MUTUELLE D EPARGNE, DE CREDIT ET DE PREVOYANCE LAAFI SIRA KWIEOGO

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1 MUTUELLE D EPARGNE, DE CREDIT ET DE PREVOYANCE LAAFI SIRA KWIEOGO Agrément N Arrêté N /MFB/SG/DGTCP/DAMOF/S_IFD BP OUAGADOUGOU TEL : PRESENTATION INSTITUTIONNELLE DE LSK 2015 PHOTO DU SIEGE Edition mai 2015

2 SOMMAIRE PRESENTATION INSTITUTIONNELLE 2015 I- Présentation synthétique de LSK (mission-valeurs-but) II- Historique et évolution de LSK III- Présentation des organes (AG-CA-CC-CS) IV- Présentation de la Direction Générale V- Présentation de l équipe de management VI- VII- VIII- IX- Produits et services de LSK Présentation du réseau de LSK Espace évènements de LSK (les actions de mécénat, AG, etc.) Focus sur quelques membres bénéficiaires X- Espace partenaires XI- XII- Conclusion Annexe : Organigramme

3 PRESENTATION SYNTHETIQUE DE LSK Présentation générale de l institution : Vue administrative Désignation : Mutuelle d Epargne, de Crédit et de Prévoyance Laafi Sira Kwiéogo Forme juridique : Mutualiste à but non lucratif Année de création : 2005 Activités : Collecte de l épargne, octroi de crédit, divers services financiers et non financiers et micro-assurance Agrément : A par l Arrêté n 2005/635/MFB/SG/DGTCP/DAMOF/S_IFD Missions : offrir des services financiers et non financiers adaptés et de proximité aux acteurs du secteur informel périurbain ou semi-urbain gérant une AGR ou une MPE, notamment les femmes afin de contribuer à l amélioration de leurs revenus et conditions de vie. Vision : Etre, à l horizon 2017, un Système Financier Décentralisé (SFD) professionnel, faisant partie des 10 premiers SFD du Burkina Faso en termes d encours d épargne et de crédit, financièrement viable, active dans la réduction de la pauvreté par l offre de services financiers et non financiers adaptés et de proximité aux acteurs du secteur informel périurbain ou semi-urbain, notamment de la ville de Ouagadougou et leader dans l utilisation des nouvelles technologies dans ses opérations. Valeurs : la confraternité, la libre concurrence, la complémentarité, le respect de la diversité et de la multiplicité des SFD, la considération et le respect de l autre, la solidarité et le professionnalisme dans la mise en œuvre des activités de transparence. Présentation générale de l institution : Vue organisationnelle (chiffres au 31/12/2014) Nombre d agences : dix (10) agences appelées Kwiéogo Nombre de points de services : quinze (15) points de services appelés Kwiéogo-Déni Nombre de personnel cadre : quinze (15) Nombre d agents : soixante cinq (65) Nombre du personnel extérieur : trente (30) Encours d épargne : FCFA pour membres-clients Encours brut de crédit : FCFA pour 580 emprunteurs Montant crédit octroyé au cours de l année 2014 : FCFA pour 882 bénéficiaires NOTA BENE : les 10 Kwiéogo et les 15 Kwiéogo-Déni sont tous informatisés et interconnectés

4 HISTORIQUE ET EVOLUTION DE LA MUTUELLE La Mutuelle d Epargne, de Crédit et Prévoyance Laafi Sira Kwiéogo en abrégé LSK est une Institution mutualiste d épargne et de crédit créée en 2005 suite à la volonté de trois (03) parties, à savoir : (i) les femmes du Yaar Zemstaaba mobilisées de 1997 à 2000 dans l expérimentation du couplage crédit/santé appelée Laafi Kwiéogo ; (ii) un opérateur économique intervenant dans des œuvres caritatives et de charité avec son projet de création d une Mutuelle d Entraide Islamique pour le Développement des Activités Rurales en Afrique (MEIDAR-AFRIQUE) et (iii) un professionnel, en la personne du promoteur et Directeur Général, ayant une expérience prouvée en micro finance et en assurance. Ces trois acteurs ont pris l engagement d œuvrer ensemble pour la mise en place d un élan de solidarité et de prévoyance puisant sa source dans les valeurs africaines d entraide mutuelle, de partage et de mise en commun des ressources essentielles. Laafi Sira Kwiéogo est une combinaison de termes tirés dans les deux principales langues nationales du Burkina Faso : le "mooré" et le "dioula". "Laafi" signifie santé, paix ou salut en "mooré" ; "Sira" veut dire chemin, route ou voie en "dioula". Le "Kwiéogo" est une expression en "mooré" désignant une aire aménagée à la lisière du village pour les besoins des rites initiatiques lors des périodes cycliques de circoncision des jeunes hommes de toute la contrée ; et peut être qualifié de camp de formation et d initiation. Le "Kwiéogo" traduit alors une idée d organisation sociale pour les rites initiatiques marquant le passage de l enfance ou de l adolescence à l âge d adulte ou de maturité. Dans le domaine de la microfinance, on traduira donc le «Kwiéogo» par centre de formation et d éducation économique et sociale. Laafi Sira Kwiéogo peut ainsi vouloir signifier une organisation qui se veut une voie de salut pour les enfants, les femmes et les hommes du Burkina Faso. Laafi Sira Kwiéogo comprend également une idée de réseau à travers le "Sira" (comme par exemple un réseau routier), de structures organisationnelles et de sécurité (comme par exemple une Caisse, une banque, une Société d assurance, etc.) et une idée de prise en charge de soi-même (indépendance, autonomie, responsabilité, etc.) à travers le terme "Kwiéogo". LSK a comme slogan: «Croire en l homme avec vous» Elle a commencé ses activités le 20 juin 2005 à travers son premier Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala à l ex-secteur 30, actuel secteur 52 de la ville de Ouagadougou et a été agréée la même année, soit le 12 octobre 2005 par le Ministère de l Économie et des Finances. Son siège social est à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso et Chef lieu à la

