EDF REP - Tous paliers Modification générique du chapitre III des règles générales d exploitation «DA REX 2010»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "EDF REP - Tous paliers Modification générique du chapitre III des règles générales d exploitation «DA REX 2010»"

Transcription

1 Fontenay-aux-Roses, le 21 mai 2012 Monsieur le Président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis IRSN N Objet : EDF REP - Tous paliers Modification générique du chapitre III des règles générales d exploitation «DA REX 2010» Réf. : [1] Lettre ASN référencée CODEP-DCN du 4 juillet 2011 ; [2] Lettre ASN référencée CODEP-DCN du 9 février Conformément à la demande de l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) citée en référence [1], l Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a évalué l impact sur la sûreté de la modification générique des Spécifications techniques d exploitation (STE) des Règles générales d exploitation (RGE) déclarée par Électricité de France (EDF). Cette modification concerne la prise en compte du retour d expérience d exploitation des réacteurs en 2010 et se présente sous la forme d un document d amendement nommé «DA REX 2010». Ce DA REX 2010 a pour objectif de faire évoluer certaines prescriptions afin de prendre en compte le retour d expérience d exploitation des réacteurs en 2010 ainsi que certaines demandes de l ASN. Il s agit de clarifier le référentiel, de diminuer le nombre d Évènements significatifs pour la sûreté (ESS) Adresse courrier BP Fontenay-aux-Roses Cedex France Siège social 31, av. de la Division Leclerc Fontenay-aux-Roses Standard +33 (0) RCS Nanterre B ou le nombre de modifications temporaires des STE. Les sujets suivants sont traités dans ce document : - élimination du «formol» et du monoxyde de carbone par mise en service du système de minibalayage de l enceinte de confinement (ETY) lorsque le réacteur se trouve dans les domaines d exploitation «réacteur en production» (RP) et «arrêt normal sur générateur de vapeur» (AN/GV) (tous paliers) ; - maîtrise du risque «Xénon» par mise en service du mini-balayage ETY dans les domaines d exploitation RP et AN/GV (tous paliers) ; - clarification de la conduite à tenir en cas d indisponibilité des chaines de mesure de l activité de l air de l enceinte (tous paliers) ;

2 - ouverture des traversées enceinte du système d air de travail (SAT) et du système de traitement et de réfrigération des piscines (PTR) dans les domaines d exploitation «arrêt pour intervention» (API) et «arrêt pour rechargement» (APR) (palier 900 MWe CP0) ; - définition de la disponibilité d une fonction de sûreté (tous paliers) ; - indisponibilités de «groupe 1» nécessaires au traitement d évènements fortuits (tous paliers) ; - confinement lors de la levée des Équipements internes supérieurs de la cuve (EIS) dans le domaine d exploitation APR (tous paliers) ; - possibilité d appoint en eau au circuit primaire dans le domaine d exploitation «arrêt normal sur le système de refroidissement du réacteur à l arrêt» (AN/RRA) lorsque les groupes motopompes du circuit primaire sont à l arrêt (paliers 900 MWe CP0, 1300 MWe et 1450 MWe) ; - évolution de la plage de la température primaire moyenne définie dans le domaine d exploitation RP dans l état standard «puissance» (P>2 % Pn) (palier 900 MWe) ; - gestion des sas en cas d aléa au cours des manutentions de combustibles dans le bâtiment réacteur (BR) (paliers 900 MWe CPY, 1300 MWe et 1450 MWe) ; - modification des prescriptions en prolongation de cycle en RP (palier 900 MWe CPY). Ces évolutions n appellent pas de remarque de la part de l IRSN hormis les points détaillés ci-après : - Élimination du «formol» et du monoxyde de carbone par mise en service du mini-balayage du circuit ETY en RP et AN/GV Lors de la montée en température des circuits primaire et secondaire des réacteurs ayant mis en place du calorifuge neuf sur certaines tuyauteries, des émanations toxiques, constituées notamment de formol, sont produites par dégradation thermique des constituants du calorifuge. Afin de réduire, autant que faire se peut, le niveau d exposition des travailleurs et d éviter le port des protections individuelles respiratoires qui allongent la durée des interventions, il est nécessaire de réaliser un balayage de l atmosphère du bâtiment réacteur. Le DA REX 2010 prévoit de mettre en service le circuit de mini-balayage de l enceinte (ETY) pour baisser la teneur en formol et/ou en monoxyde de carbone de l enceinte en RP et AN/GV, dans la même limite de durée que celle déjà prévue pour la fonction d oxygénation de l enceinte (50 heures par an) et tout en respectant les mesures compensatoires requises pour cette situation. Compte tenu du retour d expérience récent et dans la mesure où la durée globale d utilisation du système ETY reste dans la limite de 50 heures admise par les STE, l IRSN n a pas d objection à la mise en service le mini-balayage de l enceinte par le système ETY de tous les paliers pour baisser, sous certaines conditions, la teneur en formol et en monoxyde de carbone dans les domaines d exploitation des réacteurs RP et AN/GV. À cet égard, l IRSN souligne que l installation préférentielle sur les tuyauteries d un type de calorifuge optimisé en formol serait de nature à faciliter le respect de la limite de 50 heures admise par les STE. - 2/10 -

