16 LE BILAN D UNE BANQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "16 LE BILAN D UNE BANQUE"

Transcription

1 INTRODUCTION Cet ouvrage traite des états financiers des établissements de crédit, établis selon les normes comptables interna onales. Il se situe dans le prolongement du livre du même nom rédigé par Françoise Bussac et Mar ne Quinault, paru chez RB Édi on en 2000, qui traitait des états financiers des établissements de crédit établis selon les normes comptables françaises. Il ent compte des proposi ons apportées par la réglementa on comptable française en ce qui concerne les nouveaux formats d états de synthèse des banques aux normes IFRS. En effet, les établissements de crédit français publient leurs comptes consolidés aux normes interna onales, selon un format qui a été proposé par la Recommanda on n du 7 novembre 2013 de l ANC rela ve au format des comptes consolidés des établissements du secteur bancaire établis selon les normes comptables interna onales, présentée en annexe n 1 à cet ouvrage, et qui en sera le fil conducteur. Comme les autres entreprises, les établissements de crédit publient des états financiers comportant un bilan, un compte de résultat et une annexe. Ils doivent pour cela respecter un ensemble de principes et de règles comptables qui, depuis le règlement européen du 2 juillet 2002, sont soumis aux normes édictées par l IASB si l établissement est coté, et ce uniquement pour ses comptes consolidés car pour leurs comptes sociaux, ils doivent être élaborés selon les normes comptables françaises de l ANC, regroupées dans le Règlement n du 26 novembre 2014 rela f aux comptes des entreprises du secteur bancaire. Néanmoins, compte tenu de leur influence dans le monde économique et financier mondial, des règles dites «pruden elles» leur sont en outre imposées : ces dernières restent l apanage de l ACPR, qui précise les règles et méthodes rela ves aux informa ons qui lui sont transmises pour ses besoins propres de contrôle ainsi que pour les besoins macro-économiques de la Banque centrale européenne. Il n en demeure pas moins que les règles comptables et d élabora on du bilan d une banque (au sens large «d états financiers bancaires») restent la référence de base de l informa on transmise et comportent, de ce fait, un certain nombre de par cularités, difficiles à appréhender pour un lecteur non aver et que cet ouvrage a pour objec f d expliquer. Ainsi, par exemple, la présenta on du bilan s effectue dans un ordre inversé, en ce qui concerne la liquidité et l exigibilité des différents éléments, par rapport à celui d une entreprise industrielle et commerciale. Pour elle, la no on de courant ou non courant est prépondérante alors que la nature de la contrepar e et le marché sur lequel les instruments sont négociés sont essen els pour les établissements bancaires. Les raisons évoquées non officielles sont les suivantes : c est le mode de présenta on historiquement retenu par les autres banques interna onales ; le souci de privilégier l informa on rela ve à la liquidité, qui est le premier risque systémique pour les banques (la crise de 2008 n a fait que souligner ce point) ;

2 16 LE BILAN D UNE BANQUE la volonté de faire apparaître en haut du bilan, les éléments correspondant à «l ou l de produc on» des établissements de crédit (moyens de paiement, portefeuille crédits et dépôts, refinancement sur les marchés financiers) car, malgré les évolu ons réglementaires européennes qui ouvrent à des entreprises non contrôlées certaines ac vités, la mise à disposi on de moyens de paiement et l ac vité d intermédia on cons tuent encore les mé ers majeurs des banques. Le lecteur notera que la no on «d ac vité d intermédia on», à laquelle les textes réglementaires comptables font souvent référence, correspond en fait à la «fonc on de transforma on» des banques. Se caractérisant essen ellement par la transforma on des dépôts à vue en prêts à la clientèle, ce e ac vité se définit toutefois, d une manière générale, comme «le financement d emplois longs par des ressources d échéances plus courtes» (Commission bancaire, Rapport annuel 1999). Dans cet ouvrage, un rappel sera présenté toutes les fois que des divergences significa ves apparaîtront entre les règles comptables françaises, les règles pruden elles et les règles comptables interna onales. Il ne sera fait état que des normes IFRS adoptées par l Union européenne et donc applicables par les établissements de crédit européens à l exclusion des normes déjà applicables au niveau interna onal mais non adoptées par l Union européenne (principe d «endorsement»). Compte tenu de leurs impacts poten els sur les états financiers des banques, la norme IFRS 9 et le projet rela f aux ac vités de loca on seront néanmoins décrits au stade d avancement a eint à la date du présent ouvrage (premier trimestre 2015). La «Bancassurance», c est-à-dire les banques, maisons mères de compagnies d assurance, n est pas spécifiquement traitée dans cet ouvrage. Comme les états financiers aux normes interna onales ne sont plus aussi proches qu en normes françaises des différentes ac vités des établissements, dans un premier chapitre seront présentés les états financiers eux-mêmes, bilan, compte de résultat avec une répar on du contenu de chaque poste qui perme ra un renvoi aux chapitres suivants. En effet, ceux-ci seront répar s de manière classique : ac vité de trésorerie, ac vité d intermédia on clientèle, ac vité sur les marchés financiers, puis les autres postes techniques du bilan et du compte de résultat. Pour faciliter la lecture des exemples, nous emploierons les numéros de comptes du Plan Comptable des Établissements de Crédit (PCEC), car il est fréquemment u lisé par les banques, même s il n est pas d applica on obligatoire.

