CITIBANK CANADA. Exigences de divulgation du troisième pilier de Bâle III Au 31 décembre 2013

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1 Exigences de divulgation du troisième pilier de Bâle III Au 31 décembre 2013

2 Table des matières 1. Champ d application...1 Divulgations qualitatives Structure du capital...2 Divulgations qualitatives...2 Divulgations quantitatives Adéquation des fonds propres...3 Divulgations qualitatives...3 Divulgations quantitatives Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques...6 Divulgations qualitatives...6 Divulgations quantitatives Risque de crédit Divulgations pour les portefeuilles assujettis à l approche standard et coefficients prudentiels pour les approches fondées sur les NI Atténuation du risque de crédit...13 Divulgations qualitatives Divulgations quantitatives Divulgations générales pour les expositions liées au risque de crédit de contrepartie...15 Divulgations qualitatives Divulgations quantitatives Titrisation Risque de marché Divulgations pour les banques utilisant la méthode des modèles internes (MMI) pour les portefeuilles de négociation...17 Divulgations qualitatives Divulgations quantitatives Risque opérationnel Actions Divulgation des positions du portefeuille bancaire Risque lié aux taux d intérêt dans le portefeuille bancaire...23 Divulgations qualitatives Divulgations quantitatives Rémunération...25 Programme Philosophie de Citi en matière de rémunération Haute direction et autres preneurs de risques importants... 26

3 Table des matières Structures de la rémunération Mesure du rendement Énoncés des principes fondamentaux Divulgations quantitatives Bâle III entrée en vigueur le 1 er janvier

4 1. Champ d application Divulgations qualitatives Le présent document porte sur les exigences de divulgation du troisième pilier de Bâle III qui concernent Citibank Canada (la «Banque») et l ensemble de ses filiales. Les exigences relatives à la consolidation aux fins de la comptabilité ou de la réglementation sont les mêmes. Toutes les opérations et tous les soldes intersociétés ont été éliminés. Il n existe aucune restriction précise concernant le transfert de fonds ou de fonds propres réglementaires des filiales de la Banque, sauf qu avant tout changement, il faut obtenir les approbations nécessaires du conseil d administration et(ou) des dirigeants concernés et une filiale de la Banque réglementée par le BSIF est requise, conformément aux lignes directrices du BSIF en matière de fonds propres réglementaires. La Banque est une filiale indirecte en propriété exclusive de Citibank N.A., et elle est autorisée à exploiter une banque au Canada avec tous les pouvoirs bancaires prévus par la Loi sur les banques en tant que filiale de banque étrangère. La société mère directe de la Banque est Citibank Overseas Investment Corporation et sa société mère ultime est Citigroup Inc. Les divulgations suivantes ont été préparées dans le seul but d expliquer les éléments sur lesquels la Banque s est fondée pour préparer et divulguer les renseignements relatifs aux exigences en matière de fonds propres, à la gestion de certains risques et à la rémunération de la haute direction. Elles ne constituent en rien des états financiers, et elles ne doivent pas servir à prendre des décisions de placement ou à se former un jugement sur la Banque ou ses sociétés liées, Citigroup Inc. et Citibank, N.A. Sauf indication contraire, les renseignements financiers présentés en dollars canadiens ont été arrondis au millier de dollars le plus près. Page 1 de 36

5 2. Structure du capital Divulgations qualitatives Le capital réglementaire de la Banque est principalement composé de fonds propres de niveau 1 incluant des actions, des réserves, des bénéfices non distribués (rajustés pour éliminer certains profits et pertes liés aux fluctuations du propre écart de crédit de la Banque) et des ajustements réglementaires. Les fonds propres de niveau 2 de la Banque comprennent une part admissible de la réserve collective pour pertes sur créances irrécouvrables. Divulgations quantitatives Voici un résumé des fonds propres réglementaires de la Banque au 31 décembre : ) ) Actions ordinaires (sans valeur nominale; sans limites, autorisées; actions émises) $ $ Réserves admissibles $ $ Bénéfices non distribués rajustés $ $ Cumul des autres éléments du résultat étendu aux fins de fonds propres 3) (4 841 $) - Moins : Gain à la juste valeur nette cumulative après impôt découlant de l évolution du risque de crédit de l institution, y compris les rajustements de la valeur de la dette sur les produits dérivés 3) $ 884 $ Fonds propres bruts de catégorie $ $ Déductions des fonds propres de catégorie 1 : 3) Logiciels incorporels (nets du passif en sursis d impôt) $ - Actifs en sursis d imposition relatifs aux pertes opérationnelles, comme le report de pertes fiscales ou de crédits de taxe inutilisés (nets du passif en sursis d impôt admissible) $ - Fonds propres nets de catégorie $ $ Fonds propres de catégorie 2 : Réserve collective admissible $ $ Total des fonds propres admissibles $ $ 1) Selon Bâle III 2) Selon Bâle II 3) Modifications liées à Bâle III Page 2 de 36

