La France coloniale sans fard ni déni
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- Pierre-Marie Gauthier
- il y a 8 ans
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1 Jean-Pierre Rioux La France coloniale sans fard ni déni De Ferry à de Gaulle, en passant par Alger André Versaille éditeur
2 Une France «coloniale», vraiment? Dans le contexte français de notre début de XXI e siècle les assauts des mémoires, le flottement des repères temporels, la crainte des lendemains, l interrogation sur l envie de vivre ensemble 1, il s agit de faire connaître et de dire ici ce qui fit passer le pays des droits de l homme de la colonisation polymorphe au colonialisme aveugle ; ce que ses destinées nationales ont dû à l ouverture puis à la fermeture d un horizon-frontière qui courut sur quatre continents, à ce rêve d exemplarité et d universalisme dont celles-ci furent parées. Bref, il s agit de rappeler ce que fut, depuis l Hexagone, la «France coloniale» en intentions et en actes, d hier à demain. Évidemment, on ne prétend pas refaire une histoire du «colonialisme», dont le livre noir a si souvent été rouvert, et tout récemment encore grâce à Marc Ferro. Ni une histoire de la «colonisation», si terriblement inscrite, ou du «système» colonial, mot si douteux dans le cas français, dont Claude Liauzu a fait justement valoir le droit à l inventaire. Ni de surligner l histoire d une «fracture coloniale» de la République dont Pascal Blanchard, Nicolas Bancel et Sandrine Lemaire ont lu la virulence actuelle 2. 1 Voir Jean-Pierre Rioux, La France perd la mémoire, Paris, Perrin, «Tempus», Marc Ferro (dir.), Le Livre noir du colonialisme. XVI e -XXI e siècle : de l extermination à la repentance, Paris, Robert Laffont, 2003 ; Claude 9
3 La France coloniale sans fard ni déni Pas davantage, non plus, d enregistrer passivement une histoire officielle et scolaire des anciennes colonies françaises ou des «œuvres françaises» outre-mer appréhendées une à une et en elles-mêmes, dans leurs antécédents historiques et anthropologiques puis dans leur destinée émancipée ou «post». Non, il s agit plus modestement d affirmer ici qu une France coloniale, singulière mais pleine d indécision hexagonale, a existé de fait et, surtout, qu il reste une part postcoloniale dans le destin de ce pays au XXI e siècle 3. Singularités d un espace-temps Il faut d abord rappeler les étapes chronologiques des XIX e et XX e siècles. Non pour scander la poursuite d une longue marche inaugurée sous l Ancien Régime sous couvert de commerce triangulaire et d esclavage, mais pour mieux faire admettre que rien ne fut prédestiné, rectiligne ou systématique à l âge contemporain. L étape de 1815 a ouvert le temps où la France de 1789 vaincue à Waterloo a dû se donner de nouvelles règles d action coloniale : ravauder la relation entre colons, négociants et administrateurs ; tenter d intéresser des Français ; dépasser le seul intérêt commercial en arguant d une grandeur nationale à restaurer. La prise d Alger en 1830 a mis cette dernière règle en Liauzu (dir.), Colonisation : droit d inventaire, Paris, Armand Colin, 2004 ; Pascal Blanchard, Nicolas Bancel et Sandrine Lemaire (dir.), La Fracture coloniale. La société française au prisme de l héritage colonial, Paris, La Découverte, Voir aussi Raoul Girardet, L Idée coloniale en France de 1871 à 1962 (1972), Paris, Hachette, «Pluriel», Par comparaison, voir Bouda Etemad, De l utilité des empires. Colonisation et prospérité de l Europe (XVI e -XX e siècle), Paris, Armand Colin, 2005 ; Henri Wesseling, Les Empires coloniaux européens ( ), Paris, Gallimard,
