Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Organisation des Nations Unies pour le développement industriel"

Transcription

1 Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr.: Générale 3 avril 2008 Français Original: Anglais Conseil du développement industriel Trente-quatrième session Vienne, mai 2008 Point 5 de l ordre du jour provisoire Cohérence à l échelle du système des Nations Unies Cohérence à l échelle du système des Nations Unies Rapport du Directeur général Conformément à la résolution GC.12/Res.6 de la Conférence générale, le présent rapport a pour objet de tenir le Conseil informé des résultats des discussions sur la cohérence à l échelle du système des Nations Unies et ses implications pour l ONUDI. Table des matières Paragraphes Page Introduction I. Faits nouveaux concernant la cohérence à l échelle du système II. Dialogue de haut niveau sur les prochaines étapes de la cohérence à l échelle du système des Nations Unies III. Bilan de la contribution de l ONUDI aux initiatives pilotes Unis dans l action IV. Incidences et défis pour l ONUDI V. Mesures que doit prendre le Conseil Liste des abréviations Pour des raisons d économie, le présent document a été tiré à un nombre limité d exemplaires. Les représentants sont priés de bien vouloir apporter leur propre exemplaire aux réunions V (F) * *

2 Introduction 1. À sa trente-troisième session, le Conseil du développement industriel a pris note du document IDB.33/CRP.6 exposant un certain nombre de faits nouveaux relatifs à l examen par des organes intergouvernementaux et interinstitutions du rapport du Groupe de haut niveau sur la cohérence de l action du système des Nations Unies (A/61/583). Ce document faisait ressortir les points clefs de la mise en œuvre de l initiative Unis dans l action et les contributions apportées par l ONUDI pour la soutenir. 2. À la douzième session de la Conférence générale, le Secrétariat a fait le point des contributions de l ONUDI à la réforme et à la cohérence à l échelle du système des Nations Unies aux niveaux mondial, régional et des pays (GC.12/CRP.6). Ce document traitait également de questions centrales relatives à la mise en œuvre de l initiative Unis dans l action, en particulier celles qui concernent l ONUDI. 3. À sa douzième session, la Conférence générale a adopté la résolution GC.12/Res.6, dans laquelle elle a notamment prié le Directeur général de continuer à coordonner et à promouvoir les activités de l ONUDI en relation avec les discussions en cours visant à assurer la cohérence à l échelle du système des Nations Unies aux niveaux mondial, régional et des pays; et de tenir les organes directeurs de l ONUDI informés des résultats des discussions sur la cohérence à l échelle du système des Nations Unies et ses implications pour l ONUDI. Le présent document met à jour les informations fournies dans le document GC.12/CRP.6 et rend compte des résultats du dialogue de haut niveau sur la cohérence à l échelle du système, organisé par l ONUDI les 4 et 5 mars 2008 à son siège à Vienne. I. Faits nouveaux concernant la cohérence à l échelle du système 4. Pour s assurer que son appui au processus de cohérence à l échelle du système reste conforme aux politiques des États membres, l ONUDI a continué de suivre les faits nouveaux concernant le processus consultatif intergouvernemental sur ce sujet. 5. Le 7 février 2008, l Assemblée générale des Nations Unies a lancé un nouveau cycle de consultations sur la cohérence à l échelle du système sous la coprésidence de l Ambassadeur Augustine Mahiga (République-Unie de Tanzanie) et de l Ambassadeur Paul Kavanagh (Irlande). 6. Les États membres se sont félicités de l approche pragmatique et empirique suggérée par les nouveaux coprésidents, ainsi que de leur proposition de promouvoir une approche qui parte de la base dans la recherche des moyens visant à rendre l action des Nations Unies plus cohérente et plus efficace. Le fait de tirer des leçons du terrain a été considéré comme un moyen raisonnable d éviter la politisation des consultations. La fragmentation et le caractère imprévisible des ressources autres que les ressources de base ont été identifiés comme étant responsables des insuffisances du système des Nations Unies. Partant, afin de garantir le succès des activités opérationnelles de développement des Nations Unies, on a jugé qu il était indispensable de disposer d une base de financement élargie permettant de s assurer des ressources de base suffisantes, prévisibles et disponibles en temps utile. La course aux ressources que mènent les organismes des Nations Unies et la 2

3 fragmentation qui en résulte doivent être abordées, et il a été suggéré d entamer des discussions sur un mode de financement centralisé. Des préoccupations ont en outre été exprimées quant à l éventualité de nouvelles conditionnalités de l aide au développement, qui ne seraient pas acceptables pour les pays en développement. 7. Les États membres ont également attiré l attention sur la nécessité de renforcer le rôle du coordonnateur résident de manière adéquate et de garantir sa neutralité. L appropriation et l impulsion nationales, ainsi qu une approche unique c est-à-dire des activités de coopération pour le développement qui répondent aux besoins, priorités et conditions spécifiques de chaque pays sont considérées comme des préalables pour garantir le succès de l initiative Une ONU au niveau des pays. Il faut de toute urgence donner plus de souplesse aux projets pilotes de l initiative Une ONU pour leur permettre d expérimenter et de faire des apports positifs au processus de cohérence à l échelle du système. La cohérence n est qu un moyen, la fin étant de rendre le système des Nations Unies plus efficace. L objectif ultime est de garantir l efficience et l efficacité de l aide fournie pour mieux répondre aux besoins des pays en développement, réduire les coûts de transaction et rationaliser les modalités de communication de l information. La cohérence ne doit pas être considérée comme une nouvelle possibilité de réduire les coûts. Ainsi, toutes les économies réalisées devraient être réinjectées dans les activités de développement. 8. On a également souligné qu il était important de progresser sur le front de l égalité des sexes et de l autonomisation des femmes en vue d atteindre les objectifs de développement convenus à l échelon international, y compris les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Si l on veut que l Organisation des Nations Unies joue pleinement son rôle dans la réalisation des OMD, il faudra inévitablement apporter des changements et plus de cohérence à l échelle du système, dans le cadre de l objectif plus général de l efficacité de l aide. Le Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination (CCS) et le Groupe des Nations Unies pour le développement (GNUD) sont considérés comme pouvant aider les différentes composantes du système des Nations Unies à accroître leur capacité collective de relever les nouveaux défis de manière cohérente. L inclusion du GNUD en tant que troisième comité de haut niveau au sein du CCS devrait améliorer la coordination interinstitutions. Les questions de chevauchement et d efficacité de la coordination interinstitutions au sein du système devront être examinées plus avant. L harmonisation des pratiques commerciales du système des Nations Unies à l échelle des pays est essentielle. Des pratiques commerciales et une gouvernance harmonisées et simplifiées sont également cruciales pour améliorer le fonctionnement du système de développement des Nations Unies au niveau central. 9. Les deux coprésidents ont indiqué qu ils entendaient continuer à engager des consultations bilatérales et autres et à présenter un programme de travail dans de brefs délais. Ils se rendraient en visite dans les quatre pays pilotes suivants de l initiative Une ONU : Cap-Vert, Mozambique, République-Unie de Tanzanie et Viet Nam, et assisteraient à la conférence sur les prochaines étapes de la cohérence à l échelle du système des Nations Unies, organisée par l ONUDI à Vienne les 4 et 5 mars Des consultations informelles sur l initiative Une ONU se tiendraient au cours de l Assemblée générale les 17 et 18 mars En outre, une réunion d information sur les travaux du CCS dans le domaine de la cohérence au plus haut niveau serait organisée en avril Les deux coprésidents comptent présenter leur rapport au Président de l Assemblée générale en juin

