DIAGNOSTIC THERMIQUE ET ENERGETIQUE

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1 DIAGNOSTIC THERMIQUE ET ENERGETIQUE Le République Grenoble - version du 22/09/ SYNDIC FONCIA ANDREVON 15, Rue Lesdiguières BP Grenoble Cedex 1

2 Diagnostic thermique et énergétique Page 2/66 PREAMBULE Ce diagnostic est un préalable. Préalable au projet d'exécution, préalable à la mission d'ingénierie. Il aide le maître d'ouvrage dans le choix des solutions et des intervenants compétents. Loin d'être une analyse sommaire d'améliorations évidentes, pas plus qu'un devis de travaux, le diagnostic fait ressortir des valeurs indicatives afin de permettre un choix entre différentes solutions, il ne saurait en aucun cas constituer une base contractuelle de référence. Cette étude, qui doit être suivie dans sa totalité, se décompose en trois phases indissociables. 1ére phase : Description et examen des locaux (utilisation, état du bâti et des installations, usages spécifiques des énergies, équipements particuliers, consommations). 2ème phase : Exploitation et traitement des données, calculs et interprétations de ces derniers pour mettre en évidence les améliorations à envisager, indication pour chaque intervention de son coût, des économies à en attendre. 3ème phase : Propositions de travaux cohérents adaptées aux caractéristiques propres au bâtiment étudié.

3 Diagnostic thermique et énergétique Page 3/66 SOMMAIRE I DESCRIPTION ET EXAMEN 5 I.1 Généralités 5 I.2 Description du bâti 8 I.2.1 Caractéristiques générales 8 I.2.2 Composition des parois 9 I.2.3 Ventilation 11 I.3 Points forts / points faibles du bâti 12 I.4 Description des installations thermiques 13 I.4.1 Conformité à la réglementation 13 I.4.2 Les installations thermiques 15 I.4.3 Distribution et émission 19 II Analyse thermique et énergétique 21 II.5 Calcul des déperditions 21 II.5.1 Caractéristiques thermiques retenues 21 II.5.2 Puissance et répartition des déperditions 22 II.5.3 Adéquation entre les besoins et la puissance souscrite 23 II.6 Analyse énergétique des consommations thermiques 24 II.6.1 Bilan des consommations pour le chauffage 24 II.6.2 Analyse des consommations d'énergie pour l'ecs 25 II.6.3 Analyse des consommations d'énergie pour le chauffage 26 II.6.4 Bilan des consommations 27 II.7 Analyse des consommations électriques et pistes de travaux 28 II.7.1 Analyse des consommations 28 II.7.2 Piste de travaux à étudier 28 III COMPARATIF ENERGETIQUE ET ECONOMIQUE 29 III.1 Généralités 29 III.2 Solution actuelle 30 III.3 Consommation théorique du chauffage 31 III.4 Consommation théorique de l'énergie pour l'ecs 32 III.5 Consommation théorique globale 33 III.6 Changement d énergie 35 IV TRAVAUX ENVISAGEABLES 36 IV.1 Travaux sur le bâti 36 IV.1.1 Remplacement des menuiseries 36 IV.1.2 Isolation des coffres de volets roulants 37 IV.1.3 Isolation des murs extérieurs 38 IV.1.4 Isolation des toitures terrasses 39 IV.1.5 Isolation des planchers sur sous-sols 40 IV.1.6 Amélioration de la ventilation 41