4 Les taches roses du planisphère Elles étaient vraiment très visibles, ces deux cartes scolaires! Dans la plus humble école de village, dans les faubourgs les plus reculés et même chez les Bons Pères. Au fond de la salle ou sur ses bas-côtés, au-dessus des portemanteaux, pouvaient bien jaunir quelques bariolages récréatifs, l image d Alger-la-Blanche, la planche du délicieux vanillier ou le portrait de l Annamite. Mais ces deux cartes, elles, trônaient bien en vue, offertes à toute heure à l attention et au rêve des enfants, en vif contraste avec la redoutable austérité du tableau noir. La première carte était naturellement celle de la France continentale, le plus souvent muette, fruit de l efficacité pédagogique de M. Vidal de la Blache. Ici, point d égarement possible! L Hexagone étalait sans conteste son millénaire équilibre géologique et moral, clignant à peine de l œil au bassin d Arcachon ou à l étang de Thau, Cotentin en vigie, pleurant les provinces perdues d Alsace et de Lorraine bordées de violet vengeur, vivifié par les artères de ses fleuves et rivières, surplombé par quelque m sur la croupe alpine, familier, tendre et si impeccablement hiérarchisé par le bon Pouvoir et ses dizaines de petits points noirs, ces préfectures et sous-préfectures reliées par «tramway départemental», dont certains ex-bons élèves sauront encore réciter la liste sans une faute sur leur lit de mort! C était le portrait bien tiré d une Nation, altière et 33
5 La France coloniale sans fard ni déni palpable, la Mère nourricière, le pré carré, le réduit sacré qu il faudra défendre 12. La seconde carte était un planisphère, dévidant le bleu des océans traversés de courants, étirant les terres émergées dans sa projection de Mercator, avec la fière Afrique au cœur. En blanc, les dernières zones inconnues du globe y étaient promises à la jeune énergie des explorateurs d école buissonnière et aux trafiquants avisés en cour de récréation. En rose s y épandaient les territoires, gérés et promis à la Lumière par la France : nos colonies et comptoirs, si ingénieusement et si généreusement installés aux quatre coins du monde à civiliser, de Bora Bora aux îlots des Acadiens, de Saint-Louis à Yanaon, du Maroni à la rivière Noire. Espaces à rêveries, terrains d aventure, marchés florissants, tentation quotidienne : Bretons ou Provençaux, fils du coron ou de la zone, petites bavardes ou grands benêts, ils avaient tous un jour levé la plume sergent-major et suçoté le crayon pour chevaucher cette carte et partir, dans le cri rauque des sirènes du vapeur et le floc des pagaies. En fin d année scolaire, quand le maître ou la maîtresse se laissaient à leur tour porter par l élan, dans l été bruissant où pointait le 14 Juillet de la liberté, toutes fenêtres ouvertes, la salle de classe n était plus parfois que barbarie et moiteur, mornes chauves et bougainvillées mauves, créoles lentes et rezzous pillards, peaux d ébène, dragons d or, sable chaud et parfum du bois de santal. La France de l avenir s imprégnait ainsi de son outre-mer, en toute innocence et la tête en feu. 12 Voir Jean-Pierre Rioux (ouvrage présenté par), Tableaux de la France, suivis de Le Tour de la France par deux enfants, Paris, Omnibus,
6 Tombouctou-la-Française Un point rose avait retenu trop longtemps l attention des voyageurs et des explorateurs tricolores : Tombouctou, si loin vers le Niger, l orgueilleuse cité à croix du Sud, fondée au XI e, opulente aux XV e et XVI e siècles, restée centre religieux et intellectuel d un islam mystérieux. L heure de la forcer et de l éclairer vint enfin, à tout hasard comme souvent, en Une bonne pensée civilisatrice «La prise de Tombouctou est un événement considérable sur lequel l attention publique doit être appelée : il n est pas loin d avoir la même importance que la prise d Alger, dont il est la suite heureuse. Il complète l œuvre de civilisation que la France a accomplie en Afrique en refoulant de plus en plus dans les solitudes sahariennes les hordes de pillards qui ont de tous temps infesté cette partie du monde. [ ] La prise de Tombouctou assurera l avenir du continent noir. Une troupe de braves Français, dont les noms resteront obscurs pour la plupart, a accompli ce haut fait d armes qui donne à notre patrie un bien autre lustre que les discussions stériles des politiciens. Pensons à ces héros. Il ne faut pas que les anarchistes, ces pillards d Europe, accaparent toute l attention et nous fassent oublier les valeureux soldats qui 47