4 10. L adoption de la résolution de l Assemblée générale A/RES/62/208 sur l examen triennal complet des activités opérationnelles de 2007 et le lancement des huit projets pilotes de l initiative Une ONU ont été considérés comme des faits nouveaux importants qui donnent une impulsion nouvelle à la cohérence à l échelle du système. Cette résolution constitue le cadre politique convenu au niveau intergouvernemental pour traiter des activités opérationnelles de développement des Nations Unies, et elle contient de nombreux éléments relatifs à la cohérence à l échelle du système. Parallèlement, l inventaire mené dans les pays pilotes à la fin de 2007 fait état de progrès encourageants dans la recherche de la cohérence à l échelle des pays. 11. À la réunion conjointe des conseils exécutifs du PNUD, du FNUAP, de l UNICEF et du PAM en janvier 2008, les délégations ont reconnu que les projets pilotes avaient contribué de manière positive à aligner davantage les priorités nationales et à assurer une plus grande cohérence au sein du système des Nations Unies. Elles ont souligné qu il était important d adopter une approche nationale, adaptée et souple pour intensifier les efforts visant à atteindre les objectifs de développement convenus au niveau international. Elles ont également indiqué qu il était nécessaire de réinvestir les ressources économisées dans des programmes et de réduire les coûts relatifs à la communication de l information et les charges administratives. De nombreuses délégations ont mis en garde contre une adoption trop rapide d un modèle particulier pour l initiative Unis dans l action, et affirmé que la cohérence était davantage un moyen d atteindre l efficacité qu une fin en soi, et que des alternatives étaient toujours à l étude dans le cadre d autres forums internationaux. Elles ont souligné que la recherche de la cohérence devait relever des pays et faire valoir que les ressources ne devraient pas être redistribuées sur la base des premières expériences des projets pilotes, mais qu elles devraient continuer à être réparties sur la base de formules et de principes convenus au niveau multilatéral. 12. Au niveau interinstitutions, les groupes de gestion et de programme du GNUD ont tenu une réunion le 4 février 2008 pour examiner les rapports de synthèse des pays pilotes et discuter de la création d un groupe consultatif du GNUD qui sera chargé de conseiller la présidence du GNUD sur les questions relatives à l application de la résolution sur l examen triennal complet des activités opérationnelles, à la gestion du système de coordonnateurs résidents et au mécanisme de coordination du GNUD. Les participants ont noté les progrès réalisés au cours de la première année de pilotage de l initiative Unis dans l action, notamment en ce qui concerne le sens plus élevé de l appropriation et de l impulsion nationales, l alignement plus étroit des programmes et des projets des organisations participantes sur les plans et priorités des pays, la coordination accrue des donateurs et l amélioration de la compréhension mutuelle entre les organismes participants du système des Nations Unies. Ils ont également examiné la proposition concernant la composition du groupe consultatif du GNUD et ont noté trois options possibles: inclusion de tous les membres du GNUD, consultation de tous les membres du GNUD par le président sur une base aléatoire; ou maintien de la structure actuelle du Comité exécutif, composé des chefs du PNUD, de l UNICEF, du FNUAP et du PAM. La décision finale quant à l option retenue sera prise par le CCS en avril L ONUDI a poursuivi son étroite collaboration avec ses partenaires du système des Nations Unies en vue d améliorer la cohérence dans ses domaines d activité. La mise en place en octobre 2007 du réseau du CCS sur les capacités commerciales et 4

5 productives, composé de la CNUCED, de l ONUDI, de l OMC, de la FAO, du Centre du commerce international, du PNUD et des commissions régionales, a offert une plate-forme interinstitutions pour mettre en évidence l importance du commerce et des capacités productives dans l action du système des Nations Unies et pour promouvoir une plus grande cohérence entre les organismes du système qui interviennent dans ces domaines. Les organismes des Nations Unies concernés ont commencé à promouvoir une programmation conjointe dans un certain nombre de pays pilotes, dont le Cap-Vert, le Mozambique, l Uruguay et le Viet Nam, et elles s emploient actuellement à élaborer une formation conjointe pour sensibiliser les coordonnateurs résidents aux questions des capacités commerciales et productives et au rôle des organismes des Nations Unies dans ce domaine. 14. En relation avec les travaux du réseau du CCS sur les capacités commerciales et productives, il existe un groupe de travail interinstitutions sur l efficience et l intégration des marchés dirigé par l ONUDI, sous les auspices du Comité de haut niveau chargé des programmes du CCS. Ce groupe de travail a été chargé d élaborer un guide documentaire complet sur qui fait quoi, pour qui et comment dans le renforcement des capacités commerciales. Ce guide documentaire est maintenant terminé et a été présenté à la quinzième session du Comité de haut niveau chargé des programmes à Rome, les 13 et 14 mars 2008, pour approbation et transmission au CCS en avril Les membres du Comité ont félicité l ONUDI pour cette publication. Vingt et un organismes du système des Nations Unies et cinq organes interinstitutions ont contribué à l élaboration de ce guide documentaire qui donne une description claire et complète de la vaste gamme de services d appui relatifs au commerce qu offrent différents organismes du système. La description détaillée permet de mieux définir et de différencier ces services et d identifier les opportunités d initiatives et d activités conjointes. Le guide cherche également à promouvoir une approche commune du renforcement des capacités commerciales au sein du système des Nations Unies tout en offrant au système de coordonnateurs résidents et aux équipes de pays des Nations Unies des données complètes sur les capacités et l expertise auxquelles on pourrait faire appel pour répondre dans les pays aux besoins en matière d appui relatif au commerce. 15. Le Directeur général a convoqué et présidé la première réunion générale d ONU-Énergie au siège de l ONUDI les 25 et 26 février Les tendances actuelles en matière d énergie et de développement durable ont été examinées lors de cette réunion et le programme de travail des deux prochaines années a été défini. Quinze organismes des Nations Unies, y compris des institutions spécialisées, étaient représentés à cette réunion, à laquelle ont également assisté des représentants de l Agence internationale de l énergie (AIE), de l Institut international pour l analyse des systèmes appliqués, de la Fondation pour les Nations Unies, du Fonds de l OPEP pour le développement international, de l Institut international du développement durable (IIDD) et du Partenariat pour les énergies renouvelables et l efficacité énergétique (REEP). Lors de cette réunion, les plans de travail des trois groupes suivants d ONU-Énergie ont été examinés: accès à l énergie, dirigé par le PNUD et le Département des affaires économiques et sociales; énergies renouvelables, dirigé par le PNUE et la FAO; et efficacité énergétique, dirigé par l ONUDI et l AIEA. Il a également été convenu de faire participer ONU-Énergie, par des manifestations parallèles et en la faisant intervenir, comme oratrice ou invitée, à un certain nombre de réunions et de forums internationaux à venir, notamment à la session de fond de 2008 du Conseil économique et social 5

6 (juin-juillet 2008), à l examen des OMD à l Assemblée générale le 25 septembre 2008, à la quatrième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l Afrique à Tokyo (28-30 mai 2008), aux manifestations préparatoires du Sommet du Groupe des Huit de Hokkaido Toyako (7-9 juillet 2008), à la quatorzième et à la quinzième Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques en Pologne (1-12 décembre 2008) et au Danemark en Ces manifestations constituent d excellentes occasions pour ONU-Énergie de rallier les campagnes de sensibilisation collectives, de fournir des conseils d expert et de participer aux délibérations intergouvernementales dans des domaines qui relèvent de sa compétence. 16. S agissant de l emploi des jeunes, il faut rappeler que l ONUDI a organisé une réunion consultative de haut niveau au Ghana en février 2007 pour mieux coordonner les efforts des différents partenaires dans la lutte contre le chômage des jeunes dans les pays de l Union du fleuve Mano (Guinée, Libéria et Sierra Leone) et en Côte d Ivoire. L ONUDI, l OIT, le PNUD, le Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest et le Réseau pour l emploi des jeunes ont dépêché une mission conjointe dans la région de l Union du fleuve Mano en mai-juin 2007, qui s est conclue par la formulation d un projet de programme multipartite pour l emploi productif et décent des jeunes dans l Union du fleuve Mano. À la table ronde de haut niveau qui s est tenue au cours de la Conférence générale de l ONUDI en décembre 2007, les représentants des gouvernements se sont félicités de ce programme qui reconnaissait dans les jeunes une ressource sociale et économique potentielle pour la consolidation de la paix et la stabilité et qui se voulait une stratégie immédiate pour lutter contre la pauvreté des jeunes par le biais d un programme d action directe. Le Gouvernement japonais a alloué 5 millions de dollars au programme, avec pour principal objectif de développer les compétences pour améliorer les possibilités d emploi dans les secteurs à forte demande des entreprises privées et pour promouvoir l emploi indépendant des jeunes. Le programme commencera à être mis en œuvre en avril 2008 en partenariat avec l OIT et le PNUD. 17. Au niveau des pays, l ONUDI a continué à être proactive dans l appui aux processus de coordination des Nations Unies en participant au travail des équipes de pays des Nations Unies, à des groupes et modules thématiques et à des programmes et activités conjoints. Elle a été particulièrement active dans la promotion de partenariats avec les organismes des Nations Unies qui ont des mandats complémentaires. Sa contribution à la cohérence à l échelle du système dans les pays pilotes est présentée dans la troisième section du présent document. II. Dialogue de haut niveau sur les prochaines étapes de la cohérence à l échelle du système des Nations Unies 18. Pour contribuer à améliorer la cohérence à l échelle du système, l ONUDI a organisé un dialogue de haut niveau sur ce sujet les 4 et 5 mars 2008 à son siège à Vienne. Cette réunion visait principalement à mieux comprendre les aspects de la cohérence et de l initiative Unis dans l action relatifs au développement et à identifier les questions et défis principaux, ainsi que les moyens d aller de l avant. 6

7 19. Cette réunion de deux jours a rassemblé plus de trois cents participants, dont la Vice-Secrétaire générale de l ONU et les coprésidents du Groupe de haut niveau sur la cohérence de l action du système des Nations Unies. Ont également participé à cette réunion des représentants de haut niveau des États membres de l ONUDI, y compris les pays pilotes et des pays donateurs, ainsi que de hauts représentants de 16 organismes du système des Nations Unies, le secrétariat du CCS et le Bureau du Groupe des Nations Unies pour le développement. Le dialogue a été organisé en six sessions: session 1 Processus intergouvernemental sur la cohérence à l échelle du système: progrès et prochaines étapes; session 2 Perspectives pour améliorer la cohérence à l échelle du système des Nations Unies; session 3 Garantir une réponse globale et stratégiquement ciblée du système des Nations Unies aux priorités de développement des pays; session 4 Financer les projets pilotes pour améliorer la cohérence; session 5 Consolider le rôle des coordonnateurs résidents; et session 6 Harmoniser les modèles et pratiques commerciaux. 20. Le Directeur général a souhaité la bienvenue aux participants et déclaré que l ONUDI avait décidé d organiser ce dialogue pour mieux comprendre le processus de cohérence à l échelle du système et l initiative pilote Unis dans l action et continuer à contribuer aux efforts en cours pour améliorer la cohérence et obtenir de meilleurs résultats dans le domaine du développement. Il a souligné que le processus de cohérence présentait un enjeu énorme et que, si elle ne parvenait pas à répondre aux grandes attentes suscitées, la famille des Nations Unies risquerait d être marginalisée. Mais la vraie tragédie, a-t-il déclaré, serait de manquer l occasion de faire plus ensemble et de faire une plus grande différence dans la vie des populations pour lesquelles le système des Nations Unies travaille. 21. Dans son discours liminaire, la Vice-Secrétaire générale de l ONU a noté les progrès significatifs accomplis dans le cadre de l initiative Unis dans l action. Elle a souligné les défis qui restent à relever, notamment la lenteur de la réforme et des changements au siège, la nécessité de mettre en place des outils et processus mondiaux pour soutenir et renforcer l efficacité des Nations Unies dans les pays et la nécessité de clarifier davantage les pouvoirs des coordonnateurs résidents et de garantir un esprit de responsabilité mutuelle au sein des équipes de pays des Nations Unies. S agissant des prochaines étapes du processus de cohérence, elle a souligné qu il était important que les organismes du système des Nations Unies collaborent dans la mise en œuvre d un programme unique dans les huit initiatives pilotes et obtiennent des résultats. Le système doit s inspirer des enseignements tirés des initiatives pilotes et les appliquer à d autres équipes de pays, selon que de besoin et à la demande des États membres. Le siège doit soutenir davantage les équipes de pays et leur donner plus de marge de manœuvre pour répondre aux demandes et aux besoins des pays. Il convient en particulier d harmoniser les pratiques commerciales plus rapidement et plus efficacement et de reconnaître le rôle essentiel des organismes spécialisés et des organismes non résidents dans les efforts d ensemble que déploie le système des Nations Unies pour une efficience, une efficacité et une cohérence plus grandes. 22. L Ambassadeur Juan Manuel Gomez Robledo, Vice-Ministre des affaires multilatérales et des droits de l homme au Ministère des affaires étrangères du Mexique, a présidé la session consacrée au processus intergouvernemental sur la cohérence à l échelle du système. Il a rappelé que le rapport et les recommandations du Groupe de haut niveau fournissait un contexte pour les délibérations 7

8 intergouvernementales sur la cohérence à l échelle du système et l initiative pilote Unis dans l action. Il a également mentionné la pertinence d une telle initiative pour un pays comme le Mexique. 23. Dans sa déclaration, l Ambassadeur Paul Kavanagh, Représentant permanent de l Irlande auprès des Nations Unies et coprésident des consultations de l Assemblée générale des Nations Unies sur la cohérence de l action du système, a rappelé l histoire récente des consultations intergouvernementales sur ce sujet et souligné l approche pragmatique, empirique et transparente que les coprésidents entendaient adopter pour faire avancer le processus consultatif. Ils s appuieraient sur les domaines dans lesquels des progrès ont été réalisés, à savoir l initiative Unis dans l action au niveau des pays et l harmonisation des pratiques commerciales au CCS. Les questions du financement, de la gouvernance et de l égalité entre les sexes seraient également abordées. Décrivant la prochaine série de consultations, l Ambassadeur Kavanagh a indiqué que les consultations informelles suivantes étaient prévues: Unis dans l action (28 mars 2008); Financement (7 avril 2008), Gouvernance (17 avril 2008) et, en temps voulu, Égalité entre les sexes. Le Secrétaire général ou son représentant sera invité à tenir les États membres informés des progrès accomplis par le CCS début mai L Ambassadeur Augustine Mahiga, Représentant permanent de la République-Unie de Tanzanie auprès des Nations Unies et coprésident des consultations de l Assemblée générale des Nations Unies sur la cohérence de l action du système, a indiqué que, dans les pays pilotes qu ils avaient visités (Cap-Vert, Mozambique et République-Unie de Tanzanie), des progrès significatifs avaient déjà été réalisés pour avancer le processus Unis dans l action. Il a noté que plusieurs représentants de gouvernements et du système des Nations Unies considéraient désormais que ce processus était irréversible. Maintenant que l initiative pilote entrait dans sa phase de mise en œuvre, il conviendrait que les sièges donnent plus de marge de manœuvre à leurs représentants dans les équipes de pays des Nations Unies. Cette marge de manœuvre s imposait en particulier pour les différents aspects du principe du bureau unique achats, voyages, infrastructure et locaux pour les bureaux, renforcement des capacités nationales pour exécuter/mettre en œuvre des programmes et projets et mise en commun des ressources. Les économies réalisées en améliorant l efficacité opérationnelle devraient être consacrées aux activités de développement. L Ambassadeur Mahiga a souligné que l initiative Unis dans l action devrait ménager un équilibre entre l unité d action des Nations Unies et la diversité du système qui est un formidable atout pour la communauté internationale. Parallèlement, la réforme et le renouvellement du système des Nations Unies ne sauraient aller de pair avec une approche routinière. 25. Des déclarations ont été faites par le Groupe des 77 et la Chine, l Union européenne, le Bélarus, la Colombie, les Pays-Bas et la Suisse sur divers aspects du processus de cohérence à l échelle du système. 26. Les déclarations, présentations et discussions qui ont suivi lors de chacune des sessions ont fait ressortir les points clefs suivants: L objectif stratégique et le caractère intégrateur de la réponse du système des Nations Unies aux plans et priorités nationaux ne sont pas incompatibles. Comme on l a vu avec l application du principe Un programme unique, les deux objectifs ont été atteints pour ce qui est de 8

9 l appropriation du programme par les gouvernements. Les programmes uniques sont désormais plus intégrés et incluent les secteurs du commerce et de la production, l environnement et d autres domaines. Les organismes spécialisés et non résidents participent aussi davantage au processus. L objectif stratégique a aussi été atteint grâce à un alignement plus étroit entre les programmes des Nations Unies et les priorités des pays et les décisions des gouvernements relatives au choix des programmes et projets du système des Nations Unies qui répondent le mieux à ces priorités; Le financement a été un élément central dans la recherche de la cohérence à l échelle du système. Il convient de disposer de ressources adéquates, prévisibles, communes et non affectées à des fins spéciales dans un cadre budgétaire unique ou un fonds unique pour soutenir un programme unique. Si les initiatives pilotes Unis dans l action visent à tirer le meilleur parti des ressources disponibles, on espérait que la partie non financée du programme unique le serait en intégralité, ce qui a amené à se demander dans quelle mesure les activités du système des Nations Unies dans les pays pilotes devraient être regroupées dans un programme unique. Les questions connexes étaient de savoir comment les ressources de base des organismes des Nations Unies devraient être utilisées pour soutenir l initiative Unis dans l action et quel temps il faudrait pour créer un fonds central. Les autres questions consistaient à savoir comment les activités financées par des contributions à des fins spéciales ou spécifiques, des fonds d action générale et des programmes financés au niveau régional qui, de par leur nature même, ne peuvent faire partie d un cadre budgétaire unique ou d un fonds unique, pourraient être incluses dans un programme unique ou un plan unique. Le problème principal est de savoir comment mettre en commun, dans le cadre d un budget unique ou d un fonds unique, des fonds provenant d une multiplicité de sources dont les objectifs diffèrent. Sans mécanisme de financement cohérent pour l initiative Unis dans l action, la mise en œuvre d un programme unique est compromise. Le rôle, la responsabilité et l affiliation organisationnelle des coordonnateurs résidents sont essentiels pour la cohérence à l échelle du système au niveau des pays. Si la compréhension du rôle d un responsable unique va de celui d un président-directeur général à celui d un coordonnateur stratégique, on s accorde sur la nécessité de renforcer la fonction pour que le titulaire devienne un dirigeant visible qui représente l ensemble du système des Nations Unies. Cela n est possible que si l interface entre le système de coordonnateurs résidents et le PNUD est efficace et si le coordonnateur résident est plus comptable devant le système des Nations Unies. Il a également été souligné que le PNUD devait clairement afficher son engagement de se retirer des domaines dans lesquels d autres organismes ont un mandat clair et une expertise. Des progrès ont été observés dans l élaboration de codes de conduite dans plusieurs pays pilotes, la nomination de directeurs pays du PNUD et l évaluation du comportement professionnel des coordonnateurs résidents par les équipes de directeurs régionaux. Toutefois, il reste encore à savoir si les mesures qui ont été prises jusqu à maintenant sont suffisantes pour garantir l indépendance, l impartialité et la responsabilité des coordonnateurs résidents. 9

10 Les différentes pratiques commerciales et administratives du système des Nations Unies demeurent un défi majeur pour la cohérence. Les locaux et services communs étaient déjà gérés avant le rapport du Groupe de haut niveau et certains progrès ont été réalisés dans l harmonisation des pratiques commerciales. Les Normes comptables internationales du secteur public qui seront adoptées en 2010 contribueront à harmoniser de nombreux domaines de responsabilité concernant les finances et la budgétisation. Les activités en cours du Comité de haut niveau sur la gestion du CCS couvrent de nombreux domaines, notamment les achats, la gestion des ressources humaines, les technologies de l information et de la communication, la budgétisation et les finances. Toutefois, l intégration des différents modèles et pratiques commerciaux utilisés par les fonds, les programmes et les organismes spécialisés dans le nouvel environnement des pays pilotes pose encore problème. Une certaine souplesse s impose, en fonction des besoins des pays pilotes et de la nécessité pour le système des Nations Unies d offrir des services au moindre coût. Les pratiques commerciales dans les achats et les ressources humaines doivent être évaluées avec le plus grand soin et en prenant en considération les besoins spécifiques, la spécialisation et les conditions du marché, et un juste équilibre devrait être trouvé entre la centralisation au siège et la décentralisation au niveau des pays. 27. Dans sa déclaration finale, le Directeur général de l ONUDI a rappelé le message du rapport du Groupe de haut niveau concernant la nécessité urgente de réforme de l ONU si l on veut qu elle joue un rôle central dans le contexte actuel de la mondialisation. L Ambassadeur Mahiga a noté que le dialogue était une bonne occasion de s informer sur les progrès réalisés en matière de cohérence à l échelle du système, mais que les enjeux restaient complexes. Il a rappelé aux participants qu il était nécessaire d investir et de réinvestir dans l Organisation des Nations Unies. L Ambassadeur Kavanagh a exprimé ses remerciements pour les discussions et a noté qu il fallait maintenir la dynamique des initiatives pilotes Unis dans l action et indiqué qu il restait optimiste pour l avenir. III. Bilan de la contribution de l ONUDI aux initiatives pilotes Unis dans l action 28. En 2007, tous les pays pilotes de l initiative Unis dans l action ont établi leurs propres versions du programme unique et du cadre budgétaire unique. Dans la plupart d entre eux, le concept du responsable unique avait été défini et des codes de conduite formulés ou signés par les organismes participants du système des Nations Unies. Les pays pilotes pouvant bénéficier d un appui du Fonds PNUD-Espagne pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement ont en outre élaboré des notes conceptuelles et des programmes conjoints pour les différents volets thématiques. En 2008, l accent portera essentiellement sur la mise en œuvre des programmes uniques. On trouvera ci-après un bilan actualisé des initiatives pilotes depuis la publication du document GC.12/CRP.6 en décembre 2007: 10

11 Albanie Le Comité exécutif conjoint Gouvernement albanais/onu a été créé en août 2007 pour superviser la mise en œuvre du programme unique approuvé et signé en octobre Dans le cadre du Fonds PNUD-Espagne pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement, deux notes conceptuelles ont été approuvées pour les volets thématiques Culture et développement, piloté par l UNESCO (3 millions de dollars), et Gouvernance économique, piloté par le PNUD et la Banque mondiale (2 millions de dollars). Une stratégie de communication ONU a été mise au point et une équipe virtuelle de communication du programme unique a été créée. En Albanie, les organismes suivants participent actuellement à l initiative pilote: Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO), Organisation internationale du Travail (OIT), Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture (UNESCO), Organisation mondiale de la Santé (OMS), Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Programme des Nations Unies pour l environnement (PNUE), Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Fonds des Nations Unies pour l enfance (UNICEF), Volontaires des Nations Unies, Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (UNIFEM), Organisation internationale pour les migrations (OIM) et Banque mondiale. L ONUDI est convenue avec la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et le Centre du commerce international (CNUCED/OMC) (CCI) d apporter une contribution commune au programme unique et d entreprendre une programmation conjointe dans le domaine du commerce. L inclusion formelle de l ONUDI dans le programme unique est prévue pour le milieu de Cap-Vert Un avant-projet du programme unique pour , établi sur la base d une version plus détaillée du Plan-cadre des Nations Unies pour l aide au développement, , et une stratégie de mobilisation des ressources ont été élaborés et présentés aux organismes participants des Nations Unies pour examen et consultation. En outre, des notes conceptuelles ont été établies pour les volets thématiques du Fonds PNUD-Espagne pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement, Culture et développement et Jeunesse, emploi et migration. Un code de conduite, comportant des principes directeurs pour l équipe de pays des Nations Unies, a été établi, en même temps que le mandat du Comité directeur. Ces documents, ainsi qu un document de stratégie sur le programme Une ONU et le déclassement du Cap-Vert de la liste des pays les moins avancés (PMA), ont été communiqués aux partenaires nationaux et aux organismes participants. Un donateur a fourni 3,5 millions de dollars pour la mise en œuvre du processus de réforme de l ONU au Cap-Vert. Actuellement, les organismes suivants participent à l initiative pilote au Cap-Vert: FAO, OIT, UIT, UNESCO, ONUDI, OMS, CNUCED, PNUD, PNUE, FNUAP, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, HCR, UNICEF, UNIFEM, Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), Programme alimentaire mondial (PAM), ONUSIDA, Bureau des Nations Unies pour la coordination de l assistance 11