4 Diagnostic thermique et énergétique Page 4/66 IV.2 Travaux sur les installations 44 IV.2.1 Sobriété énergétique 44 IV.2.2 Mise en conformité de la sous-station 45 IV.2.3 Création d un réseau séparé côté Sud 46 IV.2.4 Création d un circuit régulé pour les commerces 47 IV.2.5 Désembouage 48 IV.2.6 Equilibrage 49 IV.2.7 Robinets thermostatiques 50 IV.2.8 Production d ECS semi-instantanée (ballon tampon) 51 IV.2.9 Création d une chaufferie collective au gaz 52 IV.2.10 Production d ECS solaire thermique 53 IV.2.11 Centrale photovoltaïque raccordée au réseau 55 IV.3 TRAVAUX PRIORITAIRES 59 V DIVERS 62 V.1 Crédit d impôts 62 V.2 Eco-prêt à taux zéro 64 V.3 Certificats d Economie d Energie (CEE) 66

5 Diagnostic thermique et énergétique Page 5/66 I.1 Généralités I DESCRIPTION ET EXAMEN Adresse : Le République 11, 13, 15 rue de la République et 16, 22 rue Sainte Claire Grenoble Localisation / situation : N Le République Descriptif de la copropriété : Nombre de bâtiments : 1 Date de construction : 1968 Altitude : 210 mètres

6 Diagnostic thermique et énergétique Page 6/66 Surface/ volume chauffés : m² / m 3 environ Nombre de montée : 5 Nombre de niveaux : R+9 Nombre d équivalents logements : 90 logements (9 T2, 27 T3, 27 T4, 18 T5 et 9 T6) Rez-de-chaussée : Le rez-de-chaussée est composé halls d entrées et de commerces Le premier étage est à usage professionnel. Ventilation : naturelle Mode de chauffage et de production d eau chaude sanitaire : Chauffage : collectif par sous-station du chauffage urbain Type d émetteurs : radiateurs Eau chaude sanitaire : collectif par sous-station du chauffage urbain Localisation de la sous-station : en sous-sol en partie Est sous l entrée des garages. Informations complémentaires : Le diagnostic thermique et énergétique est réalisé sans sondage destructif. La composition des parois est déterminée à partir des plans, de l inspection visuelle menée sur le bâti lors de la visite et des informations communiquées par les copropriétaires rencontrés. Un plan d étage courant et un plan du rez-de-chaussée du bâtiment le République à Grenoble nous ont été fournis.

7 Diagnostic thermique et énergétique Page 7/66 Vues extérieures du bâtiment : Le République : Façade Sud Pignon Ouest Façades Nord et Ouest Galerie Sainte Claire Pignon Nord et façade Est

8 Diagnostic thermique et énergétique Page 8/66 I.2 Description du bâti I.2.1 Caractéristiques générales Taux de vitrage (hors commerces) : Le taux de vitrage correspond à la surface totale des ouvrants (fenêtres et portesfenêtres) divisée par la surface totale des façades déperditives donnant sur l extérieur. Un taux de vitrage important signifie plus d apports solaires, si les façades vitrées sont bien orientées mais en contrepartie et surtout, plus de déperditions, les ouvrants étant une source de déperdition préférentielle. Taux de vitrage : 35% Commentaire : Le taux de vitrage du bâtiment est un peu fort. Classiquement, pour des bâtiments datant de la même époque, ce taux se situe en moyenne aux alentours de 30%. Coefficient de compacité (hors commerces) : Le coefficient de compacité correspond à la somme des surfaces déperditives divisée par le volume total à chauffer. Un coefficient de compacité important signifie que la forme du bâti est défavorable sur le plan thermique. Coefficient de compacité : 0,36 Commentaire : Le coefficient de compacité est faible (bâtiment compact). Classiquement, ce taux se situe aux alentours de 0,42. La forme homogène du bâtiment explique ce bon résultat.

