LA SANTE DES JEUNES MARTINIQUAIS

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1 Observatoire de la Santé de la Martinique Entrée Hôpital Clarac, Pavillon Lyautey Fort de France Tél : Fax : Directeur de Publication : Frantz Ventura Rédaction : S. Merle, V. Boudan ISSN : Numéro 29 Mars 2002 LE BULLETIN DE L OBSERVATOIRE DE LA SANTE DE LA MARTINIQUE LA SANTE DES JEUNES MARTINIQUAIS E n 1997, la deuxième Conférence Régionale de Santé avait choisi de se consacrer principalement à la prévention et la promotion de la santé des enfants et des adolescents. Plusieurs thèmes avaient été traités : asthme, comportements dépressifs de l adolescence et tentatives de suicide, autisme, conduites addictives, sexualité et grossesses précoces, troubles de la relation parentsenfant, maltraitance. Suite à cela un Programme Régional de Santé sur l asthme a été mis en place. Fin 2001, la sixième Conférence Régionale de Santé a de nouveau porté son attention sur la santé des jeunes. L accent a été mis notamment sur des problématiques déjà abordées en 1997 : grossesses précoces, souffrance physique et suicide, conduites addictives. Ce 29 ième numéro d OSM Flash présente les principales informations disponibles sur les jeunes martiniquais. 1 I. CONTEXTE 1. Démographie Au dernier recensement de Mars 1999, l'insee a dénombré près de jeunes de moins de 25 ans en Martinique, soit 36 % de la population totale. Comparativement à la Métropole, la Martinique a une structure d âge plus jeune, mais c'est aussi le département des Antilles-Guyane le plus âgé (les moins de 25 ans représentent 38 % de la population guadeloupéenne, 50 % de la population guyanaise, et 31 % de la population métropolitaine). Depuis 30 ans, le nombre de jeunes ainsi que leur proportion dans la population totale n'ont cessé de diminuer. Les naissances ont fortement diminué entre 1970 et 1980 (passant de 9000 à 5400), pour remonter jusqu en 1990 suite à une augmentation du nombre de femmes en âge de procréer. Depuis 1994, le nombre de naissances tend à se stabiliser autour de 5700 par an avec une légère remontée en 2000 (6133 naissances). Évolution entre 1967 et 1999 des moins de 25 ans en Martinique en effectifs et proportion par rapport à la population totale % % % % % Source : INSEE, Recensements de la population 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% Alors qu'en on enregistrait encore 2,1 enfants par femme, l'indice conjoncturel de fécondité est passé sous la barre du seuil de 0%

2 2 remplacement des générations. Il était de l'ordre de 1,9 enfants par femme en Comme presque partout dans le monde, il naît plus de garçons que de filles en Martinique (en moyenne 104 garçons pour 100 filles), mais une mortalité plus élevée chez les garçons atténue progressivement cet écart. Dès 22 ans l'équilibre est atteint et ensuite le nombre de filles ne cesse d'être plus important que celui des garçons. 2. Caractéristiques des familles Le recensement de 1999 a montré également que la composition des familles évolue, les générations cohabitent moins souvent que par le passé. Le nombre moyen de personnes qui composent un ménage est désormais de 2,9 contre 3,3 en Les types de familles les plus fréquemment rencontrées, sont les familles monoparentales (37,8%), les couples avec enfant(s) (36,4 %), et les couples sans enfants (25,8%). Les ménages comprenant une seule personne représentent 24,8% des ménages. En Martinique 38,4 % des enfants relèvent d'une famille monoparentale. Cette situation est liée à la tradition (les femmes élèvent seules leurs enfants) mais aussi à une évolution plus récente (l'éclatement des couples). Autre caractéristique de la société martiniquaise, le faible nombre de mariages qui se traduit notamment par une forte proportion de naissances hors mariage (2 sur 3 contre 1 sur 3 en Métropole). 