3 CHAPITRE 1 Organisation des états financiers IFRS L organisa on des états financiers aux normes interna onales est régie par IAS 1 «Présenta on des états financiers» et IAS 30 «Informa ons à fournir dans les états financiers des banques et ins tu ons financières assimilées». Ce chapitre permet de comprendre le contenu de chaque poste du bilan et du compte de résultat et de faire le lien avec les ac vités bancaires qui seront développées dans les chapitres suivants. 1.1 PRINCIPES GÉNÉRAUX IFRS IAS 30 JOUE, Champ d applica on, al. 3, reconnaît que «les banques représentent, au plan mondial, un secteur d ac vité important et influent Les banques jouent aussi un rôle principal en entretenant la confiance envers le système monétaire, compte tenu de leurs rela ons étroites avec les autorités de régula on et les États et partant, leurs obliga ons en ma ère de comptabilité et de présenta on de l informa on diffèrent de celles des autres entreprises commerciales». Néanmoins, ce e norme, si elle donne une liste d informa ons minimales à fournir, ne précise nullement, pas plus qu IAS 1, le format des tableaux obligatoires : Bilan. Compte de résultat. Varia on des capitaux propres. Résultat net global et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Tableau de varia on et flux de trésorerie. C est pourquoi, à l ins ga on de l ACP (devenue l ACPR), le CNC (devenu l ANC) a recommandé, dès 2004 et revu en 2009, un format qui fait référence pour tous les établissements bancaires français. La Recommanda on de l ANC n du 7 novembre 2013 (cf. Annexe n 1) annule et remplace celle de Du plus disponible au moins disponible Ar cle 7. IAS 30 «Les u lisateurs des états financiers d une banque s intéressent à sa liquidité et à sa solvabilité ainsi qu aux risques liés aux ac fs et passifs comptabilisés dans son bilan et à ses éléments de hors bilan». C est pourquoi les états financiers des banques présentent d abord les éléments de trésorerie (billets et monnaies, comptes-courants

4 18 LE BILAN D UNE BANQUE interbancaires, prêts et emprunts interbancaires), puis les opéra ons sur instruments financiers, notamment à terme, et enfin les opéra ons avec la clientèle (crédits et dépôts). Viennent ensuite les autres postes tels que les emprunts subordonnés, les capitaux propres et les immobilisa ons. Dans les notes annexes, tous ces éléments se présentent sous forme d échéanciers et le risque de liquidité fait par e des informa ons obligatoires. Tableau de comparaison du PCEC (Plan Comptable des Établissements de Crédit) non obligatoire et du PCG (Plan Comptable Général) d applica on obligatoire pour les entreprises commerciales. LIBELLÉ PCEC PCG OPÉRATIONS INTERBANCAIRES CLASSE 1 Long Terme : 164 Court Terme : 51 CRÉDITS CLIENTÈLE CLASSE PORTEFEUILLE TITRES 301 à 304 Long Terme : 26, 27, 17 Court Terme : 50 PORTEFEUILLE OPTIONNEL TITRES ÉMIS , 163 COMPTE DE RÈGLEMENTS 34 N/A COMPTE DE LIAISONS SIÈGE/SUCCURSALES DÉBITEURS ET CRÉDITEURS DIVERS 36 40, 42, 43, 44, 46 COMPTES DE STOCKS 37 CLASSE 3 COMPTES DE RÉGULARISATION 38 47, 48 DÉBITEURS DIVERS DOUTEUX IMMOBILISATIONS CLASSE 4 CLASSE 2 (hors 26 et 27) CAPITAUX PROPRES CLASSE 5 CLASSE Les règles d évaluation A. Évolutions IFRS 9 À échéance 2018, avec IFRS 9, sous réserve d approba on par l Union européenne, les principes applicables dans IAS 39 connaîtront des évolu ons notables. L IASB insiste sur l importance de la première par e de la norme, classifica on et évalua on, qui sous-tend les deux autres. L IASB souligne les contrastes entre IAS 39, complexe et fondée sur des règles, et IFRS 9, qui se veut un modèle unique et compréhensible, fondé sur les modalités de ges on des opéra ons. Peu d évolu ons ont été jugées nécessaires concernant les passifs financiers. Un point important concerne cependant la juste valeur des de es émises, dont la contrepar e sera désormais les capitaux propres et non plus le résultat (cf. 6.3).