6 3. Adéquation des fonds propres Divulgations qualitatives Depuis le 1 er janvier 2013, la Banque a adopté les nouvelles lignes directrices du BSIF, qui sont fondées sur «Bâle III : dispositif réglementaire mondial visant à renforcer la résilience des établissements et systèmes bancaires - Décembre 2010 (texte révisé en juin 2011)», communément appelé Bâle III, publié par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. De concert avec «Bâle III : dispositif international de mesure, normalisation et surveillance du risque de liquidité», ces accords décrivent les réformes élaborées par le Comité de Bâle pour renforcer les règles internationales en matière de fonds propres et de liquidité, dans le but d accroître la résilience du secteur bancaire. Les nouvelles lignes directrices du RNFPB du BSIF incorporent, entre autres changements, une nouvelle composante d actifs pondérés, à savoir une charge de capital pour les rajustements de la valeur du crédit. Le BSIF a cependant reporté la mise en œuvre de cette nouvelle charge de capital au 1 er janvier Consulter la section 14 du présent document pour obtenir de plus amples renseignements. Pour 2012, les lignes directrices du BSIF étaient fondées sur le «Dispositif révisé de convergence internationale de la mesure et des normes de fonds propres (juin 2006)», communément appelé Bâle II. Les ratios de fonds propres de la Banque, selon les règles de Bâle III aussi bien que selon celles de Bâle II, ont été calculés à l aide de l approche standard intégrale. Les niveaux de fonds propres des banques canadiennes sont réglementés par les lignes directrices susmentionnées. Les fonds propres réglementaires sont répartis dans les catégories suivantes : actions ordinaires et assimilées de T1 (CET1), catégorie 1 et capital total. Les fonds propres de catégorie 1 sont principalement composés des éléments les plus durables du capital, et ils consistent essentiellement en actions ordinaires, en réserves et en bénéfices non distribués. Les fonds propres de niveau 2 comprennent une part admissible de la réserve collective totale pour pertes sur créances irrécouvrables. Le capital total est défini comme le total des fonds propres de catégorie 1 et 2, moins certaines déductions prévues par le BSIF. La Banque a mis en place un processus de gestion des fonds propres qui permet d estimer, de déployer et de surveiller ses fonds propres disponibles et d en évaluer l adéquation. Ce processus de gestion des fonds propres vise plusieurs objectifs dépasser les exigences réglementaires et maintenir une structure de capital efficiente qui assure un juste équilibre entre d excellents ratios de fonds propres et un rendement satisfaisant pour les actionnaires de la Banque. Les principaux ratios de fonds propres de la Banque sont conservés quotidiennement à des niveaux appropriés, conformément aux lignes directrices du BSIF. La Banque a constamment affiché des ratios supérieurs aux exigences réglementaires en 2013 et en Le conseil d administration de la Banque examine ces ratios tous les trimestres. Pour calculer les ratios réglementaires, on divise les fonds propres des CET1, de catégorie 1 et le capital total par les actifs pondérés en fonction des risques (actifs pondérés). Le calcul des risques pondérés est défini par les règles édictées par le BSIF relativement aux expositions au bilan et hors bilan, et il inclut des montants pour l exposition au risque de marché associée au portefeuille de négociation de la Banque et l exposition au risque opérationnel associée au risque de perte découlant de l insuffisance ou de la défaillance des processus internes ou des systèmes, ou des employés, ou encore d événements externes. Page 3 de 36

7 En outre, le BSIF établit officiellement des minimums de fonds propres fondés sur les risques pour les institutions de dépôts. Ces minimums s établissent actuellement à un ratio de 7,0 % pour les CET1 (en 2012 : sans objet), à un ratio de 8,5 % pour les fonds propres de catégorie 1 (en 2012 : 7 %) et à un ratio de 10,5 % pour le capital total (en 2012 : 10 %). En plus des ratios applicables aux fonds propres de catégorie 1 et au capital total, les banques canadiennes doivent s assurer que leur ratio actif-fonds propres, calculé en divisant les actifs bruts rajustés par le capital total, ne dépasse pas le niveau maximum autorisé par le BSIF. Dans son cadre de gestion des fonds propres, la Banque a mis en place un processus d évaluation de l adéquation des fonds propres internes (EAFPI), qui permet de fixer des objectifs de fonds propres internes adaptés à son profil de risque, à ses plans d affaires et à son environnement opérationnel. Le cadre EAFPI de la Banque repose sur des objectifs de fonds propres quantitatifs visant à s assurer qu elle dispose de suffisamment de fonds propres pour réaliser ses objectifs stratégiques et que toutes les parties prenantes sont convenablement protégées contre les situations de crise. Ces objectifs comprennent : Surveiller et adapter les activités de prise de risques au sein de la Banque afin de garantir que les pertes enregistrées à l occasion des simulations de crise selon un scénario de probabilité d une année sur dix n excèdent pas la tolérance au risque. Le niveau de tolérance au risque est défini selon les prévisions des bénéfices avant impôt de la Banque au cours d un exercice. Cela permet de s assurer que les pertes enregistrées à l occasion des simulations de crise seront entièrement absorbées par les bénéfices avant impôt et n entraîneront une réduction importante des fonds propres de la Banque; Conserver des niveaux de fonds propres réglementaires au sens de Bâle III supérieurs aux déclencheurs de crise selon les scénarios simulés. Les pertes enregistrées à l occasion des simulations de crise servent à calculer le ratio de fonds propres de catégorie 1 simulé. Le ratio de fonds propres de catégorie 1 simulé doit être plus élevé que l objectif défini à l interne; Conserver un niveau de ressources financières définies comme des fonds propres de catégorie 1 disponibles supérieur au capital de risque, lequel est une mesure fondée sur le risque interne permettant de déterminer le montant de fonds propres nécessaire au soutien du profil de risque de la Banque; et Conserver les niveaux de liquidités réels et prévus au-dessus des seuils internes, comme défini par les simulations de crise de liquidité de Citibank Canada fondées sur des conditions de marché, de crédit et économiques de moyennement à très difficiles assorties de risques de détérioration supplémentaires, sur un accès au marché du financement de gros non garanti fortement limité ou non disponible et sur des cotes à long terme de la Banque ayant subi une décote d un cran par rapport à leur niveau actuel. Le risque de marché, le risque opérationnel, le risque de liquidité, le risque de crédit et les risques dont la divulgation est exigée par le deuxième pilier sont les éléments de risque inclus dans le cadre EAFPI de la Banque. Page 4 de 36

