Les risques volcaniques
|
|
- Jean-Marc Labonté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 08/11/ Par Jacques-Marie Bardintzeff, Volcanologue Les risques volcaniques Les volcans se manifestent par différents types d'éruptions. Ils menacent des millions de personnes. Les risques sont très variés. La surveillance, la prévision et la prévention des éruptions ont fait récemment des progrès significatifs. Page 1/7 - Les risques volcaniques La Terre possède plus de volcans sur les continents et davantage sous les océans. Plus de d'entre eux ont été actifs au cours des dernières années. Une centaine de volcans sont considérés comme très dangereux et donc particulièrement surveillés. Etna - Cratère Silvestri. PJT56 - CC BY-NC 3.0 Depuis l'année 1700, on comptabilise au total victimes des phénomènes volcaniques. Aujourd'hui, 500 millions de personnes sont concernées par les risques volcaniques. Page 2/7 - Volcans et éruptions volcaniques Les volcans se manifestent régulièrement par des éruptions. Celles-ci sont de deux grands types : effusives et explosives. Page 1 / 22
2 Lac de lave du Pu'u O'o, massif du Kilauea, Hawaii. La température est de l'ordre de 1150 degrés. Yann - Domaine public - Les éruptions effusives libèrent des coulées de lave, liquide parfois pâteuse, à des températures de 900 à 1200 degrés. On parle de type hawaiien, en référence aux volcans d'hawaii : Kilauea, Mauna Loa. Sémhur - Josh Schwartzman - CC-BY-SA-3.0 Certaines laves, très fluides, sont appelées «pãhoehoe» : ce terme hawaiien signifie qu'il est aisé de marcher sur la coulée quand elle est refroidie et solidifiée car sa surface est relativement plane, mimant parfois un amas de cordes («lave cordée»). Au contraire, les laves visqueuses «aa» (autre terme hawaiien) laissent des surfaces de coulées très irrégulières, rendant toute progression difficile. Page 2 / 22
3 Coulée de lave fluide (pãhoehoe) en bord de mer au Kilauea à Hawaii. Ike395 - Domaine public Les laves du premier type coulent rapidement lors de leur émission (parfois jusqu'à quelques dizaines de km/h) puis ralentissent. Celles du second type progressent seulement à quelques centaines ou dizaines de m/h. Souvent la lave s'écoule aussi dans un réseau de tunnels, en sub-surface. Exceptionnellement elle stagne dans le cratère et forme un véritable lac de lave. Les laves sont le plus souvent des basaltes, de composition chimique silicatée. Coulée de lave pétrifiée à Hawaii, mimant un amas de cordes (lave cordée). J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés - Reproduction interdite L'Ol Doinyo Lengai en Tanzanie est unique au monde car il émet des laves noires, appelées «carbonatites» (de composition chimique carbonatée), très fluides, à une température d'environ 500 degrés. Page 3 / 22
4 Laves noires carbonatites éjectées du Oi Doinyo Lengai en Tanzanie. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés - Reproduction interdite Certaines laves, trop visqueuses pour s'écouler, construisent des dômes ou des aiguilles de lave. - Les éruptions explosives Elles émettent des matériaux à haute température mais en grande partie solide appelés «tephra» et libèrent une grande quantité de gaz. On les classe en types strombolien, vulcanien, plinien, péléen, surtseyen. - Les éruptions de type strombolien Elles font référence au Stromboli dans les îles éoliennes en Italie et projettent des bombes incandescentes, dont la taille peut atteindre plusieurs mètres, à des hauteurs de plusieurs centaines de mètres. - Les éruptions de type vulcanien Sémhur - Brocken Inaglory - CC-BY-SA-3.0 Page 4 / 22
5 Explosion vulcanienne sur l'etna en Italie en novembre J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés - Reproduction interdite Elles font référence au volcan Vulcano, également dans les îles éoliennes qui projettent des cendres grises, fines (taille de l'ordre du millimètre), jusqu'à quelques kilomètres de hauteur. - Les éruptions de type plinien Sémhur - Taro Taylor - CC-BY-SA-3.0 Ici elles font référence à Pline l'ancien et Pline le Jeune, observateurs de l'éruption du Vésuve, qui, en 79 ap. J.-C., détruisit Pompéi) projettent des ponces (fragments de roches légères car riches en vacuoles de gaz), jusqu'à 50 km de hauteur. Page 5 / 22
6 Sémhur - CC-BY-SA Les éruptions de type péléen La montagne Pelée en Martinique, siège d'une nuée ardente, qui fit victimes le 8 mai 1902, a donné son nom au type péléen. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés - Reproduction interdite En référence à la montagne Pelée en Martinique aux Antilles, elles sont caractérisées par des nuées ardentes. Les nuées ardentes, nuages de gaz brûlant transportant des blocs et des cendres en suspension, se propagent à des vitesses atteignant 600 km/h. Page 6 / 22
7 Sémhur - Óli Jón- CC-BY-SA Les éruptions de type surtseyen Celles-ci font référence à l'île de Surtsey au sud de l'islande et résultent du contact entre le magma et de l'eau (nappe souterraine «phréatique», lac de cratère). La vaporisation de l'eau augmente l'explosivité de l'éruption. On parle d'éruption «phréatique» ou «phréatomagmatique». Sémhur - CC-BY-SA-3.0 En fait de nombreux volcans peuvent changer de type éruptif au cours de leur histoire géologique ou même en cours d'éruption. Page 7 / 22
8 Eruption sous le glacier Vatnajökull en Islande le 9 octobre Une importante fissure, de 3 km de long et de 300 m de large, s'est ouverte. Un panache de cendres noires, éjectées à grande vitesse, côtoie un nuage blanc de vapeur d eau. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés - Reproduction interdite Un édifice volcanique résulte de l'accumulation des produits de ses éruptions. Certains gros volcans, âgés de plusieurs centaines de milliers d'années, dans lesquels alternent laves et tephra (et donc «stratifiés»), sont appelés «stratovolcans». Page 3/7 - Les sept types de risques volcaniques Il existe sept types de risques volcaniques plus ou moins élevés qui sont les suivants. - Les coulées de lave (type éruptif hawaiien) Coulée de lave du volcan Kilauea, Hawaii. Paul Bica - CC BY-NC 2.0 Page 8 / 22
9 Elles ne présentent que des dangers modérés pour les populations mais peuvent détruire de nombreux biens : habitats, voies de communication, cultures. Exemples : Etna, mont Cameroun - Les projections et retombées de bombes (type strombolien), de cendres (type vulcanien), de ponces (type plinien) Explosion nocturne au piton Kapor (Piton de la Fournaise, île de la Réunion) en avril J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite Elles concernent des surfaces parfois très importantes. Exemples : Piton de la Fournaise (Réunion), Tavurvur (Papouasie - Nouvelle-Guinée) - Les nuées ardentes Champs de lave cordée, Piton de la Fournaise île de la Réunion. Geolina - CC BY-NC 4.0 Page 9 / 22
10 Le volcan Soufriere Hills, dans l'île de Montserrat aux Antilles, est en éruption depuis Les dépôts de nuées ardentes, canalisés par le lit de Tar River, ont formé de véritables deltas sur la mer des Caraïbes. J.- M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite Elles se propagent à des vitesses prodigieuses, constituent des risques majeurs pour les habitants et leurs biens. Exemples : Soufrière de Montserrat (Antilles). Page 10 / 22
11 Le volcan Soufriere Hills, dans l'île de Montserrat aux Antilles. Les dépôts de nuées ardentes, canalisés par le lit de Tar River, ont formé de véritables deltas sur la mer des Caraïbes. Barry Voigt - Domaine public - Les gaz sont émis en abondance par les volcans Page 11 / 22
12 D'abondantes fumerolles soufrées, à une température atteignant parfois 700 degrés, s'échappent en permanence de Vulcano dans les îles éoliennes en Italie. Brisk - Domaine public Exemple : Vulcano (îles éoliennes, Italie). Ils peuvent parfois asphyxier les êtres vivants, hommes et animaux. Exemple : Lac Nyos, Cameroun, Les coulées boueuses, appelées aussi lahars (terme indonésien) Vue d'hélicoptère de la ville de Bacolor aux Philippines, située à une trentaine de kilomètres du cratère du Pinatubo, recouverte par des lahars après le passage du typhon Mameng le 1er octobre 1995, plus de quatre ans après l éruption majeure de J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite résultent d'un mélange d'une grande quantité de cendres volcaniques, en position instable sur l'édifice volcanique, et d'eaux, d'origines variées (pluies abondantes, cyclones et typhons, rupture des parois d'un lac de cratère, fonte de neige ou de glace). Exemple : Pinatubo (Philippines). Page 12 / 22
13 - Les instabilités sont importantes sur un volcan Il peut se produire des éboulements et écroulements de dôme de lave solidifiée, glissements de terrain comme par exemple avec le volcan Merapi (Indonésie). Volcan Merapi à Java en Indonésie s'écroule régulièrement. à l'arrière-plan on distingue, de gauche à droite, les volcans Sumbing et Sundoro et le plateau de Dieng. Brigitte Werner - Domaine public - Les raz-de-marée, appelés aussi tsunamis sont des vagues sur la mer, provoquées par l'éruption de volcans insulaires ou côtiers. Elles déferlent ensuite, avec une amplitude gigantesque, sur des côtes éloignées de plusieurs dizaines, voire milliers, de kilomètres. Exemple : Tavurvur (Papouasie - Nouvelle-Guinée). Les risques 1 à 4, immédiats, sont des conséquences directes de l'éruption. Les risques 5 et 6 apparaissent différés dans le temps car ils peuvent suivre l'éruption de plusieurs jours, mois ou années. Le risque 7 est différé dans l'espace : le volcan a un effet destructeur dans une zone éloignée. Un même volcan peut présenter différents types de risques en même temps ou successivement. Les volcanologues doivent prendre en compte l'ensemble de ces risques. Page 4/7 - La surveillance, la prévision, la prévention Afin de tenter d'établir des prévisions, il faut surveiller les volcans par diverses techniques ci-dessous et faire de la prévention. Page 13 / 22
14 Jacques-Marie Bardintzeff prélève un fragment de lave solidifié sur l'etna en avril J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite - Connaître l'histoire du volcan Les éruptions anciennes du volcan constituent une référence pour envisager les éruptions futures. Les dépôts solides (laves solidifiées, cendres) qu'il a rejetés jadis en constituent les témoins. On les identifie précisément (la pétrographie est l'étude des roches et des minéraux qu'elles contiennent). Puis on essaye de les dater (géochronologie) pour reconstituer la vie du volcan. Jacques-Marie Bardintzeff prélève un fragment de lave solidifié sur l'etna en avril J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite - Surveiller le volcan Pour les volcans les plus dangereux, il faut disposer d'un observatoire permanent où un personnel qualifié se relaie 24 heures sur 24. On dispose aussi de stations de surveillance automatique, disposées sur l'édifice volcanique et Page 14 / 22
15 reliées à l'observatoire central par radio haute fréquence. Une station de surveillance volcanique au pied du Yasour au Vanuatu. De gauche à droite : un pluviomètre, un séismographe et une sonde thermique. Un panneau solaire permet d alimenter les batteries. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite Différents types d'appareils spécifiques permettent une surveillance rigoureuse du volcan. Des sismographes détectent de petites secousses appelés «tremors», témoins de la montée du magma. Ces signaux se produisent le plus souvent entre 24 et 48 heures avant une éruption, parfois quelques jours ou au contraire quelques dizaines de minutes seulement. Station de surveillance (GPS différentiel) utilisée par l'observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise pour mesurer les déformations du volcan de l'île de la Réunion. B. Navez - CC BY-NC 2.0 Parallèlement, cette montée magmatique, provoque un gonflement de l'édifice, à une échelle millimétrique, centimétrique ou décimétrique. Les fissures s'écartent. Des géodimètres permettent de mesurer une distance précise entre deux points repères. à plus grande échelle, on utilise des rayons lasers, qui se réfléchissent sur des micro-réflecteurs installés sur le volcan. Des inclinomètres permettent de détecter des variations de pentes. Page 15 / 22
16 Jacques-Marie Bardintzeff (à gauche) avec Giuseppe Puglisi (au centre) et Biagio Puglisi (à droite) de l'institut National de Géophysique et Volcanologie de Catane, lors de mesures de distance et de déformation sur l'etna, en avril J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite Les fumerolles peuvent changer de température, de composition ou de débit, annonçant une variation de l'activité du volcan. Les images prises par les satellites permettent, à distance, le suivi régulier du volcan. Des cartes de risques volcaniques sont dressées, où les zones menacées sont repérées à l'aide de couleurs significatives : rouge pour les zones à plus hauts risques, puis orange, jaune et vert pour les régions complètement à l'abri. - La protection civile Il faut expliquer aux populations menacées ce qu'est exactement un volcan, les différents dangers qu'il présente, ce qu'il faut faire ou ne pas faire en cas d'éruption. Des plans d'alerte, de secours et d'évacuation sont établis par les autorités civiles, prenant en compte les différents scénarios éruptifs susceptibles de se produire. Des antennes médicalisées spécialisées doivent également être prêtes à intervenir sur les lieux de l'éruption pour porter secours aux blessés. Des progrès significatifs ont été réalisés depuis une vingtaine d'années dans les domaines de la surveillance, de la prévision et de la prévention des éruptions. Page 5/7 - Les volcans : nuisibles ou utiles? Les volcans, par les risques qu'ils présentent, apparaissent incontestablement nuisibles pour les sociétés humaines. Mais paradoxalement, ils s'avèrent aussi bien utiles. Page 16 / 22
17 Un porteur de soufre au Kawah Idjen en Indonésie. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite On pense, qu'au début de l'histoire géologique de la planète Terre (vieille de 4,6 milliards d'années), les nombreux volcans, par dégazage, ont contribué à la formation de l'atmosphère et, par condensation, à celle des océans, ce qui a permis ensuite l'apparition de la vie. Les volcans construisent des territoires nouveaux (îles volcaniques). Les sols volcaniques sont très fertiles. - Les volcans servent, depuis toujours, à l'habitat : Abris préhistoriques sous des coulées volcaniques, situées en relief par le jeu de l'érosion et déchaussées progressivement à leur base ; habitats troglodytes ; pierres de construction. A üçhisar, dans la Cappadoce turque, des cheminées de fées, formées de cendres volcaniques soudées puis sculptées par l'érosion, ont été creusées en habitats troglodytes. Claude Valette - CC BY-NC Les volcans anciens ont laissés d'importants gisements métallifères (or, cuivre au Chili). Le soufre est exploité au Kawah Idjen en Indonésie. - En région péri-volcanique, l'énergie du sous-sol peut être exploitée : c'est la géothermie. - Le volcan est aussi source de santé (thermalisme) Page 17 / 22
18 Bain thermal à Vulcano en Italie. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite - Les pierres volcaniques ont été sculptées (moaïs géants dressés sur l'île de Pâques, statuettes mayas d'obsidienne). Le volcan a inspiré les artistes et les poètes. - De nombreux volcans sont protégés dans des parcs naturels, où vivent de nombreuses espèces animales et végétales, parfois endémiques. Page 18 / 22
19 Iguane marin (Amblyrhynchus cristatus) se chauffant au soleil sur un rocher de basalte à Punta Suarez dans l'île d'espanola aux Galapagos : un parc naturel protégé en région volcanique. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite Page 6/7 - Pour aller plus loin Livres de J.-M. Bardintzeff Page 19 / 22
20 D abondantes fumerolles soufrées, à une température atteignant parfois 700 degrés, s échappent en permanence de Vulcano dans les îles Eoliennes en Italie. J.-M. Bardintzeff - Tous droits réservés Reproduction interdite «Volcanologue. De la passion à la vocation», Vuibert, 2009 «Volcanologie», Dunod, 4e édition, 2011 «Le volcan se réveille», Le Pommier, 2012 «Litchi dans l espace», Le Pommier, 2013 «Les volcans et leurs éruptions», Coll. Les Minipommes, Le Pommier, 2e édition, 2013 «Pour les nuls présente Les volcans», Gründ, 2014 «À la découverte des volcans d'auvergne», La vache qui lit, 2015 «Tout savoir sur les volcans du monde, séismes et tsunamis», Orphie, 2e édition, 2015 Voir liste de ces autres livres, films, conférences dans sa biographie Découvrir la galerie photos de J.M. Bardintzeff «Les feux de la terre» Page 7/7 - Sa revue de presse Jacques-Marie Bardintzeff à la Soufrière Hills de Montserrat. André Laurenti - CC BY-NC 3.0 Page 20 / 22
21 Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Le Dauphiné Libéré, 27 août 1983, p. 10, "Aiguilles rouges: gros succès des conférences de l été" (conférence 25/8/1983, Argentière). Le Dauphiné Libéré, 24 mai 1995, "Bardintzeff sur les traces de Tazieff", Jean-Paul Roudier. Le Dauphiné Libéré, 24 mai 1995, "Bardintzeff sur les traces de Tazieff", Jean-Paul Roudier Boulogne-Billancourt Information, n 326, mai 2004, p. 9, "Ils font l'événement: Jacques-Marie Bardintzeff volcanique!", Sabine Dusch Le Républicain de l'essonne, n 3111, 28 octobre 2004, p. 12, "Conférence de Jacques-Marie Bardintzeff, Une passion volcanique", Céline Chahi (conférence 24/10/2004, Draveil). Sciences et Avenir, n 698, avril 2005, p. 55, "Les enfants de Jules Verne: Jacques-Marie Bardintzeff arpente déserts de glace et volcans en éruption pour découvrir les secrets de la Terre", Sylvie Rouat. Courrier Picard, n 19006, 9 juin 2005, p. 9, "66e Foire Exposition de Picardie; Les volcans, objet de fascination", Michel Maïenfisch (intervention 8/6/2005, Amiens). Télémagazine, n 2588, juin 2005, p. 28 (et 77), "Supervolcans, mille fois la puissance d'hiroshima. Retour Page 21 / 22
22 avec un vulcanologue réputé sur la situation des volcans en France. Existe-t-il une menace réelle?", Martine Touhet (émission Supervolcans sur M6, 14/6/2005). Télépoche, n 2052, juin 2005, p. 47 (et ), "Quand le supervolcan se réveillera Le parc du Yellowstone, aux Etats-Unis, est un redoutable supervolcan. Va-t-il se réveiller? Réponse avec le vulcanologue Jacques-Marie Bardintzeff", Eric Floux (émission Supervolcans sur M6, 14/6/2005). TéléStar, n 1497, juin 2005, p. 30 (et 103), "Jacques-Marie Bardintzeff: une super éruption aura lieu", Thomas Colpaert (émission Supervolcans sur M6, 14/6/2005). L'Indépendant, n 266, 24 septembre 2005, p. 2, "300 collégiens fascinés par les volcans vus par J.-M. Bardintzeff. Il les a vus de près et même visités! Hier, le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff a séduit deux heures durant les 4e de plusieurs collèges réunis au Centre européen de préhistoire de Tautavel. L'ami de Nicolas Hulot ou la pédagogie imagée", Marcelle Santa Maria (conférence 23/9/2005, Tautavel). Ushuaïa magazine, n 6, octobre-novembre 2005, p , "Dans le feu de l'action", Chiara Mancini. TéléStar, n 1521, 26 novembre - 2 décembre 2005, p. 35 (et 93), "Tsunami, est-ce possible en France?", Frédérique Maupu Flament (émission soirée spéciale tsunami sur M6, 29/11/2005). TV Grandes chaînes, n 45, décembre 2005, p. 140, "Ushuaïa nature: le pays des origines (Éthiopie)" (diffusion sur TF1, 28/12/2005). Les Clés de l'actualité Junior, n 524, juin 2006, p. 7, "Volcan: le feu de la Terre; en Indonésie, l'un des volcans les plus dangereux du monde est en éruption ", interview par Frédéric Fontaine. Le Métroscope, Mensuel de Grenoble-Alpes Métropole, n 53, été 2006, p. 13, "Jacques-Marie Bardintzeff, une vie sur un volcan", Richard Gonzalès. La vie est belle (dans l'ouest parisien), n 7, octobre-novembre 2005, p. 11, "L'eau, pierre précieuse". La vie est belle (dans l'ouest parisien), n 8, décembre janvier 2006, p. 6, "Vulcain et Vénus volcan et beauté". La vie est belle (dans l'ouest parisien), n 9, avril-mai 2006, p. 6, "L'énergie: plus qu'hier, moins que demain?". La vie est belle (Edition de Boulogne), n 10, juin-août 2006, p. 6, "Le Soleil a rendez-vous avec la Lune". La vie est belle (Edition de Boulogne, Sèvres, Saint-Cloud), n 11, septembre 2006, p. 4, "Thermalisme: les eaux «juvéniles»". Les Clés de l'actualité, n 683, 26 octobre-1 novembre 2006, p. 7, "Les Volcans: une évolution encourageante", interview par Anne Debroise. Page 22 / 22
L E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailLa structure du texte explicatif (sec. 3)
Phase de questionnement (Pourquoi?) : (environ 40 à 50 mots) prépare le lecteur et elle fournit une vision globale de ce dont il va être question dans le texte. Sujet amené Historique Actuelle L idée générale
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailNEIGE ET FEU VULCANO LIPARI STROMBOLI ETNA. 8 Jours
NEIGE ET FEU VULCANO LIPARI STROMBOLI ETNA 8 Jours Voir Stromboli à une période de l année où règne le calme dans les petites ruelles du village de San Vincenzo est un rare privilège. Les habitants seront
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailPropulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT
1. Le moteur vulcain C. Expliquer le principe d action réaction aussi appelé le principe des actions réciproques qui s applique dans le moteur Vulcain. Vous pouvez-vous aider du schéma ci-dessous. A. Quels
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailRaid Glace et Feu Islande
Raid Glace et Feu Islande 5 au 26 juillet 2016 Présentation : Le raid "Glace et Feu" commence par une traversée maritime au départ d Hirtshals au Danemark pour vous faire découvrir vos premières images
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailTPE : La voiture solaire. Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez.
TPE : La voiture solaire Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez. Sommaire :.1) Le capteur solaire :.2) La voiture solaire :.3) Variation de température et la vitesse : Problématique
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailNom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX
2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailLIVRET JEUNE PUBLIC (3-12 ans)
LIVRET JEUNE PUBLIC (3-12 ans) KADER ATTIA est né en 1970 à Dugny (Seine-St-Denis), il vit et travaille à Berlin. L ATELIER ÉPHÉMÈRE un samedi par mois, de 14h30 à 16h Pour explorer l exposition, peindre,
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailGOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités
GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes
Plus en détailReprésenter un pays : la carte de France
séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,
Plus en détailLES GEOCUBES RÉSEAU DE CAPTEURS GÉOLOCALISÉS
LES GEOCUBES RÉSEAU DE CAPTEURS GÉOLOCALISÉS ign.fr 01. DESCRIPTION DESCRIPTION MODULE GPS Module GPS mono-fréquence, faible coût TRÈS FAIBLE CONSOMMATION PORTÉE
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailProjet d auto-construction d un chauffe-eau solaire au pays des Cigales
Projet d auto-construction d un chauffe-eau solaire au pays des Cigales Par Joseph 13 Aix en Provence Bonjour et bienvenue sur mon blog. après plusieurs mois de réflexion et de recherches sur Internet
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailPrésentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions.
Thèmes Découverte et cultures du monde, environnement, météo Concept Présentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions. Contenu Durée totale : 2 mn 15 s. est présentée
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détailEDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU
DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailDossier de presse Catastrophes naturelles
Fédération Française des Sociétés d'assurances Dossier de presse Catastrophes naturelles Le système d indemnisation mis en place par la loi du 13 juillet 1982 Avant 1982, l assurance ne couvrait que certains
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détailAtelier A1. Intervenants. Modérateur. Véronique MÉAUTTE-EVANS. Frédéric Lucas. Guy-Antoine de LA ROCHEFOUCAULD. Michel BLANC
Atelier A1 Intervenants Véronique MÉAUTTE-EVANS Senior Underwriter Special Enterprise Risks Frédéric Lucas Directeur du Développement Guy-Antoine de LA ROCHEFOUCAULD Modérateur Michel BLANC Directeur Général
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailPRESTATION 1 : MULTI-ACTIVITES INCENTIVE ET SEMINAIRES
Les prestations ci-dessous - multi-activités, excursions en Zodiacs et randonnées 4x4/Quads - sont personnalisables aux côtés des chefs de projets. Des options et variantes existent : chants Corses, pique-nique
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailPoints clefs pour l'adaptation du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché (CESBM) dans d'autres pays
Points clefs pour l'adaptation du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché (CESBM) dans d'autres pays Photo 1 : Modèle du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché : Capteurs, réservoir et douche. Elaboré par la Sociedade
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailECOLE DE GLACE SUPPORT DE FORMATION
ECOLE DE GLACE SUPPORT DE FORMATION Club Alpin de Colmar Rédaction Eric MUNIER 1/ LES NOEUDS 1.1 Le nœud de 8 1.2 Le nœud de cabestan 1.3 Le nœud de ½ cabestan 1.4 Le nœud de Marchard 1.5 Le nœud français
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailSOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS
1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailQui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.
Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,
Plus en détailFiche pédagogique : ma famille et moi
Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailANNEXE 8b. Fig. 1 Les symboles utilisés dans l'analyse de susceptibilité des suivantes paragraphes
RÉSULTATS ET CRITICITÉS MENACE GLISSEMENT SUR LES TROIS COMMUNES Dans les suivantes paragraphes sont présentés les résultats pour chaque communes et une liste des zones plus critiques surtout concernant
Plus en détailLe jour et la nuit. Lecture : Le jour et la nuit, comment ça marche?, Collection les questions de Justine, BELIN
CE1 Le jour et la nuit Découverte du monde 3 séances Outils pour le PE : Le temps Cycle 2, Les dossiers Hachette de 2011. Education civique et découverte du monde, Cycle 2 Collection Magellan de 2008 La
Plus en détailCONTENU MISE EN PLACE. 1. Placez le plateau de jeu au centre de la table.
TM Pour voir une vidéo explicative du jeu, visitez www.stratusgames.com INTRODUCTION BUT DU JEU Les habitants des villages entourant un volcan dormant vivaient heureux et en paix jusqu au jour où BADABOUM
Plus en détailSommaire. Les techniques d escalade. De fortune sur demi-cabestan Débrayable Suisse 1/1. fic-somescalade01-c3m
Les techniques d escalade fic-somescalade01-c3m Sommaire La poulie (moulinette) L assurage Sécurité lors de la mise en place Manip FFME Le rappel Sécurité lors de la mise en place Amarrages en terrain
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailAlpha 224 scène mobile couverte Informations Scène et accessoires
Alpha 224 scène mobile couverte Informations Scène et accessoires Alpha 224 ( la plus grande scène mobile du monde ) 10 Quai des Roches 76380 Canteleu Tel : 02 35 63 16 30 fax : 02 35 63 15 94 Courriel
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailLE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE
L'énergie est notre avenir, économisons-la! LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L avis des Experts Economies d énergie : + Répartition homogène de la température et confort optimal. + Gain d espace
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailÇa bouge au Canada : Le parc national de Banff
Fiche apprenant Niveau débutant Ça bouge au Canada : Le parc national de Banff Activité 1 Avant de voir le film a. En petits groupes de quatre, observez, préparez et composez quatre questions sur l une
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailTarif des clés USB et POWER BANKS semaines 37 / 38
10/09/2015 1/17 Tarif des clés USB et POWER BANKS semaines 37 / 38 JEMA SARL N 10 Les Roudiers 33220 Eynesse Sarl au capital de 10 000 APE : 4619B Siret : 79406183800015 Lionel FAVEREAU : Céline FAVEREAU
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailRÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR
RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les
Plus en détailL'énergie solaire photovoltaïque. Pour la petite histoire...
L'énergie solaire photovoltaïque. Pour la petite histoire... Le temps a passé. Beaucoup de temps depuis le branchement de ma première cellule photovoltaïque. On était encore bien loin de la maison basse
Plus en détail