OBSERVATOIRE TENDANCES DU MARCHE ALIMENTAIRE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "OBSERVATOIRE TENDANCES DU MARCHE ALIMENTAIRE"

Transcription

1 OBSERVATOIRE TENDANCES DU MARCHE ALIMENTAIRE ETAT des LIEUX SEPTEMBRE 2014 ZOOM GRANDE DISTRIBUTION

2 SOMMAIRE 1. La consommation alimentaire 2. Les circuits 3. L offre 4. Les enseignes 1-Consommation alimentaire Une évolution erratique Les chiffres : +1% en valeur : ventes de PGC-FLS en tous circuits (chiffres arrêtés au 24 août). Rappel : +1,5% en 2013, +3,4% en 2012 et +3,1% en ,3% en volume (chiffres au 24 août) Rappel : -0,5% en 2013 et 0 en Les faits : Un premier semestre meilleur que prévu Au S1 l évolution des ventes en valeur qui se tenait au niveau de 2013 malgré une déflation marquée (-1,5%/juin 2013). Un «été meurtrier» Juillet et août ont été désastreux. Les ventes ont perdu 0,5 à 0,6 points en deux mois. Une rentrée rassurante Au cours de la dernière semaine d août et de la première de septembre les ventes en volume et en valeur sont reparties nettement à la hausse. Le rythme est de +1,9% en valeur et +1,7% en volume. Observatoire des Marchés de l ANEA

3 Source : Iri Ventes en volume : un rééquilibrage Évolution des ventes volume sur 8 mois (tous circuits) L été n a fait qu opérer un rééquilibrage entre les familles de produits. Les bières et les glaces qui avaient connu un très bon premier semestre (météo favorable) ont bu le bouillon sur l été. A l inverse, l épicerie sucrée, les surgelés salés et la crémerie qui étaient en négatif ont rattrapé sur les deux mois d été. Donc pas de bouleversement. Les pourquoi Des moins : - La météo capricieuse : Au premier semestre, la météo favorable a fait gagner 0,2 à 0,3 point. A l inverse juillet et août ont été maussades, avec de la pluie et de la fraicheur. Ce climat défavorable explique à lui seul ou presque le recul des ventes. - L embargo russe : Décidé le 6 août par Vladimir Poutine pour une durée de 1 an, il concerne un très large éventail de produits. Son effet ne se voit pas encore dans les chiffres arrêtés au 24 août. Mais c est évidemment un coup dur pour l Union Européenne car la Russie absorbe 10% environ des exportations agro-alimentaires du continent. Pour la France, la perte directe se chiffrerait à 1Md environ, soit 2,5% de nos exportations. 2ème effet négatif : les agriculteurs et industriels européens risquent de se replier sur les autres marchés où la concurrence va être encore plus forte. Observatoire des Marchés de l ANEA

4 - La guerre des prix : Nous sommes bel et bien en déflation! La guerre des prix qui a démarré au S avec l offensive de Casino. Sur ce semestre la déflation avait été masquée par des hausses de taxes (bières) et quelques hausses de matières premières (café). La déflation s est vue à partir de la rentrée En 2013 on était sur une évolution des prix nulle. On ne savait pas si c était une escarmouche, le repositionnement prix de Casino ou le début d une guerre. On a la réponse. En mai Casino en a remis une couche en baissant ses prix de 5,2%. Il se positionne 10% sous Leclerc qui répond. Sur un an, la déflation atteint 1,49% (24 août 2014/24 août 2013). La déflation n affecte que les marques nationales pour l instant. Elément de réconfort, la déflation a cessé de se creuser en juillet et en août. Ne pas s emballer toutefois : l été est traditionnellement un moment de statu quo sur les prix. Les semaines qui viennent vont donc être déterminantes. La «Prémiumisation» en chiffres Evolution des ventes S (HM+SM) La valorisation a été forte sur le premier semestre La «premiumisation» ou valorisation a touché au S1 des niveaux rarement atteints dans le passé. Comment se manifeste-t-elle? Par l achat de plus de marques nationales/mdd, de davantage de nouveaux produits à l intérieur de la famille des marques nationales et d une montée en gamme aussi à l intérieur des MDD (plus de MDD terroir, bio, haut de gamme/ aux MDD cœur de gamme). Observatoire des Marchés de l ANEA

