1. LE DEVELOPPEMENT HUMAIN 2. LA LOGISTIQUE ET LE COMMERCE 3. LES INSTITUTIONS

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1 1. LE DEVELOPPEMENT HUMAIN 2. LA LOGISTIQUE ET LE COMMERCE 3. LES INSTITUTIONS 1

2 INTRODUCTION L objet de ce document est de présenter les composantes de partenariats qui seraient proposés à l ensemble des pays de la région et qui seraient portés par la diplomatie tunisienne, et plus généralement, par les différents acteurs dont l action est tournée vers l étranger. L idée principale sur laquelle repose la stratégie proposée est que: Ces pays ne sont pas uniquement des marchés potentiels à décrocher. La Tunisie doit mettre en place des partenariats durables et multidimensionnels (politiques, économiques, culturels et scientifiques) DE QUELLE AFRIQUE S AGIT-IL?: Afrique subsaharienne, c est-à-dire l ensemble de l Afrique excepté, les pays de l UMA (Algérie, Libye Maroc et Mauritanie) et l Egypte. Cet ensemble compte un pays arabe qui est le Soudan 2

3 1 2 3 DEVELOPPEMENT HUMAIN- COOPERATION TECHNIQUE N de la recommandation 1 Etat des lieux Recommandation Horizon La coopération technique consiste en l échange de ressources humaines dans les deux sens: Cadres tunisiens qui se déplaceraient pour travailler en Afrique subsaharienne, Cadres des pays concernés qui viendraient en Tunisie pour le perfectionnement ou éventuellement, pour des missions de coopération car ils sont porteurs de savoir-faire particuliers la coopération technique avec les pays partenaires africains n est pas au niveau escompté par rapport à celle avec les pays La Tunisie n a pas les moyens de cette politique, les partenaires africains non plus. La solution réside dans une coopération triangulaire qui ferait intervenir un bailleur de fonds tiers: Banque Africaine de Développement (BAD), Banque Islamique de Développement (BID), Banque Mondiale (BM), etc. Il s agit alors de concevoir des programmes adaptés (formation, mises à niveau sectorielles, stages,..), de trouver des financements et de les «vendre» clef en main aux partenaires. Deux opérateurs tunisiens sont incontournables:

4 du Golfe. Les besoins en Afrique subsaharienne sont ressentis dans des secteurs vitaux comme l éducation, la santé, le tourisme, les TIC et la petite hydraulique rurale (forage des puits et adductions d eau). Dans les deux cas, il se pose un problème de financement. Qui paie les salaires? Qui forme les stagiaires candidats à des formations conventionnées et non pas initiales (donc limitées dans le temps)? l Agence Tunisienne de Coopération Technique (ATCT) pour l identification des cadres à expatrier et ceux, éventuellement, à accueillir. l Agence Tunisienne de Formation Professionnelle (ATFP) pour la formation dans ses centres (133), dans les centres techniques des ministères ou dans les entreprises privées. De manière précise la démarche consisterait à : 1. Concevoir (ATFP) des programmes adaptés aux pays visés (gestion hôtelière, mise à niveau des entreprises, par exemple) 2. Démarcher (ATCT) les bailleurs de fonds afin d obtenir des «trusts funds», 3. Sélectionner (ATCT) les «personnes ressources» (tunisiennes et des pays tiers), 4. Dérouler l action (ATFP ou soustraitant) 4

5 5. Les deux opérateurs publics perçoivent une rémunération. L ATCT et l ATFP doivent être proactives et à l affut des besoins qui pourraient être exprimés directement par: les pays partenaires ou par les bailleurs de fonds 2 Même constat Malgré le caractère limité des moyens, le gouvernement tunisien est invité à créer un fonds spécial du Trésor, géré par le ministère de la coopération et doté d une allocation annuelle de 2 millions de dinars. Ce programme quinquennal ( ) financerait la formation (en courte durée) de 400 cadres de pays amis par an (Soit 2000 cadres au total). 3 Même constat L Ecole Nationale d Administration (ENA) pourra notamment émerger sur ce fonds afin de financer l organisation de cycles courts au profit des fonctionnaires des pays amis