3. Éducation et diplômes La scolarité est obligatoire de 6 à 16 ans. Mais entre 2 et 3 ans, 40% des enfants sont déjà scolarisés et presque tous le sont à 4 ans. La population scolaire s'élève à plus de élèves ( à la rentrée ) dont plus de la moitié dans les écoles maternelles et élémentaires, un tiers dans les collèges et un cinquième en lycées. Malgré une amélioration constante, la proportion de non-diplômés est toujours beaucoup plus élevée qu'en Métropole. Ainsi dans la tranche d'âge ans, 27 % des hommes et 17 % des femmes sont sans diplôme, 11 % ont le Bac et moins de 5 % un diplôme d'études supérieures. L'Université des Antilles-Guyane a vu le nombre d'étudiants inscrits doubler en 10 ans pour ensuite diminuer de 10% en Ils sont environ actuellement dont près de la moitié sur le Campus de Schœlcher. Leur orientation se fait principalement vers les Lettres et Sciences Humaines, puis vers les Sciences et le Droit. II. MORTALITE Sur la période , 102 décès ont été enregistrés en moyenne chaque année chez les jeunes de moins de 25 ans, soit 4,8 % de l'ensemble des décès. En comparant les taux standardisés de mortalité des périodes et pour les jeunes de moins de 25 ans, on observe une augmentation de 20% pour les garçons mais une diminution de 15,5% pour les filles (chez les garçons 75 décès pour habitants contre 90, et chez les filles 58 contre 49). Ces évolutions sont statistiquement significatives. La mortalité infantile a continué de diminuer au cours des dernières années puisque l'on est passé de 23 décès pour 1000 naissances vivantes en 1980 à 6,8 décès pour 1000 en La Martinique reste le département d'outre-mer le mieux placé pour cet indicateur. L'amélioration de la mortalité infantile ne doit cependant pas faire oublier qu'il reste encore beaucoup à accomplir pour réduire la mortalité périnatale et la prématurité. En 1997 (dernières données disponibles par sexe), les taux de mortalité infantile de la Martinique étaient encore supérieurs aux taux de la métropole. Taux de mortalité infantile (pour naissances vivantes) par sexe en 1997 Martinique Métropole Garçons 8,3 5,2 Filles 7,4 4,1 Source : INSEE

3 Taux de mortalité par age et par sexe entre 1 et 24 ans (Taux pour habitants, période 95-98) ,4 53,2 25,9 19,0 Garçons Filles 138,9 1-4 ans 5-14 ans ans Source : INSERM, INSEE RP 99 50,1 Les principales causes de mortalité varient selon l âge et le sexe. C est entre 5 et 14 ans que les taux sont les plus bas. Chez les garçons, les morts violentes prédominent surtout pour les ans (77,5% des décès dans cette tranche d âge). Chez les filles également on retrouve les morts accidentelles mais pour une plus faible part, ainsi que les décès par cancers ou maladies cardiovasculaires. Avant 15 ans, il existe peu de différence entre le nombre moyen de décès masculins et le nombre moyen de décès féminins. A partir de 15 ans, la différence s accentue : on observe presque trois fois plus de décès chez les garçons que chez les filles. Chez les garçons : PRINCIPALES CAUSES DE DECES ENTRE 1 ET 24 ANS (moyenne annuelle ) De 1 à 4 ans 3 38,5% Tumeurs 1 15,4% Anomalies congénitales <1 11,5% Autres maladies 2 34,6% Total 7 100% De 5 à 14 ans 2 40% Tumeurs 2 32% Autres maladies 2 28% Total 6 100% De 15 à 24 ans 22 77,5% Maladies de l'app. circulatoire 2 6,3% Tumeurs 1 3,6% Maladies de l'app. respiratoire 1 3,6% Autres maladies 2 9% Total % 3 Chez les filles : De 1 à 4 ans Maladies de l'app. circulatoire 2 31,5% Anomalies congénitales 1 21,1% Maladies infectieuses <1 15,8% <1 15,8% Autres maladies <1 15,8% Total 5 100% Source : INSERM De 5 à 14 ans 2 50% Tumeurs <1 16,7% Autres maladies 2 33,3% Total 5 100% De 15 à 24 ans 2 22,5% Symptômes, signes et états morbides mal définis 2 17,5% Tumeurs 1 12,5% Maladies de l'app. circulatoire 1 12,5% Maladies du syst. nerveux 1 10% Maladies de l'app. respiratoire 1 10% Autres maladies 2 15% Total % * En raison des petits effectifs, les pourcentages ont été calculés sur le total des 4 années et non sur la moyenne annuelle, d où des décalages entre N et les pourcentages III. MORBIDITE Peu d informations sur l état de santé des jeunes martiniquais sont disponibles en routine. Les médecins de l Éducation Nationale examinent chaque année les enfants de grande section de maternelle ou de cours préparatoire (bilan de 6 ans) et ceux de 3 ième (bilan d orientation), mais ces données ne sont pas informatisées. Il est souvent nécessaire de recourir à des enquêtes spécifiques pour mieux connaître la prévalence de certaines maladies. Chez les adultes, les principaux problèmes de santé peuvent être estimés à partir des données d admission en longue durée mais les plus jeunes sont moins souvent concernés par une des 30

