Panel du WiLDAF-AO à la 60ème session de la Commission dela Condition de la Femme des Nations Unies New York, le 16 mars 2016
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1 Panel du WiLDAF-AO à la 60ème session de la Commission dela Condition de la Femme des Nations Unies New York, le 16 mars 2016 Communication présentée par Mme Kafui ADJAMAGBO-JOHNSON, Coordinatrice du WiLDAF Afrique de l Ouest De la nécessité d une approche holistique basée sur l autonomisation des filles : «Lutte contre les mariages précoces par l autonomisation des filles en Afrique de l Ouest» 1
2 L Afrique de l Ouest est l une des régions du monde où la prévalence des mariages précoces, objet de la recherche proposée, est la plus élevée. Selon les données de l UNICEF (2014), parmi les 10 pays enregistrant les taux les plus élevés de prévalence des mariages précoces au monde, la moitié se situe dans cette région. Le Niger et le Mali sont les plus concernés avec une prévalence respectivement de 77 et 61%. 1 Dans certains pays comme le Togo, où le phénomène semble à priori ne pas avoir autant d ampleur, les données de l enquête MICS 2010, montrent pourtant qu une proportion de 7,0% de femmes de ans se sont mariées ou étaient en union avant l âge de 15 ans tandis que 29,1% de femmes de ans ont contracté leur mariage ou union avant l âge de 18 ans. En milieu rural ce sont 36,8% de femmes de 20 à 49 ans qui sont mariées avant l âge de 18 ans. D aucuns diraient que le mariage précoce est une pratique traditionnelle qui a des avantages. Mais en réalité pourquoi le combattre et pourquoi faut-il une approche holistique qui soit basée sur l autonomisation? I. Pourquoi combattre le phénomène? Le mariage précoce est une violation des droits des enfants qui a souvent comme origine et conséquence d autres violations. Il a des conséquences néfastes pour les filles et pour le développement durable Les mariages précoces sont une violation des droits des filles Les mariages précoces constituent une violation grave des droits humains fondamentaux des filles déjà privées de leur enfance et de leur adolescence. Ils violent leur liberté de consentir personnellement au 1 UNICEF (2013): Ending child marriages: Progress and prospects: 2
3 mariage, leur droit à une adolescence, et celui de développer une personnalité autonome. Ils sont un déni de leur droit au bien être psychologique, et une violation de leurs droits reproductifs. Enfin, ils entraînent souvent une violation du droit à l éducation des filles dont certaines sont enlevées de l école pour être données en mariage. Les mariages précoces défient donc les droits des femmes et des filles tels que garantis par les différents instruments juridiques internationaux ratifiés par les Etats, en particulier la Déclaration Universelle des Droits de l Homme, les conventions internationales sur les droits civiques et politiques, celles sur les droits économiques, culturels et sociaux ainsi que celles portant sur la protection des enfants, la Convention sur le consentement au mariage, l âge minimum du mariage et l enregistrement des mariages, la Convention des Nations-Unies sur l Elimination de toutes les Formes de Discriminations à l Egard des femmes et la Convention des Nations Unies sur les droits de l enfant. Les mariages précoces vont également à l encontre des normes juridiques consacrées au niveau africain par le Protocole à la Charte Africaine des Droits de l homme et des Peuples, relatif aux droits des femmes en Afrique et la Charte Africaine des Droits et du bien-être de l enfant. Selon l article 6 du protocole dont les dispositions sont en adéquation avec la Charte des droits et du bien être de l enfant, les États sont tenus d adopter les mesures législatives appropriées pour garantir qu aucun mariage ne soit conclu sans le plein et libre consentement des deux époux et que l âge minimum de mariage pour la fille ne soit de 18 ans. Malheureusement les lois nationales relatives au mariage ne respectent pas toutes l exigence de l âge légal de 18 ans, certaines législations autorisent les mariages de filles mineures. Par ailleurs, celles qui exigent l âge de la majorité ne prévoient pas de dispositions pénales en cas de mariage d enfants. 3