9 Diagnostic thermique et énergétique Page 9/66 I.2.2 Composition des parois Murs extérieurs Les murs extérieurs sont d origine. Il y a deux types de compositions différentes. La première est constituée d un complexe fibrociment et lame d air recouvert par un panneau assimilé marbre. La seconde est composée d un complexe béton et lame d air recouvert par un parement en pierre blanc. Les murs extérieurs sont dépourvus d isolation. Les murs intérieurs sur locaux non chauffés sont en béton plein et dépourvus d isolation. Menuiseries extérieures : Les menuiseries d origines sont des fenêtres et portesfenêtres en acier simple vitrage. Certains copropriétaires ont remplacé leurs menuiseries. L âge et la qualité de celles-ci sont inconnus. De ce fait, dans le cadre du diagnostic, les calculs seront effectués avec les caractéristiques des menuiseries d origine. Fenêtre métallique coulissante simple vitrage d origine Les occultations sont des volets roulants. Les coffres des volets roulants sont intérieurs au bâtiment. Ils sont en panneaux de bois contreplaqué recouvert d un feutre de faible épaisseur. Toiture sommitale : Coffre de volet-roulant intérieur Aucune réfection globale d étanchéité de la toiture sommitale n a eu lieu depuis 24 ans. A priori, il n y a pas eu d isolation rajoutée à cette occasion. L isolation en place est donc celle d origine. Par conséquent, nous considérerons donc une isolation de type liège + brai classique pour des bâtiments des années 60/70. Pour information la durée de vie moyenne d une étanchéité est de l ordre d une vingtaine d année.

10 Diagnostic thermique et énergétique Page 10/66 Planchers : Les planchers déperditifs sont les planchers sur les garages, les planchers donnant sur les halls d entrée et les planchers sur extérieur. Les planchers donnant sur les garages est isolé en sous face par 5 cm de Fibralith. Néanmoins l épaisseur et la performance thermique de cette isolation est très faible. Les planchers sur hall sont composés d une dalle en béton et d un complexe lame d air et lambris. Les planchers sur extérieur sont composés d une dalle en béton recouverte d une couche de sable.

11 Diagnostic thermique et énergétique Page 11/66 I.2.3 Ventilation Les logements sont en ventilation naturelle. Les principes généraux ci-dessous sont issus de l examen des plans d architecte et de la visite de plusieurs logements. Le principe de ventilation des logements est une ventilation par pièces séparées. Les WC et salles de bains possèdent une amenée d air et une extraction par conduits de type shunt (collectifs). Des grilles de ventilation hautes et basses sont présentes en façade au niveau des cuisines. Grille de ventilation raccordée au conduit shunt La ventilation des pièces dites sèches (chambres, séjours ) est assurée par ouverture des fenêtres. Dans les faits, ces pièces sont également «ventilées» par les infiltrations au niveau des coffres des volets roulants et des menuiseries. A noter la présence de conduits de fumées de type shunt dans les cuisines. Conduit de fumées de type shunt Commentaire : Le principe actuel de ventilation naturelle séparée n est pas très satisfaisant sur le plan du confort et de la consommation d énergie pour le chauffage Préalablement à toute analyse, rappelons que l air à l'intérieur d un logement est généralement plus pollué que l air extérieur. Les sources de pollutions sont multiples : peintures, vernis, produits ménagers, animaux de compagnies... Certains polluants sont d ailleurs produits par le propre métabolisme des occupants : CO2, vapeur d eau. A titre d exemple, une personne peut produire en une nuit plus de 300 g de vapeur d eau. Les pièces sèches (chambres, séjours, ) ne sont ventilés que par les infiltrations lorsque les fenêtres sont fermés, ce qui est le cas la majeure partie du temps en période de chauffe. Lorsque ces pièces sont occupés, le débit de renouvellement d air est généralement insuffisant pour garantir des conditions d hygiènes satisfaisantes. Par ailleurs, une ventilation insuffisante favorise les phénomènes de condensation au niveau des parois froides qui peuvent générer des dégradations. En cas de remplacement des menuiseries, la diminution des infiltrations par les ouvrants peut conduire à une aggravation de ces phénomènes. Les WC et salles de bains sont pourvus d une évacuation sur conduit. Le débit de renouvellement d air est lié au tirage thermique dans les conduits. Le tirage thermique dépend essentiellement de deux facteurs : le vent et la différence de température entre l intérieur et l extérieur. En hiver, la différence de température entre l intérieur et l extérieur est importante, d où un débit de ventilation souvent excessif avec des conséquences en termes de confort et de consommation d énergie.