4 4 affections ou groupes d affections entraînant la suppression du ticket modérateur. Au titre du régime général et de la CANAM, en moyenne 4900 admissions en ALD ont été prononcées chaque année sur la période en Martinique. Les moins de 25 ans représentent 8,3% de ces admissions soit environ 406 admissions par an. Dans cette tranche d âge, les pathologies les plus fréquentes sont : - les troubles mentaux (20 %), - l'insuffisance respiratoire grave (14 %), - la drépanocytose (11 %), - la scoliose structurale évolutive (9 %), - la forme grave d une affection neuromusculaire (9 %). Mis à part pour la naissance, c est entre 1 et 24 ans que le recours à l hospitalisation est le moins fréquent. L enquête de morbidité hospitalière , réalisée sur l ensemble des établissements hospitaliers de court séjour publics et privés, avait montré qu avant 15 ans une hospitalisation sur 4 était motivée par une maladie de l'appareil respiratoire, 1 sur 5 par une maladie de l'appareil digestif et 1 sur 10 par les traumatismes et. Cette enquête n a pas été renouvelée depuis mais la généralisation du PMSI (Programme de Médicalisation des Systèmes d Information) à l ensemble des établissements de court séjour de Martinique devrait permettre de connaître la fréquence et les motifs d hospitalisation des jeunes martiniquais. Quelques études ont déjà permis de mieux connaître certains problèmes de santé comme l asthme [1] ou la drépanocytose [2]. Dans ce numéro, nous mettrons l accent sur l alimentation, la couverture vaccinale et les jeunes en difficulté d insertion. 1. L état nutritionnel L évolution du niveau de vie fait que la Martinique est de plus en plus confrontée au problème des maladies de surcharge et non à celui des maladies de carences. Les études réalisées en France métropolitaine montrent que la proportion d enfants obèses ou en surcharge pondérale s accroît. Nous disposons de peu d informations pour notre département. En effet, la première enquête alimentaire d envergure réalisée en Martinique date de 1981 [3]. Depuis deux enquêtes en milieu scolaire ont permis d évaluer l alimentation des jeunes martiniquais. En 1990, une étude [4] montrait déjà que l alimentation des collégiens se rapprochait de celle des jeunes des pays économiquement développés avec notamment un fort pourcentage d énergie d origine protéique, une consommation excessive d acides gras saturés et une consommation excessive de glucides simples. A cette époque, le choix des aliments consommés plaçait déjà les collégiens à un carrefour entre «alimentation occidentale» et «alimentation traditionnelle». L étude réalisée en 2001 [5] auprès d un échantillon d élèves de quatrième retrouve également cette tendance à l abandon des aliments locaux et au rapprochement avec les habitudes alimentaires des jeunes occidentaux. Chez ces jeunes âgés en moyenne de 14 ans, 12% des filles et 11% des garçons ont une surcharge pondérale et 7% des filles et 8% des garçons sont obèses. La mise en place en 2002 du Programme National Nutrition Santé s accompagnera probablement d une nouvelle enquête nutritionnelle qui permettra de mieux connaître les caractéristiques de la population martiniquaise dans ce domaine. 2. La couverture vaccinale des enfants de moins de 6 ans Une enquête est régulièrement effectuée par le service des Actions de Santé du Conseil Général en collaboration avec l OSM pour connaître la couverture vaccinale des jeunes martiniquais [6]. Les résultats de l enquête 2000 sont résumés dans les tableaux ci-dessous. La couverture vaccinale est donnée à 12 ou 24 mois, elle correspond à la proportion d enfants ayant reçu le vaccin considéré avant l âge de 12 ou 24 mois. Certaines vaccinations sont soumises à des critères précis pour considérer qu un enfant est correctement vacciné (âge minimal auquel l enfant doit recevoir le vaccin, délai minimal entre 2 doses d un même vaccin). Lorsque c est le cas les résultats tiennent compte de ces critères et la proportion d enfants a tendance à diminuer. Enfants nés en : Vaccination par le BCG % Vaccination par le DTP 1 (3 injections ) % Vaccination contre la Coqueluche (3 injections) % Vaccination contre Haemophilus influenzae ( 3 injections) % 1 Diphtérie Tétanos Poliomyélite