8 Divulgations quantitatives Voici un résumé des actifs pondérés et des ratios de fonds propres de la Banque dont la divulgation est exigée par le premier pilier, au 31 décembre : ) ) Risque de crédit (approche standard) Entreprises $ $ Banque $ $ Opérations $ $ Détail $ $ Autre $ $ Sous-total du risque du crédit $ $ Risque de marché (méthode des modèles internes) $ $ Risque opérationnel (approche indicateur de base) $ $ Total des actifs pondérés $ $ Ratio de fonds propres des CET1 31,12 % - Ratio de fonds propres de niveau 1 31,12 % 37,59 % Ratio de capital total 31,28 % 37,75 % 1) Selon Bâle III 2) Selon Bâle II, sauf les modifications apportées au risque de marché, qui sont fondées sur Bâle II.5 Page 5 de 36

9 4. Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques Divulgations qualitatives Chaque date de déclaration, la Banque vérifie s il existe une preuve objective indiquant que des actifs financiers qui ne sont pas inscrits à leur juste valeur dans les profits ou les pertes ont subi une dépréciation. Un actif financier subit une dépréciation lorsqu une preuve objective démontre qu un événement générateur de pertes opérationnelles s est produit après la reconnaissance initiale de l actif, et que cet événement a des répercussions sur les flux de trésorerie futurs de cet actif qui peuvent être évaluées de manière fiable. Parmi les preuves objectives que des actifs financiers (incluant des valeurs mobilières) ont subi une dépréciation, mentionnons les difficultés financières graves de l emprunteur ou de l émetteur, un défaut de versement ou un compte en souffrance de l emprunteur, la restructuration d un prêt par la Banque à des conditions que la Banque n accepterait jamais dans d autres circonstances, des signes indiquant qu un emprunteur ou un émetteur s apprête à faire faillite, la disparition d un marché actif pour un titre, ou d autres données observables relatives à un groupe d actifs, par exemple la dégradation de l état des versements des emprunteurs ou des émetteurs du groupe, ou la détérioration de la situation économique à laquelle sont liés les défauts de versement dans le groupe. Une autre preuve objective de dépréciation pour un placement dans un titre est une baisse marquée ou prolongée de sa juste valeur au-dessous de son coût. On considère qu un prêt a subi une dépréciation lorsque, de l avis de la direction, la qualité du crédit s est détériorée à un point tel qu il n existe plus aucun motif raisonnable de croire qu il sera possible de recouvrer le montant total du capital et de l intérêt en temps opportun. Les prêts dont l intérêt ou le capital est contractuellement en souffrance depuis plus de 90 jours sont automatiquement reconnus comme ayant subi une dépréciation, sauf si la direction juge que le prêt est entièrement garanti, qu il est en cours de recouvrement et que l on peut raisonnablement s attendre à ce que les efforts de recouvrement débouchent soit sur le remboursement du prêt, soit sur sa remise en règle dans les 180 jours suivant la date à compter de laquelle le versement est devenu contractuellement en souffrance. Tous les prêts sont considérés comme ayant subi une dépréciation lorsque l intérêt ou le capital est en souffrance depuis plus de 180 jours, sauf les prêts garantis ou assurés par le gouvernement, les provinces ou un organisme canadien, qui sont considérés comme ayant subi une dépréciation lorsque l intérêt ou le capital est contractuellement en souffrance depuis plus de 365 jours. La Banque examine la preuve de dépréciation des prêts au niveau de l actif concerné, mais aussi au niveau collectif. Chaque prêt qui revêt une importance propre est évalué aux fins de déterminer s il a subi une dépréciation particulière. Tous les prêts qui revêtent une importance propre et pour lesquels aucune dépréciation particulière n a été constatée sont ensuite évalués collectivement en vue de détecter toute dépréciation qui n aurait pas encore été décelée. Les prêts qui n ont pas importance propre sont soumis à une évaluation collective afin de déterminer s ils ont subi une dépréciation; pour ce faire, on regroupe les prêts qui affichent des caractéristiques de risque semblables. Lorsqu elle évalue la dépréciation collective, la Banque utilise la modélisation statistique des tendances historiques en ce qui concerne la probabilité de défaut, les délais de recouvrement et le montant de perte subie, ajustées en tenant compte de l opinion de la direction quant à savoir si la situation économique et le contexte du crédit actuels sont tels que les pertes réelles risquent d être supérieures, ou inférieures, aux résultats de la modélisation historique. Les taux de prêts non remboursés, les taux de pertes et le délai estimatif des recouvrements futurs sont périodiquement comparés aux résultats réels pour s assurer qu ils demeurent d actualité. Page 6 de 36

10 Gestion du risque de crédit Le risque de crédit se définit comme la probabilité que la Banque subisse une perte financière parce qu un emprunteur ou une contrepartie a omis de satisfaire à ses obligations financières ou contractuelles. Le risque s applique à la fois aux actifs au bilan et aux actifs hors bilan, par exemple les prêts, les valeurs mobilières, les instruments dérivés, les engagements, les lettres de crédit et les garanties. Le risque de crédit est présent dans plusieurs activités commerciales de la Banque, par exemple : les prêts; la vente et la négociation; les instruments dérivés; les opérations sur titres; les règlements; les activités de la Banque lorsqu elle agit en qualité d intermédiaire. Gestion du risque de crédit La Banque gère les risques de crédit dans le cadre de politiques bien précises approuvées par le conseil d administration. Les politiques de crédit sont importantes car elles visent à maintenir un juste équilibre entre la réalisation des objectifs en matière de bénéfices et le maintien d un portefeuille de prêts solide. Ces politiques définissent les procédures à suivre pour cerner, mesurer, évaluer, approuver, surveiller et contrôler le risque de crédit. Les politiques de crédit de la Banque reposent sur les principes directeurs suivants : un partage de responsabilité entre l entreprise et une équipe indépendante en ce qui concerne la gestion du risque de crédit; un centre de contrôle unique pour chaque relation de crédit qui coordonne les activités de crédit avec ce client; des limites par portefeuille pour veiller à la diversification et maintenir l équilibre risque-fonds propres; l obligation d obtenir la signature d au moins deux responsables des prêts autorisés pour toute prolongation de crédit, dont au moins un responsable des prêts spécialisé dans la gestion du risque de crédit; des normes de classification des risques applicables à tous les débiteurs, dans tous les établissements; et des normes harmonisées pour les documents relatifs au montage des prêts et la gestion des mesures correctives. La Banque utilise un système de classification des risques ou des critères d approbation standard pour évaluer les propositions de prolongation de crédit. Le système de classification des risques permet d évaluer la probabilité d un défaut de versement du débiteur. Il repose essentiellement sur le recours à des modèles statistiques (qui sont validés périodiquement), à des agences de cotation externes (dans certaines circonstances bien précises) ou à des méthodes de cotation approuvées. La haute direction de la Banque évalue le projet de prêt en tenant compte du marché cible de la Banque, des exigences de rendement et des niveaux de fonds propres, et elle doit approuver les prêts qui dépassent certaines limites. Le conseil d administration approuve la nomination de tous les responsables des prêts et responsables principaux des prêts. Une série de vérifications et de contre-vérifications, y compris plusieurs examens des approbations de crédit et examens indépendants de la qualité du crédit par le groupe de vérification interne, a été mise en œuvre pour veiller à assurer un équilibre entre les objectifs de commercialisation de la Banque et ses objectifs de crédit. La Banque a mis en place des mécanismes de contrôle pour s assurer du maintien de l obligation de rendre compte pour chaque aspect du processus de crédit. Le portefeuille et les dérogations aux limites par secteur d activité et par contrepartie font l objet d un examen par le conseil d administration au moins une fois par trimestre. Page 7 de 36

