ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot Septembre 2010

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1 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010

2 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne

3 Les ménages comme agents économiques - 1 Agents caractérisés par trois fonctions économiques Consommer des biens et services Epargner Travailler

4 Les ménages comme agents économiques - 1 Agents caractérisés par trois fonctions économiques Consommer des biens et services Epargner Travailler

5 Les ménages comme agents économiques - 1 Agents caractérisés par trois fonctions économiques Consommer des biens et services Epargner Travailler

6 Les ménages comme agents économiques - 2 Les ménages sont confrontés à deux types de choix (arbitrages) essentiels Consommation/loisir offre de travail des ménages Consommation/épargne choix intertemporel de consommation

7 Les ménages comme agents économiques - 2 Les ménages sont confrontés à deux types de choix (arbitrages) essentiels Consommation/loisir offre de travail des ménages Consommation/épargne choix intertemporel de consommation

8 Quelques faits stylisés - démographie Population française (en 2010) : environ 65 millions Espérance de vie (en 2009) : 77,8 pour les hommes, 84,5 pour les femmes Indicateur conjoncturel de fécondité : 2 en 2009 (1,9 en 2000 et 1,8 en 1990) Proportion des plus de 60 ans : 23% en 2010, contre 17% en 1980 (ou 14% en 1930)

9 Quelques faits stylisés - démographie Population française (en 2010) : environ 65 millions Espérance de vie (en 2009) : 77,8 pour les hommes, 84,5 pour les femmes Indicateur conjoncturel de fécondité : 2 en 2009 (1,9 en 2000 et 1,8 en 1990) Proportion des plus de 60 ans : 23% en 2010, contre 17% en 1980 (ou 14% en 1930)

10 Quelques faits stylisés - démographie Population française (en 2010) : environ 65 millions Espérance de vie (en 2009) : 77,8 pour les hommes, 84,5 pour les femmes Indicateur conjoncturel de fécondité : 2 en 2009 (1,9 en 2000 et 1,8 en 1990) Proportion des plus de 60 ans : 23% en 2010, contre 17% en 1980 (ou 14% en 1930)

11 Quelques faits stylisés - démographie Population française (en 2010) : environ 65 millions Espérance de vie (en 2009) : 77,8 pour les hommes, 84,5 pour les femmes Indicateur conjoncturel de fécondité : 2 en 2009 (1,9 en 2000 et 1,8 en 1990) Proportion des plus de 60 ans : 23% en 2010, contre 17% en 1980 (ou 14% en 1930)

12 Quelques faits stylisés - emploi Taux d activité (1er trimestre 2010) : 75,0% pour les hommes contre 66,2% pour les femmes Taux de chômage (1er trimestre 2010) : 9,5%, contre 8% en 2007 CDI, CDD et intérim (1er trimestre 2010) : 77% des emplois sont en CDI et 10% sont en CDD ou intérim Temps partiel (1er trimestre 2010) : 6% des hommes en emploi sont à temps partiel, contre 30% des femmes Part de l emploi dans les services : 77% en 2007 (contre 67,4 % en 1990) (agriculture : 3,3 %)

13 Quelques faits stylisés - emploi Taux d activité (1er trimestre 2010) : 75,0% pour les hommes contre 66,2% pour les femmes Taux de chômage (1er trimestre 2010) : 9,5%, contre 8% en 2007 CDI, CDD et intérim (1er trimestre 2010) : 77% des emplois sont en CDI et 10% sont en CDD ou intérim Temps partiel (1er trimestre 2010) : 6% des hommes en emploi sont à temps partiel, contre 30% des femmes Part de l emploi dans les services : 77% en 2007 (contre 67,4 % en 1990) (agriculture : 3,3 %)

14 Quelques faits stylisés - emploi Taux d activité (1er trimestre 2010) : 75,0% pour les hommes contre 66,2% pour les femmes Taux de chômage (1er trimestre 2010) : 9,5%, contre 8% en 2007 CDI, CDD et intérim (1er trimestre 2010) : 77% des emplois sont en CDI et 10% sont en CDD ou intérim Temps partiel (1er trimestre 2010) : 6% des hommes en emploi sont à temps partiel, contre 30% des femmes Part de l emploi dans les services : 77% en 2007 (contre 67,4 % en 1990) (agriculture : 3,3 %)

