Finanzführerschäin. Maison des jeunes Am Quartier

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Finanzführerschäin. Maison des jeunes Am Quartier"

Transcription

1 Finanzführerschäin Maison des jeunes Am Quartier 19 février 2015

2 Table des matières 1. Qu est-ce qu une transaction? Les notions de «bien» et «service» Qu est-ce qu une dépense? Les notions de besoins «primaires» et «secondaires» Les dépenses et les ressources d un étudiant Qu est-ce qu un revenu? L argent de poche, revenu des enfants Qu est-ce qu un compte bancaire? Quels sont les principaux moyens de paiement? La monnaie d un pays à l autre. Les notions de «devises» et de «taux de change» Les dangers du GSM Epargner de l argent? Les notions de «budget familial» et de «compte» Etablir un budget La notion d épargne La notion d'emprunt et de dette Calculer un crédit L achat d une voiture Les droits élémentaires du consommateur La notion de concurrence Le droit de rétractation du consommateur Le délai de paiement Le contrat de travail Le contrat de location (de bail) Le contrat d assurance Le risque de pauvreté Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 2

3 1. Qu est-ce qu une transaction? Les notions de «bien» et «service» Une transaction est une opération commerciale. Celle-ci consiste à acheter (ou vendre) des «biens» ou des «services». Un «bien» représente un objet réel : un croissant, un hamburger, un soda, un livre, un dvd, une console de jeu, un maillot de sport, une télévision, une maison, etc. Vous allez chez le boulanger et vous repartez avec un délicieux croissant. Le croissant est bien réel, vous pouvez le toucher, le sentir et bien évidemment le manger. Un «service» est une prestation ou un travail utile à l usager (l acheteur) : une aide à domicile, un professeur pour des cours particuliers, une consultation chez le médecin, un massage dans un salon de soin, une réparation chez le garagiste, etc. L exemple du garagiste est intéressant. Exemple : le phare de votre voiture ne fonctionne plus. Vous allez chez le garagiste. Il confirme qu il faut changer l ampoule. S agit-il de l achat d un service ou d un bien? En fait il s agit des deux. Le garagiste effectue cette réparation, il s agit de l achat d un service. Mais pour effectuer ce travail le garagiste a besoin d une ampoule, qu il va vous facturer. L ampoule est bien réelle, donc il s agit de l achat d un bien. 2. Qu est-ce qu une dépense? Les notions de besoins «primaires» et «secondaires» Une dépense est la somme d argent dépensée pour acheter des biens ou des services. Il existe différentes formes de dépenses : les dépenses individuelles (vêtements, alimentation, loyer, etc.), les dépenses publiques (rénovation des routes, paiement des fonctionnaires, la construction du tram, etc.), les dépenses militaires (paiement soldats, achat d armes, etc.), etc. Les dépenses individuelles répondent aux besoins d une personne ou d un ménage (d une famille). Un besoin est un sentiment qu une personne cherche à satisfaire par la consommation (l achat) d un bien ou service. Il existe deux types de besoins : les besoins «primaires» et «secondaires». Les besoins «primaires» se référant aux éléments physiologiques indispensables à la survie : se loger, respirer, manger, se protéger du froid et de la chaleur, se défendre contre les agressions, etc. Quelques besoins primaires sont satisfaits par la nature, notamment celui de respirer, mais la majorité d entre eux ne le sont pas et nécessitent la production de biens par l homme. Les besoins «secondaires» sont destinés à satisfaire un bien être supplémentaire, des nécessités non vitales : équipement, culture, vêtements à la mode, téléphone portable, etc. Il faut distinguer les besoins qui correspondent à des nécessités (à des biens ou services plus ou moins nécessaires) des désirs qui sont souvent générés par des facteurs externes (publicité, comparaison avec le voisin,.) Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 3

4 3. Les dépenses et les ressources d un étudiant Ayant des ressources limitées, un étudiant a grand intérêt à établir un budget précis et à adapter ses dépenses en fonction de ses ressources. Le logement : il représente la plus grosse part du budget d'un étudiant (45 à 50%). Le loyer d'un studio ou d'un petit appartement, les charges (électricité, gaz, chauffage...), la taxe d'habitation, mais aussi l'assurance sont des dépenses incontournables. Pour en faciliter la gestion, les paiements par prélèvements automatiques mensuels sont très pratiques. Pensez à toutes les possibilités : foyers de jeunes travailleurs, chambre de bonne, HLM, ou résidence privée pour étudiants mais aussi colocation. Les études : droits universitaires ou frais de scolarité, sécurité sociale, éventuellement mutuelle, inscription à la bibliothèque, fournitures, livres, ordinateur... la liste des dépenses est longue. Les transports : à défaut de transports en commun ou à moins de préférer le vélo..., on peut acheter un scooter ou une petite voiture d'occasion. Pour financer cet achat, l'épargne disponible (livret Jeune par exemple) peut être utilisée seule ou complétée par un crédit. Attention à tenir compte des frais d'entretien et de fonctionnement : l'assurance, l'immatriculation, le carburant... Pour faire face à toutes ces dépenses et toutes ces charges, notamment pour le logement, diverses ressources peuvent se cumuler : bourse d'études, crédit étudiant, petits boulots, aide des parents. Leur cautionnement est très souvent demandé par les bailleurs et par les banques en cas de crédit. Le budget doit être vérifié régulièrement, voire ajusté si besoin ; le relevé de compte bancaire envoyé chaque mois ou téléchargeable sur Internet est très utile pour pointer toutes les opérations. Il faut distinguer les charges fixes (logement, remboursement de crédit,...) incompressibles, des dépenses courantes (alimentation, transports...) et des dépenses occasionnelles (sport, cadeaux, vacances...) qu'on peut limiter voire supprimer. Avant cela, en cas de difficultés, il convient d'abord d'essayer de faire des économies, de comparer les prix, profiter des soldes et repérer les promotions Qu est-ce qu un revenu? Différents types de revenus existent. Il existe ainsi les revenus du travail, les revenus dits «hors travail» comprenant les transferts sociaux (prestations sociales, aides sociales, pensions de retraite et d invalidité, etc.) et les revenus du patrimoine (immobilier, familial ou personnel), les revenus sur placement et sur investissement, revenus commerciaux,?. Une personne qui travaille tire l essentiel de ses revenus de son activité professionnelle et un retraité de sa pension. Les revenus du travail sont considérés comme des «revenus primaires». La grande Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 4

5 majorité des revenus primaires des ménages est composée des salaires perçus. Ils peuvent être issus d une activité régulière ou non, salariée ou indépendante (profession libérale, artisan, commerçant ). Si les revenus de travail constituent la part la plus importante des ressources habituelles des ménages, il existe également ce que l on nomme les revenus «hors travail». Ils sont composés des prestations sociales et des revenus du patrimoine. Les revenus sociaux sont perçus par les ménages en fonction de droits que la collectivité leur accorde. Il s agit de redistribuer des richesses des plus aisés vers les personnes les plus précaires. La redistribution est un système par lequel les revenus du travail subissent des prélèvements obligatoires réaffectés ensuite sous la forme de transferts sociaux et d accès gratuit à des biens collectifs. Les pensions perçues par les retraités et les personnes en invalidité sont des prestations sociales à caractère particulier. Il s agit de revenus de remplacement qui compensent une fin d activité (retraite) ou une perte de capacité de travail ou de gain due à la maladie ou à un accident non professionnel (invalidité). Les allocations familiales font également partie des prestations sociales Les revenus du patrimoine (actifs financiers et immobiliers) sont nettement moins bien connus que ceux du travail. Ces revenus du patrimoine croissent avec l âge et avec le revenu total perçu. Ils sont particulièrement concentrés auprès des personnes fortunées. Les inégalités de répartition du patrimoine sont beaucoup plus fortes que celles des revenus. Les héritages sont souvent plus élevés au sein des familles disposant de hauts revenus. Les revenus plus élevés génèrent aussi une plus forte capacité d épargne, donc une plus forte accumulation patrimoniale. Le revenu disponible par ménage ne mesure pas le niveau de vie des individus. Cela dépend du nombre de personnes qui composent ce ménage. Il faut cependant tenir compte du fait que les dépenses ne sont pas proportionnelles au nombre de personnes. Revenu équivalent moyen selon la composition du ménage, Luxembourg Source CSL Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 5

