Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions"

Transcription

1 Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information afin d évaluer diverses méthodes possibles de calcul des exigences de capital liées à d éventuelles modifications du capital règlementaire relatif au risque de crédit. L annexe I de ces instructions résume la façon dont les exigences de capital pour l EIQt n 3 ont été déterminées pour le risque de crédit L EIQt n 3 sur le risque de crédit est similaire à l EIQt n 1 complété par les assureurs en 2008, à l'exception des modifications suivantes : le crédit pour les polices avec participation et les produits ajustables est appliqué globalement pour tous les risques les valeurs sont basées sur la fin d année 2010 des précisions sont fournies pour les obligations les formulaires ont été mis à jour sur la base des mises à jour de 2010 du MMPRCE.. Les données requises dans le cadre de cette étude doivent être produites au moyen du fichier Excel ci-joint. En plus de nous fournir l information demandée, il serait utile et apprécié que vous commentiez par écrit les résultats de l EIQt n o 3. Une feuille est prévue pour fournir des renseignements supplémentaires et formuler des commentaires. Les instructions visent à aider les utilisateurs à faire les calculs et à remplir les chiffriers Excel. Même si les calculs peuvent faire appel à des facteurs différents ou à des calculs plus précis que ceux exigés dans les lignes directrices sur le MMPRCE actuellement en vigueur, la plupart des consignes figurant au chapitre 3 de la ligne directrice sur le MMPRCE diffusée en décembre 2010 s appliquent toujours et il faudrait les consulter. Toute l information doit être calculée en date du 31 décembre 2010, à l aide des données de fin d année de L assureur dont l exercice prend fin à une autre date doit utiliser ses données de fin d exercice. Tous les montants sont en milliers de dollars. Ne remplissez que les zones du chiffrier qui ne sont pas ombragées. Les catégories d actifs sont les mêmes que celles utilisées dans les relevés annuels actuels Vie 1 et Vie 2 et sur le MMPRCE.. Dans cette EIQt, les directives sur les cotes dans le MMPRCE courant devraient prévaloir. Utilisez les cotes d'émission, lorsqu il en existe et qu elles sont accessibles au public. Si des cotes d'émission ne sont pas disponibles, utilisez les cotes d'émetteur, si disponible, ou traiter comme non coté. Sommaire Le sommaire renferme deux ensembles distincts de renseignements. 1

2 Le premier ensemble porte sur les coussins de solvabilité pour chacune des composantes du risque de crédit. Ces données proviennent automatiquement de chacune des feuilles de travail. L information sur la façon de calculer ces montants est fournie ci-dessous. Le deuxième ensemble permet de calculer le coussin de solvabilité conformément aux normes comptables et sur le capital en vigueur. Les composantes doivent correspondre aux montants déclarés dans votre relevé du MMPRCE du 31 décembre , autres que pour les actifs supportant les polices avec participation, tel que décrit ci-dessous. Le coussin de solvabilité (lié au risque de crédit) pour les polices avec participation admissibles selon les normes de capital et de comptabilité courantes doit se calculé comme si l ensemble des affaires était sans participation. Indiquez le montant de capital requis en vertu du MMPRCE actuel pour le défaut d'actif (C-1) pour les différents actifs supportant les polices avec participation admissibles à la page Sommaire. Ces montants seront doublés sur cette feuille. Le crédit pour les polices avec participation et les produits ajustables sera inclus dans la page Sommaire de l EIQt globale, car il s applique globalement à tous les risques risques de marché, de crédit, d assurance et risque opérationnel. Le crédit potentiel est décrit dans les Instructions générales. Les sociétés ne doivent pas non plus oublier d inscrire leur raison sociale au haut de la page résumé. Investissements à court terme Pour calculer le coussin de solvabilité à l égard des placements à court terme, on utilise les mêmes catégories que celles figurant dans le MMPRCE en vigueur et on adopte l approche relativement aux nantissements et garanties qu il faut utiliser dans les formulaires du MMPRCE de 2010 (les personnes responsables de fournir les renseignements doivent consulter les sections 3.2 et 3.3 de la ligne directrice sur le MMPRCE datée de décembre 2010). Veuillez prendre note que la colonne des nantissements et garanties doit correspondre à zéro. Les facteurs s appliquent au total des actifs de placement à court terme, qu ils adossent le capital, les produits sans participation ou les produits avec participation admissibles. Le total est automatiquement transféré à la page résumé. Il faut exclure du calcul du coussin de solvabilité lié au risque de crédit les placements à court terme qui adossent les produits indiciels de transfert de risque qui ont été inclus dans le coussin de solvabilité connexe intégré à l EIQt No 3 sur le risque de marché. Le total de ces obligations à court terme doit être inscrit sur une ligne de la feuille de travail sur les placements à court terme à des fins de rapprochement avec la page pertinente des relevés Vie 1 et 2. 1 Pour les succursales de sociétés étrangères, se reporter aux lignes équivalentes du relevé sur le TDAMR. Dans le cas des sociétés d assurances du Québec, se reporter aux lignes équivalentes du relevé QFP. 2

3 Obligations publiques Le calcul du coussin de solvabilité pour les obligations publiques est plus détaillé que celui du relevé du MMPRCE actuel. Les personnes responsables de fournir les renseignements doivent regrouper les obligations publiques en fonction de leur échéance effective («échéance») à la date du calcul (31 décembre 2010) ainsi que définie ci-après: 0-1 an - toutes les obligations dont l échéance est de moins d un an 1-2 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins un an, mais de moins de 2 ans 2-3 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins 2 ans, mais de moins de 3 ans 3-4 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins 3 ans, mais de moins de 4 ans 4-5 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins 4 ans, mais de moins de 5 ans 5-7 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins 5 ans, mais de moins de 7 ans 7-10 ans toutes les obligations dont l échéance est d au moins 7 ans, mais de moins de 10 ans 10 ans et plus toutes les obligations dont l échéance est d au moins 10 ans. Pour obtenir des conseils sur le calcul de l échéance des obligations et autres instruments voir l annexe II pour la description du calcul. Toutes les obligations négociées sur les marchés publics (sauf certains instruments comptabilisés séparément ainsi qu expliqué ci-après) doivent être prises en compte dans le calcul du coussin de solvabilité, y compris les obligations adossant le capital et l excédent ainsi que les polices avec participation admissibles. Les obligations provinciales et les obligations municipales garanties par une province doivent être traitées en conformité avec les exigences du MMPRCE actuel. Il faut exclure du calcul du coussin de solvabilité lié au risque de crédit les obligations publiques qui adossent les produits indiciels de transfert de risque qui ont été inclus dans le coussin de solvabilité connexe intégré à l EIQt No 3 sur le risque de marché. Le total de ces obligations doit être inscrit sur une ligne de la feuille de travail sur les obligations publiques à des fins de rapprochement avec la page pertinente des relevés Vie 1 et 2. Les instruments de créance négociés sur les marchés publics qui sont des titres adossés à des créances (se reporter à la section 3.4 de la ligne directrice sur le MMPRCE) font l objet d une feuille de travail distincte et ne devraient pas être pris en compte dans le calcul des obligations publiques. Les ajustements aux fins de la redistribution relatives aux nantissements et garanties doivent être entrés autant pour le total des obligations publiques que les obligations n adossant que les polices avec participation admissibles. Les assureurs doivent se reporter aux sections 3.2 et 3.3 de la ligne directrice sur le MMPRCE de décembre 2010 concernant les ajustements relatifs aux nantissements et garanties. La redistribution des nantissements et garanties doit correspondre à zéro. 3

4 Obligations privées, contrats de location et autres prêts Le coussin de solvabilité lié aux obligations et autres prêts qui ne sont pas négociés sur les marchés publics doit être calculé séparément du coussin de solvabilité pour les obligations négociées sur les marchés publics. Les instruments de créance dont il faut tenir compte dans ce calcul ne se limitent pas aux obligations et débentures qui ne sont pas négociés sur les marchés publics; ils comprennent également les contrats de location et les instruments de prêt / créance inclus dans les autres prêts et actifs investis (ligne distincte dans les relevés Vie 1 et 2), mais excluent les instruments de créance qui sont des titres adossés à des créances (se reporter à la section 3.4 de la ligne directrice sur le MMPRCE) et les obligations privées adossant des produits indiciels de transfert de risque qui sont pris en compte dans l EIQt No 3 sur le risque de marché. Les obligations non publiques, les contrats de location et les autres prêts doivent être regroupés en fonction de l échéance et de la cote attribuée sur l émission selon les mêmes critères que ceux déjà établis pour les obligations publiques. Dans la plupart des cas, quand une émission d obligations publiques d un émetteur est cotée, il est possible d induire une cote pour toutes les obligations non cotées en appliquant les règles énoncées à la section de la Ligne directrice sur le MMPRCE. Toutes les obligations et tous les contrats de location et prêts à l égard desquels il est impossible d induire une cote doivent être inscrits à la ligne intitulée «Tout autre placement privé en obligation». Titres adossés À l exemple de la Ligne directrice sur le MMPRCE, le coussin de solvabilité lié aux titres adossés à des actifs est calculé comme une catégorie d actif distincte. Dans le cas des règles particulières concernant le classement des titres adossés à des actifs, les auteurs sont priés de consulter la Section 3.4 de la Ligne directrice sur le MMPRCE (diffusée en décembre 2010), la ligne directrice B-5 et le préavis diffusé en octobre Il faut regrouper les titres adossés à des actifs en fonction de l échéance et de la cote attribuée sur l émission selon les mêmes critères que ceux déjà établis pour les obligations publiques et privées. Hypothèques Le classement des prêts hypothécaires aux fins de l EIQt No 3 repose sur le MMPRCE actuel, auquel on a ajouté des catégories supplémentaires de prêts hypothécaires. Les prêts hypothécaires doivent être regroupés selon leur échéance résiduelle. L ajustement pour les nantissements et garanties est appliqué sous forme d une redistribution des prêts hypothécaires aux catégories en fonction de la cote externe des contreparties pertinentes, de manière semblable aux obligations publiques et privées. Il convient de se reporter aux sections 3.2 et 3.3 de la ligne directrice sur le MMPRCE. Le total de la redistribution doit correspondre à zéro. 4

5 Pour le poste «Prêts en défaut et restructurés» dans la feuille «Hypothèques», le coussin calculé remplace le montant qui serait autrement applicable à un actif performant. Il doit être appliqué au lieu, non en plus, du montant qui est requis pour l actif avant qu'il ne devienne douteux ou ne soit restructuré. Actions privilégiées Le classement des actions privilégiées aux fins de l EIQt No 3 est le même que pour le MMPRCE existant qui comprend les instruments financiers de catégorie 1 (titres de fiducie admissibles à titre d instrument novateur de catégorie 1 dans la société qui a émis l'instrument). Éléments divers Exigences hors bilan Aux fins de l EIQt No 3, les montants provenant du MMPRCE 2010 et saisis dans la page sommaire sont reportés à ces pages pour calculer le coussin de solvabilité de ces postes. Questions et commentaires Les sociétés doivent répondre aux questions précises et fournir des observations supplémentaires dans la feuille «Questions et commentaires». 5

6 Annexe Exigences en capital aux fins de l étude d impact quantitative sur le risque de crédit La façon dont les exigences en capital utilisées dans l EIQt sur le risque de crédit ont été déterminées est résumée dans la présente annexe. Investissements à court terme L approche (décrite ci-après) appliquée pour les obligations publiques n a pas produit des facteurs aux durées courtes bien différents des facteurs actuels du MMPRCE et ainsi, les facteurs existants ont été retenus pour la présente EIQt. Obligations publiques Les exigences en capital pour les obligations publiques aux fins de la présente EIQt reposent sur les facteurs figurant ci-après établis en fonction de la cote et de l échéance: Tableau des facteurs AAA 0,25 % 0,25 % 0,50 % 0,50 % 1,00 % 1,05 % 1,18 % 1,25 % AA 0,25 % 0,50 % 0,75 % 1,00 % 1,25 % 1,35 % 1,60 % 1,75 % A 0,75 % 1,00 % 1,50 % 1,75 % 2,00 % 2,20 % 2,70 % 3,00 % BBB 1,50 % 2,75 % 3,25 % 3,75 % 4,00 % 4,15 % 4,53 % 4,75 % BB 3,75 % 6,00 % 7,25 % 7,75 % 8,00 % 8,00 % 8,00 % 8,00 % B 7,50 % 10,00 % 10,50 % 10,50 % 10,50 % 10,50 % 10,50 % 10,50 % Autres 15,50 % 18,00 % 18,00 % 18,00 % 18,00 % 18,00 % 18,00 % 18,00 % Facteurs établis selon une approche fondation de Bâle modifiée Ces facteurs ont été établis à partir de l approche NI fondation de Bâle. Dans le cadre de Bâle, voici la formule appliquée pour une obligation à un an : Exigence de fonds propres (K) = PCD N [(1 - R)^- 0,5 G -1 (PD) + (R / (1 - R))^0,5 G -1 (0,999)] - PD PCD Un montant est ensuite ajouté à l exigence de base si l échéance de l obligation est de plus d un an. Les données historiques globales sur les défaillances d obligations fournies par les agences de notation ont été utilisées pour établir les probabilités de défaut (PD). Les pertes en cas de défaut (PCD) ont été fixées à un taux constant de 45 %, ce qui est conforme à l approche fondation de Bâle. 6

7 Par souci de cohérence avec l approche adoptée pour les autres exigences en capital des sociétés canadiennes d assurance-vie, un intervalle de confiance de 99,5 % a été utilisé au lieu de l intervalle de 99,9 % de la formule NI fondation de Bâle. Ce pourcentage correspond à peu près à l espérance conditionnelle unilatérale de 99 % sur un horizon d un an utilisée pour les autres risques. Dans le cadre de l approche fondation de Bâle, l ajustement d échéance se limite aux échéances de moins de cinq ans. Un ajustement d échéance modifié en fonction de la durée plus longue des obligations détenues par les sociétés canadiennes d assurance-vie a été utilisé, puisqu une part importante des obligations du portefeuille des obligations des assureurs-vie canadiens ont des échéances variant entre cinq et trente ans. L ajustement d échéance de Bâle a recours à des droites de régression adaptées aux résultats du gestionnaire de portefeuille KMV TM fondés sur les données de S&P concernant les défauts entre 1981 et Cependant, les résultats des formules d évaluation KMV TM ont été appliqués directement de concert avec les données de S&P à jour sur les défauts entre 1981 et Aux fins de la présente EIQt, le même facteur de corrélation (R) que dans le cadre de l approche de Bâle II a été utilisé. Pour perfectionner encore davantage l approche, on pourrait envisager un facteur de corrélation déterminé à la lumière des résultats des marchés canadien et nord-américain des obligations. Vérification du caractère raisonnable des résultats à l aide d une autre approche Il y a eu vérification du caractère raisonnable des résultats à l aide d une autre approche. Cette méthode reposait sur les données canadiennes empiriques concernant les défaillances des obligations, les décotes, les pertes en cas de défaut et les décotes en cas de défaut. Sur un horizon d un an, les éventuelles pertes en cas de décote et les pertes pour défaut ont été calculées avec un degré de confiance élevé à l égard de chaque catégorie de la fourchette d échéances et de cotes des obligations. Cette autre méthode a donné des résultats semblables à ceux de l approche modifiée de Bâle II. L approche de Solvabilité II n a pas été retenue Une autre approche est celle de l initiative européenne Solvabilité II qui prévoit une fluctuation de l écart des taux du marché en raison de l élargissement de l écart ou d une décote sur un horizon d un an. Cette approche pourrait très bien fonctionner en ce qui a trait aux obligations négociés sur les marchés publics, mais elle ne serait pas conforme à celle adoptée pour d autres prêts dont le marché n est pas liquide. Obligations de placements privés Il y a peu de preuves empiriques sur la probabilité de pertes et les pertes en cas de défaut des obligations canadiennes de placements privés. Les études de la Society of Actuaries sur les obligations nord-américaines de placements privés laissent entendre que les pertes de celles-ci sont semblables à celles des obligations publiques ayant la même cote de crédit. 7

8 La plupart du temps, quand une émission d obligations publiques d un émetteur est cotée, il sera possible d induire une cote pour toutes les obligations non cotées en appliquant les règles énoncées à la section de la ligne directrice sur le MMPRCE. Si c est impossible, les facteurs pour le capital correspondent à une moyenne des facteurs pour les obligations publiques BBB et BB à l égard de l échéance connexe. Titres adossés Aux fins de la présente EIQt, l approche appliquée aux obligations privées est aussi appliquée aux titres adossés à des actifs. Les facteurs pour les obligations publiques sont utilisés pour les émissions cotées et la moyenne des cotes BBB et BB a été utilisée à l égard des émissions non cotées. Prêts hypothécaires commerciaux C est un fait reconnu qu il importe d harmoniser les exigences en capital des sociétés canadiennes d assurance-vie et les normes de fonds propres des banques. C est aussi un fait reconnu que les prêts consentis par les sociétés canadiennes d assurance-vie sont assujettis à des normes de souscription différentes et qu ils ont tendance à être à plus long terme que ceux émis par les banques. La méthode privilégiée pour les prêts hypothécaires commerciaux est la même que celle appliquée pour les obligations publiques, soit une variante de l approche fondation de Bâle. Les données historiques crédibles sont toutefois insuffisantes pour être en mesure d adopter cette approche aux fins de la présente EIQt. La preuve qui était disponible, bien que non valide sur le plan statistique, laisse entendre que les prêts hypothécaires commerciaux sont à long terme (jusqu à 10 ans) et n affichent pratiquement pas de défauts. Or, pendant une récession et un ralentissement du secteur immobilier, les défauts et les pertes en cas de défaut ont été significatifs sur une période de trois à quatre ans. D après les preuves recueillies pendant le ralentissement du secteur immobilier de 1990, ces pertes pourraient être de l ordre de 6 % de la valeur du portefeuille. Par conséquent, un facteur de 6 % a été appliqué à tous les prêts hypothécaires commerciaux dans le cadre de la présente EIQt. Cette nouvelle exigence serait plus élevée que le facteur actuel de 4 % aux termes du MMPRCE, mais moins élevé que le facteur standard de 8 % aux termes de Bâle II. Des facteurs variant selon le rapport prêt / valeur ont été envisagés, puisqu ils permettent peut-être mieux de prévoir les pertes pour défauts des prêts hypothécaires commerciaux. Or, les données crédibles étaient insuffisantes pour adopter cette approche. Prêts hypothécaires uni-résidentiels Les prêts hypothécaires uni-résidentiels forment une catégorie d actifs relativement limitée pour les sociétés d assurance-vie et ainsi, les facteurs actuels du MMPRCE ont été retenus aux fins de 8

9 la présente EIQt. En outre, certaines données en provenance de l industrie semblent indiquer des chiffres conformes aux facteurs courants. Provisions C1 dans les passifs des polices et comparaison avec les banques Dans l étude du total de la provision établie pour insuffisance de l actif par les sociétés canadiennes d assurance-vie, il importe de prendre en compte la provision pour défauts intégrée aux provisions techniques la provision pour le risque C1. Il s agit d une provision pour les pertes prévues qui se traduit par une réduction en points de base du taux d actualisation en vigueur utilisé pour évaluer les passifs. Toutefois, lorsque l on compare les exigences de fonds propres des banques et les exigences de capital des sociétés d assurances au titre des pertes imprévues, il importe de ne pas inclure la provision C1, car cette dernière est réservée aux pertes anticipées. Actions privilégiées L'approche adoptée pour les actions privilégiées est de veiller à la cohérence entre les facteurs pour les obligations, les actions ordinaires et les actions privilégiées. 9

10 Annexe II Description de l échéance effective Pour un instrument dont l échéance des flux de trésorerie est déterminée, l'échéance effective est définie ainsi : L'échéance effective (M) = t t * FT t / FT t où FT t indique les flux de trésorerie (principal, intérêts et frais) que doit contractuellement payer l'emprunteur à la période t. Si un assureur n'est pas en mesure de calculer l'échéance effective des paiements contractuels comme noté ci-dessus, il est permis d'utiliser une mesure plus conservatrice, comme la durée résiduelle maximale (en années) que l'emprunteur est autorisé à prendre pour s'acquitter pleinement de son obligation contractuelle (principal, intérêts et frais) aux termes de l'accord de prêt. Normalement, cela correspond à l échéance nominale de l'instrument. Pour les dérivés soumis à un accord cadre de compensation, l'échéance moyenne pondérée des transactions devrait être utilisée lors de l'application de l'ajustement d'échéance explicite. De plus, le montant notionnel de chaque transaction doit être utilisé pour pondérer l'échéance. Les assureurs doivent regrouper toutes les expositions des entités associées (tel que défini dans la ligne directrice B-2) au sein de chaque notation avant de calculer l échéance pour les expositions. 10

Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions

Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions Le but de cette étude est de recueillir de l information afin d évaluer diverses méthodes possibles de calcul des exigences de capital liées

Plus en détail

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance. GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un

Plus en détail

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé juin 2011 www.bdo.ca Certification et comptabilité Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé Guide sur les

Plus en détail

Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts

Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement

Plus en détail

Ligne directrice. Titrisation de l actif. Catégorie: Limites et restrictions prudentielles. 1. Introduction

Ligne directrice. Titrisation de l actif. Catégorie: Limites et restrictions prudentielles. 1. Introduction Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255 Albert Street 255, rue Albert Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 www.osfi-bsif.gc.ca Ligne directrice Objet: Titrisation

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

COMITÉ CONSULTATIF SUR LA SOLVABILITÉ ASSUREURS DE PERSONNES À CHARTE DU QUÉBEC

COMITÉ CONSULTATIF SUR LA SOLVABILITÉ ASSUREURS DE PERSONNES À CHARTE DU QUÉBEC COMITÉ CONSULTATIF SUR LA SOLVABILITÉ ASSUREURS DE PERSONNES À CHARTE DU QUÉBEC Novembre 2008 volume 6 APPROCHE STANDARD POUR LE CALCUL DU COUSSIN DE SOLVABILITÉ LIÉ AU RISQUE DE MARCHÉ AUTORITE DES MARCHES

Plus en détail

N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010

N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Ligne directrice Objet : (entreprises d assurance-vie) Catégorie : Comptabilité N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Introduction La présente ligne directrice énonce les

Plus en détail

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie

Plus en détail

Politique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5

Politique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5 Bureau du surintendant des institutions financières Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2

Plus en détail

SECTION VI. Toute mention de «section» renvoie à un passage des présentes instructions.

SECTION VI. Toute mention de «section» renvoie à un passage des présentes instructions. SECTION VI Les instructions détaillées aideront les sociétés d assureurs-vie et de secours mutuels (SAV et SSM) à comprendre les exigences en matière de production; elles ne traitent pas de chaque page

Plus en détail

Activité auxiliaire Activité réputée appuyer ou assurer la prestation d un service pour faciliter les opérations d assurance ou les placements.

Activité auxiliaire Activité réputée appuyer ou assurer la prestation d un service pour faciliter les opérations d assurance ou les placements. SECTION III Généralités Des définitions sont ajoutées aux instructions afin d aider l assureur/la société à produire ses relevés. Ces définitions ne constituent pas une liste exhaustive des termes utilisés

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans

Plus en détail

Ligne directrice. Objet : Normes de fonds propres (NFP) Définition des fonds propres. Date d entrée en vigueur : décembre 2014

Ligne directrice. Objet : Normes de fonds propres (NFP) Définition des fonds propres. Date d entrée en vigueur : décembre 2014 Ligne directrice Objet : Normes de fonds propres (NFP) Chapitre 2 Date d entrée en vigueur : décembre 2014 Les normes de fonds propres (NFP) à l intention des banques, des sociétés de portefeuille bancaire,

Plus en détail

AVIS AUX MEMBRES N o 2015 061 Le 22 mai 2015

AVIS AUX MEMBRES N o 2015 061 Le 22 mai 2015 AVIS AUX MEMBRES N o 2015 061 Le 22 mai 2015 AUTOCERTIFICATION MODIFICATION AU MANUEL DES RISQUES DE LA CDCC RELATIVEMENT AUX QUOTITÉS APPLIQUÉES AUX GARANTIES Le 14 juillet 2014, le conseil d administration

Plus en détail

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources

Plus en détail

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers

Plus en détail

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

Politique de placement de l encaisse

Politique de placement de l encaisse Politique de placement de l encaisse SERVICE DES FINANCES Division du budget et de la planification financière Date d approbation : N o de résolution : 2013-05-21 CA-2013-0188 Date de modification : N

Plus en détail

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide

Plus en détail

DE L INFORMATION FINANCIÈRE SUPPLÉMENTAIRE

DE L INFORMATION FINANCIÈRE SUPPLÉMENTAIRE GUIDE DE L UTILISATEUR DE L INFORMATION FINANCIÈRE SUPPLÉMENTAIRE Pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2011 Service des Relations avec les investisseurs Pour de plus amples renseignements, veuillez

Plus en détail

Pro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais

Pro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais Pro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais En vigueur à compter du 6 octobre 2014 En tant que client de Pro-Investisseurs MD CIBC, vous avez accepté de payer certains frais selon les types

Plus en détail

Limites régissant les engagements importants

Limites régissant les engagements importants Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :

Plus en détail

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement

Plus en détail

Date d acquisition ou d établissement de la police. Traitement fiscal

Date d acquisition ou d établissement de la police. Traitement fiscal NOTES EXPLICATIVES CRITÈRE D EXONÉRATION DES POLICES D ASSURANCE-VIE LOI DE L IMPÔT SUR LE REVENU La Loi de l impôt sur le revenu (la Loi) prévoit des règles concernant l imposition du revenu gagné sur

Plus en détail

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Rapport financier annuel 31 MARS 2015 Groupe Investors Inc. 2015 MC Marques de commerce de Société financière IGM Inc. utilisées sous licence par

Plus en détail

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation 28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

Version approuvée par le conseil d administration le 1 avril 2015. Avril 2015 Manuel 1768403-1

Version approuvée par le conseil d administration le 1 avril 2015. Avril 2015 Manuel 1768403-1 ÉNONCÉ DES PRINCIPES, NORMES ET PROCÉDURES EN MATIÈRE DE PLACEMENT POUR L ACTIF GÉRÉ PAR L OFFICE D INVESTISSEMENT DES RÉGIMES DE PENSIONS DU SECTEUR PUBLIC Version approuvée par le conseil d administration

Plus en détail

FIBROSE KYSTIQUE CANADA

FIBROSE KYSTIQUE CANADA États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto

Plus en détail

des risques inhérentes Page Utilisation de ce document Champ d application de ce document Gestion du capital Gestion des risques risques

des risques inhérentes Page Utilisation de ce document Champ d application de ce document Gestion du capital Gestion des risques risques Informations complémentaires inhérentes à la gestion des risques (non auditées) Pour la période terminée le 30 septembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Remarques à l intention du lecteur Utilisation de ce document

Plus en détail

INSTRUCTIONS RELATIVES

INSTRUCTIONS RELATIVES INSTRUCTIONS RELATIVES AUX TABLEAUX SUR LES SINISTRES ET INDICES DE PERTE Les Tableaux sur les sinistres et indices de perte sont exigés afin de pouvoir constituer une base de données et une présentation

Plus en détail

Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec

Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec États financiers Accompagnés du rapport des vérificateurs Certification Fiscalité Services-conseils

Plus en détail

www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0

www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0 www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0 RAPPORT DES AUDITEURS INDÉPENDANTS À l intention des actionnaires du Fonds de solidarité des travailleurs du Québec (F.T.Q.) Nous avons

Plus en détail

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour

Plus en détail

Fonds d investissement Tangerine

Fonds d investissement Tangerine Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée»)

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée») ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée») 31 décembre 2014 Table des matières Rapport de l auditeur indépendant... 2 États consolidés de la situation financière...

Plus en détail

Marges pour écarts défavorables en assurances IARD

Marges pour écarts défavorables en assurances IARD Note éducative Marges pour écarts défavorables en assurances IARD Commission des rapports financiers des compagnies d assurances IARD Décembre 2009 Document 209138 This document is available in English

Plus en détail

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

Appel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne

Appel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne Appel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne Document 205103 OBJET : Élaboration des tables de mortalité de l industrie pour l assurance-vie individuelle grande branche

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme Octobre 2014 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté, se reporter à l

Plus en détail

Mises de fonds et documentation requise

Mises de fonds et documentation requise Mises de fonds et documentation requise VÉRIFICATION DE L AVOIR PROPRE L avoir propre est le montant que l emprunteur verse à titre de mise de fonds à l achat de cette propriété. Les exigences relatives

Plus en détail

Institutions de dépôts - Recueil d'instructions Bureau du surintendant des institutions financières

Institutions de dépôts - Recueil d'instructions Bureau du surintendant des institutions financières PASSIF-DÉPÔTS OBJET Le présent relevé fournit la ventilation détaillée du passif-dépôts des institutions de dépôts. FONDEMENT LÉGISLATIF Les articles 628 et 600 de la Loi sur les banques et l'article 495

Plus en détail

Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit

Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur CN 24/G/2006 04 décembre 2006 Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit Le gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements

Plus en détail

Exigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles

Exigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Exigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles Juin 2012 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute

Plus en détail

À TITRE D INFORMATION SEULEMENT

À TITRE D INFORMATION SEULEMENT Enquête unifiée auprès des entreprises annuelle Enquête de 2007 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit If you

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont

Plus en détail

Great-West Lifeco annonce ses résultats du quatrième trimestre de 2014 et augmente son dividende de 6 %

Great-West Lifeco annonce ses résultats du quatrième trimestre de 2014 et augmente son dividende de 6 % COMMUNIQUÉ TSX : GWO MISE À JOUR 13 h HNC La page 7 a été modifiée pour tenir compte du nouveau code d accès pour l écoute différée de la conférence téléphonique du quatrième trimestre. Les lecteurs sont

Plus en détail

Document d'information

Document d'information Document d'information CPG Opportunité de revenu annuel HSBC Non enregistrés Le présent document d information s applique à tous les certificats de placement garanti Opportunité de revenu annuel HSBC non

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

Éléments hors bilan Rapport de vérification final Rapport N o 20/12 18 février 2013

Éléments hors bilan Rapport de vérification final Rapport N o 20/12 18 février 2013 Éléments hors bilan Rapport de vérification final Rapport N o 20/12 18 février 2013 Diffusion : Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

SECTION IV. Facility, FA, FARSP et le P.R.R. sont des organismes distincts aux fonctions semblables.

SECTION IV. Facility, FA, FARSP et le P.R.R. sont des organismes distincts aux fonctions semblables. SECTION IV Les établissements «Facility», «Facility Association» («FA»), «FA Risk Sharing Pool» («FARSP») et le «Plan de répartition des risques établi par le Groupement des assureurs automobiles» (le

Plus en détail

Premiers états financiers annuels en IFRS

Premiers états financiers annuels en IFRS Gestion d actifs Mai 2013 Premiers états financiers annuels en IFRS Fonds d investissement un exemple www.pwc.com/ca/am À nos clients et amis, La préparation des états financiers de 2014 sera plus difficile

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU

Plus en détail

Financière Sun Life inc.

Financière Sun Life inc. Financière Sun Life inc. Régime canadien de réinvestissement des dividendes et d achat d actions CIRCULAIRE D OFFRE MODIFIÉE ET MISE À JOUR Table des matières Dans la présente circulaire d offre... 1

Plus en détail

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée  Éligibilité Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative

Plus en détail

BULLETIN FISCAL 2011-119

BULLETIN FISCAL 2011-119 BULLETIN FISCAL 2011-119 Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Lors de l achat d une résidence, plusieurs personnes ont emprunté de leur REER par le biais du Régime d accession à la propriété. Toutefois,

Plus en détail

Principes généraux de l imposition des contrats d assurance-vie au Canada

Principes généraux de l imposition des contrats d assurance-vie au Canada Principes généraux de l imposition des contrats d assurance-vie au Canada Janvier 2015 L assurance-vie joue un rôle de plus en plus important dans la planification financière en raison du patrimoine croissant

Plus en détail

ARRETE : * * * I. DISPOSITIONS GENERALES

ARRETE : * * * I. DISPOSITIONS GENERALES Arrêté du ministre des finances et de la privatisation n 248-07 du 24 moharrem 1428 (13 février 2007) portant homologation de la circulaire du gouverneur de Bank Al-Maghrib n 26/G/2006 relative aux exigences

Plus en détail

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Rapport sur la qualité des actifs au 31 mars 2014 (Instruction

Plus en détail

Bulletin fiscal. Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE

Bulletin fiscal. Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Bulletin fiscal Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Lors de l achat d une résidence, plusieurs personnes ont emprunté de leur REER par le biais du Régime d accession à la propriété. Toutefois, peu de

Plus en détail

RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE

RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE Le 18 décembre 2013 Les actionnaires devraient lire attentivement la notice d offre en entier avant de prendre une décision

Plus en détail

BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AUX 31 OCTOBRE 2012 ET 2011 ET AU 1 ER NOVEMBRE 2010 Les présents états financiers consolidés présentent des données financières récentes se rapportant

Plus en détail

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Rapport financier intermédiaire POUR LE SEMESTRE CLOS LE 30 SEPTEMBRE 2014 Les états financiers intermédiaires résumés qui suivent n ont pas été

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET

Plus en détail

CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS

CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS 1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET

Plus en détail

Déclaration du Rapprochement annuel des soldes

Déclaration du Rapprochement annuel des soldes Déclaration du Rapprochement annuel des soldes Directives et Guide explicatif des lignes General Insurance Statistical Agency/Agence statistique d'assurance générale 5160, rue Yonge, 17 e étage Toronto

Plus en détail

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.

Plus en détail

États financiers consolidés. Aux 31 octobre 2011 et 2010

États financiers consolidés. Aux 31 octobre 2011 et 2010 BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS Aux 31 octobre 2011 et 2010 Les présents états financiers consolidés présentent des données financières récentes se rapportant à la situation financière,

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes

Plus en détail

PROSPECTUS SIMPLIFIÉ LE 7 MAI 2014

PROSPECTUS SIMPLIFIÉ LE 7 MAI 2014 LE 7 MAI 2014 PROSPECTUS SIMPLIFIÉ Fonds de revenu Fonds Desjardins Revenu à taux variable (parts de catégories A, I, C et F) Aucune autorité en valeurs mobilières ne s est prononcée sur la qualité de

Plus en détail

Une vision claire des IFRS

Une vision claire des IFRS Juillet 2014 Secteur de la distribution et du commerce de détail et de gros Une vision claire des IFRS Perspectives sectorielles sur IFRS 15 La nouvelle norme sur les produits des activités ordinaires

Plus en détail

Rôle réglementaire de l OCRCVM : mesures pour prévenir la faillite des sociétés de courtage

Rôle réglementaire de l OCRCVM : mesures pour prévenir la faillite des sociétés de courtage Alerte aux investisseurs : information à l intention des clients des sociétés réglementées par l OCRCVM si jamais une société de courtage devait mettre fin à ses activités Compte tenu de la turbulence

Plus en détail

RÈGLEMENT DE L ONTARIO à prendre en application de la LOI DE 1994 SUR LES CAISSES POPULAIRES ET LES CREDIT UNIONS DISPOSITIONS GÉNÉRALES