15 Quelques faits stylisés - emploi Taux d activité (1er trimestre 2010) : 75,0% pour les hommes contre 66,2% pour les femmes Taux de chômage (1er trimestre 2010) : 9,5%, contre 8% en 2007 CDI, CDD et intérim (1er trimestre 2010) : 77% des emplois sont en CDI et 10% sont en CDD ou intérim Temps partiel (1er trimestre 2010) : 6% des hommes en emploi sont à temps partiel, contre 30% des femmes Part de l emploi dans les services : 77% en 2007 (contre 67,4 % en 1990) (agriculture : 3,3 %)

16 Quelques faits stylisés - emploi Taux d activité (1er trimestre 2010) : 75,0% pour les hommes contre 66,2% pour les femmes Taux de chômage (1er trimestre 2010) : 9,5%, contre 8% en 2007 CDI, CDD et intérim (1er trimestre 2010) : 77% des emplois sont en CDI et 10% sont en CDD ou intérim Temps partiel (1er trimestre 2010) : 6% des hommes en emploi sont à temps partiel, contre 30% des femmes Part de l emploi dans les services : 77% en 2007 (contre 67,4 % en 1990) (agriculture : 3,3 %)

17 Les ressources des ménages Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne

18 Les ressources des ménages La rémunération des ménages Deux sources principales de revenu Offre de travail Rémunération du patrimoine

19 Les ressources des ménages La rémunération des ménages Deux sources principales de revenu Offre de travail Rémunération du patrimoine

20 Les ressources des ménages L offre de travail Offre de travail aux entreprises, à l Etat et aux autres ménages (services à la personne) Rémunération associée : salaire Attention : en économie, on parle d offre de travail pour les ménages et de demande de travail pour les entreprises ( demandeur d emploi...)

21 Les ressources des ménages L offre de travail Offre de travail aux entreprises, à l Etat et aux autres ménages (services à la personne) Rémunération associée : salaire Attention : en économie, on parle d offre de travail pour les ménages et de demande de travail pour les entreprises ( demandeur d emploi...)

22 Les ressources des ménages Les revenus du travail en France : quelques faits stylisés Distribution du revenu salarial annuel sur l ensemble des salariés (en 2007, source : Insee) 1er décile : euros Médiane : euros 9e décile : euros Comment expliquer cette disparité? SMIC (taux horaire brut, en euros) en 2010 : 8,86

23 Les ressources des ménages Les revenus du travail en France : quelques faits stylisés Distribution du revenu salarial annuel sur l ensemble des salariés (en 2007, source : Insee) 1er décile : euros Médiane : euros 9e décile : euros Comment expliquer cette disparité? SMIC (taux horaire brut, en euros) en 2010 : 8,86

24 Les ressources des ménages La rémunération du patrimoine - 1 Patrimoine professionnel (agriculteur, commerçant, profession libérale...), utilisé par les entrepreneurs individuels sous la forme de moyens de production. Ces agents perçoivent un revenu mixte (revenu du travail et du capital investi). Patrimoine immobilier, mis à la disposition d autres ménages. Rémunération via les loyers versés par les locataires.

25 Les ressources des ménages La rémunération du patrimoine - 1 Patrimoine professionnel (agriculteur, commerçant, profession libérale...), utilisé par les entrepreneurs individuels sous la forme de moyens de production. Ces agents perçoivent un revenu mixte (revenu du travail et du capital investi). Patrimoine immobilier, mis à la disposition d autres ménages. Rémunération via les loyers versés par les locataires.

26 Les ressources des ménages La rémunération du patrimoine - 2 Obligations : titres de dette, correspondent à un prêt des ménages aux entreprises ou à l Etat. Titres de durée de vie finie rémunérés par un intérêt fixe. Actions : titres de propriété détenus par les ménages sur les entreprises, mise à disposition de moyens financiers. Titres de durée de vie infinie rémunérés par des dividendes variables avec les résultats de l entreprise. Prêts aux banques : dépôt sur un compte rémunéré...

27 Les ressources des ménages La rémunération du patrimoine - 2 Obligations : titres de dette, correspondent à un prêt des ménages aux entreprises ou à l Etat. Titres de durée de vie finie rémunérés par un intérêt fixe. Actions : titres de propriété détenus par les ménages sur les entreprises, mise à disposition de moyens financiers. Titres de durée de vie infinie rémunérés par des dividendes variables avec les résultats de l entreprise. Prêts aux banques : dépôt sur un compte rémunéré...

