Le nouveau calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2018 : revue des changements

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1 Le nouveau calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2018 : revue des changements Le nouveau calendrier vaccinal et les nouvelles recommandations vaccinales viennent d'être publiés le 9 février Ce calendrier est l'expression de la politique vaccinale du ministre chargé de la santé. Auparavant fondé sur les avis du Haut Conseil de la santé publique et de son Comité Technique des Vaccinations, il s'appuie désormais, depuis mai 2017, sur ceux de la nouvelle Commission Technique des Vaccinations (CTV) de la Haute Autorité de Santé (HAS). Le collège de la HAS avait publié en janvier 2018 un avis "relatif à l'édition 2018 du calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales", dans lequel on retrouve la plupart des nouveautés intégrés dans le document final disponible sur le site du ministère des Solidarités et de la Santé. Les recommandations vaccinales sont complexes et évoluent rapidement. Pour faciliter l'acquisition des changements par les professionnels de santé, les passages modifiés dans la dernière version du calendrier vaccinal, qui contient 72 pages au lieu de 64 en 2017, ont été surlignés. La plupart de ces modifications ont déjà été intégrées dans le système de règles de MesVaccins.net ; leur intégration sera achevée au plus tard le 17 février Les principales nouveautés du calendrier des vaccinations Extension de l'obligation vaccinale pour les nourrissons Depuis le 1er janvier 2018, huit vaccinations auparavant recommandées sont devenues obligatoires : il s'agit des vaccinations contre la coqueluche, les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b, l'hépatite B, les infections à pneumocoque, les infections invasives à méningocoque de sérogroupe C, la rougeole, les oreillons et la rubéole ; soit un total de onze vaccinations obligatoires (les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite étant antérieurement obligatoires). Toutes ces vaccinations étaient déjà recommandées et réalisées chez la grande majorité des enfants en Il y a souvent confusion entre les mots "vaccination" et "vaccin". L'obligation vaccinale a pour objectif de garantir une protection contre onze maladies grâce à la vaccination, tandis que quatre vaccins (et neuf injections) sont aujourd'hui suffisants pour atteindre cet objectif. Ces 11 vaccinations sont pratiquées dans les 18 premiers mois de l'enfant selon le même calendrier qu'en Elles sont exigibles pour l'entrée ou le maintien en collectivité à partir du 1er juin 2018 pour tout enfant né à partir du 1er janvier Lorsqu'une ou plusieurs vaccinations font défaut, le code de la santé publique prévoit que l'enfant est admis provisoirement. Les vaccinations obligatoires doivent alors être, selon le calendrier des vaccinations, réalisées dans un délai de trois mois et ensuite poursuivies. Le décret no du 25 janvier 2018 décrit les modalités de mise en oeuvre de la vaccination obligatoire. Un avis de la HAS précise les conditions d'exigibilité des vaccinations en collectivité Rappel des contre-indications à la vaccination des nourrissons Toujours dans le contexte de l'obligation vaccinale, la HAS rappelle que les contre-indications médicales définitives à la vaccination sont extrêmement rares chez les nourrissons. Elles peuvent différer selon le vaccin et sont mentionnées sur la notice. Un tableau de synthèse de ces contre-indications (4.11) a été ajouté au calendrier vaccinal. Les principales contre-indications définitives sont : une allergie grave connue à l'un des composants du vaccin ; une réaction allergique grave lors d'une précédente injection du vaccin ;

2 une immunodépression congénitale ou acquise, pour les vaccins vivants atténués comme le ROR. Une infection fébrile contrindique la vaccination de manière provisoire : dans ce cas, l'administration du vaccin doit être différée Nouveaux vaccins Les vaccins hexavalents confèrent une protection contre les six maladies suivantes : diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite, infections à Haemophilus influenzae de type b et hépatite B. Après Infanrix hexa et Hexyon, un troisième vaccin hexavalent, Vaxelis, sera disponible en 2018 (ce n'est pas encore le cas aujourd'hui). En l'absence de données d'interchangeabilité pour l'ensemble des vaccins hexavalents, il es rappelé que tout schéma vaccinal débuté avec un vaccin hexavalent doit être poursuivi avec le même vaccin. Concernant la vaccination contre la grippe saisonnière, trois nouveaux vaccins grippaux tétravalents (comprenant une deuxième souche B par rapport aux vaccins trivalents, qui contiennent une souche A(H1N1), une souche A(H3N2) et une souche B) ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) ; il s'agit des vaccins : INFLUVAC TETRA, VAXIGRIPTETRA et FLUARIXTETRA Arrêt de commercialisation du vaccin contre la rougeole Rouvax Le vaccin rougeoleux monovalent Rouvax n'est plus commercialisé et ne sera plus disponible à partir d'avril Actuellement, ce vaccin est réservé aux nourrissons âgés de 6 à 11 mois devant être vaccinés dans un contexte de postexposition ou de voyage en zone à risque. Dans ces situations, le schéma de vaccination a été adapté pour permettre l'utilisation des vaccins trivalents rougeole-oreillons-rubéole (voir ci-dessous dans le chapitre Rougeole) Actualisation des recommandations vaccinales en situation de pénurie Des recommandations ont été publiées en 2017 pour prendre en compte une pénurie en vaccins adultes contre l'hépatite B. Un chapitre spécifique était dédié à cette situation dans le calendrier vaccinal 2017 : ce chapitre a été retiré du calendrier vaccinal 2018, signalant la fin de la pénurie. Les recommandations concernant les valences coqueluche, hépatite A et BCG sont maintenues. Le vaccin Pneumovax a été ajouté dans le chapitre 3 relatif aux situations de pénuries de vaccins contre les infections à pneumocoque Recommandations vaccinales pour les populations particulières En plus des recommandations vaccinales concernant les personnes âgées, d'autres populations particulières sont prises en compte en 2018 : Il s'agit des personnes immunodéprimées, des nourrissons prématurés et des femmes enceintes. Toutes ces recommandations ont été regroupées dans un chapitre spécifique (2.18). Les références aux personnes immunodéprimées ont été retirées des autres chapitres. Un tableau relatif à la vaccination des catégories de personnes immunodéprimées les plus fréquemment rencontrées en médecine de ville a également a été ajouté (4.5.2). Les recommandations relatives aux voyageurs (qui sont toujours proposées par le Haut Conseil de la santé publique) figurent dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire du 6 juin 2017, dont la mise à jour sera publiée durant le deuxième trimestre Autres modifications Les modifications relatives à certaines maladies sont détaillées dans le chapitre 2 de cet article.

