TRANSFUSION : ASPECTS REGLEMENTAIRES

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1 TRANSFUSION : ASPECTS REGLEMENTAIRES Dr Philippe RENAUDIER Coordonnateur Régional d Hémovigilance et de Sécurité Transfusionnelle Formation régionale des IDE des service urgences de Lorraine Nancy 27 mai 2015

2 Objectif : rappeler la réglementation Méthode : étude de cas 2

3 LA SITUATION Madame Dupond Marie-Françoise, 72 ans, a eu une PTH droite ce matin pour coxarthrose. Elle est ECOG = 0, Asa = 1. Tout s est bien passé. Il est 14h30 et elle revient de SSPI dans le service. Elle est dans une chambre à 2 lits, à côté de Mme Dupont Marie-Louise, 73 ans. Sur prescription, vous pratiquez un Hemocue et l Hb est à 76 g/l. Le Redon donne. Vous appelez le médecin qui prescrit une transfusion : 2 CGR à passer le soir. Question 1 : Quels documents transmettez-vous et à qui? Quels sont leurs conditions de validité? 3

4 LA PRESCRIPTION ARRIVE Le coursier apporte les 2 CGR dans une glacière. Les CGR ont été délivrés à 15h. Il est 15h30. Question 2 : Quels sont les points à vérifier à ce stade? Où doivent être stockés les CGR? De combien disposez-vous de temps pour les transfuser? 4

5 VOUS ALLEZ TRANSFUSER Il est 16h. Une étudiante en soins infirmiers est en stage et vous pensez utile de lui confier cet acte. Question 3 : - Sous quelle condition pouvez-vous le faire? - Vous lui demandez de vous rappeler quelles sont les règles prévues par la réglementation avant de démarrer la transfusion. Quelles réponses attendez-vous? 5

6 ACTE TRANSFUSIONNEL Cadre juridique de l infirmier : rôle sur prescription encadrée «l infirmier est habilité à accomplir sur prescription médicale, écrite, qualitative et quantitative, datée et signée, les actes et soins suivants à condition qu un médecin puisse intervenir à tout moment ( ) injections et perfusions de produits d origine humaine nécessitant, préalablement à leur réalisation, lorsque le produit l exige, un contrôle d identité et de compatibilité obligatoire effectué par l infirmier». (Art R du CSP) 6

7 ACTE TRANSFUSIONNEL «Il concerne tous les types de produits sanguins labiles homologues ou autologues (sang total ; concentrés de globules rouges ; concentrés de plaquettes ; concentrés de granulocytes ; plasma frais congelé). Il exige l information systématique du patient par le prescripteur avant la réalisation de l acte, chaque fois que cela est possible. Il est réalisé par les médecins et, sur prescription médical, par les sages-femmes ou le personnel infirmier et impose, lorsqu il est délégué, une collaboration étroite et constante avec les médecins afin que ceux-ci puissent intervenir à tout moment. Il nécessite la préparation attentive des documents spécifiques et du matériel nécessaire». 7

8 ACTE TRANSFUSIONNEL «Il oblige à un contrôle ultime pré-prétransfusionnel, étape indispensable divisée en deux temps essentiels : - le contrôle ultime de concordance entre patient, les produits et les documents, - le contrôle ultime de compatibilité du patient et du produit. Il impose une surveillance clinique vigilante du patient» Circulaire DGS/DHOS/AFSSAPS N 03/582 du 15 décembre 2003 relative à la réalisation de l acte transfusionnel. 8

9 LE CONTRÔLE ULTIME Il comprend des vérifications et la carte de contrôle pré-transfusionnel 9

10 ARRIVE LE CULM Toutes les vérifications réglementaires étant conformes, vous faites pratiquer le CULM par la stagiaire. Madame Dupond a une carte de GS réalisée par le Laboratoire businessisbusiness. Celle-ci comporte 2 déterminations effectuées le 02/05/2012 : AB RH +. Le CULM montre des agglutinations avec l anti-a et l anti-b pour le CGR ; une agglutination franche avec l anti-a sur la patiente et un doute sur la lecture de la réaction avec l anti-b. Question 4 : Que faites-vous? 10

11 LE CULM Ac GR Phénomène apparent à l œil nu Phénomène moléculaire 11

12 Carte de contrôle pré-transfusionnel - sang de la poche et sang du malade - 2 gouttes de sérum physiologique - 1 liquipette par cercle - chalouper - étape d interprétation - transfusion par l infirmière si et seulement si identité de réactions - validation médicale obligatoire pour transfusion ABO compatible / non identique 12

13 RETOUR A L ACCIDENT L IDE refait un CULM. Elle trouve toujours l agglutination en A mais elle n arrive pas à voir une agglutination en B. Elle appelle le médecin responsable et ils refont un 3 ème CULM : pas d agglutination en B. Madame Dupond, passionnée par les émissions médicales, est ravie de participer. Elle a été groupée dans le temps et n a pas été surprise quand on lui a dit qu elle était de groupe AB +. Le médecin et l infirmière décident d appeler à l aide le labo de l hôpital, qui dépêche un technicien avec un stock de CULM et décide de refaire une détermination de groupe ABO à partir du tube de NF prélevé le matin même à Madame Dupond dans le service. On refait des CULM et on se concerte à 4 : comme Madame Dupond doit être de groupe AB, et que le CGR est bien de groupe AB, on finit par se convaincre qu il y a une agglutination faible. Le technicien évoque un phénotype B faible. On décide alors de commencer la transfusion Mais très lentement. Madame Dupond est de cet avis. 13