5 ORGANISATION DES ÉTATS FINANCIERS IFRS 19 Dans IFRS 9, la classifica on et l évalua on des ac fs financiers repose sur deux critères : les caractéris ques des cash flows générés par ces ac fs, le mode de ges on de ces ac fs. Tous les ac fs financiers suivent les mêmes règles, y compris ceux incluant des dérivés incorporés, qu il n est plus nécessaire de séparer. La ven la on entre les différentes catégories comptables doit être effectuée en fonc on de critères objec fs répondant à la norme et non sur le fondement d inten ons de ges on. De manière synthé que, la démarche rela ve à la classifica on et à l évalua on des ac fs financiers peut être résumée par les ques ons successives suivantes : Les cash flows sont-ils seulement composés de principal et d intérêts? En cas de réponse néga ve (ac ons) : la méthode d évalua on est la juste valeur par résultat (cas des ac ons). En cas de réponse posi ve, et sauf excep on (op on juste valeur), il convient de s interroger sur les modalités de ges on des ac fs. Si l objec f est uniquement de recevoir des cash flows, les ac fs sont évalués au coût amor (prêts à la clientèle). La norme précise que des cessions limitées, ou causées par la dégrada on du risque, ne fait pas obstacle à un classement au coût amor. Si l objec f est à la fois de recevoir des cash flows et de céder des ac fs, les ac fs sont évalués à la juste valeur par capitaux propres (OCI) (portefeuilles obligataires). Ce e catégorie peut être u lisée notamment dans le cadre de la ges on de la liquidité, du profil d intérêt, ou de la dura on du bilan. Les ac fs financiers qui ne correspondent pas aux modèles de ges on décrits précédemment sont évalués à la juste valeur par résultat. Ce mode d évalua on, prépondérant dans une précédente version, est devenu résiduel. Les changements de mode d évalua on doivent être jus fiés par des modifica ons dans la ges on des ac fs (changement de «business model»). B. Définition de la notion de coût amorti Évaluation du montant net de l instrument Les créances ou tres achetés sont enregistrés pour leur montant nominal, diminué des commissions et frais de dossiers facturés à la contrepar e (client ou banque), diminué des dépôts de garan e reçus, majoré des coûts directement liés à l octroi du crédit ou l achat du tre (courtages, commissions aux apporteurs d affaires ou commerciaux, frais d interroga ons de fichiers, etc.) Les coûts internes directement affectables peuvent être pris en compte si un système de contrôle de ges on le permet. En cas de par cipa on de ers au contrat, seule la par e ne e versée par la banque est retenue. Lors de la mise en place du contrat, le coût amor représente le montant net de l ensemble des flux financiers (voir exemple 3.3.1, et 3.3.3). Il en est de même pour les passifs financiers (voir exemple et 2.3.3).

