LŽgende de la couverture
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- Alexandre St-Denis
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2 LŽgende de la couverture L'OHP fait partie du consortium franco-italien VIRMOS, sžlectionnž par l'eso pour la conception, la construction et la mise en service au foyer du VLT de deux spectrographes multi-objets VIMOS (visible) et NIRMOS (infrarouge). Ces instruments permettront de cartographier l'univers lointain et de retracer les grandes phases de l'žvolution des galaxies. Leur intžgration ˆ l'ohp a nžcessitž la construction d'un b timent nouveau dont deux vues apparaissent sur un fond de galaxies de l'amas de la Couronne BorŽale. Cette construction, achevže au printemps 1999, s'est džroulže sous la ma trise d'ïuvre de la DŽlŽgation Provence du CNRS, gr ce au financement conjoint de l'insu et du Conseil RŽgional Provence- Alpes-C te d'azur. Le b timent comprend des bureaux, un laboratoire de ržglage et deux grands volumes de 600m 3 chacun, desservis par un pont roulant. On voit, dans le volume d'intžgration, montže sur le simulateur du foyer Nasmith du VLT, l'imposante structure de l'instrument VIMOS, fabriquže ˆ Naples et livrže fin 1999 ˆ l'ohp. (photos Ph. Moreau et clichž tžlescope 1,93 m)
3 3 CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE OBSERVATOIRE DE HAUTE PROVENCE J20340 ISSN RAPPORT D'ACTIVITƒ EXERCICE 1999 Directeur Directeur-Adjoint A. LABEYRIE J.-P. SIVAN SecrŽtaire GŽnŽral S. GUYOT
4 TABLE DES MATIéRES INTRODUCTION 1.- Rapport scientifique et technique 1 ƒvolution de l'observation astronomique ˆ l'ohp 3 Rapport d'activitž des astronomes visiteurs 4 Rapport d'activitž des membres du groupe scientifique 29 Rapport d'activitž de la station de GŽophysique 39 Rapport d'activitž du service de la Luminescence AtmosphŽrique 45 RŽalisations des services techniques 47 Biblioth que - MŽtŽorologie Formation et diffusion de la science Organigramme et liste du personnel Rapport Administratif 63 Exercice
5 5 INTRODUCTION 1999 a ŽtŽ l'annže du changement. RŽpondant aux recommandations issues du Colloque de prospective d'arcachon, l'instauration d'un "ticket modžrateur" a mis un terme ˆ la tradition de gratuitž des tžlescopes de l'ohp. Cette mesure, mise en place au 2 me semestre de l'annže, n'a pas dissuadž pour autant les demandeurs fran ais et Žtrangers et la fržquentation des tžlescopes de l'ohp n'a pas faibli. La production scientifique issue des observations faites avec ceux-ci demeure de premier plan, notamment dans les domaines de pointe que sont l'astžrosismologie et la recherche des exoplan tes qui nžcessitent beaucoup de temps d'observation, mais pas forcžment l'usage de grands collecteurs de lumi re. L'OHP ne se tient pas cependant ˆ l'žcart de ces derniers: il participe activement au projet franco-suisse HARPS destinž ˆ la recherche des plan tes extra-solaires au tžlescope de 3,60 m de l'eso (La Silla) et au projet franco-italien VIRMOS dont le but est de sonder et cartographier l'univers au foyer de deux des tžlescopes de 8 m du Very Large Telescope de l'eso. Ces deux projets sont entržs, en 1999, dans des phases džcisives. Le riche bilan de l'activitž de cette annže ne saurait pourtant occulter l'inquižtude suscitže par de nouveaux džparts ˆ la retraite, non remplacžs, de techniciens et d'ingžnieurs, et par une Žquipe de chercheurs toujours trop peu nombreux.
6 1. RAPPORT SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
7 7 ƒvolution de l'observation astronomique ˆ l'ohp L'instauration d'un "ticket modžrateur" pour l'acc s aux tžlescopes nationaux a ŽtŽ effective au 2 me semestre Ce changement ržpond aux recommandations issues du Colloque de Prospective d'arcachon de Mars Il a eu pour consžquence de priver les tžlescopes de 0,80 et 1,20 m de l'ohp de reconnaissance nationale et d'engendrer, pour les deux autres, une grande lourdeur dans le processus de sžlection et de programmation, puisque ce sont džsormais cinq structures indžpendantes (PNP, PNC, PCMI, ASPS et GdR Galaxies) qui jugent les demandes de temps d'observation aux tžlescopes de 1,93 et 1,52 m. NŽanmoins, le ticket modžrateur n'a pas eu d'effet dissuasif ni sur les demandes fran aises ni sur les Žtrang res, et les diffžrentes structures thžmatiques ont accompli un remarquable travail d'žvaluation. Comme cela a ŽtŽ analysž par ailleurs [GS99/34], on assiste, depuis quelques annžes, ˆ une Žvolution de la nature des demandes: augmentation du nombre de programmes ˆ long terme (type "programmes-clž") et demande croissante pour des observations de service. En 1999, malgrž les difficultžs que cela engendre, l'ohp a pu ržpondre efficacement ˆ ces nouvelles exigences.