12 Diagnostic thermique et énergétique Page 12/66 I.3 Points forts / points faibles du bâti Points forts Mitoyenneté du pignon nord jusqu au 5ème étage Bonne compacité Points faibles Taux de vitrage un peu élevé Mauvaise performance thermique des parois extérieures Menuiseries acier d origine simple vitrage Coffres de volets roulants intérieurs Ventilation naturelle : débits non maîtrisés

13 Diagnostic thermique et énergétique Page 13/66 I.4 Description des installations thermiques I.4.1 Conformité à la réglementation Les questions de conformité du local sous-station sont à discuter avec la Compagnie de Chauffage Urbain. Nous indiquerons toutefois dans ce rapport les points de non conformité à la réglementation actuelle que nous avons relevé lors de la visite. Cette liste n est pas exhaustive. Sécurité incendie : La porte d accès principale à la chaufferie est une porte en tôle. Elle ne respecte pas le degré coupe-feu 1h imposé par la réglementation. Cette porte d accès ne comporte pas de ferme-porte. Porte d accès à la chaufferie Le plafond de la sous-station est un plafond en béton comprenant en sous face des panneaux de Fibralith. La réglementation impose que le plafond présente un degré coupe-feu 2h et qu il soit composé d un matériau incombustible (classement M0). La Fibralith est coupe-feu 2 h mais n est pas classée M0. Par ailleurs, nous avons constaté une rupture du degré coupe feu, notamment au niveau d une descente d eau usée (percement). De même, les murs de la sous-station, en béton plein, présentent des ruptures du degré coupe-feu 2h au niveau de passages de câbles au dessus de la porte d entrée (trous à boucher). Passage de câbles Par ailleurs la présence de chutes, gaines ou câbles étrangers au fonctionnement de la sous-station sont proscrits par la réglementation.

14 Diagnostic thermique et énergétique Page 14/66 Sécurité des personnes : Absence de bloc autonome d éclairage de sécurité. Pollution : Absence de clapet anti-pollution sur le circuit d eau froide alimentant la production d ECS. Divers : Divers matériels (vélo, poubelles en plastique, échelles, aspirateurs, ) se trouvent dans la sousstation. Seul le matériel nécessaire au fonctionnement d une sous-station est admis. Matériel inutile en chaufferie Deux anciens ballons d eau chaude sanitaire de litres sont présents en sousstation. Ces ballons étant inutilisés ils sont à évacuer. Les équipements électriques sont disséminés dans plusieurs armoires. Il serait souhaitable de les regrouper. Nous avons constatés la présence d une soupape entartrée sur le bouclage ECS au niveau de l échangeur à plaques. Soupape entartrée

15 Diagnostic thermique et énergétique Page 15/66 I.4.2 Les installations thermiques La sous-station est localisée en sous-sol en partie Est sous l entrée des garages. Schéma d implantation : Légende : 1 : Pompe de chauffage 2 : Vanne 3 voies de régulation 3 : Vanne 3 voies de régulation ECS 4 : Pompes ECS 5 : Echangeur à plaques pour l ECS 6 : Pompe de recyclage ECS 7 : Echangeur Chauffage Urbain 8 : Groupe de Maintien de pression Puisard Ballon ECS Ventilation haute 6 Ballon ECS Armoire élec. Ventilation basse 7 GMP Schéma d implantation sous-station Schéma hydraulique :