11 Les prolongations de crédit pour une relation donnée sont assujetties à des approbations, à des restrictions et à des procédures de surveillance. Lors de l évaluation de la prolongation de crédit d un client, le niveau de risque d un instrument dérivé est déterminé en additionnant le coût de remplacement courant de l instrument et la hausse éventuelle du coût de remplacement pour la durée de vie restant à courir de l instrument. De plus, la Banque limite son exposition au risque de crédit face aux contreparties aux produits dérivés en concluant des accords-cadres qui comportent une clause de compensation, dans la mesure du possible. Grâce à ces accords de compensation, le risque de crédit associé aux contrats en vertu desquels la contrepartie est débitrice de la Banque est compensé par les contrats en vertu desquels c est la Banque qui est débitrice de cette même contrepartie, à la condition que le règlement des contrats en vertu desquels la Banque est débitrice intervienne après le règlement des contrats où c est la contrepartie qui est débitrice. La Banque applique la politique du Groupe clients institutionnels (Institutional Clients Group, ou ICG) relative aux sûretés et aux procédures en matière de portefeuille bancaire. Cette politique décrit les biens admissibles pouvant être donnés en nantissement au soutien des expositions aux risques directs et éventuels, les procédures d évaluation des biens donnés en garantie, les processus de rapport et les mécanismes de contrôle. La Banque applique également la politique du Groupe clients institutionnels relativement aux produits échangés, de concert avec les procédures du Groupe en matière de marge pour les produits échangés pour les instruments dérivés de gré à gré. Cette politique décrit les règles applicables aux marges données en garantie ou transférées en tant que mécanisme d atténuation des risques reconnu par la loi, et elle exige que tous les instruments dérivés de gré à gré donnés en garantie soient visés par des ententes-cadres de l ISDA, de l ACVM ou l équivalent, si les lois locales imposent une telle obligation. Divulgations quantitatives Le tableau suivant présente les expositions au risque de crédit brutes totales de la Banque pour les instruments financiers, évaluées selon le montant dû au 31 décembre 2013 : Montant dû Moyenne cumulative annuelle Ressources de trésorerie $ $ Titres de négociation $ $ Titres disponibles à la vente $ $ Prêts, nets de la réserve pour pertes sur créances $ $ irrécouvrables Instruments financiers dérivés $ $ Autres éléments d actif $ $ Total $ $ Le tableau suivant présente les expositions au risque de crédit brutes totales de la Banque pour les instruments financiers, évaluées selon le montant dû au 31 décembre 2012 : Montant dû Moyenne cumulative annuelle Ressources de trésorerie $ $ Titres de négociation $ $ Titres disponibles à la vente $ $ Prêts, nets de la réserve pour pertes sur créances $ $ irrécouvrables Instruments financiers dérivés $ $ Autres éléments d actif $ $ Total $ $ Page 8 de 36

12 Le tableau qui suit présente la répartition des ressources de trésorerie, des valeurs, des prêts et des responsabilités des clients en vertu d acceptations de la Banque qui peuvent être attribués pour des contreparties externes par segment géographique où le risque est assumé en dernier ressort au 31 décembre : Canada $ $ Autres pays $ $ Total $ $ Le tableau qui suit présente la ventilation des ressources de trésorerie, des valeurs, des prêts et des autres éléments d actif de la Banque selon l échéance contractuelle restant à courir au 31 décembre : Moins de 1 an 1 à 5 années Plus de 5 années 2013 TOTAL 2012 TOTAL ACTIFS Ressources de trésorerie $ $ $ Opérations sur titres $ $ $ $ $ Valeurs disponibles à la $ $ $ vente Prêts $ $ $ $ $ Autres éléments d actif $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ Le tableau qui suit présente l analyse du coût de remplacement courant du portefeuille d instruments dérivés de la Banque par segment géographique où le risque est assumé en dernier ressort, compte non tenu des accordscadres de compensation, au 31 décembre : Canada $ $ États-Unis $ $ Autres pays $ $ Total $ $ Le tableau qui suit présente la répartition du coût de remplacement courant de la Banque par type de contreparties au 31 décembre : Institutions financières $ $ Gouvernements $ $ Autres contreparties $ $ Total $ $ Page 9 de 36

