TRAVAUX PRATIQUES N O 1
|
|
- Caroline Geneviève Laviolette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAUX PRATIQUES N O 1 Introduction aux produits dérivés Par : GHLAM Karim Professeur responsable : MORESINO Francesco Assistant : RIBON Stéphane Genève, Haute École de Gestion de Genève (HEG-GE) Filière d économie d entreprise en emploi, option majeure en Finance & Risk Management
2 FINANCE & RISK MANAGEMENT Table des matières 1. Qu est-ce un FRA? Qu'est-ce un ABS? Un MBS? Et un CDO? Trouvez le produit dérivé le plus «exotique» Faites l exercice 1 (pages 48-49) Qu est-ce qu un CDS? Bibliographie... 12
3 1. Qu est-ce un FRA? 1.1. Principes de base Le terme FRA est l acronyme de Forward Rate Agreement ou en français, Accords de Taux Futurs qui ont été imaginés par les acteurs financiers (banques) pour répondre à un besoin de souplesse et de flexibilité que les contrats futurs n offraient pas. Ainsi, le FRA est un instrument financier de garanti de taux qui est utilisé dans le cadre d un accord sur le taux d intérêt qui aura lieu dans le futur. En résumé, c est un contrat dans lequel on fixe le taux d intérêt (pour un emprunt ou un prêt) aujourd hui, mais dont l opération aura lieu à une date ultérieure bien définie. Ce contrat ressemble aux futures, mais demeure plus simplifié et moins liquide (chaque contrat est unique/spécifique i.e. pas standardisé). Grâce aux FRA, il est possible de bénéficier d un taux garanti dans le futur. C est-à-dire que le FRA fixe un taux, qu on appellera le taux négocié. Celui-ci sera comparé au taux du marché qui dans la plupart des cas, est le taux LIBOR ou l EURIBOR. Cette différence d intérêt entre le taux du contrat et le taux du marché sera échangée entre les deux parties (BtB ou banque à client). C est pourquoi, la mise en place d un contrat de FRA n impactera les limites de la banque que d une fraction du montant notionnel (variable selon les établissements). Enfin, ce type de transaction n impacte pas le bilan de la banque Plus de détail Le FRA est négocié sur le marché OTC et demeure utilisé lorsqu un acteur cherche à se couvrir contre une hausse du taux (emprunteur) et sera donc un acheteur de FRA alors que le vendeur cherchera à se prémunir contre une baisse de taux (prêteur). Le FRA comporte deux périodes bien distinctes, la période d attente et la période garantie. Durant la première période dite «d attente», les contractants ne peuvent que voir la variation du taux d intérêt du marché. Il n y a donc pas d échange. L une ou l autre des contreparties peut déboucler ou non son opération. Karim GHLAM 2/12
4 Ensuite, dans la deuxième période dite «garantie» les échanges commencent. Si le taux du marché est supérieur au taux négocié, alors, c est l acheteur (donc l emprunteur) qui paye la différence (en valeur actualisée) entre ces deux taux. Si, au contraire, le taux négocié est supérieur au taux du marché, alors, c est le vendeur (donc le prêteur) qui paye la différence (en valeur actualisée) en tenant compte de l échéance fixée. Le taux d un FRA est donc bien un taux dit «In Fine» qui simplifie grandement les comparaisons et calculs vis-à-vis des taux de dépôt classiques. Ci-dessous une illustration de la structure d un FRA et du versement du différentiel d intérêt. Par exemple, un taux de 6 mois dans 3 mois. On dira 3 contre 9. Enfin, le différentiel d intérêt mentionné ci-dessus se calcule grâce à la formule suivante : MN = montant nominal TR = taux du marché (LIBOR) T = taux du contrat DD = date du début de la période de garantie DF = date de la fin de la période de garantie Karim GHLAM 3/12
5 2. Qu est-ce un ABS? Un MBS? Et un CDO? 2.1. Principes de base d un ABS Le terme ABS est le diminutif pour Asset Backed Securities qui signifie en français «Titres Adossés à des actifs» créés dans le cadre de la titrisation expliquée ci-dessous. Ainsi, un ABS est une valeur mobilière dont les flux sont basés sur ceux d un actif ou de plusieurs actifs (pool/portefeuille) qui ont été titrisés, par exemple des créances d étudiants, de cartes de crédit, commerciales, hypothécaires, d actifs mobiliers ou immobiliers, etc Plus en détail Les ABS sont émis par une structure/société ad hoc, le Special Purpose Vehicle (SPV) qui est constitué dans le cadre de la titrisation. La titrisation est un procédé financier qui consiste à transformer des actifs peu ou pas liquides en valeurs mobilières facilement négociables (obligations). Ainsi, le but de ces SPV est de permettre à un institut financier, d une part, d améliorer la liquidité de son bilan et, d autre part, de transférer les risques liés à des actifs (créances hypothécaires, crédits bancaires aux entreprises, créances