16 Diagnostic thermique et énergétique Page 16/66 Principaux équipements : Echangeur Chauffage Urbain : Puissance souscrite : kw Année : 2010 Panoplie hydraulique chauffage : Pompe chauffage Marque : Modèle : Type : Age : SALMSON NRB 122 (3 kw) pompe sur socle indéterminé Echangeur urbain Marque : Modèle : Type : Age : SALMSON NRD 122-4D (3 kw) pompe sur socle indéterminé Pompes de chauffage Vanne 3 voies de régulation : Marque : SIEMENS Type : VBF Age : Récente Servomoteur : Acvatix SQL 33 Age : Récent Vanne 3 voies de régulation

17 Diagnostic thermique et énergétique Page 17/66 Régulation circuit chauffage : Régulateur : Marque : Modèle : Age : SIEMENS RVL470 Récent Le mode de régulation est classique. Il s agit d une régulation de la température de l eau de chauffage en fonction de la température extérieure par l action d une vanne 3 voies motorisée montée en mélange. La température de l eau de chauffage est fixée par une loi d eau paramétrée au niveau du régulateur. Le pied de courbe est à 22 C de consigne de départ pour 20 C de température extérieure. Pour une température extérieure de -10 C, la consigne de chauffage est de 65 C. La régulation comprend un réduit de nuit de 5 C sur la température d eau de chauffage (soit presque 2 C sur la température d ambiance) de 23h30 à 5h00. A la vue de cette courbe, on peut remarquer qu'il y a une légère surchauffe dans les logements. Commentaire : Le pied de courbe est un peu élevé : 22 C de consigne de départ pour 20 C de température extérieure (20 C extérieur = aucun beso in en chauffage). Ce point peut traduire soit : - Une dérive du régulateur ou un problème de sonde compensé par un réglage artificiel ; - Un problème d équilibrage : mauvaise répartition des débits obligeant à surchauffer la majorité des logements pour pouvoir chauffer correctement les logements défavorisés sur le plan hydraulique. Système d expansion : L installation n est raccordée à un groupe de maintien de pression. Groupe de maintien de pression : Marque : PRESSOSMART Age : Récent Groupe de maintien de pression

18 Diagnostic thermique et énergétique Page 18/66 Production d'eau chaude sanitaire : La production d eau chaude sanitaire est de type instantané par échangeur à plaques. Commentaire : La production d ECS étant instantanée, elle sollicite une puissance importante. Echangeur à plaques : Marque / modèle : URANUS 242 Puissance : 985 kw pour un primaire à 80 C Ancienneté : 1986 Préparateur ECS Pompes de bouclage : Marque : Modèle : GRUNDFOS indéterminé Pompes de bouclage

19 Diagnostic thermique et énergétique Page 19/66 I.4.3 Distribution et émission Distribution chauffage : La distribution de chauffage comprend 3 circuits Le premier dessert uniquement l agence Immobilière B2C ; Le second dessert les commerces du rez-de-chaussée, les bureaux du 1 er étage et les logements de l immeuble. Le dernier dessert le reste des magasins de la galerie marchande Sainte Claire. Il est regrettable que les retours des différents circuits ne soient pas équipés de vanne de réglage de débit. Départs chauffage en sous-station La distribution du chauffage est de type vertical. Les réseaux de chauffage cheminent aux plafonds des garages. Tés de réglage Les réseaux de chauffage sont calorifugés en partie horizontale par de la laine minérale + coquille de plâtre. La distribution est complexe. Elle comprend des piquages primaires sur le réseau principal puis des piquages secondaires. Des vannes d arrêts et des tés de réglages anciens sont présents mais pas sur tous les pieds de colonne. Vannes d arrêt Les colonnes sont parfois apparentes et parfois derrière le doublage. Colonne Colonne apparente Colonne derrière doublage