5 Pourquoi? Les consommateurs ont réinvesti, consciemment ou pas, les euros économisés grâce à la baisse de prix dans de la montée en gamme. Encouragés en cela par la montée en gamme de l offre en magasin. Attention! Les différences de chiffres annoncés page 2 (ici on est à +1,9% en valeur au lieu des 1,6%) tiennent au fait qu ici on est sur l univers HM+SM et pas tous circuits. Or les HM+SM se portent nettement mieux que le HD. Performances par secteurs Evolution des ventes S (HM+SM) Tableau intéressant car il montre la dynamique des ventes en général et les performances par secteur. Méthodologie : L inflation, c est le prix d une même référence à date/à 1 an plus tôt. Le prix de l offre, c est le prix moyen auquel le magasin vend ses produits. Ce chiffre prend en compte l évolution de l assortiment (montée en gamme ou au contraire baisse). Le prix de la demande, c est le montant du panier dépensé par les consommateurs. Observatoire des Marchés de l ANEA

6 La Normandie sur le podium Bilan des ventes/grandes régions et poids de la région dans les ventes nationales (hors hard discount) au 10 aout 2014 Source : Nielsen La Normandie qui se retrouve dans l ensemble avec la Bretagne affiche des performances satisfaisantes et figure parmi les deux régions ayant le mieux résisté en juillet-août. A peu près comme 2013!! Comment va se finir fin 2014? Prévisions IRI - ventes en valeur : entre +1% et +1,5% - ventes en volume : entre -0,3% et +0,3% Mais des inconnues : Qu elle météo pour la fin d année? La «prémiumisation» va-t-elle se poursuivre? Ces deux paramètres sont difficiles à anticiper. S agissant de la premiumisation, sa poursuite dépendra de l évolution des prix et donc de la guerre des prix. En ce qui concerne le pouvoir d achat, le gouvernement a annoncé une baisse d impôts pour les plus faibles revenus et une petite hausse des retraites. Mais cela sera-t-il suffisant? Observatoire des Marchés de l ANEA

7 La «Guerre des prix»? Va-t-elle se propager aux MDD, plus difficiles à comparer? Le rapprochement Auchan/U a pour but d obtenir de meilleures conditions d achat sur les marques nationales. Question : les 2 enseignes vont-elles réinvestir les gains dans leurs marges et la rentabilité des magasins mises à mal ou dans la poursuite de l effort sur les prix? Chez U les associés tirent déjà le signal d alarme. La guerre des prix est-elle efficace? IRI a montré dans son bilan des ventes en 2013 (en analysant l évolution des ventes par rayon) que l évolution des assortiments (en nombre de références) et la part de la promotion avaient plus d effets sur la dynamique commerciale (hausse du CA) que les baisses de prix. Moralité : enseignes ne travaillez pas seulement le prix! -La perception par les consommateurs A la question la guerre des prix fait-elle baisser les prix (enquête IRI dévoilée en juillet) les consommateurs répondent : à 62% pas du tout ou plutôt pas d accord et à 35% tout à fait ou plutôt d accord (source LSA.fr, 2 juillet 2014). - Explications : Les clients s aperçoivent peu des baisses de prix sur le fond de rayon ; ils remarquent surtout les promos. Ils raisonnent aussi sur le prix du panier, or le prix de leur panier ne baisse pas du fait de la valorisation. La vitalité démographique de la France : Un facteur d espoir - 65,35 millions d habitants au 1er janvier 2012 ( personnes/ 2011) naissances en millions d habitants prévus en Elle assure en principe une croissance des ventes en volume de 0,5%/an. Autrement dit, une croissance nulle des ventes alimentaires en volume en 2013, si l on retraite de l évolution démographique. Observatoire des Marchés de l ANEA