8 Rapport d'activitž des astronomes visiteurs I. Le syst me solaire. Dans le cadre d'un programme international consacrž ˆ la džtermination des proprižtžs physiques des astžro des cibles de la mission Rosetta, l'astžro de Otawara a ŽtŽ observž au tžlescope de 1,20 m. Sa pžriode de rotation synodique (2,70 heures) a ŽtŽ džterminže par photomžtrie relative.. Des missions couplžes aux tžlescopes de 0,80 et 1,20 m ont permis de ržaliser des observations du mouvement d'une cinquantaine d'astžro des particuliers. Plusieurs d'entre eux sont suspectžs de binaritž, hypoth se pour laquelle des informations pertinentes peuvent tre džduites des observations astromžtriques menžes au tžlescope de 1,20 m. Des rapprochements stellaires d'astžro des impliqužs dans des occultations, ont Žgalement ŽtŽ observžs dans le but d'interpržter les observations photomžtriques menžes simultanžment par un ržseau d'observateurs (EAON). Des mesures photomžtriques ont ŽtŽ ržalisžes au tžlescope de 0,80 m, ŽquipŽ d'un CCD vidžo intensifiž, au voisinage des dates prždites afin de džtecter un phžnom ne. Par ailleurs, plusieurs objets faibles, nouvellement džcouverts, ou d'orbites mal connues, catalogužs dans des programmes de suivi astromžtrique coordonnžs par le Minor Planet Center, ont ŽtŽ observžs. L'ensemble de ces donnžes est destinž ˆ mieux conna tre certaines caractžristiques dynamiques et physiques de ces petits objets rapides du syst me solaire.. Les petits satellites lointains de Jupiter peuvent permettre l'žtude dynamique du mouvement orbital de Jupiter. Cependant, le mod le de leur mouvement n'est pas suffisamment connu actuellement par manque d'observations astromžtriques. Le tžlescope de 1,20 m permet ces observations et la campagne commencže en 1998 s'est poursuivie en II. Plan tes extra-solaires. Un beau succ s a couronnž l'activitž 1999 de recherche de plan tes extra-solaires. Au džbut de l'žtž les mesures de vitesses radiales effectužes avec ƒlodie permettaient une premi re estimation de l'orbite de HD , c'žtait aussi le cas ˆ partir des mesures faites par D. Latham avec le tžlescope Keck de 10 m. Les mesures combinžes de ces deux groupes ont alors permis d'žtablir une ŽphŽmŽride suffisamment pržcise pour prždire les temps des transits potentiels de la plan te. Ces ŽphŽmŽrides communiqužes ˆ D. Charbonneau et T. Brown ont permis alors la džtection photomžtrique du premier transit d'une exoplan te les 9 et 16 septembre Les donnžes spectroscopiques, la courbe de vitesse et les donnžes photomžtriques fournissaient pour la premi re fois la masse, le rayon et la densitž moyenne d'une plan te extra-solaire. IndŽpendamment le groupe de G. Marcy džtectait l'entrže dans un transit de la m me Žtoile un mois plus tard le 7 oct Le transit de la plan te extra-solaire a ŽtŽ džtectž par la baisse de plus de 1% de la luminositž stellaire. Ce n'est pas le seul effet observable: le passage de la plan te devant le disque stellaire en rotation induit aussi une petite anomalie de la courbe de vitesse. Cet effet, bien connu dans le cas des binaires ˆ Žclipses, a pu tre observž pour la premi re fois pour un transit exoplanžtaire le 25 novembre avec ƒlodie (figure). Cette nouvelle source d'informations donne le sens de rotation orbital par rapport ˆ la rotation propre stellaire, des contraintes sur l'angle entre les deux axes de rotation, une relation entre v sin i et le rayon planžtaire, etc...
9 Une plan te autour de l'žtoile HD a ŽtŽ džtectže au tžlescope de 1,93 m de l'ohp (avec le spectrographe ƒlodie) et au tžlescope Keck de 10 m (avec le spectrographe Hires). Ë partir de ces donnžes combinžes, il a ŽtŽ Žtabli des ŽphŽmŽrides qui ont permis d'observer photomžtriquement, ˆ l'observa-toire de Boulder en septembre 1999, le passage de la plan te "devant" son Žtoile: c'est la premi re observation du transit photomžtrique d'une exoplan te. En novembre 1999, le transit Žtait observž ˆ l'ohp avec ƒlodie. La figure montre l'anomalie de vitesse radiale de l'žtoile induite par le passage de la plan te devant l'žtoile en rotation. C'est aussi la premi re observation de ce type du transit d'une exoplan te (Queloz et al., 2000). 9 III. La Galaxie 1. Les Žtoiles. L'analyse des donnžes cinžmatiques accumulžes au cours des nombreuses annžes d'activitž du Coravel sur le tžlescope suisse de 1 m de l'ohp se poursuit. On rel vera l'analyse tr s compl te de la binaritž des Žtoiles F5-K0 dans l'amas de Praesepe [39] et la parution du catalogue des vitesses de rotation de quelques 1600 Žtoiles ŽvoluŽes [12]. Ces mesures pržcises de la rotation des Žtoiles ŽvoluŽes ont ŽtŽ faites pour la plupart avec le spectrom tre Coravel de l'ohp sur plus de 10 ans. La ma trise de l'žvolution du point zžro de Coravel a ŽtŽ obtenue pendant les 22 ans de son activitž par la mesure ržguli re d'une centaine d'žtoiles standards. L'analyse de ce matžriel a ržvžlž de nombreuses binaires et a fourni une riche information sur les pžriodes des variations intrins ques des vitesses des Žtoiles ŽvoluŽes [82]. Les