6 20 LE BILAN D UNE BANQUE Calcul des résultats Ensuite, lors de chaque arrêté comptable, ce montant est amor en fonc on des remboursements encaissés et du Taux d Intérêt Effec f (TIE). Le taux d intérêt effec f, appliqué au montant net de la créance précédemment calculé, sert à mesurer les produits à enregistrer en résultat : c est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs es més, sur la durée de vie prévue de cet instrument de manière à obtenir le montant net de l ac f. Ceci revient à amor r de façon actuarielle l ensemble des éléments cons tu fs du coût amor (courtages, frais d acquisi on ). Un exemple de schéma comptable est présenté au C. Définition de la notion de juste valeur par résultat La norme IFRS 13 de mai 2011, adoptée par l UE le 11 décembre 2012, définit par types de contrats et circonstances les méthodes à u liser pour la valorisa on des instruments : la juste valeur n est que très rarement une valeur de marché. Il existe 3 niveaux de méthodes de valorisa on : Niveau Instruments directement cotés sur un marché réglementé : dans ce cas, le cours de clôture du marché est à prendre tout en tenant compte éventuellement de la posi on acheteuse (cours au plus haut ASK) ou vendeuse (cours au plus bas OFFER ou BID). Il n y a pas de valorisa on de risque de contrepar e ou de risque de crédit à effectuer puisque seule l entreprise de marché est alors contrepar e de toutes les transac ons. Niveau Instruments valorisés selon des modèles classiques faisant appel à des paramètres eux-mêmes observables sur un marché réglementé : dans ce cas, les transac ons sont dites de gré à gré. La valorisa on ent compte à la fois du risque que représente la contrepar e dans la transac on (risque de crédit nommé CVA Credit Valua on Adjustment) et du risque de voir sa propre nota on évoluer (risque éme eur nommé DVA Debit Valua on Adjustment). La valorisa on totale de l instrument est alors égale à JV = VM + CVA DVA où VM est la valeur brute issue du modèle et des paramètres observables. Niveau Instruments impossibles à valoriser par observa on de données sur un marché réglementé : IFRS 13 interdit dans ce cas de conserver le coût historique de l instrument et oblige l établissement à «inventer» une méthode interne de valorisa on et à fournir ce e méthode dans les notes annexes. L es ma on de la juste valeur sera traitée au D. La juste valeur par capitaux propres La juste valeur par capitaux propres s appliquait à l ensemble des tres disponibles à la vente. Elle ne concernera plus en pra que que les obliga ons.

LE BILAN D UNE BANQUE

LE BILAN D UNE BANQUE Il est composé de 14 chapitres : Organisation des états financiers IFRS Trésorerie et opérations interbancaires Crédits à la clientèle Dépôts de la clientèle Activités sur titres Dettes représentées par

Plus en détail

Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque

Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque CHAPITRE 1 Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque Ce e comparaison met en évidence des différences, liées aux par cularités des ac vités bancaires. 1.1 DESCRIPTION SUCCINCTE

Plus en détail

Exercices et corrigés

Exercices et corrigés Manuel d économie bancaire appliquée au cœur des entreprises bancaires 2 e version Exercices et corrigés DOMINIQUE CHABERT 03/2014 Ces exercices ont pour objectif de vous permettre de (re)travailler un

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité

Plus en détail

en juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance

en juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance Normes IAS 32 / Instruments financiers : Présentation Normes IAS 39 / Instruments financiers : Comptabilisation et Evaluation Normes IFRS 7 / Instruments financiers : Informations à fournir Introduction

Plus en détail

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de Paris et d Ile-de-France COMPTES CONSOLIDES AU 31/12/2013

Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de Paris et d Ile-de-France COMPTES CONSOLIDES AU 31/12/2013 Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de Paris et d Ile-de-France COMPTES CONSOLIDES AU 31/12/2013 Arrêtés par le Conseil d Administration du Crédit Agricole d Ile-de-France en date du 5 février 2014

Plus en détail

IAS 39 ET ÉVALUATION AU COÛT AMORTI : PRINCIPES ET APPLICATIONS

IAS 39 ET ÉVALUATION AU COÛT AMORTI : PRINCIPES ET APPLICATIONS Réflexion IAS 39 ET ÉVALUATION AU COÛT AMORTI : PRINCIPES ET APPLICATIONS 22 Pierre SCHEVIN Professeur à l Université Robert Schuman de Strasbourg et à l IECS Diplômé d expertise comptable La norme IAS

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014

COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 ca-des-savoie.fr Arrêtés par le Conseil d administration du Crédit Agricole des Savoie en date du 23 janvier 2015 soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire

Plus en détail

LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1

LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1 LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan Paper Audit & Conseil 1 Sommaire 1. Définition de la relation de couverture 2. Le swap

Plus en détail

Comptes de tiers (Classe 4)

Comptes de tiers (Classe 4) Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les