13 Le portefeuille de valeurs de la Banque est principalement composé de titres de créance émis par le gouvernement du Canada (en 2013 : millions de dollars; 2012 : millions de dollars) et de titres de participation émis par différentes entités (en 2013 : millions de dollars; 2012 : 627 millions de dollars). Le tableau qui suit présente la répartition du portefeuille de prêts bruts de la Banque par catégorie et par région où le risque est assumé en dernier ressort au 31 décembre : Canada Prêts aux entreprises : Gouvernements et institutions financières $ $ Prêts hypothécaires $ $ Autre $ $ Prêts hypothécaires : Résidentiels $ $ Non résidentiels $ $ Consommateur $ $ Valeurs achetées en vertu d accords de prise en pension $ $ $ $ Autres pays Royaume-Uni Autres $ $ $ $ $ $ Moins : réserve pour pertes sur créances irrécouvrables (5 000 $) (5 000 $) Total $ $ La Banque n avait aucun prêt ayant subi une dépréciation et aucun (en 2012 : 12,8 millions de dollars) prêt en souffrance. Le tableau qui suit résume l évolution de la réserve pour pertes sur créances irrécouvrables de la Banque en 2013 et en 2012 : Solde en début d exercice $ $ Recouvrements 19 $ 39 $ Provision pour pertes sur créances irrécouvrables (10 $) 29 $ Radiations (9 $) (68 $) Solde en fin d exercice $ $ Le solde relatif à la réserve pour pertes sur créances irrécouvrables à la fin de chaque exercice ne comprend que la réserve collective. La réserve collective inclut les montants relatifs aux portefeuilles de prêts des services bancaires aux entreprises et des services bancaires aux particuliers, et une quote-part non affectée. Page 10 de 36

14 Le tableau qui suit présente un résumé de la réserve collective pour le portefeuille de prêts des services bancaires aux entreprises par secteur d activité : Banques 534 $ 88 $ Produits du bâtiment et services connexes 15 $ 11 $ Biens d équipement 1 $ - Biens durables, commerce de détail et vêtements 1 $ 1 $ Énergie 43 $ 41 $ Alimentation, boissons et tabac 5 $ 15 $ Fonds - 3 $ Gouvernement 15 $ - Produits domestiques et personnels - 10 $ Assurances - 2 $ Logistique 12 $ 12 $ Métaux et exploitation minière 25 $ 23 $ Énergie électrique 11 $ 115 $ Services professionnels 4 $ 4 $ Logistique liée à l expédition et aux Maritimes 3 $ - Technologie 49 $ 32 $ Autre - 6 $ Total 718 $ 363 $ Le tableau qui suit présente un résumé de la réserve collective pour le portefeuille de prêts des services bancaires aux particuliers par programme : Financement de l artisanat 53 $ 9 $ Financement des activités artistiques 8 $ 8 $ Prêts hypothécaires commerciaux 272 $ 216 $ Prêts sur marge 55 $ 46 $ Prêts hypothécaires résidentiels 15 $ 14 $ Prêts non garantis 46 $ - Total 449 $ 293 $ Page 11 de 36

15 5. Risque de crédit Divulgations pour les portefeuilles assujettis à l approche standard et coefficients prudentiels pour les approches fondées sur les NI La Banque utilise l approche standard intégrale. Cette approche incorpore des données provenant d un organisme externe d évaluation du crédit (OEEC) pour les créances d emprunteurs souverains, des gouvernements provinciaux canadiens et des mandataires admissibles du gouvernement fédéral et des gouvernements provinciaux canadiens. Les données provenant de l OEEC ne sont pas utilisées pour les risques d entreprise car par défaut, la Banque utilise une pondération de 100 %. En ce qui concerne les expositions envers les banques (et les maisons de courtage admissibles), les données provenant de l OEEC sont utilisées aux fins d appliquer les pondérations de risque pertinentes. Ces données concernent l évaluation du crédit des emprunteurs souverains dans le pays de constitution en société de la banque. La Banque a recours à Standard and Poor s (S&P) pour obtenir l information nécessaire à cette approche. Le tableau qui suit résume l exposition au risque de crédit nette de la Banque (après atténuation des risques) pour chaque tranche de risque au 31 décembre : Tranche de risque % $ 0 $ 150 % $ 100 % $ $ 50 % 12 $ 550 $ 35 % $ $ 20 % $ $ 0 % $ $ Total $ $ Page 12 de 36

16 6. Atténuation du risque de crédit Divulgations qualitatives La Banque applique la politique en matière de marge pour les produits échangés, de concert avec les procédures du ICG en matière de marge pour les produits échangés décrites plus haut sous la rubrique Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques. Dans le cours normal de ses activités, la Banque reçoit des sûretés sur certaines opérations afin de réduire son exposition au risque de crédit de la contrepartie. La Banque est habituellement autorisée à vendre ou à grever de nouveau le bien reçu en garantie, étant entendu qu elle a l obligation de rendre le bien à l expiration de l entente, aux conditions d usage habituellement applicables aux instruments dérivés standard, aux emprunts de valeurs et aux prises en pension de valeurs. La Banque applique également la politique relative aux sûretés et aux procédures en matière de portefeuille bancaire décrite plus haut sous la rubrique Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques. La Banque détient des sûretés sur les prêts sous la forme de créances hypothécaires sur les biens, d autres garanties enregistrées sur les biens, et des cautionnements. En règle générale, la valeur du bien donné en garantie est réévaluée au moins une fois par année, et lorsqu un prêt est jugé inférieur à la norme ou pire. Les procédures d évaluation sont différentes lorsque ces biens sont des titres au comptant facilement négociables plutôt que des biens matériels. La surveillance des titres au comptant facilement négociables est généralement plus fréquente que pour les biens matériels, et elle dépend du produit, de l emplacement géographique ou de la volatilité du titre, selon le cas. Le portefeuille de prêts des services bancaires aux particuliers reçoit des cautionnements importants en contrepartie de ses risques. Ces cautionnements prennent essentiellement la forme de cautionnements personnels de particuliers exerçant un contrôle sur le débiteur, ainsi que d entités affiliées au débiteur. La Banque reçoit généralement moins de cautionnements pour ses portefeuilles de prêts des services bancaires aux entreprises et ses portefeuilles d instruments dérivés de gré à gré. Les garants sont surtout les sociétés mères et les filiales du débiteur. La Banque limite son exposition au risque de crédit face aux contreparties aux produits dérivés en concluant des accords-cadres décrits plus haut sous la rubrique Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques. Page 13 de 36