8 La France mieux que l Europe Evolution des ventes S (tous circuits) La France est le pays où les ventes ont évolué le plus favorablement en volume et en valeur au premier semestre Les circuits Des évolutions contrastées Hypers et supers dans le vert Les HM profitent davantage que les SM en raison d une guerre des prix plus forte dans ce circuit et surtout compte tenu d un effet parc. Pas mal de SM+ passent HM. Situation inverse pour les SM pénalisés par les agrandissements de magasins. Le hard discount dans le dur Le circuit poursuit la baisse entamée depuis quelques années. Aux difficultés du circuit en général s ajoutent les difficultés de certaines enseignes qui se cherchent. Et surtout une baisse du parc : -200 magasins en 2 ans! La proxi dans l air du temps. Ce circuit a la cote. Les raisons sont connues. La proxi répond bien à différents types de clientèles de centre-ville. Les cadres qui rentrent tard et sont contents de trouver de quoi manger en bas de chez eux ; les personnes âgées qui ne peuvent pas faire de grands pleins en HM et y font leurs courses au fil de l eau. Observatoire des Marchés de l ANEA

9 Les drives à un pallier Même si la dynamique du e-commerce reste forte (+0,7 point de PDM au S1 2014) pour monter à 2,8% de part de marché. La croissance s explique surtout par l augmentation du parc plus que par l intensification des ventes dans les unités existantes. Un début de cannibalisation consécutif à la très forte augmentation du parc depuis 2 ans puisqu on est passé de 1358 unités en juin 2012 à 2974 en mai Evolution en chiffres des différents circuits au S L offre Les MDD poursuivent leur recul Evolution des ventes de MDD au S1 (HM+SM) Observatoire des Marchés de l ANEA

10 Le recul des ventes de MDD a commencé en 2012 (pour les ventes en volume). Le chiffre était de -0,5% en 2012 puis -0,7% en 2013 et -1,7% au S (en HM+SM). En part de marché valeur, les MDD sont autour de 29% contre 30% en Explications : avec la baisse des prix, les consommateurs se reportent sur les marques nationales. Mais la principale explication, c est l évolution de la part d offre. Les ventes des MDD sont pénalisées par la faible augmentation de leur part d offre/marques nationales. Elle se situe à 25,7%. IRI a montré que la baisse de la part de marché des MDD (selon les catégories) était équivalente, que les marques nationales baissent fortement leurs prix ou qu elles les baissent peu voire qu elles les augmentent. Les MDD ont toujours été sous-linéarisées au regard de leur part de marché, mais là l écart avec les marques nationales devient trop fort. Et pour peu que le travail de merchandising ne compense pas, elles sont un peu noyées dans les rayons. Plus de promotions Ventes sous promotion au S / S1 2013(HM+SM) Observatoire des Marchés de l ANEA

11 4- Les enseignes AUCHAN et SYSTEME U nouveaux leaders Parts de marché en valeur des 5 premiers groupes à fin août Source : Kantar Worldpane 1) «Système A» (Auchan et Système U)* : 21,9% (11,3% + 10,6%). Le regroupement pour les achats a été annoncé le 11 septembre. «Système A» est 3ème sur les HM et 2ème sur les super. Il est présent en proxi avec U Express et A2Pas. L accord exclut pour l instant les produits frais et les MDD. Mais jusqu à quand? 2) Carrefour : 20,6% 3) Leclerc : 20% 4) Groupe Casino : 11,6% 5) Intermarché : 11,4% *Les deux enseignes ne forment pas un groupe Observatoire des Marchés de l ANEA

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media. Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France

Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media. Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France L environnement media a changé PRESSE TELEVISION AFFICHAGE RADIO COURRIER ONLINE drastiquement

Plus en détail

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir?

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir? Un format du passé en format d avenir? Jacques Dupré, Directeur Insights 22 juillet 2014 1. Un intérêt grandissant pour la proximité La «proximité» a souvent été considérée, au cours des dernières décennies

Plus en détail

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22

Plus en détail

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Introduction Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Paul, chef de produit, s est réveillé ce matin avec un mauvais pressentiment qu il ne parvient pas encore à expliquer.

Plus en détail

Toujours pas de reprise

Toujours pas de reprise 2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.

Plus en détail

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?

Plus en détail

Grande distribution et croissance économique en France

Grande distribution et croissance économique en France N 11 Décembre 2012 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Grande distribution et croissance économique

Plus en détail

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des

Plus en détail

BAISSER LES PRIX SANS RÉDUIRE LE RÉSULTAT

BAISSER LES PRIX SANS RÉDUIRE LE RÉSULTAT BAISSER LES PRIX SANS RÉDUIRE LE RÉSULTAT EXEMPLE D UN REPOSITIONNEMENT RÉUSSI AUTHORS Name, Title Name, Title Name, Title BAISSER LES PRIX SANS RÉDUIRE LE RÉSULTAT Nombre d enseignes ont mené des campagnes

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération

Plus en détail

aux entreprises textiles Le parte n aire dédié www.sc-2.com Mail : commercial@sc-2.com

aux entreprises textiles Le parte n aire dédié www.sc-2.com Mail : commercial@sc-2.com 8 rue des 2 communes 94300 Vincennes, France Fax : +33 (0)1 70 70 21 30 SC-2 accompagne les entreprises textiles en leur apportant ses compétences multiples et significatives acquises au sein d enseignes

Plus en détail

Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux!

Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Paris, 21 janvier 2010 Communiqué de presse 21 ème Observatoire Cetelem de la Consommation Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Depuis plus de 20 ans, L'Observatoire Cetelem décrypte, analyse et

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

EVOLUTION DU CHIFFRE D AFFAIRES DU GROUPE AU 1 ER TRIMESTRE 2012. T1 2011 T1 2012 Variation T1 2012/T1 2011. en M en M Croissance

EVOLUTION DU CHIFFRE D AFFAIRES DU GROUPE AU 1 ER TRIMESTRE 2012. T1 2011 T1 2012 Variation T1 2012/T1 2011. en M en M Croissance GROUPE CASINO : CHIFFRE D AFFAIRES DU 1 ER TRIMESTRE 2012 Chiffre d affaires de 8,7 milliards d euros au 1 er trimestre 2012, en très forte croissance : +11,3% hors essence soutenue, en amélioration par

Plus en détail

RÉSULTATS ANNUELS 2014

RÉSULTATS ANNUELS 2014 RÉSULTATS ANNUELS 2014 Chiffre d affaires de 48,5 Mds, en progression organique de + 4,7 % En France : - Fin du cycle de repositionnement tarifaire des enseignes discount (Géant et Leader Price) - Développement

Plus en détail

Lascom en quelques mots

Lascom en quelques mots Qui sommes-nous? Lascom en quelques mots Editeur et Intégrateur de logiciels de PLM (Product/Project Lifecycle Management) ; gestion des données et du cycle de vie d un Produit / Projet Création: 1988

Plus en détail

AMAZON FRESH AUX ETATS-UNIS

AMAZON FRESH AUX ETATS-UNIS AMAZON FRESH AUX ETATS-UNIS AMAZON FRESH AUX ETATS-UNIS Amazon Fresh, service de livraison alimentaire à domicile, a été lancé à Seattle et a ensuite été étendu à Los Angeles. Il va être étendu à d autres

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. SAS Ed Direction Marketing & Communication 120, rue du Général Malleret Joinville 94405 VITRY SUR SEINE CEDEX

DOSSIER DE PRESSE. SAS Ed Direction Marketing & Communication 120, rue du Général Malleret Joinville 94405 VITRY SUR SEINE CEDEX DOSSIER DE PRESSE SAS Ed Direction Marketing & Communication 120, rue du Général Malleret Joinville 94405 VITRY SUR SEINE CEDEX Contact : Service de Presse Groupe Carrefour T : 01 57 32 89 99 - groupe@presse-carrefour.com

Plus en détail

ETUDE SUR LES RESEAUX DE DISTRIBUTION DE CARBURANTS EN FRANCE MARS 2015

ETUDE SUR LES RESEAUX DE DISTRIBUTION DE CARBURANTS EN FRANCE MARS 2015 ETUDE SUR LES RESEAUX DE DISTRIBUTION DE CARBURANTS EN FRANCE MARS 2015 1 Caractéristiques de l étude et principaux résultats A la fin de chaque année, l UFIP réalise une étude sur les réseaux de distribution

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

MAÎTRISER SA MARGE BRUTE

MAÎTRISER SA MARGE BRUTE MAÎTRISER SA MARGE BRUTE 2 MAÎTRISER SA MARGE BRUTE Piloter sa marge brute fait partie des processus de base chez tous les distributeurs et il peut sembler surprenant de vouloir écrire sur le sujet. Toutefois,