28 Les ressources des ménages La rémunération du patrimoine - 2 Obligations : titres de dette, correspondent à un prêt des ménages aux entreprises ou à l Etat. Titres de durée de vie finie rémunérés par un intérêt fixe. Actions : titres de propriété détenus par les ménages sur les entreprises, mise à disposition de moyens financiers. Titres de durée de vie infinie rémunérés par des dividendes variables avec les résultats de l entreprise. Prêts aux banques : dépôt sur un compte rémunéré...

29 Les ressources des ménages Le revenu disponible des ménages Il s agit du revenu des ménages (du travail et du patrimoine) net des transferts (sécurité sociale, assurance chômage, retraite...) impôts et paiement des intérêts Notion pertinente pour les choix de consommation des ménages : revenu dont ils disposent réellement pour consommer

30 Les ressources des ménages Le revenu disponible des ménages Il s agit du revenu des ménages (du travail et du patrimoine) net des transferts (sécurité sociale, assurance chômage, retraite...) impôts et paiement des intérêts Notion pertinente pour les choix de consommation des ménages : revenu dont ils disposent réellement pour consommer

31 La consommation Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne

32 La consommation La consommation dans l économie Rôle fondamental dans l économie, contribution essentielle à la croissance En France (2009), dépenses de consommation : 57% du produit intérieur brut

33 La consommation La consommation dans l économie Rôle fondamental dans l économie, contribution essentielle à la croissance En France (2009), dépenses de consommation : 57% du produit intérieur brut

34 La consommation La consommation dans l économie : comparaison internationale (en 2009) Dépenses de conso. PIB Rapport France (mds d euros) % Zone euro (mds d euros) % Etats-Unis (mds d euros) % Source : Eurostat.

35 La consommation Les biens de consommation - 1 On distingue trois catégories de biens de consommation Biens de consommation finale : totalement détruits pour satisfaire les besoins au cours d une période (concerne les ménages, l Etat et le reste du monde) Biens de consommation intermédiaire : utilisés au cours du processus de production pour produire des biens de consommation finale (concerne les entreprises) Biens de consommation semi-durables et durables : biens utilisés sur plusieurs périodes (ex : voiture, ordinateur...)

36 La consommation Les biens de consommation - 1 On distingue trois catégories de biens de consommation Biens de consommation finale : totalement détruits pour satisfaire les besoins au cours d une période (concerne les ménages, l Etat et le reste du monde) Biens de consommation intermédiaire : utilisés au cours du processus de production pour produire des biens de consommation finale (concerne les entreprises) Biens de consommation semi-durables et durables : biens utilisés sur plusieurs périodes (ex : voiture, ordinateur...)

37 La consommation Les biens de consommation - 1 On distingue trois catégories de biens de consommation Biens de consommation finale : totalement détruits pour satisfaire les besoins au cours d une période (concerne les ménages, l Etat et le reste du monde) Biens de consommation intermédiaire : utilisés au cours du processus de production pour produire des biens de consommation finale (concerne les entreprises) Biens de consommation semi-durables et durables : biens utilisés sur plusieurs périodes (ex : voiture, ordinateur...)

38 La consommation Les biens de consommation - 1 On distingue trois catégories de biens de consommation Biens de consommation finale : totalement détruits pour satisfaire les besoins au cours d une période (concerne les ménages, l Etat et le reste du monde) Biens de consommation intermédiaire : utilisés au cours du processus de production pour produire des biens de consommation finale (concerne les entreprises) Biens de consommation semi-durables et durables : biens utilisés sur plusieurs périodes (ex : voiture, ordinateur...)

39 La consommation Les biens de consommation - 2 Par convention, on considère que l ensemble des biens achetés par les ménages, à l exception des logements, sont des biens de consommation finale

40 La consommation La répartition de la consommation finale des ménages (2008) Valeur (en milliards d euros) % dans la consommation Agriculture et IAA Produits manufacturés Energie 85 8 BTP 10 1 Services marchands Services non marchands 50 5 Total Source : Comptabilité nationale, Insee.