5 1998 Couverture vaccinale à 12 mois 1997 Couverture vaccinale à 24 mois Entre 1993 à 1996 Couverture vaccinale à 24 mois 74,6% 89,2% 70,4% 88,3% 69,2% 76,3% 60,0% 88,6% 96,6% 88,6% 95,3% 87,3% 80,5% 72,5% 82,1% 98,1% 93,2% 98,1% 92,0% 50,8% 48,1% Vaccination par le R.O.R 2-1 ère injection Vaccination par le R.O.R 2 ème injection Enfants nés en : 1997 Couverture vaccinale à 24 mois Entre 1993 à 1996 Couverture vaccinale à 24 mois % 80,5% 78% 81,3% 76% Enfants nés en Entre 1993 à 1996 % d enfants au moment de l enquête % 40,5% 37% La comparaison des résultats entre les enquêtes de 1990 et 1997 avait montré une amélioration de la couverture vaccinale des jeunes martiniquais contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, qui s expliquait notamment par la généralisation du vaccin triple permettant de protéger contre ces 3 maladies en une seule injection. Les résultats pour ce vaccin entre 1997 et 2000 montrent une légère amélioration non significative de la couverture vaccinale. Cependant ces résultats restent inférieurs aux objectifs préconisés par l Organisation Mondiale de la Santé : 90 % des enfants de 2 ans, avec à terme élimination définitive de ces 3 maladies. Pour la zone Caraïbe l objectif était même l éradication de la rougeole pour l an En 1999, une campagne de sensibilisation a eu lieu en Martinique pour informer les parents et les professionnels de santé de l'intérêt d une deuxième dose de vaccin ROR entre 3 et 6 ans. Les premiers effets de cette campagne apparaissent puisque 37 % des enfants de 3 à 6 ans enquêtés en juin 2000 ont reçu une deuxième dose de vaccin ROR. Une prochaine enquête de couverture vaccinale permettra d évaluer la généralisation de cette mesure. Evolution de la couverture vaccinale, à 24 mois contre Rougeole - Oreillons - Rubéole entre 1997 et % 78% Enfants âgés de 2 ans 74% 76% Enfants âgés de 3 à 6 ans Les jeunes en difficulté d'insertion Sur la période , neuf médecins ont évalué l état de santé des jeunes [7] en difficulté d insertion pris en charge par les PAIO (Permanences Accueil Information Orientation). Au total 1246 jeunes ont été vus lors de la visite médicale d aptitude au stage de réinsertion. Ces jeunes ont en moyenne 21,5 ans (extrêmes : 16 à 35 ans) et les filles sont plus nombreuses (68 %). 5 Les pathologies les plus fréquemment observées sont : - les troubles dentaires, 30 % des jeunes ont au moins une extraction et 9,5 % au moins une carie, - la surcharge pondérale, 31 % des filles dont 14% d obèses et 16 % des garçons dont 5% d obèses, - les problèmes gynécologiques, 26 % des filles présentent des troubles du cycle menstruel ou des maladies sexuellement transmissibles, 2 Rougeole Oreillons Rubéole

6 - les problèmes ophtalmologiques, 14 % portent des lunettes ou présentent une autre affection ophtalmologique, - les problèmes dermatologiques, 12 % des jeunes ont surtout de l'acné mais aussi des mycoses ou de l'eczéma, - les allergies, 12 % des jeunes se déclarent allergiques, il s'agit plus souvent d'allergie respiratoire que d'allergie alimentaire ou cutanée. IV. SITUATIONS ET COMPORTEMENTS A RISQUE 6 1. Alcool, tabac et drogues illicites Depuis 1994, les médecins de l Éducation Nationale et l OSM évaluent les consommations de substances psychoactives chez les jeunes scolarisés. En 2000, l enquête [8] a été menée auprès d'un échantillon représentatif de 1422 élèves : 787 élèves des classes de 3 ième et 635 élèves de lycées. a. Les élèves des classes de 3 ème La moyenne d âge des collégiens est de 15,2 ans (extrêmes : 13 à 17 ans). En ce qui concerne l'alcool, les jeunes ont surtout une consommation de type occasionnel. Le rhum est moins consommé que la bière ou les autres boissons alcoolisées. Les consommateurs réguliers d'alcool représentent 12% des jeunes enquêtés. L ivresse a déjà été expérimentée au moins une fois par 22% des filles et 32% des garçons. Si 78% des filles et 68% des garçons n ont jamais été ivres, à l'opposé 2 % des filles et 4 % des garçons le sont plus de 2 fois par an. Globalement 