commerciales, prêts automobiles, etc.) dont il ne souhaite plus être exposé. C est pourquoi, l institut financier vend/cède lesdits actifs au SPV (entité intermédiaire) qui finance cette acquisition par l émission de titres adossés à ces actifs (ABS) qui lui permettront de payer le prix d achat demandé par la banque. Ainsi, les acquéreurs (investisseurs) des titres ABS, qui représentent la valeur totale du portefeuille de créances titrisées par le SPV, percevront les intérêts et le remboursement des créances à travers le temps, si la capacité financière des emprunteurs constituant l actif du SPV reste effective. Cette ingénierie financière engendre donc une asymétrie d informations relatives aux risques de contreparties et de liquidités de l emprunteur final qui ont échappés aux agences de notations et qui explique la crise des subprimes. Notons encore qu il existe 3 catégories principales d ABS que sont les titres adossés aux papiers commerciaux (Asset Backed Commercial Paper ABCP), les titres adossés aux hypothèques (Mortgage Backed Securities MBS) et les titres adossés aux dettes (Collateralised Debt Obligations CDO). Karim GHLAM 4/12
6 2.3. Principes de base d un MBS Le terme MBS signifie Mortgage Backed Securities. C est un titre adossé à une ou plusieurs créances hypothécaires qui fonctionne comme un ABS. Le MBS représente une partie de plusieurs créances hypothécaires et bénéficie donc d une diversification importante qui dépend de la qualité et du faible risque de défaut des créanciers hypothécaires. En effet, plus la qualité des sous-jacents (créances hypothécaires) est bonne, plus la classification du rating du MBS sera élevée pour un rapport rendement/risque appréciable Plus en détail Le MBS est garanti par les cash flows des créances hypothécaires représentée par l annuité hypothécaire, composée du remboursement du principal et du paiement des intérêts hypothécaires et ainsi que par les biens immobiliers qui sont nantis en faveur de l émetteur du MBS. L investisseur perçoit l intérêt MBS, qui est plus ou moins important en fonction du rating qui a été attribué au portefeuille de créance par les agences de notations selon la catégorie du groupe d emprunteurs hypothécaires. Ce sont les flux générés par les créanciers hypothécaires qui versent mensuellement leurs annuités qui constituent l intérêt MBS. Les MBS se subdivisent en 2 catégories que sont le Commercial Mortgage Backed Securities (CMBS) qui est un titre adossé aux crédits hypothécaires commerciaux et le Residential Mortgage Backed Securities (RMBS) qui est un titre aux crédits hypothécaires résidentiels Principes de base d un CDO Le terme CDO signifie Collateralised Debt Obligation. C est un titre adossé à de la dette obligataire et/ou bancaire qui fonctionne comme un titre ABS. Le CDO est émis par un SPV sur la base du portefeuille d actifs qu il a acquis auprès d un institut financier. Lors de l émission des CODs, ceux-ci peuvent être divisés en plusieurs tranches de risque avec des ratings et des taux de rendements différents. Ainsi, plus le CDO demeure risqué, plus le taux de rendement sera important et plus la notation sera faible. C est ensuite à l investisseur de choisir dans quelle tranche il souhaite investir et ceci en fonction de son aversion au risque. Karim GHLAM 5/12
7 2.6. Plus en détail Il est important de mentionné les différentes tranches de CDO qui correspondent chacune à un profil bien précis. La 1 ère tranche dite «Senior» est la plus conservatrice «sûre» qui est notée «AAA» par les agences de notation. En effet, en cas de défaut, les investisseurs de la tranche «Senior» seront remboursés avec la tranche «Actions» et «Mezzanine» du passif du SPV (société ad hoc). La 2 ème tranche dite «Mezzanine» demeure un peu plus risquée que la 1 ère tranche et est noté «BBB» par les agences de notation. Cette différence occasionne donc un rendement plus élevé. La 3 ème tranche dite «Equity ou Junior» est très risquée, mais offre un rendement très élevé. Ci-dessous une illustration du processus de titrisation CDO : Karim GHLAM 6/12
8 3. Trouvez le produit dérivé le plus «exotique». Je considère que le produit dérivé Rainbow Options est l un des plus exotique de sa catégorie. Le principe de l option Rainbow est qu elle a plusieurs actifs sous-jacents. Par exemple, une option put (Rainbow) peut spécifier qu il y a l option de livrer un actif parmi plusieurs différents titres définis. Clairement, si le prix d exercice (strike) est le même pour chaque actif spécifié et si l investisseur décide d exercer l option de vendre (option put), il choisira de livrer l actif avec le prix actuel le plus bas. Ainsi, s il y a 2 actifs spécifiés et que leur prix soit de S 1 et S 2, alors la valeur intrinsèque de l option put est : La fixation du prix de l option est donc influencée par les différents titres sous-jacents, ce qui rend son utilisation intéressant et stratégique. L option Rainbow offre donc des opportunités de spéculations et de gains intéressantes. Karim GHLAM 7/12
9 4. Faites l exercice 1 (pages 48-49) 4.1. Mise en situation Premièrement, j ai fait le tableau suivant pour avoir une vue d ensemble des flux reçus et payés par la banque. Date Taux d'intérêt débiteur des prêts hypothécaires Taux Fixe Taux d'intérêt créditeur des comptes épargne LIBOR LIBOR 12 mois moins 12 mois 10BP La banque paie La banque reçoit Le gain de la banque Flux variable Flux Fixe Différence 1 an 3.0% 1.5% 1.4% CHF 350' CHF 750' CHF 400' ans 3.0% 1.9% 1.8% CHF 450' CHF 750' CHF 300' ans 3.0% 2.1% 2.0% CHF 500' CHF 750' CHF 250' ans 3.0% 2.3% 2.2% CHF 550' CHF 750' CHF 200' ans 3.0% 2.5% 2.4% CHF 600' CHF 750' CHF 150' Ainsi, le calcul des flux variables se base sur le LIBOR moins 10BP de chaque échéance que j ai multiplié avec les 25 millions indiqués dans l énoncé (sommes des prêts et de l épargne). Puis, le calcul des flux fixes se base sur le taux de 3% que j ai multiplié aux 25 millions. Ainsi, on obtient les colonnes des flux variables et fixes. La différence de ces flux indique le gain pour la banque entre les fonds prêtés et les fonds empruntés aux épargnants. Je constate que ce gain annuel diminue année après année car le taux variable payé (Libor 12 mois moins 10BP) augmente. C est donc un risque pour la banque que le taux variable atteigne voir dépasse le taux fixe. C est pourquoi, le risk manager doit couvrir la banque contre une hausse des taux par le biais d un swap sur taux qui paraît être la meilleure solution dans ce cas précis Evaluation du swap sur taux d intérêt Calcul de la jambe variable : Karim GHLAM 8/12
10 (25'350'000.00/(1.015)^1) - (25'000'000.00/(1.025)^5) = 2'879' Calcul de la jambe fixe : L évaluation de la jambe fixe se fait par le biais de la VAN : ( /(1.015)^1) + ( /(1.019)^2) + ( /(1.021)^3) + ( /(1.023)^4) + ( /(1.025)^5 = 3'513' En conclusion, la valeur de ce swap est de CHF 634' (CHF 3'513' CHF 2'879'012.27) Calcul du taux du swap sur taux d intérêt Le prix est équitable si la valeur de la jambe fixe est égale à la valeur de la jambe variable. Calcul de la jambe variable : (101,5/(1.015)^1) - (100/(1.025)^5) = Calcul de la jambe fixe : (100*x/(1.015)^1) + (100*x/(1.019)^2) + (100*x/(1.021)^3) + (100*x/(1.023)^4) + (100*x/(1.025)^5 = 468,47 donc 468 x En isolant x, le prix/taux équitable est de : 468 x = donc x = =2.48%, mais il faut encore diminuer les 10BP, donc le taux final est de 2.38%. Karim GHLAM 9/12
11 Ci-dessous le schéma illustre les transactions liées au swap. Après ces différents calculs, on peut constater que la partie gauche du schéma demeure encore rentable car les flux entrant fixé à 3% sont plus élevés que les flux sortant variables. La banque pourrait trouver une contrepartie grâce au swap. Si le risk manager prévoit une hausse de taux, alors ce swap convient tout à fait. On peut le voir dans la partie droite du schéma. La banque pourrait payer un taux fixe de 2.38% à une contrepartie. Celle-ci, pourrait payer un taux libor, qui représenterait la partie variable. Cela impliquerait que tant que les taux augmentent (et sont supérieurs à 2,38%), la banque serait gagnante. D ailleurs, on peut constater que si elle avait pu le passer en année 4 pour l année 5, la banque aurait déjà été gagnante étant donné que le taux du swap (2,38% sortant fixe) est moins élevé que la partie variable entrante, indexée au libor qui se monte à 2,5%. En conclusion, tant que les taux sont supérieurs à 2,38%, la banque est couverte contre la hausse des taux. Il convient donc de passer ce swap. De plus, comme vu en cours, nous avons bien une fois le libor en flux entrant et une fois en flux sortant, mais c est le même cas pour les parties fixes (une fois entrantes 3% et une autre fois sortantes 2,38%). Par contre, il faut tout de même prendre en considération le fait que si la banque s est trompée et que les taux baissent au lieu de monter, la banque sera perdante. En effet, cela indiquerai que le flux fixes sortants se monteraient à 2,38%, le flux variable pourrait être de 2,3% (comme pour l année 4) et de cette manière la banque serait perdante. Mais au vue de la courbe des taux, les prévisions haussières paraissent plus pertinentes et justifiées que les prévisions baissières. Karim GHLAM 10/12
12 5. Qu est-ce qu un CDS? 5.1. Principes de base d un CDS Le terme CDS signifie Credit Default SwapLe Credit Default Swap plus communément appelé CDS est un produit dérivé qui est utilisé comme technique externe de couverture. Ainsi, il permet de transférer le risque de crédit ou l'exposition crédit des produits obligataires entre contreparties. En effet, le CDS est souvent utilisé par les asset managers de fonds de placement en obligations pour se protéger ou compenser une perte de cours de l obligation sous-jacentes qu ils détiennent dans leurs portefeuilles Plus en détail En pratique, le CDS correspond à un contrat dérivé de crédit pour lequel l'acheteur (investisseur) paye au vendeur (habituellement un broker) une prime jusqu'à l'échéance du contrat selon l'évolution du sous-jacent (cours obligataire) afin de s'assurer/se couvrir/se protéger en cas de défaut de l'émetteur dudit titre de créances (obligation). Les CDS sont traités sur le marché OTC et sont librement échangeables entre les différents acteurs du marché. Leurs prix est directement dépendant de l évolution du sous-jacent. Ainsi, si le prix du sous-jacent baisse pour x y raisons, alors le prix/cours du CDS augmentera et inversement, si le prix du sous-jacent augment. L émetteur du CDS (vendeur) s'engage à racheter/acheter le titre sous-jacent à un prix déterminé par avance en cas de défaut/faillite de l émetteur du titre de créances (obligation) et ceci contre paiement du prix d achat qu il aura préalablement défini. La décision de savoir si un défaut d un créancier obligataire, dont les obligations sont le sous-jacent d un CDS, intervient ou non, est déterminé par un comité de 15 membres provenant des plus grandes banques. Ce comité de détermination fait partie de «the International Swaps and Derivatives Association». Le CDS peut également être un outil de spéculation sur le défaut probable ou attendu d'une tierce partie sans pour autant constitué une protection d un titre obligataire détenu par un investisseur. Karim GHLAM 11/12
13 6. Bibliographie THE HANDBOOK OF FINANCIAL INSTRUMENTS, Fabozzi, Frank J., 2002 Tout savoir sur les produits structurés 3 e édition, Vedeilhié, Robert, 2007 Les sûretés sur les marchés financiers, Praicheux, Sébastien, 2004 Cours Finance & Risk Management, Francesco Moresino, 2012 Formation d Asset Management à l UBS, Cours de Madame Beiner, 2010 FIN FINANCIAL INSTRUMENTS, SPRING 2008 Bloomberg. U.S. Corporate Credit Swaps Climb as Business Activity Shrinks, by Peter Rawlings. September 28, :53 PM EDT. consulté le Karim GHLAM 12/12
Changement du business model des banques : une explication de la crise actuelle 1. François Longin 2
Changement du business model des banques : une explication de la crise actuelle 1 François Longin 2 Résumé Cet article insiste sur le changement de business model des banques qui peut constituer une explication
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailGestion des risques financiers 4 ème année ESCE. Chapitre 4
Gestion des risques financiers 4 ème année ESCE Chapitre 4 1) et entrent dans un swap de taux plain vanilla le 5 septembre 2009 pour une durée de deux ans où s engage à payer à le taux de 2% par an (en
Plus en détailSECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES
SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 1 - DEFINITION DES PRODUITS DERIVES 2 - DEFINITIONS DES MARCHES 3 - USAGE DES CONTRATS 4 - COMPTABILISATION DES OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 51 SECTION 5
Plus en détailANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT
ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT Banque & Marchés Cécile Kharoubi Professeur de Finance ESCP Europe Philippe Thomas Professeur de Finance ESCP Europe TABLE DES MATIÈRES Introduction... 15 Chapitre 1 Le risque
Plus en détailLES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE. Finance internationale 9éme ed. Y. Simon & D. Lautier
LES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE 1 Section 1. Les instruments dérivés de change négociés sur le marché interbancaire Section 2. Les instruments dérivés de change négociés sur les marchés boursiers organisés
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailPARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes
SG MONETAIRE EURO PROSPECTUS SIMPLIFIE OPCVM conforme aux normes européennes PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : DENOMINATION : SG MONETAIRE EURO FORME JURIDIQUE : SICAV de droit français COMPARTIMENTS/NOURRICIER
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailL essentiel des marchés financiers
Éric Chardoillet Marc Salvat Henri Tournyol du Clos L essentiel des marchés financiers Front office, post-marché et gestion des risques, 2010 ISBN : 978-2-212-54674-3 Table des matières Introduction...
Plus en détailOptions et Swap sur intérêt
Options et Swap sur intérêt Risk Management - TP 3-1 - Exercice1 : choix de deux options J ai décidé d utiliser le site Swissquote pour cette recherche. Toutefois j ai préféré prendre des warrants (certificats
Plus en détailTitrisation Analyse économique et financière
1 Titrisation Analyse économique et financière Les premières opérations de titrisation furent réalisées aux Etats-Unis au début de la décennie 1970 par la Federal National Mortgage Association (Fannie
Plus en détailLes Obligations Convertibles (introduction)
TROISIEME PARTIE Les Obligations Convertibles (introduction) Avril 2011 Licence Paris Dauphine 2011 Sommaire LES OBLIGATIONS CONVERTIBLES Sect 1 Présentation, définitions Sect 2 Eléments d analyse et typologie
Plus en détailFloored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par
Plus en détailChapitre 16. ABS, CDO et crise financière de 2007. 16.1 Le marché immobilier américain
Chapitre 16 ABS, CDO et crise financière de 2007 La crise financière qui a débuté en 2007 a été la plus importante vécue par les États-Unis depuis les années 1930. Cette crise s est très vite répandue
Plus en détailMathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012
Mathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012 Pierre Andreoletti pierre.andreoletti@univ-orleans.fr Bureau E15 1 / 20 Objectifs du cours Définition
Plus en détailOptions, Futures, Parité call put
Département de Mathématiques TD Finance / Mathématiques Financières Options, Futures, Parité call put Exercice 1 Quelle est la différence entre (a) prendre une position longue sur un forward avec un prix
Plus en détailListe des notes techniques... xxi Liste des encadrés... xxiii Préface à l édition internationale... xxv Préface à l édition francophone...
Liste des notes techniques.................... xxi Liste des encadrés....................... xxiii Préface à l édition internationale.................. xxv Préface à l édition francophone..................
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailFloored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Floored Floater sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Dans l
Plus en détailPROSPECTUS SIMPLIFIE
OPCVM conforme aux normes européennes PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE Code ISIN : FR0010171686 Dénomination : SG CASH EONIA + Forme juridique : Société d'investissement à Capital Variable (SICAV)
Plus en détailFORMATIONS FINANCIÈRES RÉALISÉES
FORMATIONS FINANCIÈRES RÉALISÉES l'ensemble de ces sujets de formations ont été construits sur mesure à la demande de nos clients SOMMAIRE LES MARCHÉS 3 LES MARCHÉS FINANCIERS NIVEAU 1 4 LES MARCHÉS FINANCIERS
Plus en détail2. LES DÉRIVÉS DE CRÉDIT. 2.1. Les credit default swaps (CDS) 1.4.4. Quel lien entre les spreads de crédit et les actions?
Chapitre 9 Les produits de crédit Par ailleurs, il existe une différence de liquidité entre la plupart des obligations et les emprunts d État, qui outre qu ils sont théoriquement sans risque de crédit
Plus en détailCOMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007
COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007 Nouvelles normes IFRS7 Méthode de valorisation dans le contexte de crise financière Mars 2008 La nouvelle norme, Instruments financiers
Plus en détailTable des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...
III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................
Plus en détail2008 Risques particuliers dans le négoce de titres
2008 Risques particuliers dans le négoce de titres Pour toute suggestion concernant les rééditions futures de la présente brochure, nous vous invitons à écrire à l adresse suivante: office@sba.ch. Nous
Plus en détailLA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1
LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan Paper Audit & Conseil 1 Sommaire 1. Définition de la relation de couverture 2. Le swap
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailRèglement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises
Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises modifié par les règlements n 92 04 du 17 juillet 1992, n 95-04 du 21 juillet 1995,
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détailLes techniques des marchés financiers
Les techniques des marchés financiers Corrigé des exercices supplémentaires Christine Lambert éditions Ellipses Exercice 1 : le suivi d une position de change... 2 Exercice 2 : les titres de taux... 3
Plus en détailEléments de Gestion Bilancielle. Dr. Kpate Adjaouté HEG, Décembre 2006
Eléments de Gestion Bilancielle Dr. Kpate Adjaouté HEG, Décembre 2006 Plan du Cours I Introduction II Problématique du Calcul du Revenu Net III Typologie des Produits et leur Traitement IV Approche en
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détail1. Le risque de contrepartie
1. Le risque de contrepartie 1.1. Définition : 1.1.1. Au sens étroit : Tout crédit est une anticipation de recettes futures (crédit = pari sur la réussite du projet de l emprunteur). Tout crédit comporte
Plus en détailFloored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels
Plus en détailDe ces 6 blocs, le Groupe OFI est concerné par les blocs marché et défaut relatifs aux investissements financiers.
Calcul du SCR marché Rappel : Dans le cadre de la nouvelle réglementation de l assurance Solvabilité 2, le premier pilier quantitatif définit les normes de calcul des fonds propres réglementaires. Le SCR
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailChapitre 1 Les instruments fermes
UV2 LES INSTRUMENTS FINANCIERS Rappel de comptes : 52 Instrument financier 476 Ecart de conversion actif 477 Ecart de conversion passif 4786 Compensation des pertes latentes sur profits 8091/801 Engagements
Plus en détailQu est-ce-qu un Warrant?
Qu est-ce-qu un Warrant? L epargne est investi dans une multitude d instruments financiers Comptes d epargne Titres Conditionnel= le detenteur à un droit Inconditionnel= le detenteur a une obligation Obligations
Plus en détailPratique des produits dérivés P3 : futures, forwards
Pratique des produits dérivés P3 : futures, forwards Olivier Brandouy Université de Bordeaux 2014 2015 Diapo 1/60 Olivier Brandouy Master 2 Métiers de la Banque (CPA) Plan 1 Introduction Futures et Forwards
Plus en détailInstruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation
Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification
Plus en détailFinance 1. Université d Evry Val d Essonne Séance 4. Philippe PRIAULET
Finance 1 Université d Evry Val d Essonne Séance 4 Philippe PRIAULET Plan de la formation Les swaps Définition Terminologie, convention et cotation Utilisations en pratique des swaps Evaluation des swaps
Plus en détailGlobal Markets Product Risk Book
Communication Marketing Global Markets Product Risk Book Version française Cette communication n a pas été préparée conformément aux prescriptions légales visant à promouvoir l indépendance de la recherche
Plus en détailCOUR DES COMPTES. Le recours aux produits dérivés dans le cadre de la gestion de la dette publique
COUR DES COMPTES Le recours aux produits dérivés dans le cadre de la gestion de la dette publique Rapport de la Cour des comptes transmis à la Chambre des représentants Bruxelles, mars 2006 COUR DES COMPTES
Plus en détailREGLEMENT REGLEMENT RELATIF A LA CLASSIFICATION DES TYPES DE GARANTIES ET DES NANTISSEMENTS
REGLEMENT RELATIF A LA CLASSIFICATION DES TYPES DE GARANTIES ET DES NANTISSEMENTS TABLE DE MATIÈRES 1. Introduction...1 2. Structure...2 2.1 Vue d'ensemble...2 2.2 Niveau 1...2 2.2.1 Règle 1...2 2.2.2
Plus en détail4,0 % 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0
Epargne Libre Carrefour Document d Informations Clés pour l Investisseur Ce document fournit des informations essentielles aux investisseurs de ce fonds. Il ne s agit pas d un document promotionnel. Les
Plus en détailCornèr Banque (Luxembourg) Informations au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012
Cornèr Banque (Luxembourg) Informations au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012 Information au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012 Table des matières 1. Introduction 3 1.1.
Plus en détailThéorie Financière 2. Valeur actuelle Evaluation d obligations
Théorie Financière 2. Valeur actuelle Evaluation d obligations Objectifs de la session. Comprendre les calculs de Valeur Actuelle (VA, Present Value, PV) Formule générale, facteur d actualisation (discount
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailGuide de l'investisseur
Guide de l'investisseur Les principaux instruments d investissement PRINCIPAUX SERVICES FINANCIERS EN RAPPORT AVEC DES PRODUITS D'INVESTISSEMENT Il faut distinguer ces trois principaux services financiers
Plus en détailCHAPITRE 2 : MARCHE DES CHANGES A TERME ET PRODUITS DERIVES
CHAPITRE 2 : MARCHE DES CHANGES A TERME ET PRODUITS DERIVES Marché des changes : techniques financières David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2013-2014 Université Paris 8 Table des matières
Plus en détailAVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS
Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe
Plus en détailIndications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la
Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la Charte de bonne conduite SOMMAIRE Préambule - Remarques
Plus en détailLa crise qui débuta avec les crédits subprimes en
40 Les dérivés : outils d assurance ou instruments dangereux de spéculation? Les dérivés sont régulièrement pointés du doigt comme des instruments dangereux de spéculation renforçant l instabilité et les
Plus en détailComment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?
Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,
Plus en détailActifs gérés en extinction
15 juin 2010 Actifs gérés en extinction Des risques sous contrôle Michel Péretié Directeur de la Banque de Financement et d Investissement Actifs gérés en extinction: une analyse externe confirme le niveau
Plus en détailQuestion 1: Analyse et évaluation des obligations / Gestion de portefeuille
Question 1: Analyse et évaluation des obligations / Gestion de portefeuille (33 points) Monsieur X est un gérant de fonds obligataire qui a repris la responsabilité de gestion du portefeuille obligataire
Plus en détailRecueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts
Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement
Plus en détailAvis aux actionnaires de la Sicav "Pictet"
Avis aux actionnaires de la Sicav "Pictet" Pictet, Société d investissement à capital variable 15, av. J.F. Kennedy, L 1855 Luxembourg R.C. Luxembourg n B 38 034 Il est porté à la connaissance des actionnaires
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailLa crise des subprime offre de nouvelles opportunités
La crise des subprime offre de nouvelles opportunités Inform informations générales pour les investisseurs institutionnels 1 er trimestre 2008 Swisscanto le centre de compétence des Banques Cantonales
Plus en détailSCHEMA D'INFORMATIONS PERIODIQUES A COMMUNIQUER PAR LES COMPAGNIES FINANCIERES CONCERNANT LEUR SITUATION FINANCIERE CONSOLIDEE
SCHEMA D'INFORMATIONS PERIODIQUES A COMMUNIQUER PAR LES COMPAGNIES FINANCIERES CONCERNANT LEUR SITUATION FINANCIERE CONSOLIDEE 1 2 SOMMAIRE Livre II CHAPITRE I: INSTRUCTIONS GENERALES Section 1 Application
Plus en détailThéorie Financière 8 P. rod i u t its dé dérivés
Théorie Financière 8P 8. Produits dit dérivés déié Objectifsdelasession session 1. Définir les produits dérivés (forward, futures et options (calls et puts) 2. Analyser les flux financiers terminaux 3.
Plus en détailFCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information
FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097559 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise
Plus en détailGUIDE D UTILISATION ODT
GUIDE D UTILISATION ODT Chapitre 1 : Observatoire de la dette I- Données générales sur la dette Chiffre d affaires Indiquer le chiffre d affaires de l EPS. Cette donnée correspond aux recettes générées
Plus en détailCredit default swaps : Quels sont les risques et défis en matière de stabilité financière?
Credit default swaps : Quels sont les risques et défis en matière de stabilité financière? ORICE WILLIAMS BROWN Directeur Financial Markets and Community Investment US Government Accountability Office
Plus en détailInformations sur la nature et les caractéristiques des instruments financiers et les risques associés
Informations sur la nature et les caractéristiques des instruments financiers et les risques associés INTRODUCTION Ce document n'a pas pour objet de présenter de manière exhaustive les risques associés
Plus en détail3- Le risque de taux d'intérêt
3- Le risque de taux d'intérêt Risque de taux d'intérêt : «risque de variation des prix d'un titre de dette (obligations, titres de créance négociables) ou d'un titre composé ou d'un produit dérivé, résultant
Plus en détailIndications méthodologiques pour compléter les
Indications méthodologiques pour compléter les l annexes sur l état de la dette figurant sur les instructions budgétaires et comptables relatives à l exercice 2013 SOMMAIRE Sommaire 2 Documents de référence
Plus en détailExchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011
Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations 12 Mai 2011 Sommaire I Présentation du marché des ETF II Construction des ETF III Principales utilisations IV Les ETF dans le contexte
Plus en détailComment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions?
en collaboration avec Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? Vous participez au concours organisé par l association Transaction l Investment Challenge, et vous avez bien
Plus en détailLES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1
LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2007-27
Tunis, le 18 décembre 2007 CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2007-27 OBJET : Circulaire aux Intermédiaires Agréés n 2001-11 du 4 mai 2001 relative au Marché des changes et instruments de couverture
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailBrochure d information instruments financiers
Brochure d information instruments financiers Introduction Pour bien investir, il faut être informé. Disposer d informations sur la nature, les atouts et les inconvénients des différentes formes d investissement.
Plus en détailPerformance creates trust
Performance creates trust Vontobel Mini Futures Futures Investissement minimum, rendement maximum Vontobel Investment Banking Vontobel Mini Futures Investir un minimum pour un maximum de rendement Avec
Plus en détailExtrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES
Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-BIC-PDSTK-10-20-70-50-20120912 DGFIP BIC - Produits et stocks - Opérations
Plus en détailLicence 2 Mathématiques- Semestre 3 Introduction aux mathématiques
Licence 2 Mathématiques- Semestre 3 Introduction aux mathématiques financières Année universitaire 2010-11 1 Version Septembre 2010 1 Responsable du cours: Marie-Amélie Morlais 2 0.1 Plan sommaire du cours
Plus en détailLes produits dérivd. des instruments incontournables du paysage financier
Les produits dérivd rivés s : des instruments incontournables du paysage financier Léon Bitton Vice-président, R&D Bourse de Montréal Inc. CONGRÈS DE L'ASDEQ 19 mai 2005 1 Produits dérivd rivés s : Outils
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailNote informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts
Note informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts Cher client, chère cliente, La BANQUE RAIFFEISEN tient à vous informer
Plus en détailNote pédagogique MIC n o 16 LA TITRISATION
Note pédagogique MIC n o 16 François Leroux LA TITRISATION Les premières opérations de titrisation ont été réalisées aux États-Unis. Depuis le champ de la titrisation n a cessé de s élargir et ces opérations
Plus en détailPoint de vue. sur les produits dérivés. Faire bon usage des produits dérivés en gestion obligataire. Complexes mais complémentaires.
sur les produits dérivés Mars 2015 Faire bon usage des produits dérivés en gestion obligataire Les produits dérivés obligataires existent depuis une quarantaine d années 1 et pourtant leur utilisation
Plus en détailOptions et Volatilité (introduction)
SECONDE PARTIE Options et Volatilité (introduction) Avril 2013 Licence Paris Dauphine 2013 SECONDE PARTIE Philippe GIORDAN Head of Investment Consulting +377 92 16 55 65 philippe.giordan@kblmonaco.com
Plus en détailTarification. Mise à jour du 1 er juillet 2010
BRVM - DC / BR Bourse Régionale des Valeurs Mobilières Afrique de l Ouest Dépositaire Central Banque de Règlement Afrique de l Ouest Mise à jour du 1 er juillet 2010 Objet de la mise à jour La mise à jour
Plus en détailTABLEAU DE SUIVI DES CONSULTATIONS
TABLEAU DE SUIVI DES CONSULTATIONS lancement Consultation Emetteur clôture Réponse AMAFI (Réf. / date) Consultations en cours 18/02/15 Consultation sur la revue de la Directive Prospectus 13/05/15 18/02/15
Plus en détailINSTRUMENTS FINANCIERS
BANQUE NEUFLIZE OBC BANQUE NEUFLIZE OBC INSTRUMENTS FINANCIERS 2 ANNEXE A LA CONVENTION DE COMPTE 6 DÉFINITION DES RISQUES 7 TCN (TITRES DE CRÉANCES NÉGOCIABLES) 8 OBLIGATIONS 9 ACTIONS 10 BONS DE SOUSCRIPTION
Plus en détail2- Comment les traders gèrent les risques
2- Comment les traders gèrent les risques front office middle office back office trading échange d'actifs financiers contrôle des risques, calcul du capital requis enregistrement des opérations traitement
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailChapitre 2 : l évaluation des obligations
Chapitre 2 : l évaluation des obligations 11.10.2013 Plan du cours Flux monétaires, prix et rentabilité Bibliographie: caractéristiques générales Berk, DeMarzo: ch. 8 obligations zéro-coupon obligations
Plus en détailProcessus et stratégie d investissement
FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie
Plus en détailSociété Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE
Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Rapport sur la qualité des actifs au 31 mars 2014 (Instruction
Plus en détailAspects techniques et stratégiques
Conservatoire National des Arts et Métiers Chaire de Finance Diplôme Etudes Supérieures Spécialisées «Analyse Stratégique Financière et Industrielle» MEMOIRE La titrisation et la nouvelle réglementation
Plus en détailTransactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur
Chapitre 11, assurance et diversification Réponses aux Questions et problèmes 1. Transactions de 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500 62 500 payés à 0 62 500 payés
Plus en détail