41 La consommation Comment mesurer la consommation finale? On distingue deux notions Dépenses de consommation finale des ménages (1100 milliards d euros en 2009) Consommation finale effective = dépenses de conso. finale + consommation à la charge des administrations publiques (éducation, santé... : 300 milliards en 2009)

42 La consommation Comment mesurer la consommation finale? On distingue deux notions Dépenses de consommation finale des ménages (1100 milliards d euros en 2009) Consommation finale effective = dépenses de conso. finale + consommation à la charge des administrations publiques (éducation, santé... : 300 milliards en 2009)

43 La consommation Compte des ménages : tableaux emplois-ressources Tableau emplois-ressources (TE/R) définissant le revenu disponible des ménages (RD) Tableau emplois-ressources définissant l épargne des ménages (S), part du revenu disponible non consommé Tableau emplois-ressources agrégé

44 La consommation Arbitrage intertemporel consommation/épargne Choix de consommation présente vs. consommation future, fonction des dépenses et revenus futurs anticipés par les ménages. Désynchronisation des recettes et dépenses, épargne ou désépargne (emprunt) selon les périodes. Constitution d une épargne de précaution si incertitude sur les revenus et dépenses futurs. Agent isolé (Robinson Crusoé) : transfert de revenu uniquement par l épargne (si ressources stockables...) Partenaires à objectifs complémentaires : l arbitrage peut jouer dans les deux sens (épargne et emprunt)

45 La consommation Arbitrage intertemporel consommation/épargne Choix de consommation présente vs. consommation future, fonction des dépenses et revenus futurs anticipés par les ménages. Désynchronisation des recettes et dépenses, épargne ou désépargne (emprunt) selon les périodes. Constitution d une épargne de précaution si incertitude sur les revenus et dépenses futurs. Agent isolé (Robinson Crusoé) : transfert de revenu uniquement par l épargne (si ressources stockables...) Partenaires à objectifs complémentaires : l arbitrage peut jouer dans les deux sens (épargne et emprunt)

46 La consommation Arbitrage intertemporel consommation/épargne Choix de consommation présente vs. consommation future, fonction des dépenses et revenus futurs anticipés par les ménages. Désynchronisation des recettes et dépenses, épargne ou désépargne (emprunt) selon les périodes. Constitution d une épargne de précaution si incertitude sur les revenus et dépenses futurs. Agent isolé (Robinson Crusoé) : transfert de revenu uniquement par l épargne (si ressources stockables...) Partenaires à objectifs complémentaires : l arbitrage peut jouer dans les deux sens (épargne et emprunt)

47 L épargne Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne

48 L épargne Comment épargner? Troisième type d arbitrage, entre les différents types de placements disponibles pour les ménages Actifs réels Actifs financiers (obligations, actions) Actifs monétaires Actifs étrangers et or Créances des contrats d assurance

49 L épargne Actifs réels (placements en nature) Biens immobiliers, terrains Oeuvres d art, objets de valeur mobilière...

50 L épargne Actifs réels (placements en nature) Biens immobiliers, terrains Oeuvres d art, objets de valeur mobilière...

51 L épargne Actifs financiers Obligations Actions

52 L épargne Actifs financiers Obligations Actions

53 L épargne Actifs monétaires Moyens de paiement émis par le système bancaire et circulant entre les agents économiques (monnaie, ex : pièces, billets...) Monnaie : actif liquide (immédiatement disponible pour régler des transactions contrairement aux autres actifs)... Non rémunéré! D où le coût d opportunité de détention de la monnaie = rendement moyen des actifs non monétaires

54 L épargne Actifs monétaires Moyens de paiement émis par le système bancaire et circulant entre les agents économiques (monnaie, ex : pièces, billets...) Monnaie : actif liquide (immédiatement disponible pour régler des transactions contrairement aux autres actifs)... Non rémunéré! D où le coût d opportunité de détention de la monnaie = rendement moyen des actifs non monétaires

55 L épargne Actifs monétaires Moyens de paiement émis par le système bancaire et circulant entre les agents économiques (monnaie, ex : pièces, billets...) Monnaie : actif liquide (immédiatement disponible pour régler des transactions contrairement aux autres actifs)... Non rémunéré! D où le coût d opportunité de détention de la monnaie = rendement moyen des actifs non monétaires

56 L épargne Actifs étrangers et or Titres étrangers : autre unité de compte que les titres domestiques Monnaie étrangère : moins liquide que la monnaie domestique, pouvoir d achat futur plus incertain (dépend du taux de change lors de la conversion)... Détention justifiée par ex. si dépréciation de la monnaie domestique (idem pour or)