donnžes beaucoup plus pržcises acquises pour des Žtoiles naines G-K avec ƒlodie permettent d'envisager un ensemble d'žtoiles standards de vitesses radiales bien meilleur que le standard de l'uai [83].. Plusieurs compagnons potentiellement candidats naines brunes (m 2 sini < 0,075 Mo) ont ŽtŽ džcouverts tant avec Coravel qu'avec ƒlodie. L'orbite astromžtrique džduite des mesures Hipparcos a permis pour la majoritž des cas de džterminer le plan orbital et donc la masse m 2 du compagnon. Ces mesures ont permis d'žtablir la fonction des masses des compagnons substellaires d'žtoiles de type solaire et de mettre en Žvidence une distinction claire entre plan tes gžantes et binaires spectroscopiques (fonction des masses bimodale).. DŽbutŽ en 1995, le programme d'observation avec ƒlodie de 120 Žtoiles naines de type spectral compris entre M0 et M6,5 s'est poursuivi. Apr s la džcouverte d'un nombre important de naines M dans le voisinage solaire [15], dont la troisi me binaire ˆ Žclipse connue de type M [16], apr s la džcouverte de la premi re (et encore unique) plan te orbitant autour d'une naine M (voir Rapport Annuel 1998), ce programme a conduit, en 1999, ˆ la džcouverte de trois nouvelles binaires. Mais la plus grande avancže est dans le domaine de la mesure de masses tr s pržcises [20,
10 17] qui permet de džterminer une relation masse-luminositž pour les Žtoiles de tr s faible masse avec une pržcision jamais atteinte.. Dans un Žchantillon de 52 gžantes rouges pržsentant un exc s infrarouge, onze Žtoiles riches en lithium ont ŽtŽ džtectžes avec AurŽlie, dont cinq n'žtaient pas connues comme telles. La pržsence de coquilles circumstellaires autour de la gžante HD est suspectže. Aucune corržlation claire dans l'žchantillon n'est Žtablie entre la surabondance en lithium et la rotation ou la binaritž.. Une dizaine d'žtoiles de type SPB ont ŽtŽ observžes avec AurŽlie. Ces Žtoiles pulsantes, džtectžes par Hipparcos, pržsentent des variations de profil de raies qui permettent l'identification des modes de gravitž excitžs.. Avec AurŽlie, aucune variation de profil de raie n'a pu tre mise en Žvidence dans le spectre d'une Žtoile O9 ržputže possžder des variations de profils. Les courbes de vitesse radiale montrent des variations de tr s faible amplitude (sur moins de 2 km/s d'une nuit ˆ l'autre).. L'Žtoile 20 CVn, de type δ Scuti, a ŽtŽ observže avec ƒlodie. Les profils de corržlation indiquent qu'elle est monopžriodique avec, toutefois, des variations de vitesse moyenne pour lesquelles il n'y a pas encore d'interpržtation claire.. ƒlodie a permis l'observation d'une dizaine d'žtoiles supergžantes A-G pržsentant un exc s d'infrarouge et de la perte de masse. On a džjˆ pu identifier, ˆ partir de ces observations, deux Žtoiles post-agb et une nžbuleuse planžtaire. D'autre part, une autre post-agb pržsente des profils variables, peut- tre ližs ˆ de la pulsation.. Une vingtaine de supergžantes rouges ont ŽtŽ observžes avec ƒlodie dans le cadre d'un programme destinž ˆ džterminer les abondances chimiques dans l'atmosph re de ces Žtoiles, d'en Žtudier l'activitž chromosphžrique et les caract res des enveloppes qui les entourent. Les phžnom nes de perte de masse qui engendrent ces enveloppes, tr s importants dans les supergžantes rouges, sont toujours tr s mal compris. Les ržsultats obtenus sont riches et prometteurs, apportant notamment des contraintes sur la nature de la binaritž de ces Žtoiles et sur la propagation de chocs dans leur atmosph re.. Le tžlescope de 1,20 m et sa camžra CCD ont permis de cržer un syst me d'žtoiles standards profond auquel pourront se rattacher les observations d'žtoiles Wolf-Rayet (de notre Galaxie ou du groupe local) faites au moyen de filtres spžciaux avec des tžlescopes de grand diam tre (NTT, WHT). Le syst me constituž par ces filtres Žtroits reposait sur des Žtoiles standards beaucoup trop brillantes pour tre observžes avec de grands tžlescopes.. Un programme a ŽtŽ commencž en 1998 avec ƒlodie et poursuivi en 1999 pour mettre en Žvidence et Žtudier dans les Žtoiles variables ˆ longue pžriode le phžnom ne de dždoublement des raies photosphžriques au voisinage du maximum de lumi re. Gr ce ˆ la technique de corržlation croisže et ˆ la conception de masques numžriques permettant de sonder une couche de profondeur donnže, la possibilitž est offerte de ržaliser la tomographie de l'enveloppe de ces Žtoiles et de suivre au sein de l'atmosph re la propagation de l'onde de choc [GS99/19]. Pour la premi re fois dans le cas des Miras, il a pu tre džmontrž que le phžnom ne de dždoublement des raies suit le mžcanisme de Schwarzschild, qui džcrit l'žvolution des raies spectrales photosphžriques au passage d'une onde de choc. Cependant, 53% des 48 variables a longue pžriode observžes ne pržsentent pas de phžnom ne de double absorption; il existe donc un ou une combinaison de param tres physiques qui favoriseraient dans certains cas l'apparition d'un dždoublement des raies au maximum de luminositž. Ces param tres restent ˆ identifier.
