ACV DE LA RESTAURATION D'UN BATIMENT BAYONNAIS
|
|
- Thierry Thibault
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ACV DE LA RESTAURATION D'UN BATIMENT BAYONNAIS CONCLUSIONS Les apports de la restauration du bâtiment en termes de bénéfices environnementaux sont inégaux suivant les impacts considérés. La restauration du bâtiment apporte un bénéfice important sur les impacts changement climatique (entre +180 et +330%) et épuisement des ressources énergétiques (entre +15 et +150%), mais pas forcément pour l acidification atmosphérique (entre -117% et + 12%) et pas du tout pour l eutrophisation de l eau (jusqu à 123 % d impacts en plus). Ainsi, les impacts de la restauration ne sont pas, sur tous les indicateurs, contrebalancés par les gains thermiques lors de la phase d utilisation. A noter toutefois que la restauration permet d apporter une amélioration du confort de vie aux habitants qui n est pas une notion comptabilisée en ACV. Cet apport relatif s explique par la répartition des différentes étapes du cycle de vie selon les impacts (analyse suivant le scénario 2b). La phase de restauration a un impact assez variable selon les indicateurs suivis. C est l étape d approvisionnement des matériaux qui prédomine sur cette phase. Pour l épuisement des ressources énergétiques, l impact dépasse les 10%, alors qu il est de près de 30% pour l eutrophisation de l eau et de plus de 40% pour l acidification de l air. Cet impact est essentiellement dû au transport des matériaux de leur site de fabrication jusqu au chantier (entre 70 et 80 % des impacts de l étape approvisionnement matériaux). Son impact sur le changement climatique est très faible, ce qui s explique par la prise en compte de captage du CO 2 des produits à base de bois durant leur croissance. Cette conclusion valorise les bénéfices apportés par le choix d une utilisation importante de produits à croissance photosynthétique pour la limitation des émissions de gaz à effet de serre. A l inverse, l étape du chantier, comprenant les consommations électriques du chantier ainsi que le transport des ouvriers, est toujours marginale, son impact ne dépassant jamais 5 %, quels que soient les scénarios. A noter cependant que la modélisation de cette étape a été assez sommaire. La phase d utilisation du bâtiment est divisée en 2 usages : o o L usage de chauffage et d ECS est très largement majoritaire sur le changement climatique (environ 90%), l épuisement des ressources énergétiques (près de 50%) et l acidification atmosphérique (environ 40%), alors qu il n impacte qu à hauteur de 17% pour l eutrophisation. Les consommations énergétiques ont en effet de fort impact sur la pollution de l air (changement climatique et acidification de l air) et l épuisement de ressources alors qu elles n ont que peu de conséquences sur la pollution de l eau. L impact limité sur l acidification atmosphérique s explique par l utilisation de gaz naturel, peu émetteur de NO X. L usage de l électricité spécifique est négligeable sur les indicateurs changement climatique et eutrophisation de l eau (moins de 6%) et peu impactant sur l acidification atmosphérique (17% des impacts), alors qu elle représente à 35% de l impact total sur l épuisement des ressources, ceci s expliquant par les rendements des installations de production d électricité. La phase de fin de vie est marginale sur tous les indicateurs (moins de 2%) sauf sur l eutrophisation de l eau où elle est majoritaire (environ 50%). Ceci s explique par les rejets importants d effluents toxiques dans l eau, engendrés par la mise en décharge des produits à base de bois. Les impacts importants des étapes d approvisionnement matériaux et de fin de vie concernant l acidification atmosphérique et l eutrophisation de l eau expliquent l intérêt moindre de la restauration sur ces indicateurs. 1/5Erreur! Source du renvoi
2 Le positionnement des scénarios après restauration est variable selon les impacts considérés. Changement climatique (en kg éq. CO 2 ) Epuisement des ressources Energétiques (en MJ) Acidification de l'air (en kg éq. SO 2 ) Eutrophisation de l'eau (en kg éq PO 4 3- ) Déchets nucléaires (en g) Scénario 0 : avant restauration Scénario 1a : cas de base + PV Scénario 1b : cas de base Scénario 2a : Gaz plus + PV Scénario 2b : Gaz plus Scénario 3 : écogénérateur Scénario 4a : PAC gaz naturel Scénario 4b : PAC gaz naturel + CESC Scénario 5 : tout électrique En analysant les résultats scénario par scénario, on constate les points suivants : Le scénario 5, tout électrique, engendre un faible impact sur le changement climatique dû à l utilisation du mix électrique moyen