57 L épargne Actifs étrangers et or Titres étrangers : autre unité de compte que les titres domestiques Monnaie étrangère : moins liquide que la monnaie domestique, pouvoir d achat futur plus incertain (dépend du taux de change lors de la conversion)... Détention justifiée par ex. si dépréciation de la monnaie domestique (idem pour or)

58 L épargne Actifs étrangers et or Titres étrangers : autre unité de compte que les titres domestiques Monnaie étrangère : moins liquide que la monnaie domestique, pouvoir d achat futur plus incertain (dépend du taux de change lors de la conversion)... Détention justifiée par ex. si dépréciation de la monnaie domestique (idem pour or)

59 L épargne Créances des contrats d assurance Créance contingente, contrat donnant lieu à un versement en fonction de l occurence de certains évènements (retraite, maladie, décès...), contre le paiement initial d une prime

60 L épargne Evolution du patrimoine des ménages français En 2007 : milliards d euros, dont en logements. Le patrimoine des ménages représente aujourd hui plus de 6 fois le revenu disponible brut des ménages... contre le triple en Aux Etats-Unis, ce ratio est passé de 5 à plus de 6,5 sur la même période. Déterminants de l accroissement du patrimoine (ou encours) des ménages? Comportement d épargne des ménages (flux de placements) et appréciation des actifs détenus (hausse de leur valeur : plus-value).

61 L épargne Evolution du patrimoine des ménages français En 2007 : milliards d euros, dont en logements. Le patrimoine des ménages représente aujourd hui plus de 6 fois le revenu disponible brut des ménages... contre le triple en Aux Etats-Unis, ce ratio est passé de 5 à plus de 6,5 sur la même période. Déterminants de l accroissement du patrimoine (ou encours) des ménages? Comportement d épargne des ménages (flux de placements) et appréciation des actifs détenus (hausse de leur valeur : plus-value).

62 L épargne Evolution du patrimoine des ménages français En 2007 : milliards d euros, dont en logements. Le patrimoine des ménages représente aujourd hui plus de 6 fois le revenu disponible brut des ménages... contre le triple en Aux Etats-Unis, ce ratio est passé de 5 à plus de 6,5 sur la même période. Déterminants de l accroissement du patrimoine (ou encours) des ménages? Comportement d épargne des ménages (flux de placements) et appréciation des actifs détenus (hausse de leur valeur : plus-value).

63 L épargne Décomposition des variations du patrimoine Trois composantes : flux d épargne, plus-value et dépréciation Flux d épargne des ménages : augmentation régulière au cours de la période Plus-value des actifs : comportement beaucoup plus volatile (traduit les variations des prix des actifs)...

64 L épargne Décomposition des variations du patrimoine Trois composantes : flux d épargne, plus-value et dépréciation Flux d épargne des ménages : augmentation régulière au cours de la période Plus-value des actifs : comportement beaucoup plus volatile (traduit les variations des prix des actifs)...

65 L épargne Décomposition des variations du patrimoine Trois composantes : flux d épargne, plus-value et dépréciation Flux d épargne des ménages : augmentation régulière au cours de la période Plus-value des actifs : comportement beaucoup plus volatile (traduit les variations des prix des actifs)...

66 L épargne Structure du patrimoine des ménages A partir de la fin des années 80, déformation en faveur des actifs financiers (de 43% en 1978 à près de 60% en 2000). Aujourd hui de l ordre de 50%. Sur la même période, baisse de la part du patrimoine immobilier puis augmentation depuis les années 2000 (45% fin 2001)...en lien avec l évolution de la valeur de ces actifs Sur la période , la valeur moyenne des actifs immobiliers a été multipliée par 2,8, contre plus de 25 pour les actifs boursiers!

67 L épargne Structure du patrimoine des ménages A partir de la fin des années 80, déformation en faveur des actifs financiers (de 43% en 1978 à près de 60% en 2000). Aujourd hui de l ordre de 50%. Sur la même période, baisse de la part du patrimoine immobilier puis augmentation depuis les années 2000 (45% fin 2001)...en lien avec l évolution de la valeur de ces actifs Sur la période , la valeur moyenne des actifs immobiliers a été multipliée par 2,8, contre plus de 25 pour les actifs boursiers!

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