7 La France coloniale sans fard ni déni combattent ou meurent pour la patrie.» Ainsi L Illustration morigénait-elle, le 24 février 1894, une opinion métropolitaine distraite par le terrorisme anarchiste, jugé au procès de Vaillant et redoublé par l attentat criminel d Henry au café Terminus de la gare Saint-Lazare. Le chemin de l honneur et du devoir ne passait-il pas plutôt par ce nouvel appui de «la très grande France», là-bas, au cœur de tout le commerce nord-ouest de l Afrique, par cette victoire sur d autres pillards qui combattaient, eux, à visage découvert et auxquels «nous faisons une guerre sans merci, dans une haute pensée de civilisation»? Sur le terrain, l affaire avait été rien moins que limpide, et civilisatrice. Le 12 janvier, la canonnière du lieutenant Boiteux puis une colonne d infanterie de marine commandée par le lieutenant-colonel Bonnier, après avoir remonté le fleuve Sénégal depuis Saint-Louis et descendu la boucle du Niger, avaient bien investi Tombouctou-la-Mystérieuse, en représailles après l attaque par des Touaregs, le 28 décembre, d un détachement de la flottille d accompagnement à quelques kilomètres de là. L enseigne de vaisseau Aube a péri dans l embuscade : Bonnier l a vengé en forçant la cité du négoce et du rêve, la capitale d empire repérée en catimini par René Caillié dès 1828, la ville sainte des Croyants qu on disait pavée d or. Sans en référer à ses supérieurs, il a foncé, comme souvent dans l épopée coloniale, posant glorieusement le fait accompli avant de prévoir la logistique et l avenir de son exploitation. Isolés, attendant en vain la colonne du commandant Joffre (il s agit bien du futur vainqueur de la Marne) qui, elle, progresse sagement par voie de terre et refuse de suivre les ordres du gouverneur civil qui lui avait enjoint de faire demi-tour, Bonnier et ses hommes sont massacrés, le 18 janvier 1894, par un nouveau détachement de 48
8 La grande récré de 1931 Du 14 avril au 18 novembre 1906, par le succès de son Exposition coloniale visiteurs, effectivement alors ce n était pas rien, Marseille, déjà, avait fait mieux qu éclater de bonheur et de fierté : après le Paris de l Expo de 1900, elle avait signalé à la France entière, jusqu alors imperturbablement rétive, l ampleur, la force et l intérêt de l engagement tricolore au-delà des mers. Avec la mer-mère Méditerranée à l épicentre de tous ses trafics et de tous ses brassages, tous les Orients mystérieux et les ailleurs juteux pour ligne d horizon. Avec, il va de soi, des Phocéens partout en tête de ligne, au gouvernail et à la manœuvre. Avec, ainsi, la confirmation éclatante que Marseille serait toujours la capitale coloniale de la France. En préface Belle Époque, en quelque sorte, comme à Lyon ou dans quelques autres grandes villes, à la grande fiesta qui agitera la Porte Dorée, à Paris, en La France continentale et si jacobine, mais aussi l Europe des septentrions embrumés n étaient pas, il est vrai, en 1906 et depuis longtemps, le premier souci marseillais. Paris pour sa part n avait vu dans l initiative marseillaise qu une pâle réplique de l inégalable section coloniale qui avait tant plu à l Expo parisienne de C est pourquoi, sans doute, le nouveau président de la République, Armand Fallières, n était pas descendu inaugurer l Expo. Mais il s est dérangé par contre, en plein mois d août, pour venir 55