6 1 2 3 DEVELOPPEMENT HUMAIN- SANTE N de la recommandation Etat des lieux Recommandation Horizon 4 Il s agit probablement du domaine où l Afrique subsaharienne accuse le plus de retard. Les raisons sont diverses: manque d accès à l eau potable, absence de réseaux de traitement des eaux usées, absence d une culture portée sur l hygiène, prévalence de certaines épidémies, pandémies et endémies: hépatite, paludisme, Sida,.. Poursuivre la politique des caravanes sanitaires financées par la société civile valoriser ces actions et inciter les entreprises à les financer (mécénat), Cela se traduit par des espérances de vies et des taux de mortalité infantiles très élevés. A titre d exemple le taux de 6

7 mortalité infantile et l espérance de vie à la naissance pour les femmes sont respectivement les suivants pour quelques pays: Tunisie (16,77 ans), Maroc (33,74 ans), Bénin (106, 58 ans), Cameroun (127, 53 ans), Cote d Ivoire (115,57 ans), Mali (176, 52 ans), Niger (125,55 ans), Togo (110,59 ans) Il s agit d un domaine où la Tunisie peut être donnée en exemple. La politique suivie a été crédible. Cependant, les moyens de financement de la coopération manquent. Il faut être proactif encore une fois. 5 Même constat Accueillir les étudiants pour les formations initiales et les cadres pour des cycles de perfectionnement (ATFP), Même constat Concevoir (ATCT) des programmes de formation et d intervention in situ et trouver les financements auprès d organisations régionales ou internationales (BAD, OMS,..) 7

8 1 2 3 DEVELOPPEMENT HUMAIN- RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET ENSEIGNEMENT N de la recommandation 7 Etat des lieux Recommandation Horizon La coopération dans ce domaine donne la possibilité: De mener des recherches sur des thématiques porteuses et d intérêt commun (désertification, gestion des ressources en eau, sélection des semences, énergie renouvelables, génie génétique et élevage, etc.. D offrir des opportunités d emploi aux enseignants tunisiens De former une génération de cadres qui, une fois de retour dans leurs pays, continueraient à maintenir le lien avec la Tunisie. Accueillir à nouveau des étudiants dans le secteur public. Le financement serait partagé entre la Tunisie et le pays d origine. Spécialités: Economie, gestion, sciences médicales, sciences infirmières, ingénierie, informatique,.. S assurer de la qualité de l enseignement privé dispensé aux étudiants africains Tous ces aspects ont été négligés au cours des trois dernières décennies. Il y a eu un 8

9 grand recul par rapport aux années 60 et 70. La coopération dans ce domaine présente en effet, les caractéristiques suivantes: 1. Une absence totale d échanges d enseignant et de chercheurs, 2. Une absence totale de thématiques de recherche communes, 3. Une absence quasi-totale d étudiants dans le secteur public. Le seul domaine où une présence significative existe est celui des «sciences religieuses» 4. Une présence quasi-exclusive des étudiants d Afrique subsaharienne dans les institutions privées. 8 Même constat 9 Même constat Choisir avec certains pays, des thématiques de recherche communes très précises et lancer des appels d offres auxquels ne peuvent soumettre que des équipes communes. Lever des financements (ATCT) afin d envoyer des professeurs tunisiens pour des cycles courts choisis sur la base de la

10 compétence et de CV bien fournis. Pas d enseignants de second rang. 10

11 1 2 3 DEVELOPPEMENT HUMAIN- CULTURE N de la recommandation 10 Etat des lieux Recommandation Horizon Il n existe pas de politique culturelle spécifique tournée vers l Afrique subsaharienne malgré la multiplicité des accords et la richesse du cadre juridique bilatéral Création d un festival dédié à l art africain Même constat Renforcer l orientation africaine pour les festivals existants (JCC, JTC, journées culturelles africaines, )