20 Diagnostic thermique et énergétique Page 20/66 Emission : Les radiateurs d origine sont des radiateurs en fonte avec robinets double réglage sans té d isolement. Certains robinets double réglage ont été remplacés par des robinets simple réglage, détruisant ainsi l'équilibrage initial. Radiateur d origine avec robinet double réglage Absence de tés d isolement Les radiateurs du dernier étage sont équipés de purgeurs automatiques. Distribution eau chaude sanitaire : La distribution d'ecs est de type bouclée. Un bouclage hydraulique assure le maintien en température de la distribution principale afin que chaque occupant ait de l'eau chaude quasiment instantanément. Les occupants se plaignent d un problème de température de l eau froide qui est tiède. La présence, dans une même gaine technique, des tubes d ECS et de bouclage non calorifugés explique ce réchauffement de l'eau froide. Colonnes eau froide, eau chaude + bouclage

21 Diagnostic thermique et énergétique Page 21/66 II.5 Calcul des déperditions II ANALYSE THERMIQUE ET ENERGETIQUE II.5.1 Caractéristiques thermiques retenues Désignation et composition e λ R K Tau Mur sur extérieur en marbre TOTAL /hi + 1/he - vertical sur extérieur Marbre Lame d'air faiblement ventilée Fibro-ciment Mur sur extérieur en pierre TOTAL /hi + 1/he - vertical sur extérieur Parement en pierre blanc Lame d'air non ventilée Béton plein masse à Mur sur cage TOTAL /hi + 1/he - vertical sur LNC Béton plein masse à Terrasse TOTAL /hi + 1/he - horizontal ascendant sur extérieur Liège expansé+brai 100<masse vol.< Béton plein masse à Plancher sur hall TOTAL /hi + 1/he - horizontal descendant sur LNC Lambris Lame d'air Béton plein masse à Sable sec Plancher sur extérieur TOTAL /hi + 1/he - horizontal descendant sur extérieur Béton plein masse à Sable sec P.fenêtre acier battante s.vitrage Fenêtre acier coulissante s.vitrage Coffre de volet roulant Porte palière Pont thermique terrasse Pont thermique intermédiaire Pont thermique refend Pont thermique angle sortant Pont thermique angle rentrant Ventilation Les parois sont caractérisées par les valeurs suivantes : e = épaisseur des matériaux en mètre. λ = conductivité thermique des matériaux en W/m. C. R = résistance thermique des matériaux en m² C/W. K (ou U) = coefficient de transmission surfacique de la paroi en W/m² C. Tau = coefficient de correction de température applicable aux locaux non chauffés.

22 Diagnostic thermique et énergétique Page 22/66 II.5.2 Puissance et répartition des déperditions Données de base : Température extérieure de base : Température ambiante : Station météo de référence : Zone climatique : Altitude : -11 C 20 C Grenoble St Martin d Hères H1 210 mètres Important : Les déperditions ci-dessous sont calculées avec les caractéristiques des menuiseries d origine. Par ailleurs, les déperditions des commerces sont calculées en considérant un coefficient G moyen de 1,5 W/m 3. C. Puissance des déperditions : Les déperditions pour ces 2 bâtiment sont de W soit environ kw. Le coefficient G est de 1,33 W/m³. C. PUISSANCE DES DEPERDITIONS : kw G = 1,33 W/m³. C Commentaire : Le coefficient G se situe dans la moyenne des coefficients G constatés sur des immeubles datant de la même époque (1968), moyenne comprise entre 1,3 et 1,4 W/m 3.C. Répartition des déperditions : Commentaire : La répartition des déperditions est classique pour un bâtiment datant de cette époque. La part principale des déperditions est due aux ouvrants (35%) et est donc à traiter en priorité. Les déperditions par les murs extérieurs (25%) et les déperditions par ventilation et infiltrations (23%) représentent les seconds et troisièmes postes de déperdition.