9 La France coloniale sans fard ni déni droit naturel et de l égalité entre les hommes : «Périssent les colonies plutôt que les principes», affirma-t-il. Les colons européens étaient «des vautours affamés et cruels» pour Diderot et «le premier Européen pénétrant chez ces peuplades sauvages devrait être pendu à la frontière», ajoutait Rousseau. L énorme succès de l Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes, dirigée par l abbé Raynal en 1772 puis 1781, a attesté aussi que les esprits libres du temps des Lumières reprenaient le combat lancé au XVI e siècle par Montaigne ou par le dominicain Bartolomé de Las Casas, défenseur des droits des Indiens contre les conquérants et les colons espagnols. À leur suite, des libéraux humanitaristes et des économistes comme Mirabeau ou Dupont de Nemours affirmèrent que l esclavage était non seulement «une abominable et barbare injustice» mais une aberration économique, que l Exclusif puis le Pacte colonial, coûteux pour les consommateurs européens, restaient une entrave au développement du «laisser-faire, laisser-passer». Dès lors, une décolonisation devait aller de pair avec les progrès du libéralisme : «Toutes les métropoles seront forcées d abandonner tout empire sur leurs colonies», pensait Turgot. Au XIX e siècle, rares seront les doctrinaires du libéralisme, Paul Leroy- Beaulieu dans sa Colonisation chez les peuples modernes de 1874 ou Charles Gide, qui se rallieront, avec d ailleurs force réserves, à l idée coloniale par patriotisme. La colonie reste un stade suprême du mercantilisme d État, le colonialisme est «insensé et malfaisant», les empires coûtent bien plus qu ils ne rapportent : ce ne fut, en fait, qu un cri hostile, de Jean-Baptiste Say ou Gustave de Molinari à Frédéric Passy. Et Yves Guyot a conclu : «Les colonies de la France, les vraies, ce sont les pays 70
10 La fin de «l Indo» L ambition coloniale de l Hexagone a pris fin au fond de la cuvette de Dien Bien Phû, aux confins du pays thaï, en C est dans ce Tonkin qui avait jadis signalé la «traîtrise» de Jules Ferry que la France colonisatrice fut marquée au fer rouge et soumise au désaveu mondial en devenant la seule puissance européenne qui subît la défaite militaire face à d anciens «indigènes» révoltés. Rude dévoilement, heure de vérité de l illusion chronique. Première fin de partie dans cette «Indo» si mal connue en métropole, celle du petit Yukanthor criant déjà sa rage à l Expo de 1900, celle que tant de chefs-lieux de canton avaient soumise aussi aux rêves d opium et de «petites Tonkinoises» : comme au tout début de l aventure coloniale, le fracas des armes a fait la décision. Là-bas, si loin, sans que les Français s en alarment. Pas en toute impunité, mais presque. La guerre à reculons «Varus, qu as-tu fait de mes légions?» C est par cette apostrophe, depuis Rome, de l empereur Auguste à son général défait dans les forêts barbares de Germanie qu on peut ouvrir, amèrement, le propos. Oui, «Varus, qu as-tu fait de mes légions? Varus, rends-moi mes légions!» : interpellant en ces termes le gouvernement de René Pleven, 77
11 La France coloniale sans fard ni déni le 19 octobre 1950, dans un discours à l Assemblée nationale qui fit quelque bruit, le Cassandre de cette République, Pierre Mendès France, a choisi fort à propos son rappel historique 20. Oui, qu avez-vous fait, disait-il, qu avons-nous fait de nos hommes, là-bas, à l heure de Cao-Bang et, surtout, à celle de Lang-Son, en écho d un autre Lang-Son? Qu arrivera-t-il si, par malheur, nous avions besoin bientôt, sur un théâtre européen guetté par 175 divisions soviétiques, sur un théâtre mondial de guerre froide devenant chaude, de ces «cent cinquante mille hommes» qu on épuise là-bas «depuis cinq ans, à douze mille kilomètres de la métropole»? Et qui peut trouver désormais une cohérence entre cet effort qui vire au désastreux et le projet Pleven d armée