12 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- TRANSPORT AERIEN N de la recommandation Etat des lieux Recommandation Horizon 12 Excepté les lignes sur l Afrique du Nord et l Egypte, La compagnie Tunisair assure une liaison directe sur Bamako (Mali) avec une continuation sur Abidjan (Cote d Ivoire) et su Ouagadougou (Burkina Faso). Une ligne directe sur Dakar (Sénégal). A titre de comparaison la compagnie RAM (Maroc) dessert 25 lignes dans 23 pays : Angola (Luanda), Bénin (Cotonou), Burkina Faso (Cotonou), Cameroun (Douala, Yaoundé), Cap-Vert (Praia), Guinée Equatoriale (Malabo), Cote d Ivoire Tunisair compte lancer 20 nouvelles lignes sur l Afrique subsaharienne d ici Les lignes doivent desservir des villes où une présence diplomatique ou consulaire est assurée. Cela est de nature à faciliter la délivrance des visas et à assurer un taux de remplissage minimum. Les nouvelles lignes doivent en outre, être en continuation, afin de bénéficier de la cinquième liberté. Cela suppose une certaine concentration sur l Afrique de l est et centrale

13 (Abidjan), Gabon (Libreville), Gambie (Banjul), Ghana (Accra), Guinée-Bissau (Bissau), Mali (Bamako), Niger (Niamey), Nigeria (Lagos), Guinée (Conakry), Ouganda (Kampala), République Centrafricaine (Bangui), RDC (Kinshasa), République du Congo (Brazzaville, Pointe Noire), Sénégal (Dakar) Sierra Leone (Freetown), Togo (Lomé) Libéria (Monrovia) De même la compagnie Egyptair, assure une bonne couverture de l Afrique de l est et australe en desservant 15 destinations dans 12 pays: Afrique du Sud (Johannesburg, Le Cap), Cote d Ivoire (Abidjan), Erythrée (Asmara), Ethiopie (Addis-Abeba), Kenya (Nairobi), Nigeria (Abuja, Kano, Lagos), Ouganda (Kampala), Rwanda (Kigali), Soudan (Khartoum), Soudan du Sud (Juba), Tanzanie (Dar-Es- Salam), Zimbabwe (Harare). 13 Même constat Conclure un accord de partenariat avec une des compagnies suivantes : RAM, Egyptair

14 ou Alitalia, afin d accroitre les liaisons avec Casablanca, Le Caire ou Rome qui serviraient alors de hubs. Le nombre de vols directs quotidiens sur ces hubs doit être tel que la durée totale du déplacement vers la destination subsaharienne, escale inclue, ne dépasse de 50% la durée d un vol direct à partir de Tunis vers cette destination subsaharienne. 14

15 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- TRANSPORT MARITIME N de la recommandation 14 Etat des lieux Recommandation Horizon Il n existe pas de lignes maritimes directes vers les ports d Afrique subsaharienne de lest et de l ouest. La compagnie nationale (CTN) n est pas en mesure de créer des lignes. Celles-ci ne seraient pas de toutes les façons, rentables. Les délais d acheminement sont trop longs. Il s agit, non pas de créer des lignes maritimes dédiées à l accompagnement des exportateurs, mais d exploiter celles existantes, aussi bien vers l Afrique occidentale, qu orientale. Le principe est celui de l acheminement des containers vers les grands hubs de transbordement. Les principaux hubs de la région accueillant des porte-containers sont: Valence (4,3 millions EVP en 2011) Algésiras (3,6 millions EVP en 2011) Tanger-Med (2,7 millions EVP en

16 2014) Port Saïd (3,5 millions d EVP en 2010) Malta Freeport (3,2 millions d EVP en 2012) 15 Même constat 16 Même constat Conclure des partenariats stratégiques entre d une part les : Armateurs internationaux (Maersk Line, CMA CGM, ), Les sociétés d exploitation des ports, Et d autre part : La Compagnie Tunisienne de Navigation (pour le transport en méditerranée: Tunisie-Hub). Créer des antennes de facilitation locales dans les hubs retenus en coordination avec les transitaires: Recrutements locaux : Tanger, Port Saïd Responsables de la facilitation des transbordements de conteneurs L objectif est que le temps maximum de l arrivée de la marchandise ne dépasse pas au plus 50%du temps par rapport au pays compétitif