saisonnalisé *. Par contre, il a un fort impact sur l acidification atmosphérique, l eutrophisation et la production de déchets nucléaires. La consommation d électricité a en effet un impact plus important que la consommation de gaz naturel sur ces trois indicateurs (impact engendré par la production d électricité à partir de charbon ou de fioul). Concernant l épuisement des ressources énergétiques, il se situe légèrement favorablement par rapport au scénario 0, sans restauration, mais moins performant que les autres scénarios de restauration. Les scénarios 1a et 1b obtiennent des résultats intéressants en terme de changement climatique, mais sont moins performants en terme d épuisement des ressources énergétiques. Le gain apporté par l utilisation de panneau photovoltaïque (PV), dans le scénario 1a, est assez faible (entre -1 et -5% suivant les impacts), et devient même négatif sur l eutrophisation de l eau (+0,5%). Le scénario 3 obtient les plus faibles impacts sur l épuisement des ressources énergétiques, l acidification atmosphérique et la production de déchets nucléaires. Ces résultats prouvent le gain apporté par la production d électricité à partir de l écogénérateur, qui permet d éviter l utilisation d électricité provenant du réseau électrique. En terme de changement climatique, il obtient de moins bonnes performances, le gaz naturel émettant plus de CO 2 que le mix électrique moyen. Les scénarios 2 et 4 obtiennent de bons compromis sur tous les indicateurs, en ayant toujours des impacts parmi les plus faibles. Le gain apporté par l utilisation de systèmes PV et du CESI 1 est surtout visible sur l épuisement des ressources énergétiques. 1 CESI : chauffe-eau solaire collectif 2/5Erreur! Source du renvoi
3 Les critères environnementaux ne permettent pas de mettre en avant une solution de façon tranchée, les scénarios 2, 3 et 4 obtenant, dans leur globalité, des résultats similaires et ne se positionnant pas de la même façon suivant les impacts considérés. La modélisation de l électricité par un mix marginal* modifie complètement le positionnement des scénarios les uns par rapport aux autres Changement climatique (en kg éq. CO 2 ) Epuisement des ressources énergétiques (en MJ) Acidification de l'air (en kg éq. SO 2 ) Eutrophisation de l'eau Déchets 3- (en kg éq PO 4 nucléaires ) (en g) Scénario 0 : avant restauration Scénario 1a : cas de base + PV Scénario 1b : cas de base Scénario 2a : Gaz plus + PV Scénario 2b : Gaz plus Scénario 3 : écogénérateur Scénario 4a : PAC gaz 100 naturel Scénario 4b : PAC gaz 100 naturel + CESC Scénario 5 : tout électrique La modélisation des consommations électrique par le mix marginal influence essentiellement les scénarios comprenant de l électricité dans leur système de chauffage ou/et d ECS, à savoir les scénarios 1 et 5. C est en termes d impacts sur le changement climatique et sur l acidification atmosphérique que les résultats sont les plus significatifs. En effet, ces impacts se voient augmentés de façon très importante (allant de +50% à +150%). Ceci s explique par une plus forte part d électricité produite à partir d énergie d origine fossile dans le mix marginal (essentiellement charbon et fioul), augmentant les émissions de CO 2, de NO X et de SO X. Ainsi, ces scénarios, qui obtenaient de bonnes performances concernant le changement climatique en considérant le mix moyen, obtiennent ici de moins bonnes performances, leur faisant perdre leur avantage par rapport aux scénarios au gaz naturel. Concernant l acidification atmosphérique et l eutrophisation, le scénario 5 augmente son impact et donc amplifie son écart avec les autres scénarios. Les scénarios 1a et 1b, engendrent davantage d impacts que les autres scénarios, alors qu ils engendraient des résultats du même ordre de grandeur lorsque l on considérait un mix moyen La prise en compte de ce mix marginal, à priori plus pertinent pour modéliser les consommations liées au chauffage et à l ECS dans la situation du bâtiment de Bayonne, modifie donc le classement des scénarios utilisant de l électricité pour le chauffage et l ECS, par rapport aux scénarios uniquement au gaz naturel. Les paramètres variables n ont que très peu d impacts sur l ensemble du cycle de vie, mais constituent des leviers sur lesquels les commanditaires peuvent agir. 3/5Erreur! Source du renvoi
4 Les études de sensibilité réalisées sur les principaux paramètres variables du projet (choix de l isolant, distance de transport et modélisation de la fin de vie) ont mis en avant qu ils avaient un faible impact sur l ensemble du cycle de vie du bâtiment, sur lequel les consommations énergétiques de la phase de vie en œuvre sont largement majoritaires (sauf pour l eutrophisation de l eau). Par contre, étant donné les évolutions actuelles ayant lieu dans le secteur de la construction (label BBC, maison à énergie positive..), on peut présager que cette étape aura dans le futur de moins en moins de poids sur l ensemble du cycle de vie du bâtiment. Ainsi, la part des autres étapes va augmenter et ces paramètres, aujourd hui peu influant, vont prendre de l importance. De plus, ces éléments peuvent être facilement contrôlés par le commanditaire en intégrant des spécificités dès la phase de conception (choix des fournisseurs dans un rayon de XX km, choix de produits naturels ), ainsi ils peuvent constituer des leviers d action intéressant pour améliorer les performances environnementales du bâtiment. Cette étude comprend de nombreuses incertitudes qui devront être mieux contrôlées dans les prochaines études réalisées. Ces conclusions reposent sur un certain nombre d hypothèses associés à des incertitudes. Il est important d avoir conscience des limites de cette étude. En effet, elle repose majoritairement sur des données génériques adaptées selon les données collectées, mais qui ne sont pas toujours strictement conforme à la réalité. De plus cette étude se situant en phase de conception du projet, elle reste théorique et sera probablement différente du projet finalisé. Ceci s applique particulièrement aux consommations énergétiques, calculées à partir d un logiciel de calcul réglementaire et dont les résultats restent théoriques. Afin d améliorer le niveau de précision des études d ACV de bâtiment, il est nécessaire de poursuivre le travail sur la modélisation des systèmes énergétiques, pour pouvoir les adapter plus précisément aux différentes solutions de mise en œuvre, mais aussi de comparer différents logiciels de calculs thermiques, pour constater s il existe des variations importantes. Par ailleurs, un approfondissement de l expertise sur les autres étapes permettra également de gagner en précision et d améliorer le niveau d expertise global des praticiens ACV. Ainsi, il serait intéressant travailler sur les différents types de matériaux utilisés dans un bâtiment, par exemple en collectant des données de fabricants sur les éléments les plus impactants. De même, une attention particulière devra être apportée à l étape de fin de vie dont les paramètres de modélisation sont aujourd hui mal contrôlés, alors qu ils peuvent avoir des conséquences importantes sur les résultats. La multiplication des études environnementales dans le domaine du bâtiment permettra de capitaliser des informations et d affiner l esprit critique par rapport aux données transmises par les différents interlocuteurs. *Méthode du mix saisonnier ou du mix marginal? Le tableau ci-dessous donne les différents contenus en CO 2 du kwh électrique selon les deux mix étudiés, ces valeurs ayant été réactualisées en 2008 par l ADEME [2]. Chauffage Eclairage Usage de base Mix moyen par usage Mix marginale par usage Tableau 1 : Contenu CO 2 par usage en g CO 2 /kwh selon les deux mix électriques 4/5Erreur! Source du renvoi
5 BIBLIOGRAPHIE [1] Note détaillée de l ADEME et de RTE «Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la bas de l historique» du 08/10/2007 [2] «Regard sur le Grenelle», ADEME, septembre 2008 [3] Base de donnée ECOINVENT Version 1.2 [4] Base de données INIES : Développée en partenariat avec l ADEME et le CSTB, INIES répertorie les FDES (Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire) de produits de construction fournies par les fabricants ou syndicats professionnels. Ces fiches, soumises à la norme AFNOR P01-010, seront des sources d informations précieuses pour l ACV du bâtiment. [5] Rapport DD du Groupe GDF SUEZ, visible sur le site : [6] Heck T., Dones R., Bauer C., Life Cycle Assessment of New Natural Gas conversion System in France, novembre 2007 [7] Site Internet du fabricant de pompe à chaleur Robur : [8] Fiche commerciale du fabricant de tubes en cuivre Morel S.A.S : [9] Site Internet de la DGEMP : Bichler V. Projet EN4R - Analyse de cycle e vie du siège social d Emmaüs, M.DRX.ELS MPU, juillet 2007 Bichler V. Projet COUGAR - Analyse de cycle de vie de la production d électricité d origine photovoltaïque, M.DU.CHENE Vbi, Novembre 2008 Bichler V. Projet COUGAR - Analyse de cycle de vie de systèmes solaires thermiques individuels couplés à un appoint, M.DU.CHENE VBi Novembre 2008 Promelle J. Projet EN4R Pompes à chaleur à absorption : produits de petite puissance pour application en résidentiel, M.DU.GCC JPr-Sse, Octobre 2007 Promelle J. Projet EN4R Pompes à chaleur à moteur gaz : les produits disponibles et leur potentiel en résidentiel collectif et tertiaire,m.du.gcc jpr-sse, Novembre /5Erreur! Source du renvoi