3 définition des termes suivants : nouveau-né, nourrisson, enfant et adulte ; période de vaccination contre la grippe saisonnière ; liste des personnes pour lesquelles la vaccination contre l'hépatite B est recommandée ; recommandations de vaccination contre la leptospirose ; vaccination autour d'un cas d'infection invasive à méningocoque ; vaccination autour d'un cas de rougeole pour les enfants de 6 à 8 mois révolus, en raison de l'arrêt de commercialisation du vaccin monovalent contre la rougeole Rouvax. 2. Revue systématique des modifications apportées aux recommandations vaccinales Coqueluche Il est précisé que la primo-vaccination correspond à l'administration des deux premières doses de vaccin à deux mois d'intervalle (la troisième dose étant un rappel). Il est ajouté que la recommandation de ne pas revacciner les personnes éligibles à la vaccination coquelucheuse moins de 10 ans après la survenue d'une coqueluche (en raison de la protection d'une dizaine d'année conférée par cette maladie) ne s'applique pas au nourrisson. En milieu professionnel, notamment pour les étudiants en santé, les recommandations antérieures méritaient d'être précisées : une dose de vaccin dtcapolio (valences diphtérique "d" et coquelucheuse acellulaire "ca", à dose réduite d'antigène, combinées aux valences tétanique "T" et poliomyélitique "Polio") doit être administrée lorsque la personne n'a pas été vaccinée depuis l'âge de 18 ans et que son dernier rappel date de plus de cinq ans Diphtérie, tétanos et poliomyélite La vaccination contre ces maladies reste obligatoire pour tous les enfants (qu'ils soient nés avant ou depuis le 1er janvier 2018) Fièvre jaune Un paragraphe a été ajouté au sujet des contre-indications de cette vaccination chez les personnes immunodéprimées : "La vaccination contre la fièvre jaune est toutefois contre-indiquée chez les patients infectés par le VIH et ayant un taux de CD4 inférieur à 200/mm3 ou inférieur à 25 % (enfant âgé de moins de 12 mois), inférieur à 20 % (enfant entre 12 et 35 mois), inférieur à 15 % (enfant entre 36 et 59 mois)" Grippe saisonnière La phrase suivante a été ajoutée : "la vaccination s'effectue chaque année lors de la campagne de vaccination dont les dates sont fixées par le ministère chargé de la santé". Dans le schéma vaccinal, il est fait mention des nouveaux vaccins quadrivalents contre la grippe Infections invasives à Haemophilus influenzae de type b 2.6. Hépatite A Aucun changement.

4 2.7. Hépatite B Suivant l'avis de la HAS du 10 janvier 2018, la liste des personnes présentant un risque spécifique justifiant une recommandation vaccinale contre l"hépatite B a été précisée et complétée. Les trois catégories suivantes ont été ajoutées : personnes porteuses d'une hépatopathie chronique, séropositives au VIH ou au virus de l'hépatite C et personnes devant être traitées par certains anticorps monoclonaux. En plus des personnes ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples, celles exposées aux infections sexuellement transmissibles ou ayant une infection sexuellement transmissible en cours ou récente sont considérées comme étant à risque d'hépatite B, et devraient par conséquent bénéficier de la vaccination contre cette maladie. De même, la recommandation ne s'adresse plus aux seuls toxicomanes par voie parentérale mais aussi à ceux qui prennent des drogues par voie nasale. La pénurie en vaccins adultes contre l'hépatite B, et la conduite à tenir qui avait été définie en conséquence, ne sont plus mentionnées. La section consacrée aux schémas vaccinaux a été enrichie par les modalités de vaccination des patients insuffisants rénaux chroniques dialysés et des personnes immunodéprimées exposées, âgés de 15 ans et plus : Si la vaccination est effectuée avec le vaccin Engerix B20, chaque injection doit être réalisée avec 40 μg d'antigène vaccinal (soit deux doses d'engerix B20) selon un schéma à quatre fois deux injections (M0, M1, M2 et M6). Lorsque le vaccin Fendrix est utilisé, le schéma comporte quatre injections de 20 μg d'antigène vaccinal à M0 M1 M2 et M6. Le schéma de vaccination du vaccin HBVAXPRO 40 μg comporte trois injections de 40 μg d'antigène vaccinal à M0 M1 et M Leptospirose En 2017, la vaccination contre la leptospirose n'était proposée que dans le cadre professionnel. Des recommandations en population générale, qui font référence à un avis du Conseil supérieur d'hygiène Publique de France (CSHPF) du 18 mars 2005, y ont été adjointes en 2018 : "la vaccination peut être proposée pour les personnes susceptibles d'être en contact avec un environnement contaminé du fait de la pratique régulière et durable d'une activité de loisir exposant spécifiquement au risque : baignade, plongée ou pêche en eau douce ; canoë-kayak, rafting, triathlon et autres sports de nature, notamment ceux qui font intervenir des contacts fréquents avec un environnement humide". Concernant les recommandations professionnelles, il est logiquement précisé que la vaccination est proposée par le médecin du travail Infections invasives à méningocoque Vaccination obligatoire contre le méningocoque C pour les nourrissons nés depuis le 1er janvier La nécessité d'un rattrapage vaccinal chez les enfants, les adolescents et les adultes jeunes est rappelée : "une couverture vaccinale élevée dans l'ensemble de ces classes d'âge permettra de réduire la transmission de la bactérie dans la population et de protéger indirectement les sujets non vaccinés". La présentation des schémas vaccinaux a été réorganisée comme suit pour ce qui concerne les recommandations autour d'un cas d'infection invasive à méningocoque A, C, Y ou W.

5 2.10. Infections à papillomavirus humains (HPV) Ajout d'un paragraphe concernant les patients immunodéprimés, pour lesquels "la vaccination contre le papillomavirus est recommandée chez les garçons comme les filles aux mêmes âges que dans la population générale, avec un rattrapage jusqu'à l'âge de 19 ans révolus", tandis que "chez les enfants des deux sexes, candidats à une transplantation d'organe solide, la vaccination peut être initiée dès l'âge de 9 ans" Infections à pneumocoque Des précisions ont été apportées dans la liste des patients à risque pour lesquels la vaccination pneumococcique est recommandée. Ainsi, cette vaccination est recommandée pour les "patients présentant une tumeur solide ou une hémopathie maligne", alors qu'en 2017 elle ne s'adressait qu'à ceux qui recevaient une chimiothérapie pour ces maladies. De nouvelles recommandations dans la situation actuelle de pénurie en vaccins polyosidiques non conjugués 23-valents (Pneumovax) ont été ajoutées. A noter dans ce cadre que certains centres de vaccination ont reçu des vaccins de substitution en provenance de l'étranger Rage Aucun changement Rougeole, oreillons et rubéole Pour les nourrissons âgés de 6 à 11 mois, une dose de vaccin trivalent (M-M-RVAXPRO ou PRIORIX) est recommandée dans les 72 heures suivant le contact présumé. Pour les nourrissons âgés de 6 à 8 mois révolus, cette administration se fera donc en l'absence d'autorisation de mise sur le marché Tuberculose Les contre-indications vaccinales sont présentées dans un nouveau tableau (4.5.2) déjà présenté ci-dessus Typhoïde Aucun changement Varicelle Les noms des vaccins ont été précisés dans les schémas vaccinaux Zona En réponse à une question fréquente des professionnels de santé, il est mentionné que la vaccination des adultes âgés de 65 à 74 ans révolus concerne également "les sujets ayant déjà présenté un ou plusieurs épisodes de zona". Autres informations nouvelles : la co-administration du vaccin Zostavax avec le vaccin contre la grippe saisonnière et le vaccin dtp (Revaxis) est possible. Par contre, il ne faut pas administrer le vaccin Zostavax en même temps que le vaccin pneumococcique 23-valent (Pneumovax), car cette co-administration peut entrainer une diminution de l'immunogénicité (capacité à produire des anticorps neutralisants) du vaccin Zostavax.

6 En conclusion, à côté de la mise en œuvre de l'obligation vaccinale, élément marquant des changements de la politique vaccinale en 2018, de nombreuses modifications plus ou moins importantes ont été apportées au nouveau calendrier vaccinal. Le système expert d'aide à la décision de MesVaccins.net a pour objectif d'aider les professionnels de santé et le grand public à mieux prendre en compte la multiplication des cas particuliers et des exceptions, ainsi que l'évolution rapide de certains paramètres, comme la disponibilité des vaccins ou la survenue d'épidémies. Référence principale : (Dr Jean Louis Koeck)

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