5 fois de la province du Kadiogo et de la région du Centre. LSK a une vocation nationale, sa zone d intervention couvre le territoire national du Burkina Faso. L opérateur économique qui avait signé un protocole de financement à hauteur de cinquante millions ( ) francs CFA sur cinq (5) ans va contribuer pour moins d un millions ( ) francs CFA. Sa contribution a permis l aménagement des locaux constitués de trois (3) maisonnettes de huit (8) tôles chacune, soit environ 32m² à cent soixante seize mille quatre cent cinquante ( ) francs ; l acquisition de matériel et mobilier de bureau composé de deux (2) chaises hautes de guichet, deux (2) bancs rembourrés pour l accueil de la clientèle et un (1) bac à fiches à quatre vingt sept mille cinq cent (87 500) francs ; le paiement d une caution de trois (3) mois de loyer et d une avance de trois (3) mois de loyer pour un montant total de cent quatre vingt mille ( ) francs CFA et le paiement d une avance de trois cent mille ( ) francs CFA sur l achat d un coffre fort au prix d un million dix mille ( ) francs CFA. Le promoteur se verra ainsi contraint à se retourner vers les banques commerciales pour espérer un hypothétique financement dès les trois (3) premiers mois suivant le démarrage des activités de LSK. Il va parallèlement recourir à la consultance en vue de subvenir à ses besoins personnels et familiaux, d une part et d autre part, de soutenir financièrement l activité naissante de LSK ; celui-ci ayant perdu son emploi le 4 octobre 2004 et ayant pris la ferme décision de ne plus travailler pour le compte d une quelconque personne d où l idée de la création de LSK. L un des soucis majeurs du promoteur, avant même la naissance de LSK, portait sur l acquisition d un système d exploitation informatisé performant. Il a ainsi fait des démarches auprès de fournisseurs de solutions de gestion informatique au même moment qu il préparait le dossier de demande d agrément auprès du Ministère en charge des Finances. Mais, les coûts proposés étaient hors de portée. C est au cours d une de ses nombreuses missions parallèles de consultance que le promoteur va faire la rencontre, courant mai 2006, d un ingénieur en informatique qui travaillait pour le compte de l ONG internationale AQUADEV du nom de LY Hamadou connu sous le nom de LY Moctar. Cette rencontre va changer le cours de beaucoup de choses à LSK. L activité de LSK va prendre grâce à la mobilisation des femmes du Yaar Zemstaaba de Karpala, un quartier périphérique de la ville de Ouagadougou, que le promoteur appelait et appelle toujours affectueusement ses mamans. Ces femmes avaient à leur tête trois (3)

6 femmes très dévouées à la cause de la petite structure dont elles ont contribué à la naissance : Maman Mamounata ILBOUDO, Maman Christine MANO épouse GUIBOUGOU et Maman Marcelline NANA. Elles vont contribuer activement à un bon rythme d adhésions par la technique de communication dite «de bouche à oreilles». C est ainsi que LSK va débourser son premier crédit le 15 septembre 2006 d un montant de cent mille ( ) francs CFA au profit d un travailleur du secteur informel exerçant dans la mécanique des engins à 2 roues. Si au niveau de l activité de la jeune structure les choses bougent, les démarches auprès des banques commerciales sont infructueuses. La Maison de l Entreprise du Burkina Faso a conseillé le promoteur à approcher une banque commerciale bien spécifiée suite à sa participation aux premières Journées de l Entreprenariat Burkinabé organisées par celle-ci du 23 au 25 novembre Mais, cette initiative louable de la Maison de l Entreprise ne va rien changé dans l appréciation de la Banque. Les suites de la rencontre avec Monsieur LY vont aboutir courant septembre 2006 à une mission de diagnostic conduite par celui-ci et ayant conclu à la faisabilité de l informatisation du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala (première Agence de LSK) pour un coût subventionné de trois millions cent quatre vingt douze mille ( ) francs CFA se décomposant comme : - Frais de maintenance annuelle : FCFA ; - Mise en production : FCFA. Le promoteur va se décider à partir de mi novembre 2006 à vendre une de ses parcelles eu égard à la situation qui prévalait. En effet, outre le coût largement subventionné et inespéré cidessus et qui donnait droit gratuitement à la licence d exploitation du système d information et de gestion (SIG) «ADbanking», il fallait acquérir le matériel informatique et de bureau indispensable et réaliser des installations et aménagements de la troisième maisonnette de 8 tôles (32 m²) pour servir de bureau au promoteur. Il n était donc pas question pour le promoteur de laisser passer cette occasion inespérée d informatiser sa structure naissante. La vente de la parcelle s est réalisée le 30 novembre 2006 dans l après-midi et le produit de cette vente directement déposé dans le compte bancaire de LSK le même jour. Ce qui va permettre l acquisition du matériel informatique et de créer des conditions favorables à l informatisation qui demandait déjà la mise en réseau des ordinateurs eu égard à la configuration des trois maisonnettes ; les deux premières servant de guichet et de hall

7 clientèle étaient séparées de la troisième faisant office de bureau du promoteur et dans laquelle sera installé le serveur sur une unité centrale HP Pentium 4. L informatisation a débuté à partir de mi janvier 2007 avec la saisie de toutes les données du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala du 20 juin 2005 au 31 janvier La mise en production a commencé effectivement le 1 er février 2007 avec le traitement informatisé des opérations de la clientèle au guichet de services. Les données statistiques de LSK à fin 2006 (juste avant l informatisation) et à fin 2007 (année de l information) du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala se présentent comme suit : 1) Au niveau de l épargne et du membership Tableau 1 : Evolution de l épargne et du membership suite à l informatisation ANNEE 2007 ANNEE 2006 EVOLUTION STATUT NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE Hommes Femmes Personnes morales Groupes informels TOTAL ) Au niveau du crédit Tableau 2 : Evolution du crédit octroyé suite à l informatisation ANNEE 2007 ANNEE 2006 ANNEE 2005 STATUT NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE Hommes Femmes Personnes morales Groupes informels TOTAL

