CHU et en évaluer les principaux déterminants. Méthodes. Enquête prospective via internet réalisée du 12 juillet au 15 août 2010 chez 1401 médecins exerçant au sein de la faculté de médecine Pierre et Marie Curie - groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière ainsi qu au sein du CHU d Angers. Outre un recueil de données démographiques et une évaluation du temps consacré à l enseignement, le questionnaire quantifiait la motivation pour l enseignement. La relation individuelle à l enseignement ainsi que les facteurs de motivation et de démotivation étaient étudiés au travers de questions. Principaux résultats. 34 % des personnes interrogées ont répondu au questionnaire. 79% des répondeurs enseignaient en stage et 70 % à la faculté. Evaluée par une échelle de Lickert (de - 5 à +5), la motivation globale était de 3,1 ± 1,6 (moyenne ± écart type), la motivation pour les enseignements à la faculté de 2,6 ± 2,1 et la motivation pour l'encadrement des stages de 3,1 ± 1,6. La motivation des enseignants était plus élevée à Paris qu à Angers, mais cette différence de motivation était principalement attribuable aux PH, moins motivés et proportionnellement plus représentés à Angers. Envisager un avenir universitaire était associé à une motivation plus élevée pour l enseignement (p < 0,0001), mais seuls 20 % de ceux qui envisageaient une telle carrière déclaraient préférer enseigner que réaliser des travaux de recherche. L enseignement était valorisant pour la carrière pour 71 % des répondeurs, tout en étant simultanément une source de démotivation chez 55 % de ceux qui aspiraient à une carrière hospitalo-universitaire. Pour 71 % des répondeurs, les sentiments personnels retirés de l enseignement étaient un facteur de motivation, mais seuls 45 % des répondeurs considéraient l enseignement comme prestigieux. Une proportion importante des répondeurs (47%) doutaient de leur impact sur les étudiants. Conclusions. La motivation des praticiens pour l enseignement est élevée. Le sentiment personnel retiré de l enseignement en est l un des principaux moteurs de cette motivation. Travailler à une meilleure perception par les enseignants de leur impact sur les étudiants devrait facilement permettre d'encore améliorer ce point. Bien que motivés, les praticiens envisageant une carrière hospitalo-universitaire perçoivent la valorisation de l enseignement pour leur carrière comme faible. Un meilleur retour de l impact de l enseignement sur les étudiants serait souhaitable. 16 Alexandre Demoule est MCU-PH dans l'unité de Réanimation et de Surveillance Continue du service de Pneumologie (Pr T. Similowski) du groupe hospitalier Pitié Salpétrière, faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Paris). Nicolas Lerolle est PH dans le département de réanimation médicale et de médecine hyperbare (Pr A. Mercat) du centre hospitalier universitaire d Angers, faculté de médecine d Angers.

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