Commentaire du travail de l École Freudienne de Mar del Plata

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1 Commentaire du travail de l École Freudienne de Mar del Plata Je veux commencer le commentaire avec une reconnaissance au diapositif de travail qui ont pensé pour ce congrès, les dispositifs nous intéressent, les mots et les paroles nous intéressent et les relations qui s établissent à partir de certains termes. Alors ce qui a favorisé ce dispositif a été le fait que les membres de l École de Psychanalyse de Tucumán, lisent les travaux que les différentes institutions de la Convergence ont fait pour ce Congrès, ils ont fait des commentaires des deux travaux que l École a dû commenter et ont écrit des travaux avec lesquels l école a construit son propre travail, c est-à-dire, qu on a produit des rencontres variées, des entrecroisements et des articulations Travail d école et de Convergence en acte Maintenant, un commentaire bref de comment on pense et fait le Commentaire du travail avec lequel la chance nous a «clairement» favorisé, celui de l École Freudienne de Mar del Plata, un remerciement chaleureux pour un travail tellement intéressant, tellement intime, associé aux problématiques communes de nos villes, et qui nous a poussé à lire, et avec lequel on a construit un réseau de textes, à ceux qui nous semblait renvoyer le travail même qu on lisait, ce qui nous a permit d établir un parcours, un peu comme la méthode borgeana (sic) du Jardin des Sentiers qui se bifurquent qui est aussi une carte pour s orienter dans ce champs Freudo-Lacanien qu on a décidé de mettre en preuve, celui de la clinique psychanalytique avec les structures freudiennes : Névrose, Perversion et Psychose.

2 Le travail commence avec une affirmation solide : «Nous sommes les cliniques d aujourd hui». Assertion qui nous convoque et nous concerne, et qui nous a renvoyé au travail de Lacan : «Le temps logique et l assertion de certitude anticipée». Là, ce qu on affirme c est que, dépassé le temps pour comprendre, le temps presse, se précipite, à cause de l urgence du temps logique le moment de dire, c est le moment de conclure, (si je mettrais comme exemple, je dirais que le temps se bifurque en: celui dans lequel je suis en train de lire et celui dans lequel j ai écrit ce que je lis maintenant), le sujet dans son assertion atteint une vérité, (que notre commentaire interroge, soumet au doute) mais qui ne pourrait pas être vérifiée si elle n aurait pas été touchée par la certitude Il y a une antecedencia (sic) à celuici : «Nous sommes les cliniques d aujourd hui», et c est celle de l objet «a», ce quelque chose qui est nécessaire pour que cela puisse se raconter, pour qu il y ait de la place pour ce raconter de la chiffre qui est l Expérience clinique de la psychanalyse. Dans cette relation entre l objet «a» et le temps, on pourra raconter celui dont la Psychanalyse dépend. La phrase suivante : «L avenir de la Psychanalyse dépend de notre pratique d aujourd hui», m a conduit encore une fois aux relations entre la fonction de la cause et le temps, le temporel, je crois qu on pourrait bien affirmer que dans le présent, la Psychanalyse dépend de comment on fait exister la pratique. Où cela était, le sujet doit advenir. Deuxième paragraphe, la question des langues, avec lesquelles on raconte cette existence «formule parlée» de la clinique d aujourd hui Un parcours par les grands cas freudiens, Juanito, Schereber, est en train de d introduire, de se détacher.

3 Cette agréable trouvaille dans la phrase : «Le meilleur état du dire» de chaque sujet, est posé en opposition et exclusion con el DSM de la série et la mondialisation. Je pense que cette partie initiale du travail peut être lue à partir des effets du déchiffrement, la traduction et le mélange des langues, au moyen d exemple des locutions tucumanas-dixit (sic) : ce «je suis allé» temps verbal, passé composé, d usage dans notre Nord, temps où l action n a pas encore cessé, c est un temps différent au «j allai», d usage porteño (sic), où l action a cessé. On continue avec le commentaire, dans le paragraphe où Freud et ses trois Névrose, Perversion et Psychose sont mentionnés, par rapport à la psychopathologie explicitée à partir du second topique. Dans le titre des deux articles, il dit à propos de l Exclusion et de la Perversion: «Névrose et Psychose» et de l autre «Perte de la réalité en Névrose et Psychose». Il s agit d une indication très pertinente, mais de laquelle il ne dit plus. Bien sûr je suis allée relire les textes de Freud, c est-à-dire, à attacher, à faire le lien, et dans les lignes finales de Névrose et Psychose, Freud indique le besoin de continuer le travail par le côté de la scission du Moi, il l appelle «dégât dans l unicité, c est-à-dire, segmentation et partition» et à continuation Freud ajoute (et c est essentiel de le laisser indiqué) «que les conséquences, extravagances et folies des hommes, apparaissent comme les perversions sexuelles :acceptation et épargne de la Répression». Bien entendu que Freud indique la voie par laquelle poursuivre, qui serait, dit dans ses signifiants : «le mécanisme analogue à la Répression, à travers lequel le moi se débarrasse du monde extérieur, un «débit» -

4 (présence de l économie dans le pulsionnel, immédiatement abordé dans «Le problème Économique du Masochisme»)- de l investiture envoyée par le moi, (que Lacan reprendra comme des opérations de la constitution subjective, dans la structure du langage, et dans le besoin d établir la relation du sujet dans le langage et dans le discours.) Quelques années plus tard, Freud l appellerai desmentida (sic), mépris, méconnaissance, en 1927 le dit comme ça dans «Fétichisme» et à la fin de sa vie et œuvre dans «Scission du Moi». L éclaircissement du fétiche a eu pour Freud un intérêt théorique fondamental qui a été celui de «rectifier» l hypothèse ou l énoncé de 1924 l analyse de deux jeunes a permit d établir des questions intéressantes de la langue et du fétiche, et il ajoute une autre opération Freud dit : «À travers l analyse de deux jeunes je suis arrivé à savoir que tous les deux, l un à 2 ans et l autre à 10 ans, «Ne s avaient pas rendu compte» de la mort de son père, tous les deux avaient «refusé de connaitre» la mort du père et pourtant n avaient pas développé une Psychose. On passe à une autre partie du travail qui a produit des annotations intéressantes. Les commentateurs de l école ont remarqué l importance de la question sur si la jouissance présente dans la réalité clinique d aujourd hui tient dans les structures Névrose, Perversion, Psychose. On pourrait assurer la question comme une interpellation reprise dans la convocation de ce congrès et où les commentaires et le débat c est l occasion de parier au progrès de la psychanalyse en soi et par rapport aux autres discours et pratiques.

5 Deuxièmement : On pourrait considérer que la relation de chaque analyste avec les institutions de la culture et la politique (je fais référence aux institutions judiciaires, de santé, éducatives) dont il fait partie, constitue aussi une mise en preuve de la clinique psychanalytique? Troisièmement : il s agit aussi d un débat des politiques, des idéologies, du pouvoir et de la perversion des puissants, dénommé par Lacan dans «Le savoir du Psychanalyste», discours du capitalisme. Cette question est aussi installée en Argentine avec un certain secteur lacanien, qui considère que les Structures Freudiennes ne sont pas nécessaires, idée soutenue par Lacan tout au long de son œuvre. Une preuve de cette position c est qu on a déclaré comme périmé que ce que de Lacan qui ne serait que le dernier. Et maintenant on arrive à la dernière proposition de lecture de María Clara Areta, auteur du travail par l École Freudienne de Mar del Plata, qui consiste à une articulation entre le Séminaire IV, Les Relations d Objet et RSI, prend chacun des parents, introduits dans ce séminaire de , agents des opérations ou des catégories différentes, les transforme en corde, les nouant en borroméen, et obtenant à «l extraire» (sic) les trois parents le nœud RSI, soutenu par un quatrième : «Freud ou la réalité psychique ou père» et qu après Lacan appellera quatrième nœud, affirme María Clara Areta Enfin, la final revient, retourne, dans la question initiale de l Antecedencia (sic) et le «plus délicat» de faire abstraction du Nom Freud, sans faire exister son antecedencia (sic), et considère que si on propose que le «Sinthome» remplace aux structures cliniques, ça serait une dislocation, un Lacan sans Freud.

6 Peut-être, juste ici, dans cet «autre» moment de clôture puisse rentrer l impératif marplatense (sic) : «Nous sommes les cliniques d aujourd hui. L avenir de la psychanalyse dépend de notre pratique d aujourd hui» qui écrit au début je l ai trouvé plus près de la phrase avec laquelle Lacan finit, dans une note de bas de page du «Temps logique», en articulation avec Freud en «Psychologie des masses» : «le collectif n est rien que le sujet de l individuel» FELISA PUSZKIN, Par Escuela de Psicoanálisis de Tucumán

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