6 5. L argent de poche, revenu des enfants. Un dernier «revenu» est à mentionner: l argent de poche. Pour être précis il s agit d une partie du revenu du ménage, accordé par les parents aux enfants. L'argent de poche est une somme d'argent de faible montant que certains parents versent, généralement en espèces, à leur enfant dont ils ont encore la charge, afin qu'il puisse pourvoir à des besoins (non) essentiels et des désirs qui ne sont pas déjà assumés par le ménage. Il peut être versée de manière régulière (par exemple toutes les semaines ou tous les mois) ou pour une occasion particulière (anniversaire, fêtes). Certains parents ne versent de l'argent de poche à leur enfant qu'à condition qu'il ait accompli une tâche ménagère ou ait de bons résultats scolaires, afin de lui inculquer la notion de travail rémunéré et ce qu'ils jugent être le sens des responsabilités. Les parents peuvent également considérer l'argent de poche comme un moyen d'enseigner à leur enfant la gestion autonome d'un budget. Combien donner d argent de poche? Tout dépend de l'âge de l enfant, de sa maturité et du budget de la famille. Jusqu'à 6 ans, et à partir du moment où l'enfant en fait la demande, une petite somme symbolique fait très bien l'affaire. L'enfant est toujours content de recevoir une petite pièce une ou deux fois par mois. A partir de 7 ans, l enfant commence à bien savoir compter. Il est donc possible de lui donner quelques euros par mois. Il est essentiel de réfléchir avec lui sur l'utilisation qu'il peut faire de son argent de poche et de lui donner des conseils tout en le laissant dépenser seul son argent. Cela fait partie de son apprentissage. Avec un adolescent, il est possible de lui demander de préparer un mini-budget et d'établir la liste de ses besoins et envies en tenant compte des dépenses «utilitaires» (carte de transport, vêtements, repas du midi, etc.) qu'il doit assumer. Après prise en compte de ses autres sources de revenus, il est possible de se mettre d'accord sur une somme d'argent mensuelle conforme à ce qui est jugé comme juste. 6. Qu est-ce qu un compte bancaire? Le compte bancaire, aussi appelé «compte de dépôt», «compte courant» ou «compte à vue», est un compte personnel ouvert dans une banque. C est un moyen très sûr de conserver son argent. Il permet de déposer de l argent et de le retirer grâce aux moyens de paiement qui sont délivrés (carte de paiement, carte de crédit). Un compte bancaire ordinaire est utilisé pour gérer quotidiennement son argent. La tenue d un compte dans les livres d une banque est un service commercial. Comme tous les services, il a un coût et il est généralement payant. Nul ne peut vivre aujourd hui sans un compte bancaire. Il est l outil de base de la relation bancaire. Chaque fois qu une somme est versée sur un compte, le compte est «crédité». C est le cas p.ex. quand on reçoit le salaire, la pension de retraite, les allocations familiales. A l inverse, un compte est «débité» lors de dépenses ou de retrait d argent sur le compte. Au besoin, un bilan des sommes inscrites au crédit et au débit est calculé. Le résultat de ce bilan est «le solde» du compte. Si le crédit est supérieur au débit, le solde du compte est «créditeur». Dans le cas contraire, il est «débiteur». Le solde doit en principe être toujours créditeur, sauf en cas d autorisation de découvert accordée par la banque. Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 6

7 Le compte permet de conserver son argent en toute sécurité et d effectuer facilement des paiements à distance. L ouverture d un compte est, en principe, assez facile. Le client doit au minimum fournir au banquier une pièce d identité valide, portant sa photo et sa signature, ainsi qu un justificatif de domicile et prévoir une somme à déposer. La fermeture d un compte est gratuite pour un compte dont l ouverture date de plus de douze mois. Pour le transfert du compte, les banques doivent fournir gratuitement un «guide de la mobilité». Le relevé de compte retrace toutes les opérations passées au débit et au crédit du compte au cours d une période. Le suivi du compte bancaire est essentiel pour tenir son budget. D où l intérêt de lire régulièrement ses relevés de compte. Un compte joint est un compte ouvert au nom de plusieurs cotitulaires, avec ou sans lien de parenté. Le compte joint fonctionne sur un principe de solidarité entre les utilisateurs du compte. Chacun peut utiliser les fonds disponibles sur le compte joint. En cas de solde négatif au compte joint, chacun des cotitulaires est considéré comme débiteur. Un livret épargne est un compte d'épargne particulier ouvert auprès d'une banque pour lequel tous les dépôts d'argent sont rémunérés selon un taux fixé soit par l État, soit par la banque elle-même. Les raisons pour l épargne sont multiples : mettre de l argent de côté pour faire face aux imprévus ; constituer un patrimoine pour l avenir ; épargner en vue de l achat d un bien durable, de la réalisation d un autre projet de consommation (voyage) ou d un investissement immobilier ; etc. 7. Quels sont les principaux moyens de paiement? Les billets et pièces en euros (dans l Union monétaire européenne) sont le seul moyen de paiement doté du «cours légal» : la loi oblige à accepter les billets et les pièces en paiement d une somme déterminée. C est le seul moyen de paiement qu on ne peut pas refuser. Inversement, un règlement effectué au moyen de tout autre instrument de paiement peut être refusé. La carte bancaire est l un des moyens de paiement les plus utilisés. Il existe différentes cartes bancaires. Les cartes de débit (cartes V PAY) permettent facilement de retirer de l argent et de réaliser des paiements chez les commerçants, que ce soit au Luxembourg ou dans le reste de l Europe. L argent est directement retiré sur le compte bancaire. Les cartes de crédit (VISA et MasterCard) sont utilisables partout dans le monde. Elles permettent de cumuler pendant 30 jours toutes les dépenses. Chaque carte comprend un plafond de paiement mensuel. Il y a quelques règles de sécurité à respecter lors de l utilisation d une carte bancaire : Conserver toujours la carte sur soi Définir un code secret complexe mais facile à retenir Noter nulle part le code et ne le communiquer à personne Toujours encoder le code à l abri des regards indiscrets Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 7

8 En cas de perte ou de vol il est impératif de contacter un numéro de téléphone fourni par la banque qui a émis la carte. Ensuite il est nécessaire de contacter son agence habituelle pour obtenir une nouvelle carte. A partir de l âge de 12 ans il est possible d obtenir un compte «courant»et une carte de débit. Cette carte permet de payer les achats faits au Luxembourg comme dans tous les pays utilisant V PAY, de retirer de l argent à tous les distributeurs automatiques de billets (bancomat) au Luxembourg et des pays utilisant V PAY. Pour effectuer des achats sur le Web, la carte bancaire classique suffit le plus souvent, mais présente des risques. Les banques proposent d utiliser une e-card (le nom peut changer d une banque à l autre). La e-card est une carte virtuelle avec une ligne de crédit limitée, ceci permet d effectuer des achats sur Internet avec un maximum de sécurité. En cas d'interception du numéro de carte, il est impossible de l'utiliser dans un magasin traditionnel ou un distributeur de billets. La sécurité est accrue pour les paiements sur Internet à travers la limite réduite de la ligne de crédit. Arnaques et fraudes en ligne se multiplient quand il s'agit d'acheter sur internet. Certains indices doivent pourtant vous mettre la puce à l oreille. Pour éviter de se faire avoir il est nécessaire de se renseigner au maximum sur la fiabilité du site marchand en ligne avant de tomber dans le panneau et de se faire arnaquer. Quelques conseils pour éviter la fraude sur internet : Se méfier des prix trop bas. Jeter un coup d œil aux mentions légales du site (Nom et forme juridique de l entreprise, adresse postale, numéro de téléphone, adresse ). Essayer d appeler le service client. Ne pas confondre virement bancaire et prélèvement. Le virement bancaire, c est le meilleur moyen d arnaquer sur internet, vite fait bien fait. Le virement ne peut pas être annulé et on perd alors l argent transféré. Les sites sérieux proposent le paiement en ligne par prélèvement, où l on doit donner via un espace sécurisé ses codes de carte bancaire. Lire les avis et commentaires sur les forums. PayPal est un service de paiement en ligne qui permet de payer des achats, de recevoir des paiements, ou d envoyer et de recevoir de l argent. Pour bénéficier de ces services, une personne doit transmettre diverses coordonnées financières à PayPal, telles que le numéro de carte de crédit, transmission qui peut se faire par voie postale. Par la suite, les transactions sont effectuées sans avoir à communiquer de coordonnées financières, une adresse de courrier électronique et un mot de passe étant suffisants. Il n est pas nécessaire d alimenter son compte PayPal à l avance. La source d approvisionnement choisie (carte de paiement ou compte bancaire) est automatiquement débitée au moment de la transaction. Le virement est un moyen de paiement totalement sécurisé, qui permet au bénéficiaire de recevoir l argent directement sur son compte. L émetteur (le payeur) donne par écrit (ou par Internet) l ordre à son banquier de verser le montant de son choix au crédit du compte du bénéficiaire, dont il doit fournir les coordonnées bancaires. Le virement peut être ponctuel, mais il est souvent utilisé pour les Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 8