11 . Ces derni res annžes, plusieurs campagnes multi-sites ont impliquž les tžlescopes de 1,93 m (ƒlodie) et 1,20 m pour le suivi spectrophotomžtrique d'žtoiles de type T Tauri sur une Žchelle de temps de plusieurs rotations stellaires. Elles sont destinžes ˆ la connaissance et ˆ la compržhension de la ržgion d'accržtion situže entre le bord interne du disque circumstellaire et la surface de l'žtoile. Les ržsultats de AA Tau [06] ont ŽtŽ publižs. Ceux des derni res campagnes internationales sont en cours d'analyse.. Pour comprendre la dynamique atmosphžrique des Žtoiles post-agb et ses ržpercussions sur l'environnement stellaire, une Žtoile de ce type a ŽtŽ suivie du 5 aožt au 4 octobre 1999 avec le spectrographe AurŽlie et la camžra CCD du tžlescope de 0,80 m, ˆ raison d'une observation par nuit. Ces observations permettent l'analyse des variations spectrales (Hα) et photomžtriques (UBVRI) ližes ˆ la propagation d'ondes de choc dans l'atmosph re de l'žtoile et aux mouvements de mati re ainsi engendržs.. Des observations ˆ haute ržsolution avec AurŽlie ont permis de ržsoudre la structure complexe de certaines raies, notamment celles de FeII, dans le spectre de l'žtoile HD 45677, ce qui doit conduire ˆ l'interpržtation des courbes d'auto-absorption construites ˆ l'aide de ces raies.. Un programme a ŽtŽ entrepris avec AurŽlie pour l'observation d'žtoiles variables semiržguli res et irržguli res, ˆ une fržquence de quatre mois environ pendant trois ans au moins.. Des spectres de grande ržsolution spectrale et de haut rapport signal/bruit ont ŽtŽ obtenus avec AurŽlie pour la džtermination d'abondance dans diffžrents types d'žtoiles. On a džterminž ainsi l'abondance de l'oxyg ne hors de l'žquilibre thermodynamique local, d'žtoiles chaudes de la sžquence principale [34]. On a džterminž l'abondance du carbone et de l'azote dans des Žtoiles B [01]. Enfin on a mesurž, dans des gžantes K de diffžrents niveaux d'activitž chromosphžrique, l'abondance relative des isotopes Mg 24, Mg 25 et Mg 26 du magnžsium.. Des Žtoiles A et F ont ŽtŽ observžes avec ƒlodie pour la mesure džtaillže de l'abondance des ŽlŽments dans leur atmosph re et une meilleure compržhension de l'žvolution chimique de ces Žtoiles tout au long de leur vie sur la sžquence principale.. L'augmentation de la mžtallicitž des Žtoiles avec l' ge est une tendance bien connue. Il existe toutefois des Žtoiles dont la mžtallicitž, džterminže ˆ l'aide de la photomžtrie de Stršmgren, est celle du Soleil, mais dont l' ge est supžrieur ˆ 8 milliards d'annžes, ce qui est difficilement explicable dans le cadre standard de l'žvolution chimique du disque de la Galaxie. Un certain nombre d'entre elles (plus de 200) ont ŽtŽ observžes avec ƒlodie. Leur tempžrature effective et leur mžtallicitž ont ŽtŽ džterminžes ˆ l'aide du programme TGMET. Elles sont en accord avec celles issues de la photomžtrie de Stršmgren. L'existence d'žtoiles vieilles de mžtallicitž solaire est donc confirmže par les observations d'ƒlodie.. L'observation d'amas ouverts plus gžs que celui des Hyades est utile ˆ la compržhension de l'žvolution chimique et dynamique de la Galaxie. On a observž, avec ƒlodie, 24 Žtoiles dans la ržgion du vieil amas ouvert NGC Dix sept d'entre elles s'av rent appartenir effectivement ˆ l'amas. Ce sont, soit des gžantes rouges dont les param tres atmosphžriques (T eff, log g, [Fe/H]) ont ŽtŽ džterminžs en ligne gr ce au logiciel TGMET, soit des Žtoiles de la sžquence principale ˆ rotation rapide ( ~100 km/s) pour lesquelles on a pu mesurer la vitesse de rotation projetže et les param tres atmosphžriques. Ces donnžes spectroscopiques combinžes ˆ des donnžes astromžtriques et photomžtriques ont permis de džterminer les proprižtžs fondamentales de l'amas: composition chimique, ge, distance, taille, vitesse spatiale, orbite.. La perte de masse des Žtoiles de type Oef pourrait tre modulže par l'effet conjuguž de la rotation de l'žtoile et d'un faible champ magnžtique. Le meilleur moyen d'žtudier ces phžnom nes 11
12 est l'žtude de la variabilitž des raies d'žmission formžes ˆ diffžrentes profondeurs dans le vent stellaire. AurŽlie a permis de complžter l'žtude faite pržcždemment (voir Rapport Annuel 1998) de HD : une modulation des raies Hα et HeII 4686 est mise en Žvidence avec une pžriode de 5 jours qui pourrait effectivement correspondre ˆ la pžriode de rotation de l'žtoile. D'autres Žtoiles de type Oef ont Žgalement ŽtŽ observžes: HD , BD , HD Les spectres ˆ haute ržsolution obtenus avec AurŽlie pour diffžrents syst mes binaires symbiotiques, dont EG And, doivent permettre d'obtenir les ŽlŽments orbitaux, notamment la sžparation des composantes et la masse du compagnon chaud.. La binaire massive HDE , dans laquelle interagissent les vents stellaires des deux Žtoiles, a ŽtŽ observže avec AurŽlie. Les variations de profil de raies dans son spectre sont plus discr tes que dans le cas de BD observže pržcždemment [45] mais peuvent apporter des informations sur la gžomžtrie de la ržgion de collision des vents et, partant, sur les taux de perte de masse des deux Žtoiles.. Une campagne d'observation d'žtoiles doubles ˆ Žclipse avec un compagnon a ŽtŽ commencže avec ƒlodie dans le but de džterminer les masses et les rayons stellaires, mais aussi de ržaliser une Žtude dynamico-photomžtrique du probl me des trois corps. Parmi les premiers ržsultats, on notera huit Žtoiles doubles ˆ Žclipses nouvelles ˆ double spectre et deux syst mes ˆ Žclipses dont les courbes de vitesses radiales et les courbes de lumi re sont compl tes.. ƒlodie a ŽtŽ utilisž pour obtenir des spectres couvrant une phase compl te des deux binaires ˆ Žclipses SV Cam et XY UMa. De l'analyse des profils de raies des 85 spectres obtenus pour la premi re, il ressort la pržsence de phžnom nes en absorption et en Žmission variables avec la phase. Pour XY UMa, ˆ partir des 69 spectres obtenus, les profils de raies en fonction de la phase montrent un exc s d'žmission mais pas de structure d'absorption. Ces phžnom nes sont dus ˆ l'activitž chromosphžrique.. On a continuž, avec AurŽlie, le travail de classification des composantes chaudes d'un Žchantillon de binaires ˆ spectre composite. Ce programme est la contre-partie de l'žtude menže pržcždemment avec AurŽlie pour la classification des composantes froides [22]. Il ressort que l'association G8III + A2V est, statistiquement, la plus fržquente, mais qu'un certain nombre de syst mes pržsentent une composante chaude chimiquement particuli re de type Am, exceptionnellement Ap. Des observations de Coravel, AurŽlie et Hipparcos ont permis de pržciser la nature du syst me composite HD , une Žtoile Ap associže ˆ une gžante G, ainsi que son Žtat d'žvolution pržsumž [23].. L'Žtoile ο And a ŽtŽ signalže par le Groupe de Travail de l'uai sur les Žtoiles Be comme un objet ˆ Žtudier en prioritž par tous les moyens possibles. ObservŽe avec AurŽlie ces derni res annžes, elle l'a ŽtŽ encore en C'est un objet pržsentant des phžnom nes de variabilitž tr s particuliers, s'žchelonnant sur des intervalles de temps de un jour ˆ plusieurs annžes. Afin de mettre en corržlation les variations de l'enveloppe de l'žtoile et celles de sa photosph re, les raies Hα et HeI 6678 ont ŽtŽ observžes simultanžment. Contrairement aux observations de 1992, les observations de 1997, 1998 et 1999 montrent des variations des ailes d'žmission diffžrentes suivant qu'il s'agit de l'aile rouge ou de l'aile violette. Ces variations s'expliquent par une asymžtrie de l'enveloppe. Pour une interpržtation džtaillže, il faut identifier quelle pulsation non-radiale de l'žtoile peut Žventuellement tre ˆ l'origine d'une telle enveloppe. L'origine de l'enveloppe des Žtoiles Be reste ˆ ce jour inconnue.
13 . Des Žtoiles [Be] ont ŽtŽ observžes avec AurŽlie, dans la continuitž d'un programme entrepris il y a plusieurs annžes, afin d'apporter des donnžes quantitatives homog nes pour le plus grand nombre possible de ces objets tr s particuliers encore tr s mal compris. Apr s HD 51585, MWC 349A, MWC 645, MWC 142, MWC 158, MWC 297 et MWC 314, ce sont les Žtoiles MWC 17, MWC 342 et MWC 84 qui ont ŽtŽ ŽtudiŽes en 1999 [30, 02]. Cette derni re est la contre-partie optique de la "X-ray transient" XTE J Les spectres pris en 1998 (2 mois avant un "outburst") et en 1999 (9 mois apr s l'"outburst") montrent de grands changements, particuli rement importants pour les largeurs Žquivalentes des raies de HeI, moins importants pour celles des raies de l'hydrog ne de la sžrie de Paschen.. Le programme d'astžrosismologie des naines blanches a ŽtŽ poursuivi au tžlescope de 1,93 m ŽquipŽ du photom tre rapide ˆ trois voies de M. Chevreton. Une premi re mission, pour des raisons mžtžorologiques, n'a pas permis l'žtude de la naine blanche variable GD 154 de type ZZ Ceti, mais a permis de confirmer la variabilitž de la naine blanche de type DA PG Cet objet est une nouvelle ZZ Ceti de grande amplitude avec au moins trois pžriodes (564, 689 et 757Ês). C'est aussi, semble-t-il, la ZZ Ceti de plus faible masse (0,5 Mo) connue ˆ ce jour et ses longues pžriodes de grande amplitude ne suivent pas la corržlation entre les pžriodes, les amplitudes et la tempžrature effective connue pour les autres ZZ Ceti. La deuxi me mission de ce programme Žtait une participation ˆ la campagne WET consacrže ˆ la naine blanche variable de type DA, HL Tau 76. La campagne a ŽtŽ un succ s: HL Tau 76 devient ainsi la ZZ Ceti sur laquelle il y aura le plus grand nombre de donnžes ˆ confronter aux mod les.. En 1998, le couplage d'ƒlodie ˆ un Žtalon de Fabry-Perot (version simplifiže de l'accžlžrom tre Astronomique Absolu de P. Connes) avait permis la džtection d'oscillations de type solaire dans Procyon A [03, 87]. Des observations multi-sites de cette Žtoile ont ŽtŽ programmžes en 1999, ˆ Hawa (tžlescope de 3,60 m + FTS), au Mont Hopkins (tžlescope de 1,5 m + AFOE) et ˆ l'ohp (1,93 m + ƒlodie + FP). Des donnžes exploitables ont pu tre recueillies dans ces deux derniers sites. Leur raccordement est en cours. En attendant, 84,08 heures d'observations faites ˆ l'ohp, traitžes comme une seule sžrie temporelle, ont permis de confirmer les ržsultats de 1998 sur Procyon A. Par ailleurs, 43,25 heures d'observations de l'žtoile η Cas (malheureusement non contigu s) montrent un exc s de puissance entre 2 et 4 mhz qui est peut- tre d'origine stellaire.. Le programme de spectroscopie pržparatoire ˆ la mission Corot s'est poursuivi avec ƒlodie (voir Rapport Annuel 1998). En 1999, pr s de 250 Žtoiles ont ŽtŽ observžes, ce qui porte ˆ 400 le nombre total d'žtoiles observžes ˆ l'ohp auquel s'ajoute la centaine d'žtoiles observžes par les partenaires Žtrangers de ce programme. Les cibles potentielles de Corot, situžes dans deux ržgions du ciel de 22 de diam tre, repržsentent environ un millier d'žtoiles plus brillantes que la magnitude 8. Le programme devrait ainsi s'achever en Il est pržvu que les donnžes acquises soient ržunies dans un catalogue d'intžr t gžnžral accessible par le ržseau Le milieu interstellaire. On a poursuivi, avec AurŽlie, le programme qui a permis en 1998 de dessiner les contours de la Bulle Interstellaire Locale en utilisant le sodium neutre comme traceur du gaz dense [47]. Des observations ont ŽtŽ effectužes pour amžliorer le tracž, notamment dans la direction des "cheminžes" mises en Žvidence pržcždemment aux hautes latitudes.
14 . En parall le ˆ des observations de H 2 ržalisžes avec le satellite ultraviolet FUSE, on a commencž fin 1999, avec ƒlodie, l'acquisition ˆ intervalles ržguliers des spectres de l'žtoile AE Aurigae (HD 34078) afin d'y rechercher des variations temporelles de raies interstellaires et de bandes diffuses. Cette Žtoile poss de un tr s important mouvement propre: elle "džfile" derri re le nuage molžculaire situž en avant d'elle avec une vitesse transverse de 100 km/s, soit environ 20ÊUA/an, de telle sorte que ces observations ržpžtžes, par la džrive continue de la ligne de visže ˆ travers le nuage, permettront d'en sonder la structure avec une tr s grande finesse spatiale (les caractžristiques de la structure fragmentže ˆ petite Žchelle des nuages interstellaires sont encore tr s mal connues).. On a obtenu, avec AurŽlie, le spectre ˆ haute ržsolution de huit nžbuleuses planžtaires vieilles, en interaction avec le milieu interstellaire, afin de pržciser la forme dans les trois dimensions de ces objets et la structure du milieu ambiant.. Un programme d'imagerie UBV a ŽtŽ poursuivi avec le tžlescope de 1,20 m pour l'žtude des enveloppes circumstellaires tr s poussižreuses. Le cas le plus ŽtudiŽ est celui de l'žtoile carbonže IRC , situže ˆ 130 pc du soleil [38]. La lumi re de la Galaxie, ržflžchie par les grains de poussi re, a pu tre džtectže et une premi re photomžtrie de surface en UBV a ŽtŽ obtenue. Ces donnžes permettent de poser des contraintes sur les proprižtžs des grains (distribution en taille, albedo,...) et sur l'intensitž du champ radiatif "in situ" autour de la source. IV. Les galaxies. On a poursuivi l'žtude spectroscopique, avec Carelec, et photomžtrique, avec la camžra CCD du tžlescope de 1,20 m, de la structure, de la dynamique et des populations stellaires des galaxies proches. Ce programme, qui a fait l'objet de plusieurs publications en 1999 [05, 07, 24, 26, 44] s'inscrit dans un effort ˆ long terme visant ˆ rassembler les param tres qui constitueront l'žchantillon de ržfžrence ˆ z = 0 pour l'žtude des relations d'žchelle et l'žtude des populations stellaires des objets plus lointains.. Vingt cinq galaxies de l'amas de la Vierge ont ŽtŽ observžes avec Carelec. Ces spectres, associžs ˆ des mesures photomžtriques ˆ large bande (UV, visible et proche IR), permettent de poser des contraintes sžv res aux mod les de formation et d'žvolution des galaxies. L'analyse de ces donnžes a montrž que les populations stellaires des galaxies sont expliqužes par un mod le de formation monolithique, c'est-ˆ-dire un mod le dans lequel les galaxies ont le m me ge et ont formž des Žtoiles avec une efficacitž proportionnelle ˆ leur masse et indžpendante du type morphologique. Les plus massives (spirales et elliptiques) ont formž la majoritž de leurs Žtoiles en un temps tr s court ( ~ 0,5 Gigaan) tandis que les naines continuent de former des Žtoiles avec un rythme comparable ˆ celui qu'elles avaient au džbut de leur existence.. Avec le spectrographe Carelec, on a obtenu des vitesses en Hα de galaxies de l'amas de Ursa Major qui, associžes ˆ des vitesses en HI, permettront notamment l'analyse pržcise de mod les de masse.. L'observation spectroscopique des galaxies džtectžes ˆ la fois par IRAS et ROSAT s'est poursuivie avec Carelec, pour džtecter les signatures d'un noyau actif pržsumž cachž dans la poussi re de la ržgion de formation d'žtoiles. Ces observations qui s'žtendent sur plusieurs annžes permettent aussi de mettre en Žvidence dans certains cas des variations du spectre optique, pour des objets dont la variabilitž est claire en rayons X: l'interpržtation de ces variations est un ŽlŽment clž pour la compržhension du mžcanisme d'žmission des X mous.
15 Par ailleurs, la spectroscopie des galaxies, contreparties des sources ISO ˆ 170 microns, a commencž avec Carelec pour džterminer la nature des sources responsables du fond diffus IR. Elle montre qu'une fraction substantielle de ce fond diffus provient de galaxies proches, ˆ flambžes de formation d'žtoiles.. Le spectrographe Carelec a ŽtŽ utilisž pour la recherche de noyaux actifs de galaxies (NAG) dans le but d'en tracer la distribution cosmologique. Des 44 candidats observžs, 28 se sont avžržs tre des NAG, 9 des Žtoiles de la Galaxie, 6 des objets sans raies et le dernier une galaxie normale. La complžtude des Žchantillons atteint plus de 85%, ce qui permettra une premi re estimation de l'žvolution cosmologique de leur fonction de corržlation.. Trois raies coronales du Fer, [FeX], [FeXI] et [FeXIV] ont ŽtŽ observžes (bien qu'ˆ la limite de džtection) avec Carelec dans le noyau des galaxies actives NGC 3227 et NGC 3516 dans le but d'žtudier la connexion entre la ržgion produisant les raies coronales et l'"absorbeur chaud".. Au cours de deux missions au tžlescope de 1,93 m, une trentaine de galaxies ont ŽtŽ observžes avec l'instrument GHASP (Gassendi H-Alpha survey of SPirals) de l'observatoire de Marseille. Cet instrument (ržducteur focal + Fabry-Perot ˆ balayage + camžra ˆ comptage) donne avec une grande pržcision le champ de vitesse des galaxies observžes (dans un champ de 4'x4'). 15
16 TABLEAU 1 Publications parues en 1999 et basžes sur des observations faites ˆ l'ohp Publications parues dans des revues ˆ comitž de lecture TŽlescope 99/01 1,52 m ANDRIEVSKY S.M., KOROTIN S.A., LUCK R.E., KOSTYNCHUK L.Yu. Carbon and nitrogen abundances in early B-stars. I.- NLTE calculations for a sample of stars with small vsini values. 1999, A&A 350, /02 1,52 m ANDRILLAT Y., JASCHEK C. B[e] stars. VIII.- MWC , A&AS 136, /03 1,93 m BARBAN C., MICHEL E., MARTIC M., BOUCHY F., LEBRUN J.C., CONNES P., BERTAUX J.L., BAGLIN A. Solar-like oscillations of Procyon A: stellar models and time series simulations versus observations. 1999, A&A 350, /04 1,20 m BEUERMANN K., THOMAS H.-C., REINSCH K., SCHWOPE A.D., TR MPER J., VOGES W. Identification of soft high galactic latitude RASS X-ray sources. II.- Sources with PSPC count rate CR < 0.5 cts/s. 1999, A&A 347, /05 1,93 m BONFANTI P., SIMIEN F., RAMPAZZO R., PRUGNIEL Ph. 1,20 m Kinematics of early-type galaxies in compact groups. HCG 67, HCG 74, and HCG , A&AS 139, /06 1,20 m BOUVIER J., CHELLI A., ALLAIN S., CARRASCO L., COSTERO R., CRUZ- GONZALEZ I., DOUGADOS C., FERNANDEZ M., MARTIN E.L., MENARD F., MENNESSIER C., MUJICA R., SALAS L., SCHMIDT G., WICHMANN R. 1,20 m Magnetospheric accretion onto the T Tauri star AA Tauri. I.- Constraints from multisite spectrophotometric monitoring. 1999, A&A 349, /07 1,20 m BREMNES T., BINGGELI B., PRUGNIEL P. Structure and stellar content of dwarf galaxies. III. B and R photometry of dwarf galaxies in the M 101 group and the nearby field. 1999, A&AS 137, /08 1,93 m CATALA C., DONATI J.-F., B HM T., LANDSTREET J., HENRICHS H.F., UNRUH Y., HAO J., COLLIER CAMERON A., JOHNS-KRULL C.M., KAPER L., SIMON T., FOING B.H., CAO H., EHRENFREUND P., et al. Short-term spectroscopic variability in the pre-main-sequence Herbig Ae star AB Aur during the MUSICOS 96 campaign. 1999, A&A 345, /09 1,93 m CAYREL R., SPITE M., SPITE F., VANGIONI-FLAMM E., CASSE M., AUDOUZE J. New high S/N observations of the 6 Li/ 7 Li blend in HD and two other metal-poor stars. 1999, A&A 343, /10 1,93 m CORPORON P., LAGRANGE A.-M. 1,52 m A search for spectroscopic binaries among Herbig Ae/Be stars. 1999, A&AS 136,
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18 99/25 1m suisse GRIFFIN R.E.M., GRIFFIN R.F. Coravel Composite spectra. Paper 8: HD 4615/ , MNRAS 305, /26 1,93 m HƒRAUDEAU Ph., SIMIEN F., MAUBON G., PRUGNIEL Ph. Stellar kinematic data for the central region of spiral galaxies. II. 1999, A&AS 136, /27 1,20 m HUA C.T., KWOK S. Monochromatic morphologies of Abell planetary nebulae. 1999, A&AS 138, /28 1,52 m HUI-BON-HOA A. Metal abundances of A-type stars in galactic clusters. III.- α Persei: new results. 1999, A&A 343, /29 1m suisse IMBERT M. Coravel DŽtermination des rayons de cžphžides. III.- Vitesses radiales et dimension de 22 CŽphŽides galactiques. 1999, A&AS 140, /30 1,93 m JASCHEK C., ANDRILLAT Y. 1,52 m B[e] stars. VII.- MWC , A&AS 136, /31 1,52 m JASNIEWICZ G., PARTHASARATHY M., de LAVERNY P., THEVENIN F. Late-type giants with infrared excess. I.- Lithium abundances. 1999, A&A 342, /32 0,80 m KAAS A.A., AKSNES K., FRANKLIN F., LIESKE J. Astrometry from mutual phenomena of the galilean satellites in , AJ 117, /33 1m suisse KIENZLE F., MOSKALIK P., BERSIER D., PONT F. Structural properties of s-cepheid velocity curves. Constraining the location of the _ 4 = 2 _ 1 resonance. 1999, A&A 341, /34 1,52 m KOROTIN S.A., ANDRIEVSKY S.M., LUCK R.E. Oxygen abundances in early B-stars. 1999, A&A 351, /35 1,93 m KRELOWSKI J., EHRENFREUND P., FOING B.H., SNOW T.P., WESELAK T., TUAIRISG S.O., GALAZUTDINOV G.A., MUSAEV F.A. On the relation between diffuse interstellar bands and simple molecular species. 1999, A&A 347, /36 1,93 m LEDOUX C., VALLS-GABAUD D., REBOUL H., ENGELS D., PETITJEAN P., MOREAU O. Identification of active galaxies behind the Coma cluster of galaxies. 1999, A&AS 138, /37 1,52 m LEBRE A., de LAVERNY P., de MEDEIROS J.R., CHARBONNEL C., da SILVA L. Lithium and rotation on the subgiant branch. I.- Observations and spectral analysis. 1999, A&A 345, /38 1,20 m MAURON N., HUGGINS P.J. Multiple shells in the circumstellar envelope of IRC , A&A 349,
19 19 99/39 1m suisse MERMILLIOD J.-C., MAYOR M. Coravel Investigation of the Praesepe cluster. III.- Radial velocity and binarity of the F5-K0 Klein-Wassink stars. 1999, A&A 352, /40 1,93 m MIROSHNICHENKO A., CORPORON P. Revealing the nature of the B[e] star MWC , A&A 349, /41 1,93 m M RSET U., SCHMID H.M. Spectral classification of the cool giants in symbiotic systems. 1999, A&AS 137, /42 1,20 m 0,80 m OBLAK E., LAMPENS P., CUYPERS J., HALBWACHS J.L., MARTIN E., SEGGEWISS W., SINACHOPOULOS D., VAN DESSEL E.L., CHARETON M., DUVAL D. CCD photometry and astrometry for visual double and multiple stars of the HIPPARCOS catalogue. I.- Presentation of the large scale project. 1999, A&A 346, /43 1,52 m OLIVEIRA J.M., FOING B.H. Circumstellar emission and flares on FK Comae Berenices. Analysis and modelling of Balmer and HeI D3 line variations. 1999, A&A 343, /44 1,93 m PRUGNIEL Ph., GOLEV V., MAUBON G. Effect of the large scale environment on the stellar content of early-type galaxies. 1999, A&A 346, L25-L29 99/45 1,93 m RAUW G., VREUX J.-M., BOHANNAN B. 1,52 m The interacting early-type binary BD (V 729 Cyg): modeling the colliding winds region. 1999, ApJ 517, /46 1,52 m ROSSI C., ERRICO L., FRIEDJUNG M., GIOVANNELLI F., MURATORIO G., VIOTTI R., VITTONE A. On the nature of the Herbig Be star V 380 Orionis. 1999, A&AS 136, /47 1,52 m SFEIR D.M., LALLEMENT R., CRIFO F., WELSH B.Y. Mapping the contours of the local bubble: preliminary results. 1999, A&A 346, /48 1,52 m SONNENTRUCKER P., FOING B.H., BREITFELLNER M., EHRENFREUND P. Distribution of gas, dust and the λ 6613 A DIB carrier in the Perseus OB2 association. 1999, A&A 346, /49 1,20 m THORAVAL S., BOISSƒ P., DUVERT G. The small scale distribution of interstellar dust from studies of obscured galaxies. 1999, A&A 351, /50 1,52 m VARENNE O. The nature of the sharp-lined AIV star HD , A&A 341, /51 1,93 m ZHU Z.X., FRIEDJUNG M., ZHAO G., HANG H.R., HUANG C.C. Spectral and luminosity classification for the cool components in symbiotic stars. 1999, A&AS 140, 69-78
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