européenne, l installation du Shape, la loi qui va porter la durée du service militaire de douze à dix-huit mois? Et Mendès France d ajouter, rageur : «C est la conception globale de notre action en Indochine qui est fausse, car elle repose à la fois sur un effort militaire qui est insuffisant et impuissant pour assurer une solution de force et sur une politique qui est insuffisante et impuissante pour nous assurer l adhésion de la population.» Même s il refusait de voir son pays persévérer désormais dans l engagement militaire, Mendès France avait à sa manière rejoint ainsi la cohorte des politiques qui firent, dans l inquiétude puis dans l angoisse, la guerre à reculons. N ayant pas su clairement choisir entre la fermeté et la négociation, endossant un héritage de présence française qui ne tirait pas les conséquences des nouveautés liées à la guerre et de la profondeur du fait national, incapable de 20 Voir Pierre Mendès France, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, 1985, t. 2, p
12 De Gaulle ultramarin Dès qu on parle de Charles de Gaulle aujourd hui, on pense au souverain de la mémoire collective, au Grand qui surplombe et toise tous les autres, qui siège là où il n y a pas d encombrement, disait-il : qui exerce une suzeraineté de la reconnaissance nationale du «cher et vieux pays» 27. On pense aussi, spontanément et surtout pour les plus jeunes générations, au président de la V e République élu au suffrage universel depuis 1965 et qui aurait donné enfin à ce pays le régime stable qui lui avait tant fait défaut. Ceci est légitime. Mais on oublie au passage que de Gaulle, au long de sa carrière patriotique et républicaine, eut à connaître de l aventure coloniale de la France et qu il eut même à gérer la fin de celle-ci. De plus, à tout prendre, quand il s agit d affirmer et de consolider une nouvelle République, sa nouvelle République, en 1958 et en 1962, ce fut la seule et unique fois qu un territoire de l outre-mer, l Algérie en l occurrence, joua un rôle décisif dans une évolution majeure de la nation française. De nombreuses raisons, on le voit, poussent à mieux connaître ce que fut l histoire, tumultueuse et si douloureuse encore pour certains Français, du rapport du général de Gaulle à l outre-mer français. 27 Voir Sudhir Hazareesingh, Le Mythe gaullien, Paris, Gallimard, 2010 ; Jean-Pierre Rioux, De Gaulle. La France à vif, Paris, Hachette Littératures, «Pluriel»,
13 La France coloniale sans fard ni déni Avant 1940, sa formation, sa carrière militaire, sa vision de la France et du monde n ont fait de ce soldat ( : deux dates qui marquent l apogée puis la fin chronologique de la France coloniale) ni un «colonial» de métier ni un zélateur de l Empire. Son commandement en Syrie et au Liban, de 1929 à 1931, lui a certes permis de sentir la force du sentiment national libanais. Dans ses premiers écrits, l armée coloniale est mentionnée avec reconnaissance et l œuvre civilisatrice de la France est inscrite au tableau d honneur. Mais l officier de blindés, l œil fixé sur le Rhin et l Europe, a eu une vision a minima de l outre-mer, exposée dès 1918 : «Avoir des colonies nombreuses, et dont la possession est désormais, la guerre l a prouvé, une garantie presque indispensable d avenir ; [ ] avoir dans le monde et en particulier en Méditerranée un rôle de protection et d enseignement ; [ ] il nous faudra une armée nationale suffisante pour ôter à nos voisins l envie de recommencer la guerre, et une armée coloniale pouvant contribuer à la défense du sol et également défendre nos colonies toute seule.» C est dans la défaite de mai 1940, après que Weygand lui eut répliqué que «l Empire, c est de l enfantillage», qu il s est fait un serment : «Par l Empire la France libre va, jour après jour, redevenir la France», le pays retrouvera son rang et restera digne de sa vocation universelle. L Empire, juste retour des choses, sera libérateur face à l Allemagne et à Vichy, face aux Alliés aussi ; avec tous ses combattants mêlés fraternellement, il relèvera le drapeau dans cette guerre mondiale pour la liberté qu il nommait «la guerre de trente ans». 92
