Réseaux écologiques en régions alpines : une approche comparée de la mise en œuvre d un principe d aménagement par la préservation

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1 Thèse de doctorat, spécialité «sciences du territoire» Auteur : Yann Kohler Date : 2011 Réseaux écologiques en régions alpines : une approche comparée de la mise en œuvre d un principe d aménagement par la préservation Mots-clés: réseau écologique, connectivité écologique, aménagement du territoire, biodiversité, protection de la nature, relation nature-société Les réseaux écologiques : un concept en constante évolution Le concept de «réseau écologique» datant de la fin du 20 ème siècle souligne l importance de la connectivité écologique entre différents espaces naturels pour le bon fonctionnement des processus écologiques vitaux. Produit des évolutions historiques des pratiques de conservation de la nature et des nouvelles découvertes scientifiques, ce concept propose une nouvelle manière d appréhender la protection de la nature. Comme toutes les politiques et pratiques de protection de la nature, il reflète également les changements dans la relation société-nature, reposant elle-même sur une perception de la nature par cette société soumise à des changements constants. Ainsi, à l origine c est l éloignement progressif de la société de la nature qui a engendré au milieu du 20 ème siècle une stratégie de conservation fondée sur des espaces protégés par voie règlementaire, préservant ainsi une nature sanctuarisée et faisant de cette protection une affaire de spécialistes déconnectés du monde (socio-économique) extérieur. Des évolutions sociales, culturelles et politiques ainsi que des découvertes scientifiques sont progressivement venues modifier ces démarches en révélant leurs principaux disfonctionnements : les espaces protégés ne pouvant pas répondre aux enjeux de la biodiversité en terme de surface (par exemple pour des espèces à large domaine vital), la forte attractivité de ces espaces pouvant induire une pression touristique trop forte ou encore leur vulnérabilité face à des influences extérieures (pollutions, espèces invasives, fragmentation, absence de certaines dynamiques naturelles comme des inondations). Ce sont donc des concepts plus dynamiques qui sont mis en place, assouplissant les frontières des espaces protégés et tendant vers une gestion intégrée et multifonctionnelle des territoires ruraux. Cette approche, dans laquelle s inscrivent les réseaux écologiques également, cherchant à relier entre eux les différents milieux naturels et semi-naturels, permet de protéger une certaine biodiversité tant qu elle repose sur certaines règles de fonctionnement des écosystèmes, la nature devenant alors un «sous-produit» de l activité humaine. La conservation de la biodiversité ne se réduit donc plus à la protection d espèces sauvages dans des réserves naturelles mais consiste aussi, et principalement, à 1

2 sauvegarder de grands écosystèmes appréhendés comme la base même et le support du développement en «appliquant la protection de la nature à l ensemble du territoire» 1. De nombreuses réflexions et initiatives de «réseaux écologiques» ont lieu à travers le monde dans différents contextes géographiques, notamment dans les Alpes dans le cadre de la Convention alpine. Elles témoignent de cette nouvelle conception de protection de la nature, qui dépasse la simple conservation d espèces pour s orienter vers la préservation de systèmes cherchant à assurer l intégralité des processus écologiques au sein d un territoire. Un phénomène qui ne reste pas sans effets sur les pratiques actuelles de conception et de gestion de l espace. Ce travail de recherche part de l hypothèse que les processus de conception et par la suite de réalisation de projets de réseaux écologiques sur le territoire déclenchent une dynamique sociale particulière, qui entraine dans son sillage des effets «secondaires» intéressants à différents points de vue. Ces effets semblent pouvoir dépasser les simples objectifs de protection et de conservation à l origine du développement des projets, élargissant le champ d action et transformant ainsi cet outil de protection de la nature en outil de conception territoriale. Les principes du concept de réseaux écologiques sont le fruit d un développement théorique basé sur différents concepts de l écologie. Ces concepts scientifiques font cependant l objet d importantes controverses et une définition scientifique exacte et absolue du réseau écologique fait défaut. Mais il s est avéré au cours de ces travaux de recherche, que c est justement dans cette absence de définition scientifique robuste que repose une des grandes opportunités des réseaux écologiques. Bavière, Fribourg, Rhône-Alpes : trois démarches différentes pour un même objectif, appliquer des réseaux écologiques pour protéger la biodiversité L application du concept de «réseau écologiques» est étudiée dans trois régions alpines : le Land de Bavière (Allemagne), le Canton de Fribourg (Suisse) et la Région Rhône-Alpes (France). Sur ces territoires, de nombreuses initiatives différentes viennent se superposer, engendrant des questionnements quant à la coordination et la coopération entre ces diverses échelles, acteurs, actions et les objectifs qui en découlent. Les trois démarches s inscrivent dans une vision partagée d un réseau écologique mais relèvent de grandes différences quant à la mise en œuvre. Chacun de ces exemples est particulier, s inscrivant dans un cadre historique et des traditions de savoir-faire, des valeurs et des relations d acteurs propres. Un certain nombre de points communs se dégagent néanmoins de la comparaison de ces approches et permettent de tirer des conclusions quant à la réussite des démarches par rapport à leur principal objectif commun, la préservation et restauration de la diversité biologique. Une réussite pour le moins incertaine car difficile à évaluer en raison de divers facteurs. Ce travail de recherche a cependant permis de dégager quelques effets supplémentaires induits par ces projets, des effets fortuits, a priori pas recherchés lors de la conception des projets et qui font des réseaux 1 StMUGV (Bayerisches Staatsministerium für Landesentwicklung und Umweltfragen) (ed.), Biotopverbund. München, 58 p. 2

3 écologiques un exemple de sérendipité 2. Ainsi, les effets écologiques de l application du concept de réseau écologique dans le cadre de différents projets se sont avérés très difficiles à évaluer ; le lien direct entre les mesures de connectivité réalisées dans ces projets et les résultats obtenus sur les populations animales et végétales étant encore plus complexe à prouver, d autant plus qu il s agit souvent d un nouvel agencement d activités de protection tout à fait classiques orientées vers la protection de certaines espèces cibles. La réelle innovation de l approche de réseau écologique ne siège donc pas dans la nature des activités et mesures proposées mais plutôt dans sa démarche volontairement intégrée, cherchant réellement à impliquer activement le plus grand nombre d acteurs possibles, rassemblant ainsi également l ensemble des activités de protection de la nature déployées dans une zone spécifique au sein d un concept global cohérent. Une étude bibliographique des publications scientifiques sur la connectivité écologique a permis de démontrer qu une définition scientifique exacte et absolue du réseau écologique fait défaut. Il s est avéré que c est justement dans cette absence de définition scientifique robuste que repose une des grandes opportunités des réseaux écologiques : si ce manque de précision peut certes induire dans quelques cas un certain nombre d aberrations lors de sa mise en œuvre, le principe de représentation de la nature avec un fonctionnement en réseau en lui-même est au premier abord facilement assimilé par les acteurs. L élasticité du terme facilite l appropriation de la démarche par les acteurs et leur donne la liberté de combler cette impression par des définitions propres, adaptées aux besoins et choix locaux. Ceci offre la possibilité d une gouvernance de ces acteurs et leur permet de prendre activement part à la construction et à l application du concept sur leur territoire. Nous avons étudié de façon plus approfondie trois régions alpines. Chacun de ces exemples est particulier, s inscrivant dans un cadre historique et des traditions de savoir-faire, des valeurs et des relations d acteurs propres. Les projets menés dans ces régions nous ont toutefois permis de faire apparaître un certain nombre de points communs : ainsi, ces démarches font généralement émerger des relations nouvelles entre groupes d acteurs similaires mais qui n étaient jusque-là pas ou peu en contact les uns avec les autres (par exemple associations de naturalistes, services gestionnairesg) et surtout dans des réseaux transversaux, qui recomposent les groupes (et ici tous les cas de figures sont possibles puisque les acteurs publics collaborent avec des acteurs privés, les volontaires avec des professionnels, des gestionnaires avec des usagers). Ces nouveaux liens peuvent se développer de façon assez formelle (dans le cadre d un contrat corridor par exemple), mais également de façon beaucoup plus informelle, technique, concernant souvent la conception et la réalisation de mesures concrètes, processus qui semble encore plus important. Ce ne sont pas seulement les interactions entre acteurs qui se trouvent favorisées ou renforcées dans le cadre des démarches de mise en œuvre de réseaux écologiques, ce sont également des échanges entre différents secteurs qui se mettent en place, permettant subséquemment l intégration de préoccupations liées à la protection de la nature et au bon fonctionnement des processus naturels dans les diverses activités sectorielles qui, jusqu à présent, se souciaient peu ou pas du tout des effets de leurs pratiques sur la nature. 2 De façon générale, la sérendipité est le processus cognitif qui amène à trouver tout autre chose que ce que l on cherchait, en saisir l intérêt, se remettre en cause ; décider qu il est supérieur à celui de l objet originel de la recherche, et changer derechef d objet. D après Robinson et Stern (2000), ce processus est un des six processus-clés de l innovation. Ici, une sérendipité sera le résultat de ce processus (Robinson, A.G., Stern, S., L entreprise créative : Comment les innovations surgissent vraiment. Paris, Editions d organisation, 321 p.). 3

4 Le réseau écologique - un enjeu de l aménagement du territoire? L un des principaux mérites du concept de réseau écologique repose indéniablement dans sa capacité à rapprocher et finalement réellement intégrer les démarches de protection de la nature à l aménagement du territoire. En proposant une approche de la nature en réseau, en système spatial complexe, celle-ci devient un objet intéressant pour l aménagement du territoire qui, en conséquence, lui accorde un rôle en adéquation dans ses processus de planification du territoire. La nature dans les espaces protégés trouvait certes déjà sa place dans les pratiques d aménagement, leur surface croissante étant une des utilisations du sol très importante dans certaines régions. Ils étaient cependant, sous cette forme, perçus comme entités individuelles et isolées, qualifiés de nature «protégée» et de ce fait sans plus d intérêt pour l aménagement. Les autres espaces qui se voyaient attribuer la fonction «naturelle» se résumaient à «ce qui reste quand on a tout aménagé» 3. Les réseaux écologiques proposent une nouvelle conception de la nature, attribuant des fonctionnalités particulières aux différents éléments d un réseau écologique et de ce fait à des surfaces pouvant être aussi bien «naturelles» que soumises à une exploitation humaine. Ces surfaces sont reliées entre elles par des liens aussi bien fonctionnels que spatiaux. Avec ce réseau de surfaces naturelles c est donc un réseau supplémentaire qui rejoint les réseaux existants (de transports, d énergie, de communications) et qui s impose aux aménageurs comme un nouvel objet à prendre en compte. Les espaces naturels, mais également d autres types de surfaces (agricoles, forestières ou tout autre type d exploitation du sol), voient s ajouter une fonctionnalité supplémentaire à considérer lors de la planification de leur futur développement : leur fonctionnalité dans un système naturel en réseau. Il s agit d une évolution aux conséquences non négligeables, rajoutant une dimension de complexité considérable à l exercice d aménagement car elle introduit des nouvelles catégories de surfaces à fonctionnalités multiples, exigeant de la part des aménageurs de comprendre et d intégrer les notions de connectivité écologique dans leurs savoir-faire. Mais le concept des réseaux écologiques offre également des opportunités intéressantes aux aménageurs : étant, comme il a pu être démontré dans le cadre de ce travail, un sujet fédérateur, il permet de construire de nouveaux modes participatifs pour concevoir le développement d un territoire en permettant de dépasser l ancien clivage entre espaces naturels/espaces exploités/espaces urbains et de définir de nouveaux axes de planification pour concevoir un paysage répondant aux besoins en évolution de la société de retisser un certain lien avec la nature, mais également pour mieux prendre en compte certains processus et dynamiques naturelles (inondations, risques naturels). Si le concept de réseaux écologiques peut être considéré comme «troisième temps de la conservation de la nature» 4 entrainant un réel changement dans la conception des pratiques de protection, c est son intégration dans l aménagement du territoire qui lui permet de transposer ce changement dans la société. Car c est à travers les processus de planification et l organisation de l exploitation du sol dans les documents d aménagement que les notions 3 Génot, J.C., Barbault, R., «Quelle politique de conservation?». Barbault R. & Chevassus-au-Louis B., Biodiversité et changements globaux. Enjeux de société et défis pour la recherche. ADPF. Ministère des Affaires Etrangères, Paris, pp Bonnin, M., Les corridors écologiques. Vers un troisième temps du droit de la conservation de la nature? L Harmattan, Paris, 274 p. 4

5 de réseaux naturels sont réellement perçues par la société, que la connectivité écologique devient visible, que les acteurs sont intégrés aux démarches de mise en œuvre et qu ils se rendent compte de la nature ordinaire qui constitue leur environnement. En «officialisant» la fonctionnalité écologique de surfaces concernées par les réseaux écologiques dans les documents d aménagement, la société leur attribue une valeur, reconnaissant la nature comme un facteur aussi important que les autres services pour son épanouissement socioéconomique. Pousser à l extrême la logique des réseaux Il est donc possible de conclure qu à travers le développement de réseaux écologiques émergent de nouvelles façons de configurer et gérer les territoires. Dans ces nouvelles formes de reconfiguration des territoires qui s expriment à partir de la conception de réseaux écologiques, les usages sont combinés, imbriqués les uns aux autres. Leur projection et leur matérialisation dans l espace produisent des découpages nouveaux qui trouveront leur raison d être dans la façon dont les différents intérêts ont été confrontés, justifiés et assemblés. Le processus de mise en place de réseaux écologiques contribue à changer le regard que porte la société sur la nature et à revaloriser la nature ordinaire quotidienne qui, même si elle fut déjà prise en compte par le passé par certaines activités de protection (mesures de contractualisation par exemple), retrouve une place plus importante dans les activités de conservation, ce qui permet également d élargir le débat à d autres problématiques plus orphelines, comme la question de la nature urbaine par exemple. Ces changements ne concernent pas uniquement les objets sur lesquels se portent les efforts de protection mais également les acteurs : l approche attribue ainsi un rôle à chaque acteur local et même à chaque particulier s il le souhaite, pouvant à travers ces choix quotidiens (choix d essences pour la plantation de haies, pratiques de jardinage, clôtures, etc..) participer à maintenir la connectivité. Cette image symbolique des réseaux peut donc être poussé jusqu au bout en déclarant que l approche permet de «mettre en réseaux les réseaux». La réelle innovation de l approche de réseau écologique ne siège donc pas dans la nature des activités et mesures proposées mais plutôt dans sa démarche volontairement intégrée, cherchant réellement à impliquer activement le plus grand nombre d acteurs possibles, rassemblant ainsi également l ensemble des activités de protection de la nature déployées dans une zone spécifique au sein d un concept global cohérent. Le travail de recherche de cette thèse a démontré que les réseaux écologiques n étaient pas uniquement une thématique du domaine de l écologie mais que, à travers les acteurs et les répercussions des projets sur le territoire (faisant changer la perception, le fonctionnement et la conception d un territoire), elle relevait aussi bien du domaine des sciences sociales, économiques que politiques. 5

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