23 Diagnostic thermique et énergétique Page 23/66 II.5.3 Adéquation entre les besoins et la puissance souscrite Puissance souscrite : kw La formule usuelle pour le calcul de la puissance à souscrire est la suivante : Puissance déperditions x 1,15 + Puissance ECS Puissance de déperditions : kw Puissance du préparateur ECS (primaire à 80 C) : 98 5 kw Puissance à souscrire : x = kw Commentaire : Les résultats ci-dessus montrent que la puissance souscrite a été bien négociée : kw contre kw (calcul théorique) si l on applique la formule usuelle de calcul détaillée précédemment.

24 Diagnostic thermique et énergétique Page 24/66 II.6 Analyse énergétique des consommations thermiques II.6.1 Bilan des consommations pour le chauffage Données de base : Le Syndic nous a communiqué les données suivantes pour le bâtiment : Factures de la Compagnie de Chauffage Urbain du 01/01/2007 au 30/09/2009 ; Consommations d eau chaude sanitaire du 01/01/2007 au 30/05/2010 ; A partir de ces données, nous avons déterminé la consommation moyenne en chauffage de la copropriété. Remarques : Energie primaire / énergie finale : La consommation d énergie s exprime tantôt en énergie primaire et tantôt en énergie finale. L énergie finale est l énergie effectivement consommée par le bâtiment pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire, l éclairage... L énergie primaire est égale à l énergie finale à laquelle on applique un coefficient correcteur destiné à prendre en compte les pertes liées à la production et au transport de l énergie jusqu au site (cas de l électricité) ou encore le caractère renouvelable de la ressource (cas des combustibles bois). DJU18 : Les DJU18 sont une donnée météorologique mesurée par Météofrance qui traduit la sévérité du climat. Plus le nombre de DJU18 est important sur une saison de chauffe, plus la saison de chauffe a été rigoureuse.

25 Diagnostic thermique et énergétique Page 25/66 II.6.2 Analyse des consommations d'énergie pour l'ecs Calcul du ratio ECS : De juin à septembre, les consommations énergétiques correspondent uniquement à la production d ECS. Ces données permettent de calculer le ratio moyen ECS qui correspond à la quantité moyenne d énergie consommée pour produire 1m3 d eau chaude sanitaire. Température moyenne d eau chaude : 60 C Température moyenne d eau froide : 10 C Capacité calorifique de l eau : 1.16 kwh/m3. C Les consommations énergétiques mensuelles sont connues. Les consommations d eau chaude seront estimées au prorata temporis à partir des consommations annuelles. Conso ECS (m3) Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Total MOYENNE 1778 Ratio moyen de consommation d'ecs : 22 m3/an.logt Calcul du rendement ECS : Consommation Ratio ECS Ratio ECS (Juin-Août) MWh m3 MWh/m , , ,284 MOYENNE 0,208 Besoins énergétique pour l'ecs : = 1,16 x (TEC - TEF)/1000 0,058 MWh/m3 Rendement moyen ECS : = Besoins ECS / Ratio ECS 28% Commentaires : Le ratio moyen de consommation d ECS est de 22 m 3 par an et par logement (Hors commerces et bureaux du premier étage). Ce ratio est faible par rapport à la consommation moyenne communément observée dans les copropriétés (25 m 3 par an et par logement). Le rendement ECS est très mauvais (28%) d autant que les pertes de production par l échangeur urbain sont très faibles en comparaison d une chaudière. Seules les pertes du bouclage peuvent expliquer ce mauvais résultat. L isolation des canalisations d ECS permettrait d améliorer ce rendement. Etant donné que les colonnes passent dans des gaines techniques, le manque d espace disponible rend impossible le calorifugeage des canalisations.

