Les grands enjeux environnementaux du 21 e siècle : climat et eau, du global au local

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1 Les grands enjeux environnementaux du 21 e siècle : climat et eau, du global au local

2 Comprendre le phénomène des changements climatiques Première partie

3 L atmosphère

4 L effet de serre

5 L effet de serre Sans effet de serre, et à albédo constant, la température moyenne sur Terre chuterait à -18 C Contributions approximatives à l'effet de serre des principaux gaz, d'après le GIEC : Vapeur d'eau : 60 % Dioxyde de carbone : 25 % Ozone : 8 % Méthane et oxyde nitreux : 6 % Les gaz n ont pas tous la même contribution (ex. méthane est 25 fois plus fort comme GES que le CO2)

6 Le climat

7 Climat Ce climat, c est avant tout une réalité statistique, avec une moyenne, des extrêmes et une variabilité (à laquelle nous nous sommes habitués) : Plage de température saisonnière; Grands froids hivernaux; Canicules estivales; Le printemps autour de la 1 ère semaine d avril à Montréal, 3 e semaine d avril à Québec! Les premiers gels d automne, le dégel du printemps.

8 Les changements climatiques

9 Les changements climatiques On se rappelle que plus de 99 % de l atmosphère est composée d azote, d oxygène et d argon L émission de gaz à effet de serre par les activités humaines : Pourquoi les activités humaines produisent-elles les gaz à effet de serre? Activités les plus importantes en terme d émission (transport, production d énergie, chauffage, secteur industriel ).

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11 Ce que nous observons : Les concentrations en gaz à effet de serre dans l atmosphère augmentent : Mesures directes dans l atmosphère, la glace; Mesures indirectes à partir des activités humaines et des calculs d équivalences.

12 Ce que nous observons Région 1990 (Mt-CO2) 2007 (Mt-CO2) Évolution (%) Canada ,5% États-Unis ,6% Europe (UE-15) ,6% Allemagne ,0% France ,9% Moyen-Orient ,1% Extrême-Orient % Chine ,6 Inde ,7%

13 Les changements climatiques Peu importe leur(s) cause(s) (naturelles et/ou humaines), les changements climatiques sont une réalité observée à l échelle globale et locale; Nos sociétés ont adapté leurs activités au cours des 200 dernières années à un certain degré de variabilité (une zone de confort). Les changements climatiques rendent incertain le maintien de cette zone de confort à court et moyen terme.

14 Des conséquences majeures sur l économie Deuxième partie

15 La diminution de la production de GES Besoin en énergie : certains types d énergie deviennent moins intéressants (passif de la production); Augmentation de la demande pour des produits ou des sources d énergie à faible émission des CO2 : En 2008, 155 milliards$ ont été investis sur la planète dans le secteur des «énergies vertes» (dépassant le secteur pétrolecharbon).

16 La diminution de la production de GES Plans de relance suite à la crise économique : Le New Deal Écologique de la République de Corée, 36 milliards$ (3 % du PIB). La Chine : plan de relance de 586 milliards $, dont 140 milliards$ affectés aux investissements écologiques. É.-U. : plan de relance de 787 milliards$ dont 100 milliards$ vers une «économie verte».

17 Les risques naturels et le climat : un défi pour le monde de l assurance Les changements climatiques = instabilité sur les prévisions des risques; Des événements précis ont grandement affecté les rendements des secteurs de l assurance et de la réassurance : Ouragan Katrina (pertes de 34,4 milliards$), inondations en Europe, ouragans et tornades aux US, sécheresse (assurance récoltes), etc.

18 Les risques naturels et le climat : un défi pour le monde de l assurance De nouveaux enjeux liés à la présence de nouveaux risques : Problèmes de tarification; Délaissement de certains secteurs ou de certaines couvertures d assurance; L État sera vraisemblablement interpellé pour prendre en charge ces secteurs.