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18 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- RESEAU BANCAIRE N de la recommandation 17 Etat des lieux Recommandation Horizon L existence d un réseau bancaire national ou partenaire, à l étranger est d une importance capitale non seulement pour le financement de l investissement et la facilitation des opérations de commerce extérieur, mais aussi pour: l étude des marchés à l export, l identification des partenaires crédibles, l attraction des IDE, la réalisation de bénéfices susceptibles de rapatriement Il n est pas réaliste d envisager la mise en place d un réseau bancaire tunisien dans le court terme, qui serait présent en Afrique subsaharienne. Il faut donc Inciter les banques locales, à travers la BCT, à conclure des accords de partenariats avec les réseaux français ou marocain afin d assurer une présence La Tunisie n a aucun réseau bancaire en Afrique subsaharienne et ce 18

19 contrairement au Maroc. L Etat tunisien et la BH détiennent une partie du capital de la Banque Congolaise de l Habitat. La STB détient 25% du capital de la Sonibank (Société Nigérienne de Banque) ce qui lui assure une présence dans les pays du l UEMOA. A titre de comparaison, le Maroc possède le réseau suivant : 1. Attijaribank Tunisie (N 5 en Tunisie) 2. CBAO (N 1 au Sénégal) 3. Union Gabonaise de Banque (N 3 au Gabon) 4. Crédit du Congo (N 1 en République du Congo) 5. Banque Internationale du Mali BIM SA (N 2 au Mali) 6. Crédit du Sénégal (N 4 au Sénégal) 7. Société Ivoirienne de Banque (N 6 en Côte d Ivoire) 8. SCB Cameroun (N 3 au Cameroun) 9. BIA Togo A ces filiales, il faut ajouter les agences 19

20 d Attijariwafa présentes partout. Les banques françaises présentes en Tunisie à travers leurs filiales: 1. Union Internationale des Banques pour la Société Générale, 2. L Union Bancaire pour le Commerce et l Industrie pour la BNP Paribas 3. La Banque de Tunisie pour le Crédit Mutuel, ont également des réseaux très denses en Afrique subsaharienne. 18 Même constat Densifier le réseau des correspondants directs des banques tunisiennes 19 Même constat Faciliter l ouverture de comptes en Francs CFA pour les opérateurs opérant sur les pays d Afrique de l ouest et centrale

21 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- PROTECTION DES INVESTISSEMENTS N de la recommandation 20 Etat des lieux Recommandation Horizon Sur les 49 accords bilatéraux conclus entre la Tunisie et le reste du monde, 8 accords concernent les pays d Afrique subsaharienne : Mali ( ), Guinée ( ), Niger ( ), Burkina Faso ( ), Cote d Ivoire ( ), Ethiopie ( ), Afrique du sud ( ), Soudan ( ) De nombreuses économies africaines ont connu au cours de la dernière décennie, des taux de croissances économiques annuels moyen dépassant les 7 % Engager un processus de négociation d accords de protection des investissements avec les pays suivants : Angola, Cameroun, Nigeria, Ghana, Guinée équatoriale, Kenya, Ouganda, Sénégal, Tanzanie Le ministère des finances et le MAE s occupent du suivi de la conclusion de ces accords

22 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- CONVENTIONS DE NON DOUBLE IMPOSITION 21 Sur 34 conventions signées avec des partenaires économiques, la Tunisie n a conclu que 4 conventions de non double imposition avec les pays de l Afrique subsaharienne : Sénégal, Afrique du Sud, Ethiopie et Mali. Engager un processus de négociation de conventions de non double imposition avec les pays suivants : Angola, Burkina Faso, Cameroun, Cote d Ivoire, Ghana, Guinée Equatoriale, Kenya, Nigeria, Niger, Ouganda, Tanzanie, Le MAE et le ministère des finances supervisent ces négociations. 22

23 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- ACCORDS COMMERCIAUX 22 La Tunisie n a conclu aucun accord commercial préférentiel avec les pays et les groupements régionaux d Afrique subsaharienne. Les tentatives de conclusions d accords de commerciaux préférentiels ou de libre échange ont été infructueuses. Conclure au moins deux accords commerciaux préférentiels avec deux pays de la région, quitte à faire des concessions au niveau de la réduction des droits de douane supérieures à celles obtenues Les relations commerciales sont donc régies par le droit commun c'est-à-dire par les accords de l OMC Même constat Conclure au moins un accord de libre échange avec un groupement régional : UEMOA ou CEMAC en concédant des délais de démantèlement des DD plus favorables que ceux obtenus