14 L été des adieux En 1962, ce ne furent pas des adieux à l Empire : seuls quelques nostalgiques à cheveux ras et idées courtes liaient encore conscience nationale et gloire coloniale, outre-mer et civilisation chrétienne, décolonisation et complot communiste. Non, ce fut un adieu sanglant et las à la dernière terre d aventure, au seul vestige de l immensité rose des vieux planisphères qui avait parlé un peu au cœur des Français. La «plus grande France» de Jules Ferry meurt alors, après un siècle de baroud exotique qui n avait jamais exalté vraiment : le rêve brisé n aura point été si grand, ni si couru. Désormais, l ancienne métropole ne sera plus qu un finistère ouest-européen pour puissance moyenne sortant quelque peu de l Histoire : un «hexagone», mot péjoratif et réconfortant à la fois, magnifié au besoin par un grand «H» comme au temps de Vidal de la Blache et du Tour de la France par deux enfants, et qui fera bien vite, du coup, son entrée au dictionnaire Robert, en Ce repli sur le village d Astérix Goscinny et Uderzo, finauds, ont lancé le personnage à l automne 1959, au moment même où de Gaulle proposait «l autodétermination» est un rétrécissement, même si de Gaulle a saisi l occasion pour conforter son pouvoir, relancer la vieille «bataille du rang», de Bonn à Québec via Phnom Pen et Mexico, et surtout donner à la force de frappe nucléaire un rôle stratégique qui compense l espace perdu. L Hexagone redevient le lieu 133
15 La France coloniale sans fard ni déni géométrique d une convalescence et d une régénération au moment précis où la modernisation de la production, l enjeu européen et la mondialisation des échanges bousculent déjà le pré carré tout en l enrichissant. Et pourtant, sans vouloir admettre tout à fait ce repliement sur soi, la France de 1962 se félicite d abord de sortir enfin du cycle des violences guerrières inauguré en 1914 et prolongé après le second conflit mondial par la décolonisation. Celle-ci, en version française, aura incontestablement été chaotique, même si elle indifféra largement l opinion, depuis qu à Brazzaville, en janvier 1944, le même de Gaulle avait promis de «choisir noblement et libéralement la route des temps nouveaux». La sale affaire d Indochine s est terminée piteusement en 1954, on l a vu, après humiliation militaire à Dien Bien Phû. Le passage du protectorat à l indépendance au Maroc et en Tunisie, acquis en 1956, a été acrobatique et a beaucoup dû à l habileté conjointe de Pierre Mendès France et d Edgar Faure. En Afrique noire et à Madagascar, la Communauté franco-africaine, acceptée en 1958 et très «gaullienne» d allure, a permis de reconnaître in extremis un droit à l indépendance, acquis partout en Mais en 1962, cette Communauté est déjà morte et la coopération avec ses nouveaux États en peine de démocratie a pris un rythme de croisière, très surveillé depuis l Élysée, passablement «néo-colonialiste». Les «confettis» d Empire, ces départements ou territoires d outre-mer dont les statuts de 1946 ont été confortés en 1958, resteront des escales stratégiques et des terrains d aventure technologique (dans le Pacifique ou en Guyane), des isolats entretenus à grands frais par la métropole ou des réservoirs humains en quête d autonomie. Partout, un mélange d intérêt respectif bien compris et d impuissance fatale, ou déguisée en générosité, a permis de tirer l échelle sans gloire 134