19 Adaptation de l économie : des initiatives déjà bien présentes Certification environnementale : Certification LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) qui influence les standards de construction immobilière : Réduction de la consommation énergétique; Choix des matériaux à faible impact sur l environnement. Norme FSC (Forest Stewardship Council) qui influence les pratiques forestières : Mise en place de pratique d aménagement évitant le déboisement excessif.

20 Changements climatiques et eau : des impacts déjà ressentis Troisième partie

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22 Impacts des changements climatiques sur l eau Différents impacts possibles : Moins ou plus de pluie; Orages plus forts et plus fréquents; Moins ou plus de neige; Hivers moins longs et pluies hivernales; Modification des régimes de glace sur les océans

23 Impacts des changements climatiques sur l eau Conséquences de ces impacts : Quantitatifs : Les quantités d eau habituelles à un lieu à tel moment de l année risquent de changer Qualitatifs : La qualité de l eau est fortement influencée par la capacité à diluer les rejets. Moins d eau = une eau de moins bonne qualité.

24 Le fleuve Colorado Un des cours d eau les plus surutilisés du monde Depuis 1956, il arrive souvent que l eau ne se rende plus à la mer; Conflits entre les usages : tourisme, agriculture, eau potable, production d hydroélectricité; Une des régions les plus sèches au monde; Salinisation; Infrastructures actuelles peu

25 Le fleuve Colorado

26 Production d agrumes au Maroc Au Maroc : 88 % de l eau va à l agriculture Dans les années 1960 s est développée rapidement une industrie agrumicole; Depuis, la population est passée de 11,6 à plus de 30 millions d habitants; La pluviométrie annuelle est à la baisse; Système d irrigation désuet : 80 % des surfaces sont simplement arrosées. Concept d «eau virtuelle».

27 La rivière des Mille-Îles (QC) Au printemps 2010, le débit de la rivière s élevait à 35 m3/s (normalement, 265 m3/s); Les besoins minimaux pour assurer l efficacité des installations de traitement de l eau sont de l ordre de 30 à 35 m3/s en période estivale; Travaux d excavation en cours pour forcer l eau du lac des Deux-Montagnes vers la rivière des Mille-Îles plutôt que vers la rivière des Prairies.

28 Au Québec : une convoitise accrue pour notre eau douce Quatrième partie

29 L exportation de l eau douce du Québec Un problème à la fois local et continental; Situations de rareté de l eau en Amérique du Nord; L attrait pour les Américains d avoir accès à l eau douce du Québec; Attrait pour les Québécois de vendre leur eau.

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32 Argumentaire écologique Personne n a de véritables idées des conséquences d une telle ponction d eau sur les écosystèmes visés. Dans le projet «L eau du Nord», on suggère que «[ ], il s agit uniquement de capter les eaux des crues saisonnières et non de bouleverser les écosystèmes en détournant complètement et en asséchant des rivières». Il y aura des impacts sur l environnement. La question est de savoir si nous acceptons en tant que société ces impacts et selon quels critères.

33 Argumentaire politique et social L eau est-elle une ressource comme les autres? Diverses fonctions de l eau; Le sud du Québec n est pas à l abri d un manque d eau. Quelle garantie pour les problèmes éventuels pour la population du Québec? Arguments politique et social : érosion de la souveraineté sur nos ressources naturelles.

34 Exportation de l eau et ALENA Le traitement national : un pays doit accorder le même traitement aux entreprises des autres Parties qu aux entreprises nationales. Dans le cas de l eau, elle ne peut refuser d octroyer un permis sur la base de la provenance. L équivalence : un pays ne peut restreindre l exportation que si la restriction est équivalente en proportion sur le territoire même du pays.

35 Argumentaire économique Arguments économiques : aller au-delà des profits escomptés et faire le portrait des coûts possibles; Qui est l exportateur, l État ou le privé? Impacts sur l utilisation du territoire : conflits d usages avec d autres secteurs ayant des coûts et bénéfices respectifs.

36 Merci.

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