Plus en détail

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé JAMPI Dossier 1 L entreprise et son marché B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1

Plus en détail

Vendre son champagne sur internet

Vendre son champagne sur internet dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8

Plus en détail

TECHNIQUES DE DISTRIBUTION

TECHNIQUES DE DISTRIBUTION MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION TECHNIQUES

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Zéro Rupture - Mode d emploi. Trophée ECR 16 Octobre 2013

Zéro Rupture - Mode d emploi. Trophée ECR 16 Octobre 2013 Zéro Rupture - Mode d emploi Trophée ECR 16 Octobre 2013 A chaque instant, permettre une disponibilité maximale du produit en linéaire : un atout majeur pour la croissance Réunir nos expertises et savoir-faire

Plus en détail

Afidol. Etude d accès au marché Phase 5. Etude qualitative auprès de la Grande Distribution. Rapport final 31 mars 2011

Afidol. Etude d accès au marché Phase 5. Etude qualitative auprès de la Grande Distribution. Rapport final 31 mars 2011 Afidol Etude d accès au marché Phase 5 Etude qualitative auprès de la Grande Distribution Rapport final 31 mars 2011 Etudes financées par l Union Européenne, France Agrimer et l Association Française Interprofessionnelle

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES STRATÉGIES CLICK & COLLECT DE 51 ENSEIGNES DE LA GRANDE CONSO' CLICK & COLLECT 2014

L OBSERVATOIRE DES STRATÉGIES CLICK & COLLECT DE 51 ENSEIGNES DE LA GRANDE CONSO' CLICK & COLLECT 2014 L OBSERVATOIRE DES STRATÉGIES CLICK & COLLECT DE 51 ENSEIGNES DE LA GRANDE CONSO' CLICK & COLLECT 2014 Le Click & Collect, de A à Z AU SOMMAIRE De A à Z De Alinéa à Zara, l étude «Click & Collect» a passé

Plus en détail

Note partielle sur le E-Commerce

Note partielle sur le E-Commerce Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne

Plus en détail

Le Merchandising. Alain WELLHOFF Avec la participation de l IFM et Merchanfeeling. 7 e édition

Le Merchandising. Alain WELLHOFF Avec la participation de l IFM et Merchanfeeling. 7 e édition ressources marketing communication humaines Le Merchandising Points cardinaux ratios stratégies Alain WELLHOFF Avec la participation de l IFM et Merchanfeeling 7 e édition Du même auteur Qu est-ce que

Plus en détail

Le taux de service en linéaire

Le taux de service en linéaire Le taux de service en linéaire Etude Shopper + Baromètre ECR SymphonyIRI Group (vague Eté 2010) Mardi 26 octobre 2010 - Aéroclub de France Matinée ECR organisée par M. Xavier HUA Délégué General ECR France

Plus en détail

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. 4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option

Plus en détail

Investir à long terme

Investir à long terme BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Pourquoi choisir la solution publicitaire Google AdWords?

Pourquoi choisir la solution publicitaire Google AdWords? Pourquoi choisir la solution publicitaire Google AdWords? À chaque instant, partout dans le monde, professionnels et internautes utilisent des mots-clés sur Google pour se trouver les uns les autres. Et

Plus en détail

Flavien Neuvy de L Observatoire Cetelem

Flavien Neuvy de L Observatoire Cetelem 1 Flavien Neuvy de L Observatoire Cetelem Sommaire Baromètre de L Observatoire Cetelem Moral des Européens : après un point bas en 2009, du mieux pour 2010 Les intentions d épargne : retour du principe

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la

Plus en détail

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché 2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2

Plus en détail

/// COMMUNIQUÉ DE PRESSE

/// COMMUNIQUÉ DE PRESSE 22 avril 2015 /// www.id-logistics.com /// COMMUNIQUÉ DE PRESSE Poursuite de la croissance au 1 er trimestre 2015 Chiffre d affaires de 214,3M en hausse de 6,1% (5,1% à données comparables) Croissance

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Ivry, le 27 février 2014 La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Progression du résultat opérationnel courant à 72 m (+13,3%) Résultat net positif