85 % des collégiens interrogés se déclarent non fumeurs, 9 % fumeurs occasionnels et 6 % fumeurs réguliers. Les proportions de fumeurs réguliers sont les mêmes quel que soit le sexe. 15% disent avoir consommé au moins 1 fois une ou des drogues illicites. L'herbe, seule ou en association est la plus consommée. Les garçons sont plus souvent consommateurs que les filles (22% contre 9%). Les «expérimentateurs» (une seule consommation) représentent la moitié des jeunes ayant déjà consommé. b. Les élèves de lycées La moyenne d âge des lycéens est de 18,7 ans (extrêmes : 16 à 23 ans). En ce qui concerne l'alcool, comme pour les collégiens, la consommation est surtout de type occasionnel. De même, le rhum est moins consommé que la bière ou les autres boissons alcoolisées. Les consommateurs réguliers d'alcool représentent 11% des jeunes enquêtés. L ivresse a déjà été expérimentée au moins une fois par 31% des filles et 41% des garçons. Si 69% des filles et 59% des garçons n ont jamais été ivres, à l'opposé 1% des filles et 10% des garçons le sont plus de 2 fois par an. Globalement 85% des lycéens interrogés se déclarent non fumeurs, 11% fumeurs occasionnels et 9% fumeurs réguliers. Les proportions de fumeurs réguliers sont les mêmes quel que soit le sexe. 22% disent avoir consommé au moins 1 fois une ou des drogues illicites. L'herbe, seule ou en association est la plus consommée. Les garçons sont encore plus souvent consommateurs que les filles (30% contre 14%). La part des «expérimentateurs» reste de une sur deux chez les filles mais n est plus que d un sur trois chez les garçons. c. Comparaisons Comparativement aux mêmes types d'enquêtes réalisées en Métropole, on observe moins de tabagisme, d'ivresses et de consommation de drogues illicites. Depuis l enquête de 1997, les consommations de tabac et d alcool restent stables, alors que la proportion de jeunes ayant consommé au moins une fois un produit illicite augmente passant de 11% à 15% chez les collégiens, et de 17% à 22% chez les lycéens. Ces résultats et les différences très nettes pour le tabac et les produits illicites comparativement à la Métropole ont été retrouvés au cours de l enquête ESCAPAD Suicides et tentatives de suicides On a enregistré en moyenne 26 décès par suicide chaque année sur la période , dont 10,7% chez les jeunes de moins de 25 ans. Parmi cette tranche d âge, seuls les ans sont concernés. Sur cette période, les décès sont tous masculins sauf une femme. En moyenne, on enregistre 2,5 décès

7 par suicide chez les garçons et moins d un décès par suicide chez les filles. Moins d informations sont disponibles sur les tentatives de suicide. Une étude réalisée en 1993 avait recensé 443 tentatives de suicide cette année là. Les moins de 25 ans représentaient 36% de l'ensemble de ces tentatives, avec une différence significative selon le sexe puisque 23 % des tentatives de suicide masculines concernaient des moins de 25 ans contre 43% des tentatives féminines. 3. Accidents de la route Les accidents de la route occasionnent en moyenne 1 tué chaque semaine et 1 blessé grave par jour en Martinique. Chez les jeunes de moins de 25 ans on enregistre 16,5 décès 3 chaque année (moyenne ) soit 16,1 % des décès de cette tranche d'âge. La surmortalité masculine est nette : 2,4 décès masculins pour 1 décès féminin. D après la DDE 4, entre 1995 et 2000, parmi les usagers de deux-roues, 60 % des tués et 56% des blessés graves ont entre 15 et 24 ans. Chez les piétons, 33 % des blessés graves ont moins de 15 ans. Chez les automobilistes, 30% des personnes décédées ont moins de 25 ans et 27% des blessés graves ont moins de 25 ans. Répartition des tués et blessés graves par accidents de la route par âge de 1995 à De 0 à 14 ans Source : DDE 92 De 15 à 24 ans tués blessés graves 4. Grossesses précoces et Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) Depuis 1997, on enregistre environ 5700 naissances chaque année. La proportion de mères âgées de moins de 18 ans est de l'ordre de 2 %. Les grossesses chez les très jeunes filles (<15 ans) sont peu nombreuses, moins de 10 chaque année (2 en 1999 et 10 en 2000). On enregistre également une centaine d'accouchements chez des jeunes filles