4 Il existe par ailleurs dans les pays une situation de pluralisme juridique qui se traduit par la coexistence entre les lois modernes et les coutumes et /ou les règles religieuses. La conséquence en est que dans la pratique, les populations se réfèrent plutôt aux coutumes et aux règles religieuses qui tolèrent les mariages d enfants, qu aux lois qui n ont que peu d influence dans leur vie quotidienne. Ces cadres législatifs imparfaits et la situation de pluralisme juridique créent des conditions favorables pour la pratique de mariages précoces et forcés qui vont pourtant à l encontre de plusieurs droits reconnus aux filles et ont des conséquences néfastes pour ces dernières et pour la société. Ces questions devraient donc être prises en compte dans un programme de lutte contre les mariages précoces Les conséquences néfastes des mariages précoces pour les filles et pour la société sont inacceptables Les mariages précoces sont souvent classés au rang des pratiques traditionnelles néfastes aux filles et aux femmes. Ils ont en effet des conséquences sur la santé mentale et génésique des filles et les exposent à des risques importants. Bien de rapports et études constatent que les filles engagées dans un mariage à un âge précoce reçoivent moins de soins prénataux et sont donc plus vulnérables à la mortalité maternelle. Les femmes qui sont mariées avant l'âge de 18 ans ont tendance à avoir plus d'enfants que celles qui se marient plus tard dans la vie. Par ailleurs, les décès liés à la grossesse sont connus pour être une des principales causes de mortalité aussi bien pour les filles mariées que non mariées âgées entre 15 et 19 ans, en particulier chez les plus jeunes de cette cohorte. De plus, le bas niveau d éducation est un handicap pour la participation économique et politique des victimes qui ont toutes les chances de connaître toute leur vie durant, une situation de pauvreté susceptible de se transmettre à leurs progénitures. Une étude sur le milieu rural dans les 4
5 pays d Afrique de l Ouest a démontré que si elle s est mariée jeune et manque d éducation et de compétences monnayables, une femme peut tomber dans une profonde misère ; cette étude en a conclu que le mariage précoce contribue à la féminisation de la pauvreté avec ce que cela comporte comme conséquences pour les enfants. (Evaluation de la pauvreté rurale Afrique de l Ouest et du centre FIDA, 2001). Il est donc pour toutes ces raisons, urgent de mettre fin au mariage forcé pour briser «le cycle intergénérationnel de pauvreté en permettant aux filles et aux femmes de participer plus pleinement à la société» (UNICEF, 2014). Comment y mettre fin? En ce qui concerne le WILDAF, on ne peut lutter durablement et efficacement contre les mariages précoces qu à travers une approche holistique basée sur l autonomisation des filles ellesmêmes. II. Nécessité d une approche holistique basée sur l autonomisation des filles. Face à ces défis liés aux mariages précoces, des solutions sont suggérées et mises en œuvre sous forme de politiques et de programmes nationaux, internationaux et régionaux notamment par les États, les institutions en charge de la promotion et de la protection de l enfance et divers intervenants au rang desquels se situent les agences du Système des Nations-Unies (UNICEF, UNFPA, ONU FEMMES), des Organisations Non Gouvernementales internationales et nationales. Ces programmes adoptent rarement une approche holistique basée sur le droit et privilégiant l autonomisation des filles. Cependant, des expériences menées par le WiLDAF par exemple avec les femmes agricultrices, en privilégiant l autonomisation de ces femmes qui subissent beaucoup de discriminations et violations de leurs droits civils, 5
6 économiques et sociaux afin qu elles puissent prendre en main ellesmêmes la lutte contre les violations de leurs droits, et en responsabilisant les autorités traditionnelles et les communautés, ont abouti à des changements importants et durables. L approche holistique s impose dans le contexte des défis culturels et religieux, de la pauvreté et de la faiblesse du cadre juridique, institutionnel et politique qui influencent le mariage précoce des filles, quelles sont les stratégies. Le réseau s engage dans cette approche pour lutter contre les mariages précoces à travers son projet de «lutte contre les mariages précoces par l autonomisation des filles en Afrique de l Ouest», avec le soutien financier du Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI). Le projet prévu pour une durée de 3 ans a pour objectif général de contribuer à la baisse des mariages précoces à travers la génération de connaissances nouvelles et de solutions alternatives durables ainsi que la promotion de l utilisation à grande échelle de ces connaissances nouvelles sur le mariage précoce en Afrique de l Ouest. Il s agira plus précisément de : Produire une base de données probantes, comparatives, permettant d approfondir les connaissances sur les mariages précoces notamment son ampleur, son évolution, ses causes profondes, les conséquences pour les filles et les obstacles qui en découlent pour leur pleine participation au développement au Mali, au Niger et au Togo. 6
7 Développer des stratégies susceptibles de créer des conditions pour l efficacité de la lutte contre les mariages précoces notamment en améliorant le cadre juridique, institutionnel et politique et en défiant les résistances culturelles et religieuses à l éradication de la pratique. Développer et proposer des approches appropriées et des modèles capables de conduire à l autonomisation des filles dans la lutte contre ces mariages précoces qui pourraient être utilisés par une variété de décideurs et d acteurs. La mise en œuvre comportera 3 phases complémentaires : une composante «Étude de base», une composante «Mise en œuvre des interventions» et la composante «Évaluation des interventions» qui sera suivi du plaidoyer pour la mise à l échelle de ces interventions. La première phase «Étude de base» se déroulera dans les trois (3) pays cités plus haut. Cette phase servira essentiellement à établir le niveau initial des principaux indicateurs liés au mariage précoce dans ces pays. Elle servira également à identifier des stratégies et modèles appropriés de lutte contre la pratique, à faire une analyse des cadres juridiques et politique, une compréhension approfondie des fondements sociaux, économiques et culturels des mariages précoces ainsi que des leviers qui pourraient être actionnés pour susciter des changements positifs. Les enquêtes de terrain se feront essentiellement avec des filles et des garçons recrutés et formés à cet effet (2/3 contre 1/3). Dans la seconde phase du projet, celle du développement et de la mise en œuvre des interventions, les bases de connaissances produites dans la 1 ère phase seront capitalisées pour mener des actions multiformes susceptibles de contribuer à 7
8 l autonomisation des filles et aux changements dans les normes et croyances pour la réduction de la prévalence des mariages précoces dans les zones d étude. Les acteurs privilégiés de cette deuxième phase seront les filles et les garçons recrutés dans la première phase. Après identification de leurs besoins, leurs capacités seront renforcées dans différents domaines tels que les droits des femmes et des filles, la communication, le plaidoyer. Ils auront à leur tour comme responsabilité de procéder à la sensibilisation de leurs paires et des autres membres de la communauté en ciblant les filles elles-mêmes, les hommes comme les femmes ainsi que les autorités traditionnelles et religieuses pour lesquelles des activités adaptées à leurs besoins spécifiques seront menées. Ils pourront soutenir en outre les filles menacées ou déjà victimes de mariage précoce. La troisième phase est celle de la mesure/évaluation des incidences du programme. Un système de suivi-évaluation avec des indicateurs spécifiques sera développé dans la perspective de documenter les incidences des activités d autonomisation des filles, les changements de comportements et de perception des chefs religieux et traditionnels ainsi que des garçons impliqués dans le programme. Les conclusions de l intervention permettront d élaborer un modèle d interventions capable de produire des changements durables, basées sur une approche holistique et sur l autonomisation des filles, modèle qui fera l objet d un plaidoyer en vue d une mise à l échelle par les gouvernants avec l appui des autres intervenants du secteur. La valeur ajoutée de ce projet de recherche-action réside dans son approche globale qui conduit à l autonomisation des filles, la collaboration entre les organisations de droits des femmes et les institutions de recherche, et le partenariat qu il prévoit également avec 8
9 d autres acteurs nationaux et régionaux en vue de la recherche de solutions durables efficaces et de le mise à l échelle, de ces solutions. 9
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