24 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- SECTEURS PORTEURS N de la recommandation Etat des lieux Recommandation Horizon 24 Malgré son immense retard en termes d infrastructures, d équipements informatiques et de formation, l Afrique subsaharienne est en train de prendre un raccourci technologique. Les pays de la région sont en train de passer à l âge du «tout mobile», pour accéder à internet et aux services bancaires, ce qui laisse entrevoir des perspectives de croissance à court terme uniques au monde. La Tunisie n a pas d opérateurs publics en matière de téléphonie (TT, Ooridoo et Orange sont privés) et obéissent en matière d investissement à des stratégies d internationalisation étrangères. Dans le cadre de la stratégie Tunisienne du développement du secteur TIC, La Tunisie doit soutenir les SSII capables de se déployer en Afrique (Critère déterminant dans le choix des projets structurants) Les exportations industrielles tunisiennes Doubler en 5 ans les exportations de biens qui 24

25 25 sont essentiellement composées de produits textiles et de produits des industries mécaniques et électriques (IME). Dans les deux cas la quasi-totalité des exportations est assurées par des sous-traitants ou des cotraitants vers des donneurs d ordre européens qui procèdent à un sourcing de proximité. Il n y a donc pas de possibilités à ce niveau. sont actuellement de l ordre de 700 millions de dinars. Pour les services, il est difficile de se fixer un chiffre. Les statistiques ne reflètent pas la réalité des flux car il n y a pas d imputation douanière (il n y a pas de produits qui traversent des postes douaniers) Les produits agricoles sont caractérisés par les 3 P. Il s agit, en effet, de produits pauvres (en VA), pondéreux et périssables. Pour l huile d olive la Tunisie n est pas en train d assurer sont quota vers l UE et n a pas besoin de marchés lointains. Il reste donc les industries des chaussures et du cuir, les industries chimiques (dérivés des phosphates), les industries pharmaceutiques, les industries agroalimentaires. A ces industries s ajoutent les services : SSII, ingénierie, santé, enseignement. 25

26 Il faut enfin tenir compte du secteur des BTP (Batiment et Travaux Publics) qui est en train de réaliser des performances. 26

27 1 2 3 LOGISTIQUE ET COMMERCE- LES CHAMPIONS N de la recommandation 26 Etat des lieux Recommandation Horizon Les «Champions» sont des entreprises structurées, reconnues, qui ont une capacité à conquérir de nouveaux marchés en Afrique et dans le monde. Actuellement ces entreprises sont trop rares. Nous pouvons citer cependant : Studi (ingénierie) Comete ingineering (ingénierie) Scet (ingénierie) Steg international (ingénierie et infrastructure) SBF (travaux publics) Afrique Travaux (travaux publics) Créer des chambres de commerce : Tunisie Afrique de l ouest Tunisie Afrique centrale Ces entreprises doivent être associées en permanence lors des prises de décisions: quelles personnes contacter? quelles régions éviter? quels accompagnements offrir?... Lors des voyages officiels, il est souhaitable qu elles fassent partie de la délégation officielle. Obtenir auprès de l Union

28 Vermeg (informatique, SSII) BFI (informatique, SSII) SCIT (commerce international) Européenne l éligibilité des entreprises tunisiennes aux financements européens en matière d infrastructures dans les pays ACP. 28

29 1 2 3 LES INSTITUTIONS - DIPLOMATIE N de la Recommand ation 27 Etat des lieux Neuf ambassades qui couvrent plusieurs pays : 1. Afrique du Sud : Lesotho - Maurice - Malawi - Namibie - Burundi - Angola - Zambie - Zimbabwe - Mozambique - Swaziland 2. Cameroun : Sao Tomé-et-Principe - Tchad - République centrafricaine - Gabon - Guinée équatoriale 3. Cote d Ivoire : Bénin Togo 4. Ethioie Madagascar - Ouganda - Seychelles - Tanzanie - Comores - Kenya - Union africaine (Organistion internationale) 5. Mali : Niger-Burkina Faso 6. Nigéria : Liberia - Sierra Leone - Ghana 7. République Démocratique du Congo (Kinshasa) : République du Congo (Brazzaville) - Rwanda 8. Sénégal : Cap-Vert - Gambie - Guinée-Bissau - Guinée Recommandation Horiz on Ouverture de 5 nouvelles ambassades au cours de la prochaine décennie. Les pays proposés se caractérisent par de très forts taux de croissance (au cours de la décennie ) et une bonne gouvernance publique 1. Angola : Afrique de l est, lusophone

30 9. Soudan (portugais), PIB: 17,44% 2. Ouganda: Afrique centrale, anglophone, PIB: 9,55% 3. Ghana: Afrique de l est, anglophone, PIB: 9,45% 4. Guinée Equatoriale: Afrique de l est, lusophone, PIB:26,26% 5. Kenya : Afrique de l est, anglophone, PIB: 5,62% ou bien Tanzanie: Afrique de l est, anglophone, PIB: 9,56% 30

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32 1 2 3 LES INSTITUTIONS - ACCES ET MOBILITE DES PERSONNES N de la recommandation Prestations consulaires : Etat des lieux Recommandation Horizon Les prestations consulaires au profit des nationaux et la délivrance des visas de tourisme ou de longue durée sont assurées: 1. Dans les lieux de représentations diplomatiques (neuf capitales) 2. Auprès des consuls honoraires accrédités. Il n y a pas de consulats de Tunisie en Afrique subsaharienne. La délivrance des visas est soumise à des restrictions très fortes. Intensifier le réseau des consuls honoraires. Viser 10 pays: Bénin, Burkina Faso, Burundi, Gabon, Niger, Tchad, Togo, Rwanda, République du Congo, Kenya ou Tanzanie Des aménagements peuvent être, cependant, envisagés à l instar de ce que font de nombreux pays :

33 Faciliter l octroi des visas aux: personnes au dessus d un certain âge (50 ans), hommes et femmes d affaires, enfants en dessous d un certain âge, personnes voyageant pour des raisons de santé Faciliter la délivrance de visas aux ressortissants africains dans les aéroports tunisiens d arrivée (principalement Tunis- Carthage). 30 La qualité de l accueil dans les aéroports n est pas appropriée Améliorer la qualité de l accueil des voyageurs en provenance d Afrique subsaharienne dans les aéroports. (Mettre en place un guichet spécial pour les ressortissants des pays africains)

34 1 2 3 LES INSTITUTIONS - CELLULE DE VEILLE N de la recommandation 31 Etat des lieux Recommandation Horizon Les autorités tunisiennes n ont aucune visibilité des évolutions récentes en matière de commerce et d investissements que l Afrique subsaharienne a connues. Il s agit dans la plupart des cas d impressions parcellaires, anecdotiques, parfois contradictoires. Aucune approche rationnelle et systématique n est mise en place Créer une cellule de veille stratégique et d intelligence économique chapeautée par le MAE (Commerce, coopération, équipement, télécoms, transport) qui aurait pour mission d analyser les évolutions récentes en Afrique subsaharienne: Origines et destinations des flux commerciaux. Origines et destination des flux d investissement. Evolutions logistiques (ports, aéroports, lignes aériennes) Stratégie de certains pays: France, Chine, Turquie, Maroc, Egypte

35 1 2 3 LES INSTITUTIONS LES STRUCTURES D ACCOMPAGNEMENT N de la recommandation 32 Etat des lieux Recommandation Horizon De nombreuses entreprises tunisiennes sont désormais bien installées, à travers leurs exportations ou leurs investissements, en Afrique subsaharienne (travaux publics, ingénierie, enseignement supérieur, services de santé..). Beaucoup d autres ont besoin d un accompagnement. Celui-ci peut prendre différentes formes. De missions commerciales subventionnées. D incitations fiscales et sociales. D études de marché et de prospection. Accélérer la mise en place du plan de développement des exportations 3 (PDE3) dont le Famex 3 serait une composante. Prévoir des incitations spécifiques au commerce avec l Afrique subsaharienne

36 Les mécanismes actuels ne sont spécifiques au commerce avec l Afrique subsaharienne Le FAMEX : le fonds d accès aux marchés à l exportation permet 1. Une assistance marketing et commerciale assurées par les experts du FAMEX. 2. Une aide dans la mise en œuvre d un plan d exportation. 3. Un appui financier sous la forme d une subvention maximale de DNT. Ces fonds sont versés pour soutenir les entreprises dans la réalisation et la mise en place de plans d exportation. Pour les entreprises, les coûts sont pris en charge à raison de 50 %. Pour les associations professionnelles intervenant dans le domaine de l exportation, la prise en charge atteint les 70 %. Cette subvention passe à DNT si le plan d exportation prévoit l ouverture d une représentation à l étranger. 36

37 33 Le fonds de promotion des exportations (FOPRODEX) est un fonds spécial du Trésor doté d une subvention de l ordre de 25 millions de dinars par an. Ce fonds est géré par le ministère du Commerce et de l Artisanat à travers le Cepex. Ce fonds n est pas spécialement tourné vers l Afrique subsaharienne. Accroitre la dotation de l Etat au profit du Foprodex de 1 million de dinars par an pendant 5 ans et les réserver à l Afrique Subsaharienne (Atteindre 30 Millions de dinars) Structurer les missions autour des groupements d intérêts économiques (GIE) ou faire en sorte qu il n y ait pas de concurrence entre opérateurs au sein des délégations officielles Même constat (pas de mesures spécifiques au profit de l Afrique subsaharienne) Entamer une expérience pilote d envoi de diplômés sous les drapeaux (service militaire), pour une durée de 9 mois, dans les ambassades en Afrique subsaharienne exclusivement. Leurs missions seraient prospectives (études de marchés). Le financement serait assuré par le Foprodex. De nombreux pays (France, Allemagne, Etats-Unis, Japon, Corée du sud..) procèdent de la sorte

38 1 2 3 LES INSTITUTIONS RESEAU DE SUIVI N de la recommandation 35 Etat des lieux Recommandation Horizon L action actuelle des différents acteurs est très disparate, très éparpillée. Il n y a pas de structure qui centralise le suivi des différentes actions. Opérateurs publics, privés, administrations réseau bancaire travaillent sans cohérence aucune? Créer un réseau dédié présidé par le secteur privé et auquel participeraient à égalité secteurs public, privé et ONG. Public : MAE, ministères du commerce, de la coopération, des finances, BCT, l ATCT, l ATFP, Cepex, les entreprises, Santé, enseignement supérieur.. Privé : l UTICA,l IACE, les entreprises championnes, les cliniques privées, les établissements d enseignement privés, les ONG médicales,.. Nous proposons de l appeler réseau STAR (Réseau Pour Une Stratégie Tunisie Afrique Renouvelée)

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40 ANNEXE LES SECTEURS PORTEURS INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE - Produits agricoles - Production Animale - Agroalimentaire transformé - Pêche et aquaculture - Machines, matériels et services - Gestion et transformation du bois - Négoce SANTE & ENSEIGNEMENT - Médicaments - Matériels et équipement pour hôpitaux et laboratoires - Consommables - Optique - Services - Cosmétiques et parapharmacie - Enseignement supérieur (finance, audit, ingénierie, biologie, para médecine) TOURISME - Tourisme balnéaire 40

41 - Tourisme de culture - Tourisme de nature Tourisme d affaires TIC - Electronique professionnel - Electronique grand public - Matériel informatique - Consommables - Logiciels et programmes informatiques - Services de télécommunications et téléphonie - Programmation et service d information - Activité de conseil ENERGIE - EAU ENVIRONNEMENT - Energie solaire - Energie éolienne - Energie électrique - Traitement des eaux - Gestion des déchets - Assainissement et dépollution - Transformation bois et liège - Industries pétrolières et gazières BIENS D'ÉQUIPEMENTS (B.EQUIP) - Industries mécanique et métallurgique - Industrie navale - Industrie électrique - Construction (gros œuvre, second œuvre ) - travaux publics 41

42 BATIMENTS ET TRAVAUX PUBLICS (BTP) la construction du port en eau profonde la construction du barrage réservoir la construction de pont l'installation globale de la fibre optique la construction du barrage hydro-électrique la construction de la centrale de gaz la construction d autoroute FINANCE ET ASSURANCE Développement des services via Internet Développement des outils technologiques (banques directes, etc.) Automatisation de certaines tâches Déploiement des TIC 42

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