ZAMBIA CASH TRANSFER IN. IPC-IG Interview Series

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1 CASH TRANSFER IN ZAMBIA Madame Gladys Kristafor est Secrétaire Permanente au ministère du Développement communautaire et des Services sociaux CIP-CI: Le Centre International de politiques pour la croissance inclusive (CIP-CI) a le plaisir d accueillir une délégation zambienne menée par la Secrétaire Permanente au ministère du Développement communautaire et des Services sociaux, Gladys Kristafor, au bureau du CIP-CI à Brasilia, au Brésil. Le CIP-CI a pour mandat de faciliter les échanges de savoir Sud-Sud sur les solutions de développement et de promouvoir une croissance inclusive plus accrue par le biais d un dialogue et d une communication améliorés sur les politiques. Quelle importance accordez-vous à ces types de collaboration et en quoi se rapportent-ils au but de votre visite au Brésil? Gladys Kristafor: En tant que gouvernement et en tant que pays, nous sommes très reconnaissants de cette invitation. Nous sommes un pays en voie de développement et toute forme de savoir ou de contribution que nous recevons de la part de pays développés ou de personnes possédant de l expérience dans des programmes actuellement en cours nous est précieuse. Ces collaborations ont beaucoup d importance. C est tout d abord une chance pour nous, parce que le Brésil développe ses politiques de sécurité sociale depuis déjà bio Madame Gladys Kristafor est Secrétaire Permanente au ministère du Développement communautaire et des Services sociaux. Elle était à la tête d une délégation composée de sept représentants des ministères zambiens du Développement communautaire et des Services sociaux, ainsi que des Finances et de la Planification nationale en visite au CIP- CI, le 10 août dernier, dans le but de rencontrer des chercheurs et des spécialistes de l Unité de la Protection sociale et des Transferts d espèces du CIP-CI, du département des Études sociales de l IPEA, du PNUD Brésil et du Secrétariat des Affaires Stratégiques de la Présidence de la République Fédérative du Brésil, pour discuter des stratégies, des programmes et des résultats dans une perspective comparative. longtemps, alors que nous, nous avons certes des programmes et la protection sociale, mais peu de nos programmes sont réglementés par notre gouvernement. Nous n avons de ce fait pas de législation qui les encadre ils sont menés de manière minimale grâce au ministère avec la collaboration d organisations non gouvernementales c est donc une chance pour nous de ne pas devoir commencer à zéro et d apprendre de personnes

2 possédant de l expérience. Nous pensons que nous avons besoin d une collaboration qui nous procure un support technique pédagogique important pour nous familiariser avec les pours les contres de la mise en place de certains programmes, de l élaboration, d une identification des lieux appropriés, de la surveillance et de l évaluation. Bien évidemment, une telle collaboration ouvre également la voie à des partenariats avec des pays développés et des pays possédant de l expérience dans ce domaine. Bref, nous sommes des privilégiés. Nous avons en place dans notre pays un cinquième Plan national de développement, qui est déterminé par le gouvernement en place ainsi que son programme, et où nous planifions les cinq années à venir, la durée d un mandat gouvernemental étant de cinq ans. Ce programme œuvre sérieusement et positivement pour l éradication de la pauvreté, et est également en ligne avec nos Objectifs du Millénaire pour le développement. Il est donc très important pour nous de revenir de cette visite enrichis de nouvelles idées et, comme nous amorçons la préparation du sixième Plan national de développement, nous pourrons y intégrer les connaissances acquises. De plus, le cinquième Plan national de développement comporte déjà quelques grandes lignes de mesures promouvant la protection sociale nous pourrons mettre en place, à notre retour, des programmes qui ont déjà été mentionnés, mais peut-être pas mis en application à leur capacité maximale. Nous n aurons donc pas à avoir recours à la boîte de Pandore pour trouver des solutions la structure existe déjà et il The IPC-IG Interview Series features interviews with key stakeholders in the South on various subjects related to IPC-IG work, such as: Gender Equality; Social Protection and Cash Transfers; Economic Policies, MDGs and Poverty; Financial Crisis; and Access to Finance and Basic Services. IPC-IG Interview Series helps illustrate the development-related aims and outputs of our research and training programmes and promote knowledge sharing and capacity development. nous suffira d y ajouter des éléments positifs que nous ramènerons d ici. Notre visite est donc un pas dans la bonne direction. CIP-CI : Pendant la semaine qui s est écoulée, le CIP-CI a publié un Document d une page expliquant comment la Zambie est actuellement en train de tester différents programmes de Transfert d espèces (social cash transfer schemes - SCT) avec des variations dans leur élaboration selon si l espace est urbain (Chipata), périurbain (Kalomo) ou rural (Kazungula). Pouvez-vous nous expliquer pourquoi votre pays a décidé de créer des programmes variables au lieu de notre système national de SCT et nous faire part des premiers résultats de cette démarche? GK: Il existe en Zambie des programmes sociaux qui se déroulent sur de longues périodes. Le programme de Transfert d espèces est relativement nouveau et la majorité de nos programmes sociaux ou de protection sociale sont complémentaires. Il est difficile d en isoler un, et, comme je l ai dit, nous manquons d encadrement législatif. Il faut un engagement gouvernemental pour promouvoir une politique d aide pour le pays. Ce sera peut-être une des retombées positives de notre visite au Brésil. Nous avons un système dans notre pays selon lequel un certain nombre d organisations non gouvernementales variées mènent différents programmes en faveur de la protection sociale, mais il nous faut faire le tri pour identifier ce qui Ce Transfert d espèces a un impact psychologique positif, puisqu il procure au bénéficiaire le sentiment d être pris en compte par le gouvernement qui l aide et fait preuve de compassion à son égard. Une telle prise en compte motive à vouloir agir pour son propre bien. est vraiment bénéfique pour la nation. De là, nous pourrons adopter un programme qui fonctionnera pour le pays dans son ensemble. Il convient de préciser que notre environnement est distinct, les diverses régions sont différentes, et le programme de Transfert d espèces en place à Kazungula, une région très pauvre et principale-

3 ment agricole, est différent de celui mené à Chipata, région qui a déjà bénéficié de l apport d autres programmes qui y ont été un peu développés. Nous avons également des programmes qui sont en cours et qui donnent de l autonomie aux bénéficiaires du Transfert d espèces, et puis vous regardez les districts comme Monze ou d autres... il s agissait d un projet pilote, donc il fallait le tester d une manière adaptée à l environnement et en collaboration avec les programmes gouvernementaux existants. En effet, nous avons beaucoup d autres programmes en sus du Transfert d espèces axés sur l agriculture ou encore sur la communauté, par exemple pour les femmes, pour les enfants de la rue et les programmes d autonomisation, alors que dans d autres régions, il s agit des voies pour la sécurité alimentaire par conséquent, nous ne pouvions mener quelque chose d applicable dans le pays dans son ensemble, ce qu en revanche nous serons peut-être en mesure de faire grâce à la formation que nous recevons actuellement. Peut-être devrions-nous, à notre retour, nous pencher à nouveau sur tout ceci. Le département de la planification pourrait, quant à lui, élaborer le modèle d une structure qui soit prête à être appliquée directement. Cela parce que les maux se font ressentir à l échelle nationale avec la crise financière, les inondations qui ont touché le pays il y a deux ou trois ans et, avant cela, les nombreuses sécheresses qui nous ont éprouvés, même si nous sommes parvenus à contenir la pandémie de VIH. Notre pays a donc été très durement touché, d où un besoin de protection et de sécurité sociale. Les niveaux de pauvreté ont augmenté et le taux de chômage est élevé en raison des problèmes économiques qui touchent le pays dans son ensemble. Tout ceci nous pousse à penser que la sécurité sociale est un élément crucial qui remettra la Zambie sur la bonne voie, vers un développement sain d un point de vue non seulement économique, mais également humain. Ce Transfert d espèces a un impact psychologique positif, puisqu il procure au bénéficiaire le sentiment d être pris en compte par le gouvernement qui l aide et fait preuve de compassion à son égard. Une telle prise en compte motive à vouloir agir pour son propre bien. Il est beaucoup plus facile pour le gouvernement de faire passer le message «Concentrez-vous sur l agriculture et envoyez vos enfants à l école» à une population qui constate que ce même gouvernement remplit son rôle. Peu importe la taille de l aide offerte, les gens l apprécient énormément. C est peut-être pour cette raison qu on a dû avoir recours à une approche différente. Il s agit plutôt d un projet pilote nous faisons des essais et les résultats ont été positifs jusqu à présent. Peut-être sommes-nous prêts maintenant à avoir une nouvelle approche. CIP-CI : Le CIP-CI a inscrit la discrimination sexuelle à son programme de recherche sur l Inclusion sociale en raison des désavantages reconnus comme tel subis par les femmes et découlant des barrières d accès, de la discrimination salariale et de la segmentation. Quels sont les progrès accomplis jusqu à présent par votre ministère pour l autonomisation des groupes de femmes et quel est, selon vous, le lien entre la réduction de la pauvreté et l égalité entre les sexes? GK: Réduction de la pauvreté et égalité entre les sexes vont de pair en Zambie. On ne peut pas les dissocier car, comme vous l avez fait ressortir dans votre question, les femmes souffrent de désavantages causés par la discrimination salariale et la segmentation. Certes, notre culture prônait également la discrimination contre les femmes, nous n avions pas les mêmes droits à l éducation les femmes devaient rester à la maison pour s occuper des enfants pendant que les hommes, eux, étaient éduqués. Ainsi, ce n est que depuis la présente décennie les deux dernières décennies que les femmes font leurs preuves sur le plan académique. Cependant, nous continuons à observer beaucoup de femmes partièlement ou complètement analphabètes. On a beaucoup de retranchements en raison de la crise financière : l homme est à la maison et souffre de déséquilibre psychologique parce qu il a perdu son emploi, et la femme est simplement assise là, elle n a aucune expérience et elle est complète-

4 ment impuissante. Il y a aussi un autre cas de figure où la femme devient veuve et doit subvenir aux besoins de tout la famille. Elle n a jamais été sur les bancs d école et elle doit y envoyer et nourrir six enfants. Nous avons un proverbe qui dit je ne sais pas si vous le dites aussi «Éduquer une femme, c est éduquer toute une nation», car la femme est celle qui porte la vie. Dans notre culture, même si les hommes sont présents, nous les femmes sommes plus intimement impliqués dans le bien-être de la famille, car nous faisons à manger, nous sommes attentionnées et nous sommes au courant de ce qui se passe dans la vie de l enfant. Par conséquent, l éducation que nous offrons aux femmes en Zambie a une approche pleine d empathie aux situations et au bien-être des gens et du pays tout entier. Nous y avons donc accordé un soutien considérable. Mon gouvernement a beaucoup de politiques en faveur de l égalité entre les sexes. Les femmes sont actuellement bien représentées au parlement, nous sommes également bien représentées dans les instances chargées des décisions importantes. Nous avons également le programme «Girl Child». Avant, une fille qui devenait enceinte avant de finir sa scolarité était perdue, mais grâce à ce programme, les filles dans cette situation peuvent avoir l enfant tout en continuant l école. Il existe également de l aide psychologique destinée à aider les jeunes femmes qui traversent de telles épreuves. En raison de certains préjugés ancrés dans notre culture et qui font qu une femme devenue veuve est abandonnée et parfois privée de ses bien, voire de ses enfants, nous offrons un soutien considérable à ces femmes et le système judiciaire leur offre une aide judiciaire gratuite. Nous avons mis en place un certain nombre de programmes au sein du ministère du Développement communautaire et des Services sociaux pour lequel je travaille. Je souligne également que nous avons un Ministère pour l Égalité entre les sexes, qui se penche plus particulièrement sur les questions liées aux femmes. Cependant, au niveau local, dans chaque communauté, et que nous promouvons dans tout le pays, nous avons des programmes qui donnent aux femmes l occasion de se réunir en communautés ou en groupes. Elles peuvent alors s inscrire comme tel, identifier un projet qui les intéresse et devenir autonomes grâce a l aide du gouvernement il ne s agit pas d un prêt mais d une subvention pour leur permettre de se lancer et accomplir quelque chose. Nous avons aussi beaucoup d infrastructures mi- AU SUJET DE LA ZAMBIE Le principal défi que doit relever la République de Zambie en matière de développement, est la réduction de la pauvreté chronique qui touche environ 67 pour cent de sa population. La Zambie occupe la 163ème place sur 175 pays sur l indicateur du développement humain, les sécheresses et les pénurie alimentaire y sont fréquentes et le pays connait un des taux de prévalence du VIH/sida les plus élevés au monde. L incidence de la pauvreté extrême qui sévit dans le pays a péniblement chuté de 58 pour cent en 1991 à 51 pour cent en 2006, avec des fluctuations importantes pendant les années intermédiaires. Les travaux publics, les programmes agricoles et les modules d apprentissage pour les chômeurs initiés par le passé ne sont pas parvenus à toucher les personnes les plus défavorisées du pays. Pour pallier le manque de politiques complètes en matière de protection sociale en Zambie, le ministère du