9 paiements réguliers à un particulier. Le virement permanent est idéal pour le paiement des loyers, des pensions alimentaires, etc. 8. La monnaie d un pays à l autre. Les notions de «devises» et de «taux de change» Chaque pays a une monnaie officielle sur son territoire. Le Luxembourg utilise l euro ( ). Or le Luxembourg n est pas le seul pays à utiliser l euro. Tous les pays membres de l Union monétaire européenne l utilisent. Un Luxembourgeois peut partir en vacances en France ou en Espagne sans avoir besoin de changer de monnaie. Malheureusement cela n est pas toujours aussi facile. Il est question de «devise» pour nous, si un pays utilise une monnaie différente de l euro. Une devise est une unité monétaire acceptée par un pays étranger. Voici différents exemples de devises étrangères : le dollar ($ ; devise américaine), la livre sterling ou pound ( : devise du Royaume-Uni), le yen ( : devise du Japon), le yuan (Ұ: devise chinoise) et le rouble (руб : devise russe). Pour des raisons pratiques, une devise a souvent des subdivisions, légales ou traditionnelles : 1/1000 (les millimes du dinar tunisien), 1/100 (les euros cents de l Euro), 1/20, 1/10, 1/8, 1/4 (le quarter américain) Donc avant de partir en voyage il est nécessaire de changer son argent dans une autre devise. Pour cela le «taux de change» est utilisé. Le taux de change d'une devise est le cours (autrement dit le prix) de cette devise par rapport à une autre (la même logique que celle utilisée dans l exemple du mur et de la viande). Ce taux peut varier d un jour à l autre, il n est pas fixe. Exemple : La personne précédente a réussi à épargner les euros nécessaires pour son voyage. Dans une agence, elle réserve son voyage, p.ex. aux Etats-Unis. Son budget s élève à 400 euros d argent de poche. Or, l euro n est pas accepté aux Etats-Unis, elle est donc obligé de les changer en dollars dans une banque. Le taux de change euro/dollar est de 1,37 (1 euro = 1.37 dollar). Au final il obtient 548 dollars. 9. Les dangers du GSM Avoir un téléphone mobile est quelque chose d intéressant. Il sert à écouter de la musique, à prendre des photos, à envoyer des SMS/MMS, à surfer sur Internet, à aller sur les réseaux sociaux (facebook, twitter, etc.) et surtout à téléphoner. Mais avant tout il faut bien choisir son téléphone et son opérateur (Orange, Tango, Luxgsm, etc.). Il est possible de souscrire un contrat à partir de l âge de 12 ans avec la signature de ses parents. Il est important de bien comparer les offres des différents opérateurs que ce soit pour les abonnements ou les cartes prépayées. Attention : une carte prépayée peut coûter à long terme plus chère qu un abonnement. Afin de bien mesurer le coût d une carte prépayée il est conseillé de calculer les futurs frais pour les deux prochaines années. Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 9

10 Des frais supplémentaires sont possibles lorsqu on télécharge des applications, de la musique ou d autres contenus. Il faut aussi faire attention aux numéros surtaxés. Une discussion peut coûter très chère : 3 euros la minute ou 30 euros la conversation. Il faut aussi se méfier des jeux en ligne ou applications smartphone soi-disant gratuits (free to play) qui peuvent engendrer d énormes frais supplémentaires simplement en cliquant sur le bouton validé (frais généralement ajouté à la facture téléphonique) ou en entrant un numéro de carte de crédit. Le «free to play» (F2P) a été d'abord utilisé pour définir des jeux en ligne qui permettaient de jouer gratuitement, contrairement aux jeux «Pay to play» (P2P) à savoir les jeux qui vous demandaient de souscrire un abonnement pour pouvoir y jouer ou les jeux qui ne vous demandaient que l'achat du soft en lui-même. Bien sûr, la production de ces jeux F2P n'est pas gratuite, de plus, les serveurs qui hébergent leurs données doivent aussi être payés. Il faut donc bien que l'argent rentre dans les caisses des boites qui les produisent et pour ce faire, il existe plusieurs outils dont voici les plus utilisés : L'Item Mall : une boutique d'objets virtuels vendus contre de l'argent réel. C'est ce qu'on associe le plus souvent aux F2P. Le Freemium : généralement un abonnement qui donne accès à un pack de service améliorant l'expérience de jeu. La publicité : intégration de pub en jeu, l'affiliation (si le joueur achète sur un site partenaire, il est récompensé dans le jeu), etc. Il est aussi important de bien se renseigner sur son forfait Internet et faire attention au «roaming». Le roaming permet de téléphoner, d être joint et surfer sur internet à l étranger. Des frais importants sont liés à l utilisation de ce service. Avant de composer un SMS ou un numéro sur votre mobile, la prudence s'impose. Les cybercriminels emploient des méthodes de plus en plus fines et trompeuses pour vous voler de l'argent. Un exemple est la réception du SMS vous informant que vous avez un message, une photo, une vidéo en attente. Tout commence par un SMS, qui semble envoyé par votre opérateur télécom. Ce dernier vous indique qu'un interlocuteur n'ayant pu vous joindre vous a laissé un message vocal, ou que votre smartphone n'a pas réussi à ouvrir un MMS vidéo ou photo. Il vous est demandé de rappeler le «service de stockage», en composant un numéro ou en envoyant un SMS. Attention : derrière ce message peut se cacher une publicité non sollicitée. Vous pouvez vous retrouver connecté à une ligne surtaxée. Dans certains cas, vous vous retrouvez abonné d'office à des mini services (jeux, horoscope, etc.)... qui peuvent vous coûter un maximum d'euros semaine après semaine. 10. Epargner de l argent? Les notions de «budget familial» et de «compte» Pour toute personne qui vit seule ou en famille, il est important d établir un budget familial. Ce budget recense toutes les ressources (entrée d argent : argent de poche, salaire, allocations, etc.) et dépenses du ménage et permet d établir des priorités et les hiérarchiser. Il s agit d un outil pour gérer, contrôler, ajuster et prévoir l avenir. Il permet de connaître sa situation financière actuelle, d éviter les mauvaises surprises et de connaître sa capacité d épargne. Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 10

11 Il faut donc tenir ses «comptes», c.-à-d. relever ses entrées, ses dépenses et l argent restant à la fin du mois. Les banques adressent un relevé de compte bancaire tous les mois. Ce document résume les transactions sur votre compte bancaire : le crédit (toutes les sommes qui arrivent sur votre compte), le débit (toutes les sommes retirées sur votre compte) et le solde (crédit débit = solde). Ce solde peut être positif/créditeur (il vous reste de l argent) ou négatif/débiteur (vous avez dépensé trop d argent ; il faut le rembourser à la banque). Une fois les comptes faits, il est possible de vérifier si une personne est capable d épargner de l argent. Une personne qui gagne euros par mois et n en dépense que euros peut épargner 200 euros par mois. Il s agit de sa capacité d épargne. Voici un exemple : le tableau ci-dessous reprend les entrées et sorties d argent d une personne par mois. Cette personne aimerait effectuer un voyage. Le coût de ce voyage est estimé à euros. Combien de mois est-ce que cette personne doit épargner pour pouvoir financer ce voyage? Crédit Débit Salaire (net) 2500,00 Loyer 1050,00 Electricité 35,00 Eau 20,00 Téléphone 65,00 Télé/Internet 55,00 Assurance(s) 150,00 Nourriture 500,00 Essence 200,00 Abonnement bus 25,00 Total 2500, ,00 Solde 400,00 Cette personne a une capacité d épargne de 400 euros par mois, ce qui signifie qu elle doit épargner 6 mois pour pouvoir financer son voyage estimé à euros. 11. Etablir un budget Etablir un budget a plusieurs utilités. Cet exercice permet de mieux connaître l état de ses revenus et de ses dépenses, de maîtriser ses dépenses, de mieux utiliser ses ressources et de voir si des économies sont possibles sur différents postes de dépenses. Il existe différents outils pour réussir l établissement de son budget. Le tableau ci-dessous en fait partie et provient du site : Revenus Montant Fréquence A - T - B - M - H* Montant Annuel Montant Mensuel Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 11

12 Salaire et autres revenus - - Pensions (retraite, alimentaires, invalidité) - - Allocations sociales - - Revenus du capital (Loyers, intérêts ) - - Autres - - Dépenses Total revenus - - Montant Fréquence A - T - B - M - H* - Montant Annuel Montant Mensuel Logement - - Loyer ou remboursement prêt - - Charges communes - - Assurance logement - - Electricité - - Gaz - - Chauffage - - Eau - - Travaux, entretien - - Résidence secondaire - - Loyer ou remboursement prêt - - Assurance logement - - Electricité - - Gaz - - Chauffage - - Eau - - Travaux, entretien - - Transports - - Voiture, moto (achat ou remboursement prêt) - - Assurance - - Essence - - Péage, stationnement, contraventions - - Entretien, réparation, contrôle technique - - Transport en commun - - Alimentation - - Alimentation - - Restaurant d'entreprise - - Hygiène courante - - Tabac, alcool - - Habillement - - Vêtements - - Chaussures - - Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 12

13 Enfant - - Vêtements - - Sport - - Rentrée scolaire - - Frais de scolarité (y compris assurance) - - Frais de garde - - Cantine scolaire - - Leurs vacances - - Jouets, cadeaux - - Argent de poche - - Impôts - pensions - - Sur les revenus - - Pension alimentaire - - Locaux et redevances TV - - Foncier - - Communication culture et loisirs - - Téléphone fixe - - Téléphone mobile - - Internet - - Cable et satellite - - Journaux et revues - - Vidéo, CD, livres - - Cinéma, restaurant - - Sport - - Vacances - - Fêtes, événements familiaux, cadeaux - - Animaux (alimentation, santé, hygiène ) - - Ameublement et équipements - - Gros appareils électroménagers - - Meubles - - Petits équipements - - Santé - - Mutuelles et complémentaires - - Dépenses santé non remboursées - - Services financiers Crédit-Epargne - - Carte bancaire, agios, frais gestion comptes - - Rembrousement autres crédits - - Epargne (CEL, PEL ) - - Total dépenses - - Solde. (total revenus - total - - Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 13

14 dépenses). * A = Annuelle - T = Trimestrielle - B = Bimestrielle (2mois) - M = Mensuelle - H = Hebdomadaire 12. La notion d épargne L épargne est la part du revenu qui n est pas affectée à la consommation. C est souvent une action voulue, un renoncement à consommer pour réaliser des objectifs futurs, par exemple pour partir en vacances, acheter une voiture ou un appartement. L épargne varie forcément avec le niveau de revenu. Plus le revenu disponible est élevé, plus la part consacrée à l épargne peut être importante. Un revenu disponible faible ne permet pas de consacrer une part substantielle de celui-ci à la constitution d une épargne. Une première façon d épargner consiste à conserver son argent sur son compte courant. L argent reste «liquide», c est-à-dire utilisable à tout moment. L inconvénient est qu il ne rapporte rien. Il vaut mieux le placer pour qu il rapporte. L argent placé sur un compte d épargne est un peu moins liquide que l argent déposé sur un compte courant : on ne règle pas un commerçant en tirant directement sur son compte d épargne. Le taux d intérêt est assez bas actuellement, environ 0,6% pour un compte d épargne normal, càd. 6 sur placés sur un an. Une autre manière de placer de l argent est de devenir propriétaire par exemple propriétaire immobilier ou propriétaire d une partie d une société (achat d actions). La rémunération de cette épargne proviendra alors d une part d un loyer et d autre part d une augmentation éventuelle du prix de ce bien en cas de vente. L achat d actions est rémunéré par un dividende annuel (une participation aux bénéfices distribuables de la société). Attention, le prix des actions (leur gain ou perte en valeur) est fonction de l offre et de la demande sur les marché des actions. Les actions sont achetées et vendues en bourse. Lorsqu on prête de l argent, le risque pris est celui de ne pas être remboursé. Ce risque est faible pour l argent placé sur un livret bancaire. Le risque peut être plus élevé pour l argent prêté à une entreprise. De ce fait la rémunération réclamée (taux d intérêt) sera plus élevée. Il s agit d une «prime de risque». Pour l argent placé en actions le montant des dividendes n est pas fixé par avance. Il n est pas garanti et dépend de la réussite économique de l entreprise. D autre part, le prix des actions et de tout autre actif n est pas toujours orienté à la hausse. Plus risquée, la rémunération des placements boursiers ou des investissements immobiliers tend aussi à être, en moyenne, sur une longue période, plus élevée que celle des placements sur un livret. Il n existe pas de placement idéal. Si un placement est sûr et liquide, il ne rapportera pas beaucoup. S il est risqué, il peut rapporter plus, mais le risque de pertes est accru. Il faut choisir entre sécurité et rentabilité. Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 14

15 13. La notion d'emprunt et de dette De nombreux ménages ont un ou plusieurs crédits en cours de remboursement. Dans la majorité des cas, il s agit de prêts à long terme destinés à l acquisition d un bien immobilier. De nombreux ménages ont également recours au crédit pour réaliser des projets à court terme : travaux, achat de biens d équipement, voyage, et même parfois pour boucler leurs fins de mois. Les banques fixent librement le taux d intérêt des crédits qu elles accordent à leur clientèle. Le taux d intérêt nominal, ou taux débiteur, d un prêt est celui qui est annoncé au départ. Il est généralement exprimé sous la forme d un taux annuel : 5,0% par exemple. Il peut être fixe, c est-àdire une fois pour toutes lors de la signature du prêt, ou variable, auquel cas il évoluera pendant la durée de remboursement en fonction d un indice de référence mentionné au contrat. La durée d un crédit correspond à la période pendant laquelle il est remboursé. Plus elle est longue, plus les mensualités de remboursement seront faibles et plus le coût du crédit sera élevé. C est logique, dans la mesure où les intérêts sont calculés à chaque échéance sur le capital restant dû. Dans la mesure du possible, il est conseillé au moment de contracter un crédit au financement d un bien d équipement de veiller que sa durée ne soit pas supérieure à celle pendant laquelle on utilise le bien. Les crédits à la consommation sont destinés au financement des besoins de la vie courante. Avant d accorder un crédit, l établissement financier doit remettre, par écrit, une fiche d information qui décrit les caractéristiques du prêt sollicité (type du prêt, montant, durée de remboursement, etc.). La banque doit aussi vérifier la solvabilité de l emprunteur, c est-à-dire sa capacité à rembourser le prêt envisagé. Les informations déclarées engagent l emprunteur. L établissement créditeur peut à tout moment suspendre, en totalité ou en partie, l utilisation du crédit. Malgré cette suspension, les intérêts, commissions et frais continueront à courir sur la partie utilisée du crédit. Une fois l offre accepté, l emprunteur dispose d un délai pendant lequel il peut revenir sur sa décision, sans avoir à se justifier ni verser d indemnité. Il s agit du délai de rétractation. Il est de 14 jours calendaires. Il est possible de rembourser un crédit par anticipation sans se justifier (si cela est prévu dans le contrat ; contacter son banquier). Ce remboursement anticipé peut porter sur la totalité du capital restant dû ou sur une partie seulement. Un remboursement partiel peut permettre soit d alléger le montant des mensualités, soit de réduire la durée du remboursement restant à couvrir. 14. Calculer un crédit Le calcul du coût d un crédit se compose de plusieurs équations mathématiques assez complexes. Pour les personnes qui ne sont pas à l'aise avec les calculs, il existe sur Internet plusieurs simulateurs de crédit ainsi que des calculateurs de tableaux d'amortissement. Afin de bien mesurer tous les éléments avant de souscrire un crédit il est important de calculer un échéancier de prêt (tableau d amortissement). Ci-dessous un exemple pour un emprunt de euros sur une durée de 5 ans avec un taux d intérêts de 5% : Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 15

16 Echéance Intérêts Amortissement CRD fin de période Assurance 1 41,67 147, ,95 0,00 188, ,05 147, ,30 0,00 188, ,44 148, ,02 0,00 188, ,82 148, ,13 0,00 188, ,20 149, ,62 0,00 188, ,58 150, ,48 0,00 188, ,95 150, ,72 0,00 188, ,32 151, ,34 0,00 188, ,69 152, ,32 0,00 188, ,06 152, ,66 0,00 188, ,42 153, ,37 0,00 188, ,78 153, ,45 0,00 188, ,14 154, ,88 0,00 188, ,50 155, ,67 0,00 188, ,85 155, ,81 0,00 188, ,20 156, ,30 0,00 188, ,55 157, ,14 0,00 188, ,90 157, ,32 0,00 188, ,24 158, ,85 0,00 188, ,58 159, ,71 0,00 188, ,92 159, ,92 0,00 188, ,25 160, ,45 0,00 188, ,58 161, ,32 0,00 188, ,91 161, ,52 0,00 188, ,24 162, ,04 0,00 188, ,56 163, ,89 0,00 188, ,88 163, ,06 0,00 188, ,20 164, ,54 0,00 188, ,51 165, ,34 0,00 188, ,82 165, ,45 0,00 188, ,13 166, ,87 0,00 188, ,44 167, ,59 0,00 188, ,74 167, ,62 0,00 188, ,04 168, ,95 0,00 188, ,34 169, ,57 0,00 188, ,63 170, ,49 0,00 188, ,92 170, ,70 0,00 188, ,21 171, ,20 0,00 188, ,50 172, ,98 0,00 188, ,78 172, ,05 0,00 188, ,06 173, ,40 0,00 188, ,33 174, ,02 0,00 188, ,61 175, ,92 0,00 188, ,88 175, ,08 0,00 188, ,15 176, ,52 0,00 188,71 Mensualité (assurance comprise) Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 16

17 46 11,41 177, ,21 0,00 188, ,67 178, ,17 0,00 188, ,93 178, ,39 0,00 188, ,18 179, ,86 0,00 188, ,44 180, ,59 0,00 188, ,69 181, ,56 0,00 188, ,93 181, ,78 0,00 188, ,17 182, ,24 0,00 188, ,41 183, ,94 0,00 188, ,65 184,06 931,88 0,00 188, ,88 184,83 747,05 0,00 188, ,11 185,60 561,45 0,00 188, ,34 186,37 375,08 0,00 188, ,56 187,15 187,93 0,00 188, ,78 187,93 0,00 0,00 188,71 Cumul 1 322, ,00 0, ,74 La personne ayant contracté ce crédit devra rembourser un total de ,74 euros, soit 1.322,74 euros intérêts. EXERCICES COLLECTIFS 1. Allez sur un site pour calculer un échéancier. Une personne souhaite emprunter euros sur une durée de 7 ans avec un taux d intérêts de 4% (sans assurance). A combien s élève les mensualités et le coût du crédit? 15. L achat d une voiture Le coût d'un véhicule ne se limite pas, hélas, à son acquisition : l'utiliser entraîne aussi des frais. Le coût exact d une voiture dépend naturellement du type de véhicule, de sa durée de vie, du style de conduite et de la consommation, etc. Taxes : La seule taxe perçue au Luxembourg dans le domaine automobile est la taxe de circulation. Cette taxe est perçue par l'administration des Douanes et Accises. Le paiement est constaté au moyen d'une vignette. Il n'y a pas d'obligation de faire figurer la vignette sur le pare-brise. En revanche, elle doit être immédiatement présentée lors d'un contrôle de police ou de douane. Assurance : Une assurance responsabilité civile doit être contractée au minimum. Les primes varient énormément en fonction de l assureur, du véhicule et du degré de bonus/malus. Amortissement : Les voitures neuves perdent chaque année une part de leur valeur de revente. Cette perte est estimée à 10 % par an. En réalité, la perte de valeur est généralement un peu plus élevée les premières années, mais ralentit avec le temps. Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 17

18 Dépréciation : Non seulement l âge, mais aussi les kilomètres parcourus ont une influence sur la valeur de votre voiture. Cette perte de valeur est estimée à 2 % du prix du véhicule neuf pour kilomètres. Carburant : Les vieilles voitures, notamment à grosse cylindrée, s avèrent parfois être de vrais gouffres à essence. En raison des fortes variations de prix, ce poste du budget est en outre difficile à calculer à l avance. Entretien et réparations : Les coûts d entretien constituent également un poste important. Plus le véhicule est grand et cher, plus l entretien sera coûteux. Au pire, il faudra encore ajouter des réparations inattendues suite à des pannes ou accidents, des frais qui peuvent vite se chiffrer à plusieurs milliers d euros. Pneus : Les pneus doivent être remplacés au minimum tous les km. Outre le coût d achat, il faut également calculer des frais de changement et d entreposage. Au Luxembourg les pneus hivers sont obligatoires dans des conditions hivernales. EXERCICES COLLECTIFS 1. Une personne vient d acheter une voiture neuve à euros. Quelle est sa valeur après 5 ans et km de parcouru? 16. Les droits élémentaires du consommateur Le mouvement international des consommateurs a développé un ensemble de huit droits élémentaires du consommateur : 1. Le droit à la satisfaction des besoins de base : avoir accès aux biens et services élémentaires et essentiels, à une alimentation adéquate, des vêtements, un toit, la santé et l éducation, des services en réseau et des services d eau et d assainissement. 2. Le droit à la sécurité : être protégé contre les produits, les processus de production et les services qui sont dangereux pour la santé ou la vie. 3. Le droit à l information : disposer des connaissances nécessaires pour faire des choix éclairés, et être protégé des publicités et étiquetages malhonnêtes ou trompeurs. 4. Le droit de choisir : être capable de faire un choix à partir d une série de produits et services offerts à des prix compétitifs avec l assurance d une qualité satisfaisante. 5. Le droit d être entendu : que les intérêts des consommateurs soient représentés dans la formulation et l exécution des politiques gouvernementales et dans l élaboration des produits et services. 6. Le droit de recours : Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 18

19 obtenir un règlement équitable des revendications justes, notamment un dédommagement en cas de descriptifs inexacts, de produits de mauvaise qualité ou de services non satisfaisants. 7. Le droit à l éducation du consommateur : acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour faire des choix éclairés et sûrs en matière de biens et services, tout en étant au fait des droits et responsabilités élémentaires du consommateur, et de la manière de les appliquer. 8. Le droit à un environnement sain : vivre et travailler dans un environnement qui ne menace pas le bien-être des générations actuelles et futures. 17. La notion de concurrence La concurrence est un mécanisme fondamental du fonctionnement d une économie de marché qui prend appui sur l interaction entre l offre et la demande. La concurrence dynamise les marchés, stimule l esprit d initiative des opérateurs économiques et augmente la compétitivité des entreprises. En fin de compte, elle génère des prix plus bas, engendre la création de produits de meilleure qualité et conduit à une production plus diversifiée. Toutes ces évolutions profitent aux consommateurs, qui disposent de plus de possibilités de couvrir leurs besoins au meilleur rapport qualité/prix. 18. Le droit de rétractation du consommateur Le droit de rétractation de 14 jours de calendrier. Le droit de rétractation est le droit pour le consommateur de se retirer du contrat sans avoir à motiver sa décision, et sans avoir à subir d autres coûts que les frais de renvoi des marchandises. Lorsque le droit de rétractation existe, des informations très précises doivent être communiquées ; à défaut, le délai de rétractation peut être augmenté jusqu à une période de 12 mois, et l ensemble des coûts résultant de la rétractation seront supportés par le professionnel, tels que le frais de renvoi des marchandises, et la dépréciation du bien. Une liste de contrats qui, bien que conclus à distance ou hors établissement, ne disposent pas d une possibilité légale de rétractation (article L (7), Code de la consommation). Parmi cette liste, on note pour le secteur artisanal les contrats suivants : la vente de biens susceptibles de se périmer rapidement et les travaux urgents d entretien ou de réparation qui ont été demandés par le consommateur. 19. Le délai de paiement L émission d une facture est, en pratique, un pré requis incontournable pour faire valoir une créance, et pour bénéficier de l intérêt légal en cas de retard de paiement. Tout débiteur doit payer ses factures dans les délais prévus par le contrat ou dans les délais légaux. Le délai de paiement fixé dans le contrat ne doit pas excéder 30 jours. A défaut, l entreprise créancière peut lui réclamer des Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 19

20 intérêts de retard. Dans le cadre de transactions avec un consommateur, les intérêts de retard courent à compter du 3ème mois suivant la date de réception de la marchandise, d achèvement des travaux ou de la prestation de services. 20. Le contrat de travail L employeur qui souhaite embaucher un salarié doit conclure un contrat de travail, soit avant, soit au moment même de l entrée en service du salarié. Le contrat de travail est une convention qui encadre la relation de travail et par laquelle une personne s engage à mettre son activité à la disposition d une autre, moyennant rémunération. Bien que le droit du travail reconnaisse la validité d un contrat conclu oralement, il est vivement recommandé de conclure un contrat écrit qui détaille la nature de la relation de travail et ses modalités. L employeur qui embauche un salarié en vue de répondre à un besoin durable de personnel dans le cadre de l activité normale et permanente de l entreprise doit recourir au contrat à durée indéterminée (CDI). Il ne peut en effet recourir au contrat à durée déterminée (CDD) que pour répondre à certains besoins ponctuels de l entreprise. Tout contrat de travail doit contenir obligatoirement les mentions suivantes : l identité des parties qui concluent le contrat (noms, adresses) la date de l entrée en service effective du salarié le lieu de travail : si le salarié ne peut être affecté à un lieu de travail fixe ou prédominant, il doit être expressément mentionné que celui-ci sera occupé à divers endroits et/ou à l étranger le siège de l entreprise ou, le cas échéant, le domicile de l employeur la nature de l emploi occupé, et le cas échéant, la description des fonctions et des tâches assignées au salarié au moment de son engagement. L employeur peut également préciser que le salarié peut être affecté à d autres tâches la durée de travail journalière ou hebdomadaire normale du travailleur salarié l horaire normal de travail la rémunération de base et l indice en vigueur à la signature du contrat, ainsi que les compléments éventuels de salaires (gratification, 13ème mois, prime de ménage, bonus, ). La valeur d'une rémunération en nature (p.ex. repas, logement) doit être mentionnée de façon précise pour pouvoir être déduite du salaire la durée du congé annuel payé, ou si cette indication n est pas possible au moment de la conclusion du contrat, il convient d indiquer les modalités d'attribution et de détermination du congé la durée des délais de préavis à observer par l employeur et le salarié en cas de rupture du contrat le cas échéant, la durée de la période d essai le cas échéant, la référence aux conventions collectives régissant les conditions de travail du salarié Charles Berrang Tel charles.berrang@caritas.lu 20

Finanzführerschäin. Maison des jeunes Am Quartier

Finanzführerschäin. Maison des jeunes Am Quartier Finanzführerschäin Maison des jeunes Am Quartier 17 mars 2015 Table des matières 1. Qu est-ce qu une transaction? Les notions de «bien» et «service»... 3 2. Qu est-ce qu une dépense? Les notions de besoins

Plus en détail

Gestion du budget familial-1

Gestion du budget familial-1 Gestion du budget familial-1 Qu est-ce qu un budget? A quoi cela sert-il? C est un plan prévisionnel qui nous sert à bien gérer notre argent dans le temps. Le budget est un tableau qui enregistre pour

Plus en détail

Les principaux crédits et les pièges à éviter

Les principaux crédits et les pièges à éviter Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies

Plus en détail

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois

Plus en détail

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. (Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)

Plus en détail

L essentiel sur. Le crédit immobilier

L essentiel sur. Le crédit immobilier L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste

Plus en détail

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Dossiers réglementaires > Dossiers réglementaires > Avantages en nature

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Dossiers réglementaires > Dossiers réglementaires > Avantages en nature Avantages en nature Textes de référence : Arrêté du 10 décembre 2002 relatif l évaluation des avantages en nature en vue du calcul des cotisations de sécurité sociale. Observation préalable : Afin d accompagner

Plus en détail

La Colocation mode d emploi

La Colocation mode d emploi 04-236 MCE 8 pages colocation V 26/04/06 10:42 Page 2 Dessins : Gérard Gautier - Création et réalisation : Esprit Graphique F. Fullenwarth - Impression : www.hautsdevilaine.com g La Colocation mode d emploi

Plus en détail

Les Crédits et ouverture de crédit

Les Crédits et ouverture de crédit Les Crédits et ouverture de crédit Contexte général Besoin d une nouvelle voiture, votre machine à lessiver tombe en panne ou besoin d effectuer quelques travaux dans votre maison? De grosses dépenses

Plus en détail

GERER SON BUDGET 1- LE BUDGET

GERER SON BUDGET 1- LE BUDGET D1 GERER SON BUDGET 1- LE BUDGET 1- Analyse de la situation. Caroline, 26 ans, a sélectionné un séjour en Espagne d un montant de 420 tout compris, pour ses vacances du 1 er au 15 aout. Elle devra régler

Plus en détail

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014. L.I.R. n 104/1

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014. L.I.R. n 104/1 Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014 L.I.R. n 104/1 Objet : Evaluation de certains avantages accordés par l employeur à ses salariés a) Mise à la disposition à

Plus en détail

http://www.a2c-31.com Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers

http://www.a2c-31.com Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers Merci de compléter les tableaux suivants pour vous garantir un maximum d'informations en un minimum de temps à l'avenir Si possible, indiquez les dates de fin

Plus en détail

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE 2015-1 - 1 Cette liste n'est pas exhaustive. L'Administration se réserve le droit de demander tout document complémentaire qui lui apparaîtrait nécessaire lors de l'instruction du dossier. Aucun document

Plus en détail

VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE

VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de

Plus en détail

L essentiel sur. Le crédit à la consommation

L essentiel sur. Le crédit à la consommation L essentiel sur Le crédit à la consommation Prêt personnel Prêt affecté Crédit renouvelable Qu est ce que c est? Le crédit à la consommation sert à financer l achat de biens de consommation (votre voiture,

Plus en détail

L essentiel sur. Tenir ses comptes et faire son budget

L essentiel sur. Tenir ses comptes et faire son budget L essentiel sur Tenir ses comptes et faire son budget Les enjeux Suivre ses comptes Tenir ses comptes et faire son budget, c est avoir une meilleure vision de ses ressources et de ses dépenses. Vous savez

Plus en détail

MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION

MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION Juillet 2013 LA VOLONTÉ DU CRÉDIT MUTUEL : AMÉLIORER SANS CESSE L INFORMATION TRANSMISE. et nous vous en

Plus en détail

GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes

GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes 13 septembre 2005 GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes Ce glossaire a été élaboré sous l égide du CCSF. Il est conçu à des fins purement informatives, et destiné à vous aider à comprendre les termes

Plus en détail

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009. L.I.R. n 104/1

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009. L.I.R. n 104/1 Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009 L.I.R. n 104/1 Objet : Évaluation de certains avantages accordés par l employeur à ses salariés a) Mise à la disposition à

Plus en détail

Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014

Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 La monnaie Les moyens de paiement La banque La bourse Qui protège l épargne et les dépôts du public dans

Plus en détail

Planification financière personnalisée pour :

Planification financière personnalisée pour : Document 2.2 Planification financière personnalisée pour : Questionnaire n o 1 Profil de la situation financière personnelle et familiale Date : Lieu : Questionnaire n o 1 Profil de la situation personnelle

Plus en détail

MES CRÉDITS. Dans ce chapitre. u Les bonnes questions à se poser avant d emprunter u Les crédits à la consommation u Les crédits immobiliers

MES CRÉDITS. Dans ce chapitre. u Les bonnes questions à se poser avant d emprunter u Les crédits à la consommation u Les crédits immobiliers MES CRÉDITS Vous avez de nombreux projets en tête à la suite de votre entrée dans la vie active : équipement de votre logement, achat d une voiture, voyages Et aussi, pourquoi pas, acquisition de votre

Plus en détail

Petites entreprises, votre compte au quotidien

Petites entreprises, votre compte au quotidien Petites entreprises, votre compte au quotidien Créée en 1957 par les Caisses d Epargne, Finances & Pédagogie est une association qui réalise des actions de sensibilisation et de formation, sur le thème

Plus en détail

L éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit

L éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit L éducation financière Manuel du participant Les notions de base du crédit 2 Contenu DOCUMENT 6-1 Les types de crédit Type de crédit Prêteur Usages Modalités Crédit renouvelable Carte de crédit (garantie

Plus en détail

CCAPEX FORMULAIRE DE SAISINE

CCAPEX FORMULAIRE DE SAISINE PRÉFECTURE DE LA LOZERE CCAPEX FORMULAIRE DE SAISINE Date de la saisine : Organisme à l'origine de la saisine : Nature de la saisine : Origine de la saisine : Bailleur Organisme payeur aides au logement

Plus en détail

QUESTIONS / REPONSES

QUESTIONS / REPONSES QUESTIONS / REPONSES Peut-on tout acheter avec un crédit personnel? Oui, dans la mesure où le montant du crédit correspond à votre besoin. Jusqu à 75000 maximum, votre prêt personnel peut répondre à tous

Plus en détail

INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG

INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers

Plus en détail

Le revenu et le pouvoir d achat

Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation

Plus en détail

crédit privé Transparent et avantageux

crédit privé Transparent et avantageux crédit privé Transparent et avantageux La pièce d identité doit impérativement contenir les informations suivantes: nom et prénom date de naissance nationalité et lieu d origine photo nº de la pièce d

Plus en détail

Règlement. Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions

Règlement. Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions Règlement Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions 2013 Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions Champ d application : Type : Suisse règlement Responsable du contenu

Plus en détail

réparation ou fabrication, transports, etc. Dans des cas semblables, vous pouvez souvent cocher également la case 29.

réparation ou fabrication, transports, etc. Dans des cas semblables, vous pouvez souvent cocher également la case 29. GUIDE RELATIF A LA TYPOLOGIE DE PROBLEMES ET DE DEMANDES DU CONSOMMATEUR Le présent guide fournit des explications concernant les différentes catégories de problèmes et de demandes du consommateur, ainsi

Plus en détail

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR Documents à fournir quelle que soit votre situation : Formulaire de demande de bourse dûment complété et signé Livret de famille Carte d inscription au registre des Français

Plus en détail

FORMULAIRE III (Bénéficiaire)

FORMULAIRE III (Bénéficiaire) FORMULAIRE III (Bénéficiaire) CANADA Province de Québec District de Montréal C O U R S U P É R I E U R E CHAMBRE DE LA FAMILLE No du dossier 500- - - c. partie demanderesse partie défenderesse ÉTAT DES

Plus en détail

Calcul des coûts Information aux enseignants

Calcul des coûts Information aux enseignants 05 / Automobile Information aux enseignants 1/6 Ordre de travail A 18 ans, beaucoup d adolescents apprennent à conduire et aimeraient bientôt avoir leur propre voiture. Mais le calcul des coûts ne s arrête

Plus en détail

Guide du crédit à la consommation

Guide du crédit à la consommation Guide du crédit à la consommation Ce qu il faut savoir avant de s engager Sommaire Le crédit à la consommation, qu est-ce que c est?... page 4 Ce qu il faut savoir avant de s engager...page 12 Que faire

Plus en détail

un logement à louer Vous cherchez Vous êtes jeunes

un logement à louer Vous cherchez Vous êtes jeunes Vous êtes jeunes Vous cherchez un logement à louer auprès d un particulier ou d un organisme social et vous devez faire face aux premières dépenses pour entrer dans les lieux? > Des aides peuvent vous

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Glossaire. Pour bien comprendre le vocabulaire de la banque

Glossaire. Pour bien comprendre le vocabulaire de la banque Glossaire Pour bien comprendre le vocabulaire de la banque A COMME... AGIOS Également appelés «intérêts débiteurs», les agios sont les intérêts dus à la banque, lorsqu un compte présente un solde débiteur

Plus en détail

Papiers et factures Combien de temps faut-il les conserver?

Papiers et factures Combien de temps faut-il les conserver? Assurances Quittances et primes 2 ans Quittances, avis d'échéance, preuve du règlement, courrier de résiliation, accusé de réception Contrats d'assurance habitation et automobile Durée du contrat + 2 ans

Plus en détail

ACCÉDER. aux services. Brochure d information sur les services, les offres du Groupe La Poste et leurs accès aux gens du voyage

ACCÉDER. aux services. Brochure d information sur les services, les offres du Groupe La Poste et leurs accès aux gens du voyage ACCÉDER aux services Brochure d information sur les services, les offres du Groupe La Poste et leurs accès aux gens du voyage 1 Souhaitant faciliter la relation avec tous ses clients, le Groupe La Poste

Plus en détail

Ce mini guide a pour objectif de vous faire part de quelques bonnes pratiques dans la gestion de votre budget.

Ce mini guide a pour objectif de vous faire part de quelques bonnes pratiques dans la gestion de votre budget. BUDGET MAÎTRISE CONSEILS DEPENSES EPARGNE REVENUS SOLUTIONS Les bonnes pratiques pour maîtriser son budget Ce mini guide a pour objectif de vous faire part de quelques bonnes pratiques dans la gestion

Plus en détail

L art de trouver le logement de ses rêves

L art de trouver le logement de ses rêves L art de trouver le logement de ses rêves Introduction Etudes obligent, il n est pas toujours aisé de trouver un logement décent à prix réduit d autant plus que les villes étudiantes sont des villes où

Plus en détail

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Comité d'entreprise > Vos salariés - Vos cotisations > Base de calcul

Site portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Comité d'entreprise > Vos salariés - Vos cotisations > Base de calcul Base de calcul En votre qualité d employeur, vous devez déclarer à l URSSAF toutes les sommes payées et tous les avantages consentis à vos salariés. Ces éléments constituent la base de calcul des cotisations

Plus en détail

Les ménages et le crédit

Les ménages et le crédit Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier

Plus en détail

Comment emprunter. L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt

Comment emprunter. L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt emprunter L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt emprunter? A savoir avant à la adapter les 2 A SAVOIR AVANT D EMPRUNTER 3 S endetter de manière raisonnable Pour éviter l excès de crédit, avant

Plus en détail

Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»

Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total

Plus en détail

Le compte bancaire est un compte ouvert. Foire aux questions. Le COMPTE et son fonctionnement. Trouvez des réponses à vos questions.

Le compte bancaire est un compte ouvert. Foire aux questions. Le COMPTE et son fonctionnement. Trouvez des réponses à vos questions. Foire aux questions Trouvez des réponses à vos questions Aout 2014 Le COMPTE et son fonctionnement Le compte bancaire est un compte ouvert par la banque à un ou plusieurs clients proposant des services

Plus en détail

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 20 PROSPECTUS PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 Article 47 2 de la loi du 4 août 1992 relative aux Crédits Hypothécaires et l article 4 de l Arrêté royal du 5 février 1993 portant diverses

Plus en détail

CONDITIONS TARIFAIRES

CONDITIONS TARIFAIRES CONDITIONS TARIFAIRES Des produits et services proposés par Groupama Banque Applicables au 1 er JANVIER 2015 Clientèle DES PROFESSIONNELS AGRICOLES Des artisans, commerçants et prestataires de services

Plus en détail

Nature et risques des instruments financiers

Nature et risques des instruments financiers 1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,

Plus en détail

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher

Plus en détail

GESTION DE RISQUES Août 2007

GESTION DE RISQUES Août 2007 GESTION DE RISQUES Août 2007 Qu est-ce qu un risque? Toute incertitude au sujet d un événement qui menace des éléments d actif Quels sont nos éléments d actif? Les gens : conseils d administration, employés,

Plus en détail

Modèle de règlements des remboursements de frais

Modèle de règlements des remboursements de frais Modèle de règlements des remboursements de frais Circulaire du 28 août 2006 / 11 décembre 2007 Les administrations fiscales cantonales reconnaissent les règlements de remboursements de frais agréés par

Plus en détail

Automobiles et prêts Acétates

Automobiles et prêts Acétates Neuvième leçon Automobiles et prêts Acétates Coûts reliés à la possession et à la conduite d une voiture Frais de propriété (fixes) : Dépréciation (d après le prix d achat) Intérêt (s il s agit d un achat

Plus en détail

26 Contrat d assurance-vie

26 Contrat d assurance-vie 42 26 Contrat d assurance-vie est un contrat par lequel un assureur s engage à verser un capital en cas de vie ou de décès de l assuré, au profit du souscripteur ou d un tiers, moyennant une prime. Placement

Plus en détail

Séparation, rupture de la vie commune

Séparation, rupture de la vie commune Séparation, rupture de la vie commune ÊTRE ACCOMPAGNÉ PAR SA BANQUE À CHAQUE ÉTAPE DE SA VIE. 2 SOMMAIRE QUELLES DÉMARCHES POUR... Que notre relation soit ancienne ou plus récente, nous nous engageons

Plus en détail

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence

Plus en détail

ÉCONOMIQUE PRINCIPALES DÉPENSES DÉDUCTIBLES

ÉCONOMIQUE PRINCIPALES DÉPENSES DÉDUCTIBLES DÉDUCTIBLES RAPPEL Pour être déductibles des recettes, les dépenses effectuées par les titulaires de revenus non commerciaux doivent répondre aux conditions suivantes : être nécessitées par l exercice

Plus en détail

THÈME 1. Ménages et consommation

THÈME 1. Ménages et consommation THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail

Plus en détail

Les demarches administratives

Les demarches administratives Les demarches administratives Après la disparition d un être cher, s ajoute à la douleur de l événement une série de démarches administratives. Celles-ci sont nombreuses et répondent à un calendrier précis.

Plus en détail

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres

Plus en détail

Une fois complet, votre dossier est à adresser à :

Une fois complet, votre dossier est à adresser à : Dossier DECLARATION DE SINISTRE Kit Bailleur Individuel Ce dossier contient : L imprimé de déclaration de sinistre «loyers impayés» L imprimé de déclaration de sinistre «détériorations immobilières» Le

Plus en détail

Cartes de crédit à vous de choisir. Choisir la carte de crédit qui vous convient

Cartes de crédit à vous de choisir. Choisir la carte de crédit qui vous convient Cartes de crédit à vous de choisir Choisir la carte de crédit qui vous convient À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de

Plus en détail

La location de son entreprise

La location de son entreprise La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de

Plus en détail

Compte à Terme Solidarité du Crédit Municipal de Paris Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité

Compte à Terme Solidarité du Crédit Municipal de Paris Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité Compte à Terme Solidarité du Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité Article 1 : DEFINITION DU COMPTE A TERME (CAT) Le Compte à Terme Solidarité du est un compte

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

Voyager en voiture : louer un véhicule

Voyager en voiture : louer un véhicule Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Voyager en voiture : louer un véhicule Avant la location Comparer les offres des loueurs (en agence ou sur sites Internet) : s informer sur

Plus en détail

Centre Européen des Consommateurs GIE. Luxembourg CREDIT «FACILE»?

Centre Européen des Consommateurs GIE. Luxembourg CREDIT «FACILE»? Centre Européen des Consommateurs Luxembourg CREDIT «FACILE»? GIE 2009 CREDIT «FACILE»? Cette brochure vise à informer le consommateur, au moyen de conseils et informations pratiques, sur les droits et

Plus en détail

COFFRES-FORTS 158,15 240 EUR 237,23 320 EUR. Coût additionnel pour coffre à code 15 EUR

COFFRES-FORTS 158,15 240 EUR 237,23 320 EUR. Coût additionnel pour coffre à code 15 EUR Tenue de compte, coffres, attestations et recherches FORFAIT ANNUEL TENUE DE COMPTE 1 COFFRES-FORTS Avec accès e-banking sécurisé 2 25 EUR Volume (dm 3 ) loyer annuel HT + TVA 17% Avec envoi hebdomadaire

Plus en détail

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R 2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a

Plus en détail

Payer sans chéquier : c est possible!