âgées de 15 à 18 ans non révolus. Depuis 1997, on enregistre environ 2300 IVG chaque année. La proportion d IVG réalisées chez les jeunes filles mineures oscille entre 4,8% et 5,8%. L analyse des bulletins d interruption de grossesse récoltés de juillet 2000 à mars 2001, indique que sur cette période, 1740 IVG ont été réalisées dont 137 sur des jeunes filles mineures. Cette proportion de mineures est plus élevée que la proportion de mineures observée en 2000 : 7,9% contre 5,4% (p<0,001). Parmi ces jeunes filles, 20 avaient déjà eu au moins une grossesse, qui s était terminée par une naissance pour 12 d entre elles et une IVG pour les 8 autres. Sur l'ensemble des conceptions, chaque année en moyenne 3 % surviennent chez des jeunes filles de moins de 18 ans. Cette proportion reste stable entre 1997 et Le graphique ci-contre indique la proportion d accouchements survenus chez des mères mineures et la proportion d IVG réalisées chez les mineures Ces données sont celles de l INSERM. Il existe une légère différence entre ces données et celles de la DDE : en effectuant le même calcul avec les données DDE, cette moyenne est de 15 décès sur cette période. 4 Direction Départementale de l Équipement

8 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0% IVG et proportions d'accouchements chez les mineures 5,8% 5,4% 5,1% 4,8% 2,6% 2% 2,4% 2,4% Accouchements IVG Sources : I.R.S., P.M.I., exploitation OSM V. CONCLUSION 8 L e nombre et la proportion des jeunes de moins de 25 ans dans la population martiniquaise ne cesse de diminuer. Mis à part la période périnatale où de nombreux problèmes restent à résoudre et la mise en place du réseau périnatalité devrait y contribuer, on peut considérer que la santé des jeunes martiniquais est plutôt bonne. Les vaccinations ont fait reculer les maladies infectieuses, les conditions sanitaires sont satisfaisantes, ainsi que l état nutritionnel bien que des problèmes de surcharge pondérale commencent à devenir préoccupants. C'est entre 5 et 14 ans que les taux de mortalité sont les plus bas mais dès l'adolescence situations et comportements à risque mettent en danger la santé de certains jeunes. Il est important de donner à chacun les connaissances et les possibilités de prendre en charge sa propre santé. Les données disponibles sur la santé des jeunes martiniquais sont souvent peu nombreuses et il devient alors nécessaire de réaliser des enquêtes spécifiques pour obtenir des informations. Certains domaines devraient être enquêtés prochainement (sexualité et adolescence, facteurs de risque associés à l asthme). Par ailleurs les médecins scolaires sont amenés à voir chaque année un grand nombre d enfants et d adolescents, l informatisation des données recueillies au cours de ces visites pourrait permettre de mieux connaître l état de santé des jeunes martiniquais. BIBLIOGRAPHIE [1]. MERLE S.- Prévalence de l asthme et des manifestations allergiques chez les enfants et les adolescents de Martinique en Janvier 1999 Observatoire de la Santé de Martinique, OSM Flash n 21. [2]. GIBOYAU J., MERLE S., ROSINE J.- Drépanocytose en Martinique - Mars 2000 Observatoire de la Santé de Martinique, OSM Flash n 24 et 25. [3]. ORSTOM- - Enquête alimentaire en Martinique 1981 [4]. TEISSEDRE Bettina - Étude de la consommation alimentaire spontanée des enfants scolarisés de la 6 ème à la 3 ème en Martinique Octobre 1990 Thèse pour le doctorat en médecine, Faculté de médecine de Montpellier. [5]. CAIUS Nathalie - Enquête sur les habitudes alimentaires et d activité physique sur un échantillon représentatif d adolescents martiniquais - Octobre 2001 Mémoire DESS «Nutrition et alimentation dans les pays en développement»,université de MontpellierII. [6]. ROSINE J., MERLE S., VIGEE D. Enquête couverture vaccinale Martinique Juin Rapport Observatoire de la Santé de la Martinique. [7]. ROSINE J, MERLE S. État de santé des jeunes de 16 à 25 ans en difficulté d insertion, Mai 2000 Rapport OSM, CMPES et Conseil Régional. [8]. MERLE S., CHATENAY S. Évaluation en milieu scolaire de la consommation de tabac, alcool et drogues illicites Rapport Observatoire de la Santé de la Martinique

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