Plus en détail

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE

IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE Remerciements La présente Norme comptable internationale du secteur public s inspire essentiellement de la Norme comptable internationale IAS 7 Tableaux des flux

Plus en détail

Formation «Comptabilité bancaire : cycle long»

Formation «Comptabilité bancaire : cycle long» Formation «Comptabilité bancaire : cycle long» REFERENCE : 202 1. Objectif général Situer l'activité bancaire dans son environnement économique et réglementaire. Souligner les aspects techniques et économiques

Plus en détail

Formation «Comptabilité bancaire : opérations classiques»

Formation «Comptabilité bancaire : opérations classiques» Formation «Comptabilité bancaire : opérations classiques» REFERENCE : 201 1. Objectif général Situer l'activité bancaire dans son environnement économique et réglementaire. Identifier les comptes du PCEC

Plus en détail

Comptes Consolidés 2014

Comptes Consolidés 2014 Comptes Consolidés 2014 Page 1 4.2 Comptes consolidés 4.2.1 Compte de résultat consolidé... 3 4.2.2 Résultat global consolidé... 4 4.2.3 Situation financière consolidée... 5 4.2.4 Variation des capitaux

Plus en détail

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes

Plus en détail

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES 1 - DISPOSITIONS GENERALES 2 - COMPTABILISATION DE L ENGAGEMENT 3 - COMPTABILISATION AU BILAN 4 - CONVERSION DES OPERATIONS EN DEVISES 5 - COMPTABILISATION DES RESULTATS

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction

Plus en détail

Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Finistère

Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Finistère Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Finistère COMPTES CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2014 Arrêtés par le Conseil d administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole du Finistère en date du

Plus en détail

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont

Plus en détail

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments

Plus en détail

Comptes consolidés IFRS au 31 décembre 2013

Comptes consolidés IFRS au 31 décembre 2013 EXERCICE 2013 Comptes consolidés IFRS au 31 décembre 2013 ASSEMBLEE GENERALE MIXTE 14 Avril 2014 CAISSE D EPARGNE BRETAGNE-PAYS DE LOIRE GROUPE Caisse d Epargne Bretagne-Pays de Loire Comptes consolidés

Plus en détail

Le Petit. Compta. Les notions clés en 21 fiches. Charles-Édouard Godard Séverine Godard Patrick Pinteaux

Le Petit. Compta. Les notions clés en 21 fiches. Charles-Édouard Godard Séverine Godard Patrick Pinteaux Le Petit 2014 Compta Les notions clés en 21 fiches Charles-Édouard Godard Séverine Godard Patrick Pinteaux Liste des abréviations utilisées dans cet ouvrage ABS : Autres biens et services AGO : Assemblée

Plus en détail

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification

Plus en détail

VEOLIA ENVIRONNEMENT - Etats financiers consolidés au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés Au 31 décembre 2013

VEOLIA ENVIRONNEMENT - Etats financiers consolidés au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés Au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés 31 décembre 2013 Sommaire ETATS FINANCIERS CONSOLIDES... 1 COMPTES CONSOLIDES... 4 1.1 État de la situation financière consolidée... 4 1.2 Compte de résultat consolidé... 6

Plus en détail

Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises

Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises modifié par les règlements n 92 04 du 17 juillet 1992, n 95-04 du 21 juillet 1995,

Plus en détail

Comptes consolidés résumés non audités

Comptes consolidés résumés non audités Comptes consolidés résumés non audités Au SOMMAIRE ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS... 3 Bilan consolidé... 3 Compte de résultat consolidé... 5 Autres éléments du résultat global consolidé... 6 Tableau de variation

Plus en détail

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants.

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants. COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE Épreuve à option Rédacteur 2009 Concours externe et interne Document et matériel autorisés : Liste intégrale des comptes comportant la mention «document autorisé aux

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

Tableaux de rapport 90.31-32-33

Tableaux de rapport 90.31-32-33 Tableaux de rapport 90.31-32-33 Tableau 90.31 ACTIFS FINANCIERS LIQUIDES Monnaie (code ISO de la monnaie concernée, reprise dans ce tableau pour sa contre-valeur Euro, ou code SCX pour la contre-valeur

Plus en détail

RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN 2014

RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN 2014 Société anonyme au capital de 220 000 000 Siège social : 6 avenue de Provence 75452 PARIS Cedex 9 480 618 800 RCS Paris RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN

Plus en détail

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction Guide d information pour les copropriétaires Le décret comptable Quelques repères......pour mieux comprendre Juin 2007 Plan du guide

Plus en détail

31.12.2012 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. (Comptes non audités)

31.12.2012 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. (Comptes non audités) 31.12.2012 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES (Comptes non audités) Sommaire Etats financiers consolidés Bilan consolidé 1 Compte de résultat consolidé 3 Etat du résultat net et gains et pertes comptabilisés

Plus en détail

LES CRÉANCES ET LES DETTES

LES CRÉANCES ET LES DETTES LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un

Plus en détail

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 décembre 2013 SOMMAIRE ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 4 COMPTE DE RESULTAT DE L EXERCICE 2013 4 ETAT DU RESULTAT NET ET DES VARIATIONS D ACTIFS ET DE PASSIFS COMPTABILISEES

Plus en détail

NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires

NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires Objectif 01. La Norme Comptable NC 01 -"Norme Comptable Générale" définit les règles relatives à la présentation des états financiers

Plus en détail

GROUPE CREDIT AGRICOLE COMPTES CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2014

GROUPE CREDIT AGRICOLE COMPTES CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2014 GROUPE CREDIT AGRICOLE COMPTES CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2014 Arrêtés par le Conseil d administration de Crédit Agricole S.A. du 17 février 2015 VERSION NON AUDITEE SOMMAIRE CADRE GENERAL... 4 >> LE GROUPE

Plus en détail

Etats financiers consolidés du Groupe BPCE. au 31 décembre 2013. Version non auditée

Etats financiers consolidés du Groupe BPCE. au 31 décembre 2013. Version non auditée Etats financiers consolidés du Groupe BPCE au 31 décembre 2013 Version non auditée GROUPE BPCE - version non auditée - 1 - 5 RAPPORT FINANCIER 5.1 Comptes consolidés IFRS du Groupe BPCE au 31 décembre

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS. 31 décembre 2014

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS. 31 décembre 2014 31 décembre 2014 SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDÉS COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ 3 ÉTAT DU RÉSULTAT GLOBAL CONSOLIDÉ 4 BILAN CONSOLIDÉ 5 VARIATION DES CAPITAUX PROPRES CONSOLIDÉS 7 TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE

Plus en détail

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions

Plus en détail

BMCE BANK ETATS FINANCIERS CONSOLIDES DE BMCE BANK EN NORMES IAS/IFRS ET NOTES ANNEXES

BMCE BANK ETATS FINANCIERS CONSOLIDES DE BMCE BANK EN NORMES IAS/IFRS ET NOTES ANNEXES BMCE BANK ETATS FINANCIERS CONSOLIDES DE BMCE BANK EN NORMES IAS/IFRS ET NOTES ANNEXES 31 décembre 2013 Créée en 1959 et privatisée en 1995, BMCE Bank est une banque universelle qui offre une palette de

Plus en détail

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS 2011

ÉTATS FINANCIERS 2011 4 4.1 COMPTES CONSOLIDÉS RFA 98 4.1.1 Bilan consolidé 98 4.1.2 Compte de résultat consolidé 100 4.1.3 Tableau de variation des capitaux propres consolidés 101 4.1.4 Tableau des fl ux de trésorerie consolidés

Plus en détail

2014 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES

2014 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2014 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Mars 2005 La partie de l impôt sur les sociétés afférente au résultat exceptionnel représente un gain d IS de 377 milliers d euros en 2004. La Caisse régionale

Plus en détail

Résultats annuels 2005

Résultats annuels 2005 Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006

Plus en détail

Formation «Audit comptable des établissements de crédit»

Formation «Audit comptable des établissements de crédit» Formation «Audit comptable des établissements de crédit» REFERENCE : 800 1. Objectif général Identifier les risques bancaires de l'audit comptable dans un environnement bancaire. Construire une démarche

Plus en détail

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002

Plus en détail

RECOMMANDATION. Note de présentation

RECOMMANDATION. Note de présentation AUTORITE DES NORMES COMPTABLES RECOMMANDATION n 2013-02 du 7 novembre 2013 Relative aux règles d évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

COMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER 2013. OLIVIER PARENT 06.16.71.46.72 oparent@seedsolutions.fr

COMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER 2013. OLIVIER PARENT 06.16.71.46.72 oparent@seedsolutions.fr COMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER 2013 OLIVIER PARENT 06.16.71.46.72 oparent@seedsolutions.fr Vocabulaire : Débiter un compte signifie inscrire une somme au débit de ce compte Créditer un compte