17 Divulgations quantitatives Au 31 décembre 2013, la baisse éventuelle du coût de remplacement courant en vertu des accords-cadres de compensation avec des clients administrés par des tiers et des parties liées pour le portefeuille d instruments dérivés de la Banque s est établie à 0,2 milliard de dollars (en 2012 : 0,2 milliard de dollars) et à 3,5 milliards de dollars (en 2012 : 4,7 milliards de dollars) respectivement. Après pondération des risques, les bénéfices tirés de la compensation avec des clients administrés par des tiers et des parties liées se sont élevés à 0,1 milliard de dollars (en 2012 : 0,02 milliard de dollars) et à 0,7 milliard de dollars (en 2012 : 1,1 milliard de dollars) respectivement. Au 31 décembre 2013, la Banque détenait pour 449 millions de dollars (en 2012 : 550 millions de dollars) de biens pris en garantie, soit en espèces et en titres pour son portefeuille d instruments dérivés, desquels 346 millions de dollars (en 2012 : 463 millions de dollars) en titres ont été redonnés en garantie. Sur le total des sûretés détenues, 54 millions de dollars (en 2012 : 23 millions de dollars) proviennet de clients administrés par des tiers et 395 millions de dollars (en 2012 : 527 millions de dollars) proviennent de parties liées. La valeur des sûretés détenues relativement au portefeuille de prêts des services bancaires aux particuliers de la Banque au 31 décembre 2013 était de millions de dollars (en 2012 : 828 millions de dollars). Cependant, la Banque ne détenait aucune sûreté pour le portefeuille de prêts des services bancaires aux entreprises. La Banque avait également 466 millions de dollars (en 2012 : 1,4 milliard de dollars) de prises en pension de titres sécurisées par des titres du gouvernement canadien. Le tableau suivant résume l exposition du portefeuille des prêts des services bancaires aux entreprises au 31 décembre pour lesquels la Banque a reçu des cautionnements : Exposition directe - $ $ Exposition éventuelle $ $ Exposition avant règlement $ $ Exposition partagée inutilisée $ Total $ $ Les tableaux suivants résument l exposition du portefeuille des prêts des services bancaires aux particuliers au 31 décembre pour lesquels la Banque a reçu des cautionnements : Exposition directe $ $ Exposition éventuelle $ $ Exposition avant règlement $ $ Exposition partagée inutilisée $ $ Total $ $ Page 14 de 36

18 7. Divulgations générales pour les expositions liées au risque de crédit de contrepartie Divulgations qualitatives La Banque gère le risque de crédit de contrepartie conformément aux politiques de gestion des risques de crédit décrites ci-dessus sous la rubrique Risque de crédit Exigences de divulgation générales applicables à toutes les banques. L exposition au risque de crédit de contrepartie est calculée à l échéance des opérations dans un portefeuille à l aide de la méthode de simulation dite de Monte-Carlo. La simulation modélise le comportement des facteurs de marché sous-jacents de manière à saisir la distribution combinée voulue des mouvements possibles. À chaque point au fur et à mesure que nous progressons dans le temps, le processus de simulation réévalue chaque opération restante dans le cadre du scénario de simulation. Les simulations répétées permettent d établir ces distributions de la valeur future potentielle et à partir de ces distributions, deux mesures sont retenues : 1) l équivalent-prêt prérèglement, qui est l exposition positive escomptée, ou la moyenne sur la quote-part positive de la distribution à chaque point dans le temps; 2) l exposition prérèglement relative aux instruments dérivés, qui est une exposition offrant un niveau élevé de fiabilité. Aux fins des limites de crédit et de la surveillance de la limite d utilisation, on utilise la mesure de l exposition prérèglement. Aux fins de la surveillance de l exposition de risque engagé ou de l utilisation contre les limites du débiteur, l exposition est mesurée en fonction de l équivalent-prêt prérèglement. Réserves pour prêts La Banque, conformément aux notes d orientation concernant la comptabilité, incorpore un rajustement de l évaluation du crédit (REC) bilatéral dans sa comptabilité du risque de contrepartie. Pour de plus amples renseignements à propos du REC, voir la rubrique Risque de marché ci dessous. Risque de fausse orientation Le risque de fausse orientation apparaît dans une opération lorsque son exposition est négativement liée à la qualité du crédit de la contrepartie. La Banque respecte une politique relative aux risques de fausse orientation, qui contient des directives expliquant comment évaluer le niveau de risque de fausse route que peut représenter une opération donnée, ou l ensemble d un portefeuille, de même que des lignes directrices en matière de rapport et d atténuation. Besoins en sûretés suite à une révision à la baisse de la cote de crédit Au 31 décembre 2013, le montant maximal éventuel des besoins en sûretés si la cote de crédit de la Banque était révisée à la baisse pour atteindre zéro s établissait à 32 millions de dollars (en 2012 : 10 millions de dollars). Fonds propres pour risque de crédit de contrepartie La Banque calcule les fonds propres pour risque aux fins du REC de manière bilatérale, c est-à-dire en tenant compte uniquement de l exposition potentielle aux contreparties de la Banque. Les fonds propres pour risque sont établis en fonction des pertes inattendues pouvant découler des fluctuations de marges des contreparties, ainsi que des facteurs d inexécution en période de crise. Page 15 de 36

19 Divulgations quantitatives Le tableau qui suit résume le coût de remplacement courant (CRC) de la Banque et les montants en équivalentcrédit (MEC) de son portefeuille d instruments dérivés au 31 décembre : CRC MEC CRC MEC Contrats sur taux d intérêt $ $ $ $ Contrats sur devises $ $ $ $ Contrats sur actions, crédit et produits de base $ $ $ $ Total $ $ $ $ Le tableau qui suit présente l incidence des accords-cadres de compensation au 31 décembre : Juste valeur positive brute des contrats sur dérivés $ $ Bénéfices tirés des accords-cadres de compensation ( $) ( $) Total de l exposition au crédit courante nette $ $ Tout le portefeuille de dérivés du crédit de la Banque concerne les activités d intermédiation, puisque toutes les opérations de clientèle font l objet d opérations croisées avec la société mère indirecte de la Banque. Au 31 décembre 2013, le montant notionnel de ces opérations s élevait à un total de 0,3 milliard de dollars (en 2012 : 2,2 milliards de dollars) et leur coût de remplacement courant s élevait à 4,7 millions de dollars (en 2012 : 6,1 millions de dollars). 8. Titrisation La Banque ne titrise pas ses propres actifs, et elle ne commandite aucun programme de titrisation. Toutefois, au 31 décembre 2013, la Banque détenait également un portefeuille de négociation de valeurs émises par la Fiducie du Canada pour l habitation (garanties par le gouvernement du Canada) dans son portefeuille bancaire dont la juste valeur était de 46 millions de dollars (en 2012 : 235 millions de dollars). Les valeurs de la Fiducie du Canada pour l habitation ont été pondérées en fonction du risque à 0 %. Page 16 de 36

20 9. Risque de marché Divulgations pour les banques utilisant la méthode des modèles internes (MMI) pour les portefeuilles de négociation Divulgations qualitatives Le risque de marché est défini comme le risque qui pèse sur les bénéfices en raison des fluctuations des taux d intérêt, des taux de change et du cours des actions et des produits de base, et de leur volatilité implicite. La gestion du risque de marché a pour objectif de gérer et de contrôler les expositions aux risques du marché dans des limites acceptables, tout en optimisant le rendement du risque. Gestion du risque de marché La Banque gère le risque de marché en vertu de politiques bien précises qui sont examinées par le comité sur la gestion du risque, approuvées par le chef de la gestion du risque, la haute direction et le conseil d administration. Ces politiques établissent des responsabilités bien définies en matière de gestion du risque de marché pour les groupes de surveillance d affaires et d entreprise, ainsi que des limites et d autres processus visant à assurer un bon contrôle des risques de marché. La Banque gère le risque lié aux taux de change des éléments d actif et de passif non commerciaux libellés en devises étrangères grâce à des instruments de couverture comme des swaps de devises à terme. Les risques de marché sont mesurés conformément aux normes reconnues pour veiller à l uniformité entre les différentes entreprises et permettre le regroupement des risques. Chaque entreprise est tenue d établir, avec l approbation d un responsable indépendant de la gestion du risque et du chef de la gestion du risque, un cadre fixant les limites relatives au risque de marché pour les facteurs de risque cernés, définissant clairement les profils de risque approuvés et respectant les paramètres du niveau de tolérance au risque global de la Banque. En tout état de cause, les entreprises sont responsables au bout du compte des risques de marché qu elles prennent, et il leur incombe de respecter les limites établies. Ces limites sont réexaminées annuellement par le comité sur la gestion du risque et approuvées par le chef de la gestion du risque, la haute direction et le conseil d administration. Le chef de la gestion du risque surveille toutes les activités de négociation et les expositions aux risques du marché quotidiennement pour s assurer que les risques n excèdent pas les limites et les politiques établies. En plus des mécanismes de contrôle mentionnés ci-dessus, le processus de gestion du risque fait l objet d un examen périodique par le groupe de vérification interne afin de veiller à la conformité aux politiques sur la gestion du risque de marché. Exposition aux risques de marché dans les portefeuilles de négociation Le risque de marché dans les portefeuilles de négociation est surveillé grâce à une série de mesures, notamment : les sensibilités aux facteurs; la valeur à risque (VaR); la valeur à risque simulée (VaR simulée); et les simulations de crise. Les sensibilités aux facteurs s entendent de la modification de la valeur d une position suite à un changement donné dans un facteur de risque du marché, par exemple la modification de la valeur d un bon du Trésor suite à une variation d un point de base dans les taux d intérêts. La gestion indépendante des risques de marché de la Banque permet de faire en sorte que les sensibilités aux facteurs soient calculées, surveillées et limitées pour tous les risques concernés pris dans un portefeuille de négociation. Page 17 de 36

21 Modèle de risques de marché et rapports La VaR permet d évaluer la baisse potentielle de la valeur d une position ou d un portefeuille dans une conjoncture de marché normale. La VaR simulée est une mesure du risque fondée sur la VaR assujettie au même niveau de confiance qui s applique à une mesure de la VaR, mais avec des intrants de modèle calibrés sur des données historiques d une période de douze mois continus qui reflètent une période de stress financier important appropriée pour les portefeuilles actuels. La Banque utilise un seul modèle de VaR de simulation de Monte-Carlo approuvé de manière indépendante qui a été conçu pour connaître les sensibilités au risque de diverses catégories d actif et de risque. Le modèle de VaR est étalonné de manière à incorporer l extrême de la volatilité du marché à court terme et à long (trois ans) terme. La VaR de la Banque correspond au risque pour la Banque sur une période de détention de 24 heures, avec un niveau de fiabilité de 99 %. La Banque présente à la haute direction un rapport quotidien sur ses expositions au risque de marché, y compris les données sur les sensibilités aux facteurs, la VaR et la VaR simulée, faisant état des risques auxquels l entreprise est exposée et de l usage en ce qui concerne les limites relatives au risque de marché pertinentes approuvées par le conseil d administration. Chaque portefeuille de négociation est assujetti à son propre cadre de restriction des risques de marché englobant ces mesures, mais aussi d autres mécanismes de contrôle, notamment des listes de produits autorisés et un nouveau processus d approbation de produit pour les produits complexes. L utilisation des limites applicables à la VaR est examinée quotidiennement par le chef de la gestion du risque, et des sommaires périodiques sont soumis au comité sur la gestion du risque et au conseil d administration. Essai à rebours Le rendement du modèle de VaR de la Banque est mis à l épreuve à l aide d essais à rebours, qui consistent à comparer les profits et pertes statiques quotidiens à la VaR d un jour et à surveiller le nombre d écarts sur une période de douze mois afin d évaluer l efficacité du modèle. Les profits et pertes statiques sont définis comme les fluctuations hypothétiques de la valeur du portefeuille qui se produiraient si les positions en fin de séance demeuraient inchangées. Par conséquent, ils excluent les écarts acheteur-vendeur, le revenu d intérêt net, les opérations intrajournalières, les frais et les commissions. Les résultats de ce processus d essai à rebours sont présentés chaque trimestre au comité sur la gestion du risque, au conseil d administration et au BSIF. Indications concernant l évaluation prudente La Banque a mis en place des systèmes et des mécanismes de contrôle adéquats pour s assurer que ses estimations de la valeur juste sont prudentes et fiables. Ces systèmes et mécanismes incluent des procédures de vérification indépendante des prix, distinctes de l évaluation à la valeur de marché quotidienne, visant à contrôler constamment l exactitude des prix du marché ou des intrants des modèles. De plus, ces procédures prévoient également la prise en compte des rajustements de valeur et des réserves, le cas échéant. En ce qui concerne les éléments de l actif et du passif inscrits à leur juste valeur, la Banque calcule cette valeur en suivant les procédures décrites ci-dessous. La Banque utilise les cours du marché, lorsqu ils sont disponibles, pour établir la juste valeur de ces éléments; dans ce cas, ils sont classés en tant qu éléments de niveau 1. Dans certaines situations, lorsque le cours du marché n est pas disponible, la Banque s appuie, pour calculer la juste valeur, sur les cours des instruments de même nature sur les marchés actifs, sur les cours d instruments identiques ou comparables sur les marchés inactifs, ou sur des évaluations tirées d un modèle dans lequel tous les intrants significatifs et tous les facteurs inducteurs de valeur significatifs peuvent être observés sur les marchés actifs; dans ce cas, les éléments sont classés au niveau 2. Page 18 de 36

22 Si les cours du marché ne sont pas disponibles, la juste valeur est calculée selon des techniques d évaluation mises au point par l entreprise et qui reposent, dans la mesure du possible, sur les paramètres du marché actuel ou sur des paramètres obtenus auprès de sources indépendantes, par exemple les taux d intérêt, les taux de change, les facteurs de volatilité des options, etc. Les éléments évalués à l aide de ces techniques mises au point à l interne sont classifiés au niveau 2 ou 3, tout dépendant si les intrants significatifs du modèle sont observables ou non. Un RCE est appliqué aux instruments dérivés de gré à gré, pour lesquels l évaluation de base tient généralement compte des flux de trésorerie prévisionnels, en se fondant sur les courbes de taux d intérêt pertinentes. Comme toutes les contreparties n ont pas nécessairement le même risque de crédit que celui établi à partir des courbes de taux d intérêt pertinentes, les RVC sont nécessaires car ils permettent d intégrer dans l évaluation le risque de crédit des deux contreparties dans l optique du marché, de même que le propre risque de crédit de Citigroup. La Banque utilise les méthodes et les hypothèses suivantes pour estimer la juste valeur des instruments financiers au bilan : Titres de négociation et valeurs disponibles à la vente Lorsqu ils sont disponibles, la Banque utilise les cours du marché pour établir la juste valeur des titres de négociation et des valeurs disponibles à la vente; ces éléments sont classés au niveau 1 de la hiérarchie de la juste valeur. À titre d exemple, mentionnons certains titres du gouvernement et les actions négociées en bourse. En ce qui concerne les autres titres, la Banque établit généralement la juste valeur en se servant de techniques d évaluation internes. Les estimations de la juste valeur calculées à l aide des techniques d évaluation internes sont vérifiées, dans la mesure du possible, en les comparant aux prix obtenus auprès de fournisseurs indépendants. Les titres évalués avec ces méthodes sont généralement classés au niveau 2. Instruments dérivés inscrits à l actif ou au passif La juste valeur des instruments dérivés négociés en bourse est généralement établie selon les cours du marché (cotés en bourse). Ces éléments sont donc classés au niveau 1 de la hiérarchie de la juste valeur. La plupart des instruments dérivés souscrits par la Banque sont exécutés de gré à gré, et ils sont donc évalués au moyen des techniques d évaluation internes puisqu il n existe aucune cotation de cours pour ces instruments. Les techniques d évaluation et les intrants dépendent du type d instrument dérivé et de la nature de l instrument sous-jacent. Les principales techniques utilisées pour évaluer ces instruments sont l actualisation des flux de trésorerie, le modèle de Black et Scholes et la simulation de Monte-Carlo. Les principaux intrants dépendent du type d instrument dérivé et de la nature de l instrument sous-jacent; ils comprennent notamment les courbes de rendement des taux d intérêt, les taux de change, le prix au comptant de la volatilité et de la corrélation du titre sous-jacent. Un contrat dérivé est placé au niveau 2 ou 3 de la hiérarchie, tout dépendant si les intrants significatifs du modèle sont observables ou non. Les corrélations et les éléments de teneur plus longue sont généralement moins observables. S il y a lieu, un rajustement de l évaluation est apporté pour tenir compte du risque de crédit de la contrepartie, de la liquidité du marché et des coûts de tenue. Page 19 de 36

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