Payer sans chéquier : c est possible! Payer sans chéquier : c est possible! C NUM é. 5.03. p e e a e e, a Wa e au Payer sans chéquier : c est possible! Suite à un rejet de chèque sans provision ou parce que votre compte bancaire est à découvert,

Plus en détail

FRAIS DE VEHICULE 2012

FRAIS DE VEHICULE 2012 ASSOCIATION AGREEE DES MEDECINS DU HAUT-RHIN - BAS-RHIN - MOSELLE 10, rue de Leicester - 67000 STRASBOURG Tél. : 03.88.61.87.54 - Fax 03.88.41.18.11 VOL XXXVII N 33 - REGISTRE DES ASSOCIATIONS AGREMENT

Plus en détail

Caisse de pension et propriété du logement/

Caisse de pension et propriété du logement/ Encouragement à la propriété du logement (EPL) Caisse de pension et propriété du logement/ Versement anticipé et mise en gage des avoirs issus du 2 e pilier Table des matières Mobilisation des capitaux

Plus en détail

HORS SÉRIE. GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES. décembre 2005

HORS SÉRIE. GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES. décembre 2005 FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE HORS SÉRIE GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes décembre 2005 LES MINI-GUIDES BANCAIRES Comme elles s y étaient engagées devant le Comité Consultatif du Secteur Financier,

Plus en détail

LOCATION MEUBLE D'UNE RESIDENCE SECONDAIRE DU LOCATAIRE ----- BON DE RESERVATION

LOCATION MEUBLE D'UNE RESIDENCE SECONDAIRE DU LOCATAIRE ----- BON DE RESERVATION LOCATION MEUBLE D'UNE RESIDENCE SECONDAIRE DU LOCATAIRE ----- BON DE RESERVATION Contrat n A DEMANDEUR(S) Mme, Mlle, M :... Adresse principale:... Code postal : Ville :. Tel/ portable :...Mail :... S agit-il

Plus en détail

TABLE DES MATIèRES. Notre banque 4. Crédits 7. Gestion de patrimoine 9. Comptes courants 12. Comptes épargne 14. Comptes prévoyance 16

TABLE DES MATIèRES. Notre banque 4. Crédits 7. Gestion de patrimoine 9. Comptes courants 12. Comptes épargne 14. Comptes prévoyance 16 PRESTATIONS TABLE DES MATIèRES Notre banque 4 Crédits 7 Gestion de patrimoine 9 Comptes courants 12 Comptes épargne 14 Comptes prévoyance 16 Autres comptes 17 Une histoire de vie en un clin d œil 18 Numéros

Plus en détail

SE DÉFAIRE D UN CONTRAT

SE DÉFAIRE D UN CONTRAT SE DÉFAIRE D UN CONTRAT Comment s y prendre? E n tant que consommateur, vous êtes amené à conclure régulièrement des contrats. Ceci concerne aussi bien l achat de biens (vêtements, mobilier, ordinateur)

Plus en détail

Changer de banque, le guide la mobilite

Changer de banque, le guide la mobilite Changer de banque, le guide la mobilite Avant-propos... 1 Je change de banque pour mon compte... 2 ETAPE 1 : j ouvre un compte... 2 ETAPE 2 : je communique mon nouveau RIB... 3 ETAPE 3 : je n utilise plus

Plus en détail

DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2013

DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2013 N 2041 GH N 50149 #18 DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2013 Ce document n'a qu'une valeur indicative. Il ne se substitue pas à la documentation officielle de l'administration. REVENUS

Plus en détail

150 conseils pour payer moins d impôts

150 conseils pour payer moins d impôts m a r i e l a m b e r t Illustrations d Anna Daffos 150 conseils pour payer moins d impôts, 2010, 2011 ISBN : 978-2-212-54880-8 Chapitre 3 Enfants : les pépites fiscales «Pourquoi est-ce qu en matière

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES 2014-2015

BOURSES SCOLAIRES 2014-2015 BOURSES SCOLAIRES 2014-2015 Dossiers à compléter et à déposer au service social du Consulat Général de France avant le 28 fevrier 2014 Pour tout renseignement complémentaire, contactez Mme DENIS Assistante

Plus en détail

GUIDE DE GESTION BANCAIRE

GUIDE DE GESTION BANCAIRE GUIDE DE GESTION BANCAIRE À DESTINATION DES JEUNES PRIS EN CHARGE PAR LES SERVICES DE L AIDE SOCIALE À L ENFANCE ET AUX FAMILLES Pour vos premiers pas dans la gestion de vos biens R1400020-2 4 novembre

Plus en détail

Ce qu il faut savoir avant de partir : faire respecter vos droits, c est notre but

Ce qu il faut savoir avant de partir : faire respecter vos droits, c est notre but Ce qu il faut savoir avant de partir : faire respecter vos droits, c est notre but Cinq millions de supporters sont attendus pour l Euro 2008 cet été. Malheureusement certains d entre eux risquent de rencontrer

Plus en détail

Assurances véhicules à moteur. Assurance occupants pourquoi est-elle nécessaire? Assurance accidents

Assurances véhicules à moteur. Assurance occupants pourquoi est-elle nécessaire? Assurance accidents Assurances véhicules à moteur 68 69 Assurance occupants pourquoi est-elle nécessaire? J entends des avis très contradictoires sur la nécessité de l assurance occupants d un véhicule à moteur. En Suisse,

Plus en détail

FORMULAIRES DE BUDGET

FORMULAIRES DE BUDGET FORMULAIRES DE BUDGET INFORMATIONS GÉNÉRALES Je préconise l'utilisation d'un budget basé sur un salaire hebdomadaire multiplié par 4 plutôt que par 4.33. Ceci permet aussi de calculer les dépenses par

Plus en détail

FONDS MUTUEL DE GARANTIE DES MILITAIRES (FMGM)

FONDS MUTUEL DE GARANTIE DES MILITAIRES (FMGM) Le soussigné (organisme prêteur) Agence Code banque Nom du gestionnaire du dossier Fonction Code guichet Téléphone fixe mobile fax e-mail : sollicite la garantie du Fonds Mutuel de Garantie des Militaires

Plus en détail

Aide pour une complémentaire santé

Aide pour une complémentaire santé Aide pour une complémentaire santé Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir l Aide pour une complémentaire santé, une présentation du dispositif, une demande à compléter,

Plus en détail

Un mode de paiement avec plein d avantages pour vos achats et vos voyages

Un mode de paiement avec plein d avantages pour vos achats et vos voyages MasterCard ou Visa Un mode de paiement avec plein d avantages pour vos achats et vos voyages Les cartes de crédit offrant les prestations les plus attrayantes au quotidien et en voyage. card services Une

Plus en détail

Pendant combien de temps faut-il conserver ses documents personnels?

Pendant combien de temps faut-il conserver ses documents personnels? Pendant combien de temps faut-il conserver ses documents personnels? Le délai de conservation des documents, indépendamment de leur format, varie selon leur nature. En matière civile, le délai de prescription

Plus en détail

Document d information n o 4 sur les pensions

Document d information n o 4 sur les pensions Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,

Plus en détail

Contrat de Professionnalisation ou Stage? Tout savoir pour bien choisir

Contrat de Professionnalisation ou Stage? Tout savoir pour bien choisir Contrat de Professionnalisation ou Stage??? Tout savoir pour bien choisir L objectif de ce livret est de répondre à vos questions en matière de contrat de professionnalisation et de stage. En effet, cette

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille

L assurance est là pour protéger votre famille Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes

Plus en détail

GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT

GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT Juin 2015 Guide du logement étudiant Acteurs majeurs et incontournables pour trouver et louer votre logement en France Sommaire Préambule 1 Les résidences étudiantes 2 Choisir

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

sommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE

sommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE sommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE Ouverture, transformation, clôture 4 Relevés de compte 4 Tenue de compte 4 Services en agence 4-5 BANQUE À DISTANCE

Plus en détail

Couverture maladie universelle complémentaire

Couverture maladie universelle complémentaire Couverture maladie universelle complémentaire Aide pour une Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir : - la CMU complémentaire, ou - l Aide pour une, une présentation des

Plus en détail

Stratégie d assurance retraite

Stratégie d assurance retraite Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police

Plus en détail

Fiche pratique n 10 : les droits des clients en matière bancaire (25/01/2010)

Fiche pratique n 10 : les droits des clients en matière bancaire (25/01/2010) Fiche pratique n 10 : les droits des clients en matière bancaire (25/01/2010) Frais excessifs, tarification difficilement compréhensible, les litiges entre les banques et leurs clients sont nombreux. Des

Plus en détail

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance

Plus en détail

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE

LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE Attention : cette liste de contrôle des documents fait partie des éléments à remettre, au même titre que le formulaire original, et la copie des pièces justificatives. S il manque des documents mentionnés

Plus en détail