Du coût au prix des médicaments : les étapes et les processus de décision
|
|
- Raymonde Aubin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Du coût au prix des médicaments : les étapes et les processus de décision restitution de l atelier Martine Bruyninckx et Christel Nourissier, Atelier tutorial, 2 novembre 2011 EUROBIOMED
2 Le statut des médicaments orphelins doit-il être remis en question : Un effet d aubaine? Décision du CEPS d appliquer la régulation conventionnelle pour les médicaments orphelins dont le chiffre d affaires est supérieur à 30 Millions d euros Dispositif de reversement pour les médicaments orphelins dont le chiffre d affaires et supérieur à 50 K euros/an Rapport de la Cour des Comptes sur les dépenses de médicaments en France Rapport de l IGAS sur le Médiator et débat parlementaire 2
3 1. les médicaments orphelins nécessitent-ils une application particulière : du Service Médical Rendu - et de l Amélioration du Service Médical Rendu? 3
4 Non? Les patients qui vivent avec des maladies rares ont droit à des traitements aussi efficaces et sûrs que les autres Les médicaments orphelins bénéficient d une désignation, puis d une mise sur le marché avec les avantages qui sont liés à l Agence Européenne (EMA) soit parce qu il n y a rien soit parce qu ils apportent une amélioration significative par rapport à ce qui existe «significant benefit» Règlement sur les médicaments orphelins, 1999 La France participe à toutes les décisions européennes par l intermédiaire de ses représentants au COMP et au CHMP. 4
5 Il existe toutefois des problèmes spécifiques liés à la rareté : le poids de l évidence scientifique n est pas le même que pour les maladies communes 5
6 Problèmes spécifiques liés à la rareté 6 Populations petites et hétérogènes, diagnostics imprécis Peu de connaissance et de données sur l histoire naturelle des maladies Durée courte des études de suivi Connaissances scientifiques et consensus sur les points d évaluation clinique limités Données sur la survie limitées Manque de consensus et de données de comparaison Impossible souvent d évaluer la place du médicament dans la stratégie thérapeutique: il n existe pas d alternative thérapeutique Intérêt pour la santé publique pas évident à démontrer sans prendre en compte le coût social de la maladie, l impact sur la famille (aujourd hui méconnus), l utilisation possible pour d autres maladies rares par la suite, l intérêt de développer des modèles pour répondre aux autres besoins non couverts
7 Une révision nécessaire Le bénéfice efficacité-tolérance doit être adapté à la particularité des MO, dont l efficacité n est que partiellement connue au moment de l évaluation par la Commission de la Transparence, et repose sur des critères intermédiaires. Aller vers un Service Médical Attendu, à confirmer dès que des données reposant sur des critères cliniques seront disponibles 7
8 Accès: la situation actuelle en France est elle menacée? L organisation du système de santé en France repose sur la solidarité: Solidarité des citoyens en bonne santé avec les malades Solidarité des malades légèrement ou ou temporairement atteints avec les malades atteints de manière grave et chronique. Le système de santé s efforce de faire place à l innovation Malgré un contexte économique difficile, jusqu à aujourd hui, les médicaments orphelins s'en sont bien sortis au niveau de l'évaluation du service médical rendu et donc du remboursement octroyé. 8
9 Disponibilité de 60 MOs ayant une AMM européenne, par pays 9
10 3. les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? 10
11 Quel poids des médicaments orphelins sur le budget des médicaments de la Sécurité Sociale? 11 L étude d EURORDIS (François Faurisson) à partir d une analyse rétrospective des données de l EMA, de la FDA et d EURORDIS sur 25 ans d expérience aux USA et 10 ans en Europe a permis de construire un modèle de prévision du nombre de nouveau MO approuvés par an: maximum de 8 à 12 par an d ici ou 6 certaines années voir 2006 à 2010 Estimating the budget impact of orphan medicines in Europe: » Carina Schey, Tsveta Milanova, Adam Hutchings : 5 nouvelles maladies/ an bénéficieront de MOs dans les 10 prochaines années. Le coût annuel par patient devrait varier entre et , le coût moyen étant de par an. Leur part dans le marché total des médicaments devrait croître de 3.3% en 2010 jusqu à un pic de 4.6% en Ensuite, cette part se stabilisera jusqu en 2020 et convergera avec la croissance des médicaments en général.
12 Leur part dans le marché total des médicaments devrait croître de 3.3% en 2010 jusqu à un pic de 4.6% en 2016 Ce n est pas disproportionné par rapport au nombre de malades concernés par des maladies rares: 3 millions en France sur 65 millions de français Certains médicaments très innovants, difficile à produire, pour de très petites populations, comme les remplacements d enzymes, coûtent très cher au départ. Mais historiquement, toutes les innovations thérapeutiques coûtent cher (cf la panique de face au coût des premières trithérapies), puis le coût baisse dans un marché aujourd hui mondial et le médicament devient générique (baisse de 50 à 60 % en moyenne) 12
13 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? Les médicaments orphelins peuvent-ils être regardés tous de la même façon?
14 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? les médicaments orphelins avec plusieurs indications orphelines, qui sont largement utilisés, les molécules très connues pour lesquelles une indication orpheline est découverte et développée, les molécules anciennes rebaptisées et relancées comme médicaments orphelins,
15 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? Les médicaments orphelins développés pour des petites populations de patients sévèrement atteints pour qui il n existe pas d alternative de traitement. Sur les 8000 maladies décrites aujourd hui, à peine 200 ont une prévalence supérieure à 1 sur Le nombre de malades effectivement traités est souvent très inférieur à la prévalence.s malade 1 personne sur
16 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? Quel développement pour ces médicaments spécifiquement destinés à des petites populations de patients très sévères?
17 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? Un développement long 13 ans jusqu à l Autorisation de Mise sur le Marché complexité pour découvrir la molécule candidate ad hoc du fait d une connaissance souvent partielle de la maladie et d une expertise médicale disséminée, absence ou faible nombre de modèles animaux pour les études précliniques, difficulté à conduire et coût élevé des essais cliniques compte-tenu des petites populations de patients géographiquement disséminées, de l absence de centres d expertise
18 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? des schémas d études cliniques et des méthodes statistiques obligatoirement adaptés et très challengés par les autorités réglementaires, une évaluation clinique qui se poursuit bien au-delà de l Autorisation de Mise sur le Marché par le biais de registres internationaux, d études cliniques post-amm conduits sur plusieurs années. Une R&D qui doit se renouveler en permanence
19 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? Quel type de production?
20 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? des productions de lots de petite taille et peu fréquentes construire des installations de production /contrôle, procéder à une maintenance technique des installations, gérer la pérennité des sources de matières premières maintenir un personnel qualifié formé et entraîné
21 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? des procédés faisant souvent appel à la biotechnologie pour les substances actives : des installations sécurisées pour la conservation des réserves cellulaires des usines dédiées à la production de certaines molécules des installations spécifiques, des appareillages ultra-sophistiqués requérant une vigilance de maintenance du personnel très qualifié et hautement expérimenté
22 Les médicaments orphelins sont-ils nécessairement chers? des cycles de production et de contrôle longs et minutieusement pilotés Des procédés qui restent du domaine «biologique» où toute petite variabilité peut être catastrophique une étape de formulation finale (lyophilisation ou remplissage direct) réalisée dans des locaux dédiés et souvent sur un autre site industriel. Un prix de médicament innovant doit prendre en compte ces investissements spécifiques
23 2. Comment les différents acteurs en France et en Europe peuvent-ils joindre leurs efforts au cours des différentes étapes de la vie des médicaments orphelins pour contribuer à réduire leurs coûts et leurs prix, et améliorer les processus de décision? Travaux en cours 23
24 Comment améliorer les processus de décision? Les associations de malades doivent être entendues par la Commission de transparence et apporter leur expertise acquise au cours des essais cliniques, puis dans la vie réelle Avec une politique de prix conditionnels et remboursement conditionnels, reconnaissant que les données disponibles sont limitées au moment de l autorisation de mise sur le marché ellemême souvent conditionnelle ou sous circonstances exceptionnelles : le prix fixé pour les deux ou trois premières années doit prendre en compte le coût du développement du médicament, Il pourrait être revu et ajusté ensuite sur la base des données générées par les études post AMM, et du nombre de malades traités, dans la vie réelle. 24
25 Comment faciliter la fixation des prix : le CAVOD Création d un mécanisme d échange de connaissances entre l Agence européenne et les Etats Membres pour aider les Etats à prendre des décisions bien informées sur l évaluation scientifique de la valeur ajoutée clinique des MO (CAVOD). Un processus qui créée de la continuité de l EMA aux agences de HTA (HAS en France) Échange d information, rapport européen sur la valeur ajoutée clinique (compilation des données disponibles à l EMA lors de l AMM), et rapport sur l efficacité relative du produit après quelques années d utilisation en vie réelle. 4 pilotes et une Recommandation de l EUCERD prévus mi Travaux à EURORDIS, à l EMA, puis rapport d Ernst & Young à l Agence exécutive de la DG Sanco, octobre 2011
26 Les défis de demain Une meilleure prise en compte des coûts réels des maladies et des besoins non satisfaits Un meilleur dialogue entre les autorités, les malades et l industrie, et plus de transparence sur le coût. Une collecte de données post AMM par les centres de référence prescripteurs sur l usage des médicaments dans la vie réelle, pour une meilleure allocation des ressources, la prescription de doses appropriées aux bonnes personnes, et le meilleur impact possible en terme de santé publique. 26
27 2. Quelle évaluation médico-économique pour les médicaments orphelins? 27
28 Bien et mal évaluer Une bonne médico-économie: ne pas dépenser plus que nécessaire, dépenser au plus juste pour une pathologie, et ne pas faire des choix arbitraires Une mauvaise médico-économie : fixer des seuils comme le fait le NICE en Angleterre: QUALY, maximum de livres par patient et par an : sacrifier quelques uns au bénéfice de tous 28
29 En conclusion Les incertitudes de développement augmentent le coût d accès Les petits nombres de malades augmentent aussi les coûts Ne pas confondre le coût du traitement et le coût de la pathologie qui elle n est pas un choix. 29
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailProcédures d enregistrement des médicaments
Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailL accès aux médicaments orphelins en France : entre besoins des patients, soutien à la recherche et politique de prix
Pharmacien Inspecteur de Santé Publique Promotion : 2011-2012 Date du Jury : septembre 2012 L accès aux médicaments orphelins en France : entre besoins des patients, soutien à la recherche et politique
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détail2.4. Les médicaments de la «liste en sus»
2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailContraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel
Contraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel Jean-Michel Hotton Directeur des relations institutionnelles Laboratoire Pfizer 10 ème Journées Nationales
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailValeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5
Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Claire Le Jeunne Bertrand Xerri Cécile Rey-Coquais Jean-Michel Joubert Jean Delonca Martine Pigeon Michel Lièvre Patricia
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détaill ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue
l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailMASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE
MASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité : METIERS DE LA SANTE ASSOCIES
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailEtudes d utilisation médicamenteuse et accès aux bases de données de soins de santé : Enjeu sociétal et juridique
Etudes d utilisation médicamenteuse et accès aux bases de données de soins de santé : Enjeu sociétal et juridique Aurore Bergamasco, Caroline Tremblay, Alia Yousif, Yola Moride Pharmacoepidemiology & Risk
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailEurope du médicament ******** les enjeux du moment
Europe du médicament ******** les enjeux du moment Danielle Bardelay La revue Prescrire GRAS Bruxelles - 10 mai 2006 1 Qui autorise les médicaments vendus dans l UE? des autorisations de mise sur le marché
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailDocument de synthèse. Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques
Document de synthèse Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques Table des matières 1. Introduction 3 2. Méthode de recherche 3 3. Coût total de possession (TCO)
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailExercice de la responsabilité pharmaceutique en France dans un contexte de globalisation
Exercice de la responsabilité pharmaceutique en France dans un contexte de globalisation ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE 1 ER AVRIL 2015 PATRICK TURLIER Pharmacien Responsable Glaxo Wellcome Production
Plus en détailTélésuivi et Analyse des performances énergétiques des installations photovoltaïques - TECSOL PV ANALYTICS. www.tecsol-analytics.
Télésuivi et Analyse des performances énergétiques des installations photovoltaïques - TECSOL PV ANALYTICS www.tecsol-analytics.com michel.marcenac@tecsol.fr DEC 2011 L expérience TECSOL Bureau d étude
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l
Les maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l appel européen et à développer un plan d action pour
Plus en détailA. Secteur des services aux entreprises
A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailMaster UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie
Master UP 6 Mention Santé Publique et Management de la Santé Spécialité Pharmacologie Clinique Construire une carrière dans l industrie pharmaceutique Alain Leclerc, CTPartners 3 mars 2009 Your Executive
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailChoix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS
GUIDE MÉTHODOLOGIQUE Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS Octobre 2011 1 Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis La Plaine
Plus en détailLa politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux
La politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux Assises du Médicament GT 6 Sabine Bonnot Chargée de mission Politique des produits de santé 6 avril 2011 Sommaire: -
Plus en détailétude de fonctions rémunérations Industrie du médicament
2011 2012 étude de fonctions rémunérations Industrie du médicament & sommaire 3 Editorial Depuis plus d une décennie que Michael Page France intervient sur le marché pharmaceutique, il était grand temps
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailCharte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques
DIRECTION DE L EVALUATION DE LA PUBLICITE, DES PRODUITS COSMETIQUES ET DES BIOCIDES Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques Préambule Mise à jour 2010 Au plan mondial,
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailContrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats
Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailJuridique info. Sommaire. Médicaments. 1 Procédure pour la mise sur le marché des médicaments traditionnels à base de plantes. Actualités Législatives
Avril 2009 > numéro 22 Juridique info Le bulletin juridique de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé Sommaire 1 Actualités Législatives 1 Produits biologiques à effet thérapeutique
Plus en détailLa dégringolade des marchés financiers et les assureurs
GUYLAINE POTTIER CONSULTANTE EN ASSURANCE AUUDDI ITT EETT COONNSSEEI ILL UNNEE EEXXPPEERRTTI ISSEE OOBBJ JEECCTTI IVVEE AAUU SSEEUULL BBEENNEEFFI ICCEE DDEESS EENNTTRREEPPRRI ISSEESS Pibrac, le 5 novembre
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailNOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE
NOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE HUMAIN AVEC LEURS REPONSES CORRESPONDANTES 1 Mme S.
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012
"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 A l'occasion de son assemblée générale annuelle, le SNITEM (Syndicat National de l'industrie des Technologies Médicales)
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailSeptembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien.
Réponse de l Ordre national des pharmaciens de France au livre vert de la Commission européenne «Moderniser la directive sur les qualifications professionnelles COM/2011/367» Septembre 2011 Remarques préliminaires
Plus en détailLE TELEGRAMME DU CEPLIS
LE TELEGRAMME DU CEPLIS Conseil Européen des Professions Libérales European Council of the Liberal Professions Europäischer Rat der Freien Berufe Le Conseil Européen des Professions Libérales Coudenberg
Plus en détailComment améliorer la sécurite du médicament? Propositions du Leem
Comment améliorer la sécurite du médicament? Propositions du Leem Annexe 1 Autorisation de mise sur le marché d un médicament Annexe 2 La pharmacovigilance, un domaine très règlementé Annexe 3 La nouvelle
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailRapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine
Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine
Plus en détailQUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4. Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"?
1 1 1 1 QUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4 Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"? 2 2 2 2 QUESTION 5 QUESTION 6 QUESTION 7 QUESTION
Plus en détailConditions requises pour une informatisation réussie
Conditions requises pour une informatisation réussie Remarques préliminaires L informatique n est pas une panacée Elle ne pallie pas à une absence ou à des lacunes de gestion Elle ne remplace une gestion
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détailAinsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux :
des produits et prestations en sus des tarifs d hospitalisation renforcent la nécessité d une information partagée sur l utilisation de ces produits au sein des établissements de santé. Ainsi plusieurs
Plus en détailAcadémie nationale de Pharmacie
Académie nationale de Pharmacie RAPPORT de l Académie nationale de Pharmacie «Médicaments génériques» Rapport adopté par le Conseil de l Académie nationale de Pharmacie (24 octobre 2012) Présentation en
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailMAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits
MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLes organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives
Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Fabien Roy 1 Dans l Union européenne, les dispositifs médicaux sont gouvernés par trois directives qui sont destinées à
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailProgramme Hôpital numérique
Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détail2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire
2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailMINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE
cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE
Plus en détailDes rumeurs à l information
les cahiers de l Ordre national des pharmaciens LA QUALITE DE LA CHAÎNE DU MEDICAMENT A L HEURE DE LA MONDIALISATION Des rumeurs à l information 4 L Ordre national des pharmaciens regroupe les pharmaciens
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHÉ DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Constitution des dossiers d accessibilité Ad AP des ERP et IOP du territoire de la communauté de communes des Portes de l Ile de
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailDEVELOPPEMENT DU MEDICAMENT 4 ème, 5 ème et 6 ème année de pharmacie
DEVELOPPEMENT DU MEDICAMENT 4 ème, 5 ème et 6 ème année de pharmacie Nous proposons de nombreux stages dans différents domaines: Développement Cliniques, Affaires Réglementaires, Assurance Qualité, Gestion
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailBOURSE «JEUNES BENEVOLES VENDEENS» 2015-2016
Pôle Culture BOURSE «JEUNES BENEVOLES VENDEENS» 2015-2016 Date de l adoption par la Commission permanente : Délibération n 3-22 en date du 19 Juin 2015 1/5 1. Objectifs généraux Soutenir les projets de
Plus en détail