8 Tableau 3 : Evolution de l encours du crédit suite à l informatisation ANNEE 2007 ANNEE 2006 EVOLUTION STATUT NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE Hommes Femmes Personnes morales Groupes informels TOTAL L informatisation va contribuer à crédibiliser l initiative et pousser le promoteur à introduire une demande d une ligne de découvert de cinq millions ( ) francs CFA auprès de sa banque par une lettre datée du 12 mars Cette demande d une ligne de découvert ne connaitra pas une issue favorable malgré les multiples démarches du promoteur qui ne se décourage pas du reste. Le promoteur a vite compris qu avec l outil informatique, il avait intérêt à ouvrir d autres points de services afin d assurer la survie de son initiative. C est ainsi qu après une rencontre le 22 mai 2007 avec un des fondés de pouvoir de la banque qui lui a laissé clairement comprendre que la banque ne le financera pas, il décidera le même jour de vendre ses deux (2) dernières parcelles jumelées sises au quartier Wayalghin (ex secteur 27 et actuel secteur 42 de la ville de Ouagadougou). Il va, malgré tout, réintroduire auprès de sa même banque une lettre de demande de réexamen de son dossier de demande d une ligne de découvert datée du 23 mai En fait, cette lettre tentera de donner des explications à la banque sur la raison ayant motivé le rejet de sa demande d une ligne de découvert (compte resté inactif pendant près de 10 mois). La vente des deux (2) parcelles jumelées s est réalisée le 29 mai 2007 et le produit de cette vente a été directement déposé sur le compte bancaire de LSK comme précédemment. Le local devant abriter le second Kwiéogo sis en face du Marché des engins à 2 roues appelé Marché du Théâtre Populaire avait été identifié et les conditions de location négociées et conclues dès le début du mois de mai Les travaux d aménagement des guichets et d installation interne et l acquisition du matériel informatique et de bureau vont prendre moins de deux (2) semaines. Le Kwiéogo du Marché

9 du Théâtre Populaire (seconde Agence de LSK) va en effet ouvrir ses portes dès le 11 juin Le promoteur s était fixé pour objectif de réussir l ouverture de trois (3) Kwiéogo ou Agences en trois (3) ans. L informatisation du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala et l ouverture du Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire vont conforter le promoteur dans sa vision au regard des données statistiques sur l épargne et le membership à fin 2007 se présentant comme suit : Tableau 4 : Statistiques sur l épargne et le membership à fin 2007 (année de l informatisation) KWIEOGO YAAR KARPALA KWIEOGO THEATRE POP. CONSOLIDE STATUT NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE NOMBRE EPARGNE Hommes Femmes Personnes morales Groupes informels Groupes solidaires TOTAL Le fait majeur qui a failli emporter l initiative en construction et réduire à néant les efforts et les sacrifices du promoteur va intervenir vers fin mai et début juin de l année En effet, un membre-client du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala ayant déposé la somme d un million sept cent ( ) francs en début avril 2008 et qui faisait des retraits de petites sommes d argent (inférieures à francs CFA) va se présenter aux guichets dudit Kwiéogo le 27 mai pour un retrait de la somme d un million ( ) francs CFA. Il se trouvait que la situation de la trésorerie de la jeune structure était très critique pendant cette période. Le total des avoirs en banque était de deux vingt mille ( ) francs tandis que la liquidité disponible était respectivement de moins de deux millions cinq cent mille ( ) francs CFA au Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala et de moins de quatre millions cinq cent mille ( ) francs CFA au Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire. Le risque était de satisfaire le membre-client pour son retrait et être dans l incapacité d honorer les éventuels retraits même de petites sommes d argent au Kwiéogo de Karpala avec ses conséquences immédiates : une ruée des membres-clients pour retirer leur épargne et

10 c est la faillite totale. L épargne du Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire était très volatile et il était encore plus risqué de tenter de résoudre le problème de retrait du membreclient par appel de fonds auprès de celui-ci. Les Caissières des deux Kwiéogo et le promoteur étaient tous conscients du danger que représentait ce retrait sur la survie de leur entreprise commune ; car ils savaient pertinemment que les périodes de fin de mois sont marquées par des retraits au détriment des dépôts. Le promoteur va passer la semaine la plus mauvaise de sa vie ne sachant pas à quel saint se vouer pour sauver sa tête. Toutes les démarches qu il a entreprises pour avoir la somme nécessaire sont restées vaines et le membre-client manifeste ouvertement et de plus en plus son impatience ne voulant rien comprendre aux promesses répétées qui lui sont faites par les Caissières qu il aura son argent demain. C est la mort dans l âme et au bord des larmes que le promoteur va se présenter en plein midi au bureau de Mme KY Cécile de la MUFEDE-B (Mutualité Femmes et Développement-Burkina), une Institution de Microfinance sœur, le mercredi 4 juin 2008 pour lui demander de l aide. Mme KY va consoler le promoteur en lui disant qu elle-même a connu exactement cette situation de retrait problématique et qu elle s en est sortie miraculeusement. Elle poursuivra en disant que sa structure connaissait aussi des difficultés financières et il lui était difficile de pouvoir lui venir en aide financièrement. Mais, elle lui expliquera qu elle était administrateur d une banque commerciale de la place et qu elle va toucher immédiatement le Directeur Général pour lui poser le problème en vue d une solution ; ce qui fut fait. C est ainsi que le promoteur se présentera à ladite banque l après-midi du 4 juin 2008 et ouvrira pour la quatrième fois un compte bancaire avec la somme de vingt cinq mille (25 000) francs. Il sera invité à repasser à la banque le lendemain pour les formalités de mise en place d une ligne de découvert d un million ( ) francs CFA après plusieurs échanges de coups de fil entre le promoteur et Mme KY, entre Mme KY et le Directeur Général de la banque et entre le Directeur Général de la banque et ses agents. La journée du jeudi 5 juin connaîtra le même sort que la journée précédente avec plusieurs échanges de coups de fil. Le vendredi 6 juin 2008 la ligne de découvert est mise en place sans qu une garantie ne soit demandée ; ce qui va permettre au membre-client de pouvoir enfin faire, le même jour, le retrait du million de son compte à 11h49mn précises au Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala.

11 La situation de la trésorerie de LSK à la clôture de la journée du jeudi 5 juin 2008 (veille de la journée de mise en place de la ligne de crédit) et de quelques journées antérieures se présentait comme suit en francs CFA : Tableau 5 : Situation de la trésorerie durant la période la plus critique qu a connue LSK ENCAISSE ENCAISSE AVOIR TOTAL DATE KWIEOGO KARAPALA KWIEOGO THEATRE POPULAIRE EN BANQUE TRESORERIE 23/05/ /05/ /05/ /06/ Cette ligne de découvert bancaire d un million ( ) francs CFA va sauver LSK qui pourra déposer auprès de cette banque et avant même la fin du mois de juin 2008 la somme de six millions ( ) francs se décomposant comme suit : le 24/06/2008 : FCFA ; le 26/06/2008 : FCFA ; le 27/06/2008 : FCFA. LSK aura recours à la ligne de crédit une seule fois respectivement en octobre et novembre Le gestionnaire du compte bancaire de LSK va conseiller le promoteur vers la fin du mois de nombre 2008 d apporter une garantie matérielle en vue de la régularisation de la ligne de découvert qu il portera à cinq millions ( ) francs CFA. Le promoteur avait expliqué courant 2007 à un de ses tuteurs lorsqu il était élève du secondaire, le vieux Ousmane BARRY de Kalgodin, les soucis de garantie matérielle qu il avait dans ses démarches auprès des banques commerciales en vue de contracter un prêt pour soutenir l activité qu il a créée en Le vieux BARRY avait accepté de lui donner une de ses cours sise à l ex-secteur 17, actuel secteur 26 de la ville de Ouagadougou eu égard à l honnêteté et au respect vis-à-vis de lui que le promoteur avait fait preuve depuis leur connaissance dans les

12 années Il a toujours considéré le promoteur comme son fils qu il a accepté accueillir chez lui d octobre 1986 à septembre 1987 lorsque ce dernier avait de sérieuses difficultés pour se loger et poursuivre ses études après l obtention du BEPC (Brevet d Etudes du Premier Cycle) en juin C est étant logé chez le vieux BARRY que le promoteur a obtenu son baccalauréat en juillet Le promoteur avait su maintenir ce lien familial qui était né entre la famille du vieux BARRY et lui. C est donc sans difficulté que la ligne de découvert a été portée à cinq millions ( ) francs CFA courant décembre Le nombre de fois que LSK va recourir à la ligne de découvert sur la période allant du 6 juin au 31 décembre 2008 inclus se présente comme suit : Tableau 6 : Nombre de fois que LSK a eu recours à la ligne de crédit de juin à décembre 2008 DATE OPERATION NATURE OPERATION MONTANT SOLDE AVANT SOLDE APRES DATE COUVERTURE 06/06/2008 Retrait espèces par chèque /06/ /10/2008 Retrait espèces par chèque /10/ /11/2008 Retrait espèces par chèque /11/ /12/2008 Retrait espèces par chèque /12/ /12/2008 Retrait espèces par chèque /12/ /12/2008 Retrait espèces par chèque NOTA BENE : Le montant du découvert qui restait à couvrir à la date du 31 décembre 2008 était de cinq cent mille ( ) francs CFA contre un solde dû à la banque de huit cent dix huit mille deux cent quarante deux ( ) en raison des divers frais bancaires. Le montant de la ligne de découvert sera porté à dix millions ( ) francs CFA au renouvellement de Mais, le vieux BARRY va se présenter directement à la banque pour réclamer avec véhémence sa garantie matérielle et empêcher le renouvellement de la ligne de découvert qui arrivait à échéance courant novembre La garantie matérielle sera remise, contre la volonté du promoteur, au vieux Barry vers fin 2010 et début 2011 après des péripéties qu il est inutile de rappeler ici. C est contre toute attente que LSK va connaître une augmentation spectaculaire de son épargne après cette restitution forcée de la garantie matérielle qui va permettre la constitution rapide d un dépôt à terme (DAT) de vingt millions ( ) francs CFA en deux temps : dix millions ( ) francs CFA le 13 avril 2011 suivi d une augmentation du DAT du même montant le 17 mai La ligne de découvert sera alors renouvelée courant juin 2011 à hauteur de quinze millions ( ) francs pour une garantie financière (le DAT de 20

13 millions) couvrant le risque à 133⅓%. Depuis lors les lignes de découvert de LSK sont assises sur des garanties financières qui couvrent le risque à plus de 100%. Le promoteur a introduit, de 2006 à mai 2008, cinq (5) dossiers de demande de financement auprès de quatre (4) banques commerciales sans succès. Il a avait à sa disposition une garantie matérielle (une cours construite sur une parcelle de 475 m² de superficie) évaluée à un peu moins de dix neuf millions ( ) francs CFA. Il a également introduit deux (2) dossiers de demande de financement respectivement en 2007 et en 2009 auprès de l Unité Technique d Exécution du Plan d Action de la Stratégie Nationale de Microfinance du Gouvernement du Burkina Faso qui connaîtront le même sort que les premiers ci-dessus cités. Il a même fait des démarches auprès de Systèmes Financiers Décentralisés (Institutions de Microfinance) courant juillet et novembre 2009 en vue d obtenir un refinancement. Ces démarches matérialisées par deux (2) lettres datées respectivement du 29 juillet 2009 et du 25 novembre 2009 ont été aussi infructueuses. Par ailleurs, le promoteur va réussir son pari à ouvrir trois (3) Kwiéogo en trois (3) en ouvrant la troisième Agence (Kwiéogo du 14 Yaar de l ex-secteur 28 de la ville de Ouagadougou) le 11 décembre Le 4 avril 2009, le Kwiéogo LSK-GEFED de Koudougou ouvrira ses portes lors de la cérémonie officielle d inauguration du Centre polyvalent d éducation fonctionnelle de GEFED (Gestion d Entreprises, Formation et Education au Développement). Monsieur Jean-Baptiste TONDE, Directeur Général et promoteur de GEFED avait rencontré le promoteur de LSK au début de l année 2009 sur recommandation d un de ses amis et partenaires. Monsieur TONDE avait l intention de créer une structure de microfinance à partir du volet Microfinance de GEFED et cherchait à échanger avec une personne ressource avisée. C est ainsi qu est née l idée de partenariat pour l ouverture du Kwiéogo LSK-GEFED à Koudougou. Le promoteur qui vivait de ses travaux de consultation depuis la perte de son emploi le 4 octobre 2004 sera contraint, à partir de l année 2008, de redoubler d efforts dans ce domaine tout en assurant tout seul le suivi des activités des entités qu il a réussi à créer contre vents et marées. Sur le plan de la consultance, les choses lui seront très favorables à partir de la seconde moitié de l année C est ainsi qu il réussira à injecter plus d une dizaine de millions dans LSK au cours de la période allant de juillet 2008 à décembre 2009 ; c est ce qui a facilité l ouverture des deux derniers Kwiéogo ci-dessus cités. Mais, il décidera vers la fin

14 de l année 2009 de cesser ses travaux de consultation pour se consacrer entièrement à LSK dès janvier 2010 ; ce qui fut fait. Toutefois, le promoteur ne va percevoir une rémunération de LSK qu en septembre 2010 avec un rappel de huit (8) mois sur la base d une rémunération mensuelle de deux cent mille ( ) francs CFA. La rémunération mensuelle de deux cent mille ( ) francs CFA du promoteur restera constante de 2010 à 2011 pour passer à deux cent cinquante mille ( ) francs CFA en L idée de l interconnexion des Kwiéogo va germer dans la tête du promoteur à partir de l année Le partenaire GEFED avait ouvert avec l accord de LSK un point de services au sein de son Centre polyvalent d éducation fonctionnelle afin de faciliter le traitement des opérations portant sur le crédit et les opérations des membres-clients qui s y présentaient. Les opérations du Centre étaient traitées manuellement ; ce qui constituait un énorme souci pour le promoteur qu il partagera avec Monsieur LY. Ce dernier va mettre le promoteur en contact avec la société OMEGA TECHNOLOGIES, fournisseur de solutions d interconnexion. La mission de diagnostic des sites de Koudougou en vue de la réalisation de l interconnexion par boucle locale radio (BLR) a été effectuée le 22 octobre Cette mission était composée du promoteur, de Monsieur Hamadou Moctar LY et de Monsieur Lassana KABORE, Chef de projets informatiques à OMEGA TECHNOLOGIES et promotionnaire de Monsieur de LY. LSK va débourser, le 4 novembre 2010, la somme de cinq cent quatre vingt trois mille deux cent quarante ( ) francs CFA en guise d avance sur l installation de l interconnexion des deux (2) sites de Koudougou qui serviront, dans l entendement du promoteur, comme sites pilotes. Mais, Monsieur TONDE de GEFED se montra très réservé, voir même opposé à l idée d interconnecter ses deux (2) sites. Le promoteur se décidera, dès le mois de mai 2011, au regard des réticences de Monsieur TONDE d interconnecter les sites (points d affaires) de Ouagadougou. L étude de faisabilité de cette interconnexion montra qu il faut avoir au moins deux (2) points situés en hauteur ; c est-à-dire sur des bâtiments à niveau afin de minimiser les coûts de l interconnexion liés aux pylônes notamment. Il se trouvait qu en ce même moment le promoteur était à la recherche de locaux pour l ouverture d une Agence (Kwiéogo) et de deux Points de services ou Guichets (Kwiéogo-Déni). C est ainsi que le Kwiéogo du Yaar de Bendogo a ouvert ses portes le 1 er août 2011 au rez-de-chaussée d un immeuble sur lequel est implanté le 1 er pylône des

15 installations d interconnexion des sites (points d affaires) de LSK dans la ville de Ouagadougou. L interconnexion par BLR des sites de LSK se fera à partir du mois de septembre 2011 concomitamment avec l ouverture respectivement le 5 septembre 2011, du Kwiéogo-Déni (Guichet ou Point de services) de Balimbatin rattaché au Kwiéogo du 14 Yaar et le 3 octobre 2011, du Kwiéogo-Déni du Yaar de Song-Naaba rattaché au Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire. Ce dernier Kwiéogo-Déni occupe également le rez-de-chaussée d un immeuble sur lequel est implanté le second pylône des installations d interconnexion de LSK dans la ville de Ouagadougou. Outre ces deux chantiers (interconnexion et ouverture de points d affaires), le promoteur travaillait parallèlement et sur conseil toujours de Monsieur LY sur une solution de télécollecte de la petite épargne par le biais de terminaux de paiement électronique (TPE) qui va avoir un réel impact sur l enracinement de LSK dans son environnement. Monsieur LY prendra part activement dans la réalisation de cette solution innovante en participant au développement de celle-ci qui a consisté à automatiser la collecte d un produit d épargne de LSK appelé «Soure-souré» en langue nationale mooré (équivalent à l expression française «petit à petit, l oiseau fait nid»). La solution de la télécollecte de l épargne «Soure-souré» par TPE a été lancé le 1 er novembre 2011 avec une sortie sur le terrain dès 6 heures du matin d une équipe composée du Promoteur, de Monsieur LY et de Mlle Alimata KABORE, premier agent TPE de LSK. L abattoir de Saaba a été le site pilote pour le lancement de la solution de télécollecte de l épargne «Soure-souré» et les bouchers qui y gagnent leur pain quotidien, les premiers membres-clients de LSK par le moyen de cette technologie innovante. Si l année 2011 a été une année charnière au cours de laquelle des bases ont été jetées pour un réel enracinement de LSK dans le paysage de la Microfinance du Burkina Faso, l année 2014 a été l année de l expansion de LSK comme en témoigne l évolution des points d affaires présentée aux tableaux ci-après : Tableau 7 : Evolution des points d affaires de LSK depuis sa création EVOLUTIONS DES POINTS D'AFFAIRES DEPUIS LA CREATION DESIGNATION AGENCES ou KWIEOGO GUICHETS ou KWIEOGO-DENI TOTAL POINTS D'AFFAIRES

16 Tableau 8 : Evolution des points d affaires de LSK selon le lieu d implantation EVOLUTION DU NOMBRE DES AGENCES OU KWIEOGO LIEU D'IMPLANTATION OUAGADOUGOU KOUDOUGOU TENADO TENKODOGO GARANGO TOTAL KWIEOGO EVOLUTION DU NOMBRE DES GUICHETS OU KWIEOGO-DENI OUAGADOUGOU KOUDOUGOU TOTAL KWIEOGO-DENI TOTAL POINTS D'AFFAIRES LSK a entrepris à partir de l année 2012 une politique de construction de sièges adéquats pour ses agences et guichets en vue de renforcer son image et sa crédibilité auprès de sa clientèle et de son public cible. En effet, six (6) Agences et Guichets ont vu leur siège respectif construit avec la contribution financière de LSK auprès des bailleurs de 2012 à 2014 qui se présentent comme suit : i) le nouveau siège du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala (construit en 2012 et occupé courant 2013) ; ii) iii) iv) le nouveau siège du Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire devenu le Siège social de LSK (construit en 2013 sur un bosquet sacré en plein cœur de la ville Ouagadougou administré par le Samandin Naaba Koanga avec l autorisation de celui-ci et occupé courant 2014) ; le siège du Kwiéogo de Koudougou (construit courant février à août 2013 et fonctionnel à partir du 20 septembre 2013) ; le siège du Kwiéogo-Déni de Toukin Yaar de Somgandé (construit courant décembre 2013 à janvier 2014 et fonctionnel à partir du 9 février 2014) ; v) le siège du Kwiéogo-Déni de Arb Raaga de Tanghin (construction achevée par financement de LSK courant février à septembre 2014 et fonctionnel à partir du 22 septembre 2014) ;

17 vi) le siège du Kwiéogo du 10 Yaar (construction achevée par financement de LSK courant février à septembre 2014 et fonctionnel à partir du 5 février 2015). Les membres du Comité de gestion du Kwiéogo du Yaar Zemstaaba de Karpala, notamment Messieurs Souleymane dit Lassané OUEDRAOGO et Issouf KOUANDA, ont joué un rôle important dans la recherche d une parcelle de proximité et les négociations avec le bailleur pour la construction du nouveau siège de leur Kwiéogo. Pour ce qui est du nouveau siège du Kwiéogo du Marché du Théâtre Populaire servant de Siège social de LSK, c est Monsieur Pascal TIENDREBEOGO, Président du Comité de gestion dudit Kwiéogo qui a d abord convaincu le promoteur et ensuite conduit de bout en bout les négociations auprès du Samandin Naaba et de ses notables pour obtenir l autorisation de construire sur le site du bosquet sacré sur une superficie délimitée de m². Ce sont des personnes ressources, pour la plupart de membres-clients de LSK, qui ont œuvré pour l obtention de sites bien situés et à proximité de marchés ou yaars (petits marchés en langue nationale «mooré») sur lesquels sont érigés les sièges de la quasi-totalité de ses Agences et Guichets. LSK reçoit, en effet, de plus en plus de demandes l invitant à ouvrir des Agences ou Guichets aussi bien dans des localités où elle est présente que dans des localités où elle n est même pas présente. Enfin, LSK n a reçu de subvention directe avec mise à disposition de fonds liquides qu auprès d Entrepreneurs du Monde, une Association française de solidarité internationale dont l appui financier se présente comme suit : Tableau 9 : Appui financier reçu de l Association Entrepreneurs du Monde DESIGNATION TOTAL Subvention d'exploitation Dotation en fonds de crédit Total En effet, le Fonds d Appui Technique à l Expertise Locale (FATEL) du Programme de Renforcement des Organisations de Microfinance en Afrique (PROMIA) de l ONG Internationale AQUADEV a financé à hauteur de 85% les frais liés à la prestation de services (subvention d équipement) dans le cadre de la migration de la version 2 à la version 3 du SIG ADbanking. La mission ayant conduit cette opération de migration a été effectuée du 20 août au 3 septembre 2009 par Messieurs Hamadou Moctar LY, en qualité de consultant et Mamane ILLIASSOU, informaticien à ADfinance Niger. Le coût de cette mission de

18 migration qui inclut l acquisition de la licence et les frais de maintenance se présente comme suit : Tableau 10 : Coût de la mission de migration de la version 2 à la version 3 ELEMENTS COÛT CONTRIBUTION DU FATEL COÛT SUPPORTE % MONTANT PAR LSK Prestation services de migration ,00% Licence pour clients ,00% Frais de maintenance ,00% TOTAL

19 PRESENTATION DES ORGANES LSK est régie selon les principes mutualistes ; l adhésion est libre et volontaire. Son fonctionnement repose sur les bases démocratiques «un homme-une voix» quel que soit le nombre de parts sociales détenues par les membres. Elle comprend les organes suivants : - Une Assemblée Générale ; - Un Conseil d Administration ; - Un Comité de Contrôle ; - Un Comité de Crédit ; - Des Assemblées Générales de Secteur ; - Des Comités de Gestion. L Assemblée Générale L Assemblée Générale de LSK est l instance suprême de l institution. Elle est composée de délégués désignés en assemblées sectorielles des Kwiéogo convoqués et réunis à cette fin. Elle se réunit au moins une fois par an dans les six (6) mois suivant la clôture de l exercice social, en vue d adopter le rapport d activité de l exercice, d examiner et d approuver les comptes de l exercice, de donner quitus aux membres des organes de gestion, et de procéder au renouvellement en cas de clôture de mandat. Le Conseil d Administration Élu pour un mandat de trois (3) ans renouvelable au tiers chaque année, le Conseil d Administration de LSK est l organe de gestion de l institution. Il assure le respect des prescriptions légales, réglementaires et statutaires ; il définit ou approuve les politiques administratives de LSK et rend compte de son mandat à l assemblée générale ; il règle à l amiable les différends qui pourraient exister entre les Kwiéogo et/ou leurs membres ; définit ou approuve les objectifs de performance et de qualité à atteindre et d une manière générale, met en application les décisions de l assemblée générale. Le Comité de Contrôle Le comité de contrôle est chargé de la surveillance de la régularité des opérations de LSK et du contrôle de sa gestion. Il s assure de la conformité des opérations aux dispositions

20 réglementaires, veille aux corrections des probables lacunes issues des missions d inspection et au respect des règles de déontologie et de déclarations d intérêt. Il est aussi chargé de recevoir et traiter les plaintes des membres ainsi que de proposer des règles relatives à la protection des intérêts de LSK. Le Comité de Crédit Le comité de crédit (CC) est composé de cinq (5) personnes minimum et sept (7) au maximum, désignées par l assemblée générale parmi le personnel de LSK pour une durée d un (1) an renouvelable sans limitation. Il se réunit aussi souvent que l exigent les besoins d examen de dossiers de crédit. Les Assemblées Générales de Secteur Une assemblée sectorielle du Kwiéogo comprend l ensemble des membres des Kwiéogo et des Kwiéogo-déni rattachés, convoqués et réunis à cette fin. Elle a pour compétences de : (i) s assurer de la saine administration et du bon fonctionnement du Kwiéogo ; (ii) d élire les membres du comité de gestion du Kwiéogo ; (iii) d adopter les rapports d activités du comité de gestion du Kwiéogo et (iv) de désigner les représentants du Kwiéogo aux assemblées générales de LSK. A l exception de la disposition relative à l élection des membres du comité de gestion, l assemblée de secteur peut déléguer certains de ses pouvoirs au comité de gestion ou à tout autre comité du Kwiéogo. Les Comités de Gestion Le Comité de Gestion d un Kwiéogo veille, par délégation de pouvoir du Conseil D administration, au bon fonctionnement et à la bonne gestion du Kwiéogo. A cet effet, il est chargé notamment : i) de veiller au niveau du Kwiéogo, à l application des décisions et résolutions prises par le Conseil d administration de LSK ; ii) de favoriser une solution à l amiable des différends que peuvent lui soumettre les membres du Kwiéogo ; iii) de mettre en application les décisions de l assemblée de secteur ou/et de l assemblée générale de LSK ; iv) d agir par délégation de pouvoir du conseil d administration de LSK conformément aux statuts, règlement et politiques de délégation ; v) de veiller par délégation à la gestion du crédit au niveau du Kwiéogo, le cas échéant ; vi) d appuyer le personnel technique du Kwiéogo à recouvrer les crédits compromis ; v) d une manière générale, d initier en accord avec le conseil d administration toute action visant le développement coopératif du Kwiéogo.

21 PRESENTATION DE LA DIRECTION GENERALE La gestion quotidienne de LSK est conduite et supervisée par une Direction Générale qui relève du Conseil d Administration. Le Directeur Général exerce ses fonctions sous l autorité du conseil d administration telles que définies par le règlement intérieur de LSK. Il a sous sa responsabilité directe l ensemble du personnel. Il est le premier responsable de l'exécutif. Il reçoit des instructions des présidents des organes délibérants ; transmet ces instructions à ses services pour exécution et compte rendu. Il rend compte aux organes délibérants sur les activités par des rapports périodiques ou sur demande en cas de nécessité et à tout moment. Le Directeur exerce son autorité sur l ensemble des services de la LSK. Ses instructions et ordres transitent par les chefs de service qui servent de courroie de transmission entre lui et les agents. Le Directeur suit toutes les activités et assure leur coordination. De façon spécifique mais à titre indicatif, ses activités se détaillent comme suit : la mise en œuvre de la politique générale de LSK définie en Assemblée Générale ; l'organisation et la supervision de la gestion quotidienne de LSK ; la définition de la politique et de la stratégie de développement de LSK ; la représentation de LSK vis-à-vis des tiers dans le cadre de ses fonctions ; la coordination des différents services par des réunions régulières (il préside le Comité de Direction) ; Le Comité de Direction (CD) regroupe le Directeur Général, le Directeur Administratif et Financier, le Directeur du Crédit, les responsables des services centraux et le Contrôleur Interne. Il se réunit une fois par mois (ou à tout moment en cas d urgence) et est présidé par le Directeur Général. Il discute des grandes questions de la LSK et définit les actions à mettre en œuvre, avec définition des responsabilités. Le CD peut faire appel à d autres agents ou à des personnes ressources de référence si leur présence s avérait nécessaire par rapport à l ordre du jour. Un procès-verbal est dressé à chaque réunion. A la prochaine réunion, le premier point à inscrire à l ordre du jour est le suivi des décisions et recommandations de la précédente assise. Au CD, chaque responsable fait le point de ses activités, des difficultés rencontrées et sollicite des approches de solutions auprès des autres membres.

22 Présentation de l équipe de management : Présentation individuelle des compétences En sus, de la présentation des organes dirigeants de LSK, une présentation individualisée de l équipe managériale qui anime les activités de LSK est dressée comme suit : BOUREIMA DAMBRE Directeur Général et Promoteur de LSK Titulaire d un DUT en finance/comptabilité de la session de juin 1990, il fait ses premiers pas dans la vie professionnelle à l Hôtel EDEN PARK à Ouagadougou au poste de Contrôleur des ventes en avril-mai de l année 1991 avant de rejoindre en juin de la même année le Réseau des Caisses Populaires du Burkina (RCPB). Il fait partie des trois (3) premiers Inspecteur- Vérificateur du RCPB, le plus grand réseau de Microfinance du Burkina Faso. Il va très vite s imposer comme un meneur d hommes doté de qualités exceptionnelles et se verra ainsi confié, de novembre 1994 à octobre 1996, un mandat d appui professionnel à l Union Régionale des Caisses Populaires de la Bougouriba, actuellement Union Régionale des Caisses Populaires du Sud Ouest (URCPSO) en plus de ses tâches d inspecteur. C est à la fin de son mandat qu il décidera de quitter le RCPB pour diriger, de janvier à décembre 1997, le Projet FAARF/OMS «Crédit-Santé» initié conjointement par l OMS et le PNUD pour une expérimentation du couplage micro-crédit et financement de la santé au poste de Coordonnateur. Il collaborera, de janvier à juin 1998, avec un Cabinet d expertise comptable où il conduira, dans ce petit laps de temps, de nombreuses missions d Audits externes et de suivi comptable qui le conduiront à la Générale des Assurances à partir de mi juin De juin 1998 à