3 Enfin, l IRSN note qu EDF transmettra le retour d expérience de l utilisation de cette modification des STE après deux années d application du DA REX Ce point fait l objet de l observation 1 en annexe du présent avis. - Maîtrise du risque «Xénon» par mise en service du mini-balayage du circuit ETY En RP et AN/GV, les STE autorisent actuellement la mise en service du mini-balayage ETY lorsque la contamination atmosphérique de l enceinte en gaz rares est supérieure à 20 fois la limite dérivée de concentration dans l air (LDCA) pour la ramener à une valeur inférieure à 10 LDCA. Or, la valeur d une LDCA en 133 Xe a été révisée et est passée de 0,48 MBq/m 3 à 2 MBq/m 3 en 133 Xe. Le DA REX 2010 prévoit de permettre le recours au mini balayage ETY dès l atteinte d une contamination atmosphérique de 1 LDCA dans le respect d'une durée maximale d utilisation de 50 heures par an. L IRSN relève qu EDF ne précise pas le seuil d activité auquel le mini-balayage ETY sera effectivement arrêté. Cette absence de critère d arrêt ne permet pas de garantir le meilleur compromis entre la sûreté nucléaire (haute fiabilité du confinement de l enceinte) et la radioprotection des intervenants. Ce point fait l objet de la recommandation 1.1 en annexe du présent avis. Par ailleurs, l IRSN considère que lorsque le réacteur est en production, les risques d exposition externe, interne et ceux liés aux émissions neutroniques justifient que toute intervention dans le bâtiment réacteur reste exceptionnelle et justifiée. Dans ce cas, l IRSN estime que la mise en service de l ETY, dans la même limite de durée que celle déjà prévue pour la fonction de diminution de l activité de l enceinte (50 heures par an) et tout en respectant les mesures palliatives requises pour cette situation, est l une des dispositions palliatives à appliquer afin de réduire les risques d exposition du personnel. Ainsi, l IRSN n a pas d objection de principe de l utilisation du circuit de mini-balayage ETY pour abaisser les conditions radiologiques dans l enceinte, mais considère également qu EDF doit améliorer l optimisation et la maitrise du terme source radiologique. En outre, l IRSN estime nécessaire que tout accès dans le BR en RP, requérant la mise en service de l ETY dans l enceinte, fasse l objet d une validation par une instance d EDF indépendante de la direction de l exploitation des réacteurs. La décision de cette instance, dument tracée, devra tenir compte de la motivation de l intervention ainsi que de l ensemble des risques d expositions interne et externe du personnel. Ce point fait l objet de la recommandation 1.2 en annexe du présent avis. Lors de la phase de montée en pression et en température du réacteur en AN/GV, le principal risque pour le personnel est le dégagement de formol. Néanmoins, sur le plan de la radioprotection, l IRSN estime que la mise en service du mini-balayage ETY peut également être une disposition palliative à mettre en œuvre. Pendant la phase de mise à l arrêt du réacteur en AN/GV, les risques d exposition du personnel peuvent être encore importants notamment lorsque la tranche présente des défauts de gainage et des fuites primaires. Néanmoins, l IRSN estime que, pour ces deux phases, une liste à caractère «exhaustif» des opérations nécessaires justifiant la mise en service du circuit ETY, devrait être précisée dans le document justificatif des STE. Ce point fait l objet de l observation 2 en annexe du présent avis. - 3/10 -

4 - Évolution de la plage de la température primaire moyenne en «puissance» Lorsque les réacteurs de 900 MWe sont en puissance, le DA REX 2010 prévoit d introduire une évolution de la plage de température moyenne de l eau du circuit primaire (Tmoy). La plage admissible de la Tmoy correspondra alors à sa valeur de consigne -2 C à 2 % Pn et à sa valeur de consigne +2,2 C à 100 % Pn. L IRSN n a pas de remarque concernant la valeur limite à basse puissance proposée par EDF. Par contre, la tolérance de + 2,2 C proposée par EDF au-delà de la température de consigne de Tmoy à 100 % Pn correspond à la somme de la bande morte de la régulation (0,8 C) et à l incertitude de la mesure (1,4 C). Ainsi, l IRSN considère qu en cas de biais sur la consigne de régulation, la tolérance de +2,2 C au-delà de la consigne peut amener un exploitant, selon l erreur de justesse de l instrumentation d exploitation, à maintenir de façon prolongée un réacteur en dehors des limites de fonctionnement admisses par la démonstration de sûreté. Ce point fait l objet de la recommandation 2 en annexe du présent avis. - Prescriptions en prolongation de cycle Lorsque les réacteurs du palier 900 MWe CPY sont en prolongation de cycle, le DA REX 2010 prévoit de rendre plus explicite les conditions requises de positionnement dans le cœur des groupes de compensation de puissance. Lors de l instruction, l IRSN a souhaité qu EDF reformule la prescription sur le positionnement des groupes de régulation de puissance en prolongation de cycle. Ce point fait l objet de l observation 3 en annexe du présent avis. - Confinement lors de la levée des EIS en APR Dans le cadre de l extension des prescriptions pour les opérations de manutentions du combustible dans le bâtiment réacteur en APR à la phase de levée des EIS de la cuve du réacteur pour laquelle l IRSN n a pas d objection, l IRSN a souhaité qu EDF démontre que les obturateurs, mis en place dans les tuyauteries secondaires connectées aux GV pour réaliser des interventions en arrêt de réacteur, permettent d assurer le confinement de l enceinte dans une situation de perte totale du refroidissement de longue durée, entrainant une pressurisation de l enceinte. L IRSN estime que la représentativité des essais de qualification de ces obturateurs pourrait être vérifiée in-situ notamment dans le cadre des inspections effectuées par l ASN lors des arrêts programmés des réacteurs ou de visites techniques programmées dans le cadre de la réunion du Groupe permanent «confinement des réacteurs à enceinte à double parois». De plus, EDF n a pas apporté d éléments de justification de la tenue au séisme de ces composants alors qu au titre des évaluations complémentaires de sûreté (ECS), le séisme peut être un initiateur d une perte totale d alimentation électrique en APR. Ce point fait l objet de l observation 4 en annexe du présent avis. - Indisponibilités de «groupe 1» nécessaires au traitement d évènements fortuits Le retour d expérience montre que le traitement dérogatoire d une indisponibilité devant être générée lors de la phase de diagnostic et/ou de requalification fonctionnelle d un matériel déjà indisponible de manière fortuite peut allonger inutilement le fonctionnement de l installation dans un état dégradé. À l identique du DA REX 2009 applicable au palier 900 MWe CPY, l IRSN estime acceptable d autoriser, sur tous les paliers, de générer les évènements indispensables au traitement d une anomalie fortuite. À cet égard, l IRSN note qu EDF réalisera, après deux années d application, - 4/10 -

5 un retour d expérience de cette nouvelle spécification en examinant notamment l occurrence de ces évènements et leur efficacité sur la limitation des délais de remise en conformité des matériels. Ce point fait l objet de l observation 5 en annexe du présent avis. Cependant, un exemple récent d utilisation de cette spécification a montré que cette notion peut donner lieu à des interprétations abusives. L IRSN considère donc que, pour certains cas sensibles, ces évènements doivent donner lieu à une analyse spécifique de sureté de la part de l exploitant. Ce point fait l objet de la recommandation 3 en annexe du présent avis. Cette recommandation pourrait remplacer la demande de l ASN issue de son courrier en référence [2]. - Ouverture des traversées de l enceinte de confinement en API et APR Dans les domaines d exploitation API et APR, EDF souhaite pouvoir ouvrir la traversée enceinte SAT du palier 900 MWe CP0 sous couvert d une prescription particulière pour réaliser certaines opérations d exploitation nécessaires. En cohérence avec les autres paliers, l IRSN estime acceptable cette modification à condition que la vanne extérieure enceinte puisse être refermée rapidement. Ce point fait l objet de la recommandation 4 en annexe du présent avis. Par ailleurs, la réflexion menée par l IRSN dans le cadre de son analyse du retour d expérience l a amené à soulever certains problèmes d application des STE liés soit à leur interprétation, soit à des situations particulières rencontrées par les exploitants. - Doute sur le comportement à terme d un matériel requis Les STE autorisent qu en cas de doute sérieux sur son comportement à terme, un matériel, bien que disponible dans l immédiat, puisse volontairement être mis hors exploitation pour le traitement d une anomalie. L IRSN a mis en évidence que cette notion peut conduire à des interrogations de la part des exploitants et à des interprétations parfois différentes. Dans le cadre d une prochaine instruction, l IRSN analysera le bilan que fournira EDF pour les trois dernières années de l utilisation de cette notion. Ce point fait l objet de l observation 6 en annexe du présent avis. - Disponibilité des systèmes requis et non requalifiés fonctionnellement Il a été constaté que la définition des STE relative à la disponibilité d une fonction de sûreté conduit à des non-conformités pour les matériels ayant subi une intervention lors de l arrêt du réacteur et ne pouvant être requalifiés fonctionnellement que dans un domaine d exploitation où ils sont déjà requis par les STE. En l absence d identification par EDF des matériels susceptibles d être concernés, l IRSN n est pas en mesure d évaluer précisément l impact d une modification de la spécification permettant de considérer disponibles sous certaines conditions des fonctions non requalifiées fonctionnellement. Dans le cadre d une prochaine instruction, l IRSN analysera les propositions d EDF d évolutions des STE afin de clarifier le référentiel portant sur la disponibilité d un matériel requis mais non requalifié fonctionnellement. Ce point fait l objet de l observation 7 en annexe du présent avis. - 5/10 -

6 F.MENAGE

7 Annexe à l avis IRSN/ du 21 mai 2012 Recommandations conditionnant la mise en application du «DA REX 2010» 1. Maîtrise du risque «Xénon» par mise en service du mini-balayage du circuit ETY 1.1. L IRSN recommande qu en complément du seuil haut de contamination atmosphérique à partir duquel EDF souhaite mettre en service le circuit ETY, EDF détermine un critère d arrêt du système ETY L IRSN recommande que tout accès dans le BR en RP, nécessitant la mise en service du circuit de mini-balayage ETY, fasse l objet d un accord par une instance d EDF présentant des garanties suffisantes de qualité, d autonomie, de transparence et d indépendance par rapport aux personnes directement en charge de l exploitation. La demande devra être motivée et accompagnée par une analyse des risques liés à la sûreté et à la radioprotection, détaillée et complète, qui prendra en compte : - pour ce qui concerne les risques d exposition du personnel intervenant aux rayonnements ionisants, l ensemble des risques d expositions interne et externe (incluant l exposition aux neutrons ainsi qu à l ensemble des radionucléides présents dans l atmosphère du BR, en particulier les iodes), - pour ce qui concerne la sûreté, l accroissement de risque lié notamment à la rupture du confinement. 2. Évolution de la plage de la température primaire moyenne en «Puissance» Du fait de l absence de contrôle périodique de la régulation de température moyenne du circuit primaire, de l incertitude de l instrumentation d exploitation et des hypothèses retenues par les études d accident, l IRSN n estime pas acceptable d admettre une tolérance de + 2,2 C au-delà de la consigne de température moyenne du circuit primaire à 100 % Pn. 3. Indisponibilités de «groupe 1» nécessaires au traitement d évènements fortuits Lorsque le traitement d une anomalie fortuite d un matériel conduit à devoir : - indisponibiliser une fonction support ou une fonction chaudière en exploitation normale dont l indisponibilité fortuite est couverte par des procédures de conduite incidentelle et accidentelle, - générer un ou plus d un autre événement de groupe 1 (si ces événements affectent des systèmes élémentaires différents) dont la conduite à tenir demande d engager le repli du réacteur sous 1 heure, - générer un événement de groupe 1 pour le traitement d un événement fortuit de groupe 2, l IRSN recommande que la conduite à tenir soit validée par une instance de l exploitant présentant des garanties suffisantes de qualité, d autonomie, de transparence et d indépendance par rapport aux personnes directement en charge de l exploitation. - 7/10 -

8 4. Ouverture des traversées de l enceinte de confinement en API et APR L IRSN recommande que l ouverture de la traversée enceinte du circuit SAT ne puisse être réalisée sur l ensemble des domaines API et APR qu à la condition que la vanne d isolement extérieur enceinte assurant le confinement puisse être refermée rapidement. 5. Indisponibilité de l injection de soude du système d aspersion de l enceinte L IRSN recommande que l indisponibilité, partielle ou totale, de l injection de soude du système d aspersion de l enceinte soit reclassée, pour tous les paliers, en évènement de «groupe 1». Le délai de réparation toléré avant d amorcer le repli du réacteur dans un état sûr devra être fixé en fonction de la nature de l indisponibilité (partielle ou totale). - 8/10 -

9 Observations ne conditionnant pas la mise en application du «DA REX 2010» 1. Élimination du «formol» et du monoxyde de carbone par mise en service d ETY en RP et AN/GV L IRSN note qu EDF transmettra un retour d expérience de l utilisation de la modification des STE concernant l utilisation d ETY pour l élimination du formol et du monoxyde de carbone après deux années d application du DA REX Maîtrise du risque «Xénon» par mise en service du mini-balayage du circuit ETY L IRSN estime souhaitable qu EDF précise, dans le document justificatif des STE, la liste à caractère «exhaustif» des catégories d opérations nécessaires en AN/GV conduisant à la mise en service du mini-balayage ETY. Pour rappel, les interventions réalisées doivent faire l objet d une analyse détaillée des risques liés à la sûreté et à la radioprotection et d un prévisionnel de dose préalable ainsi que d un renforcement des moyens de contrôle de l ambiance radiologique et aux postes de travail. 3. Modification des prescriptions en prolongation de cycle en RP (palier 900 MWe CPY) L IRSN note qu EDF reformulera la prescription du paragraphe I.5.2 du chapitre RP de la façon suivante : «Pendant la prolongation de cycle, les groupes de régulation de puissance doivent être maintenus hors du cœur. Prescription Particulière Les groupes de régulation de puissance G1, G2, N1, N2, peuvent être exceptionnellement insérés pendant les phases d arrêt, de redémarrage [gestions GARANCE et Parité MOX] ou de transitoire fortuit de variation de charge [gestion Parité MOX uniquement]. Dans ce cas, leur insertion doit respecter le calibrage, c'est-à-dire la détermination de la position de ces groupes en fonction de la puissance définie par la courbe de calibrage théorique donnée dans le DSS, réactualisée en fonction de l évolution du niveau de puissance maximale disponible». 4. Confinement lors de la levée des EIS en APR L IRSN estime qu EDF devra justifier, dans le cadre des ECS, la tenue au séisme des dispositifs temporaires d isolement mis en place lorsque l enveloppe secondaire des générateurs de vapeur est ouverte en APR. 5. Indisponibilités de «groupe 1» nécessaires au traitement d évènements fortuits L IRSN note qu EDF transmettra un retour d expérience de l utilisation de la notion de «fortuit étendu» issue du DA REX 2009 applicable au palier CPY après deux années d utilisation et qu il fera de même après deux années de mise en application du DA REX Doute sur le comportement à terme d un matériel requis L IRSN note qu EDF fournira à l ASN et à l IRSN, pour le 31 mars 2013, un bilan de l utilisation de la notion de «doute à terme». - 9/10 -

10 7. Disponibilité des systèmes requis et non requalifiés fonctionnellement L IRSN note qu EDF fournira à l ASN et à l IRSN, pour fin 2012, la liste exhaustive des matériels qui font l objet d une requalification fonctionnelle dans un domaine d exploitation où ils sont requis par les STE, ainsi qu une liste des activités de maintenance préventive de périodicité «cycle» réalisées sur les équipements redondants concernés par cette problématique. 8. Disponibilité des tableaux électriques de contrôle-commande Pour chaque tableau de contrôle-commande de tous les paliers, l IRSN estime nécessaire qu EDF réalise une étude fonctionnelle de l impact d une microcoupure électrique de celui-ci sur le contrôle-commande des matériels concernés lorsque sa batterie est déconnectée. Les conséquences fonctionnelles des dysfonctionnements provoqués pourront amener EDF à prescrire un délai avant l amorce d un repli plus court que le délai actuellement fixé par les STE. L IRSN estime souhaitable que cette étude soit finalisée d ici un an. - 10/10 -

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS Fontenay-aux-Roses, le 9 juillet 2014 Monsieur le président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis/IRSN N 2014-00265 Objet : Réacteurs électronucléaires EDF - Réacteur EPR de Flamanville 3 Conception détaillée

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

Montrouge, le 26 novembre 2014. Monsieur le Directeur Division Production Nucléaire EDF Site Cap Ampère 1 place Pleyel 93 282 SAINT-DENIS CEDEX

Montrouge, le 26 novembre 2014. Monsieur le Directeur Division Production Nucléaire EDF Site Cap Ampère 1 place Pleyel 93 282 SAINT-DENIS CEDEX RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 26 novembre 2014 Réf. : CODEP-DCN-2014-053522 Monsieur le Directeur Division Production Nucléaire EDF Site Cap Ampère 1 place Pleyel

Plus en détail

«Actualités réglementaires en radioprotection»

«Actualités réglementaires en radioprotection» Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l

Plus en détail

des lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires

des lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires Thésame Le 6, 7 juin 2012 un petit Composant pour des lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires piscine REX EDF Maurer / SPR / CNPE Tricastin 1 De l expression du besoin au Nanopral

Plus en détail

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire

Plus en détail

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté

Plus en détail

Document officiel Recommandations, prescriptions, obligations Situation d EDF

Document officiel Recommandations, prescriptions, obligations Situation d EDF Objectif : analyser les rapports et avis de l ASN et de l IRSN pour lister les non-conformités de la centrale de Fessenheim. Il convient en particulier de vérifier quelles suites ont été données par EDF

Plus en détail

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire.

La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Protéger l environnement des hommes et des lieux, Contribuer à la sécurité des interventions

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

: Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la tran sparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40.

: Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la tran sparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Douai, le 13 octobre 2011 CODEP-DOA-2011-57631 LD/NL Monsieur le Directeur du Centre Nucléaire de Production d Electricité B.P. 149 59820 GRAVELINES Objet : Contrôle

Plus en détail

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre

Plus en détail

REFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM

REFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF

Plus en détail

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté

Plus en détail

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-056821 Nantes, le 22 décembre 2014 Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX Objet Contrôle des installations

Plus en détail

BILAN 2014 ET PERSPECTIVES

BILAN 2014 ET PERSPECTIVES CNPE de Cattenom BILAN 2014 ET PERSPECTIVES Commission Locale d Information 19 mai 2015 BILAN 2014 Ce document est la propriété d EDF. Toute diffusion externe du présent document ou des informations qu

Plus en détail

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté

Plus en détail

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3

Plus en détail

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la

Plus en détail

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection

Plus en détail

Capteurs. centrales nucléaires. de température pour. performances. fiabilité. Sûreté. La mesure de vos exigences

Capteurs. centrales nucléaires. de température pour. performances. fiabilité. Sûreté. La mesure de vos exigences Capteurs de température pour centrales nucléaires Sûreté fiabilité performances La mesure de vos exigences Pyro-Contrôle l expertise d un précurseur Dès la fin des années 1970, Pyro-Contrôle s illustre

Plus en détail

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la Édition 2013 Charte de bonnes pratiques Préface Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la radiographie industrielle ne se produisent heureusement que rarement. Pour autant,

Plus en détail

MAINTENANCE & INGÉNIERIE NUCLÉAIRE

MAINTENANCE & INGÉNIERIE NUCLÉAIRE www.sita.fr MAINTENANCE & INGÉNIERIE NUCLÉAIRE ACTIVITÉS NUCLÉAIRES ET DÉSAMIANTAGE HISTORIQUE & CHIFFRES CLÉS Fondé en 1921 sous forme d entreprise familiale, SRA devient par la suite une société en 1927.

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 GASN ASSOCIATION DES RETRAITÉS DU GROUPE CEA GROUPE ARGUMENTAIRE SUR LE NUCLÉAIRE LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE 1. INTRODUCTION La gestion de crise dans

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection

Plus en détail

Guide utilisateur de l application PASS

Guide utilisateur de l application PASS SISERI PASS Guide utilisateur - Ind1 Guide utilisateur de l application PASS 1 - Présentation générale du PASS L application PASS pour Protocole d Accès Sécurisé à SISERI permet aux entreprises et aux

Plus en détail

LE GRAND CARÉNAGE DU PARC NUCLÉAIRE EDF ET LES ACTIONS POST FUKUSHIMA 1 AMBITIONNER DE PORTER À 50 OU 60 ANS L EXPLOITATION DES RÉACTEURS

LE GRAND CARÉNAGE DU PARC NUCLÉAIRE EDF ET LES ACTIONS POST FUKUSHIMA 1 AMBITIONNER DE PORTER À 50 OU 60 ANS L EXPLOITATION DES RÉACTEURS SFEN/GR21 Janvier 2014 LE GRAND CARÉNAGE DU PARC NUCLÉAIRE EDF ET LES ACTIONS POST FUKUSHIMA 1 AMBITIONNER DE PORTER À 50 OU 60 ANS L EXPLOITATION DES RÉACTEURS Le Grand carénage du parc nucléaire d EDF

Plus en détail

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 N/Réf. : CODEP-CAE-2014-036582 Monsieur le Directeur du CNPE de Paluel BP 48 76 450 CANY-BARVILLE OBJET : Contrôle des installations nucléaires

Plus en détail

CENTRE NUCLÉAIRE D ÉLÉCTRICITÉ. EDF Nogent-sur-Seine

CENTRE NUCLÉAIRE D ÉLÉCTRICITÉ. EDF Nogent-sur-Seine CENTRE NUCLÉAIRE DE PRODUCTION D ÉLÉCTRICITÉ EDF Nogent-sur-Seine Le groupe EDF DES ENJEUX ÉNERGÉTIQUES MONDIAUX SANS PRÉCÉDENT LA CROISSANCE DÉMOGRAPHIQUE ET ÉCONOMIQUE VA ENTRAÎNER L AUGMENTATION DES

Plus en détail

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique

Plus en détail

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire

Plus en détail

PROJET DE COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DE LA COMMISSION «Technique» DE LA CLI DE GRAVELINES du 06 novembre 2008

PROJET DE COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DE LA COMMISSION «Technique» DE LA CLI DE GRAVELINES du 06 novembre 2008 PROJET DE COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DE LA COMMISSION «Technique» DE LA CLI DE GRAVELINES du 06 novembre 2008 Participaient à la réunion : M. DAIRIN : Président de la commission «Technique» M. QUILICHINI

Plus en détail

DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011. Inspection n INSSN-BDX-2011-0839 du 23 au 25 août 2011 Retour d expérience Fukushima

DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011. Inspection n INSSN-BDX-2011-0839 du 23 au 25 août 2011 Retour d expérience Fukushima RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011 Référence courrier : CODEP-BDX-2011-049254 Référence affaire : INSSN-BDX-2011-0839 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP 64

Plus en détail

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.

Plus en détail

Les métiers à la. Division Production Nucléaire

Les métiers à la. Division Production Nucléaire Les métiers à la Division Production Nucléaire 1 Les centres nucléaires de production d électricité en France En fonctionnement : 58 réacteurs nucléaires Construction d un EPR de 1600 MW 2 Principe de

Plus en détail

Les matériels des centrales électronucléaires sont

Les matériels des centrales électronucléaires sont 1La sûreté des réacteurs 1 3 Le vieillissement des centrales électronucléaires F. VOUILLOUX (IRSN) P. RÉGNIER (BASP) O. MORLENT (SAMS) G. CATTIAUX (BAMM) S. BOUSQUET (BASME) Les matériels des centrales

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Une coentreprise AREVA et Siemens JEUMONT Groupes motopompes primaires & Mécanismes de commande de grappe

Une coentreprise AREVA et Siemens JEUMONT Groupes motopompes primaires & Mécanismes de commande de grappe Une coentreprise AREVA et Siemens JEUMONT Groupes motopompes primaires & Mécanismes de commande de grappe Une technologie de 1 er plan, stimulée par notre expérience expertise Les activités nucléaires

Plus en détail

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-

Plus en détail

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif Maîtrise des Fournisseurs La CAEAR Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif 1 La CAEAR : Définition Commission interne au CEA, Elle a pour mission la présélection des entreprises

Plus en détail

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com

Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples 1 Contexte Rappels sur les techniques selon les longueurs d ondes Etat de l art de la Radiographie Numérique Quelques éléments de compréhension

Plus en détail

Préface. 2 - Charte de bonnes pratiques en radiographie industrielle

Préface. 2 - Charte de bonnes pratiques en radiographie industrielle Préface Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la radiographie industrielle ne se produisent heureusement que rarement. Pour autant, elles nous permettent néanmoins de ne

Plus en détail

Lucas Bétrancourt. Promotion 2008/2011 en apprentissage à EDF. Tuteur : Julien Ferlat. Fonction : Opérateur conduite 1/2.

Lucas Bétrancourt. Promotion 2008/2011 en apprentissage à EDF. Tuteur : Julien Ferlat. Fonction : Opérateur conduite 1/2. Lucas Bétrancourt Promotion 2008/2011 en apprentissage à EDF Tuteur : Julien Ferlat Fonction : Opérateur conduite 1/2 Rapport de stage Régulation de la température du circuit primaire IUT mesures physiques

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012.

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012. REPUBLIQUE FRANCAISE Division de Caen Hérouville-Saint-Clair, le 20 février 2012 N/Réf. : CODEP-CAE-2012-008140 Monsieur le Directeur de l Aménagement de Flamanville 3 BP 28 50340 FLAMANVILLE OBJET : Contrôle

Plus en détail

Annexe I b. Référentiel de certification

Annexe I b. Référentiel de certification Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la

Plus en détail

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ ',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,

Plus en détail

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION

Plus en détail

L énergie, des enjeux pour tous

L énergie, des enjeux pour tous L énergie, des enjeux pour tous Transformer le Système d'information EURIWARE conçoit, développe et met en œuvre des systèmes d information métiers en réponse aux enjeux majeurs de performance et de transformation

Plus en détail

Avis et communications

Avis et communications Avis et communications AVIS DIVERS COMMISSION GÉNÉRALE DE TERMINOLOGIE ET DE NÉOLOGIE Vocabulaire de l ingénierie nucléaire (liste de termes, expressions et définitions adoptés) NOR : CTNX1329843K I. Termes

Plus en détail

RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE. NSTN Paul LIVOLSI

RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE. NSTN Paul LIVOLSI RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE NSTN Paul LIVOLSI 27 MARS 2013 QU'EST-CE QUE LA RADIOPROTECTION? Définition : La radioprotection est l'ensemble des mesures prises pour

Plus en détail

MARCHE PUBLIC RELATIF A L ENTRETIEN ET AU DEPANNAGE DES CHAUFFERIES DES BATIMENTS COMMUNAUX ET DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES DES LOGEMENTS COMMUNAUX

MARCHE PUBLIC RELATIF A L ENTRETIEN ET AU DEPANNAGE DES CHAUFFERIES DES BATIMENTS COMMUNAUX ET DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES DES LOGEMENTS COMMUNAUX DEPARTEMENT DE SAONE ET LOIRE VILLE DE SANVIGNES-LES-MINES MARCHE PUBLIC RELATIF A L ENTRETIEN ET AU DEPANNAGE DES CHAUFFERIES DES BATIMENTS COMMUNAUX ET DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES DES LOGEMENTS COMMUNAUX

Plus en détail

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Illustration 1 : Les installations du SCK CEN à Mol Synthèse L exploitation

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction

Plus en détail

Manuel d utilisation du modèle

Manuel d utilisation du modèle Manuel d utilisation du modèle FLOWMAX-90 Chauffe-eau à condensation 85 000 BTU AVERTISSEMENT Si les consignes suivantes ne sont pas attentivement respectées, un feu ou une explosion peut se produire et

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima

Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima FORMATION CONTINUE DES ENSEIGNANTS EN GÉOGRAPHIE DU CYCLE D'ORIENTATION SUR LA THÉMATIQUE DU NUCLÉAIRE Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima Walter Wildi FACULTE DES SCIENCES, UNVERSITE

Plus en détail

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements

Plus en détail

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,

Plus en détail

Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN

Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN COLLECTIF 6 TRAITEMENT DES DGI 7 LES AUTRES MODIFICATIONS 2 A la une INFO La mise en application prévue au 1er juin 2013 nécessitera la publication de son arrêté de

Plus en détail

Vannes à 2 ou 3 voies, PN16

Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 4 847 Vannes 2 voies VVP47.-0.25 à VVP47.20-4.0 Vannes 3 voies VXP47.-0.25 à VXP47.20-4.0 Vannes 3 voies avec Té de bipasse VMP47.-0.25 à VMP47.15-2.5 Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 VMP47... VVP47... VXP47...

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau

Plus en détail

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température

Plus en détail

CAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES

CAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du

Plus en détail

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications

Plus en détail

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le

Plus en détail

Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité.

Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité. Généralités Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité. L habilitation est la reconnaissance, par l

Plus en détail

18 Février 2011 à 12 Heures

18 Février 2011 à 12 Heures MARCHES PUBLICS DE SERVICES Ville d Auterive Place du 11 novembre 1918 31190 AUTERIVE 05 34 28 19 30 Cahier des Clauses Administratives Particulières Création d une médiathèque dans le bâtiment dénommé

Plus en détail

Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP

Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP Jean-Christophe Dalouzy ANP 17 Novembre 2014 Rencontres Jeunes Chercheurs Sommaire Présentation du groupe AREVA Présentation du cycle du combustible Présentation

Plus en détail

CI-APRÈS DÉSIGNÉ LE «MINISTÈRE»,

CI-APRÈS DÉSIGNÉ LE «MINISTÈRE», CONVENTION DE PARTICIPATION AU PROGRAMME DE PRISE EN CHARGE DU DOSSIER DE SANTÉ ET SÉCURITÉ DU TRAVAIL POUR LES S D ÉCONOMIE SOCIALE EN AIDE DOMESTIQUE ENTRE : LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX,

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite, la Loi sur le régime de rentes du Québec et d autres dispositions législatives

Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite, la Loi sur le régime de rentes du Québec et d autres dispositions législatives PREMIÈRE SESSION TRENTE-HUITIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 68 (2008, chapitre 21) Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite, la Loi sur le régime de rentes du Québec et d autres

Plus en détail

Rapport du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0824

Rapport du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0824 Rapport du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0824 Octobre 2011 Ministre de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada 2011 No de catalogue : CC172-77/2011F-PDF ISBN 978-1-100-98149-9

Plus en détail

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel.

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Alain BONTEMPS, Directeur du CEFRI -NOMBRE DE TRAVAILLEURS EXPOSES (Nucléaire): Total: 60

Plus en détail

PEE - EN SAVOIR PLUS SUR LES CAS DE DÉBLOCAGE

PEE - EN SAVOIR PLUS SUR LES CAS DE DÉBLOCAGE PEE - EN SAVOIR PLUS SUR LES CAS DE DÉBLOCAGE Affectation des sommes épargnées à l acquisition de la résidence principale BÉNÉFICIAIRES Le titulaire du compte d épargne salariale. SITUATIONS ET PIÈCES

Plus en détail

Food. Notes de Doctrine IFS, Version 2

Food. Notes de Doctrine IFS, Version 2 Food Notes de Doctrine IFS, Version 2 Mars 2013 PrÉAMBULE Les notes de doctrine sont constituées de toutes les clarifications à caractère normatif apportées par l IFS depuis la publication de l IFS Food

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

PREAMBULE. Baccalauréat professionnel spécialité Environnement nucléaire 5

PREAMBULE. Baccalauréat professionnel spécialité Environnement nucléaire 5 PREAMBULE Le candidat au baccalauréat professionnel environnement nucléaire doit préalablement à son entrée en formation être informé des conditions suivantes : 1)Afin d éviter le risque d exclusion pour

Plus en détail

Gestion d un chantier nucléaire

Gestion d un chantier nucléaire Gestion d un chantier nucléaire Michel TACHON CEA - Marcoule Sommaire Généralités - phases d un chantier nucléaire -organisation Prise en compte des exigences de sûreté-sécurité-radioprotection Préparation

Plus en détail

RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95

RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 PUBLIC CONCERNE Responsables, cadres technico-commerciaux, chefs de chantier «preneurs de permis» et chefs d équipe des entreprises ayant à intervenir dans

Plus en détail

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique

Plus en détail

CATALOGUE DE hformation GAZ

CATALOGUE DE hformation GAZ CATALOGUE DE hformation GAZ 6 Rue des Bonnes Gens 68025 COMAR CEDEX Tél : 03.69.28.89.00 Fax : 03.69.28.89.30 Mail : contact@coprotec.net Site : www.coprotec.net SOMMAIRE PRESENTATION... 3 NOS FORMATIONS

Plus en détail

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE. Fonction. Avertissements Gamme de produits Caractéristiques techniques

MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE. Fonction. Avertissements Gamme de produits Caractéristiques techniques 8/FR www.caleffi.com Groupes de transfert pour installations solaires Copyright Caleffi Séries 8 9 MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE Fonction Avertissements Gamme de produits Caractéristiques

Plus en détail

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 LES CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUES I/ PRINCIPE GENERAL Un chauffe-eau thermodynamique (CET) est un générateur thermodynamique

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail