Dispersion et réfraction de la lumière
|
|
- Adeline Carrière
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 3 Dispersion et réfraction de la lumière Objectifs : Savoir que la longueur d onde, qui s exprime en mètres et sous-multiples, caractérise dans l air et dans le vide une radiation monochromatique. Connaître et appliquer les lois de Descartes sur la réfraction Utiliser un prisme pour décomposer la lumière blanche. Étudier expérimentalement la loi de Descartes sur la réfraction : - Utiliser un dispositif permettant d étudier les lois de la réfraction. - Repérer un angle entre un rayon lumineux et une référence. - Mesurer un angle I - Quelques constatations expérimentales Doc. 1 : A quoi doit-on ces magnifiques arcs-en-ciel? Doc. 2 : Agitateur plongé dans de l eau (à gauche) et dans du benzoate d éthyle (à droite). Doc. 3 : Sur la terrasse, l été Nous avons vu que pour décrire la lumière, il pouvait être commode d introduire le modèle du rayon lumineux, selon lequel la lumière se propage en ligne droite dans un milieu homogène en matérialisant des rayons lumineux. Ch 3 - page 1 - Physique 2 nde / MCR
2 Doc. 4 : Dans la brume de la forêt, la lumière semble tracer des rayons lumineux Seulement voilà : la propagation de la lumière n est pas toujours rectiligne. La lumière subit une déviation à la traversée de la surface séparant deux milieux transparents : c est le phénomène de réfraction. Cette déviation dépend de la nature des deux matériaux ; elle dépend aussi de la direction et de la couleur de la lumière. Doc. 5 : Influence de la direction de la lumière incidente sur un bloc de verre Lorsqu il est éclairé en lumière monochromatique (la lumière rouge du laser, par exemple), le prisme peut réfracter les rayons lumineux. En lumière blanche, le prisme de verre fabrique un arc-en-ciel de couleurs : c est la réfraction dans le verre qui est responsable de cette dispersion. Doc. 6 : Un faisceau laser et un faisceau de lumière blanche traversent un prisme de verre délimité par deux faces planes faisant un angle de 60 environ. La lumière arrive par la gauche (rayon du bas). Les couleurs qu on observe lors de la traversée par la lumière blanche de la surface d un prisme de verre sont-elles créées ou bien sont-elles déjà contenues dans la lumière blanche? C est la question fondamentale à laquelle Isaac Newton ( ) chercha à répondre lorsqu il découvrit la décomposition de la lumière blanche par un prisme. Comment ce prisme agit-il sur les rayons lumineux? Ch 3 - page 2 - Physique 2 nde / MCR
3 II - Réfraction de la lumière 2.1 Définition: La réfraction est le changement de direction que subit un rayon lumineux lorsqu'il traverse la surface de séparation (dioptre) entre deux milieux transparents différents 2.2 Indice de réfraction d un milieu L indice de réfraction caractérise un milieu transparent : il est déterminé en comparant la vitesse de propagation de la lumière dans le milieu considéré et la vitesse de la lumière dans le vide. Il n a pas d unité et il est noté n. c n = avec c : vitesse de la lumière dans le vide v et v : vitesse de la lumière dans le milieu traversé Remarque : L indice du vide est par définition égal exactement à 1. L indice d un milieu est toujours supérieur à 1 ; L indice de l air est très proche de Les lois de la réfraction milieu indice Vide 1,00 Air 1,00 Verre 1,5 à 1,7 Plexiglas 1,50 eau 1,33 a) Un peu de vocabulaire On utilise les conventions indiquées sur la figure ci-dessous. Le rayon lumineux arrive sur l interface en un point I appelée point d incidence. Dans le premier milieu, le rayon est appelé rayon incident ; le rayon après traversée de la surface est le rayon réfracté. La normale (N) est la droite perpendiculaire en I à la surface de séparation : c est par rapport à cette droite qu on définit les angles des rayons. Le plan contenant le rayon incident et la normale est appelé plan d incidence. L angle d incidence i 1 est l angle entre la normale et le rayon incident. L angle de réfraction i 2 est l angle entre la normale et le rayon réfracté. Doc. 7 : conventions de représentation Ch 3 - page 3 - Physique 2 nde / MCR
4 b) La première loi de Descartes Pour démontrer cette loi expérimentalement, on réalise le montage ci-contre (doc. 8). La lumière monochromatique issue du laser est en partie réfractée et pour l autre partie réfléchie au niveau de l interface air/eau. Si le rayon incident (dans l air) touche tous les fils du portant vertical (fils à plomb), le rayon réfléchi (dans l air) et le rayon réfracté (dans l eau) touchent eux aussi les fils. Doc. 8 : montage illustrant la 1 ère loi de Descartes En fait, le portant matérialise un plan qui contient rayon incident, rayon réfléchi et rayon réfracté. 1 ère loi de Descartes : Le rayon incident, le rayon réfracté et la normale à la surface de séparation au point d incidence sont dans le même plan. Ce plan est appelé le plan d incidence. Doc. 9 : 1 ère loi de la réfraction selon Descartes c) La deuxième loi de Descartes appelée loi de Snell-Descartes (cf TP) Les lois de la réfraction permettent de prévoir la direction des rayons réfractés. D après la première loi énoncée ci-dessus, tout se passe dans le plan d incidence. Les mesures montrent que le rapport sin i 1 sin i 2 est une constante qui ne dépend que de la nature des deux milieux : c est ce que traduit la seconde loi de Snell- Descartes. Doc. 10 : dispositif d étude de la 2 ème loi de Descartes. Ch 3 - page 4 - Physique 2 nde / MCR
5 En TP, on utilise le dispositif précédent (doc. 10). A l aide des valeurs obtenues, on trace les variations de sin i 1 en fonction de sin i 2. s in i 1 Réfraction air/verre sin i 1 = 1,4692.sin i 2 R 2 = 0, ,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0,1 sin i ,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 Les grandeurs sin i 1 et sin i 2 sont donc bien proportionnelles. Nous écrirons sin i 1 = 1,50 sin i 2 Ceci est le cas particulier d une loi tout à fait générale. 2 ème loi de Descartes : Lorsqu un rayon lumineux passe d un milieu transparent 1, d indice n 1, à un milieu 2, d indice n 2, l angle d incidence i 1 et l angle de réfraction i 2 vérifient la relation suivante : n 1.sin i 1 = n 2.sin i 2 L indice de réfraction de l air, par exemple, est très proche de l unité : n air = 1,00 Dans notre exemple, les grandeurs indicées «1» concernent l air, et les grandeurs indicées «2» le Plexiglass. Nous pouvons donc la réécrire plus explicitement n air sin i 1 = n plexi sin i 2 soit, puisque n air = 1,00 sin i 1 = n plexi sin i 2 ce qui s écrit également n plexi = sin i 1 sin i 2 Le Plexiglass est un milieu transparent d indice de réfraction théorique (suivant la fabrication) pouvant varier de 1,5 à 1,7. Sur l exemple précédent, nous trouvons environ 1,50. Quelques exemples de valeurs d indices de réfraction. Milieu vide air eau plexiglas verre Indice de réfraction Benzoate d éthyle diamant 1 1,00(03) 1,33 1,45 1,5 1,7 1,50 2,43 Ch 3 - page 5 - Physique 2 nde / MCR
6 d) Analyse de quelques cas particuliers Cas 1 : les rayons arrivent perpendiculairement à la surface. i 1 = 0 donc i 2 = 0 Si l angle d incidence est nul, les rayons ne subissent pas de déviation. Cas 2 : le sens des rayons est inversé, le rayon arrive dans le milieu 2 avec un angle d incidence i 2 et continue dans le milieu 1 avec un angle de réfraction i 1 : la loi s écrit de la même façon. Le chemin parcouru par la lumière entre deux points ne dépend pas du sens de propagation. Cas 3 : le rayon reste dans le même milieu n 1 = n 2 : la loi impose i 1 = i 2. On retrouve la propagation rectiligne dans un milieu homogène. EXERCICE D ENTRAINEMENT Un rayon lumineux arrive sur le dioptre air/eau avec un angle d incidence égal à 30. L indice de l eau est égal à 1,33. Faire un schéma de la situation et calculer l angle de réfraction. III - Lumière blanche et lumière monochromatique 3.1 Notion de spectre (sera étudié plus en détail au prochain chapitre) La lumière blanche est celle que nous recevons du Soleil ou, plus généralement, celle qui est produite par une source très chaude (lampes domestiques). Elle est décomposée par un prisme : on observe la séparation des radiations lumineuses qui la composent en une infinité de couleurs formant un dégradé continu allant du violet au rouge. Doc. 11 : La lumière blanche entre dans le prisme par en haut ; elle s y réfléchit plusieurs fois mais donne également un «arc-en-ciel» : elle est décomposée. On appelle spectre de la lumière blanche la figure obtenue. Ce spectre est observable sur un écran. En revanche, il n apparaît pas pour la lumière laser. On définit la lumière blanche précisément par le fait que son spectre contient un ensemble continu de lumières colorées du rouge au violet, ou radiations visibles, comme superposées les unes aux autres dans la lumière incidente, et décomposées en sortie du prisme. Ch 3 - page 6 - Physique 2 nde / MCR
7 3.2 La longueur d onde La lumière laser n est pas décomposée par le prisme (cf. doc. 6), parce que son spectre ne contient qu une seule radiation : cette lumière est dite monochromatique (littéralement : «une seule couleur»). Chaque radiation lumineuse est en fait repérée par sa position dans le spectre, et celle-ci est directement liée à sa couleur. Pour caractériser précisément cette radiation, plus précisément que par des arguments «artistiques» (rouge carmin, rouge vermillon ), on utilise une grandeur appelée longueur d onde et souvent notée (la lettre grecque lambda) ; cette grandeur s exprime en mètres (m), ou mieux encore en nanomètres (nm) pour les radiations visibles. Une radiation monochromatique est caractérisée par sa longueur d onde dans le vide ; on la note λ et elle s exprime en mètres. Doc. 12 : Ensemble continu du spectre visible λ (nm) couleur violet bleu vert jaune orange rouge L œil humain est sensible à la lumière visible, celle dont les radiations ont des longueurs d onde comprises à peu près entre 400 et 800 nm, du violet au rouge. Les radiations ultraviolettes (UV) ont des longueurs d onde inférieures à 400 nm Les radiations infrarouges (IR) ont des longueurs d onde supérieures à 800 nm La lumière rouge monochromatique du laser hélium-néon utilisé en TP correspond à une longueur d onde bien précise, = 632 nm (on vérifie qu on est bien dans le domaine rouge du spectre). Doc. 13 : Ensemble des longueurs d onde Ch 3 - page 7 - Physique 2 nde / MCR
8 Remarque : pourquoi l œil humain n est sensible qu à ces radiations? Tout simplement par ce que si l on regarde notre spectre visible (doc. 8), nous voyons qu il est centré sur le jaune. Or, le Soleil est une étoile de type naine jaune (les enfants le savent bien, en dessinant des soleils bien jaunes!) : nous sommes donc sensibles aux radiations lumineuses jaunes les plus abondantes dans la lumière solaire! 3.3 Dispersion de la lumière Les différentes radiations lumineuses n effectuent pas le même trajet dans le prisme : si les angles d incidence sont les mêmes, l angle de réfraction des radiations rouges est différent de celui des radiations violettes. En passant à travers ce prisme en verre, la lumière franchit deux dioptres : le dioptre air/verre, puis le dioptre verre/air. Puisque le prisme réfracte différemment les radiations qui composent la lumière blanche, cela signifie que l indice de réfraction du verre n a pas la même valeur selon les longueurs d onde (couleurs) de ces radiations. L indice n, d un milieu transparent, autre que le vide (et l air), dépend de la longueur d onde λ de la radiation qui le traverse. Couleur Indice de réfraction du verre ordinaire selon la couleur de la lumière longueur d'onde fréquence Vitesse de propagation dans le vide (en µm) (en Indice n Hz) (en km/s) Ultraviolet proche 0,361 83,0 1, Bleu sombre 0,434 69,2 1, Bleu-vert 0,486 61,8 1, Jaune 0,589 51,0 1, Rouge moyen 0,656 45,7 1, Rouge sombre 0,768 39,1 1, D une façon générale, l indice augmente lorsqu on passe du rouge au violet. Autrement dit, l indice augmente lorsque la longueur d onde diminue. On peut alors expliquer le phénomène de dispersion observé dans le prisme. (voir exercice d entrainement) EXERCICE D ENTRAINEMENT Déviation par un prisme Un rayon de lumière blanche arrive perpendiculairement sur un prisme en verre, d angle au sommet A = 30. Les indices pour ce prisme sont n rouge = 1,609 et n violet = 1,673 1) Pourquoi le rayon n est-il pas dévié au passage air-verre au point I? 2) Déterminer l angle d incidence i de ces rayons quand ils rencontrent l autre face du prisme. 3) Calculer l angle de réfraction r v pour les radiations violettes et r R pour les radiations rouge. 4) Quel est le rayon le plus dévié? Ch 3 - page 8 - Physique 2 nde / MCR
Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailNom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX
2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du
Plus en détailDossier enseignant Etude d un tableau. grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on
avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris www.universcience.fr Dossier enseignant Etude d un tableau grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on Chloé LAVIGNOTTE SOMMAIRE INTRODUCTION...p3
Plus en détailUne nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie
Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Par spectrophotométrie on peut : - déterminer la concentration d'une espèce chimique colorée en solution à partir de l'absorbance. - suivre la cinétique
Plus en détailLa lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière
Sommaire de la séquence 10 La lumière t Séance 1 Des lumières blanches t Séance 2 Des lumières colorées t Séance 3 Les vitesses de la lumière t Séance 4 Je fais le point sur la séquence 10 Ce cours est
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailUniversité Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailDETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE
P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailOPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS
OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailLIVRET DE RÈGLES. @AsmadiGames. facebook.com/asmadigames
LIVRET DE RÈGLES @AsmadiGames facebook.com/asmadigames VOUS JOUEZ À RED La règle pour gagner au Rouge est simple : avoir la plus haute carte! Mais jouerez-vous toujours au même jeu lorsque votre tour prendra
Plus en détailComment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye
CCOLLEGE YCLE 3 CCYCLE 3 OLLEGE Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye Éditions Le Pommier, 2009 Objectifs
Plus en détailQ6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?
EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailConsigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers)
Découverte du monde : traiter deux informations Compétence : Savoir utiliser un tableau à double entrée. Matériel : - un plateau de jeu quadrillé : cinq lignes et cinq colonnes, - quatre pièces "couleur",
Plus en détailSéquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire
Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailLe four solaire modèle BISS
Réchou Léopold 1 ère S-SVT Touchard Léo Tanghe Maxime Le four solaire modèle BISS Comment tout est mis en œuvre dans un four solaire pour atteindre une température optimale? Lycée Jacques de Vaucanson
Plus en détailPour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction
Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailAiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure
AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailTHEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.
THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailRecommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps.
Recommandations de bon usage Recommandations de bon usage des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs Juillet 2011 Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailUne application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies
Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,
Plus en détailLES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES
MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS
Plus en détailCollimateur universel de réglage laser
Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage
Plus en détailTP N 5 EDF, compteur
Données : Fichiers nécessaires pour le TP : http://tof225391.free.fr/forum (Entraide Index du Forum Electrotechnique 2AE Fichiers nécessaires pour les TP série 4 TP5 ). Présentation de la maison : Schéma
Plus en détailLes LEDs et les plantes
Les LEDs et les plantes Ing. Samuël Colasse 1, Ir. Julien Louvieaux 2,Dr. Thierry Marique 3 et Dr. Cécile Nanbru 4 L emploi des diodes luminescentes (ou LED pour «light emitting diode») devient de plus
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détail- affichage digital - aiguille
. Lire l heure On peut lire l heure sur une horloge, un réveil, une montre à : - affichage digital - aiguille A) La lecture sur un système digital est très simple, il suffit de lire les nombres écrits
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉA GÉNÉRAL SUJE PHYSIQUE-CHIMIE Série S DURÉE DE L ÉPREUVE : 3 h 30 COEFFICIEN : 6 L usage d'une calculatrice ES autorisé Ce sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Ce sujet comporte
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection.
ollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection. 1.1 1.2 1.3 1.4 Caractéristiques techniques EspritSeries a b ATC 05 CH SR HPR ATC 15 CH SR HPR ATC 35 CH SR HPR ATC 50 CH SR HPR EspritCharcoal05
Plus en détailLes interférences lumineuses
Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),
Plus en détailTP N 7 «ALARME INTRUSION» TP découverte «Alarme intrusion filaire LEGRAND»
Lycée des Métiers «Louise Michel» Rue Villebois Mareuil 16700 RUFFEC T BACPRO ELEEC «ALARME INTRUSION» TP découverte «Alarme intrusion filaire LEGRAND» NOM :.... Prénom :... Page 1 / 11 L ALARME INTRUSION
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détailFaculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011
Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.
Plus en détailTD : Codage des images
TD : Codage des images Les navigateurs Web (Netscape, IE, Mozilla ) prennent en charge les contenus textuels (au format HTML) ainsi que les images fixes (GIF, JPG, PNG) ou animée (GIF animée). Comment
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailLE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/)
LE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/) Le corps noir est... noir D'où vient le terme corps noir? Notons tout
Plus en détail