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailADEME Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique
de la communication par voie électronique Volet Clé USB : Synthèse Contact Bio Intelligence Service S.A.S. Yannick Le Guern/Laura Farrant + 33 (0)1 53 90 11 80 yannick.leguern@biois.com laura.farrant@biois.com
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailL ACV dans les projets de recherche :
L ACV dans les projets de recherche : - Les fondamentaux de l éco-conception - Les démarches, les outils - L ACV dans les projets de recherche - Exemples de projets européens Présentation ACV 6 Septembre
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailTransition énergétique Les enjeux pour les entreprises
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios
Plus en détailEvaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique.
Evaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique. Rapport Final LEBERT Alexandra, CHEVALIER Jacques, ESCOFFIER Faustine, LASVAUX Sébastien,
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailDE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé
VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT
Plus en détailLe biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry
Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère
Plus en détailÉlectricité 2030 QUELS CHOIX POUR LA FRANCE. Étude réalisée par l UFE avec le concours du cabinet Estin&Co
Électricité 2030? QUELS CHOIX POUR LA FRANCE Étude réalisée par l UFE avec le concours du cabinet Estin&Co Erratum Page 11 Synthèse de l évolution de la consommation en énergie : SCÉNARIOS D ÉVOLUTION
Plus en détailLa demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME
La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME François MOISAN Directeur exécutif Stratégie, Recherche, International Directeur Scientifique
Plus en détailEvaluation des émissions
Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailFinancement de la réhabilitation des logements
Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailTRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE
TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, UNE PRIORITÉ POUR LA MARTINIQUE La Martinique
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailAnalyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012
Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise
Plus en détaill essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton
l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailAtelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique
CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailCrédit d impôt et Livret de Développement Durable. Deux outils pour financer les projets d amélioration de la performance énergétique des logements
Crédit d impôt et Livret de Développement Durable Deux outils pour financer les projets d amélioration de la performance énergétique des logements Logique des dispositifs Résultats du crédit d impôt Mise
Plus en détailADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats
Direction Communication, Formation, Développement Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique Présentation des résultats Juillet 2011 Contact BIO Intelligence
Plus en détailPrix de l énergie dans l habitat
Prix de l énergie dans l habitat Mise à jour février 2013 Fiche réalisée par l ALE de l agglomération lyonnaise - TD Introduction Le prix des énergies n a cessé d augmenter depuis la fin du 20ème siècle.
Plus en détailBesoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement
Phase 2: Analyse du besoin des entreprises Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Les plus fortes demandes en «Construction durable» Estimation
Plus en détail36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE
T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul
Plus en détailEMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE
EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE EMBALLAGES CONSIGNES EN CAFES HOTELS ET RESTAURANTS Synthèse Juin 2010
Plus en détailEconomies d énergie Rénovation thermique des bâtiments
climat d innovation Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments Les aides financières à disposition des ménages Edition 2012 Essayons d y voir plus clair 2/3 Les décisions du Grenelle de l Environnement
Plus en détailPourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie. Les chiffres clés Et moi?
Pourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie Les chiffres clés Et moi? Bilan Green IT mars 2011 Bilan Green IT mars 2011 Pourquoi un bilan Green IT? > CONTEXTE En France, la loi sur la Responsabilité
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailAPPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020
APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 Axe 3 «conduire la transition énergétique en Région Nord Pas de Calais» Investissement Prioritaire 4e «en
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailComment une entreprise peut-elle trouver et choisir la formation dont elle a besoin? Marie-Françoise FOURNIER
Comment une entreprise peut-elle trouver et choisir la formation dont elle a besoin? Marie-Françoise FOURNIER Sommaire Pratique des entreprises du bâtiment Recherche de formations Formations recensées
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailLa transition énergétique en France et en Allemagne
La transition énergétique en France et en Allemagne Regards croisés sur les politiques nationales de transition énergétique Institute for Sustainable Development and International Relations 41 rue du Four
Plus en détailCRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?
Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailPour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie
Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailVendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE
2011 Vendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE TABLE DES MATIÈRES Le cas de la France... 3 Le mix électrique en 2010... 3
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailManuel d utilisation du progiciel ELODIE V1.2.007. Pour la version complète du progiciel. Version du 30 janvier 2012 Réf : DESE/ENV - 12.
Pour la version complète du progiciel. Version du 30 janvier 2012 Réf : DESE/ENV - 12.006 2 Table des matières 1. INTRODUCTION... 4 2. CONNEXION A L OUTIL ELODIE... 5 3. FAMILIARISATION AVEC L ECRAN PROJET
Plus en détailL individualisation des frais de chauffage
L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir
Plus en détailRencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE
LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE MARDI 15 OCTOBRE 2013 DOSSIER DE PRESSE CONTACTS PRESSE POUR EN SAVOIR PLUS Jeanne DEPERROIS 03 83 92 89 71 06 28 92 26 20 jeanne.deperrois@rte-france.com
Plus en détailCapitalisation des résultats de l expérimentation HQE Performance. Analyse statistique Action 22
DHUP convention Y13-08 n 2200756332 Capitalisation des résultats de l expérimentation HQE Performance. Analyse statistique Action 22 Rapport Final LEBERT Alexandra, LASVAUX Sébastien, GRANNEC Francis,
Plus en détailUn fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche
Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet
Plus en détailCHAUFFAGE PAR LE BOIS ESPACE AQUALUDIQUE DE CARHAIX PREMIER RETOUR D EXPERIENCE APRES TROIS ANNEES DE FONCTIONNEMENT
CHAUFFAGE PAR LE BOIS ESPACE AQUALUDIQUE DE CARHAIX PREMIER RETOUR D EXPERIENCE APRES TROIS ANNEES DE FONCTIONNEMENT 1 2 3 4 5 DEFINITION DES EQUIPEMENTS AQUATIQUES Cet espace aqualudique sports-loisirs
Plus en détailSERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS
SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril
Plus en détailL Allemagne championne des énergies propres?
L Allemagne championne des énergies propres? La chancelière allemande a tranché, l Allemagne sera la première grande puissance industrielle européenne à sortir du nucléaire. Et ceci rapidement puisque
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailLes signes de qualité des entreprises du bâtiment
Les signes de qualité entreprises du bâtiment Partie 1 : Les Qualifications, les Appellations Les signes de reconnaissance de la qualité acteurs sont repères (marques de certification, de, appellations,
Plus en détailObjectif. La capacité de l appareil de production à répondre à la demande. La demande client en matière d éco-rénovation.
CERA Février 2011 Objectif Définir les stratégies les plus adéquates pour dynamiser rapidement le marché de l éco-rénovation au regard de : la demande client en matière d éco-rénovation l état du parc
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détailEnjeux du stockage de l énergie
Enjeux du stockage de l énergie S. PINCEMIN Doc/Ing Etudes & Recherche - Pôle Energies Renouvelables CleanTuesday -Nice 7 juin 2011 Plan de la présentation 1- Le CSTB en bref 2- Le contexte énergétique
Plus en détailU N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques
U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques par 78310 Maurepas michel.meallet@orange.fr RÉSUMÉ Pourquoi se poser des questions sur les voitures
Plus en détailAperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013
Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013 Roman Buss, Renewables Academy (RENAC) AG Voyage d affaires de la CCI allemande Energies renouvelables pour la consommation propre dans
Plus en détailChoisir un professionnel compétent
L habitat Choisir un professionnel compétent COMPRENDRE Pour des bâtiments économes en énergie Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction Faites appel à des professionnels compétents... 3 Des
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailL éolien en Allemagne, une réalité industrielle. Retour d expérience
L éolien en Allemagne, une réalité industrielle Retour d expérience L éolien en Allemagne Développement 1990-2010 30000 25000 20000 15000 10000 5000 0 Etat des lieux du parc éolien allemand au 30.6.2011:!
Plus en détailLES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE
LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE Thomas VILLARD Directeur de projets Systèmes Electriques Intelligents Anne CHATILLON Chef de projets Ville Durable Sommaire
Plus en détailENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013
ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailInstallateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance
Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Domaine : Bâtiment, éco-construction, rénovation Durée : 5 mois ROME : F603 Code AFPA : 9 Objectifs : Poser,
Plus en détailLes grands chantiers du Smart Grid français. vers une feuille de route technologique
Les grands chantiers du Smart Grid français vers une feuille de route technologique Bogdan ROSINSKI pôle S2E2 SMART ELECTRICITY CLUSTER ASPROM Conférence «Maîtrise de l'énergie» Paris 6 avril 2011 Sommaire
Plus en détailLa Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements
Lundi 24 juin 2013 La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Service de Presse 04 67 22 81 31 /// 04 67 22 80 47 presse-region@cr-languedocroussillon.fr Convaincue
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR
ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les
Plus en détailSéminaire AMORCE Débat national sur la Transition Energétique. Paris 26 février 2013 15 H 30
Séminaire AMORCE Débat national sur la Transition Energétique Paris 26 février 2013 15 H 30 SG du débat pour le Séminaire AMORCE, Paris le 26 février 2013 Mise en œuvre du débat sur la transition énergétique
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détail«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie
«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie Kurt Rohrbach, Président de l Association des entreprises électriques
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailfioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs
fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie
Plus en détailGrand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie. 29 novembre 2013
Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie 29 novembre 2013 Pour le Grand LYON, une ville Intelligente c est. Une ville dans laquelle les nouvelles technologies
Plus en détailLa mobilisation des statistiques énergie pour les schémas territoriaux en Rhône-Alpes
La mobilisation des statistiques énergie pour les schémas territoriaux en Rhône-Alpes Yves Pothier DREAL Rhône-Alpes 21/11/2014 Crédit photo : Arnaud Bouissou/MEDDE Direction régionale de l'environnement,
Plus en détailDii Le réseau d entreprises pour l électricité des deserts Faciliter la création de marchés du solaire et de l éolien en Europe, en Afrique du Nord
Dii Le réseau d entreprises pour l électricité des deserts Faciliter la création de marchés du solaire et de l éolien en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient Dii Le réseau d entreprises pour l
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailDÉFIS CLIMATIQUES NOUVEAUX ENJEUX ÉLECTRIQUES
Union Française de l'électricité DÉFIS CLIMATIQUES NOUVEAUX ENJEUX ÉLECTRIQUES Synthèse des propositions de l UFE pour mettre l électricité au service de la croissance verte et de la réduction des émissions
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLe comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012
Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012 Les articles 23 et 31 de la RT L article 23 la RT 2012: Les dispositifs de comptage concernent les maisons individuelles et les bâtiments collectifs
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailD ÉVALUATION D UN SI ÉCOLOGIQUEMENT RESPONSABLE?
Gildas Bondi Analyse et évaluation des Systèmes d Informations SI ET DÉVELOPPEMENT DURABLE QUELS PEUVENT ÊTRE LES CRITÈRES D ÉVALUATION D UN SI ÉCOLOGIQUEMENT RESPONSABLE? 1 Table des matières Introduction
Plus en détailRobert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008
Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance
Plus en détail