RÈGLEMENT DE L ONTARIO à prendre en application de la LOI DE 1994 SUR LES CAISSES POPULAIRES ET LES CREDIT UNIONS DISPOSITIONS GÉNÉRALES DOCUMENT DE CONSULTATION RÈGLEMENT DE L ONTARIO à prendre en application de la LOI DE 1994 SUR LES CAISSES POPULAIRES ET LES CREDIT UNIONS DISPOSITIONS GÉNÉRALES Sauter le sommaire 1. Définitions 2. Caisses

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

MODERNISATION DE LA LOI

MODERNISATION DE LA LOI MODERNISATION DE LA LOI SUR LES CAISSES POPULAIRES ET LES CREDIT UNIONS Document de consultation sur la révision de la Loi de 2005 Ministère des Finances Novembre 2005 Modernisation de la Loi sur les caisses

Plus en détail

Notice annuelle de 2007

Notice annuelle de 2007 Notice annuelle de 2007 Le 3 mars 2008 CORPORATION FINANCIÈRE CANADA-VIE 330, University Avenue Toronto (Ontario) M5G 1R8 Corporation Financière Canada-Vie Notice annuelle de 2007 Corporation Financière

Plus en détail

Statuts et Règlements. Personne-ressource : Prière de transmettre aux intéressés dans votre société

Statuts et Règlements. Personne-ressource : Prière de transmettre aux intéressés dans votre société Personne-ressource : Richard J. Corner Directeur de la politique de réglementation (416) 943-6908 Prière de transmettre aux intéressés dans votre société BULLETIN No 2732 Le 30 mai 2000 Statuts et Règlements

Plus en détail

Évaluation du passif des polices d assurance-vie universelle

Évaluation du passif des polices d assurance-vie universelle Ébauche de note éducative Évaluation du passif des polices d assurance-vie universelle Commission des rapports financiers des compagnies d assurance-vie Novembre 2006 Document 206148 This document is available

Plus en détail

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody

Plus en détail

Fonds de revenu fixe (PORTICO) (Auparavant Fonds de revenu fixe Laketon Quadrus) états financiers Annuels audités 31 mars 2014

Fonds de revenu fixe (PORTICO) (Auparavant Fonds de revenu fixe Laketon Quadrus) états financiers Annuels audités 31 mars 2014 Rapport de la direction Responsabilité de la direction en matière d information financière Les états financiers ci-joints ont été préparés par Corporation Financière Mackenzie, le gérant du Fonds de revenu

Plus en détail

Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada?

Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada? Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada? Me Jacques Lemieux, MBA Associé Norton Rose Fulbright Canada S.E.N.C.R.L., s.r.l. 20 mars 2015 : Centre d entreprises et d innovation

Plus en détail

SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES

SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 1 - DEFINITION DES PRODUITS DERIVES 2 - DEFINITIONS DES MARCHES 3 - USAGE DES CONTRATS 4 - COMPTABILISATION DES OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 51 SECTION 5

Plus en détail

RÈGLEMENT SUR L INFORMATION CONTINUE DES FONDS D INVESTISSEMENT EN CAPITAL DE DÉVELOPPEMENT

RÈGLEMENT SUR L INFORMATION CONTINUE DES FONDS D INVESTISSEMENT EN CAPITAL DE DÉVELOPPEMENT Dernière modification en vigueur le 1 er janvier 2014 Ce document a valeur officielle chapitre V-1.1, r. 46 RÈGLEMENT SUR L INFORMATION CONTINUE DES FONDS D INVESTISSEMENT EN CAPITAL DE DÉVELOPPEMENT Loi

Plus en détail

Votre guide des des polices d assurance-vie avec participation. de la Great-West

Votre guide des des polices d assurance-vie avec participation. de la Great-West Votre guide des des polices d assurance-vie avec participation de la Great-West Ce guide vous donne un aperçu de haut niveau des principales caractéristiques de l assurance-vie avec participation de la

Plus en détail

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS Champ d application de la politique Il y a placement privé lorsqu un émetteur distribue des titres en contrepartie d espèces aux termes des dispenses de prospectus ou des

Plus en détail

Société Financière Manuvie

Société Financière Manuvie Société Financière Manuvie États financiers consolidés Pour l exercice terminé le 31 décembre 2008 - MODIFIÉS États financiers consolidés TABLE DES MATIÈRES 3. Responsabilité en matière d information financière

Plus en détail

Rév. 2014-02. Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières

Rév. 2014-02. Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières Rév. 2014-02 Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités

Plus en détail

Fonds IA Clarington mondial de croissance et de revenu (le «Fonds»)

Fonds IA Clarington mondial de croissance et de revenu (le «Fonds») Placements IA Clarington inc. Prospectus simplifié Le 23 septembre 2014 Offre de parts de série A, de série F, de série F5, de série I, de série L, de série L5 et de série T5 du Fonds IA Clarington mondial

Plus en détail

Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs»

Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs» COMMISSION BANCAIRE Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs» La Commission des opérations de bourse et la Commission bancaire ont entrepris en 2002, suite aux différentes

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail