Sociabilités ordinaires, réseaux sociaux et médiation des technologies de communication
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- Louis Duval
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1 Sociabilités ordinaires, réseaux sociaux et médiation des technologies de communication Zbigniew Smoreda To cite this version: Zbigniew Smoreda. Sociabilités ordinaires, réseaux sociaux et médiation des technologies de communication. Humanities and Social Sciences. Université Paris-Est, French. <NNT : 2008PEST0257>. <tel > HAL Id: tel Submitted on 1 Apr 2010 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
2 UNIVERSITE PARIS-EST Ecole doctorale «Entreprise, Travail, Emploi» (n 416) Laboratoire Techniques, Territoires et Société Doctorat en Sociologie SOCIABILITES ORDINAIRES, RESEAUX SOCIAUX ET MEDIATION DES TECHNOLOGIES DE COMMUNICATION Zbigniew SMOREDA Thèse dirigée par M. Patrice FLICHY, professeur à l Université Paris-Est Soutenue le 6 octobre 2008 JURY : M. Patrice FLICHY, professeur à l Université Paris-Est (directeur de thèse) M. Michel GROSSETTI, directeur de recherche au CNRS, LISST-CERS (rapporteur) Mme Dominique PASQUIER, directrice de recherche au CNRS, CEMS-EHESS (rapporteur) Mme Claire BIDART, chargée de recherche au CNRS, LEST (examinateur) Mme Catherine PARADEISE, professeur à l Université Paris-Est (examinateur)
3 Résumé La forte croissance des Technologies d'information et de Communication (TIC) constitue un défi, tant pour les études qui portent sur la sociabilité que pour celles qui traitent des usages de ces technologies. Elle oblige en fait à réinterroger des méthodologies et des analyses sociologiques qui se sont jusqu'alors principalement fondées autour de la sociabilité en face-àface. Le travail présenté retrace l'historique des recherches conduites par l'auteur depuis dix ans sur les pratiques de communication outillées par les TIC. Il pose les hypothèses développées autour des liens entre la sociabilité et le téléphone fixe, puis il examine les effets de la popularisation des moyens de contact mobiles et individualisés tels que le téléphone cellulaire sur les pratiques de communication interpersonnelle. Il s'achève avec des questions méthodologiques et un regard sur des recherches plus récentes qui s'efforcent de saisir la sociabilité à travers l'ensemble des contextes et des moyens technologiques de communication largement diffusés ces dernières années. L'articulation entre médias de communication et sociabilités est modifiée par la transformation du paysage technologique actuel. Même s'ils ne les conditionnent ni ne les déterminent, les outils de communication posent les cadres d'interaction dans lesquels sont entretenus les liens sociaux. Les manières de construire, d'administrer et d'alimenter ces liens sont étroitement entrelacées avec l'outillage qui médiatise les contacts. Au même moment, une forte corrélation entre rencontres en face-à-face et appels échangés avec les proches est observée. Ce constat reste d'ailleurs valable pour l'ensemble des nouveaux outils de communication. Les recherches montrent que chaque nouveau service de communication adopté s'inscrit dans l'économie relationnelle globale, en augmentant le nombre des possibilités de tisser le lien. Il n'y a donc pas de substitution entre les différents outils de contact, mais des agencements continuels au fur et à mesure que les nouveaux instruments de communication apparaissent et sont insérés dans la partition qui fait vivre les liens interpersonnels. L'inscription des TIC dans les pratiques sociales est aujourd'hui si forte qu'il devient difficile de pouvoir analyser des interactions, des liens ou des réseaux sociaux, sans prendre en compte les outils techniques qui les épaulent, les orientent et les cadencent. En particulier, le passage vers les outils de communication mobiles et délocalisés, par rapport aux lieux habituels de présence outillée (maison, bureau.), transforme en partie notre accessibilité aux autres. Les nouveaux usages relationnels, lourdement instrumentés en outils de communication, favorisés par le recours aux dispositifs de communication portables, particulièrement adaptés à des enjeux de coordination, s'appuient sur le développement et le recours croissant aux messageries ( , SMS, IM). Même si ces technologies allègent les contraintes de disponibilité que les TIC font peser sur les acteurs en permettant une réponse différée aux sollicitations, la multiplication des échanges médiatisés fait croître la pression d'une nouvelle cadence relationnelle. Cette imbrication du «réel» et du «virtuel» dans la sociabilité de tous les jours risque de produire des formes de contrôle et des manières de gérer sa propre joignabilité inédites et à terme reconstruire les rythmes et les normes relationnels. Mots clés : sociologie de la communication, sociabilités, TIC, communication personnelle, multi-usages 2
4 Abstract The impressive growth of Information and Communication Technologies (ICT) in the last decade constitutes a challenge both for social studies on sociability and on ICT usage. It demands to put methodologies and sociological analysis that have mainly been developed for the study of face-to-face interactions into question. The work presented here traces the history of research on communication practices undertaken by the author for more than a decade. The text presents the hypotheses developed about the links between social contacts and telephone usage and then examines the effects of the popularisation of mobile and individual devices such as cell phones on the practices of interpersonal communications. It concludes with a discussion of methodological issues and looks at more recent research that tries to study sociability across all the various contexts and communication technologies that became widely disseminated in recent years. The relationship between communication technologies and sociability has been changed by the current transformation of the technological landscape. Even if the technologies mentioned neither determine nor totally control social action the new communication technologies lay the framework wherein social bonds are created and maintained. Ways to build, manage and nurture those relationships are closely intertwined with the technologies that mediate contacts. At the same time face-to-face contacts and phone calls are often highly correlated. This is also true for the new communication tools. Research undertaken by the author shows that each new communication service has been adopted in a more global relational economy thus increasing the number of opportunities to forge social links. Hence the new communication technologies are not substituting the older ones but a continuous, mutual and stepwise re-adaptation can be observed as new communication technologies arrive and get integrated into the social partition that guides the music of link. Today s integration of ICTs into social practices seems to be particularly intense so that it becomes doubtful to analyse social interactions, links or networks without taking into account the technologies that provide support, guide and give them their rhythm. In particular, the transition towards mobile and ubiquitous communication technologies can transform our accessibility if we compare with their use at the usual places of technology-supported presence, like the home or the office. The new technology-heavy relational practices are based on the increasing use of text messaging ( , SMS, IM). Even though these technologies reduce the availability constraints inherent to ICTs by allowing a asynchronous response to contact solicitations the proliferation of mediated contacts increases the pressure exercised by a new relational pace. This interweaving of the real and the virtual in everyday sociability may bring about new forms of individual control and ways to manage individual reachability. In the long run it might reconfigure the relational rhythms and social norms. Key words: sociology of communication, sociability, ICT, social networks, communication practices, multi-usages 3
5 Table des matières Première Partie : Synthèse 6 Introduction 7 Technologies de communication et formats relationnels 12 Face-à-face et téléphone : les premiers pas d une approche élargie des sociabilités 13 Plus on se voit et plus on s appelle 14 Appels courts, appels longs : distance et fréquence de l activation du lien 18 Les identités sexuées au téléphone 26 Sociabilité et cycle de vie au prisme du lien téléphonique 37 Bifurcations biographiques et transformation des réseaux 40 La sélection des liens : alignement des cycles de vie 41 La confirmation du lien : production et reproduction des réseaux sociaux 44 Entrelacement des usages : vers une approche élargie des sociabilités 48 Saisir les pratiques numériques contemporaines : une méthodologie 50 Communication interpersonnelle et entrelacement des technologies de contact 54 Entre les outils et réseaux relationnels : les ajustements sociotechniques 57 Conclusion 66 Deuxième Partie : Sélection d articles Identités sexuées et statuts interactionnels : de la gestion de la durée des conversations téléphoniques Liens sociaux et régulations domestiques dans l usage du téléphone Gender-specific use of the domestic telephone Social networks and residential ICT adoption and use La perception de l utilité des objets techniques : jeunes retraités, réseaux sociaux et adoption des technologies de communication Technologies de communication et relations de proximité 182 4
6 7. La naissance du premier enfant : hiérarchisation des relations sociales et modes de communication Si loin, si proches : Liens et communications à l'épreuve du déménagement Are social networks technologically embedded? How networks are changing today with changes in communication technology La diffusion des technologies d'information et de communication: une enquête longitudinale en Pologne Saisir les pratiques numériques dans leur globalité Extended sociability and relational capital management: Interweaving ICTs and social relations 318 Bibliographie 345 5
7 PREMIERE PARTIE : SYNTHESE 6
8 Introduction La forte croissance des Technologies d Information et de Communication (TIC) constitue un défi, tant pour les études portant sur les transformations des sociabilités que pour celles qui portent sur les usages de ces technologies. Elle oblige en fait à réinterroger des méthodologies et des analyses sociologiques qui se sont jusqu alors principalement fondées autour de la sociabilité en face-à-face. En effet, les sociologues considèrent depuis longtemps la rencontre en face-à-face comme le prototype de l interaction sociale, dans la mesure où c est la situation où l expérience de l autre est la plus complète. On voit ici l influence fondamentale de la psychologie sociale meadienne (Mead, 1934) et celle des travaux de l interactionnisme symbolique qui ont placé la communication interpersonnelle au cœur même du processus d émergence concomitante du soi et de la société (Berger et Luckmann 1966). De même, l interrogation sur les institutions et la cohésion sociale, en commençant par Emile Durkheim (1912) a également fortement insisté sur les rituels accomplis en coprésence, en soulignant le rôle joué par le contact direct et l implication émotionnelle des participants dans la confirmation des appartenances et des liens sociaux (cf. Collins 2004). Même le travail d Erving Goffman sur les rites d interaction quotidienne (1963, 1967), scrutant de manière approfondie l univers de la politesse et des fins d ajustements interpersonnels, n a pas porté un regard appuyé sur les interactions téléphoniques. Ce silence a été partiellement rompu par l analyse de conversation qui a trouvé dans l enregistrement des échanges téléphoniques une méthode de constitution des corpus pour des analyses rigoureuses, mais aussi une situation quasi-expérimentale où la conversation vocale focalise toute attention des locuteurs (cf. Schegloff et Sacks 1974 ; Schegloff 1979). Néanmoins, cet intérêt pour le téléphone ne comportait pas de projet d une sociologie des interactions médiatisées. En effet, comme le remarque Marc Relieu (2002), dans leur visée de mise au jour d un niveau fondamental et générique d organisation sociale à partir des conversations ordinaires, les ethnométhodologues ont d abord vu dans la conversation téléphonique une facilité pour déployer leurs 7
9 instruments naturalistes sans vraiment s intéresser à la spécificité de cette médiation, ni au rôle joué par les échanges téléphoniques dans la construction ou le maintien des relations sociales. C est davantage du côté de l analyse des formes sociales (laquelle influencera les recherches sur les réseaux sociaux) qu on peut chercher une ouverture pour interroger l enchevêtrement des espaces de communication électronique et des interactions quotidiennes. En effet, la sociologie de Georg Simmel (1908), fondée sur une dialectique entre structure sociale et interactions interpersonnelles à travers la notion de réciprocité d action, permet l introduction des problématiques de l émergence des formes sociales via les actions réciproques des individus, de leur autonomisation et de la contrainte qu elles exercent à leur tour sur les actions individuelles. Même si son «interactionnisme structural» comme le nomme Michel Forsé (2002) privilégie lui aussi les situations de coprésence, cela ne l'empêche pas d'analyser le rôle interactionnel des différentes médiations, telle la correspondance. La sociologie de Simmel constitue un cadre possible de l analyse de l'évolution des formes de sociabilité dans le contexte du développement massif des TIC. Cela ajoute à la complexité déjà grande des formats interactionnels de l'écrit, avec un facteur nouveau, la multiplication des dispositifs de contact qui remplissent l'environnement des acteurs en ressources communicationnelles : téléphone de maison ou de bureau, cabines publiques, puis téléphones portables (lesquels permettent eux-mêmes des échanges vocaux, textuels et bientôt visiophoniques) et, en parallèle, les services de communication accessibles via internet (courriel, chat, forums, messagerie instantanée (IM) ). D ailleurs, cette variété croissante de «technologies du contact» qui s immiscent dans nos interactions ordinaires constitue une problématique importante en soi. Les médiations interactionnelles se définissent en effet aujourd hui non seulement à partir de leur pertinence pour des interlocuteurs et des types d'échange dans un contexte donné, mais aussi en fonction de leurs positions réciproques dans un panorama technologique de plus en plus diversifié nous y reviendrons dans la dernière partie de ce texte. Afin de saisir la diversité des formes interactionnelles contemporaines, nous avons proposé de définir la sociabilité interpersonnelle de manière très générale comme «( ) 8
10 le flux des échanges entretenu par les sujets avec les différents individus avec lesquels ils sont en relation. La sociabilité se déploie alors pour nous entre trois pôles distincts : le réseau social (un ensemble de liens sociaux dotés d'une ou plusieurs métriques relationnelles) ; les échanges proprement dits (faits d'une succession de gestes incorporés et d'actes langagiers), ceux-ci exhibant une grande variété de genres pour un médium donné, qu'il s'agisse des correspondances écrites, de la téléphonie ou des modalités même de la réciprocité interactionnelle ; les différentes médiations interactionnelles disponibles à un moment donné à travers lesquelles les échanges sont mis en forme. Chacun de ceux-ci définit un ensemble de contraintes et de ressources dans lequel les pratiques relationnelles tracent des chemins singuliers» (Licoppe et Smoreda 2006: 297). Dans cette représentation tripolaire, la sociabilité apparaît comme une effervescence de conversations, de messages et d'échanges situés, un processus inscrit dans un espace multidimensionnel que composent les réseaux de liens, les formes de l'échange et les médiations interactionnelles (cf. la seconde partie, article 9). Par delà le tumulte incessant des interactions, se construisent des formes de cohérence, des configurations où se définissent conjointement la nature des relations sociales, la pertinence des formes discursives et la signification des médiations technologiques. Aucune n'est complètement donnée à l'avance, mais certaines configurations se cristallisent, se stabilisent et deviennent de nouvelles façons de lier les individus entre eux. Elles pourront alors être qualifiées, spécifiées et confrontées aux modèles classiques des liens entre proches. Entre l'ami intime, le membre de la famille ou la simple connaissance, il y a des manières distinctes de tisser le lien au fil des interactions à la fois en face-à-face et via les technologies de communication. Il existe des façons de faire plus ou moins en rapport avec les différents moments d évolution du lien, et qui jouent sur les différentes ressources discursives et technologiques disponibles pour les constituer dans une temporalité acceptable. Il y a de multiples manières de constituer et d entretenir le lien. La sociabilité est malléable, un lien spécifique peut se décliner sur de multiples configurations interactionnelles. En effet, une grande marge de manœuvre reste possible quant aux formes et formats de cette trame d'échanges réciproques dont la succession tresse le motif du lien dans la toile relationnelle. 9
11 Cette définition heuristique permet dans un certain sens de prolonger les analyses de Simmel sur la sociabilité au sens de Geselligkeit où le plaisir de l'échange naît de la possibilité d'abstraire l'interaction de tout ce qui la particularise et l'attacherait aux traits singuliers d'un interlocuteur ou à des finalités données. Cette dimension a été surtout travaillée par Christian Licoppe (2002, 2004), en particulier à travers l analyse d une forme spécifique d interaction médiatisée (la présence connectée) dont l horizon fantasmatique est celui du lien pour le lien, de la connexion pour le plaisir de la connexion. Elle permet également d analyser les figures de la «sociabilité élargie» associée à la mise en forme du champ relationnel par les outils techniques qui prend aujourd hui un sens particulier (cf. deuxième partie, article 12). En effet, la part des relations médiatisées dans la construction de la sociabilité quotidienne ne cesse de croître. Les nouvelles figures qui émergent des usages avancés des outils de communication apparaissent ainsi suffisamment originales pour que puisse être établi le constat d une modification significative des modalités de mises en contact. Est-ce à dire cependant que l intensification, l élargissement et la complexification de ces pratiques de communication transformeraient de façon substantielle les formes de sociabilité? Il semble en effet que la place de plus en plus grande qu occupent les technologies d information et de communication dans la conduite des interactions ne doit pas être comprise comme la constitution d un espace séparé, différent ou concurrent de l univers relationnel habituel. Si les technologies facilitant la «joignabilité» permettent bien d étendre quelque peu la taille et le volume des liens qui composent la sociabilité des individus, nous sommes pour autant loin de la prophétie de la constitution d un «village global» où chacun serait connecté à chacun par des «autoroutes de l information». On observe plutôt une série de lignes de déplacement à l intérieur du système relationnel traditionnel (cf. Bailliencourt, Beauvisage et Smoreda 2007). Les nouveaux outils de contact se superposent sur les pratiques relationnelles déjà en place, leur usage étant en quelque sorte formaté par les liens existants, mais aussi permettant des reconfigurations potentielles des liens : renforcement de rythme, sélection et contrôle d accès plus aisés, émergence des nouvelles temporalités de contact, spécialisation des outils selon les réseaux 10
12 C'est dans cet entre-deux d'un processus d intégration des TIC dans la dynamique du lien social qui ne serait ni déterministe ni aléatoire, que j essaie de conduire mon analyse. Je cherche à construire une grille de compréhension du lien et de la sociabilité fondée sur l entrelacement du face-à-face et des technologies de communication, de la distribution des relations sur des différents moyens d échange, de leur actualisation et de leur maintien, en proximité ou à distance, pour mettre en évidence une économie relationnelle caractéristique de la société contemporaine. Cette économie relationnelle est trop malléable pour n'être guidée par d'autre principe que celui des représentations diffuses, mais assez rigide pour donner lieu à des régularités empiriques observables. Ces régularités ne conduisent pas à des principes qui détermineraient les pratiques relationnelles, mais à des modes d'organisation du travail de la sociabilité qui permettent d'en saisir le sens et d'en interpréter l'évolution. Ce sont celles-ci que je tenterai d'établir à partir de l'étude de la relation entre TIC et face-à-face, à travers l examen des reconfigurations de la sociabilité interpersonnelle lors d'événements biographiques qui transforment le contexte des acteurs et conduisent ceux-ci à redistribuer leurs pratiques relationnelles. Je le tenterai également dans l étude de la distribution des liens sur les différents supports de communication actuels. Je me concentrerai ici plus particulièrement sur les liens forts, qu ils soient familiaux ou amicaux. Dans ce texte, légèrement égocentré vu le caractère de l exercice, je vais essayer de retracer l historique des recherches sur les pratiques de communication outillées par les TIC auxquelles j ai eu plaisir de participer et que j ai parfois coordonnées à partir de Je vais donc commencer par les interrogations qui se posent autour des liens entre la sociabilité et le téléphone fixe, puis examiner les effets de la popularisation des moyens de contact mobiles et individualisés, tel le téléphone cellulaire, sur les pratiques de communication interpersonnelle, pour finir avec des questions méthodologiques et un regard sur des recherches plus récentes qui s efforcent de saisir la sociabilité à travers l ensemble des contextes et des moyens technologiques de communication et qui se sont largement diffusés en France lors de la dernière décennie. 11
13 Technologies de communication et formats relationnels La diffusion de chaque «grande» technologie porte en elle-même une promesse de transformation du cadre de vie des sociétés. L électricité, le chemin de fer, la voiture, l avion, la radio, la télévision, l ordinateur toutes ces technologies ont suscité des espoirs immenses quant à l amélioration de la vie quotidienne. Le même enthousiasme a accompagné l avènement de la télécommunication : le télégraphe, puis le téléphone ont fait naitre l espérance d une participation sans entrave de tous à la vie politique (Fischer 1992), mais aussi de l abolition de la distance et de la reconfiguration du tissu urbain (McLuhan 1964). L explosion récente des nouvelles technologies d information et de communication, de l Internet et du téléphone mobile, a renforcé encore cette attente d une libération des contraintes physiques grâce à la numérisation des échanges et aux capacités de calcul et de transmission des données en progression exponentielle (Negroponte 1995). Mais cet espoir a aussi été accompagné par des craintes. Corrélativement à la montée en puissance des usages de ces technologies, certaines recherches indiquent en effet un déclin des réseaux de discussions en face-à-face (McPherson, Smith-Lovin et Brashears 2006), l INSEE annonce que «Les Français se parlent de moins en moins» (Blanpain et Pan Ké Shon 1998) et les sociologues éminents observent une dissolution du capital social sous la pression de l anonymat des villes et de l individualisation des relations sociales (Putnam 1995). Les technologies de communication sont alors mises en cause : l Internet pourrait favoriser l isolation sociale et détourner l individu de la vie réelle vers un monde virtuel (Kraut et al. 1998), le téléphone mobile, individuel et personnalisé, ou la messagerie instantanée pourraient soutenir l indépendance de l individu du groupe social (Campbell et Park 2008), la société en réseau menace la communauté locale en favorisant le contact entre les gens proches par le goût, l intérêt ou la profession (Ryfkin 2000). On distingue dans ces débats un écho lointain de la vieille opposition entre communauté et société (Gesellshaft et Gemeinschaft) que Ferdinand Tönnies (1887) a établie bien avant la révolution informationnelle. En effet, les nouvelles technologies de contact, plus encore que celles de transport ou de diffusion de l information (broadcast), agissent directement sur et à travers les relations sociales quotidiennes. Si le face-à-face 12
14 ancre solidement la sociabilité dans les relations locales, les TIC sont en principe capables de déplacer le centre de gravité relationnel vers des univers plus lointains et donc de dépasser la communauté idéalisée par Tönnies «de sang, de lieu, d esprit» où prime la parenté, le voisinage et l amitié. Un mouvement redouté par les uns, souhaité par les autres. Il devient alors intéressant d examiner empiriquement l influence des TIC sur le tissu relationnel dans les interactions les plus banales de la vie quotidienne. Face-à-face et téléphone : les premiers pas d une approche élargie des sociabilités La téléphonie est apparue au début des années 1990 comme un instrument d enquête particulièrement adapté pour objectiver le réseau de correspondants des personnes et fournir des éléments d interprétation de son évolution selon le cycle de vie, en prenant la distance géographique, le sexe et la structure familiale comme principales variables d analyse. Mais l introduction de la téléphonie comme média de la sociabilité au sein des enquêtes sur les contacts interpersonnels n est pas allée de soi. Tout s'est en effet passé comme si les enquêtes menées sur les pratiques téléphoniques initiées par la Direction Générale des Télécommunications (cf. Claise et Vergnaud 1985 ; Curien et Périn 1983 ; Chabrol et Périn 1993 ; Rivière 2000a) et celles qui l ont été sur le trafic téléphonique conduites au Centre National d Etudes des Télécommunication avaient d abord du faire la preuve de la cohérence de leurs résultats avec les enquêtes sur les contacts en face-à-face. Pour se faire accepter comme nouveau support méthodologique dans l étude des sociabilités, les enquêtes sur le trafic téléphonique ont ainsi dû démontrer que l univers social du téléphone n était pas différent de l espace relationnel des personnes, tout en prouvant par ailleurs qu il permettait d enrichir la connaissance des variables structurantes de la distribution des sociabilités au sein des espaces conjugaux, familiaux et amicaux. Aujourd hui, alors que les téléphones et les autres moyens de communication sont devenus partie intégrante de nos contacts quotidiens, le lien entre rencontre et appel téléphonique semble aller de soi. Néanmoins les premières enquêtes sociologiques sur les réseaux sociaux n ont pas inclus ces sociabilités médiatisées dans leur protocole de saisie des comportements relationnels. Ainsi, la première grande enquête française sur 13
15 les contacts sociaux de 1983 a limité le spectre de son analyse aux seules rencontres en face-à-face pour étudier le capital social des Français (Héran 1988). Ce choix n était pas seulement l écho d un faible intérêt pour les contacts médiatisés à l époque de la recherche, mais il reflétait également un parti pris plus général, accordant une prépondérance dans la construction du lien social aux interactions en face-à-face, comme nous l avons vu plus haut. Un appel téléphonique apparaissait, dans cette perspective, comme une forme réduite et contrainte de l interaction au regard des contacts directs. L'enquête Contact de l INSEE-INED a cependant permis de dresser un tableau complet des relations sociales entretenues par les Français, en balayant au passage quelques stéréotypes issus de la sociologie des classes populaires, par exemple, celui d une plus forte propension à la sociabilité de la classe ouvrière. En effet, si l on considère trois types de capital, économique, culturel et social, on observe un phénomène d accumulation plutôt qu un effet de compensation : «le capital va au capital». Les membres des catégories aisées et plus éduquées ont des réseaux sociaux plus vastes et plus variés, construits durant des parcours scolaires plus longs et des mobilités géographiques souvent plus fortes. Cette recherche a aussi pu mettre en évidence une très forte structuration de la vie relationnelle par l âge et la situation socioprofessionnelle des enquêtés. François Héran parlera à ce propos des «trois âges de la vie» (jeunesse, âge actif et retraite), en découpant à grands traits les formes de la sociabilité caractéristiques de ces périodes, qui se centrent successivement sur l amitié, sur les relations de travail et sur la famille. Plus on se voit et plus on s appelle Dans une étude menée en 1996 au CNET sur les usages du téléphone résidentiel des foyers, nous avons pu observer quatre mois de trafic téléphonique détaillé de chacun des 312 foyers participants (Smoreda et Licoppe 1998). Le corpus d observation de la téléphonie, comprenant environ appels, a ensuite été étudié avec les participants qui procédaient à une qualification de leurs correspondants téléphoniques. Notre méthodologie croisant enquête traditionnelle par questionnaire et mesure objective du trafic a permis d analyser de manière approfondie les traits distinctifs de la téléphonie domestique, ainsi que les formes de la sociabilité téléphonique selon la composition du foyer, la mobilité géographique des membres du ménage et le sexe des interlocuteurs. 14
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