23 octobre 2004, il occupera, successivement, les postes de Chef comptable, de Directeur Administratif et Financier par intérim et de Contrôleur Interne, chargé de la Réassurance au sein de cette compagnie d assurances. Il sera victime de son intégrité morale et de son refus de la compromission ; car il sera licencié le 4 octobre 2004 après avoir dénoncé les comportements non recommandables de son Directeur Général. Il décida alors de créer sa propre structure de microfinance en reprenant l expérience qu il avait initiée d août 1997 à octobre 2000 parallèlement à ses activités professionnelles. Cette expérience baptisée «Laafi Kwiéogo» et inspirée de l expérimentation du couplage microcrédit et financement de la santé lui avait permis de travailler avec des trois (3) groupes de femmes qui lui seront très utile par la suite. C est en effet sur les cendres de cette expérience que naîtra Laafi Sira Kwiéogo en juin Monsieur DAMBRE se décidera à préparer, avec l ouverture de l enseignement supérieur privé une Maîtrise en Sciences et Techniques Comptables et Financières (MSTCF) à l Institut Supérieur d Administration et de Management (INSAM) de 2004 à Il obtiendra en 2009 un DESS en Gestion de la Micro Entreprise du Centre International d Etudes Supérieures Appliquées (Edmundston, CANADA) après dix huit (18) mois de préparation. Il est une référence dans le secteur de la Microfinance du Burkina Faso et est désigné par ses collaborateurs comme un dirigeant sobre et ardu au travail. On lui dédie la personnalité d un leader animé d une grande vision et un véritable champion de l innovation financière. L ensemble des appellations en langue nationale des produits et services de LSK de même que l originalité du nom de la mutuelle «Laafi Sira Kwiéogo» en est un des nombreux exemples illustratifs. BONI KAKO Contrôleur Interne à LSK Titulaire d un BTS d Etat en Finance comptabilité et d un Brevet Professionnel en Microfinance de l APSFD/BF, il débute sa carrière en Octobre 2004 à l Union Régionale des Caisses Populaires du Sud-ouest en qualité de Contrôleur et Auditeur Interne. Mr BONI

24 poursuivra sa vocation professionnelle à la Caisse Populaire de Houndé où il occupa le poste de Chef d Agence de 2010 à Octobre En fin 2012, il rejoindra l équipe du Cabinet Afrique LONNYA qu il servira en qualité de comptable. Très vite, le contrôle interne des SFD le passionne à nouveau ; nous sommes en Juillet Il occupe le poste de Contrôleur Interne à la Caisse des Producteurs du Burkina (CPB) où il y demeurera jusqu en janvier Depuis fin Janvier 2015, Mr BONI est compté dans l équipe de La Mutuelle d Epargne, de Crédit et de Prévoyance Laafi Sira Kwiéogo (LSK) où il dirige le département du Contrôle Interne avec pour fonction Contrôleur Interne. Discret, méticuleux et animé d un esprit de clarté, Mr BONI est fort de douze ans d expérience dans le domaine de la Microfinance. A son actif, on lui reconnait des compétences avérées sans doute acquis en plus de ses études professionnelles et de ses talents personnels, ses multiples formations reçues en Comptabilité des SFD, en Contrôle Interne et en Gestion. SANOU Guy Martial Directeur Administratif et Financier Avec un sens des relations des Ressources Humaines remarquable, il a une expertise dans le domaine de la gestion comptable. De la comptabilité des entreprises commerciales ordinaires à celle des SFD, Mr SANOU totalise une expérience de vingt cinq ans dans ce domaine. Pendant six ans, à l Entreprise Générale TIENDREBEAOGO et Frères (EGTF), il s occupera de la comptabilité de cette société. A partir de 1998, il entame sa carrière dans le secteur de la Microfinance où il est accueilli par l institution de Microfinance Mutualité Femmes et

25 Développement du Burkina (MUFEDE-BURKINA) où il dirigera le Service Administratif et Financier en qualité de Responsable Administratif et Financier jusqu en Courageux et intègre, il abandonnera tout travail de bureau pour se consacré au travail de ses ancêtres, l agriculture de 2008 à Il rejoindra l équipe de LSK en septembre 2011 par l intermédiaire de Monsieur Hamadou Moctar LY et occupe le poste de Directeur Administratif et Financier. Avec une capacité d analyse pointue, il incarne le cadre rigoureux et ardu au travail. Ces compétences transversales sont renforcées par les nombreuses formations professionnelles qu il à a son actif notamment dans le domaine de la comptabilité, de la gestion de la trésorerie, de l analyse financière des SFD. Par ailleurs, membre du Comité de Crédit de LSK, Mr SANOU est titulaire d un Brevet d Etude Professionnelle en Comptabilité. LY Hamadou Conseiller Technique en SIG Ancien Responsable du département appui à l informatisation de l ONG internationale AQUADEV, Monsieur Hamadou LY, plus connu sous le nom LY Moctar, actuellement Directeur de COTIS GROUP a développé une forte expertise dans le domaine de l informatisation, de la conception des SIG des institutions de microfinance. Il a débuté sa carrière comme assistant technique en Informatique de l ONG AQUADEV où il a participé au développement et au déploiement de l application ADbanking.-Php-apache postgresql sous Linux. A partir de Juillet 2008, il occupera le poste de Responsable du département appui à l informatisation de l ONG AQUADEV BURKINA. De juillet 2008 à Juillet 2010, il est nommé Responsable de l équipe de support / ADFinance- Rwanda (SARL), poste dans lequel il a été chargé de la mise en place de l application de gestion des Institutions de Microfinance ADbanking, du Diagnostic des besoins, de la formation des utilisateurs, de la maintenance de l application et de l analyse des besoins et

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