Développement communautaire et des Services sociaux est actuellement en train de développer un filet de protection sociale efficace destiné aux familles les plus vulnérables. Un nouveau concept qui a pour vocation de venir en aide aux ménages présentant peu ou pas de potentiel d auto-assistance est le «Social Cash Transfer Scheme», un programme de Transfert d espèces actuellement testé dans les provinces du Sud et de l Est du pays. INDICATEURS DU DÉVELOPPEMENT DANS LE MONDE DONNÉES DE LA BANQUE MONDIALE - ANNÉE 2006 Population, total (millions) 11,7 Population, croissance (% annuel) 1,9 Superficie (km²) (milliers) 752,6 Espérance de vie à la naissance, total (années) 41,7 Taux de mortalité infantile (par millier de naissances vivantes) Taux d alphabétisation des jeunes femmes (% de femmes âgées entre 15-24) 105,1 66,3 RNB (USD courants) (milliards) 9,7 RNB par habitant, méthode Atlas (USD courants) 630,0 Prévalence du VIH, total (% de la population âgée entre 15-49) 15,0 ses en place à travers le pays pour le développement des compétences et nous parrainons la formation de femmes dans quelques-unes de ces structures. Certains programmes de formation sont gratuits et nous offrons des cours qui sont de courte durée et d autres plus longs. Nous proposons même quelques fois des cours individuels. Comme je l ai dit, des femmes sont maintenant en train de subvenir aux besoins de leurs familles. Il arrive qu elles se lancent dans la construction ; nous

5 avons mis en place des programmes d autonomisation où nous leur procurons des plaques de recouvrement pour consolider leurs habitations. La Zambie prône l égalité des chances pour les femmes et le ministère accomplit un travail considérable dans ce sens. Nous avons mis en place des activités et également de l aide à petite échelle ou nous distribuons deux millions de kwacha, qui équivalent à peu près à quatre cents dollars, aux femmes pour la réalisation d un projet. Les groupes plus grands obtiennent une aide plus importante. Nous accordons donc notre soutien à ces programmes, nous les espaçons, ils se recoupent et ça se passe dans chacune de nos neuf provinces. Nos agents du développement communautaire nous aident à identifier les lieux et les gens qui ont besoin d aide, mais les femmes dans les régions en question peuvent aussi postuler et nous envoyons des personnes chez elles pour examiner et déterminer leurs besoins réels et si elles correspondent aux critères, qui sont le plus souvent la vulnérabilité, le désir d accomplir quelque chose et le talent. C est ainsi que nous aidons les femmes. Le ministère du Développement communautaire a aussi à cœur la promotion de la culture. Nous essayons d impliquer dans des programmes nationaux et internationaux, des femmes qui pratiquent des activités telles que le stylisme, la couture, l artisanat, la vannerie et les arts comme la musique, la poésie et le théâtre. Nous finançons parfois leurs voyages à l étranger pour participer à des conférences et nous leur offrons également différentes opportunités de participer à des événements nationaux. Nous accordons donc beaucoup d importance aux femmes parce qu elles sont une partie intégrante de la population et c est de l oppression que de désavantager une personne parce qu elle est de sexe féminin. Les programmes de Transfert d espèces en Zambie : Quel est leur impact? Le récent Document d une page # 91 analyse l impact de trois projets pilotes de Transfert d espèces mis en application en Zambie. Les projets Chipata, Kalomo et Kazungula ont pour but de réduire la pauvreté parmi ces personnes en situation de pauvreté extrême qui ont le moins d accès au marché du travail, qui représentent à peu près 10 pour cent de la population. Les résultats révèlent un impact positif sur les dépenses de consommation des bénéficiaires. Ils révèlent également une croissance de l investissement à travers les microentreprises et l accumulation du petit bétail. Cependant, les auteurs soulignent l importance des conditions initiales et de cibler les projets lors de l élaboration et de la mise en application des programmes. The IPC-IG Interview Series is supported by online United Nations Volunteers. Transcription: Rosalind Eccles, translation: Priyamuadha Sooben/Justin Beaulieu, photos: Brandon Thompson, design: Luciana Almeida. The International Policy Centre for Inclusive Growth (IPC-IG) is jointly supported by the Poverty Group of the Bureau for Development Policy, United Nations Development Programme, New York and the Brazilian Government. The views expressed in this interview do not necessarily reflect the views of IPC-IG, UNDP, and the Brazilian Government. Esplanada dos Ministérios, Bloco O, 7º andar Brasilia-DF, Brazil Telephone (55-61) Fax (55-61)

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