26 Diagnostic thermique et énergétique Page 26/66 II.6.3 Analyse des consommations d'énergie pour le chauffage Le ratio d ECS ayant été calculé, il est possible de répartir la consommation totale entre la part chauffage et la part ECS. Conso CU (MWh) Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Total Année Conso. totale (MWh) Conso. ECS (m3) Conso. ECS (MWh) Conso. chauf. (MWh) DJU18 Ratio chauf. 0,208 MWh/m3 = Conso.totale - Conso. ECS Du 1/10 au 20/05 MWh/DJU , , ,56 MOYENNE ,55 Consommation moyenne pour le chauffage : 2283 x 0,55 = 1260 MWh/an soit 53 Wh/m².DJU Commentaire : Le ratio de chauffage est égal à 53 Wh/m².DJU ce qui est raisonnable. Le ratio généralement rencontré, pour des bâtiments datant de cette époque, varie entre 60 et 70 Wh/m².DJU.

27 Diagnostic thermique et énergétique Page 27/66 II.6.4 Bilan des consommations Chauffage ECS TOTAL MWh/an m3/an MWh/an MWh/an Rappel de la surface habitable : m² Ratio de la consommation : / = 156 kwh/m².an Emissions de CO2 : Facteur d émission : 161 g de CO2 par kwh d énergie finale. Chauffage ECS TOTAL kgco2/an kgco2/an kgco2/an Ratio des émissions de CO2 : / = 25 kgco2/m².an Cotation sur l échelle du DPE : Le décret n du 14 septembre 2006 a intro duit dans le code de la construction et de l habitation, le Diagnostic de Performance Energétique (DPE). Aujourd hui, la réalisation d un DPE est obligatoire préalablement à une vente et à la location d un logement. Les performances des logements diagnostiqués sont affichées et classées sur deux étiquettes. Il nous a semblé intéressant de positionner la copropriété sur l échelle du DPE. Attention, les cotations ci-dessous ne sont pas un DPE tel que prévu par la réglementation. Ces résultats ne peuvent en aucun cas être utilisés comme DPE pour une vente ou une location. Etat initial Bâtiment économe Bâtiment Faible émission de GES Bâtiment <51 A <6 A 51 à 90 B 6 à 10 B 91 à 150 C 11 à 20 C 151 à 230 D à 35 D kwh/m².an 231 à 330 E 36 à 55 E 331 à 450 F 56 à 80 F 451 ou supérieur G 81 ou supérieur G 25 kg CO2/m².an Logement énergivore Energie primaire (kwh/m² SH.an) Forte émission de GES Emission de gaz à effet de serre (kgco2/m².an) Commentaire : Le classement sur l échelle du DPE n est pas favorable. Les bâtiments construits en 2010 sont en A.

28 Diagnostic thermique et énergétique Page 28/66 II.7 Analyse des consommations électriques et pistes de travaux II.7.1 Analyse des consommations Les consommations électriques des parties communes comprennent : L éclairage des parties communes ; Les ascenseurs ; La chaufferie ; Les consommations suivantes sont issues des factures d électricité fournies par le Syndic pour l année 2009 : Période N compteur Puissance kva Type Conso. HP kwh Conso. HC kwh Conso. tot kwh Ratio kwh/an.logt janv - nov Communs janv - nov 2007 Jaune Base UM P Le République janv - nov 2008 double janv - nov Total Ratio kwh/logt.an 744 Commentaire : La consommation annuelle d électricité des communs est supérieure à 500 kwh par logement et par an. Cette consommation est élevée. Des économies sont à envisager. II.7.2 Piste de travaux à étudier Eclairage : 25 % d économies facilement réalisables Opter pour des luminaires avec un rendement optique élevé ; Optimiser la durée des minuteries ; Opter pour de la détection de présence ; Si éclairage avec tubes fluorescents : mise en place de luminaires performants avec ballasts électroniques et non ferromagnétiques et tubes haut rendement (T5 et non T8) ; Ne pas surdimensionner la puissance lumineuse et dépoussiérer régulièrement les luminaires pour maintenir leur performance optique (diminuer le nombre de luminaires dans le hall d entrée) ; Ascenseurs : Motorisation : variation de vitesse, transmission directe (Gearless). Eclairage des cabines : pour un éclairage permanent, privilégier un choix de luminaires performants.

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