Plus en détail

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du

Plus en détail

États financiers Exane 2013. c onsolidés 5

États financiers Exane 2013. c onsolidés 5 É t a t s f i n a n c i e r s E x a n e 2 0 1 3 États financiers Exane 2013 3 C omptes annuels c onsolidés 5 C omptes annuels Exane SA 57 États financiers Exane 2013 4 États financiers Exane 2013 5 C

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

Loterie Romande. financier

Loterie Romande. financier 2011 Rapport financier Société de la Loterie de la Suisse Romande 13, rue Marterey Case postale 6744 1002 Lausanne CH Tél. + 41 21 348 13 13 Fax + 41 21 348 13 14 info@loro.ch www.loro.ch Sommaire Bilan

Plus en détail

PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes

PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes SG MONETAIRE EURO PROSPECTUS SIMPLIFIE OPCVM conforme aux normes européennes PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : DENOMINATION : SG MONETAIRE EURO FORME JURIDIQUE : SICAV de droit français COMPARTIMENTS/NOURRICIER

Plus en détail

GROUPE D ALIMENTATION MTY INC.

GROUPE D ALIMENTATION MTY INC. États financiers consolidés de GROUPE D ALIMENTATION MTY INC. Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 États consolidés des résultats Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 2013 2012 $ $ Produits

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation 28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices

Plus en détail

Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07

Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07 REGLEMENT N 00-03 DU 4 JUILLET 2000 RELATIF AUX DOCUMENTS DE SYNTHESE INDIVIDUELS DES ENTREPRISES RELEVANT DU COMITE DE LA REGLEMENTATION BANCAIRE ET FINANCIERE Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07

Plus en détail

CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ RECOMMANDATION N 2004-R.02 DU 27 OCTOBRE

CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ RECOMMANDATION N 2004-R.02 DU 27 OCTOBRE CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ RECOMMANDATION N 2004-R.02 DU 27 OCTOBRE 2004 Relative au format du compte de résultat, tableau des flux de trésorerie et tableau de variation des capitaux propres,

Plus en détail

Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur

Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur COMPTES CONSOLIDÉS 2013 Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur 1 Informations financières historiques 3 Comptes de résultat consolidés

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les

Plus en détail

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005 International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de

Plus en détail

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES GDF SUEZ TRADING

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES GDF SUEZ TRADING PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COTES ANNUELS) GDF SUEZ TRADING Société par actions simplifiée au capital de 351 200 000. Siège social : 1, place Samuel de Champlain, 92400

Plus en détail

Le tableau de financement

Le tableau de financement 1 ORGANISATION COMPTABLE Le tableau de financement Par Abderraouf YAICH Très souvent, le chef d entreprise s étonne des évolutions disconcordantes de ses résultats qui enregistrent une augmentation de

Plus en détail

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES CREATIS

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES CREATIS PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COMPTES ANNUELS) CREATIS Société anonyme au capital de 52 900 000. Siège social : Parc de la Haute Borne, 61, avenue Halley, 59650 Villeneuve-d

Plus en détail

Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services

Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services Références Cadre de préparation et de présentation des états financiers 1 IFRS 1 Première application des Normes internationales d information

Plus en détail

OPÉRATIONS DE CESSION

OPÉRATIONS DE CESSION OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine

Plus en détail

31.12.2014 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. (Comptes non audités)

31.12.2014 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. (Comptes non audités) 31.12.2014 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES (Comptes non audités) Sommaire ETATS FINANCIERS CONSOLIDÉS Bilan consolidé 1 Compte de résultat consolidé 3 Etat du résultat net et gains et pertes comptabilisés

Plus en détail

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de

Plus en détail

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT 5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.

Plus en détail

Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme

Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme 2012-R-02 du 12 octobre 2012 1 Contexte Dans le cadre de son action de veille sur la publicité et les nouveaux produits, l ACP a constaté sur

Plus en détail

Comptes consolidés Au 31 décembre 2014

Comptes consolidés Au 31 décembre 2014 Comptes consolidés Au 31 décembre 2014 SCHNEIDER ELECTRIC - 2014 1 SOMMAIRE Comptes consolidés au 31 décembre 2014... 3 Compte de résultat consolidé... 3 Tableau des flux de trésorerie consolidés... 5

Plus en détail

Actualisation du Document de référence 2013

Actualisation du Document de référence 2013 Actualisation du Document de référence 2013 Document de référence annuel déposé auprès de l Autorité des Marchés Financiers le 9 avril 2014 sous le numéro D.14-0317. Actualisation déposée auprès de l Autorité

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS2014

COMPTES CONSOLIDÉS2014 COMPTES CONSOLIDÉS 2014 Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats de l émetteur 1 Informations financières historiques 3 Comptes de résultat consolidés

Plus en détail

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004

Plus en détail

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT - 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT Objectif(s) : o Approfondissement du tableau de financement : Pré-requis : variation du Fonds de Roulement Net Global (F.R.N.G.) ; variation du Besoin

Plus en détail

Projet du 5 octobre 2006. du [date] 2006. (Adaptation des fonds propres de base) Sommaire

Projet du 5 octobre 2006. du [date] 2006. (Adaptation des fonds propres de base) Sommaire Circ.-CFB 06/_ Adaptation des fonds propres de base Page 1 Circulaire de la Commission fédérale des banques : Détermination du capital réglementaire en cas d utilisation d un standard comptable international

Plus en détail

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS / 31 DÉCEMBRE 2011

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS / 31 DÉCEMBRE 2011 ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS / 31 DÉCEMBRE 2011.1 ÉTAT CONSOLIDÉ DE LA SITUATION FINANCIÈRE 228.2 RÉSULTAT CONSOLIDÉ 231.3 ÉTAT CONSOLIDÉ DES PRODUITS ET CHARGES RECONNUS SUR LA PÉRIODE 232. ÉTAT DES VARIATIONS

Plus en détail

NORME IAS 23 COÛTS DES EMPRUNTS

NORME IAS 23 COÛTS DES EMPRUNTS NORME IAS 23 COÛTS DES EMPRUNTS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 23 : COÛTS DES EMPRUNTS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit de la norme...3

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 Décembre 2012 SOMMAIRE BILAN ET COMPTE DE RESULTAT... 3 TABLEAU DE VARIATION DES CAPITAUX PROPRES CONSOLIDES... 5 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE CONSOLIDES... 6 ANNEXE AUX

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. au 31 décembre 2010. Version non auditée

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. au 31 décembre 2010. Version non auditée ETATS FINANCIERS CONSOLIDES au 31 décembre 2010 Version non auditée SOMMAIRE ETATS FINANCIERS CONSOLIDES COMPTE DE RESULTAT DE L EXERCICE 2010 4 ETAT DU RESULTAT NET ET DES VARIATIONS D ACTIFS ET DE PASSIFS

Plus en détail

Mise en ligne des comptes annuels 2014

Mise en ligne des comptes annuels 2014 Saint-Denis, le 6 mars 2015 Mise en ligne des comptes annuels Le Groupe annonce la mise en ligne de ces comptes consolidés pour l année et rappelle à cette occasion les éléments financiers principaux de

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

COMMENTAIRES SUR COMPTES ANNUELS 2010

COMMENTAIRES SUR COMPTES ANNUELS 2010 COMMENTAIRES SUR COMPTES ANNUELS Commentaires Note 1: CAISSE RUBRIQUES 2009 Caisse XOF 1,428,933,201 2,054,162,600 625,229,399 44% Caisse EUR 123,667,574 164,363,145 40,695,571 33% Caisse USD 118,203 446,683

Plus en détail

OFFRE COMMERCIALE D ASSURANCE

OFFRE COMMERCIALE D ASSURANCE OFFRE COMMERCIALE D ASSURANCE DECOUVRIR ALLIANCE Assurances : ALLIANCE Assurances est une Société par ac ons à capitaux privés na onaux. Elle a débuté ses ac vités en 2005. Le volume des primes collectées

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

Introduction à la gestion

Introduction à la gestion Introduction à la gestion comptable La comptabilité générale est une technique permettant de codifier et de conserver une trace des opérations réalisées par une entreprise dans le cadre de son activité.

Plus en détail

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES MONTE PASCHI BANQUE

PUBLICATIONS PÉRIODIQUES MONTE PASCHI BANQUE PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COMPTES ANNUELS) MONTE PASCHI BANQUE Société Anonyme au capital de 69 632 276,28 EUROS Siège social : 11 boulevard de la Madeleine - 75001

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail