Les Modèles d Efforts En résumé
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- Denise Rousseau
- il y a 8 ans
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1 Les Modèles d Efforts En résumé Daniel Gile daniel.gile@yahoo.com 1
2 Opérations automatiques et contrôlées (1) Opérations automatiques : Subconscientes Très rapides Involontaires Ne demandent quasiment pas de capacité de traitement Opérations contrôlées : Moins rapides Conscientes en grande partie Consomment de la capacité de traitement S automatisent progressivement au fil des répétitions 2
3 Opérations automatiques et contrôlées (2) La compréhension du discours La production du discours Les manipulations d informations en mémoire Sont des opérations contrôlées, en ce sens qu elles comportent au moins certaines composantes non automatiques 3
4 La déverbalisation sous l angle de l économie cognitive (1) Dans l esprit de la Théorie Interprétative de la Traduction, le concept de déverbalisation correspond à l oubli au moins partiel de la forme linguistique d un message concomitant à sa compréhension : En général, à mesure que se dégage le sens porté par l information auditive ou visuelle à travers laquelle se manifeste l énoncé, ce sens est utilisé pour construire un sens plus large du vouloir-dire de l énonciateur (p. ex. le sens des mots est intégré avec celui d autres mots pour construire le sens d une phrase) et Le sens intégré est transféré en mémoire à long terme L information auditive ou visuelle qui en a été le vecteur est évacuée de la mémoire de travail et n est transférée que partiellement en mémoire à long terme car elle devient généralement peu utile, encombre l espace de stockage très limité dont dispose la mémoire de travail et peut faire obstacle au traitement cognitif des énoncés en mobilisant des ressources attentionnelles 4
5 La déverbalisation sous l angle de l économie cognitive (2) Il s agit d un processus automatique et non pas d une opération contrôlée. Il se retrouve naturellement dans toute opération de compréhension du langage et n est pas propre à la traduction ou à l interprétation Au fil des ans, dans les milieux traductologiques, le terme a acquis d autre acceptions. Certains enseignants se servent du verbe «déverbaliser» pour désigner une prise de distance délibérée par rapport à la forme linguistique de l énoncé que l on va traduire quand on va en reformuler le sens en langue d arrivée. Cette dissociation linguistique délibérée est souvent nécessaire, surtout chez les étudiants, car la présence de l énoncé de départ en mémoire de travail au fil de la traduction et de l interprétation simultanée induit la tentation de chercher à traduire à partir de la forme et non pas du sens, peutêtre en vertu de la loi du moindre effort, parce que des automatismes d équivalences linguistiques économisent des ressources attentionnelles mais ils conduisent souvent à des maladresses, voire à des fautes. 5
6 Le Modèle d Efforts (ME) de la simultanée entre langues vocales et d une langue des signes vers une langue vocale R + M + P + C R : Réception (écoute et analyse ou visionnage et analyse) du discours de départ P : Production du discours d arrivée M : Effort de stockage et de récupération d information sur une période courte C: Effort de coordination (affectation de la capacité de traitement CT aux différents Efforts) 6
7 Le Modèle d Efforts de la simultanée d une langue vocale vers une langue des signes * E + M + P + GE + IS + C E : Réception par écoute et analyse GE : Gestion de l espace : l interprète en langue des signes ILS doit à tout moment trouver le meilleur endroit pour entendre et voir d une part, être vu de l autre IS : Effort d interaction en ligne avec les personnes sourdes, qui signent entre elles ou signent à l intention de l interprète pendant que l orateur Entendant parle Note: En P, mémoire spatiale fortement sollicitée pour se rappeler position des entités dans l espace de signation * Adaptation à l ILS sur la base des travaux (en cours) de Sophie Pointurier Pournin 7
8 Le Modèle d Efforts de la consécutive (1) Phase de réception : E + M + PN + C PN : Production de notes, qui remplace la production du discours en simultanée. Phase de reformulation : LN + RD + P + C LN : Lecture des Notes RD : Reconstruction du discours à partir de la mémoire à long terme et des notes - Pression cognitive forte en phase de réception Nettement moins forte en phase de reformulation, une fois que la peur de parler en public et la tendance à reprendre ses notes mot pour mot sont surmontées - Prise de notes plus lente qu articulation, risque de décalage temporel conduisant à saturation de mémoire de travail. - Symboles aident seulement quand ils sont maîtrisés Choisir langue et système de notation qui viennent le plus facilement et rapidement 8
9 Le Modèle d Efforts de la consécutive (2) La consécutive fait intervenir la prise de notes La mémoire à long terme y est davantage sollicitée qu en simultanée Il est réducteur de dire que la simultanée est une consécutive plus rapide Mais faire de la consécutive permet de prendre de bonnes habitudes d analyse et de dissociation des langues, ce qui est probablement utile pour la simultanée par la suite. Elle permet également des diagnostics des points forts et faiblesses des étudiants 9
10 Le Modèle d Efforts de la traduction à vue L + M + P + C L : Effort de lecture Impression fallacieuse de facilité, car pas de risque de perte d information en MDT. En réalité, grande difficulté d inhibition de la langue de départ, donc exercice difficile 10
11 Le Modèle d Efforts de la simultanée avec texte L : Effort de lecture E : Effort d écoute L + E + M + P + C Impression fallacieuse de facilité, car pas de risque de perte d information en MDT. En réalité, exercice difficile car double réception (écoute + lecture), et discours prononcé ne concorde pas toujours avec texte écrit + difficultés liées aux textes écrits, plus denses que discours spontanés + prosodie moins utile pour suivre que dans discours spontanés. Tendance à faire de la traduction à vue, avec perte de contact avec discours prononcé Mais possibilité de rattraper, voire d anticiper grâce au texte une fois qu on a l habitude. 11
12 Conditions nécessaires pour que l interprétation fonctionne 1. Total de capacité traitement (ressources attentionnelles) requise inférieur ou égal à capacité de traitement disponible TR TD 2. A tout moment, suffisamment de capacité traitement affectée à chaque Effort pour qu il puisse accomplir la tâche dans laquelle il est engagé (compréhension, production, stockage/récupération d informations depuis MLT, coordination) Si l une des conditions n est pas réunie, saturation cognitive et grand risque d erreur, omission ou maladresse. 12
13 Hypothèse de la corde raide L hypothèse de la corde raide dit que l interprète a tendance à travailler à proximité de la saturation cognitive Donc, toute augmentation des besoins en capacité de traitement risque de provoquer une saturation Toute erreur dans la gestion de la CT (affectation des ressources attentionnelles aux différents Efforts) risque de provoquer un déficit momentané, donc une saturation par rapport à la tâche dans laquelle l Effort en question est engagé La saturation peut intervenir en aval du segment déclencheur par report du déficit cognitif 13
14 Déclencheurs de problèmes (1) Augmentation des besoins en capacité de traitement : - Discours rapides, denses, lus - Enumérations - Noms propres composés - Accents non familiers - Logique difficile à saisir - Mauvaise qualité du son/mauvaise visibilité du signant - Phrases syntaxiquement complexes - Interprétation vers une langue d arrivée syntaxiquement et lexicalement très différente de la langue de départ Vulnérabilité aux baisses momentanées d attention : Mots courts avec peu de redondance, y compris noms propres, mots monosyllabiques et bisyllabiques, langue à faible redondance grammaticale 14
15 Déclencheurs de problèmes (2) Situations appelant des décisions diplomatiques : Erreurs sur le fond Propos politiquement incorrects Situations de stress chez l interprète Peur de la difficulté Enjeux Détresse ou stress des protagonistes 15
16 Les tactiques (1) Tactiques : décisions pour faire face aux problèmes dans l immédiat (Stratégies : décisions avec planification) Différentes tactiques connues : - Attendre pour avoir davantage d infos - Paraphraser - Importer le termes de la langue étrangère - Naturalisation instantanée - Traduction littérale - Hyperonymie - Omission délibérée - Consultation de collègue - Consultation de documents en cabine - Information donnée aux délégués 16
17 Les tactiques (2) En interprétation en langue des signes: - Pointage - Labialisation - Dactylologie partielle ou complète - Scénarisation - Néologisme signé (avec accord de l interlocuteur Sourd)? 17
18 Sélection des tactiques (1) 1. Recherche de restitution maximum du Message (Certaines tactiques restituent davantage d informations que d autres) 2. Recherche d impact maximum dans sens voulu par orateur/client (Informer, expliquer, convaincre, faire faire ou ne pas faire) 3. Recherche de la moindre interférence cognitive entre une tactique et la restitution d autres informations (Si tactique prend trop de temps ou de capacité de traitement, risque de saturation qui affectera un autre segment de discours) Loi du moindre Effort (à combattre) Loi de l autoprotection (à combattre) Loi du respect des normes de la communauté Sourde (?) 18
19 Stratégies Préparation sur le fond par acquisition de connaissances extralinguistiques Préparation linguistique par lecture de documents, écoute d enregistrements, préparation de glossaires, sessions de briefing Maintenance linguistique pour préserver/augmenter la disponibilité linguistique dans les langues de travail Partage des discours/orateurs entre membres de l équipe d interprètes 19
20 Stratégies et tactiques en traduction (1) Conditions de production différentes des conditions dans lesquelles se déroule l interprétation : Presque toujours, les traducteurs disposent d au moins plusieurs minutes, et souvent de plusieurs heures, voire plusieurs jours, pour prendre chacune de leurs décisions (quelques fractions de seconde à quelques secondes en interprétation) La pression cognitive chez les traducteurs est donc très faible par rapport à celle qui s exerce sur les interprètes, sauf dans des exercices particuliers de traduction en ligne immédiate qui ne seront pas traités ici. 20
21 Stratégies et tactiques en traduction (2) Conditions de réception par destinataires différentes : En interprétation, du côté du délégué, perception directe et unique du discours interprété et signé, construction d une représentation du sens et oubli partiel au moins de la forme linguistique sous laquelle chaque élément de sens a été présenté (la fameuse «déverbalisation» côté délégué). En traduction, la déverbalisation chez le lecteur destinataire intervient aussi, mais peut être contrecarrée par une nouvelle lecture du même segment. Possibilité de s arrêter sur un segment de texte d arrivée, de le comparer au texte de départ, d en goûter la qualité stylistique ou de la critiquer. En conséquence, la qualité linguistique et la fidélité sémantique de la traduction doivent être supérieures à celles requises en interprétation 21
22 Stratégies et tactiques en traduction (3) Les tactiques en traduction sont donc plus exigeantes quant au résultat final. Les principales lois déterminant leur sélection sont - la recherche de la restitution informationnelle maximum - l obtention de l impact maximum dans le sens souhaité par l auteur. En principe, tout problème doit trouver une solution qui résiste à de multiples lectures. Donc consultation et recherche dans sources extérieures, puis réflexion sur risques et pertes avant décision. 22
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