12 humanitaire à l Afghanistan, Organisation internationale pour les migrations (OIM) et Banque mondiale. Mozambique Un Comité directeur de l initiative Unis dans l action a été créé, et des mécanismes clefs d appui à la mise en œuvre du programme unique (équipe de gestion du programme, équipe de gestion des opérations, Groupe de travail sur la communication, équipe spéciale du programme Une ONU ) ont été mis en place. Le Plan-cadre des Nations Unies pour l aide au développement a été révisé et compte désormais un quatrième volet, axé sur le développement économique. Un cadre de suivi et d évaluation, une stratégie conjointe de mobilisation des ressources, une stratégie conjointe de communication, un projet de mandat pour l équipe de pays des Nations Unies et le coordonnateur résident, ainsi que des principes fondamentaux de gestion, ont en outre été élaborés. Une étude préliminaire de faisabilité sur les options concernant la mise en place de locaux et de plans opérationnels communs a été achevée et communiquée au Gouvernement et aux organismes participants des Nations Unies. Les organismes suivants participent à l initiative au Mozambique: FAO, OIT, UNESCO, ONUDI, OMS, Fonds international de développement agricole (FIDA), PNUD, FNUAP, PNUE, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, HCR, UNICEF, Volontaires des Nations Unies, PAM, CCI (CNUCED/OMC), ONUSIDA, Fonds d équipement des Nations Unies (FENU), UNIFEM, Département des affaires économiques et sociales (DAES), Bureau des Nations Unies pour la coordination de l assistance humanitaire à l Afghanistan, ONUDC et Haut Commissariat aux droits de l homme (HCDH). Pakistan Cinq organes principaux dirigent la phase pilote au Pakistan: l équipe de pays des Nations Unies, les groupes de travail thématiques, l équipe de gestion des opérations, le Groupe des Nations Unies pour les communications et le Comité de haut niveau, présidé par le Ministre des affaires économiques et composé des représentants des ministères chargés de l exécution, des autorités provinciales, des donateurs, des organismes des Nations Unies et des organisations de la société civile. Récemment, une proposition concernant la mise en place de locaux communs sur un terrain donné par le Gouvernement, un plan de travail détaillé pour l harmonisation des pratiques de fonctionnement et une stratégie commune de communication ont été élaborés. Les fonctions et responsabilités de l équipe de pays des Nations Unies ont également été définies et un directeur de pays du PNUD a été nommé. Les organismes suivants participent à l initiative au Pakistan: FAO, OIT, UNESCO, ONUDI, OMS, FIDA, PNUD, PNUE, FNUAP, HCR, UNICEF, PAM, ONUDC, ONUSIDA, UNIFEM, HCDH, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, Bureau des Nations Unies pour les services d appui aux projets (UNOPS), Volontaires des Nations Unies et OIM. 12

13 Rwanda Un comité directeur, composé du Gouvernement, des organismes des Nations Unies, des partenaires de développement et de la communauté des donateurs, a été créé parallèlement à d autres mécanismes essentiels de consultation, tels que l équipe de pays des Nations Unies et l équipe de gestion des opérations. Grâce à la coopération entre les organismes participants au niveau décisionnel, une approche sectorielle dans le secteur de la santé a pu être signée avec le Gouvernement et les partenaires de développement. Une stratégie commune de communication a en outre été élaborée et des propositions ont été formulées concernant la mise en commun des services d appui et l harmonisation des procédures. Les organismes suivants participent à l initiative pilote au Rwanda: FAO, OIT, UIT, UNESCO, ONUDI, OMS, FIDA, CNUCED, PNUD, PNUE, FNUAP, HCR, UNICEF, PAM, CCI (CNUCED/OMC), ONUSIDA, UNIFEM, Commission économique pour l Afrique (CEA), FENU, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains et HCDH. République-Unie de Tanzanie En République-Unie de Tanzanie, un comité directeur conjoint Gouvernement/ONU et six instruments principaux chargés de mener la phase pilote ont été mis en place: équipe de gestion de pays des Nations Unies, équipe spéciale conjointe ONU-Gouvernement, équipe de gestion des opérations, Comité interinstitutions du programme, Groupe des Nations Unies pour les communications et Comité consultatif des Nations Unies pour la société civile (UNCSAC). Une stratégie à moyen terme pour le programme unique ( ), incluant une stratégie visant à promouvoir une participation plus efficace et effective des organismes non résidents, et un cadre de suivi et d évaluation sont encore en cours d élaboration. Une stratégie de communication pour le programme unique a été mise au point et une évaluation des besoins en effectifs est en cours. Des progrès ont été réalisés dans la mise en place d un bureau unique, avec des locaux communs pour neuf organismes des Nations Unies à Dar es-salaam, la Maison des Nations Unies qui sera bientôt inaugurée à Zanzibar et qui accueillera huit organismes et des locaux communs à Kigoma. Les organismes suivants participent à l initiative pilote en République-Unie de Tanzanie: FAO, OIT, UNESCO, ONUDI, OMS, FIDA, ONUSIDA, PNUD, PNUE, FNUAP, HCR, Centre d information des Nations Unies, UNICEF, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, PAM, UNIFEM et OIM. La Banque mondiale pourrait participer à un programme commun. Uruguay En Uruguay, un comité directeur a été créé, composé du Gouvernement (Bureau de la planification et du budget Présidence de la République), du Coordonnateur résident et des organismes participants des Nations Unies. L équipe de pays des Nations Unies et les donateurs participant au financement du programme commun donneront des avis au Comité. Neuf programmes conjoints, conformes à différents produits du programme unique, ont été définis par le Gouvernement et seront lancés 13

14 en Un montant de 37,85 millions de dollars a été alloué par le Gouvernement dans le cadre de son budget et dans le cadre de prêts internationaux au titre des ressources à des fins spéciales du cadre budgétaire unique. Les organismes participants en Uruguay sont les suivants: FAO, OIT, UNESCO, ONUDI, Organisation mondiale du tourisme (OMT), FIDA, PNUD, PNUE, FNUAP, HCR, UNICEF, UNOPS, ONUSIDA, Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, Commission économique pour l Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), UNIFEM, ONUDC et OIM. Viet Nam L Équipe spéciale nationale tripartite guide le processus au Viet Nam et est composée de représentants des organismes publics de coordination de l aide (GACA), des organismes participants des Nations Unies et des donateurs bilatéraux. Les autres mécanismes clefs mis en place pour faire progresser et soutenir la mise en œuvre de l initiative Unis dans l action sont les suivants: équipe de pays des Nations Unies, équipe de gestion des opérations, équipe chargée du suivi et de l évaluation, et équipe chargée de la communication. Les activités relatives à la deuxième phase du plan unique ont débuté en août 2007 et le Gouvernement est convenu que les cinq objectifs originaux du Plan soient légèrement reformulés pour tenir compte des mandats des nouveaux organismes spécialisés participants. Lors de la retraite de l équipe de pays des Nations Unies en décembre 2007, il a été convenu de finaliser la deuxième phase au début de 2008, ainsi qu un plan de gestion du plan unique, pour approbation par le Gouvernement. En outre, des critères de succès ont été définis et acceptés par le Gouvernement, les organismes des Nations Unies participants et les donateurs. En ce qui concerne le suivi et l évaluation, un groupe de travail interinstitutions a été mis en place et un cadre a été élaboré, sur la base des systèmes et des outils de suivi et d évaluation dont disposent le Gouvernement et l ONU, pour fournir des informations actualisées et fiables sur les progrès accomplis et les difficultés rencontrées. Dans ce contexte, une mission indépendante chargée par le Groupe des Nations Unies sur l évaluation d étudier l évaluabilité de l initiative pilote a examiné les indicateurs du processus en novembre Lors de la retraite de l équipe de pays des Nations Unies en décembre, un code de conduite et le mandat de l équipe de pays des Nations Unies ont été définis. Un plan d action relatif aux services communs et les mesures concrètes à prendre pour la mise en place d une Maison des Nations Unies écologique à Hanoi ont été élaborés. On a également achevé l harmonisation des normes UE-ONU relatives aux coûts en vue de la mise en application de l Engagement de Hanoi. Les lignes directrices harmonisées pour la gestion des programmes et des projets devraient être finalisées dans le courant de 2008 et s appliqueront dans un premier temps aux organismes résidents du Comité exécutif. À compter de 2010, ces lignes directrices seront applicables à tous les organismes des Nations Unies qui participent à l initiative pilote au Viet Nam: FAO, OIT, UNESCO, ONUDI, OMS, FIDA, PNUD, FNUAP, UNICEF, UNIFEM, ONUSIDA, Volontaires des Nations Unies, ONUDC et Conférence des Nations Unies sur les établissements humains. 14

15 IV. Incidences et défis pour l ONUDI 29. L ONUDI s est employée de sa propre initiative à faire avancer la cohérence à l échelle du système des Nations Unies, notamment par sa participation active aux organes de coordination interinstitutions, sa contribution à la cohérence au niveau des pays, la promotion de la coordination dans ses propres domaines d activité et l organisation de manifestations telles que le dialogue sur les nouvelles étapes de la cohérence à l échelle du système des Nations Unies. Elle a accompli des progrès importants en faisant intégrer ses activités dans le Programme unique ou le Plan unique dans les huit pays pilotes. Dans le cadre de sa participation active à l initiative Unis dans l action, elle a poursuivi sa collaboration avec les partenaires en vue de l adoption d une approche commune ou complémentaire des autres aspects du processus de cohérence au niveau des pays (un responsable unique, un cadre budgétaire unique et un bureau unique). 30. L initiative contribue clairement à promouvoir une action commune du système des Nations Unies au niveau des pays. Cependant, un certain nombre de questions et de difficultés doivent être résolues si l on veut que l ONUDI maintienne son engagement en amont et apporte une contribution constructive à la cohérence à l échelle du système. Les plus importantes sont les suivantes: Répondre à la demande accrue de coordination: L initiative pilote Unis dans l action a exigé un investissement énorme en temps de la part des fonctionnaires tant au siège que dans les bureaux extérieurs. Les retraites des équipes de pays des Nations Unies et les réunions de coordination interinstitutions se sont multipliées et le nombre de documents exigeant un examen approfondi a considérablement augmenté. L initiative Unis dans l action passant au stade de l exécution, il y aura probablement des dépenses supplémentaires de coordination liées à la gestion, au suivi et à l évaluation de programmes et de projets conjoints, ainsi qu à la vérification des comptes et à d autres besoins de coordination au sein de l équipe de pays des Nations Unies. Les bureaux extérieurs de l ONUDI auront davantage de fonctions et de responsabilités de coordination, en particulier lors de la mise en œuvre des programmes conjoints qui constituent le Programme unique. Des ressources humaines supplémentaires pourraient être nécessaires sur le terrain. Là où l Organisation n est pas présente sur le terrain, la création d un comptoir de l ONUDI ou le recrutement et la formation d un ou de plusieurs experts nationaux pourraient être nécessaires pour coordonner les activités de l Organisation et des autres organismes des Nations Unies. Par ailleurs, la participation de l ONUDI à l élaboration de plans-cadres des Nations Unies pour l aide au développement dans une quinzaine de pays en 2008 et une vingtaine en 2009, dont bon nombre tireront probablement parti des enseignements de l initiative Unis dans l action dans les pays pilotes, entraînera pour le personnel un surcroît d heures de travail. L ONUDI devra probablement trouver des ressources supplémentaires, pour ne pas consacrer à ces tâches le personnel déjà affecté à d autres activités prioritaires tout aussi pressantes. Dans le contexte d un budget à croissance nulle, cette question mériterait d être examinée de très près par la direction et les États Membres. 15

16 Sauvegarder le mandat et l expertise de l ONUDI: Le renforcement du rôle du Coordonnateur résident en tant que responsable de l équipe de pays des Nations Unies est l un des piliers fondamentaux de l initiative Unis dans l action. Il soulève cependant des questions importantes en ce qui concerne la représentation, l établissement de priorités et l affectation de ressources au sein de l équipe. En sa qualité de responsable unique, le Coordonnateur résident est chargé d assurer le positionnement stratégique de l ONU dans le pays et de s exprimer au nom des organismes des Nations Unies participants. Il joue en outre un rôle de chef de file pour imprimer une forme au Programme unique et lui affecter des ressources, et rappelle aux membres de l équipe de pays des Nations Unies les résultats et aboutissements convenus dans le Programme unique auxquels ils sont tenus. La capacité des coordonnateurs résidents à diriger efficacement les équipes de pays dépend toutefois de leur indépendance et de leur impartialité. La plupart des coordonnateurs résidents sont également représentants résidents du PNUD et, comme le PNUD gère le système de coordonnateurs résidents, on craint qu il n y ait un conflit d intérêts, ce double rôle joué par les coordonnateurs résidents. Cependant, le PNUD a commencé à installer un pare-feu institutionnel, notamment en nommant, dans un certain nombre de pays, des directeurs de pays du PNUD qui sont chargés des programmes du PNUD, ce qui permet aux coordonnateurs résidents de se consacrer principalement à leurs fonctions de coordination. Pour l ONUDI et les autres organismes des Nations Unies présents dans le pays, la mise en place d un pare-feu institutionnel efficace sera déterminante pour garantir le respect de son mandat et de son expertise dans le cadre de l action menée par le système des Nations Unies pour répondre aux priorités nationales. L Organisation suivra de près la mise en place de ce pare-feu et continuera d œuvre de concert avec les partenaires du système des Nations Unies pour garantir le fonctionnement efficace du système de coordonnateurs résidents. Adapter les modalités de fonctionnement de l ONUDI aux besoins des pays pilotes: Un des enseignements majeurs de l expérience menée dans les pays pilotes est qu il est difficile d harmoniser les pratiques et procédures de fonctionnement des organismes participants des Nations Unies. En sa qualité d institution spécialisée, l ONUDI fournit ses compétences techniques depuis le siège, et un appui administratif et en matière de gestion par l entremise des fonctionnaires en poste dans les bureaux extérieurs. Par ailleurs, les fonds et programmes des Nations Unies sont pour la plupart présents sur le terrain et fournissent un appui fonctionnel et en matière de gestion sur le terrain. De plus, ils harmonisent de plus en plus leurs lignes directrices de gestion des programmes et des projets, ainsi que de leurs politiques et procédures administratives. L ONUDI et d autres institutions spécialisées appliquent d autres pratiques de fonctionnement fondées principalement sur les politiques et règles d application adoptées par leur organes directeurs. Elles sont en outre tenues de se conformer aux lignes directrices et aux conditions imposées par les donateurs pour exécuter les programmes et les projets qu ils financent. Tous ces facteurs ont parfois donné l impression que les sièges des institutions spécialisées mettaient du temps à donner une marge de manœuvre à leurs représentants sur le terrain 16

17 dans les pays pilotes. L ONUDI doit revoir rigoureusement ses règles et règlements pour déterminer dans quelle mesure elle pourrait les harmoniser ou les adapter à celle des autres organismes du système des Nations Unies. Intégrer les activités de l ONUDI financées par des fonds mondiaux et régionaux dans les programmes uniques : Une des principales difficultés que rencontrent les institutions spécialisées comme l ONUDI consiste à savoir comment intégrer leurs activités financées par des fonds mondiaux et régionaux (FEM, Protocole de Montréal, Union européenne) dans les programmes uniques élaborés au niveau des pays. Les fonds mondiaux définissent un ensemble de priorités qui ne coïncident pas souvent avec les priorités définies au niveau national. De même, certains programmes régionaux de l ONUDI, notamment ceux concernant le renforcement des capacités commerciales, prévoient des activités au niveau des pays qui ne peuvent être facilement intégrées dans les programmes uniques. Par voie de conséquence, il n est pas facile non plus d intégrer ces fonds mondiaux et régionaux dans le cadre budgétaire unique. Une solution viable à ces problèmes devra être élaborée par le siège et les équipes de pays des Nations Unies dans les pays pilotes, en étroite coopération avec les gouvernements hôtes et les donateurs. V. Mesures que doit prendre le Conseil 31. Le Conseil souhaitera peut-être prendre note du présent document et, s il le juge approprié, donner des indications au Secrétariat quant à la poursuite de sa participation au processus de cohérence à l échelle du système. 17

18 Liste des abréviations A AIE AIEA Agence internationale de l énergie Agence internationale de l énergie atomique C CCI Centre du commerce international CCS Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination CEA Commission économique pour l Afrique CEPALC Commission économique pour l Amérique latine et les Caraïbes CNUCED Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement D DAES F FAO FEM FENU FIDA FNUAP G GACA GNUD H HCDH HCR I IIDD O OIM OIT OMC OMD OMS OMT ONU ONUDC ONUDI ONUSIDA OPEP Département des affaires économiques et sociales Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Fonds pour l environnement mondial Fonds d équipement des Nations Unies Fonds international de développement agricole Fonds des Nations Unies pour la population Organismes publics de coordination de l aide Groupe des Nations Unies pour le développement Haut Commissariat aux droits de l homme Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés Institut international du développement durable Organisation internationale pour les migrations Organisation internationale du Travail Organisation mondiale du commerce Objectifs du Millénaire pour le développement Organisation mondiale de la Santé Organisation mondiale du tourisme Organisation des Nations Unies Office des Nations Unies contre la drogue et le crime Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida Organisation des pays exportateurs de pétrole 18

19 P PAM PMA PNUD PNUE Programme alimentaire mondial Pays les moins avancés Programme des Nations Unies pour le développement Programme des Nations Unies pour l environnement R REEP Partenariat pour les énergies renouvelables et l efficacité énergétique U UE UIT UNCSAC UNESCO UNICEF UNIFEM UNOPS Union européenne Union internationale des télécommunications Comité consultatif des Nations Unies pour la société civile Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture Fonds des Nations Unies pour l enfance Fonds de développement des Nations Unies pour la femme Bureau des Nations Unies pour les services d appui aux projets 19

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

Compte rendu analytique

Compte rendu analytique Compte rendu analytique Évaluation de l intégration de la question du plein emploi productif et du travail décent par les organismes du système des Nations Unies Rapport établi par Istvan Posta Sukai Prom-Jackson

Plus en détail

Examen des activités de coopération technique de la CNUCED et de leur financement

Examen des activités de coopération technique de la CNUCED et de leur financement Nations Unies Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement Distr. générale 24 juin 2013 Français Original: anglais TD/B/WP/253 Conseil du commerce et du développement Groupe de travail

Plus en détail

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION CBD Distr. GÉNÉRALE UNEP/CBD/WG-ABS/7/1/Add.1/Rev.1 25 mars 2009 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS GROUPE DE TRAVAIL SPÉCIAL À COMPOSITION NON LIMITÉE SUR L'ACCÈS ET LE PARTAGE DES AVANTAGES Septième réunion

Plus en détail

Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action»

Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action» Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action» Élaboré par le Groupe de haut niveau du GNUD 20 août 2013 Page 1 of 48 Table des matières Page 1. Introduction 3

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Rapport du Corps commun d inspection

Rapport du Corps commun d inspection Nations Unies Rapport du Corps commun d inspection Assemblée générale Documents officiels Cinquante-cinquième session Supplément N o 34 (A/55/34) Assemblée générale Documents officiels Cinquante-cinquième

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence

EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence Rapport établi par Cihan Terzi Istvan Posta Corps commun d inspection Genève, 2010 Nations Unies Français

Plus en détail

ÉTUDE SUR LA GESTION DES SITES WEB (INTERNET) DES ORGANISMES DES NATIONS UNIES

ÉTUDE SUR LA GESTION DES SITES WEB (INTERNET) DES ORGANISMES DES NATIONS UNIES JIU/REP/2008/6 ÉTUDE SUR LA GESTION DES SITES WEB (INTERNET) DES ORGANISMES DES NATIONS UNIES Rapport établi par Nikolay Chulkov Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève, 2008 Nations Unies JIU/REP/2008/6

Plus en détail

JIU/REP/2012/4 Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève 2012 Nations Unies

JIU/REP/2012/4 Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève 2012 Nations Unies Le recrutement du personnel dans les organismes des Nations Unies: analyse comparative et cadre de référence Vue d ensemble Rapport établi par Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève

Plus en détail

la confiance dans l économie de l information

la confiance dans l économie de l information C o n f é r e n c e d e s N at i o n s U n i e s s u r l e c o m m e r c e e t l e d é v e l o p p e m e n t SERVICES fournis La Division de la technologie et de la logistique de la CNUCED propose les

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

Activités du système des Nations Unies

Activités du système des Nations Unies Organisation mondiale du tourisme Conseil exécutif Quatre-vingt-dixième session Mombasa (Kenya), 19-21 juin 2011 Point 9 de l ordre du jour provisoire CE/90/9 Madrid, mai 2011 Original: anglais Activités

Plus en détail

La Réforme Humanitaire

La Réforme Humanitaire La Réforme Humanitaire Edifier un système de réponse humanitaire plus efficace et prévisible é Lancée en 2005 par le Coordonnateur des Secours d Urgence ERC, USG Affaires Humanitaires. La réforme cherche

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE. Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola

COMMUNIQUE DE PRESSE. Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola AMBASSADE DU JAPON Conakry, le 9 mars 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola Le 9 mars 2015, Son Excellence Monsieur Naotsugu Nakano, Ambassadeur

Plus en détail

NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE 2010. ONUSIDA Division du Travail

NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE 2010. ONUSIDA Division du Travail NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE 2010 ONUSIDA Division du Travail 20 Avenue Appia CH-1211 Geneva 27 Switzerland +41 22 791 4577 unaids.org TABLE DES MATIERES RÉSUMÉ i INTRODUCTION 1 JUSTIFICATION DE LA RÉVISION

Plus en détail

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Étude de l emploi de consultants individuels par le système des Nations Unies

Étude de l emploi de consultants individuels par le système des Nations Unies Étude de l emploi de consultants individuels par le système des Nations Unies Rapport établi par Cihan Terzi Corps commun d inspection Nations Unies, Genève 2012 Français Original: anglais Étude de l

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

PROTOCOLE D ACCORD. Pour la création du CODETIC

PROTOCOLE D ACCORD. Pour la création du CODETIC NRef RM/SF0704165 PROTOCOLE D ACCORD Pour la création du CODETIC Consortium Mondial pour le Développement Equitable des Technologies de l Information et de la Communication Entre WebForce International

Plus en détail

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Nations Unies CTOC/COP/2008/INF.1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 6 juin 2008 Français Original: anglais Quatrième

Plus en détail

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Nations Unies UNW/2015/3 Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Distr. générale 5 mars 2015 Français Original : anglais Session annuelle

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

F Distribution: GÉNÉRALE RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES PROGRAMME MONDIAL DE LOCATION DE VÉHICULES ET RÉGIME DʹAUTO ASSURANCE

F Distribution: GÉNÉRALE RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES PROGRAMME MONDIAL DE LOCATION DE VÉHICULES ET RÉGIME DʹAUTO ASSURANCE Première session ordinaire du Conseil d administration Rome, 4 6 février 2008 RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES Point 6 de lʹordre du jour PROGRAMME MONDIAL DE LOCATION DE VÉHICULES ET RÉGIME

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

EXAMEN DES SERVICES D HÉBERGEMENT DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) DANS LES ORGANISATIONS DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES

EXAMEN DES SERVICES D HÉBERGEMENT DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) DANS LES ORGANISATIONS DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES JIU/REP/2008/5 EXAMEN DES SERVICES D HÉBERGEMENT DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) DANS LES ORGANISATIONS DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES Établi par Yishan Zhang Nikolay Chulkov

Plus en détail

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

GESTION DES DOSSIERS ET DES ARCHIVES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES. Corps commun d inspection

GESTION DES DOSSIERS ET DES ARCHIVES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES. Corps commun d inspection GESTION DES DOSSIERS ET DES ARCHIVES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Rapport établi par Gérard Biraud Corps commun d inspection Nations Unies, Genève 2013 Français Original: anglais GESTION DES DOSSIERS

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des

Plus en détail

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Nations Unies CTOC/COP/WG.5/2012/1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 14 novembre 2011 Français Original: anglais Groupe

Plus en détail

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES LE CONSTAT 1,5 milliards de personnes vivent dans des États fragiles ou en conflit. Environ 70 % des États fragiles ont été affectés par un conflit

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

A f f a i r e s é c o n o m i q u e s e t s o c i a l e s. Grandir ensemble : asdf. les jeunes et l action des Nations Unies

A f f a i r e s é c o n o m i q u e s e t s o c i a l e s. Grandir ensemble : asdf. les jeunes et l action des Nations Unies A f f a i r e s é c o n o m i q u e s e t s o c i a l e s asdf Grandir ensemble : les jeunes et l action des Nations Unies La version originale anglaise du présent document n a pas été revue par les services

Plus en détail

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio +20) a

Plus en détail

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures

Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures 7/1/2011 Le 1 juillet 2011 - Pour Gouvernement

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour

Plus en détail

UN DESA. Au service des peuples et des nations SYNTHÈSE DES RAPPORTS NATIONAUX POUR RIO +20

UN DESA. Au service des peuples et des nations SYNTHÈSE DES RAPPORTS NATIONAUX POUR RIO +20 UN DESA Au service des peuples et des nations SYNTHÈSE DES RAPPORTS NATIONAUX POUR RIO +20 Au service des peuples et des nations UN DESA Droit d auteur: Département des affaires économiques et sociales

Plus en détail

Politiques de continuité des opérations dans les organismes du système des Nations Unies

Politiques de continuité des opérations dans les organismes du système des Nations Unies Politiques de continuité des opérations dans les organismes du système des Nations Unies Établi par Istvan Posta M me Deborah Wynes Corps commun d inspection Genève, 2011 Nations Unies Français Original:

Plus en détail

Programme international pour l abolition du travail des enfants (IPEC)

Programme international pour l abolition du travail des enfants (IPEC) Programme international pour l abolition du travail des enfants (IPEC) Quel est-il et que fait-il? Bureau international du Travail «C est l exploitation des enfants qui constitue le mal...le plus insupportable

Plus en détail

Food and Agriculture Organization of the United Nations. Cent trente-huitième session. Rome, 21-25 mars 2011

Food and Agriculture Organization of the United Nations. Cent trente-huitième session. Rome, 21-25 mars 2011 Mars 2011 联 合 国 粮 食 及 农 业 组 织 Food and Agriculture Organization of the United Nations Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura

Plus en détail

DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE

DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences

Plus en détail

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,

Plus en détail

TABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL.

TABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL. COMMISSION DE L UNION AFRICAINE REPUBLIQUE DU SENEGAL ---------------- MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TABLE RONDE DES

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Stratégie de partenariat de la Commission économique pour l Afrique

Stratégie de partenariat de la Commission économique pour l Afrique Stratégie de partenariat de la Commission économique pour l Afrique Stratégie de partenariat de la Commission économique pour l Afrique Table des matières Liste des acronymes et abréviations Avant-propos

Plus en détail

Les organisations internationales basées en Europe

Les organisations internationales basées en Europe Les organisations internationales basées en Europe Genève [BALLIANA] 22 organisations internationales sont installées à Genève. 154 pays sont représentés, dont 50 sont membres de l OIF (Organisation internationale

Plus en détail

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève CONSEIL EXÉCUTIF EB136/39 Cent trente-sixième session 12 décembre 2014 Point 13.2 de l ordre du jour provisoire Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur

Plus en détail

statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés

statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés Résolution n o 428 (V) de l Assemblée générale du 14 décembre 1950 s t a t u t d u h a u t c o m m i s s a r i a t d e s n a

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/WG.4/2013/5 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 4 septembre 2013 Français Original: anglais Rapport de la réunion

Plus en détail

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections

Plus en détail

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts

Plus en détail

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés Groupes de travail I, II et III du CoC-EEI 23 juillet 2009 Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés 1. La présente note rend compte des travaux en cours concernant la décentralisation,

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011

QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral

Plus en détail

WP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre

WP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre WP Board No. 934/03 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 7 mai 2003 Original : anglais Comité exécutif

Plus en détail

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI 35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте

Plus en détail

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de

Plus en détail

COUVERTURE MÉDICALE DU PERSONNEL DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES. Rapport établi par. Victor Vislykh Deborah Wynes. Corps commun d inspection

COUVERTURE MÉDICALE DU PERSONNEL DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES. Rapport établi par. Victor Vislykh Deborah Wynes. Corps commun d inspection JIU/REP/2007/2 COUVERTURE MÉDICALE DU PERSONNEL DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES Rapport établi par Victor Vislykh Deborah Wynes Corps commun d inspection Genève, 2007 Nations Unies JIU/REP/2007/2 FRANÇAIS

Plus en détail

Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial

Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial

Plus en détail

Convention-cadre sur les changements climatiques

Convention-cadre sur les changements climatiques NATIONS UNIES Convention-cadre sur les changements climatiques Distr. GÉNÉRALE FCCC/CP/2007/6/Add.1 14 mars 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS CONFÉRENCE DES PARTIES Rapport de la treizième session de la

Plus en détail

COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION. Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006

COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION. Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006 Avril 2006 F COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006 ÉVÉNEMENTS ET INITIATIVES DE PORTÉE INTERNATIONALE, Y COMPRIS LA COLLABORATION FUTURE ENTRE LA

Plus en détail

DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE

DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Octobre 2013. Food and. Agricultura. Organization of the United Nations. Cent cinquante et unième session. Rome, 11-15 novembre 2013

Octobre 2013. Food and. Agricultura. Organization of the United Nations. Cent cinquante et unième session. Rome, 11-15 novembre 2013 Octobre 2013 Food and Agriculture Organization of the United Nations Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture Продовольственная и cельскохозяйственная организация Объединенных

Plus en détail

Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes. Guide de l utilisateur

Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes. Guide de l utilisateur Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes Guide de l utilisateur Élaboré par l'équipe spéciale du GNUD pour l égalité des sexes Contact : Astrid Marschatz, DOCO (astrid.marschatz@undg.org)

Plus en détail

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié?

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié? Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 5 avril 2011 Français Original: anglais ECE/CES/2011/9 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Cinquante-neuvième

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504

Plus en détail

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II.

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II. Conseil exécutif Quatre-vingt-dix-huitième session Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne), 4-6 juin 2014 Point 3 l) h) de l ordre du jour provisoire CE/98/3 I) h) Madrid, 15 avril 2014 Original : anglais

Plus en détail

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie. Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche

Plus en détail

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale. Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

Liste des nouveaux descripteurs

Liste des nouveaux descripteurs Liste des nouveaux descripteurs Nouveaux concepts créés dans Motbis 2014 1. accessibilité des locaux 2. accessibilité numérique pour les personnes handicapées 3. bizutage 4. British Library (Londres) 5.

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

Relations entre le personnel et l Administration à l Organisation des Nations Unies

Relations entre le personnel et l Administration à l Organisation des Nations Unies Relations entre le personnel et l Administration à l Organisation des Nations Unies Rapport établi par Gérard Biraud Corps commun d inspection Genève 2011 Nations Unies Français Original: anglais Relations

Plus en détail

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) L Assemblée des États Parties, 1 [ ] 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de

Plus en détail

Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET

Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET Le Réseau de Systèmes d Alerte Précoce contre la Famine Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET Ouagadougou, Burkina Faso 18-20 Novembre 2013 Plan A. Qu est-ce que FEWS NET? B. Les

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39. postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre

Plus en détail

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre

Plus en détail