Observatoire des métiers de la banque 30 avril 2009

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1 1 Observatoire des métiers de la banque 30 avril 2009 AFB, Cellule statistique LE POINT SUR LE DIF NON DIPLOMANT La CPNE fait un constat qui la conduit à s interroger sur l'exercice du Droit Individuel à la Formation (DIF). Elle constate que le nombre de salariés exerçant leur DIF est en hausse, après un démarrage graduel qui s'expliquait par la nécessité de réunir une quantité d'heures suffisante pour mener des actions de formation significatives. Mais il apparaît que le nombre d heures utilisées au titre du DIF est très en retrait sur le nombre d'heures capitalisées. La question se pose des conditions d exercice du DIF et de la nature des formations suivies au titre de ce dispositif. On sait répondre à cette interrogation dans le cas du DIF diplômant qui sert de cadre à la préparation des diplômes bancaires. Pour l essentiel, il est financé par l OPCA Banques qui détient toutes données utiles à son sujet 1. Mais le DIF diplômant ne représente qu une partie très minoritaire de l exercice du DIF. Pour la partie majoritaire, on n'a pas d'indices clairs sur les modalités d exercice et les formations effectivement suivies. Aussi la CPNE a-t-elle souhaité une étude par sondage sur le DIF non diplômant, parallèlement à une étude de même nature sur les périodes de professionnalisation. Dans les deux cas, la démarche a été confiée à l Observatoire des métiers de la banque. Pour mener à bien la mission sur le DIF non diplômant, l Observatoire a procédé à une enquête auprès des banques. On trouvera ici l analyse des résultats de cette enquête, selon le plan suivant : - les propriétés statistiques de l enquête, - le DIF non diplômant dans le cadre général du DIF, - les conditions d exercice du DIF non diplômant, - les formations au titre du DIF non diplômant. 1 Voir notamment le bilan annuel de l OPCA Banques

2 2 I. PROPRIETES STATISTIQUES DE L ENQUETE Toutes les banques du périmètre AFB ont été interrogées. Les banques qui ont répondu à l enquête représentent personnes, soit près des 4/5èmes de l effectif total AFB. Toutes les grandes banques (banques de plus de personnes) sont présentes. En revanche des banques importantes de la catégorie intermédiaire ( personnes) sont absentes de l échantillon. Les remarques qui seront faites par tailles de banques devront donc être prises avec précaution pour cette catégorie intermédiaire. Enfin, beaucoup de petites banques sont également absentes. Mais celles qui ont répondu, du fait de leur diversité, assurent une bonne représentation de leur catégorie. II. LE DIF NON DIPLOMANT DANS LE CADRE GENERAL DU DIF Le DIF sous toutes ses formes a concerné en 2008 pratiquement 10% de la population de l échantillon enquêté 2. 2% l ont exercé dans la cadre du «DIF diplômant», et 8% dans un cadre et pour des actions d une autre nature : 2008 Nombre d'heures consommées au titre du DIF Nombre de salariés ayant bénéficié d'une formation au titre du DIF Pourcentage de la population concernée 9,97% Nombre moyen d'heures de formation par salarié formé 31 Nombre d'heures consommées au titre du DIF non diplômant Nombre de salariés ayant bénéficié d'une formation au titre du DIF non diplômant Pourcentage de la population concernée 8,05% Nombre moyen d'heures de formation par salarié formé 20 2 Représentant, rappelons-le, 80% de la population bancaire.

3 3 La différence de durée annuelle entre les deux formes de DIF s explique par la nature des formations diplômantes, qui obligent à une capitalisation horaire élevée sur les exercices de préparation des diplômes. En ce qui concerne le DIF non diplômant, on relève, chez les établissements interrogés à ce sujet, des écarts limités autour de la moyenne de 20 heures. III. LES CONDITIONS D EXERCICE DU DIF NON DIPLOMANT On a cherché à cerner les conditions d exercice du DIF non diplômant à travers huit critères qui apparaissent significatifs au regard tant des objectifs du DIF que des dispositions prises dans l accord Formation. 48 % des établissements ayant répondu à l enquête affirment mettre à disposition des salariés une liste de formations «afin d aider le salarié dans son choix» La quasi totalité des établissements (99%) indiquent que le DIF non diplômant a été exercé «durant le temps de travail», chacune des deux années étudiées. Le taux de refus des actions demandées par les salariés est faible. De plus, il est divisé par deux entre 2007 et 2008, passant de 6 à 3%. Le DIF non diplômant est exercé en 2008 par un pourcentage d hommes et de femmes pratiquement similaire à leur représentation dans la population des banques répondantes : 44% d hommes (45% dans la population), 56% de femmes (55% dans la population). On note que les femmes sont très largement sur représentées dans les banques de moins 1000 personnes (70% de femmes, alors que ces banques comptent 55 % de femmes). La situation est beaucoup moins conforme à la structure de la population lorsqu on en vient à la représentation des catégories hiérarchiques : ce sont les cadres qui prédominent parmi les bénéficiaires d un DIF non diplômant (69%), avec une place donc très minoritaire pour les techniciens. Or la population totale des banques répondantes se compose de 47% de cadres et de 53% de techniciens. La marge entre représentation des cadres dans le DIF non diplômant et composition Cadres de la population est la plus forte chez les grands établissements (respectivement 61% et 43%). Mais la représentation des cadres est la plus élevée chez les établissements de taille intermédiaire (75% de cadres). Rappelons que la répartition entre catégories hiérarchiques se présente de manière inverse pour le DIF diplômant : celui-ci est utilisé aux 9/10èmes par des techniciens.

4 S agissant des catégories d âges, elles se présentent de la manière suivante : Structure par âges des salariés ayant bénéficié du DIF non diplômant (en % du total annuel) 2008 populat. totale des répond ts Moins de 30 ans ans ans Plus de 50 ans Total On voit que la structure par âges des bénéficiaires du DIF non diplômant n est pas radicalement différente de celle de la population totale des répondants. Toutefois, on relève une certaine sur représentation de la catégorie des ans, dont des études ont montré le besoin spécifique de formation 3. En revanche, les plus de 50 ans sont sensiblement sous représentés. On a cherché, enfin, à caractériser le profil de formation des bénéficiaires du DIF non diplômant. Le critère de la formation initiale a été retenu. Même s il est très imparfait, puisqu il ne tient pas compte des qualifications acquises par la formation continue, il présente l avantage de se prêter à un relevé exhaustif (formations à l entrée). Population Bancaire 2008 Formation initiale des salariés ayant bénéficié du DIF Niveau bac+1 ou inférieur Niveau bac+2/ou Niveau bac+4 et au dessus Total Voir étude de l Observatoire sur la génération des ans

5 5 Le tableau montre qu en 2008, la répartition de la population bancaire totale entre les trois niveaux de formation est à peu près équilibrée. S agissant des bénéficiaires du DIF non diplômant, ils sont relativement plus nombreux dans la catégorie à faible niveau de diplôme (42%, pour 38% dans le total) et dans la catégorie à haut niveau de diplôme (37%, pour 30% dans le total). Les niveaux intermédiaires de formation sont nettement sous représentées. La situation, pour cette catégorie, était déjà la même en Enfin, s agissant de la formation professionnelle, il n y a pas d indice exhaustif puisque tous les salariés concernés n ont pas de «trace diplômante» de cette formation. Certaines banques ont cependant dénombré les titulaires de diplômes professionnels. On postule que cet échantillon, bien que très limité, présente une certaine représentativité en raison de la nature des banques qui l ont fourni : Formation bancaires antérieures : - En nombre - BP BTS Licence de banque 0 0 ITB CESB 2 2 Autres formations bancaires 4 6 Ainsi, parmi les salariés exerçant leur DIF non diplômant et ayant antérieurement acquis un diplôme bancaire professionnel, plus de la moitié seraient des titulaires du BTS. IV. LES FORMATIONS DANS LE CADRE DU DIF NON DIPLOMANT Les résultats de l enquête sur la question des thèmes des formations font ressortir une focalisation des actions autour de trois thèmes principaux : - la formation directe à l exercice des fonctions professionnelles, avec, en tête, la formation aux techniques de vente, - l apprentissage des langues, - le développement personnel. Du moins cet ordre est-il observé en 2008, les langues occupant une place moindre en :

6 6 1. Apprentissage ou perfectionnement d'une langue étrangère Bureautique Informatique Autres formations dans le domaine professionnel bancaire : Préciser DONT : o vente o administratif (back office, secrétariat) 2 11 o risques 4 3 o produits financiers, produits de marché 2 1 o autre Développement personnel, efficacité professionnelle Perfectionnement des connaissances (mathématiques financières, économie, droit, ) 7. Actions à des fins professionnelles non bancaires (par ex. formation en vue d une reprise d entreprise) Autres thèmes 5 5 Total L observation par taille de banques fait ressortir des écarts par rapport à la répartition moyenne précédente : - chez les petites banques (moins de 1000 personnes), c est la formation aux langues étrangères qui est prédominante (60% des actions) ; - chez les banques de taille intermédiaire ( personnes), la formation aux langues étrangères arrive également en tête, mais les deux autres thèmes principaux (formation professionnelle directe et développement personnel) représentent, ensemble, la moitié des actions de formation ; - chez les grandes banques (plus de personnes), la part de la formation linguistique est faible (5% en moyenne sur 2 ans) ; en revanche 60% des actions de formation (en moyenne sur 2 ans) sont consacrées à la formation professionnelle directe ; le développement personnel ressort à 16%.

7 7 A l encontre de l attente qu on pouvait avoir à ce sujet, les TIC 4 représentées ici aux rubriques «bureautique» et «informatique» sont faiblement présentes, ne ressortant que pour un peu plus de 10%. Chez les grandes banques, elles représentent (en moyenne sur 2 ans) 8% des actions de formation. On a essayé d éclairer la rubrique «divers». Y figure de manière majoritaire le thème de «l intégration». On trouve encore le management, le secourisme et à titre absolument résiduel.l œnologie. On a enfin cherché à voir dans quelle mesure les actions menées au titre du DIF non diplômant se recoupaient avec des actions de formation à finalité spécifique, comme le bilan de compétence, la VAE, etc. Bien que «VAE», «bilan de compétence» ou «acquisition de diplômes hors du cadre de l OPCA» soient cités, ces rubriques figurent en nombre très restreint. En revanche, un croisement plus important semble exister : en 2008, près de 8% des actions menées au titre du DIF non diplômant entraient également dans le cadre des périodes de professionnalisation. 4 Technologies de l Information et de la Communication

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