14 L APPEL DU LABO Quelques ml de sang coulent et tout se passe bien. Tout le monde est resté près de Madame Dupond. Soudain, le DECT du technicien sonne. C est le labo : vite! Arrêtez-tout! Elle est de groupe A! Question 5 : Quelle est la conduite à tenir (CAT)? 14

15 Infirmier 1.Arrêter la transfusion 2.Garder la voie veineuse CAT SI INDICENT 3.Appeler le Médecin prescripteur 4.Préleveur groupage et tube sec hémoculture 5.Prévenir l hémovigilance Médecin 1.Interroger : malaise et douleurs lombaires 2.Vérifier TA (ou ABC ) 3.Vérifier concordance groupe poche/ groupe carte 4.Vérifier carte de contrôle pré-transfusionnel ± 15

16 Docteur Jean-Baptiste DENIS «Aussitôt que le sang eut commencé de couler dans ses veines, il ressentit une douleur le long de son bras et dessous ses aisselles. Son pouls s accéléra et très rapidement, nous observâmes une sueur abondante sur toute sa face. A cet instant, son pouls se modifia de façon extrême, et il se plaignit d une forte douleur dans ses reins et d une sensation de malaise dans son estomac, et qu il allait s étrangler si on le lui redonnait pas sa liberté. On le fit se coucher et il tomba endormi, et il dormit toute la nuit sans se réveiller jusqu au matin. Quand il se réveilla, il émit un grand verre plein d urines, d une couleur aussi noire que si elles avaient été mélangées à de la suie de cheminée». 16

17 INCOMPATIBILITE ERYTHROCYTAIRE 1.Contexte Se manifeste selon deux modalités : Soit un incident immédiat : hémolyse aiguë intra-vasculaire Soit un incident retardé : hémolyse intra-tissulaire - Responsable d une inefficacité transfusionnelle - Souvent (pas toujours) accompagné d un syndrome frisson-hyperthermie 2. Physiopathologie Le mécanisme physiopathologique est toujours : un anticorps du receveur est dirigé spécifiquement contre un antigène présent sur les globules rouges transfusés + 1 er temps Fixation Ac-Ag 17

18 RETOUR A LA PATIENTE Madame Dupont est attentivement surveillée. Elle est totalement asymptomatique. Vers 21h, ses urines sont un peu foncées (terme utilisé dans la relève). Le lendemain, ses examens biologiques sont sans particularité. Question 6 : Que doit faire le correspondant d hémovigilance? 18

19 THE FRENCH HEMOVIGILANCE NETWORK NATIONAL Hemovigilance Manager (AFSSaPS) Central Blood bank REGIONAL Hemovigilance Regulator LOCAL Hemovigilance Officer Local Blood bank Clinician 19

20 COMPLICATIONS DES TRANSFUSIONS 2 classifications des complications transfusionnelles : CLASSIFICATION PHYSIOPATHOLOGIQUE Indispensable à considérer lors d une étude approfondie (niveau 3 cycle) Complications immunologiques - Incompatibilités érythrocytaires - Incompatibilités leuco-plaquettaires - Réactions de type allergique Complications infectieuses - Bactériennes - Virales - Autres Complications par surcharge - En volume - En ions - En fer CLASSIFICATION SEMEIOLOGIQUE C est celle qui est utile au lit du malade. Elle est suffisante au niveau du 2 cycle, lorsqu on ne se destine pas à l hématologie. C est celle qui est utilisée ici. Complications immédiates Syndrome frissons-hyperthermie Réaction de type allergique Toux Complications retardées Inefficacité transfusionnelle Transmission d agents infectieux Hémochromatose posttransfusionnelle Formation régionale Formation des IDE IDE urgences des services Dr Ph. urgences Renaudier Dr 27 Ph. Renaudier mai mai

21 COMPLICATIONS IMMEDIATES Simple Syndrome Frissons-Hyperthermie Incompatibilité immunologique Choc septique Réaction de type allergique Urticaire Oedème de Quincke Choc anaphylactique Toux RAS TRALI OAP 21

22 l to 1958 TIME-TRENDS OF ABO ACCIDENTS (LYON-France) 1) Two independent samples # ABO accidents/ l l l l l l l to to to to to to to ) Bedside Beth-Vincent test Juron-Dupraz F, Bétuel H, Jouvenceau A. Rev Fr Transfus Immunohématol 1982 ; 4 :

23 ABO ACCIDENTS Overall 23

24 ABO ACCIDENTS Place of failure Blood Bank Hospital Both Un Know 24

25 EVOLUTION DU NOMBRE D INCOMPATIBILITE ABO Evolution du nombre d incompatibilité ABO, d imputabilité 2-3, de 2000 à 2012 Source : Rapport National d Hémovigilance ANSM 25

26 MODELE DE REASON 26

27 Aux urgences, l hémovigilance donneur a sa place

28 MERCI DE VOTRE ATTENTION 28

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