16 La République blessée Deux Républiques, la IV e et la V e. L une en mourut, l autre en naquit : la formule simplifie, mais elle résume bien. La guerre d Algérie, du côté français, a en effet posé à la forme républicaine de l État et à l art de vivre ensemble plus démocratiquement, acquis et conquis depuis 1789 et raffermis à la Libération, des questions si insolubles que la IV e République y succomba et que la V e ne s installa qu à la faveur d une crise, en mai 1958, dont l épicentre fut algérois. Révélatrice autant que motrice d un changement tenu ensuite pour nécessaire ou inévitable, la guerre, une fois encore, a infléchi brutalement le cours de l histoire de France. Et d autant plus que la lutte d indépendance des Algériens, facteur belliciste externe, a fait rejouer les mécanismes de la vieille «guerre franco-française». C est donc la République française de Valmy, de Verdun et de la Résistance, celle que de Gaulle n avait pas même eu à proclamer de nouveau en août 1944, qui a dû faire sécession ou allégeance à elle-même tout au long des combats livrés sous son couvert en Algérie : les deux rives de la Méditerranée ont participé à une mise en cause du cours de sa destinée manifeste. Cela suffit à singulariser l Algérie dans le cours de l histoire coloniale française. N allons pas penser néanmoins que les Républiques ne seraient que des abstractions constitutionnelles, des politiques faites et défaites, heureuses ou menacées. Toutes 143
17 La France coloniale sans fard ni déni ont traduit aussi un état des mœurs et une vision de l avenir entérinés par une majorité de citoyens et, au cours du XX e siècle, le suffrage de ces derniers a sous-tendu le changement institutionnel, l État français de Vichy donnant à cette assertion valeur de preuve a contrario, puisqu il n affronta jamais le verdict des urnes et perdit la faveur de l opinion. En clair : autant que les complots et les putschs, les évolutions parlementaires, l échec ou le succès des politiques, le renouvellement des responsables, le succès et les attendus de la bataille de 1954 à 1962, autant même que la question de l application conflictuelle et même de la trahison des principes fondateurs de la vitalité républicaine par le «maintien de l ordre», c est l acquiescement des Français à l idée d une paix indispensable qui a fait de la guerre d Algérie un deus ex machina républicain. La métropole pacifique La preuve de leur constance d opinion? Dès 1956, sa force s exprimait dans des sondages où la métropole disait majoritairement qu il fallait sortir au plus vite, et en négociant, du guêpier algérien, de cette «pacification» impossible, de ces «événements» lointains et si mal appréciés. Car jamais il ne serait plausible et admissible que l avenir de la France continentale, celle des ardeurs coalisées de la Libération, celle des efforts pacifiques de la reconstruction puis de la mise en œuvre d une modernité et d une croissance économique, sociale et culturelle, puisse être hypothéqué par une rébellion en Algérie. Son immuabilité? Elle a été paraphée finalement par le verdict le plus républicain, celui des urnes, en Les accords d Évian furent alors ratifiés à la quasi-unanimité en métropole, sans souci des 144
18 L opinion lassée Que l ambition nationale se soit jouée aussi outre-mer, cela fut-il souhaité, soutenu, toléré? Autrement dit, les Françaises et les Français de métropole ont-ils partagé la face coloniale de cette ambition dont leurs dirigeants et une partie de leurs élites n ont eu de cesse de leur vanter les apports et les mérites? Ont-ils compris et admis qu il y aurait là-bas une «plus grande France»? N y a-t-il jamais eu, finalement, qu un «parti colonial» à défaut d une «France coloniale», comme le disait Charles-Robert Ageron? Bref, qu en fut-il de l «idée coloniale en France» (Raoul Girardet) aux yeux de l opinion publique? La métropole ne fut ni aussi colonialiste ni aussi anticolonialiste que l on pense et la «République coloniale» dont parlent Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Françoise Vergès, n a jamais eu de consistance 52. Jusqu en 1962, en fait, la colonisation n a eu qu une audience mitigée dans l opinion et l outre-mer n a pas marqué de manière décisive sauf en 1958 le cours de l histoire de la France. Pour deux raisons, deux attitudes, répétons-le, clairement observables depuis le xviii e siècle : l eurocentrisme a bouché l horizon et, sous prétexte d universalisme, a dénié la singularité du colonisé et nié la violence de sa mise en tutelle ; 52 Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Françoise Vergès, La République coloniale, Paris, Albin Michel,
19 La France coloniale sans fard ni déni le francocentrisme, surtout, a réduit les enjeux coloniaux à ceux de la seule métropole. Pour l opinion de la plupart des Françaises et des Français, la France coloniale ne fut à tout prendre qu une projection exotique et lointaine des aspirations, des intérêts, des difficultés et des conflits proprement hexagonaux ; un prolongement ultramarin d une vocation du pré carré défendu pour nourrir à jamais la puissance et la gloire historique. C est si vrai qu il fallut attendre 1949, l année où le pays prenait le chemin de la modernisation et de la croissance des trente glorieuses, pour que l assemblée de l Union française songeât à s inquiéter de ne rien savoir des «connaissances et opinions des Français en ce qui concerne les pays et les problèmes d outre-mer». Il faudra, en fait, attendre jusqu à 1954 pour que les réactions de l opinion soient enfin examinées de près par l Institut français d opinion publique (IFOP). Très tard, trop tard. L indifférence bienveillante Jusqu à cette heure de vérité, ce n avait été qu alternance sans alternative d exaltations temporaires et de plages d expectative, d indécision ou d indifférence. Dès avant 1914, le Bulletin de la Ligue coloniale l avait regretté : «L éducation coloniale des Français demeure entièrement à faire.» Malgré tous les efforts de propagande du «parti colonial», malgré tant de textes ministériels et de discours officiels et électoraux, malgré tant d appels de l Office colonial pour favoriser l émigration, malgré tout l intérêt manifesté à l école, dans les livres et manuels pour la jeunesse, les causeries, les brochures, les chansons, les belles images ou les rêveries géographiques, l évidence sautait aux yeux : 160
20 Table des matières Préface 7 Une France «coloniale», vraiment? 9 Singularités d un espace-temps 10 Colonisation, colonisateurs et colonisés 14 Traits d hier, enjeux d aujourd hui 19 L ambition du patriote Ferry 25 Entreprise et civilisation 26 Détermination et hypocrisie 29 Les taches roses du planisphère 33 Un hymne national 35 Un enthousiasme mitigé 42 Tombouctou-la-Française 47 Une bonne pensée civilisatrice 47 Un Sedan colonial 50 La grande récré de Plus française que prévu 57 Un pique-nique culturel 60 À la cabane bambou 63 Les deux amours 64 L anticolonialisme après coup 69 De l abbé Raynal à Jean Jaurès 69 Les carottes étaient cuites
21 La France coloniale sans fard ni déni La fin de «l Indo» 77 La guerre à reculons 77 L indifférence en métropole 80 La paralysie politique 83 L impuissance 86 De Gaulle ultramarin 91 La question impériale 93 Refermer la «boîte à chagrin» 96 L Algérie au cœur 101 Colonisée à tous hasards 101 Le drame final 108 La question 111 La torture 111 Un J accuse météorique 115 Violence à Paris 122 L interrogation renouvelée 124 L été des adieux 133 En finir avec le «boulet» 135 L été terrible 138 De Gaulle vainqueur 140 La République blessée 143 La métropole pacifique 144 Les principes bafoués 152 L opinion lassée 129 L indifférence bienveillante 160 Le basculement 163 La mémoire brouillée 167 L Algérie en surplomb 169 De l immigré à l indigène 177 Références 186
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