PROGRAMME DE FORMATION HUMAINE (HISTOIRE)
|
|
- Antoinette Généreux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 7/5771 Ministère de la Communauté française de Belgique DEPARTEMENT DE L EDUCATION, DE LA RECHERCHE ET DE LA FORMATION Direction de l Organisation des Etudes 1 ère année B 2 ème année professionnelle PROGRAMME DE FORMATION HUMAINE (HISTOIRE) 2 ème et 3 ème degré de l enseignement professionnel PROGRAMME D HISTOIRE
2 ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL PROGRAMME D HISTOIRE Préambule * Pourquoi un nouveau programme? Depuis plusieurs années, l enseignement professionnel connaît une importante réforme. Commencée en 1 e B, poursuivie en 2 e P (actuellement généralisée) elle a confié au même professeur le cours intitulé «formation humaine» qui comprend le cours de langue maternelle et un cours d exploration des réalités sociales, civique et historique. Or, nous constatons que, dans la réalité des classes, si ces explorations ont bien lieu dans le cadre de certains projets, en dehors de cela, le cours d histoire proprement dite tend à disparaître. Dans le 2 e degré, un programme provisoire 1 associait histoire et géographie pour les 16 établissements qui étaient entrés dans la réforme à titre expérimental ; les autres établissements et le 3 e degré continuaient à suivre l ancien programme (datant de 1989). Ce programme expérimental n a jamais été généralisé. L enseignement tiré de ces expériences et la conviction que les élèves de l enseignement professionnel ont, eux aussi, besoin d une solide formation historique, afin de devenir des citoyens conscients et responsables, nous ont amenés à repenser la cohérence d un programme conçu pour six années. Ce programme reprend un cadre chronologique parallèle à celui suivi dans l enseignement général et dans l enseignement technique : il permettra ainsi plus aisément le passage de l un à l autre. Mais à l intérieur de ce cadre, il permet au professeur, grâce à sa souplesse, de s adapter à sa classe, tout en maintenant une rigueur et un équilibre bien nécessaires. Il ne faudra jamais oublier que la matière n est ni l essentiel, ni un prétexte : elle est un point d appui nécessaire à la formation, qui permettra de développer les compétences transversales et les compétences disciplinaires déterminées pour chaque degré. Elle ne doit pas faire obstacle à la pédagogie du projet : la souplesse du programme devrait permettre à chaque professeur d inclure des recherches et activités de type historique dans le projet élaboré. Elle doit aussi permettre de faire construire peu à peu par les élèves les concepts sans lesquels il n y a pas de savoir intellectuel. Ces concepts doivent s élaborer dès le plus jeune âge en partant d éléments concrets pour arriver lentement à des notions plus abstraites. Le cours d histoire est un cours privilégié pour acquérir des concepts aussi importants que civilisation, société, religion, etc 1 Intitulé Réforme à titre expérimental de la 3 e année professionnelle, Instructions relatives au cours d exploration des réalités sociale, civique et historique,
3 La classe d histoire Pour appliquer une pédagogie de ce type, il est indispensable que le professeur puisse disposer d un local fixe, occultable et équipé d un matériel comme - un tableau à plusieurs volets - un panneau d affichage surmonté d une ligne du temps - un planisphère, des cartes murales - un projecteur pour diapositives - une bibliothèque de classe contenant des atlas historique, quelques dictionnaires, des manuels, des ouvrages de référence, adaptés aux élèves. Il devrait pouvoir avoir accès à une médiathèque équipée d un téléviseur et d une vidéo, ainsi que d un ordinateur. Enfin, n oublions pas que la coordination reste plus que jamais indispensable entre les professeurs d une même classe, voire d un même degré ou d une même option. MATIERES PROPOSEES Remarques méthodologiques 1) Il est important, lors des observations scientifiques, de faire percevoir aux élèves que les hypothèses d aujourd hui ne seront pas nécessairement les vérités de demain. 2) Il s agit aussi d amener les élèves à prendre conscience d une évolution permanente de l histoire des hommes. 3) Il faut également veiller à briser les stéréotypes («l homme des cavernes», les «barbares») 4) En faisant découvrir le patrimoine de l humanité, ne pas omettre de souligner les préoccupations esthétiques (peintures, gravures, sculptures, architecture, ) 5) Il est essentiel d initier à l histoire (rappelons-nous que ιστσρια signifie enquête) surtout de ne pas énoncer un catalogue de faits. Les différents points de la matière choisis dans les tableaux qui suivent seront développés en fonction de l âge des élèves, de leur niveau de compréhension et de leur milieu socio-culturel. 6) En développant ses choix, le professeur mettra en évidence que la satisfaction des besoins nécessite une organisation sociale. De cette manière, il travaillera en gardant à l esprit que l objectif prioritaire du cours est la formation de citoyens responsables. 3
4 au temps des producteurs : - sédentarisation - agriculture, élevage - fabrication des vêtements (filage, tissage) - outillage, armes et poterie - les premiers village (dans nos régions à partir d exemples concrets : Darion, ou Blicquy ) - création artistique : statuettes, céramiques - sépultures, mégalithes** L âge des métaux ne fera pas l objet d une séquence dans le cadre de la préhistoire, mais sera observé lors de l étude d une civilisation antique. fin décembre * Attention! Il convient de garder à l esprit qu un mode de vie n exclut pas nécessairement la persistance d un autre. ** N oublions pas qu on ne trouve des réponses aux questions métaphysiques que par des traces matérielles que nous interprétons. Le temps la chronologie : l ordre des dates la division du temps la ligne du temps représenter le temps situer une date sur l échelle du temps les repères (notions de simultanéité, antériorité et postériorité) L histoire - L invention de l écriture et ses premiers systèmes (pictogrammes, ) - Les premiers documents écrits - Les supports de l écriture à placer dans le cours au moment le plus opportun pour la compréhension et la motivation des élèves. 4
5 2 ème année professionnelle A partir de documents concrets choisis dans nos régions, refixer les notions de 1 ère localisation dans l espace situation dans le temps identification de documents Chapitres A titre d exemples Les Celtes (ou Gaulois) Les vestiges archéologiques : armes, bijoux découverts dans les tombelles Les fouilles archéologiques dans notre pays Un nouveau métal : le fer Constructions : les places-fortes (ex : Bérismenil, Cugnon, ) Des techniques : la moissonneuse trévire, le cher, les poteries, le tonneau, Remarques méthodologiques et échéance prévue * Comparaison entre les découvertes archéologiques et la bande dessinée notions de document authentique et de reconstitution, de fiction L arrivée des Romains et la romanisation de nos régions Les conquêtes romaines : Les coutumes romaines : thermes, courses de chars, jeux du cirque (comparaison avec l Italie, l Afrique du Nord et le Proche-Orient) La transformation de la vie quotidienne à travers les apports des uns et des autres : maisons, vêtements, nourriture Le développement des échanges : routes, plans, bornes, moyens de transport Les nouvelles agglomérations : Arlon, Tournai, Tongres, La diffusion d une langue (le latin), d un code, de l écriture, de la religion (polythéisme puis christianisme) Carte par les vestiges archéologiques et les basrelief Echéance : Fin décembre 5
6 Les villes Les conditions favorables à la naissance d une ville (économie, religion) Les groupements de marchands (gildes,hanses) et d artisans (corporations) Les communes et les chartes de libertés Les luttes sociales Les exclus : Juifs, mendiants, A travers l observation d une ville de chez nous (une commune au choix) exemples concerts : - Noms de rues - Monuments (beffrois, halles, ) choisis dans l environnement des élèves 6
7 4 e professionnelle Du milieu du XVIIIe siècle au début du XXe siècle Préambule indispensable Rappel : les grandes divisions de l histoire (ligne du temps) Comparaison entre une carte d Europe au XVIIIe s. et une carte actuelle Comparaison entre une carte du monde au XVIIIe s. et une carte actuelle Chapitres Le temps des révolutions a) les révolutions politiques b) les grands changements économiques et sociaux Les puissances industrielles au début du XXe s. A titre d exemples idées nouvelles (philosophes) la révolution américaine la Révolution française : - idées forces - bilan - influence dans nos régions la Révolution belge : - causes - grands principes de la constitution la révolution démographique la révolution agricole la révolution industrielle dans nos régions : - causes - machinisme les transformations sociales : - bourgeoisie industrielle et capitaliste - condition ouvrière - luttes sociales Angleterre, Belgique (Wallonie), Allemagne, France, Etats-Unis, Japon L expansion coloniale causes un exemple : Léopold II et le Congo Rem. méthodologiques et échéances Rappel : l organisation sociale de l Ancien Régime fin novembre carte des implantations industrielles en Belgique : au XVIIIe s au XIXe s actuellement fin mars à partir d un ou deux graphiques (productions, lignes de chemins de fer, par ex.) et d une carte carte du monde à la fin du XIXe s. 7
8 6 e professionnelle De 1945 à nos jours Chapitres A titre d exemples Notions concernant les droits de l homme Le monde au lendemain de les procès de Nuremberg crimes contre l humanité, la guerre génocide l O.N.U. le monde divisé (formation des blocs, guerre froide, chute du Mur de Berlin ) la Charte des Droits de l Homme droit d ingérence Les rapports Nord-Sud la décolonisation et le néocolonialisme caractéristique principales du mal développement enjeux politiques et économiques des rapports nord-sud Les tensions dans le monde La Belgique de 1945 à nos jours le Moyen-Orient : le monde musulman, la question palestinienne Afrique : soubresauts dans les anciennes colonies Amérique : dictatures militaires Asie : guerres de Corée, du Vietnam, population : évolution démographique, diversité politique, diversité culturelle expansion et crises économiques sécurité sociale, rouages de la solidarité, mondialisation droits et devoirs du citoyen - dans les institutions - dans les juridictions La Belgique dans l Europe construction européenne le citoyen dans l Europe (réalités, enjeux, perspectives) Expression culturelle du XXe siècles architecture, peinture, techniques : problèmes éthiques évolution de la communication : l influence des médias droit des peuples à disposer d eux-mêmes à partir de quelques exemples concrets fin janvier carte à travers quelques exemples d artistes belges (Horta, Delvaux, Magritte, ) et (ou) une exposition 8
9 4. lire un plan ou une carte : a) compléter les points de repère figurant sur une carte lacunaire par les notations appropriées, à partir d un modèle, b) reconnaître sur un plan ou une carte un site étudié en classe, c) transférer les informations d un document à un autre ; - repérer un itinéraire fléché 4. lire un plan ou une carte : a) compléter les points de repère figurant sur une carte lacunaire par les notations appropriées, à partir d un modèle, b) reconnaître sur un plan ou une carte un site étudié en classe, c) transférer les informations d un document à un autre ; d) localiser sur le planisphère ou la carte en utilisant des points de repère, e) comprendre les légendes - dessiner un itinéraire fléché 4. localiser sur un plan ou une carte, élaborer la légende d une carte simple compléter la ligne du temps du cahier, en fonction d un modèle proposé, - utiliser une ligne du temps en y recherchant des renseignements précis, - distinguer les notions d antériorité, de simultanéité et de postériorité - connaître les repères chronologiques usuels (année, siècle, millénaire, ère) pour arriver progressivement à la notion de durée, - créer sa propre ligne du temps en y reportant les notions rencontrées au cours - utiliser une ligne du temps, y situer un élément, y chercher des informations pour les placer dans leur contexte. 9
10 Année : Sujet de la séquence chapitre du programme : nombre de leçons prévues : OBJECTIFS : Notions à faire acquérir : Supports : Compétences à exercer : Matériel à prévoir : Evaluation : 10
IHECS Programmes en français
Programmes en français I. Baccalauréat en Communication appliquée Programme disponible pour les étudiants de seconde ou troisième année : A. Premier semestre (Septembre/Janvier) Usages sociaux des nouveaux
Plus en détailHistoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche
Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion
Plus en détailPourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91)
LA GUERRE FROIDE p82 à 89 Fiche d objectifs/plan détaillé Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) Comment à partir de 1947, Etats-Unis et l URSS s affrontent-ils
Plus en détailLa priorité est donnée aux secteurs de concentration de la coopération belge au développement et aux thèmes transversaux suivants:
Bourses belges La notion de "bourse d études et de stages hors projet" se rapporte aux bourses d études et de stages obtenues en dehors du cadre de la mise en œuvre d un projet ou programme de coopération
Plus en détailLes nouveaux programmes de l él. école primaire. Projet soumis à consultation
Les nouveaux programmes de l él primaire Projet soumis à consultation primaire Les nouveaux programmes sont plus courts : environ 36 pages format BO contre 104. Ils sont écrits dans un langage clair sans
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détail«Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité»
Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité «Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité» est une exposition itinérante qui met en pleine lumière un enjeu indispensable
Plus en détailEtre citoyen, c'est avoir des droits, mais aussi des devoirs.
Etre citoyen, c'est avoir des droits, mais aussi des devoirs. Le sens actuel du mot citoyen est hérité de la révolution française qui a initié le droit de vote. La citoyenneté confère des droits, mais
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailCatalogue de formations
Catalogue de formations 2011 Cher membre, cher sympathisant, Comme vous le savez peut-être déjà, les équipes d Ingénieurs Sans Frontières vous offrent la possibilité de vous investir à travers une grande
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailCORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème
CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème LE NAZISME (1933-1945) DU TRAITE DE VERSAILLES A L ARRIVEE D HITLER AU POUVOIR PAGES 4-5 Comment Mussolini, nouveau dirigeant de l Italie est-il mis en valeur
Plus en détail1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives
ORDONNANCE N 2013-889 du 3 octobre 2013 relative au développement de la construction de logement FICHE N 6 : Instruction et motivation des demandes de dérogation 1. Instruction des demandes de permis de
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailAPRÈS LA 2DE Géné l ra e l t et Technologique
APRÈS LA 2DE Générale é et Technologique Février 2012 Intentions d orientation en Février Le conseil de classe émet une proposition Vœux définitifs au 3 ème trimestre Proposition définitive du conseil
Plus en détailÉvolution et révolution en gestion des identités et des accès (GIA)
Évolution et révolution en gestion des identités et des accès (GIA) Présentée à ISACA Québec Septembre 2013 2 Revenu Québec LES GRANDS ENJEUX 3 Favoriser le respect volontaire des obligations fiscales
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailDe la Guerre Froide à un nouvel ordre mondial?(1975-2009)
(1975-2009) Ruptures et continuités dans les relations internationales des années 80 à nos jours? L ouverture du mur de Berlin : le 9/11/1989 Sommet d Oslo : un espoir de paix en 1993 I/ Une remise en
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailDe la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du quai Branly
Séminaire «Muséologie, Muséographie et nouvelles formes d adresse au public» Paris, 28 mars 2007 De la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du
Plus en détailCahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels)
Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieu culturels) Page 1 sur 19 TABLE DES MATIERES Cahier de charge application cartographie... 1 (base de données des acteurs
Plus en détail1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS
1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases
Plus en détailAttestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année
Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié
Plus en détailAtelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013
Atelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013 Le langage des entreprises Performance Attractivité Développement Emploi Stakeholders Innovation «Compétitivité
Plus en détailBac français. Bac international. Quel bac choisir? Classes 1 & Terminale
Bac français Bac international Quel bac choisir? Classes 1 & Terminale 2014-2015 Quelques critères de choix pour votre orientation en Première 1. Quel(s) métier(s) envisagez-vous? Dans quel(s) domaine(s)
Plus en détail7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement
7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement Session 3 Thème : Mettre le contexte au centre de l action : opérationaliser une approche sensible à la fragilité Sous-thème : «Prise
Plus en détailChap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détailCORRECTION BREVET BLANC 2
CORRECTION BREVET BLANC 2 PARTIE 1: Histoire Question 1: Expliquer les repères qui correspondent aux dates suivantes: 622 / 1598. 622: l'hégire, Mahomet et ses compagnons quittent La Mecque pour Médine,
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailHISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS
HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE
Plus en détailCIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives
CIRCULAIRE CONJOINTE Ministère de l éducation nationale Ministère de la défense Ministère de l éducation nationale Direction de l enseignement scolaire Ministère de la défense Direction de la mémoire,
Plus en détailQuestion 2 Le Proche et le Moyen-Orient, un foyer de conflits depuis la fin de la Première Guerre mondiale
Terminales ES-L /Histoire Regards historiques sur le monde actuel Thème 3 - Puissances et tensions dans le monde de la fin de la Première Guerre mondiale à nos jours Question 2 Le Proche et le Moyen-Orient,
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailLe monde a besoin de paix en Palestine
ANALYSE 2007 Le monde a besoin de paix en Palestine Publié avec le soutien du service de l éducation permanente de la Communauté française Pax Christi Wallonie-Bruxelles Le monde a besoin de paix en Palestine
Plus en détailDEPOSER SES STATUTS ARTIST PROJECT
DEPOSER SES STATUTS ARTIST PROJECT iles asbl 1- La rédaction des statuts La première étape de la constitution de votre future asbl est la rédaction des statuts. Pour ce faire, les fondateurs se réunissent
Plus en détailArchives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4
Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4 Page 1 Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde Projet en réseau
Plus en détailVieu X. à Vieux. Il y a bien longtemps... Il y a bien long. Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... bien longtem.
Il y a bien longtemps... bien longtem. Il y a bien long Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... a bien longte Il y a bien lon longtemps... Il y a bien longtemps... Il
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailTHEME 2 : MONDE ANTIQUE
16 CHAPITRE DEUX: CITOYENNETÉ ET EMPIRE A ROME (I-III SIÈCLE AP JC). CHAPITRE DEUX : CITOYENNETÉ ET EMPIRE À ROME AU Ie - IIIe SIECLES AP J.C. INTRODUCTION CARTE DE L EMPIRE AU II AP JC. 1 / Quelle est
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras
DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE
Plus en détailLa mobilité. Une évidence. Journée internationale, IFSI Virginie Olivier
La mobilité Une évidence. 1 Le cursus en soins infirmiers en Belgique Les 2 filières L enseignement supérieur en Belgique Les challenges pour le futur Présentation de la Haute Ecole Namur-Liège-Luxembourg
Plus en détailComment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?
Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal
Plus en détail243 La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire
La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire >Luc Barbé chercheur-associé à Etopia. barbe@telenet.be Le fait que les premières bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki aient été
Plus en détailARTIS TRADING ALG a développé un réseau de partenaires dans toute l Algérie :
Présentation : ARTIS TRADING ALG s est donné comme objectif de proposer à ses clients une large gamme de produits de décoration issue de l art et l artisanat Algérien. Ainsi il regroupe les compétences
Plus en détail3 e étage. ESPACE 5. Une femme et ses symboles. PANNEAU PHOTO «Histoire des femmes»
3 e étage 6 ESPACE 5. Une femme et ses symboles. PANNEAU PHOTO «Histoire des femmes» 22) En comparant les photos 2 et 5, dites ce qui a changé, depuis 1945, dans le rôle des femmes en tant que mères? Photo
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailBref portrait. LGT Bank (Suisse) SA
Bref portrait LGT Bank (Suisse) SA S.A.S. le Prince Max von und zu Liechtenstein (à gauche) et Heinrich Henckel (à droite) Votre partenaire pour des générations Chère cliente, cher client, Au cours de
Plus en détailOrdre du jour provisoire de la soixante-huitième session ordinaire de l Assemblée générale*
Nations Unies Soixante-huitième session de Notice biographique Déclaration Informations de base Ordre du jour provisoire Liste des Présidents Ordre du jour provisoire de la soixante-huitième session ordinaire
Plus en détailLe mécénat d entreprise
Le mécénat d entreprise Ubiqus Paris, le 1 er octobre ] Sommaire Ouverture... 3 Georges CHABIN, Directeur de la communication... Qu est-ce que le mécénat?... 3 Maxine HEBERT, Responsable du Mécénat, société
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détail«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre»
«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre» Cet exposé vous est présenté par Liliane Gordos,Stéphanie Natalis, Bernadette
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailGlobal Construct - www.globalconstruct.be. global construct. Fabriquez vous-même vos propres blocs de béton!
global construct Fabriquez vous-même vos propres blocs de béton! Nos produits Bloc Global Construct Bloc de coffrage (Bloc de mur) K=0,111! Le Bloc Global Construct est le résultat d années d expériences
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailPROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET»
PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» Cette brochure présente les différentes possibilités de financement octroyées par l Agence belge de développement aux ressortissants maliens qui désirent
Plus en détailLimitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing
Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détail0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures
Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments
Plus en détailREPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880
REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière
Plus en détailLicences et Masters à l Université de Toulouse II-Le Mirail
Université en Arts, Lettres et Langues (ALL) Sciences Humaines et Sociales (SHS) Sciences, Technologies, Santé (STS) Droit, Économie, Gestion (DEG) Licences et Masters à l Université de Toulouse II-Le
Plus en détailDes cartes pour comprendre un monde complexe
Des cartes pour comprendre un monde complexe Propositions de séquences en TES/L et en TS sur le cours introductif de géographie par Damien LOQUAY, EEMCP2 en Tunisie Ce que disent les programmes Terminale
Plus en détailLes Fondations du groupe Bouygues
Les Fondations du groupe Bouygues Depuis près de 20 ans, le groupe Bouygues participe au développement économique et social des régions et pays dans lesquels il est implanté, que ce soit par des initiatives
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailQU EST- CE QU UNE CONSTITUTION
QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également
Plus en détailN 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE
N 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 7 mai 2013. PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE sur le mandat de
Plus en détailLa FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire
La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé
Plus en détailPrésentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis
Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis Pour contrer le problème du vandalisme par tags et graffitis, la Ville de Gatineau a mis sur pied un Programme de prévention
Plus en détailL EMPIRE ROMAIN. étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle. Fabienne Rouffia - collège V.
L EMPIRE ROMAIN étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle Détail du piédestal de la statue d Aponius Cherea (II siècle) musée archéologique de Narbonne Source : Service
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détail«Les Arabes sont musulmans, les musulmans sont arabes.»
«Les Arabes sont musulmans, les musulmans sont arabes.» Les Turcs, les Persans et autres Arabes musulmans (...) Extrait de lettre de lecteur au journal Le Monde À cette idée reçue, il faut opposer d emblée
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Banques fictives et établissements d enregistrement
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Banques fictives et établissements d enregistrement Janvier 2003 Groupe de travail sur les activités bancaires transfrontières Coprésidents : M. Charles Freeland,
Plus en détailThème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre
Plus en détail22 & 29/10 2013 JUIFS & MUSULMANS. série documentaire
22 & 29/10 2013 Les mardis 22 ET 29 octobre à partir de 22.30 JUIFS & MUSULMANS Si loin, si proches série documentaire 4 films pour raconter 1400 ans d une relation unique JUIFS & MUSULMANS Si loin, si
Plus en détailOTIS PACKS SÉCURITÉ FIABILITÉ CONFORT
OTIS PACKS SÉCURITÉ FIABILITÉ CONFORT Votre ascenseur présente-t-il les premiers signes d usure? La vétusté visible et invisible de votre ascenseur Nul n ignore les usures typiques des vieux ascenseurs.
Plus en détail4.1. Faire une page de titre 4.2. Rédiger l introduction
Nous présentons ici le détail de la présentation générale d un instrument de recherche papier, y compris tous les éléments complémentaires comme la bibliographie et les sources complémentaires (suite du
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailPremière partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...
TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9
Plus en détailFrançaise de Motivation
Française de Motivation Ensemble,nous trouverons toujours Ensemble, la meilleure nous trouverons solution. toujours la solution qui vous convient. Philosophie Créée en 1991, née de la réunion du savoir-faire
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailINFORMATION FICTION PUBLICITÉ (IFP) L épreuve du jour
INFORMATION FICTION PUBLICITÉ (IFP) L épreuve du jour du 20 octobre 2010 au 16 janvier 2011 mamco 10, rue des Vieux-Grenadiers, CH-1205 Genève t. + 41 22 320 61 22 f. + 41 22 781 56 81 www.mamco.ch Cette
Plus en détailCLIPSAS. COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015. Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015
CLIPSAS COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015 Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015 Henri SYLVESTRE Grand Secrétaire aux Affaires Extérieures Adjoint 00 33 6 86 36 66 18 hd.sylvestre@wanadoo.fr Association
Plus en détailJOURNAL OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. Journal Officiel - Numéro Spécial - 09 mai 2009
JOURNAL OFFICIEL de la République Démocratique du Congo CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE - LOI N 09/002 DU 07 MAI 2009 PORTANT DELIMITATION DES ESPACES MARITIMES DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
Plus en détail<http://cahiers.gutenberg.eu.org/fitem?id=cg_2001 39-40_17_0>
Cahiers GUTenberg GUT LES POLICES TTF CONVERTIES EN METAFONT Daniel Taupin Cahiers GUTenberg, no 39-40 (2001), p. 17-21. Association GUTenberg,
Plus en détailSommaire. Concertations et décisions entreprises Objectifs de l étude Résultats de l étude Perspectives
Sommaire Introduction DGO4 Missions du Département Evolution du Photovoltaïque en Wallonie et en Belgique Objectifs régionaux de qualité PV et sécurité des pompiers Concertations et décisions entreprises
Plus en détailGuide de calcul de la superficie habitable
Guide de calcul de la superficie habitable Centris publie le présent guide à l intention des membres des chambres immobilières. Ce guide vous est recommandé pour calculer de façon adéquate la superficie
Plus en détailForum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détailPartie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes de troisième Partie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales Thème 2 : L évolution du système de production et ses
Plus en détailRefondation du Mali et refondation de l aide internationale
Refondation du Mali et refondation de l aide internationale La crise malienne et la manière dont elle a pris les partenaires techniques et financiers de ce pays par surprise est un bon révélateur des faiblesses
Plus en détailMETHODE IDENTIFIER LA NATURE D UN DOCUMENT
METHODE IDENTIFIER LA NATURE D UN DOCUMENT Dire «ce document est un texte» ou «c est un tableau de statistiques», cela ne suffit pas à donner avec précision la nature d un document. Plus cette nature est
Plus en détail