Plus en détail

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp

Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp Óibp=j qfbop= ar=pb`qbro= ar=`ljjbo`b=ab=a q^fi= bq=ab=i^=afpqof_rqflkó ibp=o c obkqfbip=abp=j qfbop=`^aobp Les Référentiels des métiers cadres sont une publication de l Apec. Les Référentiels des métiers

Plus en détail

FORCES DE VENTE Viser l exécution parfaite en surface de vente

FORCES DE VENTE Viser l exécution parfaite en surface de vente Mercredi 17 JUIN 2015 Paris 12 e édition FORCES DE VENTE Viser l exécution parfaite en surface de vente Ciblage, exécution, assortiment, promotion : quelle équation gagnante en GMS à l horizon 2016 Quels

Plus en détail

LE FOREX ou marché des changes

LE FOREX ou marché des changes LE FOREX ou marché des changes L essentiel sur $ Le risque est au bout du clic En partenariat avec Qu est-ce que c est? Le Forex est le marché des changes (FOReign EXchange en anglais, marché des devises).

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux

atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux RENDU DOCUMENTAIRE 3 - DÉCEMBRE 2014 Sommaire les attentes croisées la synthèse des attentes l étude de potentiel

Plus en détail

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS

Plus en détail

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français > ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 GÉANT CASINO FAIT PEAU NEUVE Après une baisse des tarifs sans précédent qui a permis à Géant Casino de devenir leader des prix bas, l enseigne d hypermarchés

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION

Plus en détail

MARQUES DE DISTRIBUTEURS VERSUS HARD-DISCOUNT

MARQUES DE DISTRIBUTEURS VERSUS HARD-DISCOUNT Université Paris I Panthéon-Sorbonne Sciences du Management - Spécialité Logistique Audrey de VILLENEUVE MARQUES DE DISTRIBUTEURS VERSUS HARD-DISCOUNT Quelles stratégies les distributeurs de l agroalimentaire

Plus en détail

Gérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse

Gérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse Gérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse Groupe Eyrolles, 2007 ISBN 978-2-212-53877-9 L épargnant français est-il cigale ou fourmi? Le Français est plutôt fourmi. Les ménages français épargnent environ

Plus en détail

Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche)

Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche) Vie pratique Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche) Logement L université dans laquelle j ai effectué mon séjour d étude nous proposait au préalable un site sur les logements en résidence étudiante.

Plus en détail

Communiqué de presse 5 mars 2015

Communiqué de presse 5 mars 2015 RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des

Plus en détail

Baisse de prix par ici, assurance d être

Baisse de prix par ici, assurance d être N 85 Juin 2013 Une enquête exclusive de RENNES CONSO Guerre des prix en grandes surfaces UNE AUBAINE POUR LES RENNAIS? Baisse de prix par ici, assurance d être le moins cher par là (publicité comparative

Plus en détail

Vendre à la grande distribution

Vendre à la grande distribution Claude CHINARDET Vendre à la grande distribution 3 e édition, 1999, 2000, 2004 ISBN : 2-7081-3147-8 CHAPITRE 3 Identifier et optimiser votre commercial mix : la règle des 4C Il est aussi noble de tendre

Plus en détail

Les grands enjeux B2B du marketing mobile. Etude quantitative Vague 2 édition 2015

Les grands enjeux B2B du marketing mobile. Etude quantitative Vague 2 édition 2015 Les grands enjeux B2B du marketing mobile Etude quantitative Vague 2 édition 2015 Les grands enjeux B2B du marketing mobile 2015 1 2 3 Objectifs de l étude Investissements et actions Objectifs et défis

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

La Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE

La Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE La Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE Depuis la fin des années 90 (au siècle dernier!) la financiarisation de l immobilier a apporté des méthodes mathématiques bien pratiques, mais qui

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!

Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations

Plus en détail

* 10 e-news séléctionnées par audit & rédac web { www.audit-redac-web.com }

* 10 e-news séléctionnées par audit & rédac web { www.audit-redac-web.com } N # 002 / Décembre 2012 tendance(s) * web marketing 70% des internautes ont l intention d acheter leurs cadeaux de Noël en ligne pourquoi? combien? quoi? quand? p. 6 * 10 e-news séléctionnées par audit

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

DIRECT ASSURANCE. Leader de l assurance directe depuis 1992. Dossier de Presse 2013. Contacts Presse

DIRECT ASSURANCE. Leader de l assurance directe depuis 1992. Dossier de Presse 2013. Contacts Presse Dossier de Presse 2013 DIRECT ASSURANCE Leader de l assurance directe depuis 1992 Contacts Presse Nathalie LECLERC, CASSIOPÉE Tél. : 01 42 66 21 27 Mobile : 06 72 96 54 45 nleclerc@cassiopee-rp.com Caroline

Plus en détail

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars

Plus en détail

Auchan Consumer Zoom 600 000 clients pour mesurer et optimiser vos actions marketing. Une offre unique au service des industriels.

Auchan Consumer Zoom 600 000 clients pour mesurer et optimiser vos actions marketing. Une offre unique au service des industriels. marchés-test, efficacité publicitaire et promotionnelle, modélisation Auchan Consumer Zoom 600 000 clients pour mesurer et optimiser vos actions marketing. Une offre unique au service des industriels.

Plus en détail

Cahier des charges Prestataire : solution informatique de e-commerce de proximité

Cahier des charges Prestataire : solution informatique de e-commerce de proximité Cahier des charges Prestataire : solution informatique de e-commerce de proximité Cécile Meauxsoone Manager de centre-ville Association Oullins centre-ville 7, rue JJ Rousseau 69600 Oullins 06 68 68 68

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS

COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS COMMENT VAINCRE LA CONCURRENCE À PRIX BAS Depuis une décennie, les distributeurs à prix bas ont crû en importance dans tous les pays. Les hard-discounters dans

Plus en détail

Comment développer l attractivité d un commerce multiservices?

Comment développer l attractivité d un commerce multiservices? Comment développer l attractivité d un commerce multiservices? L attractivité pour un commerce multiservices : Comment la déterminer? Quel sens lui donner? Quel sens donnez-vous au mot ATTRACTIVITE, dans

Plus en détail

Statistiques du commerce et de la distribution

Statistiques du commerce et de la distribution Photo :Marc Benoun Statistiques du commerce et de la distribution 1 Cette présentation vous permettra d avoir une vue d ensemble des formats, des structures et du poids économique du commerce en France

Plus en détail

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? 28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de

Plus en détail

Comment investir en sicav?

Comment investir en sicav? & Sicav Comment réaliser de bons placements quand on n a pas le temps ou les connaissances suffisantes pour s en occuper? Opter pour une ou plusieurs sicav peut être utile! Comment investir en sicav? Société

Plus en détail

Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire

Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire Programme d actions 2014 Département Agroalimentaire Stratégie 2014 la filière bio, les produits transformés et la filière viticole uniquement dans le cadre des actions publi-promotionnelles Sud de France

Plus en détail

Les nouvelles tendances commerciales

Les nouvelles tendances commerciales Les nouvelles tendances commerciales Philippe Moati 5 avril 2013 L anticipation d une accélération du changement Plan 1. Une nouvelle révolution commerciale: pourquoi? 2. Une nouvelle révolution commerciale:

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises 72 CHAPITRE IV 1. La grande distribution française 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises La distribution française est une des plus importantes au niveau mondial, en raison de

Plus en détail

LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE?

LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? Michel PHILIPPIN Directeur Général de Cofinoga Notre propos concerne la rentabilité économique

Plus en détail

Document d information n o 4 sur les pensions

Document d information n o 4 sur les pensions Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,

Plus en détail

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager

Plus en détail

Evolution de la fiscalité des carburants

Evolution de la fiscalité des carburants Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse

Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Nanterre, le 24 juillet 2015 Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Chiffre d affaires total en hausse de 12,6% à 10,51 milliards d euros

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79,

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79, Viséo 79, L O B S E R VAT O I R E D É PA R T E M E N TA L F é v r i e r 2015 L ÉQUIPEMENT EN DE LA PERSONNE DEUX-SÈVRES Chambre de Commerce et d Industrie des Deux-Sèvres Observatoire Economique, Viséo

Plus en détail

Comment évolue le Category

Comment évolue le Category Comment évolue le Category Management dans les enseignes multicanal? 5e rendez-vous du category management - paris 12-14 décembre 2012 Remerciements Florence Guittet et Serge Cogitore, enseignants du Master

Plus en détail